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L’Evaluation des Pratiques Professionnelles

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1

L’Evaluation des Pratiques Professionnelles

ou

L’EPP en Pratique !

Mars 2017

A. GENESTIER, d'après le diaporama

de N.HERMAN 1

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2

Définitions

Cela implique :

de mesurer et de comparer à une référence dans un domaine défini

avec un objectif précis

Évaluer ….(v. tr.)

« Cest donner une valeur, un prix, une importance »

Mars 2017

A. GENESTIER, d'après le diaporama

de N.HERMAN 2

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Lévaluation de la qualité des soins

« Cest une démarche qui permet de garantir à chaque patient des actes diagnostiques et

thérapeutiques assurant le meilleur résultat en terme de santé conformément à létat actuel de la science médicale au meilleur coût pour le

meilleur résultat, au moindre risque iatrogène et pour sa plus grande satisfaction en terme de

procédures, de résultats et de contacts humains à lintérieur du système de soins .»

Définition de l’OMS

Définitions

Mars 2017

A. GENESTIER, d'après le diaporama

de N.HERMAN 3

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De bonnes structures qui augmentent la probabilité de…

de bons processus qui augmentent la probabilité de…

de bons résultats

D’après A. Donnabedian 1960s Pr. Public Health Michigan

Évaluer…c ’ est s ’ assurer d ’ avoir

Définitions

Mars 2017

A. GENESTIER, d'après le diaporama

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5

Pourquoi évaluer la qualité des soins ? Pourquoi évaluer la

qualité des soins ?

Mars 2017

A. GENESTIER, d'après le diaporama

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6

Tout va bien…

Mais « dans la vraie vie »…?

Tout ne va pas si bien …

Etude nationale des événements indésirables associés aux soins en 2009:

EIG survenus pendant l ’ hospitalisation : 6,2 ‰ ; plus de 40%

d’entre eux seraient évitables…

Les malades s ’ interrogent sur l ’ efficacité et l ’ innocuité des actes et des traitements dont ils bénéficient

Les décideurs ne peuvent justifier les dépenses en termes de « coût- efficacité »

Pourquoi évaluer la Qualité des Soins ?

Mars 2017

A. GENESTIER, d'après le diaporama

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Les patients sont bien soignés mais : le dossier est perdu

l ’ examen complémentaire n ’ est pas reçu

le patient n ’ était pas à jeun l ’ ordonnance est incomplète

le résultat n ’ est pas celui attendu le patient n ’ est pas satisfait

« le genou » c ’ est vous ?…

Pourquoi évaluer la Qualité des Soins ?

Mars 2017

A. GENESTIER, d'après le diaporama

de N.HERMAN 7

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8

Pourquoi évaluer la Qualité des Soins ?

« Les événements indésirables graves associés aux soins (EIG) sont définis comme des

événements défavorables pour le patient, ayant un caractère certain de gravité (à l’origine d’un

séjour hospitalier ou de sa prolongation, d’une incapacité ou d’un risque vital) et associés à des soins réalisés lors d’investigations, de traitements ou d’actions de prévention » (HAS)

Les événements indésirables associés aux soins

Mars 2017

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de N.HERMAN 8

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9

Pourquoi évaluer la Qualité des Soins ?

Des bénéfices sont attendus

LEPP (finalités)

« a pour but l ’ amélioration de la qualité des soins et du service rendu aux patients par les professionnels de santé… »

Elle vise à promouvoir …

La sécurité L ’ efficacité

Lefficience

… des soins et de la prévention

Mars 2017

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Être certain est ridicule

Être incertain est inconfortable

Goethe

Pourquoi évaluer la Qualité des Soins ?

Mars 2017

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Définition de l’évaluation des pratiques professionnelles

Selon la HAS : l’ EPP peut être définie comme l’analyse de la pratique

professionnelle en référence à des

recommandations et selon une méthode validée comportant la mise en œuvre et le suivi d’actions d’amélioration des pratiques.

