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1 – Limites sup´erieure et inf´erieure d’une suite

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Texte intégral

(1)

Int´egration et probabilit´es

ENS Paris, 2013-2014

TD  – Prol´egom`enes – Corrig´e

1 – Limites sup´erieure et inf´erieure d’une suite

E

xercice 1. Soit (an)nune suite de r´eels. On d´efinit les deux nombres suivants dansR=R∪ {±∞}: lim sup

n→∞

an= lim

n→∞

sup

kn

ak

et lim inf

n→∞ an= lim

n→∞

kinfnak

.

. V´erifier que ces deux d´efinitions ont bien un sens.

. V´erifier les assertions suivantes : lim sup

n→∞

an< α ⇒ ∃n≥,∀kn, ak< α

n≥,∀kn, ak< α ⇒ lim sup

n→∞

anα lim sup

n→∞

an> α ⇒ ∀n≥,kn, ak> α

n≥,∃kn, ak> α ⇒ lim sup

n→∞

anα.

´Ecrire des assertions similaires faisant intervenir liminf

n→∞ an.

. Soit (an)nune suite de nombres r´eels.

(a) Montrer que lim supn→∞anet lim infn→∞ansont respeivement la plus grande et la plus pe- tite valeur d’adh´erence de la suite (an)n.

(b) V´erifier queanconverge versl∈Rsi et seulement si lim sup

n→∞

an= lim inf

n→∞ an=l.

Corrig´e :

. La suite de terme g´en´eral supknaked´ecroissante, donc elle a bien une limite dansR. De mˆeme pour la lim inf et la limite croissante.

. V´erifions la premi`ere assertion : lim sup

n→∞ an< α ⇒ ∃n≥,sup

kn

ak< α

⇒ ∃n≥,∀kn, ak< α.

Le ree des assertions se d´emontre de la mˆeme fac¸on.

Pour des queions, demande de pr´ecisions ou explications, n’h´esitez pas `a m’envoyer un mail `a igor.kortchemski@ens.fr , ou bien `a venir me voir au bureau V.

(2)

. (a) SoitLla plus grande valeur d’adh´erence de la suite (an) et soitL0= lim supn→∞anOn suppose queL, L0 ,∞(les casL=∞ouL0 =∞se traitent similairement). Il exie alors une extraion φ(c’e-`a-dire une fonion injeive croissanteφ:N→N) telle queaφ(n)L. Commeaφ(n)≤ supkφ(n)ak, en passant `a la limite lorsquen→ ∞on en d´eduit queLL0.

Une autre possibilit´e ede voir que d’apr`es la premi`ere implication de queion, siL0 < α alors forc´ementLα, ce qui implique queLL0.

NotonsL0 = lim supn→∞anet montrons maintenant l’autre in´egalit´e en prouvant queL0eune valeur d’adh´erence de la suite (an). On conruit pour cela par r´ecurrence une suiteriement croissanteφ(), φ(), φ(), . . .telle queL0+/n > aφ(n)> L0−/npour tout entiern≥. Posons φ() = . Soit n ≥  un entier et supposons φ(), φ(), . . . , φ(n−) conruits. Comme L0 >

L0−/n, il exie un entierN > φ(n−) tel queL0+/n >supkNak> L0−/n. Il exie donc un entier entier not´eφ(n) tel queφ(n)> φ(n−) etL0+/n > aφ(n)> L0−/n. Ainsiaφ(n)L0, qui ebien valeur d’adh´erence.

On raisonne similairement pour la lim inf (ou bien on remarque qu’on a l’´egalit´e lim supn→∞(−an) =

−lim infn→∞an)).

(b) C’eune cons´equence quasi-imm´ediate de (a).

E

xercice 2. Soit (xn)nune suite d’´el´ements deRet soitf :R→Rune fonion continue. Montrer que sif ecroissante alors

f(lim sup

n→∞

xn) = lim sup

n→∞

f(xn) et f(lim inf

n→∞ xn) = lim inf

n→∞ f(xn).

