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Neuvième Année. — N

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(1)

Neuvième Année. — N

0

22.

P r i x d u n u m é r o 1 0 c e n t i m e s

Jeudi 14 Mars 1895.

B u r e a u x : R u e d e l a S e r r e , 2 7 .

L'u ;in : Six mois:

Suisse . . . . Fr. 6»— Fr. 3»—

Union poslalc » 12»— » 6»—

>n s'abonne a tous los bureaux île poste Paraissant le Jeudi et le Dimanche à la Ctanx-de-Fonds.

ANN0N6ES

Provenant de la Suisse 20 cl. la ligne

» de l'étranger 23. » » Minimum d'une annonce î>0 cent.

Les annonces se paient d'avance.

O r g n n c «le l a Société I n t e r c a u t o n a l e «le.«* I n d u s t r i e * «lu J u r a , «le» C h a m b r e * «le c o m m e r c e , «le» B u r e a u x «le c o n t r ô l e e t «les* S y n d i c a t * · prolewwionnelf*.

L'assurance contre les accidents en Allemagne

Résultats de l'année 1893 Il csl plus q u e jamais nécessaire de suivre avec soin la grande expérience (|iii se poursuil en Allemagne à l'égard (les assurances ouvrières.

On sail que les assurances allemandes coinprennenl deux catégories de corp'o- ι,ιΐίοιίΛ. les corporations induoirlelles c\

les corporations agricoles et forestières;

il faut y ajouter les administrations p u - bliques. Kn 1893, le nombre total d e s assures s'est élevé à IS, 118,(H)O. Ce cliill'rc total se décompose comme suit : Corporations industrielles . . . . 5,109,000 Corporations agricoles et foncières 1'2.289.0OO Ouvriers cl Employés des Admi-

nistrations publiques 600,000 Tc(al . . . 18.118.000

Li' n o m b r e d e s assurés d e s corpora- tions industrielles qui était de 3,473,43?) au début, en 1880, a suivi la progression assez rapide que voici :

1887 3,861,500 1888 4,3-20,063 188!) 1,742,548 1800 'h 920,072

1891 5.093.412 1892 5.078.132 L'augmentation, pour 1803, n'est que de 91,000 en chiffres r o n d s . Depuis 1890 d'ailleurs la progression a baissé chaque année. 11 est donc probable q u e tous les ouvriers de l'industrie sont actuellement assurés.

P o u r les corporations agricoles, la progression a été plus rapide : l'appli- cation de la loi à cette catégorie d e per- sonnes n'a reçu son plein effet qu'à partir d e 1887 : elle a d o n n é les résultats suivants :

1S88 . 1889 . 18VK) .

. 0,577,0OO . 8.089.OtK) . 8,089.000

1891 12,289.000 , 1892 12,289.000 En 1893 les membres des corporations agricoles et forestières sont au même nombre qu'en 1892.

Enfin les administrations comptaient, en 1892, 040,733 a s s u r é s : elles accusent p o u r 1893 une légère augmentation. Au début en 1880, les administrations assu- rées étaient au n o m b r e de 47, représen- tant 251.87« i n d i v i d u s ^ , e u 1889 les administrations étaient au n o m b r e de 28.'i avec 513,320 personnes assurées.

Depuis, comme on le voit, les assurés ont augmenté dans celle catégorie d'une centaine de mille en chiffres r o n d s .

Dans les corporations industrielles, les accidents indemnisés qui avaient été en 1891 et 1892 de 28,500, en chill'res r o n d s , pour chacune de ces années, arrivent en 1893 au chiffre de 31.000 au moins. O r si l'on jette u n coup d'oeil s u r le tableau tpie nous d o n n o n s plus haut d u n o m b r e des assurés dans les corporations indus- trielles, il est facile de voir q u e la pro- gression des accidents pour 1893 est re- lativement plus grande que la progression du n o m b r e des assurés ; la première celle des accidents est de 10° o, la seconde, celle des assurés, n'est environ q u e de 2°/o.

