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eînmgcMUnion^po»iai*e)! . 3 . 5 0 i » . - 3 3 — r \ n ,„ n r » t a a i j »■ i • ■ m » ■■ i q a a n • g* 3 3 . 5 2 4 e x e m p l a i r e s
20,nc annee - N0 85
Mercredi lo Avril 1898
Cinq centimes
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manuscrits ne s»m p» rend»;
Les annonces te paient comptant --- ^ . . --- . l_ l u
■ ---— 1 H H H B f f 3 2 & S 3 ! £ B N 9 9 B B Pour l ’érection de m onum ents pu- com m ença après des libations d’eau- Ainsi que je l ’avais prévu, le con - L ie c o u p d e l ’a l l u m e t t e . — Avez*
N o u s p r i o n s les Dames qui désirent acheter en __ ____ _ • blics ; des propositions de M. A uer, de-vie, et de nouveau B orer fit usage seil de guerre vient do décider qu ’il vous jamais rencontré, le soir, en
ren-C n S ren-C D ï L ren-C l a n n U f A I T f Q M ü l l e r do la Pharmacie du Théâtre, si en vue de la création de bourses, pré de son revolver contre F ich ier. Celui- y avait lieu d’intenter de nouvelles a ° cîè i^ a n^UCl adl ^èr r u reU do ' 1 a N U I
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apprécié commo Dépuratif fortifiant du levées su r le fonds des beau x-arts, ci parvint à éviter les coups, m ais une poursuites contre Zola et l ’Aurore, ^ r t e d e votre anD artcm ent?Intrieué : des éïlrilea réejftnieni soTdeT do ?oul?!7 W?n d e S n " ifs échantillons des pour perm ettre à des artistes bien des balles atteignit au ventre un nom- Cette conclusion s ’im posait. Les poli- P " " 0 a“ ™ , oréPïadito Terrure ef, si gomos désirés.quî leurs seront envoyés par retour gratis et franco. ~ i m » | M. doues de con tin u er ifturs études, et de m e Meinrad b o rer, qui dut etre tra n s- tiques, com prenant que de nouveaux cette histoire vous ost arrivée, quel n'a ’ Les plus grands choix d ’a r t i c l e s e n s o i e r i e s qu'exigent les toilettes pour ^ ^ M. V u illerm et en vue de ia fondation porté à l ’hôpital. débats ne peuvent ab o u tir q u ’à des pas été votre étonnement en vousaper-Dames existent à partir de 65 Cts. jusqu’à Frs. 18.50 le mètre. esi toujours plus recherché parce que son d’écoles des b ea u x -a rts; enfin quel- Urs-V. B orer p rit la fuite. Toutefois m anifestations nouvelles de vérité, cevant do la présence, dans ladite ser-Les étoiles choisies seront envoyées ù domicile cn toutes quantités demandées efficacitédépasse de beaucoup eelle de l'hhi- ques questions de m oindre im por- le gendarm e de Laufon et un agent de m enaient cam pagne depuis plusieurs rure, d’une... allum ette? Vous avez re-I f r a n c o d e _ le de foie cfe morue, si difficile à digérer, tance. la police soleuroise l ’ont arrêté same- jo u rs, pour am ener les officiers con- tiré l’allumette et bientôt vous avez oublia
W E 1 Z . E K Ar i > o . , L u c e r n e Activo surtout la croissance des enfants. S u r la base de ces délibérations et di à BreiteD bach. sultés à se d ésintéresser de l ’affaire, l’incident sans vous douter un instant J ______________________EXP0I<TAT10>1' SOIERIES.____________________ 360 B U H B H des propositions de la com m ission S A U V T - G A L X ,. - I n c e n d i e . Tout était possible horm is cela : je l’ai qu°^'c? “sst ainsi* quo^\aPmésaveniSre nui
--- --- des beau x-arts, le Conseil fédéral a _ o n m ande de R orsch ach , le 11 d it d’abord. . . _ . vient d'arriver à un commerçant du auai
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. ' T ^ ' - ___ _ L L - ^ ^ . - * . - - ~ * pris, en vue du développem ent de avril : Voilà pourquoi les efforts du gou- Montebello, à Paris, renferme à l’usage • n i r a B B S I B 1 9 I H fi f & f l f l l l I 1 1 A l a r t , une s é n e de m esures dont une « Cette n u it, vers une heure, un vernem ent et de sa presse sont venus de tous une instructive leçon que nous • Sm 8r InC f i l œ® 9 E r E B 3 bOB I H I I I I v i A partie représente la solution d’affaires incendie a éclaté à S a m , com m une échouer devant l ’inexorable logique croyons devoir signaler à nos lecteurs, | | | £ a> I l ^ | | V V r U I I ■ m % ~ pendantes à la fin de l’année 1896. de Mœrschwyl dans une m aison ap qui m ettait les juges d’Esterhazy dans afin de les mettre cn gardo contre les U n ▼ erre a v a n t on a p rè s le w p a s , J î a t u n b r e v e t «fe loniru e v ie . S P arm i celles-ci, m entionnons la partenant à un tisseu r du nom de l’obligation de poursuivre leur accu- nombreux trucs dc dévaliseurs d’appar-... '■ — m: — r ■ - - - 7 ~ --- ,--- com m ande laite à M. Ernest B .éler, Lœhle. Le feu, attisé par un fœhn sateur, quoi qu’il pût advenir. Rentrant chez lu! vers deux heures de ^ peintre a Geneve, en vue de la four- violent a Dris ranidem ent une Nous retournerons donc à la cour ,, ” ÇP.l!l““ : . ,, f ~ * Les Am éricains peuvent donc répon- n iture de nouveaux cartons pour les grande exten sion . La petite fille du d’assises, et com m e nous ne deman- 8erprure* Uno’ allumette. Lui, connaissait i B Æ » M a f c ; W # B dre à leu r tour qu i l n est pas question peintures m urales destinées à o rn er propriétaire une enfant de six ans, dons rien que la ju stice, et com m e |a signification de la présence de cet ob-_______________________________________ ___________________________ * - r - pour les E ta ls' Um.s d anéantir une la cage du grand escalier du palais est restée dans les flam m es. D ix ou- nous ne cherch ons rien que la vérité, jet en cet endroit. U se d it:r r puissance plus faible qu ’eux, m ais de ju stice fédéral à Lausanne. vriers italien s qui logeaient dans la nous nous félicitons hautem ent de — A malin malin et demi. Je veillerai.
