Beaucoup de solutions de sécurité ont été développées et mises en place sur la plus part des systèmes d’exploitation, tels que les ADSs. La détection d’anomalies sur les systèmes traditionnels est l’un des domaines les plus définis et largement étudiés. Cependant, la détection d’anomalies dans les appareils mobiles suit généralement les mêmes principes et exigent donc des opérations de calculs lourds, ce qui rend difficile son déploiement sur les appareils à ressources limités. En effet, l’environnement des téléphones intelligents à ressourceslimitées impose des limites strictes sur l’utilisation du processeur, de la batterie et des ressources mémoires disponibles. De plus, les ADSs mobiles possèdent généralement des ressources résidant sur l’infonuagique. Ainsi puisque le dispositif mobile passe par une variété de réseaux avec des configurations souvent inconnues, les ADS mobiles deviennent de plus en plus vulnérables. Toutefois l’absence d’une solution mobile, légère et efficace de détection d’anomalies constitue un grand défi pour son déploiement sur les systèmes à ressourceslimitées d’où l’importance de concevoir un ADS capable de protéger ce type de dispositifs.
La notion de ressources est largement utilisée dans le discours commun, c’est aussi une notion primitive et fondamentale en informatique. Informellement, une ressource désigne n’importe quelle entité (un processus, un type de données, un composant ma- tériel, une formule logique, etc) manipulable par une opération au sens large. La no- tion de ressources et les problématiques liées à leur gestion sont au cœur de cet article. Le raisonnement sur des ressourceslimitées concerne tous les domaines où les déci- sions portent sur des ressources qui ne sont pas infinies. Le champ de l’intelligence artificielle regorge de situations de ce genre. Un robot autonome doit, par exemple, planifier ses actions pour éviter une perte d’énergie. Un agent intelligent qui négocie sur le web doit être conscient de ses ressources financières et il doit donc assumer les conséquences financières de chaque décision qu’il prend. Beaucoup de décisions d’un agent dépendent de leur influence sur ses ressourceslimitées comme le temps, l’argent, l’énergie, etc. En bref, la capacité de raisonner à partir de ressources consom- mables est indispensable dans de nombreuses situations appellant une décision.
165 10.1. Introduction
Dans le domaine de la santé, les programmes publics sont souvent le produit de la mise à l’échelle des interventions testées avec succès localement (Simmons et al., 2007). Dans beaucoup de pays, des efforts importants sont investis dans la mise en œuvre des initiatives innovantes, qui connaissent beaucoup de succès au niveau local mais qui subséquemment n’arrivent pas à être étendues, et déclinent avec le temps (Damschroder et al., 2009; D. Fixsen, Blase, Metz, & Van Dyke, 2013). Par conséquent, des initiatives locales font face à deux problèmes majeurs: leur devenir dans le temps (Pérennisation) et leur devenir dans l’espace (Mise à l’échelle) (Mangham & Hanson, 2010). Cette situation est beaucoup plus marquée dans le cas des initiatives soutenues et financées par des institutions internationales, en particulier dans des pays avec des ressourceslimitées (Sachs, 2008). Toutefois, plusieurs interventions sont prometteuses et ont déjà prouvé leur efficacité et ont eu des impacts positifs sur les populations locales (Simmons et al., 2007). Développer des interventions efficaces au niveau local est la première étape vers l'amélioration de la santé et du bien-être des populations.
Conclusion
Le problème d'ordonnancement de projet à ressourceslimitées (POPRL) est devenu ces dernières années un problème de base dont plusieurs variantes font régulièrement l'objet de nouvelles publications. Il consiste en l'ordonnancement d'un ensemble de tâches, à l'aide d'un ou de plusieurs types de ressources renouvelables ou non renouvelables en quantités limitées. La résolution d'un POPRL a pour but la détermination des dates d'exécution des tâches en tenant compte des contraintes de préséance et de disponibilité des ressources et ayant comme objectif la minimisation de la durée totale du projet. Le POPRL est un problème d'optimisation combinatoire de complexité NP-dur (Blazewicz et al 1983). Une revue de la littérature relative au POPRL est présentée au chapitre 2 . Plus de 125 articles scientiques sont analysés. Les contributions relatives à ce problème portent sur les méthodes exactes de résolution, la détermination de bornes inférieures sur la durée du projet et les méthodes heuristiques (approchées) de résolution. An d'avoir une meilleure représentation des situa- tions partiques plusieurs généralisations du problème classique ont été publiées. Cette analyse nous a permis de constater que malgré les eorts déployés pour dénir des POPRL plus généraux, les contraintes de transfert des ressources continuent à être ignorées, nous consta- tons aussi que l'optimisation du problème en considérant les coûts a été très peu traité dans la littérature. Cela force les gestionnaires dans la plus part des cas à se baser uniquement sur leur expérience pour réaliser ou ajuster manuellement les ordonnancements produits par des heuristiques conçues pour résoudre des versions simpliées du problème. An de combler partiellement ces lacunes nous avons consacré les chapitres 3 , 4 et 5 de cette thèse a étudier trois généralisations du problème d'ordonnancement de projet à ressourceslimitées.