Mars 2017

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de N.HERMAN 11

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Réglementation

Une obligation de formation médicale continue, depuis 1996

Une obligation d’évaluation des pratiques depuis 2004

Loi du 13 août 2004 (art.14)

Décret du 14 avril 2005 : concerne les médecins,

EPP à renouveler tous les 5 ans, « participation à un degré suffisant »

Mars 2017

A. GENESTIER, d'après le diaporama

de N.HERMAN 12

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La formation continue du personnel

infirmier exerçant en établissements de santé est régi par le décret du 21 août 2008 relatif à la formation

professionnelle tout au long de la vie (FPTLV) détaillant l’ensemble des actions permettant d’exercer efficacement ses

fonctions. Parallèlement à ce dispositif de formation, les infirmiers ont mis en œuvre de nombreuses démarches d’évaluation

des pratiques professionnelles (EPP) dans le cadre de la certification d’établissement.

A. GENESTIER, d'après le diaporama

de N.HERMAN 13

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L’évaluation des pratiques

professionnelles (EPP) et la formation continue (FC) sont désormais intégrées dans un dispositif unique : le

Développement Professionnel Continu (DPC) reposant sur des principes

simples. Les textes d’application du DPC parus en janvier 2012 placent ainsi tous les professionnels de santé dans la

même obligation annuelle : Evaluer ses pratiques et faire de la formation continue.

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L’EPP, un outil Qualité

La Roue de la Qualité…dans la Pratique

A. GENESTIER, d'après le diaporama

de N.HERMAN 15

Les méthodes utilisées en EPP s’appuient généralement sur le modèle décrit par Deming dans les années 60: La roue de Deming

Mars 2017

A. GENESTIER, d'après le diaporama de N.HERMAN

H2

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Diapositive 15

H2 HUAL2203730; 26/02/2014

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La roue de Deming:

PLAN-DO-CHECK-ACT

1- PLAN: Préparer, planifier (ce que l’on va réaliser). Se déroule en 3 étapes:

Identifier le problème (grâce à l’hexamètre de Quintilien= QQOQCCP)

Conduire la recherche des causes racines (grâce au diagramme d’Hishikawa par ex) Rechercher des solutions avec cahier des charges et planning de réalisation

A. GENESTIER, d'après le diaporama de N.HERMAN Mars 2017

A. GENESTIER, d'après le diaporama de N.HERMAN

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La roue de Deming:

PLAN-DO-CHECK-ACT

2- DO: Développer, réaliser, mettre en œuvre.

Le plus souvent, on commence par une phase de test.

C’est l’étape de la construction, du

développement, de la réalisation de l’œuvre.

A. GENESTIER, d'après le diaporama de N.HERMAN Mars 2017

A. GENESTIER, d'après le diaporama de N.HERMAN

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La roue de Deming:

PLAN-DO-CHECK-ACT

3- CHECK: Contrôler, vérifier.

Contrôler l’efficacité de la solution mise en place

Vérifier si la solution mise en place résout bien le problème rencontré.

A cette étape, utilisation d’indicateurs de performance.

A. GENESTIER, d'après le diaporama de N.HERMAN Mars 2017

A. GENESTIER, d'après le diaporama de N.HERMAN

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La roue de Deming:

PLAN-DO-CHECK-ACT

4- ACT: Agir, ajuster, réagir…

Afin de corriger et d’améliorer la solution mise en place.

L’étape « ACT » amène donc un nouveau projet à réaliser et, de ce fait, une nouvelle planification à établir.

A. GENESTIER, d'après le diaporama de N.HERMAN Mars 2017

A. GENESTIER, d'après le diaporama de N.HERMAN

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L’EPP, pratique exigible prioritaire (PEP)

Consolidée dans la V2010, l’EPP représente une PEP:

Ces pratiques exigibles prioritaires sont des critères pour lesquels des attentes

particulièrement signalées sont exprimées. La sélection de ces pratiques est fondée sur l’identification de sujets jugés fondamentaux pour l’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins, par la HAS, les parties prenantes et les experts nationaux et

internationaux ainsi que sur la capacité de la certification à générer des changements sur ces sujets. La non-

atteinte d’un niveau de conformité important sur ces exigences conduira systématiquement à une décision de certification péjorative voire à une non-

certification.

A. GENESTIER, d'après le diaporama de N.HERMAN Mars 2017

A. GENESTIER, d'après le diaporama de N.HERMAN

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Enjeu de la V2014: Consolider les acquis sur les PEP de la V2010

Critère 1.f: Politique et organisation de l’Évaluation des Pratiques Professionnelles (EPP).

Critère 8.b Fonction “gestion des risques”.

Critère 8.f Gestion des événements indésirables.

Critère 8.g Maîtrise du risque infectieux.