Si l't)ii considère maintenant les diffé- rentes natures d'accidents eu égard, toujours, aux corporations industrielles, il est facile de voir que les cas de mort, depuis 188!) où ils étaient de 3,382, n'ont pas augmenté jusqu'en 1892. année pour laquelle ils se chiffraient p a r 3,282. Ils sont, en 1893, de 3,589, chiffre p r e s q u e égal ;i celui d e 1891. Il en est d e même des cas d'incapacité permanente et totale : de 1,548 en 1880, elle a passé par les chiffres de 2,827 (maximum) en 1887, pour retomber, à partir d e 1888, à u n chiffre normal oscillant autour de 1,500.

En 1892, ce chiffre est de 1.507: en 1893 il n'est q u e de 1,377.

Les ouvrier se garent donc des acci- dents mortels ou de ceux qui pourraient entraîner la mort. Leur prévoyance de ce côté est sensiblement restée la même qu'autrefois.

Mais il en est autrement des cas d'in- capacité permanente et partielle. La fré- quence d e s accidents de celle nature a été en augmentant dans d'énormes pro- portions. Le nombre de ces accidents a passé par les chill'res s u i v a n t s :

1880 : -'. . . . 3,780

1887 8.120 1888 10,270 1889 12,788 1890 10.109 1891 17,421 1892 18.049 1893- . . . . 19.7'K)

Soil depuis 1890 une augme.ntalion annuelle de 1,000 accidents indemnisés, alors q u e , depuis 1890, le cliill'rc d e s assurés n ' a a u g m e n t é , comme nous l'avons déjà dil, (pic dans d e s propor- tions moindres.

Pour les incapacités temporaires, elles oui passé de 1,973, en 1880, à 3,829 en

1889. pour être de 5,781 en 1892 cl d e 0,405 en 1893.

Toujours, pour les seules corporations industrielles, les dépenses totales ont été de 50,492,000 francs, soit 10,93 par assuré cl 13,42 p a r 1,000 francs de salaires. Ces chiffres sont en augmentation s u r les chill'res des années précédentes.

La question franco-suisse ' et l'Union pour la reprise des négociations

commerciales

Le Comité de l'Union vient de publier une brochure d'une cinquantaine de pages, qui donne l'historique de lu question franco-suisse.

En voici le premier chapitre :

«Le temps est venu aujourd'hui d'exposer

cette question qui prendra bientôt su place,

nous l'espérons, dans les travaux du gouver-

nement.

(2)

IiO LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE

« Le traité de commerce existant entre la F r a n c e et la Suisse arrivait à échéance le I''

1

' février 18Ui, c'est-à-dire peu de temps après

!'adoption de notre nouveau régime douanier, substituant a u x traités échéant à partir de ce moment, soit notre tarif général, soit notre tarif minimum. Un décret du 29 décembre ISDl décidait que le tarif minimum pourrait être appliqué aux pays qui nous feraient, de leur côté, bénéficier des avantages de leur tarif le plus réduit. Ce fut le cas pour la Suisse, , mais des négociations s'engagèrent en même

temps entre les deux gouvernements qui aboutirent à ce qu'on a appelé ici le projet de convention Jules Roche, du nom du ministre qui l'avait négocié. Cette convention n'était pas faite dans les formes d'un traité classi-

que : elle se composait de diverses parties, et

le rejet de l'une de ces parties devait entraîner celui des autres. L'arrangement commercial proprement dit stipulait que les objets d'ori- gine s u i s s e , importés en F r a n c e , seraient soumis au tarif m i n i m u m , et que les objets de provenance française, importés en Suisse, y seraient admis au bénéfice des droits les plus réduits. Cette partie de la convention fut acceptée par notre Chambre des députés dans sa séance du 22 décembre 1892. Mais il avait été convenu que le gouvernement français, de son côté, et le Conseil fédéral, du sien, sou- mettraient à leurs parlements respectifs, avec l'arrangement, les réductions de tarifs réci- proquement consenties dans les négociations qui avaient eu lieu à P a r i s , du mois de mai au mois de juillet. C'est cette partie, dont le rejet devait rendre nul le vole de la première, qui fut repoussée par la Chambre, après deux j o u r s de discussion, malgré les efforts de M.

