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Les relations entre les valeurs moyennes dans la mécanique des électrons

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Les relations entre les valeurs moyennes dans la

mécanique des électrons

R. Zaïcoff

To cite this version:

(2)

LES

RELATIONS ENTRE

LES

VALEURS

MOYENNES

DANS

LA

MÉCANIQUE

DES

ÉLECTRONS

Par R.

ZAÏCOFF.

Sommaire. - En partant de l’équation de Dirac on établit les expressions des valeurs moyennes,

y compris celle de l’énergie impulsion, et on déduit les relations qui existent entre elles.

1. - Nous mettons à la base de nos considérations

un

espace-temps

euclidien dont la

quatrième

coordon-née est

imaginaire. Supposons

que les

cinq

matrices

a,, , ao satisfont aux conditions :

les

i+

étant les

conjugués-complexes transposées

des a@, . Pour une

particule électrique,

dont la masse propre et

la

charge électrique

ont pour valeurs

algébriques

res-pec tivement v

et s,

l’équation

de Dirac a la forme :

Le vecteur :

représente

le

charge-courant électrique

de

Darwin (1),

car on déduit de

(~), (3)

l’équation

de continuité

Formons la matrice :

et ensuite les

quantités

(2) :

Un tire de

(2), (6),

l’équation (3) :

Formons le tenseur

symétrique gauche

de Darwin

(~) :

(1) Voir : DBRWIN; Roy. Soc. Proc.,

A.,192S,

T. l18, p. 660,

L. DE BROC.LIE; C. ., 1932, T. 194, p. 1 062 ; H. ZaïCOHF ;

Ann. der 193 1, T. 9, p. 715.

(3) Voir :

UHLE.NBECK-LAPORTE

Physical

Revieu’, 193i, T. 37, pp. i 380, 1 552.

La quantité à5, est interprétée comme un vecteur de l’état

inécanique appelé spin. L’invariant © est différent de zéro.

(~) Le tenseur

décrit les

moments magnétique et électrique) >

de la particule chargée.

et le vecteur :

Un déduit de

(2),

(3),

(8), (9)

les

équations :

On voit de

(10)

que ~£,

représente

le

charge-courant

généralisé

de

Gordon-Schrôdinger.

On obtient aussi à

partir

de

(4)

et

(10) :

Nous ferons ensuite usage du tenseur de Ricci

les

signes

+

ou -

correspondant

aux cas où la

permu-, ,

tation est

paire

ou

impaire,

et nous

intro-duirons le vecteur :

On déduit de

(2),

(8), (12),

les

équations (’) :

§

2. Formons maintenant le tenseur :

1

(1) On déduit aussi de (14) :

20132013 =

0. En considérant (14)

d x

comme l’analogie duelle de (10), les équations (li) montrent

qu’il n’existe pas de charge-courant magnétique.

(3)

54

On déduit de

(2), (3), (6),

(12),

(15)

les

équations :

Si nous posons maintenant :

nous obtenons de

(16),

(17) :

et de

(2), ( I ~), (17):

Enfin on déduit de

(2), (3), (15), (17)

les

équations :

oi~ l’on a

posé :

Les

équations (18),

(19), (20)

montrent que

IIp.’J

repré-sente le tenseur de

l’énergie-impulsion mécanique

de la

particule électrique

(1).

On voit de

(17) qu’on ajoute

au moment ordinaire

mécanique

un moment dû au

spin.

(i) Ces équations ainsi que l’expression (17) sont déduites

sur la base du principe de la Relativité restreinte sans faire usage d’aucune quantité auxiliaire, tandis qu’on les établissait à l’aide du principe d’Hamilton de la Relativité générale.

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