Critère 9.a Système de gestion des plaintes et réclamations.

Critère 12.a Prise en charge de la douleur.

Critère 13.a Prise en charge et droits des patients en fin de vie.

Critère 14.a Gestion du dossier du patient.

Critère 14.b Accès du patient à son dossier.

Critère 15.a Identification du patient à toutes les étapes de sa prise en charge.

Critère 20.a Démarche qualité de la prise en charge médicamenteuse du patient.

Critère 25.a Prise en charge des urgences et des soins non programmés.

Critère 26.a Organisation du bloc opératoire.

PEP

Mars 2017

A. GENESTIER, d'après le diaporama de N.HERMAN

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Critère 1f – Politique et Organisation de l’EPP

Structuration institutionnelle

Critère 28a – Mise en œuvre des démarches d’EPP

Déploiement de l’EPP dans tous les secteurs cliniques et médico-techniques Existence de RMM en chirurgie, anesthésie-réa, cancérologie

Mise en œuvre de RCP (Réunion de concertation pluridisciplinaire) en cancérologie

Critère 28b – Pertinence des soins

Critère 28C – Démarches EPP, liées aux indicateurs de pratique clinique

L’EPP dans le manuel de certification HAS

PEP

Mars 2017

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Comment entrer en EPP?

Les principes essentiels

L ’ auto-évaluation est au cœur de l ’ EPP L ’ acteur principal est le professionnel L ’ EPP doit être utile

Au patient

Au professionnel

L ’ EPP doit, au mieux, être intégrée dans le contexte

« journalier »

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A. GENESTIER, d'après le diaporama

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Un professionnel peut s'engager seul dans un programme d'EPP (= validation individuelle)

Mais l ’ évaluation aura beaucoup plus de sens si elle est réalisée en équipe, multidisciplinaire et pluriprofessionnelle

soit en s ’ organisant dans le cadre de son exercice soit avec l'aide d'Organismes Agréés

Au CHU de Dijon, la validation finale de l ’ EPP est faite par la sous-commission DPC (EPP-FMC) de la CME, en présence d’un médecin expert extérieur.

Comment entrer en EPP ?

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En sachant reconnaître et formaliser l ’ EPP dans le cadre d ’ un exercice clinique « habituel »

« En ferais-je sans le savoir ? »

En utilisant (ou en y ajoutant), si nécessaire, différentes « méthodes » et outils

Comment entrer en EPP ?

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Le choix du thème Les objectifs

Le choix d’une méthode

La prise en compte des références professionnelles

Conduite du projet Plan d’action

Comment construire une EPP ?

EPP : les invariants d’un programme

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Comment construire une EPP ?

S’appuyer sur des recommandations professionnelles:

www.has-sante.fr +++

www.chu-rouen.fr

www.blmweb.org/consensus_lien.htlm +++

http://nosobase.chu-lyon.fr

Site internet des sociétés savantes (SRLF/SFUM/SFAR…) et autres.

Réglementation: www.legifrance.gouv.fr Liste plus exhaustive sur: http://www.has-

sante.fr/portail/jcms/c_484119/les-references- professionnelles-ou-les-chercher

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A. GENESTIER, d'après le diaporama de N.HERMAN

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Objectifs Mode Approches Méthodes utilisées

Réaliser le bilan d’une pratique au regard de l’état de l’art

Ponctuel ± répété

Approche par comparaison à un

référentiel

Revue de pertinence Audit clinique

Audit clinique ciblé Enquête de pratique Améliorer une prise en

charge

Maîtriser les risques d’un secteur ou d’une activité

Ponctuel

Approche par

processus

Analyse de processus Chemin clinique AMDEC

Traiter un

dysfonctionnement Analyser et traiter des évènements indésirables

Permanent (ou

répété)

Approche par problème

Méthode de résolution de problème

Analyse des processus

Revue de mortalité-morbidité Méthode d’analyse des causes

Surveiller un phénomène important et agir en

fonction du résultat

Permanent + ponctuel

Approche par indicateur

Mise en place et analyse des indicateurs

Maîtrise statistique des processus

la méthode retenue

Comment construire une EPP ?

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REVUE DE PERTINENCE : DEFINITION

Méthode évaluant le caractère approprié ou non d’un soin, d’une prescription, d’un examen complémentaire, d’une hospitalisation en rapport aux besoins du patient: existe-t-il un motif – validé par un référentiel – justifiant l’indication?

