172 Introduction à l’anthropologie structurale
172 Introduction à l’anthropologie structurale
Introduction à l’anthropologie
structurale
Du même auteur
The Bhils of Western India : Some Empirical and Theoretical Issues in Anthropology in India
Delhi, National Publishing House, 1985 Les Paraiyars du Tamil Nadu
Fribourg, Presses universitaires de Fribourg, 1998 Anthropologie sociale et culturelle
Bruxelles, De Boeck, 1992 Le Système des castes
Paris, PUF, Coll. « Que sais-je ? », 1993 Les Intouchables en Inde
Des castes d’exclus Paris, Imago, 1995 Anthropologie de la parenté Paris, Armand Colin, Coll. « Cursus », 1996 The World of the Untouchables : Paraiyars of Tamil Nadu
Oxford, Oxford University Press, 1997 The Untouchables in India
Oxford, Berg, 1999 Gandhi
Paris, PUF, Coll. « Que sais-je ? », 1999 La Religion des Intouchables de l’Inde Presses universitaires du Septentrion, 2004
Les Castes en Inde aujourd’hui PUF, 2004
Robert Deliège
Introduction à l’anthropologie
structurale
Lévi-Strauss aujourd’hui
Éditions du Seuil
CET OUVRAGE EST PUBLIÉ DANS LA COLLECTION POINTS ESSAIS SÉRIE «SCIENCES HUMAINES»
DIRIGÉE PAR YVES WINKIN
ISBN: 978-2-02-134542-1
© Éditions du Seuil, septembre 2001
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Sommaire
Introduction . . . . 11
Une œuvre magistrale. . . . 11
Une manière de voir les choses. . . . 13
PREMIÈRE PARTIE
La vie et l’œuvre de Lévi-Strauss
1. Éléments biographiques. . . . 17Un intellectuel français. . . . 17
New York, Paris. . . . 19
2. L’œuvre. . . . 23
Parenté et anthropologie structurale. . . . 23
La pensée symbolique. . . . 24
Une source d’inspiration intarissable. . . . 25
Prises de position. . . . 26
DEUXIÈME PARTIE
La pensée structuraliste
1. Les fondements. . . . 31Rousseau, l’inventeur des sciences de l’homme. . . . 31
La linguistique structurale . . . . 33
Mauss et l’échange. . . . 34
Boas et le diffusionnisme. . . . 35
2. Au-delà de l’empirisme . . . . 37
Un monde de la pensée. . . . 37
L’illusion de la transparence. . . . 39
L’inconscient?. . . . 40
3. Le structuralisme. . . . 42
La structure sociale. . . . 42
La structure. . . . 44
4. Le primat de l’intellect. . . . 47
L’origine symbolique de la société. . . . 47
Les oppositions binaires. . . . 48
Le rejet de l’histoire. . . . 49
Le triangle culinaire. . . . 51
TROISIÈME PARTIE
Tristes Tropiques
1. Critique de la modernité . . . . 55Un livre remarquable . . . . 55
Des ordures au visage de l’humanité . . . . 58
Contre le progrès . . . . 60
2. D’aimables sauvages. . . . 62
Une rencontre décevante. . . . 62
Le sauvage au secours de Rousseau. . . . 64
La résolution des problèmes. . . . 65
Un monde meilleur. . . . 66
QUATRIÈME PARTIE
La parenté
1. La prohibition de l’inceste. . . . 71Les fondements. . . . 72
L’atome de parenté. . . . 75
2. Le mariage préférentiel. . . . 78
Le principe. . . . 78
La démonstration . . . . 79
Commentaires. . . . 84
La circulation des femmes . . . . 88 8 Introduction à l’anthropologie structurale
CINQUIÈME PARTIE
Les classifications symboliques
1. Le totémisme. . . . 93
Les classifications. . . . 93
Vers l’intellect . . . . 96
Prises de position. . . . 99
2. La pensée sauvage. . . . 100
Au-delà de la mentalité primitive. . . . 100
La logique classificatoire. . . . 102
3. L’efficacité symbolique . . . . 107
Le sorcier et sa magie. . . . 107
La cure chamanique. . . . 110
Critique. . . . 112
SIXIÈME PARTIE
Les mythes
1. Les fondements du mythe . . . . 117L’importance de l’étude. . . . 117
Une approche novatrice . . . . 119
Un exemple. . . . 121