9. Conclusion
La pharmacovigilance est un processus exigeant, où chaque étape a son importance. Elle joue un rôle majeur dans la santé publique et la sécurité du médicament. Comme l’a montré le travail exposé, la mise en place des bases d’un système fonctionnel de pharmacovigilance au sein de l’HGPS a été possible. Le suivi du programme réalisé au cours de l’été 2014 par un nouveau stagiaire a contribué à renforcer l’implantation du système et semble en assurer la pérennité au sein de l’établissement. Les objectifs initiaux ont été dépassés : ce programme a été remarqué par la DGDF et surtout par l’OPS/OMS. Les premiers résultats confortent l’idée que la RD a besoin d’un système de pharmacovigilance au niveau national. La DGDF dispose désormais de toutes les ressources nécessaires à la mise en place d’un tel système ; seule manque maintenant la
Par ailleurs, ces ressources en santé sont souvent fragmentées et distribuées de manière très inégale au niveau national, au détriment des zones rurales. Bien que de nombreux PRFI aient, au fur et à mesure des revirements politiques évoqués au paragraphe précédent, adopté une organisation sanitaire en partie décentralisée 29 , un grande partie de leurs populations vit éloignée des centres de santé, par la distance ou le temps nécessaire au trajet (Knowlton et al., 2017; Macarayan et al., 2018) . Or le manque d’accessibilité géographique aux infrastructures de santé, souvent étudiée à travers le cas de la disponibilité des soins obstétricaux et pédiatriques, a été identifiée comme un facteur limitant du recours aux soins dans les PRFI (Gabrysch & Campbell, 2009; Karra, Fink, & Canning, 2017; Tegegne, Chojenta, Loxton, Smith, & Kibret, 2018). En plus de la distance, les structures rurales ont souvent encore moins de moyens, techniques comme humains, que les hôpitaux centraux. En 2015, l’Organisation internationale du travail, une agence spécialisée de l’ONU, a estimé qu’au niveau mondial, seul 23% des professionnels de santé exercent dans des zones rurales alors qu’environ 50% de la population mondiale y vit. Cela représente un déficit en professionnels de santé d’environ 7 millions de professionnels dans les zones rurales, contre 3 millions dans les zones urbaines (Scheil- Adlung, 2015). Cette même situation se retrouve dans les PRFI (Dussault & Franceschini, 2006). Cependant, l’urbanisation – normalement associée à l’amélioration des indicateurs du niveau de santé des populations – croissante de ces derniers fait apparaitre, ou renforce selon les cas, en raison de sa
Le médecin est donc pris entre deux feux: réduire les coûts ou faire de la bonne médecine. Un véritable cercle vicieux s'installe: les restrictions de ressources humaines et matérielles augmentent les ris- ques d'accidents, d'erreurs, de fautes médicales. Cela provoque plus d'actions en responsabilité professionnelle contre les médecins. Ceux- ci réagissent par une médecine défensive, coûteuse en temps et en ressources. Ce difficile équilibre a eu et continuera d'avoir son lot de victimes tant du côté des patients, victimes d'erreurs, d'accidents, de fautes, que du côté des médecins qui répondront toujours de leur propre faute peu importe le régime de responsabilité choisi alors que la responsabilité civile du centre hospitalier n'est pas automatiquement engagée par la faute du médecin bien que son degré d'intervention dans l'activité de ce dernier augmente sans cesse. On peut donc à juste titre plaider en faveur d'une responsabilité du centre hospitalier pour les fautes de ses médecins, responsabilité allant de pair avec cette intervention accrue dans la prestation de soins médicaux. En définitive, les centres hospitaliers doivent répondre des conséquences des restrictions budgétaires qu'ils imposent aux services. Si on doit maintenir un niveau élevé de qualité de soins alors qu'on coupe dans les services, il faut faire partager le fardeau de la responsabilité civile pouvant découler du manque de ressources autant aux hôpitaux qu'aux médecins. Ou alors, on permet au médecin de s'exonérer quand il pourra faire la preuve que le dommage résulte clairement d'un manque de ressources. Il s'agirait du fait d'un tiers dont il ne répond pas.