Ou, plus simplement : lors de la prise de décision médicale, pour un patient donné, elle fait s’interroger sur l’indication de celle-ci.

Comment puis-je argumenter la décision médicale prise ? Mon indication est-elle bien posée ?

Ai-je proposé au patient ce qui est le mieux pour lui en tenant compte des données de la science, de sa situation, de ses besoins et du coût ?

Approche par comparaison

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Elle repose sur la comparaison de la pratique à un référentiel (ensemble de critères objectifs, prédéterminés, standardisés et validés, présentés sous forme d’une grille).

Ce référentiel est construit à partir de données de la science, d’avis d’experts… En l’absence de références, l’analyse de la pertinence n’est pas possible.

Elle permet d’évaluer la qualité des soins en matière de validité, sécurité et coût.

REVUE DE PERTINENCE

Approche par comparaison

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Les enjeux:

Déontologique

« limiter les actes et les prescriptions à ce qui est nécessaire à la qualité, la sécurité et l’efficacité des soins »,

en tenant « compte des avantages par rapport aux inconvénients et aux conséquences des actes » et « diminuer les variations de pratiques non justifiées »

Pour une juste utilisation (sans sous ni sur utilisation)

Médico-économique : seul rempart à la régulation

« purement comptable »

Médico-légal

Réglementaire : au travers de l’EPP notamment dans le cadre de la certification

REVUE DE PERTINENCE

Approche par comparaison

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L’audit clinique (AC) est une méthode d’évaluation des pratiques professionnelles, de première intention, «qui permet à l’aide de critères déterminés de comparer des pratiques de soins à des références admises, en vue de mesurer la qualité de ces pratiques et des résultats de soins, avec l’objectif de les améliorer» (ANDEM=

Agence Nationale pour le Développement de l'Evaluation Médicale ).

L’audit clinique ciblé (ACC) est une méthode qui découle de l’AC mais, qui comporte un nombre limité de critères.

L’AC et l’ACC ne présentent de l’intérêt que s’ils sont suivis d’un plan d’amélioration, décidé et mis en œuvre par les professionnels de santé concernés puis, évalué.

Approche par comparaison

AUDIT CLINIQUE Ciblé

Comparaison de la pratique à un référentiel

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AUDIT CLINIQUE ciblé

5 - Décider des actions d’amélioration

3 - Observer la pratique 1 - Sélectionner un

thème

2 - Choisir un ou des référentiels d’évaluation

4 - Analyser les résultats 5 - Décider des

actions d’amélioration

3 - Observer la pratique 1 - Sélectionner un

thème

2 - Choisir un ou des référentiels d’évaluation

4 - Analyser les résultats

Caractéristiques de la méthode

Approche par comparaison

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La structure qualité :

pilote ou soutient la démarche d’audit clinique et coordonne les actions d’amélioration au niveau institutionnel.

Le demandeur ou commanditaire :

prend l’initiative de réaliser un audit clinique, nomme le chef de projet et valide avec lui la composition de l’équipe projet, détermine les délais et négocie les moyens à allouer, s’assure de l’avancement du projet …

Le chef de projet :

possède une expérience dans la gestion de projet, maîtrise la méthode de l’audit clinique, sait conduire le changement et communiquer,

coordonne l’ensemble du travail et guide l’équipe projet, rédige le rapport.

Les autres partenaires

les professionnels des unités de soins participent à l’audit clinique et conduisent le plan d’amélioration ;

les autres partenaires susceptibles d’ajouter une contribution directe à la réalisation du projet sont à mobiliser.

Impliquer les acteurs

AUDIT CLINIQUE ciblé

Approche par comparaison

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Le plan de communication :

est porté tout au long du projet par le chef de projet, il doit être simple, compréhensible et faire l’objet d’un document écrit.

À chaque étape du projet, il faut :

identifier les destinataires de l’information, définir les objectifs de communication, déterminer les messages prioritaires, choisir et positionner les acteurs,

sélectionner les modes de communication, prévoir l’organisation.

La communication (1/2)

AUDIT CLINIQUE ciblé

Approche par comparaison

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L’information et la communication auprès des différents acteurs :

Elles s’effectuent

au niveau institutionnel au sein de l’équipe projet

au niveau des services concernés La communication (2/2)

AUDIT CLINIQUE ciblé

Approche par comparaison

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1. Élaborer le référentiel d’évaluation.

