- L’énergie d’adsorption de l’eau sur la surface {10-10} est de l’ordre de 120 kJ/mol. Afin de s’assurer que notre niveau de théorie permettait de reproduire ces résultats, nous avons déterminé la géométrie d’équilibre de l’adsorption de deux molécules d’eau sur une supermaille (2x1) de la surface {10-10} de ZnO. Dans ces conditions, le taux de recouvrement de la surface est de 100%, ce qui signifie qu’il y a autant d’atomes de zinc en surface que de molécules d’eau. La structure d’équilibre calculée pour ce système est représentée sur la Figure VI-3a. Bien que la géométrie initiale était constituée de deux molécules d’eau non dissociées, la structure d’équilibre est une alternance de molécules d’eau dissociées et non-dissociées. Expérimentalement, cette structure a aussi été observée par microscopie électronique à effet tunnel [11]. Les molécules d’eau sont orientées sur la surface de sorte que les atomes d’oxygène qui les constituent soient proches d’un atome de zinc de surface et que les atomes d’hydrogène pointent vers des oxygènes de surface. Les distances de liaison (cf Figure VI-3a) sont en accord avec des études théoriques présentes dans la littérature. La DOS de ce système (Figure VI-3b) n’est pas modifiée significativement, dans la région de Fermi, par rapport à celle d’une surface de ZnO vierge. Cela signifie que l’adsorption de molécules d’eau sur la surface du ZnO ne modifie pas la structure électronique de celle-ci et n’induit pas la formation « d’artefacts » liés à ce modèle de passivation de la surface (artéfacts qui auraient pu être une modification du niveau de la BC, l’apparition d’états localisés…).
1es exigences de compatlbilitê avec la rhêorie: dans le cas prêsent, 1a fonction de coût doit être monotone croissante par rapport aux prix.. et, au niveau de produc[r]
(Fortin, M.F., et Gagnon, J., 2016); Étant donné que les entrevues sont semi-directives, il arrive parfois que le répondant déborde dans ses réponses et aborde des points non perti[r]
This transition appears crucially tied to the Dirac physics of graphene and the presence of the n = 0 Landau level: in the present case, we do not need a SO coupling to overcome an energ[r]
− Résumé
C’est dans la course au débit que de differentes systèmes de communications sans fil sont proposés aujourd’hui. À ce jour il n’existe pas de technologie ou de stan- dard unique pour remplacer toutes les autres technologies radio tout en satisfaisant l’ensemble des besoins de services et d’usages. Les futurs systèmes de communica- tions devront donc permettre l’interopérabilité entre les différents standards au niveau européen et mondial. L’émergence des technologies de la radio intelligente constitue aujourd’hui une solution originale et prometteuse pour répondre à ce defi. Cepen- dant, le déploiement de ces systèmes soulève encore de nombreux défis techniques notamment au niveau des antennes. Ces dernières doivent en particulier être capa- bles de modifier leurs réponses en fréquences ou bien avoir une très large bande tout en minimisant la déformation des formes d’ondes. Elles doivent répondre aux be- soins de cohabitation multi-systèmes et de miniaturisation. Or la miniaturisation et la largeur de bande sont limités par des contraintes physiques et les caractéristiques des matériaux les constituant. Les métamatériaux, des composites électromagnétiques artificiels, peuvent permettre la conception d’éléments rayonnants pour la radio intel- ligente avec un plus grand degré de liberté et à moindre coût. Cependant l’analyse de l’association des métamatériaux à des antennes ou éléments rayonnants n’est pas aisé, surtout quand les antennes prennent une forme arbitraire. En effet, les techniques classiques de conception d’antennes peuvent être très longue a mettre en oeuvre. Pour cela, nous proposons dans ce travail une approche basée sur le concept modale se bas- ant sur la théorie des modes caractéristiques. Cette approche présente un potentiel remarquable dans la conception des antennes éléctriquement petites ainsi que les an- tennes basées/inspirées des métamatériaux. En outre, l’évaluation des performances d’antennes à formes arbitraires en fonction des paramètres géométriques à été démon- tré sans considérer d’éxcitation. Ceci offre un énorme avantage pour les techniques basées sur l’optimisation des formes d’antennes. Une technique de conception sys- tématique d’antennes inspirées des métamatériaux est proposée et validée sur des antennes canoniques. Finalement, elle est appliquée à une antenne très large bande dediée au sondage du spectre. L’approche modale a été utilisée afin de garantir un di- agramme du rayonnement stable sur toute la bande de fréquence ainsi qu’une bonne efficacité dans le régime éléctriquement petit. Plusieurs validations expérimentales sont également presentées.