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d ’em pêcher un petit peuple d’être L’a rtiste a en effet rem is ses nou- m aison n ’ont pu se sauver qu’à cran - l ’occasion qui nous est donnée d’é- Un instant après, il dut ressortir ; il H i X r i 1 ^ 1 I I I 1|\l ^ p P i i i I A S i h j plus longtem ps écrasé par une autre veaux cartons au com m encem ent de de Deine • l’un d’eux s’est brisé une claires plus com p lètem ent l ’opinion replaça soigneusement l'allumette dans nation plus consid érable. _ l ’année. Le ju ry les a exam inés et a jam be en sautant du deuxièm e étage publique, pour lui perm ettre d é d is - a f ? c 'e s t sûrement nour ce soir • i'v se-14200 d e A insi, à quelque point de vue préavisé en ce sens que les nouveaux par la fenêtre. Le feu avait éclaté au- tinguer enfin l ’innocence du crim e. . V®*ïeur8 p ’ j y j > qu on se place, il est facile de ju s- projets constituaient à la vérité un dessous de l ’escalier » iu ■■ -i • : Èt il sortit ’A M i r r A T I f l M A n t U P A 1" le r d '“ ° CWé ! a COi “dUi,le 'Es e ran a p ro srte sur les prem iers, ca r lo T “ “ “ I l S S Î Kf Ï Ï ! S o " X l " i . “ i» T ,t « t u Urev^n\ à sept beures, voulut ouvrir »,
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I 1 I I I I Ï I V n n i i n l I l l U L V 5 aRne qui n^ peul i e résoudre à aban- choix des su jets était heureux (juge- F R I B O U R G . - E s c r o q u e - * dene,aD0“ùcrre Général BUlo porte et, pour ce faire, ôter au préalable I l I N r r l l I I I I l l AE
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1 B B t° 5 n^ uPe r6 tst®f d eri‘ieres colonies, m ent arbitral ancien et tribunal arbi- «*»e d a r r h e s . — Lundi d ern ier, le publiée 1)ar le s $de et ’8igDée d-un nom l'allumette ; mais soudain il pâlit : l'allu-U U j m L U I l U I i y r u U n U f l K i a b i y e t d e l ’a u tre la tU tu d e des Ltats-U m s tral de l ’av en ir); que cependant la tribunal de la Glâne a condam né un rnconnu. mette n'y était plus. v —j d éclarant à qui veut l ’entendre q u ’il m anière de traiter le su je t ne faisait jeu n e hom m e de la Su isse allem ande «Avant qu'il soit trop tard, car il y — Trop tard f s’écria-t-il. ». cJq ne s'ag it pas pour eux d’une guerre pas re sso rtir la pensée de l ’artiste à 20 jo u rs de prison pour escroque- aura un jour prochain, très prochain où H ouvrit en toute hâte, so précipitai de conquête, q u ’ils n ’ont ni la volonté avec la clarté nécessaiee et qu ’au con- rie d’arrhes. Ce jeu ne homme s’était il sera trop tard, faites donc le néces- dans l'appartement, dans son salon, ou-T F I ^ I I ^ ^ ^ I " O ni le désir de s’annexer Cuba, m ais traire la com position dans les deux engagé, avant Noël, com m e dom esti- saire.Ce que j'appelle le nécessaire je n'ai v n t son secrétaire: il était vide. CétEit I I
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D K I P K f \ seulem ent de sauvegarder les d roits projets oflrait une telle sim ilitu d e que de cam pagne auprès de plusieurs La morale de celle histoire la voici •I I v O U O r U l J n I E U D L C im prescrip tibles de la lib erté et de la qu 'c lle était destinée à éveiller une m aîtres différents, et avait reçu , au J ^ g i t é , ” e Per“ sveozu's0“8J ea8? ^“ ùs savez Lorsqu’un cambrioleur a jeté son dé-civilisation . certaine confusion dans l ’esp rit du m om ent de 1 engagem ent, de chaque qui ^ trahi pendant plusieurs années fu- volu sur un appartement garni de son
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T r è s g r a n d a s s o r t i m e n t d © Ceux qui pourront co n cilier ces spectateur. S u r la base de ce pro- m aître 5 fr. d arrh es. Le jo u r convenu neusement, systématiquement, et vous choix, la première précaution qu’il doitm deux points de vue, feron t bien d’en- noncé, la com m ission proposa de ne °û i* devait entrer en service, cet in- savez que le malheureux qui agonise à prendre, c’est de s’assurer si les
