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mag

LES ELLES DE NOISY P. 8-9 UNE VILLE SOLIDAIRE P. 10-12 DOSSIER : L’ÉCOQUARTIER DE L’ÎLE DE LA MARNE P. 24-29

COVID-19 ET SPORT EN PLEIN AIR

Lire p. 32-33

LE MENSUEL DE NOISY-LE-GRAND MARS 2021

N°275

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mag

Directeur de la Publication  : Brigitte Marsigny • Directeur de la Communication : Antoine Bazin • Rédaction : Emmanuelle Palasset, avec Flore d’Arfeuille, Claire Moulié, Morgane Huby et Dam-Thi Tsuvaltsidis • Secrétariat

de rédaction  : Claire Moulié • Maquette  : -

12192-MEP • Photos : Julian Renard, Henri Da Costa, Hugo Lebrun et Robin Jehl • Impression : Réveil de la Marne • Diffusion : 32 300 exemplaires • Imprimé avec des encres végétales par un site de production certifié Imprim’vert.

Si vous ne recevez par le Noisy mag dans votre boîte aux lettres, appelez le 01 45 92 75 26 redaction.noisymag@ville-noisylegrand.fr

NOISY VIT

NOISY CHANGE

P. 20 EN PROJET

Une nouvelle école en 2022 à Maille-Horizon-Nord P. 21 ACTU DES RUES P. 22 VU DES QUARTIERS

Des collégiens s’initient au monde de l’entreprise

P. 24-29 Dossier

ENVIRONNEMENT

Un écoquartier exemplaire

P. 30-31 ASSOCIATIONS La cuisine comme tremplin pour l’insertion

P. 32-33 VILLE SPORTIVE Les clubs de plein air adaptent leurs activités

P. 34 OPINIONS

P. 35 INFOS PRATIQUES, ÉTAT CIVIL P. 5 PORTRAIT

Un Noiséen à Top Chef ! P. 6-7 INSTANTANÉS P. 8-9 ÉVÉNEMENT

Sur le chemin des femmes puissantes P. 10-17 ACTUS

Ils donnent leur sang De jeunes pousses aux petits oignons

Les conseillers juniors prennent leurs fonctions P. 18-19 ÉCONOMIE ET EMPLOI

© Giboire/MFR/Oyapock/Mutabilis

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Édito

Chères Noiséennes, chers Noiséens,

A

u lendemain du second tour de l’élection municipale, deux recours ont été déposés pour contester ma réélection. L’un par un ancien conseiller municipal apparte- nant, à l’époque, au Front national et l’autre par mon adversaire de LREM.

Depuis ce jour, ils ont déployé toute leur énergie à trouver des argu- ments et des preuves indiquant que j’avais altéré la sincérité du scrutin, demandant même que je sois décla- rée inéligible et que mon compte de campagne soit rejeté.

Mon compte de campagne a été validé en décembre 2020 et, à la suite de l’audience du 4 février, le tribunal administratif a rejeté les deux recours formés contre ma réélection. Le juge- ment ne retient absolument aucun des arguments portés contre moi.

Contester le résultat d’une élec- tion est, bien entendu, un droit.

Cependant, les protestations de ces personnes me semblent illégitimes à plusieurs titres. D’une part, l’un des plaignants ne s’est pas présenté aux élections municipales. D’autre part, l’autre personne est arrivée en troisième position, avec une diffé- rence de plus de 2 300 voix avec moi.

Ensuite, dans ce contexte sanitaire grave, il me semble totalement irres- ponsable d’œuvrer à faire annuler une élection municipale et d’organi- ser un nouveau vote. Enfin, lorsque je pense à la Journée internationale des droits des femmes, qui porte cette année sur le leadership féminin, je constate qu’il y a encore du travail à faire pour que la place des femmes ayant de hautes responsabilités soit respectée.

En confirmant ma réélection, le tri- bunal administratif démontre que les attaques portées contre moi étaient guidées par des esprits revanchards, qui n’ont pas supporté la décision des Noiséens et le verdict des urnes. Ce jugement, c’est la victoire de la démo- cratie dans notre ville.