Le taper utilisé étant un guide d’onde à épaisseur variable le long de l’axe de propagation, les ondes injectées subiront alors au fur et à mesure des modifications au cours de leur tr[r]
La
orrespondan
e dans le
as général est résumée dans le tableau 2.1. Voyons maintenant le détail de
ette
orrespondan
e. Soit X une surfa
e de del Pezzo. Alors son groupe de Pi
ard muni de la forme d'interse
tion forme un réseau de signature (1; p 1) (en notant p la dimension de
e réseau). Considérons les diviseurs de degré et de genre positifs (ou nuls), et
hoisissons une base du réseau telle que tous
es diviseurs puissent s'é
rire
omme
ombinaisons linéaires à
oe
ients positifs, à l'ex
eption de la moitié de l'hyperplan de degré zéro. (En fait
ela n'est pas possible dans tous les
as, mais au moins dans la majorité de
eux qui nous intéressent. Pour les autres la
onstru
tion est plus subtile ; nous en parlerons dans la se
tion 2.4.) Pour les diviseurs C de degré 0, on a par dénition K:C = 0, don
le genre ne dépend que de C
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Dans le cas de LIT, l’essentiel du travail de préparation des contenus a porté sur la mise en évidence des compétences communicatives à installer à partir d'une analyse des besoins menée sur base d'un questionnaire auprès des différents partenaires impliqués dans le projet. Les compétences langagières identifiées ont ensuite été organisées autour de six thèmes qui structureront l'environnement d'apprentissage qui sera proposé : l'accueil, la carte du menu, la réservation par téléphone, l'orientation dans le restaurant, le client satisfait ou mécontent et le départ du client. Ces thèmes permettront d'exercer les compétences langagières jugées indispensables à l'exercice de la profession comme par exemple : saluer le client, vérifier la réservation, suggérer une table, inviter le client à suivre le serveur pour rejoindre sa table, lui proposer de se débarrasser de son manteau... Pour tenir compte des spécificités des différentes langues concernées (français, anglais, grec, tchèque, espagnol, allemand, danois et néerlandais), un travail de linguistique contrastive a été réalisé (Decamps & al., 1999). Sur la base de ce travail, différentes variantes contextuelles (selon que l'on s'adresse à un homme, une femme, un groupe... ou encore selon le moment de la journée) ont été prévues pour chacune des situations proposées aux apprenants.
Pour
Maud-‐Yeuse
Thomas
et
moi-‐même,
participer
aux
séminaires
Q 17
organisés
par
l’association
le
ZOO,
représentait
une
première
tentative
de
théorisation
et
de
politisation
à
défaut
de
politique.
La
critique
de
la
politique
des
sexes
est
déjà
une
forme
d'engagement.
Cette
période
du
milieu
des
années
1990
est
aussi
marquée
d'ambivalence
ou
de
paradoxe.
Manque
de
conscience
politique
comme
on
le
verra
plus
loin,
mais
aussi
inventivité
d’un
groupe
prenant
conscience
de
la
nécessité
de
supports
et
d’avoir
à
composer
avec
les
institutions
autant
qu’à
les
contourner.
Accéder
aux
savoirs
et
expériences
du
féminisme
pour
penser
l’inégalité
de
la
différence
des
sexes
et
élaborer
l'idée
du
"binaire"
que
les
trans
eux-‐mêmes
pouvaient
reproduire,
tels
furent
les
enjeux
théoriques
pour
les
trans
du
ZOO.
Il
y
avait
une
rumeur
de
fond
à
combattre
sur
le
champ
transidentitaire
:
ne
pas
être
concerné
par
l’homosexualité,
par
la
prostitution,
par
les
travestis,
voire
les
transgenres...
Entendre
et
reconnaître
ce
bruit
de
fond
offrait
un
socle
pour
lutter
contre
la
propre
incompréhension
des
trans
de
la
condition
trans
en
train
de
s’écrire
;
une
base
de
pensée
aussi
bien
politique
que
théorique.