habi-T O U lG S I B S D e r n i è r e s N o u v e a u t é s voyer. leu r solution à l ’em p ereu rd ’Au- pas accep ter les projets de M. B iéler, téressant gaillard s ’était bien gardé de n ie du Diable est innocent de ces crimes, tants du lieu sont absents. S’ils sont pro u i v i v w u triche qui a pris l’initiative d’une niais de laisser à cet artiste la facu lté se rendre au rendez-vous. Il avait dé- faites donc une petite enquête supplémen- sents, le cambrioleur attendra ; la
pa-m édiation des puissances européen- de présenter à ses frais de nouveaux jà , plusieurs jo u rs auparavant, qu itté taire, faites-la vous-pa-mêpa-me. Tâchez donc tience doit être une de ses vertus. S’ils
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nés pour co n ju rer la guerre. c a rto n sT u sq i’à la fin de ï'an n ée et la contrée. Ce genre d’escroquerie de- de savoir, cela vous sera facile, si dee co sont absents, .1 opérera le plus tôt pos: & î. i „ ;0n» Ha ninc on r,i„e frôr,non* il pies de certains dessins confidentiels faits sible, sans tergiversaUon ; la décision lui r » o c e= ^ pour le cas ou il ne fe ia it p asu sag ed e tie n t de plus en plus trequent, il est au prj nleraps jyyg sur certain8 fusils ne est également nécessaire. Pour s ’assurer P O U R D Â R f i E S r n N F F n F R û T i n N cette faculté, d’en trer en pourparlers recom m andé aux agriculteu rs de faire sont pas jà où ils ne devraient pas être, donc du fait, il place discrètement, un e n p e r c a l e , b a t i s t e , m o u s s e l i n e , s o i e , e t c . , e t c . avec un autre peintre. a c^mpri; vpr« mi Tàchez donc de savoir si la copie d’un malin, une allumette dans la serrure de^ ____________ _____ _______________________ _______________ A dp<ï « n d i n i n t s Au com m encem ent de d écem bre, I n c e n d i e — bam edi, vers m i- certain cours fait à l'école de tir du I appartement choisi ; il repasse le lende-M. B iéler a déclaré qu ’il renonçait à nuit et dem i, un incendie a com plète- camp de Chàlons n’est pas là où elle de- niain : l’allumetto est-ello encore à sa I I A T F I D C k l O I A M n u e B f f t m [TD r P I D G q a v r i l. u**11- uu présenter de nouveaux c a r to n s ; en m ent d étru it la m aison des frères vrait ne pas être. Tâchez donc de savoir pjace, il est évident que personne depuis H l l I r l - r r l M N I l I l M B . H t t l V l r - r i r r u l n l î.. *. . . . ■ - , c.ins(!nupnre ronform ém pnt à la nro- B erset, à La Corbaz. Su rp ris au beau oncoro si les mobilisations du troisième vingt-quatre heures, n a pénétré dans n u i L L r L l l O l U l l U i m l l i r t L L U I I I « C est avec p laisir que j a i l u au- la p jo m ji ieu do la n uit, les gens de la mai- corps d’armée dont le siège est àRouen, roppartement, et il estd eto u te prohabi-/ « T v ^ m T _ ■ ---—» _____ - jo u rd ’hui. la réponse de M. le Dr L. n , , (JJT =nn «ni Hrt cn rtir îosiiTmon» à mnifip n'est pas connue de gens... qui devra ent lite que personne n y penotrera, au moins
A G L X O N S M O N Ï R E U X de G irard à M. lsaac, de Nyon. Avec f f 1? ’ lo D épartem ent fédéral de l'm - s o n o n .d û s o rtirje B te m e n t^ à m oitié 4 de quelques heures, le cambrioleur opère; --- - 1 --- M. le Dr de G. je crois que les seuls té n eu r a élé invité à engager des né- habilles, alin de ne pas devenir eux- l'allumette a t-elle disparu, lc cambrio-P o s itio n e x c e p t i o n n e l l e m e n t t r a n q u i l l e , a u c e n t r e d e s p r o m e - syndicats possibles, et qui seraient gociatious avec M. cambrio-Paul R obert, pein- “ f.™6® 1 ® S c h i s m e . — Le nombre des o apos- leur s'abstient.