Jules Roche, sans même obtenir la faveur du passage à la discussion des articles, dans la séance du 24 décembre 1892. Tombaient en même temps les dispositions spéciales qui avaient été convenues relativement au pays de Gex, celles concernant la carte de légitima- tion des voyageurs de commerce, la déclara- tion relative aux échantillons et la convention littéraire d'une grande importance pour nous.

Cependant la Suisse, dont les pouvoirs publics avaient déjà depuis quelque temps adopté le projet et qui attendait avec une certaine im- patience le vote de la Chambre française, ressentit, de cette manière de procéder à son égard, une douloureuse émotion. La rupture était faite. Notre tarif général lui fut appliqué.

HUc y opposa un tarif différentiel beaucoup plus élevé que son tarif général lui-même. Ce nouveau régime fut mis en vigueur à partir du I'''' janvier 1893. Pendant les onze mois précédents, la Suisse avait déjà beaucoup souffert des rigueurs de notre tarif m i n i m u m , et nos exportations à nous-mêmes avaient considérablement baissé. Le mal ne pouvait que s'accroître, et notre mouvement d'échanges avec la Suisse, tant en importations qu'en e x p o r t a t i o n s , qui était, pour la moyenne 1890-91. de342,589,(HiOfr., Iombéà3l9,843,210 francs en 1892, s'abaissait, en 1893, à la somme de 247.1)07,038 fr. Ce sont les chiffres du Ta-

Z)If(Hi général du commerce de la France

publié par l'administration des douanes. Si nous nous en rapportons à la statistique suisse, la différence serait plus considérable encore.

-Tandis qu'elle e s t . selon nos chiffres, de 94.922.022 fr. entre la moyenne 1890-91 et

1893. elle s e r a i t , selon nos voisins, de 158,(505,432 fr. -

La brochure donne ensuite des' données statistiques comparatives très complètes sur les importations de Suisse en France et les exportations de France en Suisse, retrace le rôle de l'Union pour la reprise des négocia- tions commerciales avec la Suisse et rappelle les heureux résultats de la conférence de Màcon.

Voici comment le comité,de l'Union juge la situation actuelle :

κ 11 est résulté de nos échanges de vues, au

moment où nous écrivons, que la Suisse, dans le désir de voir aboutir les démarches commencées, a b a n d o n n a n t la base de la con- vention de 1892, mais non d a n s le sens où nous l'avions craint un moment, réduit ses demandes de concession à quelques points s e u l e m e n t : sur le lait et le fromage: sur les tissus et rubans de s o i e : sur les fils et tissus de coton : sur les broderies: sur l'horlogerie:

sur les machines et induits de machines dyna- mo-électriques: enfin sur quelques articles de bonneterie, les camisoles suisses notamment, et les pâtes de cellulose.

« Non seulement elle abandonnerait son tarif différentiel, mais elle nous appliquerait son tarif minimum le plus réduit. Nous espé- rons même, sur ce dernier, obtenir des abais- sements sur certains articles : les gants de peau, la quincaillerie fine et les articles de fantaisie, les savons, la parfumerie, les huiles en bouteilles ou estagnons. les vins naturels ou mousseux en bouteilles, certains tissus de laine, etc.