Que dire sif ed´ecroissante ? Corrig´e :

Posons yn = supknxk pourn≥. Montrons d’abord que f(yn) = supknf(xk). Par croissance de f, f(yn)≥supknf(xk). Ensuite par d´efinition de la borne sup´erieure, il exie une fonionφ:N→N(qui n’epas forcementriement croissante) telle queφ(k)npour tout entierk≥etxφ(k)ynlorsque k → ∞. Or, pourkn, f(xφ(k)) ≤supikf(xφ(i)) ≤supinf(xi), en passant `a la limite il vient f(yn) ≤ supknf(xk), ce qui prouve le r´esultat annonc´e. En passant `a la limite, il vient alors imm´ediatement

f(lim sup

n→∞

xn)≥lim sup

n→∞

f(xn).

Le raisonnement esimilaire pour la lim inf.

Lorsquef ed´ecroissante, on a f(lim sup

n→∞

xn) = lim inf

n→∞ f(xn) et f(lim inf

n→∞ xn) = lim sup

n→∞

f(xn).

Le raisonnement esimilaire, et elaiss´e au leeur. On peut aussi remplacerf par−f et utiliser ce qui

pr´ec`ede.

(3)

2 – Limites sup´erieure et inf´erieure d’ensembles

E

xercice 3. (Fonions indicatrices) SoitE un ensemble. SiAE, on note 1A l’applicationE → {,} d´efinie par1A(x) =sixAet1A(x) =sinon. La fonion1Aeappel´ee la fonion indicatrice deA (ou encore fonion cara´eriique deAou tout simplement l’indicatrice deA).

. SiA, BE, ´ecrire1ABet1ABen fonion de1Aet1B.

. Soit (An)nune suite de sous-ensembles deE. Relier les fonions indicatrices1nAn et1nAn

aux fonions1An,n≥.

. Repr´esenter graphiquement les fonions suivantes (d´efinies surR) : X

n

1[n,[, X

n=

1[,n], X

n

1[n,n+[.

Corrig´e :

. On voit que1AB=1A·1B= min(1A,1B) et1AB=1A+1B−1A·1B= max(1A,1B).

. On a1nAn=Q

n1An= inf{1An}et1nAn=−Q

n(−1An) = sup{1An}.

. Pas de difficulit´e.

E

xercice 4. On consid`ere un ensembleE, et (An)nune suite de sous-ensembles deE. SiAE, on note 1Asa fonion cara´eriique (1A(x) =sixAet1A(x) =sinon).

. Que repr´esentent les ensembles suivants, [

n

\

kn

Ak, \

n

[

kn

Ak ?

Le premier enot´e lim infn→∞An, le second lim supn→∞An. Relier les fonions indicatrices 1lim infn→∞An, 1lim supn→∞An

aux fonions1An,n≥.

. Montrer que les propri´et´es suivantes sont v´erifi´ees.

(a) (lim supn→∞An)c= lim infn→∞(An)cet lim infn→∞An⊂lim supn→∞An (b) lim sup

n→∞

An={X

n

1An=∞}, lim inf

n→∞ An={X

n

1(An)c<∞}. (c) lim sup

n→∞

(AnBn) = lim sup

n→∞

An∪lim sup

n→∞

Bn, lim sup

n→∞

(AnBn)⊂lim sup

n→∞

An∩lim sup

n→∞

Bn.

. Calculer lim infAnet lim supAndans les cas suivants (a) An=FetAn+=G, o `uF, GEsont fix´es,

(b) An=]− ∞, an], o `uap=+/(p) etap+=−−/(p+), (c) An=],+/(p)[ etAn+=]−−/(p),],

(d) An=pnN, o `u (pn)nela suite des nombres premiers etpnNel’ensemble des multiples de pn,

(e) An= [sin(n)−,sin(n) +].