Je regrette néanmoins que ces deux individus aient consacré autant d’énergie à me nuire plutôt qu’à tra- vailler à l’intérêt général de Noisy-

le-Grand. De mon côté, même si je déplore avoir dû prendre du temps pour répondre aux attaques, ma mobilisation et ma détermination à transformer Noisy pour la rendre toujours plus agréable pour ses habi- tants n’ont pas faibli. Mes élus et mes services sont mobilisés pour mettre en œuvre le projet municipal, qui a été récemment traduit en un plan d’investissement de la mandature.

Avec un niveau d’investissement très élevé, et sans augmenter les impôts, nous allons rythmer ces prochaines années avec de beaux projets.

Ma ligne reste la même : transfor- mer Noisy pour en faire une « ville modèle », dans laquelle chacun peut trouver sa place.

Bien fidèlement,

Brigitte Marsigny, Maire de Noisy-le-Grand Conseiller régional d’Île-de-France

Ma mobilisation et ma détermination à transformer Noisy pour la rendre toujours plus agréable pour ses

habitants n’ont pas faibli.

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LE COUP DE POUCE

L’EMPLOI

POUR

RECRUTEZ ET POSTULEZ SUR EMPLOI.NOISYLEGRA ND.FR

Direction de la Communication de la Ville de Noisy-le-Grand I Janvier 2021 I Conception graphique : Aurélie Houeix.

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NOISY AGIT

B

on, je ne suis pas venu ici pour faire des gaufres ! » Avec sa moustache, ses tatouages et ses expressions hautes en couleur, Arnaud Baptiste n’est pas passé ina- perçu lors de la première soirée de Top Chef. Côté fourneaux, sa bouillabaisse revisitée n’a certes pas convaincu les jurés, mais son tajine de carottes lui a permis d’intégrer la brigade des jaunes de Michel Sarran.

Ce jeune chef noiséen est pas- sionné de cuisine depuis tou- jours : « Petit, j’aimais touiller les casseroles avec ma mère et ma grand-mère. J’ai toujours voulu être cuisinier. » Après une sco- larité en primaire à Joliot-Curie et au collège Françoise-Cabrini, Arnaud part se former à l’école hôtelière Baudimont, à Arras. Puis il fait des stages au Grand Véfour et au Meurice, et travaille dans de belles maisons comme le Carré des Feuillants et le Saint James Paris. En 2018, il est nommé sous- chef à l’Allénothèque, le bistrot de Yannick Alléno.

« Colonie gourmande » La production de Top Chef l’avait déjà approché, mais c’est l’an dernier qu’il se lance : « À 33 ans, l’âge du Christ, c’était le moment ou jamais ! » Après avoir passé les castings et les sélections, il se retrouve parmi les quinze can- didats retenus pour le concours.

« En raison de l’épidémie, nous devions rester ensemble à l’hô- tel pendant le tournage. C’était un peu dur de ne pas voir nos proches, mais ça a créé des liens.

C’était un peu une ambiance de

“colonie gourmande !” »

Au moment où nous bouclons ce numéro, Arnaud est toujours dans la compétition. Quel que soit le résultat, l’aventure lui aura offert

« une chance inouïe. La pression et l’envie de gagner font faire des choses qu’on ne tenterait pas en temps normal ». « Pouvoir rencon- trer des chefs aussi prestigieux, leur montrer ce que je sais faire, a été un privilège », poursuit Arnaud.

Accélérateur de carrière Ce concours aura aussi servi d’accélérateur de carrière. Car, même si les temps sont durs pour les restaurateurs, Arnaud espère ouvrir son propre restaurant à l’automne, à Paris. « J’ai envie de créer une cuisine gourmande, de saison, mais qui respecte les codes traditionnels. Une sorte de

“nouvelle cuisine à l’ancienne” ! »

D’ici là, il garde les pieds sur terre.

« Dans ce métier, on apprend tous les jours les uns des autres. Tout ce que je souhaite, c’est respecter les produits, les clients, les équipes, et pouvoir cuisiner en m’amusant, dans la bonne humeur ! »

Portrait

Les habitués du concours culinaire de M6 ont découvert Arnaud Baptiste lors de la première soirée de l’édition 2021, le 10 février dernier. Tombé tout petit dans la marmite du goût, ce jovial moustachu

noiséen considère cette expérience comme un tremplin pour poursuivre sa carrière.