narip* f i i i s i n f i P r i v m o d i r p s f P r n s n p r t n O bienfaisants sont les svndicats fondés tre au Ried près B ienne, pour l ’exé- tail a pu être sauvé. Seu l, un enfant tats » augmonte en France dans des pro Le commerçant du quai Montebello fla a e s . tiU lS in e s o ig n e © , t ^ n x m o a e r e s . ( r r o s p e c i u s ; . D iem aisaois, so n i ie s s }n a ic a is lODaes CU|:0I) r«e ce travail au rait succom bé sans le dévouement portions considérables : c est ainsi qu ud connaissait le a tru c» ; il avait préparé H 4 9 5 7 G . P F I S T E R , p r o p r i é t a i r e . par les artisans eux-m êm es, mais R j ronrnnrs nnvprfs nnnr la du ferm ier Angeloz. Les causes de cet prêtre du diocèse de Beauvais, M. Bour- pour Ip soir un traquenard : les voleurs — --- ■ ’ ---£ --- dont les décisions au raient force de incendie sont inconnues. dery, curé de Marolles, vient d'annoncer sont venus à cinq heures. 11 n'avait été
X l i i M J L * lo i, reconnus par le gou vern em ent; u ecorau on ou M usee national a au _ _ _ _ à son évêque, M. Fuzet, q u i! quitte les bien avisé qu'à demi. m ais il fau d rait que du m om ent que n c u au moyen de peintures m urales V A L A I S . — A c c i d e n t . — Un ordres. Voici le texte de la lettre qu'il
■ M M . n i . - T U . . . . n . . . l’on em brasse une profession, on fasse ont donné des résultats en p artie sa- terrib le accid ent est arrivé sam edi à lui a adressée : l é Æ î S e r f f i f i s m e donnée récom n A r n N P n F Ç F Ü S I Y - U B U F Ç parue du syndicat y relatif, afin qu ’il tisfaisants. Dans la prem ière partie du Sion. Un jeune b o m m enom m éSchw er- Marolles, 1 avril. me“ M“ e H Ui r S è n o T a p a r W e ? te “ -U I M -U -U H I C i U b U L h U À V l V C D ne puisse pas ex iste r de co n cu rren ce concours (p rojet de peintures mu- ry, de M œ rell. Haut- Valais, dom esti- Monseigneur, . „ mes fort™levé^,ïo la crofsade si active R u e V e r s o n n e x , 1 9 , a u 1 e r en dehors des associations syndicales, ja le s pour six panneaux ogivaux dans que chez M. Hofer, brasserie de Saint- 1Une racaltionisincèirpei,ïionacaihoHuue CQlreprise par la femme dans certains Jeudi 14 et vendredi 15 avril de 10 à S houres, ohjats divers, linge de ménage, vê- Sans cela, elles n ’auraient pas de suc- ' ° r^ f ^ nd„e ‘^ ri^ fil' « m i ^ eor8 es, conduisait vers 1 h. 1/2 de que j e crovais 6tre la relation du Christ! anglo-saxons contre les ravages do tpments (feulants et de pauvre», ouvrages tfcfaantlJJonngs. w >. . - cès auprèfijleâjajüUsans, qui no vour [n u rcs), vingt artistes re m n e n t vin0 t- 1 après-m id i, un ch ar de biere à livrer une'^ionirUe e» «érieuee étude des 1 a*cool. En Amérique, en Angleterre, en BUFFET D é j e u n e r s è m i d i e t à p r i x f ix e . dront pas être bridés par une loi, se hu it projets jusqu'au 1 5 jan v ier, term e aux clien ts. Arrivé à une pente très Z^m es et d T i n s t i f u S de l'Kgl.se Suède en Norvège, en Suisse, les femmes Jeudi: Fleurs. - Vendredi : ObjetF confectionnés par l'industrieuse. la seraient-ils donnée eux-m êm es, si P°nn. f aplde’ à q ? elq “ e cen l m etres de, ,Ia i ’afdù reconnaître que je n'étais plus s° “ .à. ' « êt° dru .i” " 1-. •* Les fleurs pour le Jeudi et les objets pour le buflet seront reçus avec reconnais- tous n y sont pas soum is. J. ï . û t! récom pensés, 1 un de brasserie, le ch ar se renversa et le catholique et que je ne pouvais plus de- ’ j P ^ cohésion et la conli-sance P 4 5263 J ’abonderais aussi dans l ’idée de M- E - H odler. peintre à Geneve, a pauvre dom estique fut projeté contre meurer prêtre. " u‘lé 4° nleürs. efTo,rl8- * fa,re , reculef --- u I O C --- r \ r --- M A D I l ■ r D --- -fonder ces syndicats « m ixtes », c ’est- reçu un p rem ier prix de 3000 f r . ; un m ur, en même temps qu ’un gros C'est pour moi un devoir de loyauté de f “ “détîs'‘ ' d i L o s l ^ d o 8 refsoîfrce/finan M I S E D E I v l O B I L I E R à-dire entre patrons et o u vriers, mais (a u tre de M. Je a n M orax, p eintre à fût de bière lui tom bait dessus et lui ne pas garder plus longtemps la direc- cX e S con