(4)

Corrig´e :

. L’ensemble lim infn→∞An e l’ensemble des ´el´ements qui appartiennent `a tous les An `a partir d’un certain rang, ou, en d’autres mots, l’ensemble lim infn→∞Anel’ensemble des ´el´ements qui appartiennent `a tous lesAn `a l’exception d’un nombre fini d’entre eux.

L’ensemble lim supn→∞Anel’ensemble des ´el´ements qui appartiennent `a une infinit´e deAn. On a l’´egalit´e

1lim infn→∞An= lim inf

n→∞ 1An. ()

En effet,

x∈lim inf

n→∞ An ⇔ ∃n∈N: ∀nn, xAn,

⇔ ∃n∈N: inf

nn1An(x) =,

⇔ lim inf

n→∞ 1An(x) =.

L’´egalit´e

1lim supnAn= lim sup

n 1An

se d´emontre de fac¸on similaire `a () ou en passant au compl´ementaire dans () en utilisant la queion(a).

. (a) Pour la premi`ere ´egalit´e, il suffit d’´ecrire







\

n

[

kn

Ak







c

=[

n

\

kn

(Ak)c.

Pour la deuxi`eme, on peut dire que si un ´el´ement appartient `a tous lesAn, sauf un nombre fini d’entre eux, alors il appartient `a une infinit´e deAn.

(b) L’ensemble {P

n1An =∞} el’ensemble des ´el´ements appartenant `a une infinit´e de An et l’ensemble{P

n1(An)c<∞}el’ensemble des ´el´ements qui n’appartiennent pas `a un nombre fini deAn, d’o `u le r´esultat d’apr`es la queion.

(c) La premi`ere ´egalit´e provient du fait qu’un ´el´ement appartienent `a une infinit´e deAnBn si et seulement si il appartienent `a une infinit´e deAn ou bien `a une infinit´e deBn, et la seconde du fait que si on appartient `a une infinit´e deAnBn alors on appartient `a une infinit´e deAn et une infinit´e deBn.

. (a) On a lim supAn=FGet lim infAn=FG.

(b) On a lim supAn=]− ∞,] et lim infAn=]− ∞,[.

(c) On a lim supAn= [−,] et lim infAn=],].

(d) On a lim infAn= lim supAn={}.

(e) On a lim supAn=]−,[ et lim infAn={}. En effet, (sin(n))n∈Nedense dans ]−,[ (pour le voir, utiliser par exemple le fait que le sous-groupe additifZ+πZdeRn’epas monog`ene carπeirrationel, donc dense dansR), donc pour tout< x <, il exie une infinit´e d’entiers ntels que sin(n)> x−et aussi une infinit´e dentels que sin(n)< x−. La premi`ere famille montre quex ∈lim supAn et la deuxi`eme famille que x <lim infAn. Il eensuite facile de v´erifier que±<lim supAn(carπeirrationnel) et∈lim infAn.

(5)

 – Compl´ements (hors TD)

E

xercice 6. Soient X un ensemble non vide et une suite (fn)n de fonions fn : X →R born´ees, qui converge simplement versf :X→Rborn´ee.

(i) Montrer que sup

xX

f(x)≤lim inf

n→∞ (sup

xX

fn(x)). ´Etablir une in´egalit´e analogue pour l’inf.

(ii) Donner un exemple o `u l’in´egalit´e e rie. Montrer qu’il y a ´egalit´e si la convergence de la suite (fn)neuniforme.

Corrig´e :

. Soit >  fix´e. SoitxX tel que sup

xX

f(x) ≤f(x) +. Soit N un entier tel que f(x) ≤ fn(x) + pour tout entier nN. Ainsi, pournN, sup

xX

f(x) ≤ fn(x) +. On en d´eduit que sup

xX

f(x) ≤ sup

xX

fn(x) +. D’o `u

sup

xX

f(x)≤lim inf

n→∞ (sup

xX

fn(x)) +.

Comme ceci evrai pour tout >, le r´esultat d´esir´e en d´ecoule.