2. Construire la grille de recueil des données et rédiger le guide d’utilisation.

3. Définir le protocole d’audit (champ d’application, type d’étude, critères d’inclusion-d’exclusion, taille de l’échantillon, etc.)

4. Établir les modalités de recueil et de traitement des données.

Préparer les supports

AUDIT CLINIQUE ciblé

Approche par comparaison

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Identifier les points forts.

Analyser les écarts, leurs causes et leurs conséquences.

Choisir les axes d’amélioration.

Rédiger le rapport d’audit.

Définir un plan de communication adapté à la taille de l’établissement de santé et en fonction de l’ampleur de l’audit.

Analyser les résultats

AUDIT CLINIQUE ciblé

Approche par comparaison

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Intérêts:

Permet d’analyser une pratique professionnelle et de la comparer avec des recommandations de bonne pratique.

Simple à appréhender, bien rodée Audits « clés en mains » (HAS+++)

Limites:

Chronophage, d’où le choix de s’orienter vers des audits cliniques ciblés sur un point précis d’une PEC avec un nombre restreint de critères

Méthode recommandée:

Pour vérifier qu’une pratique est conforme aux RPC (recommandations pour la pratique clinique)

Pour sécuriser une pratique

AUDIT CLINIQUE (Résumé)

Approche par comparaison

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A. GENESTIER, d'après le diaporama de N.HERMAN

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« Description, pour une

pathologie donnée, de tous les éléments du processus de prise en charge, en suivant le parcours du patient au sein de l’institution»

HAS

=>PEC optimale et efficiente à partir des Règles de Bonnes pratiques.

CHEMIN CLINIQUE: DEFINITION

Approche par processus

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LE CHEMIN CLINIQUE

Objectif

Optimiser ou améliorer une PEC spécifique (Approche

PROCESSUS) (grossesse, schizophrénie, diabète gestationnel, cancer du colon, parcours du greffon, ...)

Principe

Elaboration pluridisciplinaire de la PEC idéale d'un problème de santé

Intérêt

Approche globale et transversale par tous les intervenants Evite les oublis ou examens redondants

Permet d’analyser les pratiques et les interfaces organisationnelles

Permet d’identifier et améliorer les étapes critiques de la prise en charge et les écarts de PEC

Approche par processus

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Il vise à

Planifier

Rationaliser en améliorant

Réduire la variabilité non justifiée Sécuriser

La prise en charge

pluridisciplinaire,

pour des patients ayant un problème de santé comparable,

sur la base de règles de bonne pratiques Chemin clinique

Approche par processus

Mars 2017

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Il se traduit par:

Une liste d’actes à réaliser :check-list (ex:

checklist_secu_bloc_v2011_01.pdf ) ou planification horaire et/ou journalière

Un document spécifique intégré au dossier (papier ou informatisé); un ou des arbres décisionnels

Un système de traçabilité permettant à chaque intervenant de connaître la progression de la prise en charge

Une meilleure intégration des recommandations professionnelles à la pratique journalière

Chemin clinique

Approche par processus

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Il nécessite

De délimiter un processus de prise en charge d’une affection

De définir de manière précise les différentes étapes de cette PEC ainsi que de leur ordre logique de succession et les intervenants

D’identifier des recommandations pour la pratique s’appliquant au domaine

De définir les résultats attendus à la fin de chaque séquence de soins (la consultation, la journée ou une période)

Chemin clinique: Méthode

Approche par processus

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Développer le système d’analyse des écarts

Au cours de la prise en charge, peut survenir un

« écart » par rapport à l’état attendu

Positif : amélioration plus rapide Négatif : altération non prévue

Nécessitant une modification de la « trajectoire » définitive ou temporaire

Ces écarts doivent être par ailleurs enregistrés et documentés afin d’effectuer une analyse ultérieure

Chemin clinique

Approche par processus

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L’évaluation du chemin clinique

• Porte sur

Le pourcentage de patients réellement pris en charge parmi les « candidats » potentiels

Les écarts de prise en charge avec leurs causes et leurs conséquences

Les patients sortis définitivement du chemin clinique

L’actualisation éventuelle des protocoles et des documents utilisés si de nouvelles RBP (règles de bonnes pratiques) apparaissent

Chemin clinique

Approche par processus

Mars 2017

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47

L’évaluation du chemin clinique (2)