« Quel sera sur ces articles, comme sur nos

propres concessions, l'importance des réduc- tions? Nous ne pouvons encore rien dire de positif à cet égard. Actuellement les groupes suisses s'occupent de déterminer, en chiffres précis, leurs désirs, et l'Union, de son côté, a fait une enquête pour se rendre un compte exact de ce qui pourrait, s a n s léser notre commerce et notre industrie, être accordé.

Malgré la bonne volonté dont on a toujours été animé de part et d'autre, l'entente s u r ce point est encore incertaine. C'est à la diplo- matie qu'il appartient de conclure.

« U n point important, c'est la forme du con- trat à intervenir. Il y a là, en effet, avec notre système douanier, une difficulté qui n'est pas sans avoir éveillé nos préoccupations. Un véritable traité de commerce eut été désirable et la Suisse l'eùÎpréféré à tout, autre mode de procéder. Quelle^quesoit l'opinion que l'on ait sui· la valeur de notre législation actuelle, elle existe et on est bien forcé d'en tenir compte.

Nous ne voulons pas froisser les susceptibilités de ceux qui ne partagent pas nos idées écono- m i q u e s : ils nous en sauront gré, nous l'espé- rons, au moment voulu et ne verront avec nous (pie la nécessité de réparer la faute com- mise, sans préoccupations doctrinaires, sans p a r t i - p r i s , sans intransigeance d ' a u c u n e sorte.

« Les groupes suisses se rangeront certaine- ment à notre avis de régler la question par un modus Vivendi. C'est par la voie autonome, par une réduction en sa faveur sur les points indiqués, q'ue la France accorderait à la Suisse le régime qu'elle semble désirer, et ainsi serait respecté le principe — puisque principe il y a — de notre législation douanière.»

κ Certes, nous avons dû abandonner la base

du tarif m i n i m u m . La Suisse pouvait l'accep- ter moins encore qu'en 1892, après l'expérience qu'elle en avait faite, après avoir constaté suivant les chiffrés de sa statistique, que sous, le régime de ce tarif minimum, en 1892, ses exportations avaient décru de 30,31 % · l

) u

reste, s'il faut admettre l'irréductibilité absolue de ce tarif, il n'est plus d'arrangement possible.

L'Etat substitue sa propre volonté qu'il entend imposer, tandis que tout marché veut l'accord des intérêts et des volontés des parties con- tractantes. »

Brevets d'invention

Horlogerie et Bijouterie

L I S T E DES BREVETS E N R E G I S T R E S E!ni*eeriMti*eiiieiit<*

Cl. Oi. n" 9230. 29 octobre 1894. O

1

A h. p. — Mécanisme de remontoir et de mise à |

l'heure au pendant. — Francillon et- (Jo.

Ernest, fabricant d'horlogerie, Usine des

Longines, Sl-Imier (Suisse). Mandataire : Imer-Schneider, E.. Genève.

Cl. 04, n° 9242. 2 novembre 1894, 7'/, h. p.

— Mécanisme perfectionné de montre ή ré- pétition à poussette et à régulateur silen- cieux. — Meylan-Triian & JiIs. ,/., fabri- cants d'horlogerie, au Sentier (Yaud, Suisse). Mandataire: Imer-Schneider. E., Genève.

KI. 0 1 , 9244. Nr. 3. Novembor 1894, 7'/Ί Uhr p.

— Unzcrbrechliches Zifferblnlt fur l'iiren und Mess-Instrumente. — Zangerle, Tobias, Feingoldschlagcrei-Besitzer, Mo- rcllstrasse.Augsburg)Baverii,I)eutschluiKl) Vertreter: Ritter. A., Basel.

Cl. 04, n" 9252. 10 novembre 1894, (i'/a h. p.

— Mécanisme de remontoir et de mise à

l'heure, système Rebcllo. — Rebelle, J.-F..

Amparo ( S t - P a u l . Brésil). M a n d a t a i r e : Imer-Schneider, E., Genève.