Les
trans
pouvaient
s'affranchir
de
l'injonction
au
"tout
homme-‐tout
femme",
donc
armer
le
refus
de
participer
à
la
politique
orientée
de
la
différence
des
sexes,
à
toute
traduction
de
la
différence
en
inégalité.
Toutes
ces
questions
étaient
posées
à
la
lumière
des
apports
bien
sûr
du
féminisme,
mais
aussi
des
recherches
récentes
:
Culturals,
Womens,
Postcolonials,
Queers,
Gender
et
Trans
Studies.
Enfin
et
peut-‐être
surtout,
l’expérience
du
terrain
(supports
des
premières
associations),
du
militantisme
à
l'activisme
communautaire
ou
syndical 18 ,
nourrissait
et
complétait
la
réforme
constante
du
champ
transidentitaire.
4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle.
5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays.
Sur la base de ses réflexions, Sapir met en place ex emplairement ce qui, à l'intérieur du champ anthropo logique constitue ,un enjeu scientifique, à la fois ce matériel psycho-symbolique qu'est le mythe, et les mé thodes objectives qui doivent apporter les réponses . constitutives d'une science de l'homme, comprise dans ses dimensions historico-sociales. D'abord il pose qu' il n'y a pas une mais deux psychologies du mythe. Il . les distingue par leur objet: "La première cherche les causes déterminantes de la forme culturelle. C'est au fond cette psychologie sélective et créatrice qui joue dans l'histoire de 1 'art."(1I)/Cette première tendance de la psychologie du mythe met donc en perspective é- pistémologique tout à la fois les approches psycholo giques du fait artistique, aussi bien que les travaux que nous avons analysés en les rapprochant de G. Du1? rand et de G. Holton. Ils portent tous deux sur l 'ori gine des formes sociales ou plastiques, de l'oeuvre et sur le caractère déterminant de cette origine, au, point de vue d'une morpho-genèse. Ces travaux indici aires marquent ainsi une préocupation déterministe qui se partage et se diffuse largement dans de nombreuses recherches comme modèle explicatif du passage de la psycho-genèse à la morpho-genèse. Préoccupation déter-^ ministe qui dès lors prend statut, nous le verrons, d' homomorphisme des modes de représentation charriant u- ne métaphysique des origines.
Processus n° 3 : la modernisation
Les conceptions de la modernisation sont très différentes selon les époques et les nations. Au Japon, la première conception de la « modernisation » fut l’idéologie des « éclairés », de ce groupe composite qui entendait assimiler les connaissances étrangères en reformulant « l’esprit japonais ». Ceux qui parvinrent au pouvoir n’entendaient que mettre ces compétences au service de la transformation du Japon en un Etat-nation et du contrôle de cet Etat. La deuxième conception de la modernisation fut celle que conduisit cet Etat : opérer une révolution industrielle au service de la nation souveraine. Sous le contrôle des forces d’occupation américaines et des institutions mises en place après 1945, une deuxième conception de la modernisation fut organisée. Le but était de reprendre et achever la révolution industrielle, en éliminant tout projet nationaliste. Comme on l’a vu, le « Modernisme » fut le nom donné à cette deuxième phase de la modernisation. Ce double aspect de la modernisation se retrouve exactement en Europe. Il est à la fois l’objet et le sujet des sciences sociales, de l’économie politique dès le milieu du XVIII° siècle et de la sociologie au XIX°. Le Marxisme est la théorie générale de cette évolution. Sur cette base, comme le montre Miura Nobutaka, les sciences sociales japonaises identifient un troisième moment de la modernisation : la « globalisation ». À la fin des années 1990, à partir de la déconstruction du bloc soviétique et de la première guerre d’Irak, la globalisation fut le programme sous hégémonie américaine d’une extension au monde entier d’une version modernisée et généralisée de la révolution industrielle et de ses effets escomptés.