sidérablesn ^ 0^1 ouvert et Lundi 26 courant, à 9 h. du matin, dans la salle de l’Ecu de Genève, 5 Begnins, je ne crois pas que la chose so it pos- M °rges, un second prix de 1000 fr. enfonçait la poitrine. Un qu art d’heure lion de la paroisse que vous m avez lllu|tjpjj^ j eg café3 ’ de tempérance et il sera vendu aux enchères diflérents articles consistant en porcelaines anciennes, sible. tant quo l’ouvrier sera auiiné Conform ém ent à la proposition de après la victim e rendait le d ern ier conuee. Je remets aujourd nui entre vos ofj ert par ce moven a des milliers de vieux Nyon, étoffes anciennes, tableaux, horloges régulateurs, vieux meubles, can- d’un aussi mauvais esp rit à l ’égard de notl'e Départem ent de l ’in térieu r, soup ir. ™ ™ m malheureux un abri plus confortable et délabres, coffrets, etc., provenant de la succession ^ P Stucky son m aître qu ’il l’est m aintenant. Du " 0U!> avons autorisé la com m ission V A l J D . _ M o u v e m e n t d e s moTnageque t o u t r i vie sace“ otalè P'us sain que le cabaret, Mme Hudry^ --- ---i--- :--- --reste, les com ités des d irecteu rs des des beau x-arts à confier au prem ier é t r a n g e r s . — Les hôtels de Mon- fut généreusement employée à répandre rL™ Jln' nu | fcmmes françaises ù
T a n /»V »À v>ac< J _ a 4 -A ir> r\ o syddicats ouvriers, tous fortem ent de ce> artistes, m oyennant indem nité, ti-eUx sont bondés. R arem ent on a re- cl à développer le sentiment chrétien A ri ^ i f t fi ! n r i j . V e n t e a u x e n c i l è r e s d e é & U O s t è r e s socialistes, s ’y opposeraient, et de ce ,?x.tCn tl0i“ do “ ouveaux cartons a m a,-qUé pareille allluence. Un grand dans les ûmes. El c’est pour continuer la ja ii^ue qu*il a fondée il f a trois ans^ et environ de bois de chêne, à prendre sur place, payement comptant, dans la pro- fait, les ouvriers, individuellem ent, 1 échelle d exécu tion , lesquels devront nom üre d’hôles reviennent de leur même œuvre que je me sépare de votre . aujourd’hui 12 000 membres nriéléde M. Albert Billet, auVengeron. commune deBellevue, le jeudi 14 avril 1898. n'oseraient pas faire au trem ent que ^ r e encore soum is au ju ry « . “j®®1“ ^ « f 1 1 bgl . se. catho'.quj, maw noo chrétienne, rappdé IX / ir a b le act,™ to d e l a e c -Réumon des amateurs devant la maison du garde, près de la Tuilerie, à 2 heures ieu s m eneurs ne le leur Dermet- Le délai réclam é par l'a rtiste pour _ nJ„ Que le Fils do Dieu qui s est révélé à tjon duHavre où un croune de dames de l'après-midi. — Pour visiter s’adresser au garde.__________________________ « J f S f i » “ du fa it de leu r S o n ^élaboration de ces projets .repor'te à K f i S S i c h e , au lieu d ^ i g n e T n Æ '“« £ q ï Ï Ï o î l l ? Plus 5 " ^ , ' “ p a ï t a C T o n ^ u î t a
« r - » . avec les patrons su r un point, leur 1 année p iochaine les négociations su r d é p a r tir à Pâques pour K issingen, tard ils comprendront à quelles graves docks du port de «roulottes» ambulantes,
Æ & W M . Æ force d’action contre ceu x-ci te cette affaire. , _ . com m e elle en avait l ’intention, pro- convictions j'ai obéi. Ils se rendront ,e,r? 1 “ r,, ^ iin ru V illa a m Z ü r i c h s e e , mit Oekonomiegebàuden, Pâchterha'js, Treibhaus, Bad- ra it consid érablem ent dim inuée. Ce Dans sa séance du 7 jan v ier, la com- longe son séjo u r à T erri te t ju sq u ’au compte, conme moi, que le principe au. rebô€ «»ion à Brest oui nar (1m visitas und Boothaus, imnitten Fark- und Waldanlagen, in geschûtztor prachtvoller Lago : qu ’ils ch erch en t, au contrait e, c ’est ù m ission des beaux-arts a nom mé une 25 avril. même de l’organisation sociale catholi ^ domicile dans les familles d’alcoolimioq Bahnstation. Ferner : ' augm enter de plus en plus leur ac- sous-com m ission chargée de 1 organi- H i r o n d e l l e s . ____ L a Courrier de ‘l 06 n e s t qu’une reprise du judaïsme et et d'autres démarches nersonnelles
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T6',o“ - c“to uF536aÆ I K K Ï ï « , r « s s S " e,Da“o“,'c