Elle doit être faite rapidement lors de la création du chemin

Puis avec une périodicité préétablie

Elle permet le réajustement rapide si nécessaire

Chemin clinique

Approche par processus

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48

Intérêts de la méthode:

Planifier le parcours du patient ou le déroulement d’une pratique (gestion prévisionnelle des soins)

Améliorer la coordination et la communication entre les différents professionnels intervenant dans la PEC

Déterminer les résultats attendus des différentes composantes de la PEC

Réduire la variabilité des durées de séjour et des modes de PEC Diminuer les risques d’erreurs, les répétitions inutiles et les oublis

Alléger la charge de travail des professionnels en l’utilisant comme fiche de recueil des données

Optimiser les ressources

Limites de la méthode:

Sa mise en œuvre nécessite le plus souvent une modification du dossier du patient

L’analyse des RBP (règles de bonnes pratiques) pour chaque étape de la PEC nécessite une motivation et une implication médicale majeure (fort leadership et management de haut niveau)

CHEMIN CLINIQUE: CONCLUSION

Approche par processus

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A. GENESTIER, d'après le diaporama de N.HERMAN

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La méthode du patient-traceur permet d’analyser de manière rétrospective le parcours d’un patient de l’amont de son

hospitalisation jusqu’à l’aval, en évaluant les processus de soins, les organisations et les systèmes qui concourent à sa prise en charge.

Reconnue comme méthode de développement professionnel

continu (DPC) (HAS, 2012), complémentaire des autres méthodes telles que la RMM, l’audit clinique, le chemin clinique qui font

l’objet de guides HAS spécifiques.

Elle permet de révéler d’éventuels dysfonctionnements qui contribuent à élaborer un diagnostic fondé sur des approches croisées (audit de processus, autres méthodes EPP), mais elle n’est pas une méthode statistique

CAS PARTICULIER DU PATIENT TRACEUR

Approche par processus

A. GENESTIER, d'après le diaporama

de N.HERMAN 49

A. GENESTIER, d'après le diaporama de N.HERMAN

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50

Méthode de résolution de problèmes

Cette méthode permet de traiter des dysfonctionnements

Un problème est défini comme la différence entre la situation existante et la situation attendue.

La MRP se déroule en 3 étapes : identifier le problème

rechercher les causes rechercher les solutions

Approche par problème

Mars 2017

A. GENESTIER, d'après le diaporama

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1- Pour identifier le problème il faut : analyser la situation

lister les problèmes

choisir un problème (ne travailler que sur un problème à la fois).

Caractéristiques de la méthode: Les 3 étapes de la méthode:

Méthode de résolution de problèmes:

Approche par problème

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2 - Pour rechercher les causes il faut : identifier les causes possibles

déterminer le poids de chaque cause retenir les causes essentielles

Caractéristiques de la méthode: Les 3 étapes de la méthode:

Méthode de résolution de problèmes:

Approche par problème

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3 - Pour rechercher les solutions il faut : Lister les solutions possibles

Choisir « la » solution

Mettre en œuvre la solution Mesurer les résultats

Caractéristiques de la méthode: Les 3 étapes de la méthode:

Méthode de résolution de problèmes:

Approche par problème

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Approche par problème

Revue de Morbi-Mortalité:

Analyse collective, rétrospective et systémique de cas marqués par la survenue d’un décès, d’une complication ou d’un

événement qui aurait pu causer un dommage au patient, qui a pour objectif la mise en œuvre et le suivi d’actions pour améliorer la prise en charge des patients et la sécurité des soins

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Définition : points essentiels

ANALYSE COLLECTIVE

EVENEMENTS « INDESIRABLES » IDENTIFIER LES CAUSES

PROPOSER DES RECOMMANDATIONS EVITER LEUR RECIDIVE

Approche par problème

Revue de Morbi-Mortalité:

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Sélection des Cas: Quels cas, et combien

seront sélectionnés pour une séance de RMM?

1. Les DECES

• Analyse globale

• Analyse sélective pour les cas intéressants ou évitables

2. Les COMPLICATIONS

• Analyse statistique globale

• Analyse sélective des cas pertinents

3. Les Evénements Porteurs de Risque ?

Pouvant causer un dommage au patient

Approche par problème

Revue de Morbi-Mortalité:

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Sélection des Cas : Quand?