Au contraire, notre caractérisation utilise le cadre général du modèle (1) qui n’est pas spé- cifique, loin s’en faut, au modèle LD. Les deux conditions qu’il faut ajouter à UARC1 et UARC2 pour obtenir le modèle LD (UAM1 et UAM2) peuvent alors être vues les caractéris- tiques distinctives essentielles du modèle LD. On peut envisager de caractériser de même le modèle SEU au sein du modèle (1). C’est ce qui est fait dans [6]. De manière schématique, on obtiendra le modèle SEU en imposant que Γ soit « riche », que P soit négativement tran- sitive et se comporte de manière compatible avec la richesse de Γ et en renforçant les condi- tions UARC1 et UARC2. Le modèle (1) appa- raît donc comme une base commune à la fois au modèle classique (SEU) et aux modèles pu- rement ordinaux (LD).
La deuxième définition est une extension de la première qui se base sur l’idée que l’espace numérique implique une superposition et, finale- ment, une fusion entre discours et réalité. Dans un monde numérique connecté, exister signifie être éditorialisé. En effet, dans l’espace numé- rique, un objet doit être connecté et mis en relation avec les autres objets pour exister. Par exemple, pour qu’un restaurant existe, il doit se trouver sur TripAdvisor, sur Google Maps, ou sur une autre plateforme qui spé- cifie sa relation avec d’autres restaurants, un territoire, etc., tout en le rendant visible. Pour qu’une personne existe dans l’espace numérique, elle doit avoir un profil sur Facebook, sur Twitter, sur LinkedIn ou sur une autre plateforme qui puisse l’identifier et la rendre visible. L’édito- rialisation devient donc une condition d’existence. Or, sur la base de cette idée, éditorialiser ne signifie pas seulement produire des contenus, mais aussi produire la réalité elle-même. Selon cette définition très large, l’éditorialisation désigne l’ensemble des formes collectives de né- gociation du réel. En d’autres termes, l’éditorialisation est l’ensemble de nos pratiques sociales qui nous permettent de comprendre, d’organiser, d’interpréter et de produire le monde. Le fait que nous vivons dans un espace de plus en plus numérique suggère que toutes ces pratiques ont lieu elles aussi dans l’espace numérique – ce qui signifie, en somme, que toute pratique visant à comprendre, à organiser ou à interpréter le monde est un acte d’éditorialisation.
Il n’empêche qu’il reste possible de dégager, à travers l’immense production théorique de la Renaissance, quelques thèmes fondamentaux. Ils touchent à des notions techniques de base : la solmisation, la notation, la modalité et le contrepoint. Chacune de ces notions implique des prises de position cruciales sur des points aussi litigieux que, par exemple, la « musica ficta ». D’autres thèmes abordent des sujets qui semblent éloignés des préoccupations des compositeurs : la musique des sphères, la redécouverte des textes de l’Antiquité classique, ou le bon usage des proportions dans tous les arts. D’autres encore peuvent concerner et le savant et le musicien : la recherche d’un tempérament adéquat, la mesure des effets de la musique. Il n’est toutefois pas inutile de préciser que cette distribution des thématiques est plus le reflet de ce que le lecteur attend d’u n traité de musique depuis le début du 17 e siècle que ce qu’un amateur éclairé du 16 e siècle souhaitait lire. Zarlino ne trouve pas incongru de traiter de toutes ces problématiques dans un seul traité, alors qu’il sait son texte, long et parfois difficile, destiné aussi bien au musicien professionnel qu’à l’humaniste en quête d’informations sur le rôle de la musique dans la cité.
L'analyse sociologique a pour objet de comprendre et d'anticiper le jeu des acteurs à l'intérieur d'un système social. Le sociogramme nous révèle l'état de ce système et nous permet de réaliser des classifications à l'intérieur de cette structure. Pour effectuer ces classifications, le premier critère que l'on utilise est celui de la cohésion sociale. On fait l'hypotèse qu'un ensemble composé d'acteurs directement reliés les uns aux autres forme un tout homogène. Sur la base de ce critère, on constitue des blocs homogènes à l'intérieur desquels il existe une forte cohésion sociale. Le principe de cohésion sociale appliquée au réseau A,B,C,D met ainsi en relief deux sous-ensembles homogènes : le bloc A,B,C et le bloc A,D,C. Dans chaque cas les trois points sont directement connectés, ils forment une clique. A l'intérieur d'une clique les acteurs s'influencent mutuellement au point qu'ils partagent les mêmes convictions, les mêmes attitudes et les mêmes comportements.