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--- !_________________________________________________ ce t esp n t-la, un accord su r uu point arts a M unitli. ler , e coucou ,a preinière {ois le livrcr ma foi et amrmert contre une fospUalises de, viii^ tyrord et a donné V i - S - ' m a A - i - A l quelconque n ’est absolum ent pas pos- La sous-com m ission, en trant im - m ercredi 7 avril. 11 é la il eu avance de Eglise aveuglément autoritaire et oppres- rfw i® n. a i Z i i n L X v V i » iPpp
J L sible. m édiatem ent en activité ainsi que le cinq jo u rs sur l ’année d ernière. sive, ma libre conscience religieuse. a®‘scgf “ a Cuivre et argent purs. Breveté en France et ù ['Etranger supprimant les dangers Comme M. Isaac, je crois que, pour secrétaire, envoya une délégation à p a „ „ 00 Quel el - i l sde Dieu me console moi- à lps te'm\npSi rfo Franre lpnrHp. de l'étamage et de l'émail. Seuls concessionnaires ■ MM. Forestiei Frères, quincail- le canton de Vaud du m oins, le mo- Munich pour se m ettre en rapport u 1 ! ' Rmi™, ! i mfi n !!? » . 4 même et me soit en aide. La séparation mandanl d’imiter ces exemples et de mul-ll£E5i ____________________________________________________________ 0302 m ent do fonder des associations pa tant avec les au torités do l ’exposition l e ^ l e a u du Bouveiet qui arrive a que j accomplis ne va pas sans brise- uSuerieurs elIorts exeQlplc8et
_ reilles n ’est nas encore venu - on a ciu’avec les cercles d’arlistes suisses ^lüeueuvc à 9 b. l a sign alait la pié nients, sans douloureux sacnlices. Mais
1 8 , P i n c e I> o n g -e n ia lle , G e n e v e R I I I I P T I M D fll IT IflIIIT renies n est pas en co ie venu . ou a qu a ec es ce ic ie s a ai listes suisses sence d-un ca d aVre à deux kilomè- le devoir est à 1 homme et l'avenir est à E S P A G X E
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r U L I I i y U t . encore trop de peine à for.n er de pe- d om iciliés à M unich, e t obtenir des L’o t o de naixdib Dieu._
W ! S Ê Z . , i ann tiles associations tocates. J e pense renseignem enls su r k s locaux affectés " ” u ‘ iim m édiatem ent faire le R isq u e j'aurai lait loyalement, sim- . & «n « r a , ® e Va " ^ e r : ~ ün ré’
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Z x H „ g ^ a i S T Gcnive, le 13 avril 1898 q u ’avec notre esp rit vaudois, haïssant aux collections suisses ainsi que su r r a 16 plement mon devoir, j'aurai confiance en dacleut'du Heralio, de Madrid, a eu avec M R S “ S ^ r i . . i/ ■ i , la réglem entation ind u strielle qui fait d’autres points pouvant inlluer su r le néLe&Sdl ‘ e; nL® ^ ‘ Oieu, maître de l'avenir. le général Bérangw un entretien quem œ | | l g ^ L e m essage _ de M. Mac ft.n ley est la forcé des associations d 'artisan s, ce succès d e n o lr e e x p o s ilio n . En même mousse, plongeait verticaiem ent dans Jo VOus prie bien, monseigneur, de me nof r<*“ s winme suït:
T o § .• S X com m e les anciens oracles de 1? Pythie sont ces petites associations a u ’il faut temps elle expédia à tous les artistes 1 eau, le haut d e l à tête seul ém er- pardonner la peine que je risque de vous* , A propos du conllit avec les Etats-Unis, . n ^ 3 de D elp hes: on oeut en tirer tout ie d’abord obtenir et ensuite les réunir suisses une circu laire les invi ti nt à géant. L exam en du cadavre a perm is (aire et d'agréer l'expression de mes sen- le général manifeste sa conlianco
cotn-h j o O ^ Ï * L U en on faisceau caiitouah AcîucUe- v ™ » ™ V ° l l a I S ^ a Ù l T . ï *,i,nculs lrès rc,pectù°ux. -g g * * ™ * inonpU* 6 * lo t c * a w t e
§ Q Ceux qui pré onisent la guerre ou la ment , il n’y a chez nous que les jeunes gnant Bâle com m e lieu de réunion où ...i,.! c ‘ , r i ' Hien à craindre, a-t-il dit, l'attaque des — croient inévitable releyeront cette m aîtres qui entren t un peu dans les les œuvres présentées devaient être * “ ■ , , J n F a r c e u r g é n é r e u x . — Bécem- ports de l ’île ayant lieu pendant les heu-S / K K C D Paï ea , i )Æ l enn ! lle: hnU idées su sm en tio n n ées; les anciens exam inées préalablem ent par le ju ry . K J® p l Ü ^ i i l m e 'r d a n s une^vme d u "n d i. que nous re« d“ la nuit , . ^ .