Kl. 05, Nr. 9241. 1. Novembre 1894. I·'/·.. Uhr p. — Weckerulir mil Pendel von verândor- liclier S c h w i n g u n g s d a u e r . — Ahlgrimm,

Jfellmutli, Brennereivcrwalter, Rosehno-

\vo b. Obernik (Posen, Deutsehland). Ver- treter: v. W a l d k i r c h , Ed., Boni.

M o l l i !•<-:• I DOIi-.

Cl. 05. n" 0442. 4 avril 1893, 5'/i h. p. — Machine à refrotter les boites de montres.

— Heiiriod-Baehni, C-K., Bienne(Suisse).

Mandataires: llanslin & Cie, C , Berne.

Cession du 10 février 1895. en faveur de n Bâlini & C i e » , Bienne (Suisse): enre- gistrement du 27 février 1895.

Cl. 05, n" 0048. 12 mai 1893, 5

1

Zi h. p. — Dispositif pour tour à refrotter les boites de montres. — Henriod-liaehni, C.-/;'., Bienne (Suisse). Mandataires: llanslin iSc (!ie, C , Berne. Cession du 10 février 1895, en faveur d e « B a h n i & C i e » , Bienne (Suisse):

enregistrement du 27 février 1895.

I t s M l i i i l i o i i M .

Gl. Oi, n" 22. Pièces détachées servant à fabriquer par un nouveau procédé les ba- lanciers compensés et spiraux pour mon- tres et chronomètres.

Cl. 04. n" 24. Perfectionnements apportés à la construction des couronnes de remontoir pour montres de toutes dimensions.

Cl. 04, n

n

53. Nouveau mécanisme de remon- toir au pendant.

Cl. 04. n" 4218. Pendants creux sans soudure.

Kl. Oi. Nr. 5859. Ncuerung an Kalender- u h r e n .

Cl. 04. n" 7434. .Montre à secret perfection- née.

Kl. 05, Nr. 5711. Vorrichtung zur Belhàti- g u n g des Schlagworkes von elektrisc.hen und andern Pendeluliren.

Kl. (55, Ni·. 5712. Kontnktvorrichtuug fur den Antrieh des Pendels von eleklrisclien Ubren.

LISTE DES DESSINS ET MODÈLES

N" 1733. 10 février 1895, 12 h. m. — Cacheté.

— 2 modèles. — Boites de montres. —

Spillmann. Charles-Rodolphe, Chnux-de-

F o n d s (Suisse).

N" 1735. 10 février 1895. 0'/, h. p. — Ouvert.

— 2 modèles. — Pendants de montres avec a n n e a u x . — Dubail, Monnin, Frossard

& Cie. Porrentruy (Suisse)· Mandataire :

I Imer-Schneider, E., Genève.

(3)

Ι * Ι Ό Ι Ο Ι Ι ; £ Ί Ι t i o n - . .

N " .",15. -2-2 j a n v i e r 1803, 10 h . a. — ( H ' ' p é - r i o d e 185)5/1898). — 1 m o d è l e . — C a l i b r e de m o n t r e r e v o l v e r . — Mon.nier & Frej·, IUCiIiM' ( S u i s s e ) . M a n d a t a i r e : F ù r r e r , G . . B i o n i i c : e n r e g i s t r e m e n t d u 2 1 f é v r i e r 185)5.

N" 5 1 7 . 2 0 j a n v i e r 185)3, l l ' / a li. — ( H " pé- r i o d e 18515/1898). — 12 m o d è l e s . — C a - l i b r e s p o u r m o n t r e s d e p o c h e . — Société (Γ/iorlogvrie de Langendorf, L a n g e n d o r f ( S u i s s e ) : e n r e g i s t r e m e n t d u 2 1 f é v r i e r 1 8 9 5 . N" 5 2 1 . 27 j a n v i e r 1893, 8 li. a. — (II·' p é -

2 m o d e .Masse

r i o d e 1895/1898)

d ' e n c l i q u e t n g e p o u r m o n t r e s d e p o c h e . - Société (/'horlogerie de Langendorf, L a n g e n d o r f ( S u i s s e ) : e n r e g i s t r e m e n t d u 21 f é v r i e r 1895.