1. Au moment de la clôture du dossier (résumé de sortie)

2. Au moment des « STAFF »

3. Utilisation d’un registre, d’un

observatoire ou d’une base de données informatique

4. Si problème Médico-légal

Approche par problème

Revue de Morbi-Mortalité

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Participants: Qui?

1. Tous les Médecins (Du chef de service à l’étudiant)

2. Paramédicaux (Du cadre de santé à l’aide soignant sur volontariat)

3. Kinés, Diététiciennes, Psychologues

4. En tout cas, jamais de PATIENT ou leur FAMILLE

Approche par problème

Revue de Morbi-Mortalité

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Comment mettre en œuvre une EPP?

Choisir les thèmes et définir leurs objectifs

Faire valider par les instances de l’Etablissement Choisir la méthode d’évaluation en fonction des objectifs (Audit clinique, RMM, AMDEC…)

Identifier les acteurs du projet et leurs rôles Planifier et réaliser les EPP

Restituer et valider les résultats

Définir les plans d’action d’amélioration

Faire le suivi des actions et mesurer les résultats.

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L’organisation sur le terrain !!!

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Au départ,

Perception des

médecins

Une contrainte administrative

Un effet de mode Une perte de temps

L’EPP, vécu au CHU

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L’EPP en pratique….

…L’expérience du CHU Nécessité de mettre à disposition des

professionnels un dispositif aidant.

Une sous-commission de la CME

Un accompagnement méthodologique Un dispositif de validation

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Une sous-commission de la CME Créée en septembre 2006

Dont les missions sont :

1.Inventaire

Elle recense les actions réalisées ou en cours dans le cadre et hors champ de la certification, pour l’Accréditation des médecins

2.Soutien méthodologique par la cellule Qualité-Risques

Q:\Direction Qualité, Gestion des Risques et Coordination Projets\EPP - Evaluation des pratiques professionnelles\Fiche Déclaration EPP.doc

3.Validation des EPP

4.Orientation stratégique

Elle propose une Politique d’évaluation en lien avec le projet médical, avec la gestion des risques, avec les départements de FMC

5.Information des équipes médicales

L’EPP: vécu au CHU

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Les résultats !!!

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142 EPP recensées depuis 2007

139 EPP effectivement déclarées à la sous-commission,

avec une fiche projet

et le tableau de bord complété

inscrites dans le document adressé à la HAS, dans le cadre de notre

certification

Tableau de bord EPP

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Toutes les méthodes HAS représentées

Audits : 37 EPP (27 %) RCP : 19

Suivi d’indicateurs : 16 EPP

RMM : 14 EPP ne répondant pas forcément exigences HAS Registres /bases de données : 11 EPP

Des EPP dans chaque pôle

des chefs de projet médicaux, mais équipe pluridisciplinaire Un pôle n’a pas déclaré d’EPP mais bénéficie d’une EPP

transversale

Beaucoup de projets valant EPP non déclarés

Déclaration émanant des services, deux pôles non répondants

Analyse du tableau de bord EPP

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Au final, au CHU

Perception des personnels

Pour les équipes

Pour l’institution Pour les patients

Mobilisation

Motivation Coopération

Décloisonnement

Bien-être Adhésion

Satisfaction

Une remise en cause non culpabilisante

Implication Une amélioration de la

prise en charge Diffusion

des actions

Pérennisation Implication

des filières Dynamisme des pôles

Avec les usagers

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Exemple d’AMDEC

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LA COMPETENCE

INFIRMIERE DANS LE POLE DES PATHOLOGIES

MEDICALES

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Contexte

CHU de DIJON: Plans de Retour à l’Equilibre Pôle PM: 12 services+ pool de suppléance 258 IDE dont 53% de novices+débutants

(ancienneté<3 ans dans leur service d’affectation) 57% des novices et débutants ont moins de 30 ans PROBLEMATIQUE: Comment gérer le turn-over IDE?