\ J f ^ mmm î0 p rem ier m agistrat de la R épu bli- Lîenneut mordicus au vieil état de Ju sq u ’au 20 avril, 117 artistes en- V. ^ • R . Cliessel. Le coi ps a ne nommerons pas, un riche étranger M. Canovas del Castillo, qui n oubliait ^ ♦ « Ê K m h - ffue am éricain e pose ce p rincipe q u e choses et n ’accepteront qu avec peine voyèrenl à Bûlo 202 œuvres ; le jury éle im m édiatem ent transporté à la (12.000 fr. dc lover) vient, à la On do la
« S iM f l B r-% es Etats-U nis ont le d ro it d in tery e- d’aussi grandes transform ations. Ce admi t 133 œuvres provenant de 87 n,0l'6 ue- saison, trouver le maire et lui di t : « J e [W torpilles à Cuba pour les placer dans „ u ir j* pî*3 au nom de la civilisation q Ue je vous d is là est le résultat de exposants, parmi lesquels 6 sculp- . suis fort satisfait do mon séjour, et je Lu construction et l'installation de ces ( 0
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doif'^c ^im?éRr S m n CtUïea L » c x « f ience t o n n e l l e ; il se leurs avec 7 œuvres. A partir de l'ex a-É T R A N G E R
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M H v I V Z I m essage E t’ en eflet nn nnuTpnmm Peu l que beaucoup ne partagent pas men du ju ry , les œuvres d a r t a d m i - tion la modique somme de 25U.000 fr. ; distingué M. Chacon.y w z JpolPlate lin !. ! . , i ù c L i n I h ? mes idées, je n ’en crois pas moins ses restèren t exposées à Bâle pendant F R A N C E vous la répartirez entre les diverses œu- « Je viens de dire, a dit encore M. Bé-I Bé-I J V & /,. sister les ni as être dans le vrai, et n’elait ma posi- huit jo u rs, après quoi elles furent ex - D u r é e d e s m i n i a lm i p s. __ vres du pays ». Le Conseil municipal se ranger, que nous serions victorieux sur
m r T i V ^ q e j a p s . □ 2 ses a c e s m assacres systém atiques, ijon actuelle de vaincu dans la lutte, p éd ieesà Munich, où l'exposition fut j| s*en est h l l ù de bien neu nue le réuilil : on dressa une liste do bénéli- mer et je vais exposer mes raisons.
7 * ^ à cet écrasem ent de toute une popula- j e travaillerais de toutes m es forces à ouverte le 1 « ju in ,.in islè ?e M éline a u v i e S d ^ i é s çiaires : l'orphelinat le bureau de bien- discipline en-f e S t C l'o ? qui aspire a la lib e lle , sans qu on {a réalisation des associations d 'arti- Ce prem ier essai de participation e à a ^ faisance, les Sœurs, l’ouvro.r; la fanfare, o u ï^ n SSSSbÎI
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O -J ^ 2 9 « 0 puisse prévoir la fin de ces cruelles ,.yns telles rmrt I c m m o i t M de fii- officie le dps ciiiçies -'i une ex- , 1 . Sixiem e legisiatui e, en corps, donna une aubade do remercie- guerre, et la-second 0 est que du moment 2 - 3 “ Q représailles qui durent depuis plu- ? ’ »? < 1 f c, . " . . 0II1Ç eue des a ltiste s suisses a une ex détint le record de la durée des nu- ment au riche étranger, un M. 11. 4 lie le leu commencera, le désordre so ^ F— S ? a o, ■'’ <?§ « sieurs in n é es ? ra id . Mais pour longtem ps je suis lé - position étrangère a donné des résul- nislères de la troisièm e république. Le lendemain, M. H. partait, sans produira à bord des navires américains, 3 M O 5 5 ZZ. Ppiiy miî nsnîrpn» h m iv lirpn» duit a 1 im puissance dans ce domaine- tats m atériels satisfaisants. Les faits Ce record est encore détenu p a r l e laisser d'adresse, el surtout sans laisser parce que scs matelots sont de toutes les( L S "• ! : 2 1 § v P d'autre pari de la in clu sio n du mes- “ • U o.,u,c»E. » su,»uuj, le j r u u .e u l : un d a « p o - ,„ i„ ,slère du 1» lé v r ie r l8 7 1 ,,u , du™ d V » .» ., U iaular. eu es. peur „ »