• t i t i l l a i i o n * .

' VXl. 10 d é c e m b r e 1 8 9 2 . — 3 m o d è l e s . — 2 c a d r a n s c h r o n o g r a p h e - t è l é m é t r e et u n e a i g u i l l e p o u r c b r o n o g r a p h e - t é l é m é t r e .

La production -du travail en Angleterre

L a p r o d u c t i o n du t r a v a i l e n A n g l e t e r r e e s l -

<·1Ιο s u r le point d ' e n l r e r d a n s la voie d u so­

c i a l i s m e d ' E t a l' . L a l é g i s l a t i o n a n g l a i s e , i n - s u f f i s a n t e p e u t - ê t r e en m a t i è r e d ' a c c i d e n t s r é - g l e m e n t e a u c o n t r a i r e a v e c p r é c i s i o n , m a i s s a n s e x c è s . 1" t r a v a i l d e s f e m m e s et d e s e n f a n t s .

Γ il I >il I p r o p o s é à la C h a m b r e s d e s C o m - m u n e s , d a n s s a s é a n c e d u 1e r m a r s , p a r M . A s q u i t h , m i n i s t r e d e l ' I n t é r i e u r , t o u c h e à la fois à c e s d e u x p o i n t s . V o i c i le r é s u m é de ce b i l l . d o n n é p a r M. A s q u i t h l u i - m ê m e :

« D a n s les m a n u f a c t u r e s et a t e l i e r s o ù les a p p a r e i l s p r é s e n t e n t d e s d a n g e r s , la loi i n t e r - v i e n d r a p o u r la s û r e t é d e s o u v r i e r s : o n c o m - m e n c e r a p a r d r e s s e r u n e s t a t i s t i q u e d e s a c c i - d e n t s .

« Q u a n t a u t r a v a i l a u d e h o r s , n o u s f r a p p e - r o n s d ' u n e p é n a l i t é c e l u i q u i le d o n n e s'il "en- v o i e l ' o u v r i e r d a n s u n e n d r o i t m a l s a i n . Q u a n t a u x h e u r e s s u p p l é m e n t a i r e s , n o u s les p r o h i - b o n s c o m p l è t e m e n t p o u r les j e u n e s filles et les r é d u i s o n s p o u r les f e m m e s . Q u a n t a u t r a - vail à la m a i s o n , d o n t l ' e x c è s e s t p a r t i c u l i è r e - m e n t n u i s i b l e , n o u s l ' i n t e r d i s o n s p o u r les e n - f a n t s , n o u s le r é g i o n s p o u r les f e m m e s et les j e u n e s p e r s o n n e s , de m a n i è r e à ce q u e per- s o n n e n e p u i s s e t r a v a i l l e r en v i n g t - q u a t r e h e u r e s p l u s q u e le t e m p s a u t o r i s é a u j o u r d ' h u i p a r la loi. N o u s a p p l i q u o n s , p o u r la p r e m i è r e fois, la loi a u x b u a n d e r i e s , a u x d o c k s , à la c o n s t r u c t i o n d e s m a i s o n s , a u t r a v a i l en c h a m - b r e , a u x b o u l a n g e r i e s . N o u s p r e n o n s d e s dis- p o s i t i o n s s p é c i a l e s p o u r les p r o f e s s i o n s d a n - g e r e u s e s , p o u r l e s i n d u s t r i e s t e x t i l e s , e t en e n r e g i s t r a n t les a t e l i e r s , n o u s p r é p a r o n s l e s m o y e n s les p l u s efficaces p o u r l ' a p p l i c a t i o n d e la loi. »

Nouvelles diverses

G r è v e s o u v r i è r e s . — L e s o u v r i e r s g y p - s i e r s de Z u r i c h o n t d é c i d é de s e m e t t r e en g r è v e , si les p a t r o n s , n ' a c c e p t e n t p a s l e u r s c o n d i t i o n s clans u n d é l a i de d e u x j o u r s .