La Prop. 1.4.5 admet une version simplifi´ee lorsque M est la sph`ere ou un disque, `a savoir que le groupe L red
m (M ) admet pour base (en tant que groupe libre) des lassos autour de chaque face sauf une (dans le cas du plan, on exclut en r`egle g´en´erale la face non born´ee). Sous la mesure de Yang– Mills, les holonomies le long de ces lassos sont des variables al´eatoires `a valeurs dans G, ind´ependantes et dont la densit´e est le noyau de la chaleur p |F | pris au temps correspondant `a l’aire de la face associ´ee au lasso. Cela revient, en quelque sorte, `a consid´erer le cas d’un graphe admissible sur une surface compacte dont on ferait tendre l’aire d’une face vers l’infini. En effet, dans l’int´egrale ( 1.90 ) la variable z f exprime la contrainte de bord de la face “ext´erieure”, et si on l’exclut de la fonction test tout en faisant tendre |F f | vers l’infini on obtient la mˆeme factorisation qui carac´erise l’ind´ependance des variables
Les graphes sont une structure de donn´ ees omnipr´ esente en informatique. Ils sont utilis´ es pour donner une s´ emantique aux logiques, pour mod´ eliser des calculs, ou encore pour d´ ecrire des relations entre objets. Le probl` eme consistant ` a repr´ esenter la structure de graphes en th´ eorie des types d´ ependants peut s’av´ erer difficile. En effet, le principal obstacle est que, dans leur forme la plus g´ en´ erale, les structures de graphe peuvent ˆ etre cycliques. En cons´ equence, le principe d’induction, qui est le principe de base du raisonnement en th´ eorie des types d´ ependants, ´ echoue ` a capturer une telle circularit´ e. En effet, les types inductifs sont bas´ es sur le principe de bonne-fondation. N´ eanmoins, il est bien connu que les approches bas´ ees sur les coalg` ebres sont plus adapt´ ees pour raisonner sur des structures non bien-fond´ ees [ Rut00 ], c’est-` a-dire, des structures infinies ou pr´ esentant une forme de circularit´ e. Dans ce contexte, les types co-inductifs offrent un cadre naturel pour d´ efinir et raisonner sur ce type d’objets. L’id´ ee principale r´ eside dans le fait que les structures cycliques peuvent ˆ etre vues comme des arbres infinis en proc´ edant `
« QUANTITÉ × PRIX UNITAIRE = PRIX TOTAL » soit, Q×(F/Q) = F.
Cette formule est un nouvel ostensif mathématique, qui donne à voir que la multiplication est ici l’effet d’un opérateur entre deux espaces de mesure (Vergnaud & alii, 1983), de l’espace des quantités à celui des valeurs. Dans le problème sur le coût de trois cahiers à cinq francs, cinq doit alors être pensé comme un prix unitaire : il faudrait dire, cinq ‘francs par cahier’ ! Les formules de physique élémentaire (Vitesse×Temps=Distance, Force×Distance=Travail, Résistance×Intensité=Tension, Travail×Temps=Energie et, pour tout cylindre ou prisme, Base×Hauteur=Volume) relèvent du même type d’analyse que cette formule économique - qui exprime le rapport marchand conventionnel d’un petit commerce -, parce qu’elles expriment toutes une relation de dépendance linéaire entre des espaces de grandeurs mesurables.
dans H (S). La section 5 donne une définition des modèles authentiques de la K-théorie algébrique dans H • (S) : en vertu des résultats précédents, tous les modèles sont canonique-
ment isomorphes ! on vérifie de plus que les constructions classiques (Quillen, Waldhausen) de la K-théorie algébrique donnent bien des modèles authentiques. La section 6 étudie le changement de schéma de base, ce qui pourra nous autoriser à effectuer certaines construc- tions sur Spec Z pour les étendre canoniquement ensuite à tout schéma de base régulier. La section 7 compare les définitions antérieures des produits sur la K-théorie algébrique supé- rieure à celle introduite à la sous-section 4.2 (en particulier, pour les schémas réguliers, les définitions antérieurs coïncident sur leurs domaines de définitions communs). La section 8 interprète les endomorphismes de Z×Gr en termes des anneaux de représentations R Z GL n