su-, o 1 ‘ " r I O - sage un favorable augure, parce que B e a u x - A r t s . — L ’activité de la reçu la m é d a ille '(fo r de Iro classe et d®ux an s>. q ual , e II? ? IS’ tieize j o u i s. Autlicntiquo 1 Jo crois (luo ,a flotte stationnant au 1 8 , P l u c c L u u ^ v m a lle , t i e n è v e M. Mac K inley déclare qu ’il attendra com m ission féd érale des b eau x-arts, i»iv, nm.n.in(i niron et en a Prés le-fleuxiem e cab inet Fer- Cap Vert et surtout les torpilleurs, au--- les su ites de la cessation des hostilités pendant le d ernier ex ercice, a élé très « m .ii i ' t ave,c deV? ans.>. “ n m0IS' î reize ^ ’h a b llln g r e d e In t o u r E i f f e l , raient dû continuer leur voyage à Cuba, ^ ; et de l'a rm istice, e l qu ’il est disposé vive el l’expédition des affaires a rem - hI , - ’ i w-n i»« IIw vVa» i * Jüurs' ^ cabinet M éline, en adm et- - Sans modilier d’une (açon complète la car ils n avaient rien à craindre de la à fin nrriifiillir favorablem ent Ips heu- nli huit séances deux à Bàle 122 avril cldsse. Les venlcs d œ uvies d a i t ex- tant que, suivant 1 usage, il donne sa forme architecturale de la tour de trois flotte américaine. Dans cette classe de lM C r é d i t V n CO e | ieu\ résultats si ceu x-ci so produi- et 22 octobre) deux à Berne (7 ian- PÜSées par des Suisses ont attein t le dém ission le le r j ui n, époque proba- cents mètres, des aménagements assez navires nous sommes beaucoup plus forts ■ 9 , r u e d u J u r a , s e r v e t t e ■ senL réSUUalS’ * Pr0dU‘ î i e ^ e f f i Z ) , d e ï * î U u ï V n V ï s " S 'L t ^ o n T a t s i être s ,l i s ble de l'o u v ertu ri de la 'se^ tiè 'm e lé- que les Ltats-Ums. » I 8 , r u e d e In P r a i r i e H Comme on le voit, nous ne som m es février et 4 décembre) et deux à Zu- fails du résaf la t moral et artisliciue S ,sl.a lu ! e ’ aura duré deux ans un par de8 a8Ceüseur8 ù grande vitesse et à A L L E M A G N E ■ Vente des vins ordinaires, fins H0 guère plus avancé après qu ’avant la rich (27 jan v ier et 11 août). obtenu • il ressort du rapport de la |l,0 ,s j cle‘J ^ l 0 0 .1 s - Quant au recoi d de ^rand débit. Les aménagements du
pro-I et liqueurs aux conditions les H publication du m essage. Ce qui en Les objets des d élibérations ont m l„ |n aliiiinn c.ic cn la ... fragilité, il est toujours détenu U1jcr étage do la tour consistant en res- (Correspondance part, de la Tribune.> ■ Plus favorables avec très grandes H reste, c ’est le m otif qui seul ju stifie été : l ’organisation el la direction de Hn i w "V- -Tf-iii un» i ” , ! ' , , par le m inistère R ochebouêt qui n ’eut taurants divers et salles de concerts, qui B erlin 8 avril
m A lit é s de paiement. 10441 ■ l ’intervention éventuelle des E tals- la participation collective des artistes ue 1 expos n o n a îaii une nonne un- qUe vingt jo u rs de durée ; un de moins alourdissaient la premièro plate-forme
Unis par la trop longue durée des suisses à l’expositioD internationale de f S 0!1 l a tenu a Bnien e^ni son rang qUe le m inistère Fallières. Parm i les disparaissent de façon à laisser plus de Prem ier avril, anniversaire de
Dis-opérations sanglantes auxquelles l ’Es Muni c h; la décoration du musée na 8 seclions des auti es pays. présidents du conseil, deux seule- p|e|u air et plus do facil1 te do circula- m arck . — Com m ers grandiose en son Lcarh ,A ro ?^LK DE LANCY. — Lait pagne s’est livrée à Cuba sans réussir tional à Zurich au moyen de peintu- B E R I V E . — T e n t a t i v e d ’a s - m ent l ’au ron t été plus longtem ps que ! j ® n)ètreS sur tout le Dour- honneur.
, stérilisé, maternel. H‘J à pacifier cette lie. res m urales et celle du Palais de jus- s a s s i n a t . — Il y a quelques jo u rs, M. M éline : M. do F reycinet, quatre tour ol |0 public sera admis à circuler Parm i les nom breuses farces aux-T~ — — Il est certain que c ’est là le p oint tice fédéral à Lausanne par des pein- une violente querelle éclatait entre . s président p e n ’anl quati e ans et j u8qu0 8ur |a pinte-formo extrême. La quelles le prem ier avril a l ’habitude J ’n g h p fp e y e le se n tous gonr., aux plus faible de l ’Espagne. Le d roit des gens tures m urales dans la cage de l’esca- des bûcherons occupés dans une forêt cinq jo u rs, et M. Ju le s I*erry, deux l0Ur sera entièrement peinte en gris bleu de donner le jo u r, une des plus aima-hauts prix Noël, posterest.Stand peut-il em pêcher une nation d’inter- lier et des bas-reliefs sur la frise du d’Asuel (Ju ra bernois), el logés pour *?1S pendant trois ans, un m ois et rappelant la nuance des charpentes en bles q u 'ait à enregistrer l ’b islo ire al-fîT m iT T n -n n iT -n n n 1 T>n » t t t t venir dans les affaires in térieu res d’un v estib u le; la révision des divers ré- la nui t dans une baraque située dans vingt-six jo u rs. A joutons que le mi- fer du palais des Beaux Arts et du palais lemande esl sans aucun doute la