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Le turn-over

Causes:

Inévitables Evitables

Souhaitables

Conséquences:

Perte de compétences

Perte de temps et d’argent Sentiment d’insécurité

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Les Ressources Humaines

Identité professionnelle Sens du travail

Reconnaissance:

De la personne Des résultats De l’effort

Des compétences Compétence

Attachement à l’entreprise Génération « Y »

=> OBJECTIF: Réduire/limiter le turn-over IDE

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AMDEC

Champ d’analyse: De l’entretien de recrutement avec le CSS, à l’atteinte d’un niveau d’expertise de l’IDE

Les étapes:

Entretien de recrutement avec le CSS du pôle PM Entretien d’accueil avec le CS de l’unité

Le novice: Comportement limité et rigide; actes éventuellement inutiles ou inadaptés

Le débutant: Capable de reproduire dans situations identiques;

incapacité à prioriser

Le compétent: Maîtrise+capacité à faire face à l’imprévu

Le performant: Apprentissage par l’expérience; a développé la compétence « signal d’alarme précoce »

L’expert: Niveau élevé d’adaptation et de compétence

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LE GROUPE DE TRAVAIL

11 personnes du pôle PM:

1 CSS 6 CS 4 IDE

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Les défaillances

A priori

Incompréhension Malhonnêteté Manipulation Poste inadapté

Promesses abusives

Entretien bâclé/Absence d’entretien

Agent « désorienté »/Agent impressionné Locaux désuets, matériel ancien

Erreurs/Manque de vigilance Exclusion/Mise à l’épreuve

Manque de temps/Tuilage écourté Incapacité à faire face

Lassitude/Démotivation

Résistance au changement/Difficultés à se familiariser à de nouvelles techniques

Monopolisation de compétences/ Toute puissance Clans,…

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Les causes

Méconnaissance/Réputation/Représentations Agent prêt à tout pour intégrer le CHU

Agent imposé par les instances

Environnement inapproprié/Indisponibilité du CS Pas de support écrit/Entretien non structuré

Suractivité/Gestion de crise

Absence de motivation/Mauvaise volonté

Manque de connaissances/Absence de curiosité/Encadrement défectueux/Limites intellectuelles/Manque d’expérience

Génération Y/Manque de confiance de la part des autres Manque d’effectif/Tuilage écourté/Charge de travail accrue Turn over/Routine

Habitudes ancrées/Se repose sur ses acquis

Besoin de se sentir « indispensable »/ notion de « pouvoir » Expertise reconnue par tous/ « Pilier » du service

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Les effets

Relation erronée

Renoncement au poste/demande de mutation Entretien dirigé

Difficultés/Lacunes/Inefficacité Iniquité/Management difficile

Tensions/Stress/Risques psychosociaux/Intolérance Manque de considération

Mise en danger du patient/Décès du patient

Insécurité de l’agent/Déstabilisation/Remise en question Opposition au manager/Mutinerie

Compétition/Rétention d’informations/Absence de solidarité

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DEGRE GRAVITE FREQUENCE

6 Très grave Très fréquent

(concerne tous les IDE)

5 Importante Fréquent

(concerne 1IDE/2)

4 Modérée Peu fréquent

(concerne 1IDE/4)

3 Mineure Occasionnelle

(concerne 1IDE/8)

2 Sans conséquence Rare

(concerne 1IDE/15)

1 Nulle Pratiquement inexistant

MATRICE DE CRITICITE Gravité

6 6 12 18 24 30 36

5 5 10 15 20 25 30

4 4 8 12 16 20 24

3 3 6 9 12 15 18

2 2 4 6 8 10 12

1 1 2 3 4 5 6

1 2 3 4 5 6

Fréquence

CLASSE DE CRITICITE NIVEAU DE RISQUE ACTIONS C1= de 1 à 9 Acceptable en l’état Aucune action

n’est nécessaire C2= de 10 à 17 Tolérable sous contrôle

On doit organiser un suivi en matière de gestion du

risque

C3= de 18 à 36 Inacceptable

On doit refuser cette situation et prendre des mesures de réduction du

risque

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Extrait de la synthèse de grille de criticité

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Pistes d’action

Un espace dédié pour entretien de recrutement Profils de poste

Trame d’entretien du CSS

« Check list » du cadre de santé Journée d’immersion

Tutorat

Cours IDE

Fiches techniques, modes opératoires Cours médicaux

Ateliers « Mise en pratique » Communication d’informations

Actions visant à renforcer le sentiment d’appartenance

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L ’ EPP favorise la mise en œuvre des recommandations professionnelles.

Elle est formative (importance de la formation continue) et non pénalisante.

L ’ EPP doit, le plus souvent possible, être intégrée à l ’ exercice clinique.

La finalité n'est pas l'évaluation des pratiques, qui n'est qu'un moyen, mais bien l’amélioration des

pratiques…et donc de la qualité des soins

Conclusion

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