— A . l a s u i t e d ' u n difféitend a u sujet d u t a u x d e s s a l a i r e s , la p l u p a r t d e s o u v r i e r s j a r d i n i e r s de W i n t e r t h o u r s o n t p a r t i s .

— A N o r t h a m p t o n , à la s u i t e de c e r t a i n s d i f f é r e n t s r e l a t i f s s u r t o u t à l ' e m p l o i d e s m a1

c h i n e s , le s y n d i c a l n a t i o n a l d e s p a t r o n s c o r -

d o n n i e r s α d o n n é a u x o u v r i e r s a v i s d e la fer- m e t u r e d e l e u r s a t e l i e r s p o u r le Ki m a r s .

Cette d é c i s i o n f o r c e r a nu c h ô m a g e 2 0 0 , 0 0 0 o u v r i e r s , d o n t 2 0 , 0 0 0 à L e i e e s t e r , 5)000 à N o r t h a m p t o n , 7 0 0 0 à B r i s t o l .

L e s p a t r o n s r e f u s e n t t o u t a r b i t r a g e , p a r c e q u e les o u v r i e r s n ' o n t p a s t e n u c o m p t e d e l a s e n t e n c e a r b i t r a l e a n t é r i e u r e m e n t p r o n o n c é .

Variété

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3. Buëche & Boillat, Œfeconvillier.

4. Charles Emonot, §>orvilier.

3. F a b r i q u e d'Ebauches, §oncebo^.

(>. F l u r y F r è r e s , tienne.

7. F r ê n e & G a r r a u x , Œfeconvi/lier.

8. J u i l l a r d frères, Corlébert.

9. Kocher, Hânni & Kiïnzli, Court.

10. K u h n & Tièche, SfeconvU/ier.

I i . Ed. K u m m e r , Œetttach.

d u C o m p t o i r g é n é r a l d e s E b a u c h e s

12.

13.

14.

15.

K).

17.

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19.

20.

21.

22.

23.

Manzoni fils & G

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, a£rogno.

E. Manche & G

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, %overesse.

P. Obrecht & G

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Parrenin & Marguet, Villers-le-Œ/Ctc.

Société coopérative d'horlogerie, Tontenet.

Société d'horlogerie, ÇLangendorf.

Société industrielle, Routier.

A. Schlafli, fielqach.

Jean Sclnvarzentrub, granges.

L.-P. J a p y & C

ie

, Berne par §eloncourt.

Simon Burger & Gressot, ŒOrrentruy.

Virgile Cupillard, Villers-Ie-^Lac.

Le comptoir fournira, aux acheteurs débauches et finissages, les produits de leur choix, soit les produits des fabriques qu'ils entendent spécialement utiliser. Il ne sera introduit d'autre changement dans les relations telles qu'elles étaient antérieurement pratiquées, que celui résultant de la réception et de l'exécution de tous les ordres des clients par l'entremise du Comptoir central ou de ses dépôts et des règlements de compte qui seront effectués de même aux dits organes.

Le Comptoir est donc substitué aux fabriques dans tous les cas où il s'agit de leurs relations commerciales avec les tiers.

Ceux-ci trouvent dans la nouvelle organisation un avantage marqué, puisque le Comptoir pourra livrer tous les genres quelconques et dans les meilleures qua- lités, et qu'ils n'auront plus ainsi, qu'un seul fournisseur et un seul correspondant.

Les ébauches et finissages sont toujours facturés aux prix et conditions du tarif en rigueur.

Toutes modifications aux prix du tarif et aux conditions de paiement, sont communiquées à la clientèle.

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