UN NOISÉEN À TOP CHEF !

« 

© Marie Etchegoyen/M6

En plein jus, Arnaud Baptiste prépare sa bouillabaisse revisitée, le premier plat qu’il a présenté au jury lors de l’étape de sélection dans les brigades des chefs.

Son univers culinaire

Son ingrédient fétiche : le poivre, mais aussi les baies, les épices : « Tout ce qui donne du goût ! » Le plat de son enfance : le tourteau fromager de sa grand-mère poitevine.

Le plat qu’il aimerait apprendre à cuisiner : la poularde en vessie, « une recette très technique, l’un des plats mythiques de Paul Bocuse ».

Les cuisiniers qui l’inspirent : Yannick Alléno, bien sûr, mais également l’Italo-Argentin Mauro Colagreco, chef du Mirazur à Menton (trois étoiles au Michelin).

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LES VACANCES DANS LES CLUBS DE JEUNES

Le 16 février, le club du Pavé-Neuf a reçu le portraitiste et illustrateur Bertrand Vivès, qui a croqué plusieurs jeunes avec beaucoup de talent. Une semaine plus tard, le club du Champy organisait une matinée consacrée à l’orientation. Encadrés par un intervenant spécialisé dans ce domaine, les collégiens et les lycéens ont pu mieux définir leurs centres d’intérêt professionnels.

LA MARNE EN VIGILANCE ORANGE

Le 9 février, la Marne a atteint 5,11 m (station de Gournay- sur-Marne). En raison de cet épisode de crue, les services municipaux ont mis en place des batardeaux et des passerelles pour les piétons, et interdit la circulation et le stationnement dans les rues avoisinantes. Les installations ont été retirées le 15 février. Les zones les plus touchées ont été nettoyées.

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NOUVEL AN CHINOIS

Cette année, la Ville a adapté les activités pour fêter cet événement, en proposant des expositions en plein air et des animations dans les maisons pour tous. Ces dernières ont organisé plusieurs ateliers créatifs et ludiques. Ci-contre, fabrication de porte-bonheur à Marcel-Bou, atelier masques au Jardin des sources, jeux asiatiques aux Coteaux.

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mars

Exposition, animations…

NOISYLEGRAND.FR FEMMES

PUISSANTES : UNE RÉELLE ASCENSION ?

SUR LE CHEMIN

DES FEMMES PUISSANTES

Tous les ans, au mois de mars, la manifestation « Les elles de Noisy » explore les différents aspects de la condition des femmes. Cette année, la Ville a choisi comme thème :

« Femmes puissantes : une réelle ascension ? ». Un questionnement toujours d’actualité.

D

epuis le mois de janvier, Kamala Harris est vice- présidente des États-Unis d’Amérique. L’actrice Marina Foïs préside ce mois-ci la céré- monie des César, et une femme, Catherine MacGregor, a pris la tête d’Engie il y a quelques mois.

Mais sa nomination fait figure d’exception dans le monde des grandes entreprises, dirigées très majoritairement par des hommes.

Et dans l’univers feutré de la musique classique, seulement 4 % des chefs d’orchestre sont des

femmes. La médiatisation de cer- taines nominations peut laisser penser que les femmes ont désor- mais accès aux mêmes positions de pouvoir que les hommes. Mais est-ce vraiment le cas ?

C’est ce questionnement que la Ville a souhaité mettre au cœur de sa manifestation « Les elles de Noisy », organisée à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, célébrée le 8 mars. Le thème de l’édition 2021,

« Femmes puissantes : une réelle ascension ? », se termine ainsi

par un point d’interrogation, pour susciter la réfl exion.

Pandémie oblige, la Ville n’a pas pu organiser autant d’animations que les autres années, mais a souhaité maintenir l’événement en s’adap- tant aux contraintes sanitaires.

Une exposition en neuf panneaux

Durant le mois de mars, l’espla- nade Nelson-Mandela, devant l’Espace Michel-Simon, accueille une exposition qui permet aux Noiséens d’approfondir les diff é- rentes questions soulevées par le thème de la manifestation.