De Shakespeare à Perrault . . . . 124
2. Le cru, le cuit, le miel et les cendres . . . . 125
La science du mythe. . . . 125
La geste d’Aswidal. . . . 130
SEPTIÈME PARTIE
L’impact du structuralisme en ethnologie
1. Le développement de l’ethnologie française . . . . 137Vers une science noble. . . . 137
Élargissement du champ d’études. . . . 139
2. Quelques influences en France . . . . 141
Un structuralisme marxiste. . . . 141 9
Parenté ou formalisme?. . . . 144
Le structuralisme en Inde. . . . 148
3. L’anthropologie anglo-saxonne. . . . 152
La théorie de l’alliance. . . . 153
Edmund Leach. . . . 154
Pureté et danger . . . . 156
Culture et raison pratique. . . . 158
Conclusion. . . . 163
Glossaire. . . . 167
Bibliographie sélective. . . . 169
Index . . . . 172 10 Introduction à l’anthropologie structurale
Introduction
Une œuvre magistrale
Il faudrait chercher loin aujourd’hui pour trouver un eth- nologue qui se réclame encore du structuralisme*1. Ce courant de pensée qui, durant plusieurs décennies, a tenu de nombreux intellectuels en émoi, est désormais tellement passé de mode qu’il pourrait parfois paraître comme une de ces excentricités d’une époque à jamais révolue. En envahissant toutes les sciences humaines, de la linguistique à la psychologie, le structuralisme était quasiment devenu une discipline en tant que telle. Même le marxisme sem- blait affecté par ce courant qui, par bien des aspects, tenait davantage de la métaphysique que de la méthode.
L’espoir d’une science véritable de l’homme et de la société ne s’est pas matérialisé mais s’est, au contraire, transformé en chimère. Un à un, les chercheurs se sont tournés vers d’autres voies, d’autres courants et de nou- veaux maîtres à penser. Les débats théoriques qu’ils avaient menés avec fougue leur parurent soudainement dénués de tout intérêt, et le structuralisme sombra dans l’histoire des sciences sociales.
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1. L’astérisque renvoie à une entrée du glossaire.
L’œuvre de Claude Lévi-Strauss n’est donc plus à la mode aujourd’hui. On ne la lit plus avec cette excitation, à peine contenue, que l’on connut jadis. Pourtant, main- tenant que les passions se sont taries, on peut l’aborder avec la sérénité requise, et la première chose que l’on en dira, c’est qu’il s’agit d’un ensemble magistral qui mérite autant notre intérêt que notre admiration. Par bien des aspects, on pourrait la qualifier de baroque, notamment en raison de ce gigantisme non dépourvu d’une certaine har- monie que semble toutefois mettre en péril la profusion de détails. Elle fait ainsi partie des classiques de l’ethno- logie et des sciences sociales. Certes la démarche intel- lectuelle qu’elle propose paraît quelque peu désuète, mais elle comprend une manière de penser le monde et la société qui demeure originale. Lévi-Strauss ne mérite pas seulement notre attention pour avoir marqué l’histoire des sciences sociales d’un sceau indélébile. Il demeure une source d’inspiration et figure au nombre des grands penseurs du siècle écoulé. Il continue d’ailleurs d’être reconnu comme tel.
Les écrits de Lévi-Strauss sont nombreux, quasiment pléthoriques. De tous les penseurs encore vivants, il est certainement celui à propos duquel on a le plus écrit, et les travaux qui lui sont consacrés ne se comptent plus. Ils vont de l’hagiographie pure et simple à la critique la plus acerbe. Le présent ouvrage se veut plus serein et s’adresse avant tout aux étudiants en vue de les familia - riser avec une œuvre que l’on n’aborde pas facilement.