This systematic review examined associations between 1) malnutrition and poor immune function at time of HAART initiation, and 2) baseline malnutrition and immune reconstituti[r]
Si les partenariats public-privé relèvent souvent du mariage de raison, ils peuvent devenir des mariages de cœur, lorsqu’ils visent à promouvoir le transfert de connaissance et de savoir-faire afin d’améliorer l’accès aux médecines essentielles dans les pays à res- sources limitées [8]. Les pays les plus pauvres portent le plus lourd fardeau de maladies contagieuses et non contagieuses et sont les plus exposés aux épidémies résultant de changements sociétaux et environnementaux [9]. Or, ces pays ne peuvent s’offrir la plu- part des innovations diagnostiques, vaccinales et thérapeutiques proposées dans les pays industrialisés. Dans ce contexte, les PPP et PDP (partenariats pour le développement de produits) sont des approches multisectorielles pertinentes pour faciliter l’enre- gistrement de produits, leur production locale et leur distribution pour combattre des maladies endémiques dans ces pays [8]. Ils contribuent à l’élaboration de solutions diagnostiques et de traitements adaptés aux conditions locales, qui peuvent parfois bénéficier en retour aux pays industrialisés. Afin de proposer des approches holistiques adaptées à la résolution d’enjeux com- plexes, ces initiatives, comme le Medicine Malaria Venture ou la
La
troisième
posture
celle
de
la
fusion
entre
techniciens
et
élus
qui
partagent
globalement
la
même
approche
de
la
participation.
Ici
les
techniciens
ne
portent
pas
véritablement
de
discours
sur
le
pouvoir
d’agir.
Ils
inscrivent
davantage
leur
action
dans
les
rouages
classiques
d’une
politique
de
la
ville
conçue
pour
«
faire
pour
»
et
non
«
faire
avec
»
les
habitants.
Cette
approche
peut
être
étayée
par
une
culture
locale
de
type
«
sociale-‐démocrate
»,
fondée
sur
l’idée
que
le
service
public
est
là
pour
satisfaire
l’ensemble
des
demandes
sociales
et
qu’il
n’est
donc
pas
justifié
d’enjoindre
les
«
pauvres
»
à
participer,
ce
qui
reviendrait
à
exonérer
la
puissance
publique
de
ses
responsabilités.
La
quatrième
et
dernière
posture
est
à
l’inverse
celle
de
l’avant-‐garde.
Ici
les
techniciens
sont
acquis
à
la
cause
du
pouvoir
d'agir
et
des
logiques
communautaires
–
y
compris
au
sens
ethnique
du
terme.
Ils
se
conçoivent
comme
des
expérimentateurs,
mais
plus
souvent
en
devenir
qu’en
pratique.
Cette
position
se
retrouve
par
exemple
au
sein
de
la
Direction
du
développement
territorial
de
Lyon
(mais
non
au
sein
de
la
mission
GPV),
dont
les
techniciens
voudraient
tendre
au
maximum
vers
le
pouvoir
d'agir
des
habitants,
mais
où
leurs
marges
de
manœuvre
réelles
semblent
assez
limitées.
On
trouve
aussi
à
Grenoble
des
techniciens
ayant
une
conscience
aigue
des
enjeux
de
la
démocratisation.
Si
leurs
préoccupations
croisent
celles
de
quelques
élus
volontaristes,
ils
sont
freinés
dans
leurs
velléités
par
les
lignes
de
fractures
internes
à
la
majorité
municipale
et
qui
traversent
aussi
des
équipes
techniques
dont
les
conceptions
de
la
participation
sont
loin
d’être
homogènes.
Conclusion
22 Cette recherche interdisciplinaire et diachronique améliore nos connaissances sur les savoirs techniques, botaniques et médicinaux des sociétés méditerranéennes passées et présentes au travers d’un objet jusqu’alors méconnu : les goudrons de conifères apparaissent comme des ingrédients de base de la pharmacopée méditerranéenne. L’expertise biologique conforte en partie les usages anciens et pleinement les pratiques empiriques actuelles, guidées par des savoirs tacites. Par l’identification des molécules bioactives et l’évaluation de leur toxicité, cette recherche ouvre la voie à une meilleure utilisation thérapeutique de ces substances naturelles et à une meilleure valorisation des ressources forestières. Au-delà de ces résultats intrinsèques, le projet O NGUENT constitue
37 David Lapoujade ajoute fort justement : « C’est une autre manière de dire qu’un "fait"
n’a rien de matériel [je souligne], ce que les stoïciens avaient déjà compris quand ils
qualifiaient l’événement d’"incorporel" » (Lapoujade, 2011, p. 187) 27 . Remplaçons « fait » par « objet » et « immatériel » par « abstrait » et l’on obtiendra la conception jusqu’ici défendue. L’« engagement ontologique », pour paraphraser Willard Van Orman Quine, auquel nous invite Étienne Souriau, est de l’ordre de l’appui conféré à une revendication d’existence. David Lapoujade de poursuivre, dans une veine qui évoque à merveille les épreuves collectives subies par les ressources, telles qu’examinée plus haut : « On devient comme l’avocat de ces fantômes, leur porte-parole, leur porte-voix ou, mieux, leur porte-existence » (Lapoujade, 2011, p. 188). Chacun pour soi, ou à plusieurs, en suivant les méandres d’une enquête inter- objective dont le terme n’est jamais fixé à l’avance.