Sept panneaux illustrent les axes de réfl exion choisis, comme la notion de pouvoir pour les mouvements féministes, la place des femmes dans l’Histoire, le monde du tra- vail ou les secteurs artistiques, l’évolution des droits des femmes En mars, la Ville invite les Noiséennes et les Noiséens

à réfl échir à la place des femmes dans la société.

Malgré la pandémie, les maisons pour tous se sont mobilisées pour proposer une exposition et des animations

à destination des enfants.

Jacqueline Zatloukal,

conseillère municipale déléguée à l’Animation locale

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Événement

« Femmes libres » à la médiathèque

À l’occasion des « elles de Noisy », la médiathèque Georges-Wolinski vous propose de visionner gratuitement, tout le mois de mars, une dizaine de fi lms et de documentaires. Des portraits de femmes (des actrices Delphine Seyrig et Bernadette Lafont, de footballeuses sénégalaises, d’une ouvrière de Lip en 1973…) ainsi que le fi lm Divines, Caméra d’or à Cannes en 2016, sont diffusés.

Ces fi lms sont mis à votre disposition grâce au Centre national du cinéma et de l’image animée, avec lequel la médiathèque a noué un partenariat.

mediathequegeorgeswolinski.fr

au XXe siècle, mais également ce qui freine leur émancipation, les stéréotypes, la charge mentale, le plafond de verre… Deux autres panneaux présentent des femmes pionnières dans leur domaine et des portraits de Noiséennes enga- gées. Un QR Code renvoie à des liens permettant d’approfondir le sujet sur internet. Cette exposi- tion sera également visible dans les maisons pour tous.

Des ateliers pour réfl échir aux inégalités de genre En plus de l’exposition, plusieurs ateliers sont organisés dans les maisons pour tous pour les jeunes, seul public actuellement auto-

risé à fréquenter ces structures, du 10 au 17 mars. Au Jardin des sources, les enfants sont invités à réfl échir à leurs habitudes quoti- diennes et à débattre sur la chan- son Tendrement, d’Oxmo Puccino, écrite pour la Journée interna- tionale des droits des femmes en 2020. Aux Richardets, des col- légiens examinent la question de la place des femmes dans le monde du travail, avec un jeu de plateau intitulé « La Journée profession- nelle de Mélanie ». Aux Coteaux, un atelier sur l’égalité femmes- hommes aborde la question du sexisme et des inégalités.

Prendre conscience de préjugés encore présents Par ailleurs, les maisons pour tous diff usent ce mois-ci, auprès de leurs usagers, le catalogue de l’exposi- tion organisée pour l’édition 2020,

« De sacrées femmes du monde ».

Il est composé de portraits de femmes réalisés par des usagers des maisons pour tous et des clubs de jeunes, sous la direction artistique de la Noiséenne Izabelle Lenoir. « Ce catalogue servira aussi de support pédagogique pour nos échanges avec les usagers, parti- culièrement les enfants accueillis pour l’accompagnement à la sco- larité », explique Rachel Knoerr, responsable de la maison pour tous Marcel-Bou. « Sensibiliser les jeunes entraîne une réflexion au sein des foyers, ajoute Jacqueline Zatloukal, conseillère municipale déléguée à l’Animation locale. lls peuvent contribuer à une prise de conscience, chez les adultes, des freins, des préjugés encore présents, notamment en matière d’éducation.  » Pour qu’un jour, peut-être, l’ascension des femmes dans la société ne soit plus une question, mais une affi rmation.

Du 8 au 28 mars Femmes puissantes : une réelle ascension ? Une exposition : devant l’Espace Michel-Simon et dans les maisons pour tous.

Des animations : en mars, dans les maisons pour tous du Jardin des sources, des Coteaux et des Richardets.

Des points de vue : Noiséennes et Noiséens réagissent aux thèmes abordés dans l’exposition.

Des fi lms : avec la médiathèque Georges-Wolinski (lire

encadré) et, sous réserve, avec le cinéma Le Bijou (avant- première de 9 jours à Raqqa, de Xavier de Lauzanne).

www.noisylegrand.fr/

temps-libre/les-elles-de-noisy

La Ville a édité un catalogue de l’exposition de 2020,

« De sacrées femmes du monde », dans le cadre de laquelle des usagers des maisons pour tous et des clubs de jeunes avaient peint des portraits.