Il s’agit donc d’en donner une vue d’ensemble, d’en esquisser les caractéristiques fondamentales, sans parti pris, mais sans non plus éluder les débats qu’elle n’a cessé d’alimenter. Nous tâcherons ainsi de la traduire en un langage simple qui ne lui ôte pas nécessairement sa complexité.
12 Introduction à l’anthropologie structurale
Nous commencerons par présenter l’homme pour nous pencher ensuite sur les fondements du structura- lisme en anthropologie. On examinera ensuite, un par un, les grands thèmes qui ont marqué la pensée de Lévi- Strauss, en les présentant de façon synthétique et en n’évitant pas d’éventuels points de vue critiques: nous aborderons ainsi la parenté*, les mythes* ou encore la pensée sauvage.
Une manière de voir les choses
On peut se demander s’il est légitime de rechercher une cohérence dans un œuvre aussi vaste. Comme l’a bien sou- ligné Edmund Leach, le structuralisme de Lévi-Strauss n’est pas une méthode, mais il est plutôta way of looking at things, une manière de voir les choses. En ce sens, il est peut-être aussi proche de la métaphysique que de l’ethno- logie, et ce n’est pas un hasard si Lévi-Strauss a autant attiré l’attention des philosophes que celle des ethnologues.
Le chercheur de terrain ne manquera d’ailleurs pas d’être perplexe face aux reconstructions abstraites de Lévi-Strauss. La question se pose alors de savoir s’il est encore nécessaire de s’attarder à l’étude d’une telle œuvre. Et, plus profondément, faut-il lire Lévi-Strauss alors que ses idées ne font plus recette? Nous pensons bien sûr que la réponse à cette question est positive. On dira d’abord que cette œuvre figure parmi les classiques des sciences sociales, mais il y a plus. Elle nous propose une manière originale de voir le monde, elle pose un cer- tain nombre de questions essentielles que toute étude de l’homme doit aborder.
Le structuralisme, particulièrement sa variante lévi - straus sienne, a fait l’objet d’un véritable engouement, 13 Introduction
presque d’une passion. Tout le monde se mit à parler de l’échange*, des règles de mariage avec la cousine croisée*, des mythes… Le monde n’était plus vu que comme un vaste système d’oppositions binaires, tout pouvant se diviser entre haut et bas, cru et cuit, est et ouest. Les efforts consacrés à rendre le structuralisme compatible avec le marxisme dépassaient toute mesure. Il ne reste rien aujourd’hui de cette frénésie, sauf peut-être la nostalgie de ces débats d’idées. Il reste aussi une grande œuvre qui, une fois dépouillée de la polémique et de l’exaltation qu’elle a suscitées, mérite plus que jamais notre attention.
14 Introduction à l’anthropologie structurale
PREMIÈRE PARTIE
La vie et l’œuvre de Lévi-Strauss
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16 Introduction à l’anthropologie structurale
CHAPITRE1
Éléments biographiques
Un intellectuel français
De tous les ethnologues vivants, Lévi-Strauss est, sans conteste, le plus célèbre et celui qui a le plus marqué la discipline. Si ses positions théoriques ne sont plus vrai- ment d’actualité, son prestige reste grand, son autorité reconnue.
Les origines familiales
La famille dans laquelle Lévi-Strauss naquit compre- nait de nombreux artistes, tant des musiciens que des peintres. Son père lui-même était portraitiste et, en 1908, les hasards d’une commande le conduisirent, lui et sa femme, à Bruxelles. C’est là que leur enfant vint au monde. Peu de temps après la naissance, la famille rejoi- gnit son domicile parisien, au 26 de la rue Poussin.
Claude Lévi-Strauss y passa son enfance et son adoles- cence, dans un environnement intellectuellement et cultu - rellement très riche. Sur le plan matériel, par contre, la vie n’était pas toujours facile. On retrouve des traces de son éducation dans toute son œuvre, qui manifeste un goût raffiné pour la musique et la peinture; il verra dans la 17
production artistique une expression majeure de l’huma- nité, voire de l’intelligence. Parfois aussi, il conçoit ses propres travaux comme des constructions artistiques, et même le «sauvage» n’est, pour lui, jamais très loin de l’esthète. Cependant, on a parfois l’impression que les beaux-arts, chez lui, relèvent davantage de l’intelligence que de l’émotion. C’est en tout cas vrai de la manière dont il les traite dans ses écrits. L’œuvre d’art révèle la pensée, l’esprit et, à ce titre, elle est inséparable de l’intelligence.