L'eau est l'autre exemple de ressource renouvelable profondément transformée par l'homme et devant faire l'objet d'une gestion attentive. Tout simplement parce que parler de l'eau c'est aussi parler d'urbanisme, d'agriculture, de stratégies industrielles, de logement, voire de culture ou d'éducation. Elle a toujours été un facteur clé du développement. Dans le passé, la pénurie ou la mauvaise qualité de l'eau touchait surtout les régions pauvres du globe. Cela continue à être le cas de manière de plus en plus aiguë, mais aujourd'hui tous les pays sont touchés du fait d'une consommation intensive. On constate une dégradation anthropique des ressources existantes d'une intensité telle qu'elle hypothèque la renouvelabilité de la ressource à moyen terme. La manière déplorable dont a été géré l'épisode de pollution cyanurée de la Tisza, principal affluent du Danube, illustre le propos.
L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignemen[r]
Conclusion
Afin d'obtenir des ressources plus complètes que wiktionary, comme celles indiquées pour el français, il faut pour chaque langue du projet enquêter auprès de chercheurs en traitement automatique des langues (TAL) de la langue concernée.
Le dispositif comprend une interrogation des jeunes, ainsi que de leurs parents. Au total, 5 800 jeunes et 6 300 parents ont répondu à l’enquête. Dans 5 200 cas, à la fois le jeune et au moins un de ses parents ont répondu à l’enquête.
Le questionnaire destiné aux jeunes adultes recense en détail les ressources (définition ci- dessous) dont ils disposent : revenus du travail ou revenus sociaux mais aussi aide des parents qui constitue une part importante si ce n’est essentielle de leurs ressources. L’enquête aborde également de multiples thèmes : le logement et les modes de cohabitation des jeunes ; la santé ; les relations entretenues avec les parents ; leurs conditions de vie et les différentes étapes de passage à l’âge adulte. L’interrogation des parents permet notamment de recueillir des informations sociodémographiques les concernant ainsi que leur famille.
88
solution pour le développement d’un environnement institutionnel propice au développement du secteur privé.
La bonne gouvernance en Algérie n’est pas un objectif difficile à atteindre. Seulement, il faut agir par ordre de priorité. Améliorer le cadre juridique, assurer la protection des droits de propriété, améliorer l’efficacité du secteur public, réduire la bureaucratie passent en priorité puisque ce sont ces composants qui engendrent une bonne gestion des ressources, l’efficacité des politiques économiques, la confiance des citoyens en leur gouvernement …etc. Seulement le changement institutionnel est un processus qui s’inscrit dans le temps long. L’Etat algérien est justement contraint par le temps. L’orientation des dirigeants politiques vers l’amélioration de la qualité des infrastructures et vers le problème de logement revient au fait que ces dernières années le Baril du Saharan Brend a varié entre 99 et 104$. Les dirigeants politiques estiment que c’est le moment ou jamais pour ce genre de projets. Cependant ce n’est pas parce que le changement institutionnel s’inscrit dans le temps long qu’on le met à l’écart. Bien au contraire, plus tôt agir voudrait dire améliorer la gouvernance dans un avenir plus proche ce qui permettra d’atteindre l’objectif d’une dépendance à la rente.
La protection de l’environnement doit faire partie intégrante des processus de développement et de gestion des ressources naturelles et des territoires des régions ressources afin de parvenir à un développement durable et garantir la conservation à long terme des richesses de ces territoires. En ce sens, une utilisation des ressources naturelles et des territoires qui n’altère pas le niveau de régénération des ressources et qui ne compromet pas leur disponibilité à long terme est incontournable. Ainsi, les enjeux relatifs à la pérennité des ressources et au maintien des écosystèmes doivent être pris en considération dans la planification du développement des ressources naturelles et du territoire. Il convient donc d’adopter des approches permettant de croiser des objectifs de mise en valeur des ressources avec des objectifs de protection et de conservation des ressources et du territoire. Des moyens, actions, processus, techniques, modalités, stratégies ou principes de précaution, de prévention, de protection, de préservation, de contrôle, de suivi, d’atténuation, de restauration et de correction permettant de minimiser la dégradation de l’environnement et d’assurer le maintien de la biodiversité de même que la viabilité des écosystèmes doivent être considérés. Ceci permet de s’assurer que la pression exercée par les activités humaines soit tolérable par les milieux naturels et de réduire l’empreinte des activités.
Deux concepts sont inhérents à cette notion : le concept de « besoins », et plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis, à qui il convient d’accorder la plus grande pri[r]