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P

lus de 7 tonnes de produits collectés, soit en moyenne 300 kg de marchandises par groupe scolaire. C’est le bilan de la collecte solidaire organisée dans les écoles primaires de la ville, au profit d’une dizaine d’associations actives auprès de familles en difficulté. Du 25 janvier au 4 février, douze agents municipaux ont fait la tournée des vingt-deux groupes scolaires de la ville pour collec- ter les produits apportés par les élèves, avec la par- ticipation du Conseil municipal des enfants. « Nous avons livré plus de vingt cartons à chaque associa- tion », explique-t-on au service Événementiel, qui a coordonné l’opération. Chacune a ensuite distri- bué environ 200 kg de pâtes, 150 kg de conserves, 100 kg de riz, semoule ou céréales diverses, 80 kg de gâteaux, mais aussi des produits d’hygiène (den- tifrice, savon…), des produits pour bébé (notamment des couches), du lait et de la lessive.

Retrouvez la rétrospective de la collecte en vidéo sur noisylegrand.fr

BEL ÉLAN DE GÉNÉROSITÉ DANS LES ÉCOLES

La collecte organisée dans les écoles du 25 janvier au 4 février en faveur de familles en difficulté a remporté un beau succès, illustrant, une fois de plus, la solidarité des Noiséens.

Collecte solidaire à l’école maternelle des Abeilles.

Nous étions ravies d’apprendre par les agents de la Ville que la collecte avait été une réussite. Cette opération a du sens, surtout dans le contexte de crise sanitaire et économique actuel. Il serait intéressant de renouveler cette expérience plusieurs fois dans l’année.

Cécile Gnoinski,

directrice de l’école maternelle Robert-Desnos

Avec cette collecte, ma famille a concrétisé son souhait d’agir en faveur des personnes les plus fragilisées par la crise.

Mes enfants et moi sommes allés acheter des pâtes, du riz, des biscuits, du savon et des soupes, et nous avons donné des produits que nous avions chez nous.

J’aimerais proposer le même type d’action dans le collège où j’enseigne.

Christelle Molinier, mère de deux enfants scolarisés à l’école élémentaire des Yvris

Étudiants, retraités, personnes au RSA, femmes seules : avec la crise, plus de personnes démunies font appel à nous.

Nous avons suivi soixante- dix familles pendant le premier confinement. Avec cette opération, les enfants prennent conscience qu’il y a encore, en 2021, des gens dans le besoin.

Jamila Oudin,

responsable de l’association Soyons utiles sans frontières

Grâce à cette collecte, de nombreuses familles noiséennes ont pu venir en aide à d’autres. En cette période difficile, nous nous réjouissons que les écoles aient pu participer à cette opération et partager ainsi des valeurs d’entraide et de solidarité avec les élèves.

Sylvie Huret,

adjointe au maire déléguée à l’Éducation et à l’Enfance

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Actualités Actualités

L

e samedi 6 février dernier, soixante-cinq  familles noiséennes ont reçu un ordi- nateur portable offert par la Ville. Cette distribution a eu lieu en présence de Brigitte Marsigny, le maire, et de plu- sieurs élus, notamment Joëlle Hélénon, adjointe au maire déléguée aux Solidarités, et Hicham Sabil, conseiller municipal délégué à l’Inno- vation numérique.

Les familles sont venues à des horaires prédéfinis récupérer le matériel, ainsi qu’une notice d’information sur l’installation de logiciels gratuits. Elles ont pu recevoir des conseils individualisés, prodigués par les agents de la  direction des Systèmes d’information de la Ville.

Les foyers bénéficiaires ont été choisis par la Ville, en partenariat avec l’Éducation nationale, sous conditions de

ressources (quotient fami- lial 1), et parmi des familles ne possédant pas d’ordina- teur et ayant un enfant en CM1. Un niveau charnière entre des classes ayant déjà accès à d’autres types d’aides.