En remplac¸antf par−f, on obtient imm´ediatement que

xinfXf(x)≥lim sup

n→∞

(infxXfn(x)).

. Il suffit de prendreX = [,] etfn la fonion telle que f() =, f(x) =pourx ∈[/n, n] et f affine sur [,/n]. On a alorsf =et

sup

xX

f(x) =,= lim inf

n→∞ (sup

xX

fn(x)).

Si la convergence euniforme, on voit ais´ement que supxXfn(x)→supxXf(x) lorsquen→ ∞.

E

xercice 7. (D’apr`es comp´etition Putnam) Trouver la valeur de lim

n→∞

n

X

s=

a+s n

n

, o `ua >.

Corrig´e :

On utilisera l’in´egalite (+x/n)nex, valable sin≥et+x/n >. PosonsSn=Pn

s=

a+s n

n

. Alors

Sn=

n

X

r=

+ar n

n

n

X

r=

ear<

X

r=

ear= ea+

e−.

Ainsi lim sup

n→∞

Snea+

e−. Similairement, pour un entierk fix´e et n > k: Sn≥ Xk r=

+ar n

n

.En faisant

tendrenvers l’infini, on obtient que lim inf

n→∞ Sn

k

X

r=

ear.En faisant maintenant tendrekvers l’infini, on trouve lim inf

n→∞ Sn

X

r=

ear= ea+

e−.On conclut que lim

n→∞Sn= ea+

e−.

(6)

E

xercice 8.

. Soit (an)nune suite de nombres r´eels v´erifiantam+nam+anpour tous entiersm, n≥. Montrer que la suite (an/n)nconverge dansRvers inf

n

an n .

. ( ) Un chemin auto´evitant de longueurndeZeune suite de points diinsA, A, . . . , An `a coordonn´ees enti`eres o `uAel’origine et tels que la diance entreAi etAi+ vautpour tout

≤in−. Soitanle nombre de chemins auto-´evitants de longueurndeZ. Montrer quea/nn converge lorsquen→ ∞vers un r´eel positif not´ecet que< c <.

Remarque.Le r´eelceappel´econante de conneivit´e du r´eseauZ. On ne connaˆıt pas sa valeur exae.

La conante de conneivit´e du r´eseau hexagonal a ´et´e calcul´ee par Hugo Duminil-Copin et Stanislav Smirnov en [], r´esolvant ainsi une conjeure formul´ee en physique th´eorique il y a ans par Nienhuis.

Corrig´e :

. Soitq >fix´e etnun entier v´erifiantnq. Soitn=knq+rn (kn≥et≤rnq−) la division euclidienne denparq. En ´ecrivantan=a(kn)q+q+rn≤(kn−)aq+aq+rn, il vient

an

nkn−

n aq+aq+rn

n =q(kn−) n ·aq

q +aq+rn

nnrnq n ·aq

q + n max

iq

aq+i n . Comme≤rnq−, (n−rnq)/n→, et donc

lim sup

n→∞

an nqq

q. Ceci ´etant vrai pour tout entierq≥, on en d´eduit que

lim sup

n→∞

an n ≤inf

n

an n . Comme on a clairement infnan

n ≤lim supn→∞

an

n, on a bien ´egalit´e.

. Un chemin auto-´evitant de longueurm+nela concat´enation de deux chemins auto-´evitants de longueurs respeivesmetn. Doncam+naman. On peut donc appliquer la premi`ere queion `a la suite ln(an), ce qui implique quea/nn converge vers un r´eel positifc.

En faisant des pas vers le haut ou la droite uniquement on voit quenanet comme on ne peut pas revenir en arri`ere on aan ≤·n, ce qui prouve que≤c≤. Pour obtenir les in´egalit´es ries, trouvez deux encadrements meilleurs !

R´ef´erences

[] H. Duminil-Copin et S. Smirnov, The conneive conant of the honeycomb lattice equalsp

+√

, Annals of Mathematics,(),–().

Fin

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