Les études
L’engagement politique restera tout aussi intellectuel.
Pendant ses études au lycée Janson-de-Sailly, un militant socialiste belge, ami de la famille, l’invita à lire Proudhon, et surtout Marx qui fascina le jeune homme.
Pour un temps, il devint même «actif à l’intérieur du parti socialiste français», la SFIO. En 1932, il fut candidat à des élections cantonales, mais cet engagement tourna court et, dans son œuvre, l’intérêt pour le marxisme et le socialisme fut avant tout d’ordre intellectuel; Lévi- Strauss ne les considère que comme des systèmes de pen- sée, jamais comme des idéologies révolutionnaires.
À la Sorbonne, il suivit conjointement des cours de droit et de philosophie qui le mèneront à une double licence, à l’agrégation et à un poste d’enseignant à Mont- de-Marsan. L’enseignement ne tarda pas à l’ennuyer et lui qui, plus tard, avouera détester les voyages, éprouva l’envie de voir le monde; en 1935, il profite du soutien de Célestin Bouglé, qui avait dirigé son mémoire, pour obte- nir un poste à l’université de São Paulo.
C’est alors qu’il sent naître en lui l’intérêt pour l’ethnologie, par goût de l’exotisme* et de l’aventure. Ses travaux, nous le verrons, garderont des relents de ce
18 La vie et l’œuvre de Lévi-Strauss
romantisme. Il commence à lire quelques textes, mais il n’avait reçu aucune formation et peut donc être considéré comme un autodidacte. À la fin de sa première année au Brésil, il entreprend une «expédition» dans le Mato Grosso où il rencontrera des Indiens Caduveo et Bororo.
New York, Paris Premières rencontres
Ces premiers contacts ne deviendront jamais des enquêtes ethnographiques à proprement parler. D’em - blée, Lévi-Strauss manifeste son goût pour la culture matérielle et artistique, notamment en accumulant une collection d’objets indiens qui seront plus tard exposés à Paris. Le sauvage garde toujours pour lui son étrangeté, et Lévi-Strauss préférera toujours l’admiration lointaine du philosophe à l’intimité de l’ethnographe. Pour lui, le
«sauvage» transparaît davantage dans un masque, dans un mythe, autrement dit dans un ensemble à la fois clos et figé, que dans ses activités quotidiennes. Ainsi qu’on le verra plus tard, Lévi-Strauss donne un peu l’impres- sion que l’activité principale des indigènes est d’ordre intellectuel.
En 1936, il organise une seconde «expédition», cette fois chez les Indiens Nambikwara. Les rares données eth - no graphiques qu’il publiera proviennent de cette mission.
Pour le reste, toute son œuvre reposera sur la compilation de données recueillies par d’autres et, dans l’histoire récente de l’ethnologie*, Lévi-Strauss est bien le seul à ne pas s’être distingué par ses qualités d’ethnographe.
La Seconde Guerre mondiale éclata peu après son retour en France. Lévi-Strauss est mobilisé et, dans la débâcle, il se retrouve dans les Cévennes. Avec le nom 19 Éléments biographiques
qu’il porte, il n’est pas question de retourner dans le Paris occupé, et la fondation Rockefeller lui donne alors la chance de partir à New York, grâce notamment à l’aide de Robert Lowie et d’Alfred Métraux.
Ce long séjour aux États-Unis le détournera défini - tivement de l’engagement politique et, sur le plan intel- lectuel, le familiarisera avec l’anthropologie américaine, voire américaniste; il renforcera chez lui ce goût des musées et de l’art primitif et il permettra à Lévi-Strauss de sortir, une fois pour toutes, de la philosophie. Là-bas, il fréquente aussi des personnalités telles qu’André Breton, Alfred Métraux, mais surtout Roman Jakobson, qui l’ini- tie à la linguistique et à l’analyse structurale. C’est à la New York Public Library qu’il étudie, de façon intensive, la littérature ethnologique et prépare ses premiers ouvrages. Après la Libération et un bref retour en France, il obtient un poste de conseiller culturel à New York, où il demeurera jusqu’à la fin de l’année 1947 qui le voit rentrer définitivement en France.