Les classes de CE2, en effet, ont bénéficié récemment d’une dotation de tablettes au titre de la politique de la Ville.

Aider les élèves dans leur apprentissage Cette action contribue à réduire la fracture numérique et permet d’accompagner ces jeunes Noiséens dans leur apprentissage, dans un contexte où la crise sanitaire entraîne un développement de l’enseignement à distance.

De plus, ces ordinateurs sont également utiles aux parents, qui peuvent ainsi effectuer plus facilement des démarches en ligne.

ACCÈS AU NUMÉRIQUE : LA VILLE SOLIDAIRE DES FAMILLES

Le mois dernier, la Ville a remis des ordinateurs

à soixante-cinq familles. Cette opération avait pour but d’aider de jeunes Noiséens scolarisés en élémentaire, à l’heure où la crise sanitaire aggrave la fracture numérique.

Brigitte Marsigny, le maire, remet un ordinateur à l’un des enfants bénéficiaires du dispositif, en présence de plusieurs élus.

EN BREF

En conseil

Le prochain conseil municipal aura lieu jeudi 11 mars à 19h30 (information sous réserve de l’évolution du contexte épidémique). En raison des conditions sanitaires, la mairie n’accueillera pas le public.

La séance sera cependant retransmise en direct sur Facebook. Le prochain conseil de territoire est prévu le 30 mars à 20h à l’hôtel de ville. Il sera consacré au vote du budget primitif du territoire Grand Paris Grand Est, et retransmis également en direct.

noisylegrand.fr, page Facebook

« Ville de Noisy-le-Grand », grandparisgrandest.fr

Un guide précieux

Vous avez reçu récemment dans votre boîte aux lettres le Guide de la ville. Enrichi et actualisé tous les ans, ce précieux outil d’information recense, en 160 pages, l’essentiel de la vie noiséenne : grands projets, prestations des services municipaux, démarches administratives, loisirs, etc.

Vente vintage

L’association Noisy-Liens organise une vente vintage les 9, 10 et 11 avril. Venez chiner des vêtements, des chaussures, des sacs et des accessoires de grandes marques pour hommes et femmes, et faire une bonne action : les recettes de la vente permettront en effet de financer l’atelier Dress code emploi, au profit des personnes en insertion.

Noisy-Liens, 89, rue Rouget-de- Lisle. Vente vintage : vendredi 9 avril de 16h à 20h, samedi 10 de 10h à 18h, dimanche 11 de 10h à 13h.

Sophie Janky, 06 51 12 51 03.

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S

amedi 6 février, à l’Espace Michel-Simon, les donneurs se présentent à un rythme régulier pour la collecte de sang organisée par l’Association pour le don de sang bénévole de Noisy-le- Grand. « En raison de l’épidémie, l’organisation des collectes est modifiée, explique Danielle Adam, présidente de l’association. Les habitués sont contactés en amont par l’Établissement français du sang (EFS), qui leur donne une heure de passage. Les nouveaux donneurs prennent rendez-vous sur le site internet. Et, si un volon- taire se présente sans rendez-vous, nous prenons ses coordonnées et le rappelons en cas de désistement. » Un protocole bien rodé Secours d’urgence, interventions chirurgicales, maladies du sang, cancers, les besoins sont quoti- diens et n’ont pas diminué avec l’épidémie. Malgré le contexte sanitaire difficile, les donneurs

sont au rendez-vous, rassurés par le protocole sanitaire mis en place.

« Pour donner son sang, il faut être majeur, peser au moins 50 kg et ne pas être à jeun », rap- pelle Danielle Adam. L’identité du donneur est vérifiée à son arrivée. Il remplit ensuite un questionnaire anonyme avant de s’entretenir avec un méde- cin, qui s’assure qu’il ne pré- sente pas de contre-indication (voyages, maladies…). Puis une infirmière effectue un prélève- ment de 420 à 500 ml, selon les indications du médecin. Avant de partir, le donneur prend une collation. « Donner son sang prend en moyenne trois quarts d’heure, dont dix minutes pour le prélèvement », ajoute Danielle Adam. À noter : si vous l’accep- tez, votre sang pourra également faire l’objet d’une étude « Covid Donneur », qui consiste à recher- cher la présence d’anticorps contre le virus.