Le retour en France
En 1948, il souteint en Sorbonne une thèse intitulée Les Structures élémentaires de la parenté, qui sera publiée l’année suivante et constitue un travail véritable- ment magistral, une entreprise titanesque, intellectuelle- ment ambitieuse et qui souleva tout de suite l’enthou- siasme, tant parmi les spécialistes que dans un public intellectuel au sens large. Ce fut, sans doute, un des grands mérites de Lévi-Strauss d’être toujours capable d’attirer l’attention d’un large public, et cela sans vérita- blement faire de concessions ni verser dans l’opportu- nisme. Tout le monde, des sociologues aux philosophes, se mit à le lire, à l’étudier, à le discuter. Grâce à lui, l’eth-
20 La vie et l’œuvre de Lévi-Strauss
Godelier, Maurice, 141, 144.
Goncourt (jury), 57.
Goody, Jack, 25, 154.
Héritier, Françoise, 144-147.
Inceste, 71-77, 146-147.
Inconscient, 40 -41, 45, 112.
Inde, 40, 59, 87, 105, 148-151.
Jakobson, Roman, 20.
Kuper, Adam, 153.
Leach, Edmund, 13, 40, 47, 152, 154-156.
Lefebvre, Henri, 25, 50.
Leiris, Michel, 57.
Lévy-Bruhl, Lucien, 100 -101.
Linguistique, 11, 20, 33-34, 120, 137.
Lowie, Robert, 20.
Magie, 107-110.
Malinowski, Bronislaw, 32, 39, 49, 137, 165.
Mauss, Marcel, 34-35, 40, 47, 93, 137, 149, 153.
Mai, 1968 21, 27.
Marx, Karl, 18, 50, 140 -144.
Marxisme, 11, 14, 37, 41, 50, 137, 140 -144.
Masque, 19, 35, 38, 103.
Meillassoux, Claude, 144.
Métraux, Alfred, 20.
Mode de production, 140 -141.
Montaigne, 57, 64.
Musées, 20, 36, 61.
Mythes, 19, 24, 95, 117-131.
Nambikwara, 19, 60.
Needham, Rodney, 83, 85-86, 152-154.
New York, 19-20.
Nuer, 44, 97, 149.
Ojibwa, 95, 126-127.
Omaha, 145.
Oncle maternel, 44, 75-77.
Organisation dualiste, 80.
Paraiyar, 40, 87.
Perrault, Charles, 124.
Piaget, Jean, 26, 47.
Progrès, 60 -61, 106.
Psychanalyse, 40 -41, 109, 119.
Racisme, 27.
Radcliffe-Brown, Alfred, 42- 45, 49, 75-76, 97, 147, 153.
Rapports de production, 142.
Réciprocité, 32, 40, 64-65, 74, 81-84.
Règles de mariage, 79, 83.
Relativisme, 35, 139, 159.
Rousseau, Jean-Jacques, 31-32, 57, 64.
Sahlins, Marshall, 26, 159.
Samo, 144-145.
Sand, George, 61.
São Paulo, 18, 59.
Sartre, Jean-Paul, 25, 105-106.
Schneider, David, 153.
Shakespeare, William, 124.
Signe, 33, 49, 89.
Sorbonne, 18, 20.
Sperber, Dan, 25, 124.
Structure, 44-46, 50, 76-77, 106, 120 -121, 126, 144.
Structure sociale, 42-44.
Terminologies de parenté, 85, 144-145, 149.
Turner, Victor, 156-157.
Unesco, 21, 23.
174 Introduction à l’anthropologie structurale
175 TC à modifier
RÉALISATION: CURSIVES À PARIS IMPRESSION: CLAUSEN & BOSSE, LECK, ALLEMAGNE
DÉPÔT LÉGAL: SEPTEMBRE 2001. N° 49831