ILS DONNENT LEUR SANG

Donner son sang est un acte solidaire : il faut 10 000 dons quotidiens pour assurer les besoins des malades en France. L’Association pour le don de sang bénévole de Noisy-le-Grand et l’Établissement français du sang organisent régulièrement des collectes.

La dernière a eu lieu les 6 et 7 février derniers.

Afin d’assurer la collecte dans les meilleures conditions, l’Établissement français du sang a instauré une prise de rendez-vous en amont pour gérer plus facilement les flux de donneurs.

Nous organisons neuf collectes par an à Noisy.

L’Établissement français du sang nous donne les dates à l’avance, et nous sollicitons la Ville pour réserver des salles. Le rez-de-chaussée de l’Espace Michel-Simon est spacieux, parfait pour accueillir les donneurs dans de bonnes conditions sanitaires.

Danielle Adam, présidente de l’Association pour le don de sang bénévole de Noisy-le-Grand

C’est la première fois que je donne mon sang. Cela s’est très bien passé. Je n’ai rien senti. Discuter avec l’infirmière sur un fond musical m’a mis à l’aise et m’a détendu. Au bout de dix minutes, c’était fini.

C’est super de savoir qu’on peut, par le don, sauver des vies. Je recommencerai.

Guillaume Haerinck, donneur

dondesang.efs.sante.fr Prochaine collecte les 10 et 11 avril. Une femme peut donner son sang quatre fois par an, un homme six fois, avec un délai d’au moins huit semaines entre deux dons.

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D

ans un vaste hangar, quatre agents de produc- tion repiquent des micro- mottes : de jeunes pousses de plantes aux fines racines, qui deviendront, pour certaines d’entre elles, des bégonias ou de la verveine. À chaque livraison, ils en reçoivent de 100  à 300, selon les variétés.

Dextérité et rapidité

Le repiquage consiste à extraire les micromottes de leur conte- nant d’origine pour les installer dans des contenants plus larges, où elles pourront s’épanouir.

« Cette remplisseuse nous facilite le travail. C’est une belle avan- cée », explique Anne Gambier, en montrant une machine où se succèdent, sur un tapis roulant, des plateaux comportant des emplacements remplis de ter-

reau. « Avec l’ancienne machine, qui humidifiait les micromottes, nous soulevions des caisses très lourdes, qui pouvaient peser 10 kilos. La remplisseuse permet de travailler avec du terreau sec », poursuit la responsable du pôle fleurissement des Espaces verts de la Ville.

Les agents se relaient pour char- ger les plateaux vides sur la machine, puis les reprennent une fois qu’ils sont pleins. Après avoir pincé les feuilles de certaines variétés, pour mieux contrôler leur croissance, ils rempotent les micromottes. Elles sont ensuite mises sous serre, classées par variété et étiquetées. Les jeunes pousses poursuivent leur crois- sance bien au chaud, arrosées régulièrement, avant que les jar- diniers n’entrent en scène, à la mi-mai, afin de les planter dans

les différents quartiers de la ville.

En amont de ce travail de repi- quage, les agents du pôle fleu- rissement ont participé à la conception des massifs. Ils ont établi une liste où l’on trouve des plantes résistantes et bien adaptées aux changements de température, comme les vivaces, qui composent désormais un tiers des massifs de la ville.

Suivre la plante de A à Z Anne Gambier et son équipe sont impatients de travailler dans le nouveau centre horticole de la ville, qui devrait ouvrir l’été prochain. Ils pourront y faire de la culture en semis, qui demande, de fait, une période de produc- tion plus longue, mais qui pro- cure également la satisfaction de « suivre la plante de A à Z, ce qui fait partie du métier ».

DE JEUNES POUSSES AUX PETITS OIGNONS

Ils s’affairent pour préparer les fleurs qui orneront les massifs, les colonnes fleuries et les jardinières de la ville. Noisy mag a rencontré en février les agents de production du service des Espaces verts

et a suivi les prémices de leur activité de repiquage, qui dure jusqu’à la mi-avril.

Avant d’être installées sous serre pour croître, les micromottes sont repiquées par les agents.

Actualités

Actualités

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E

n 2020, les deux missions prioritaires de la police municipale étaient le maintien des règles de sécurité sanitaire et la tranquillité rési- dentielle. Par ailleurs, les actions

sur le terrain ont été renforcées, ce qui s’est traduit par plus de rondes préventives dans les rési- dences pour lutter contre toutes les nuisances et incivilités. « Lors du premier confinement, nous avons dressé plus de contraven- tions pour tapage. En revanche, cette période puis celle du couvre- feu se sont traduites par une baisse de la délinquance sur la voie publique. Outre le contexte épidémique, le renforcement des eff ectifs a également contribué à cette évolution », explique Xavier Petibon, chef de la police muni- cipale. Les cambriolages sont également en baisse. Cela pour- rait s’expliquer par le confine- ment, le recours au télétravail et le concours du dispositif Voisins vigilants et solidaires.

La crise sanitaire a obligé les agents à recentrer leurs mis- sions sur de nouvelles tâches très chronophages : contrôler le port du masque, veiller à ce que les horaires de couvre-feu et les règles de distanciation dans les magasins soient respectés, etc.

Tolérance zéro pour les infractions dangereuses Si la circulation a été réduite pendant cette période, de grands excès de vitesse ont été constatés, facilités par des routes plus fluides. « Les gens roulaient plus vite, souvent sous l’emprise de l’alcool, et par- fois sans permis. En réponse, nos motards ont adopté une tolé- rance zéro pour ces infractions », conclut Xavier Petibon.

POLICE MUNICIPALE : MISSION ACCOMPLIE

En 2020, les actions menées par la police municipale ont porté leurs fruits.

Elle a dû toutefois composer avec la Covid-19 et réajuster ses priorités.

Contrôle routier sur un rond-point lors du premier confi nement.

Tranquillité résidentielle

Le Groupe de soutien à la tranquillité résidentielle est opérationnel depuis le 1er février dernier.

Il a été créé pour répondre aux doléances relatives aux nuisances et incivilités (occupations abusives de parties communes, tapages, dégradations…).

Il compte huit agents qui travaillent avec la brigade de nuit de la police municipale.

Ainsi, entre trois et six patrouilles sillonnent tous les quartiers de la ville, de 15h20 à 3h.

Contactez le GSTR au 01 45 92 58 58 ou remplissez le formulaire anonyme en ligne sur noisylegrand.fr, rubrique « Police municipale ».

Chiff res de 2020  et évolution sur un an*

95

 agressions physiques crapuleuses (− 18 %).

146 

cambriolages de résidences principales (− 37 %).

80

 vols d’automobiles (− 11 %).

153 

vols à la roulotte (− 26 %).

974 

arrestations (+ 14,5 %).

3 530 

demandes d’intervention (− 12,38 %).

1 073 

interventions pour nuisances (+ 20,15 %).

1 805

 rondes préventives dans les parties communes de résidences (+ 20 %).

43 

interventions relatives à des rixes (− 14 %).

* Sources : Division études de l’état-major de la DSPAP (Direction de la sécurité de proximité de

l’agglomération parisienne), police municipale.

(15)

Actualités Actualités

EN BREF

Trois arobases pour Noisy !

Le mois dernier, à l’occasion de la 22e cérémonie du label national « Territoires, Villes et Villages Internet », Noisy- le-Grand a obtenu la note de trois arobases sur cinq. Ce label récompense les initiatives de la Ville en faveur d’un internet local citoyen, à la disposition de chacun et servant l’intérêt général.

Accueil limité pour la restauration scolaire

En février, les consignes imposées par l’Éducation nationale ont contraint la Ville à modifier le protocole sanitaire dans les espaces de restauration des établissements de maternelle et d’élémentaire. Les élèves d’une même classe doivent manger ensemble, et deux mètres doivent séparer les classes.

Ces mesures restreignant le nombre de places disponibles, les parents sont invités, s’ils le peuvent, à venir chercher leurs enfants à la pause déjeuner.

Annulation des

séjours de printemps

En raison du contexte sanitaire actuel, la Ville a été contrainte d’annuler les séjours proposés pour les vacances de printemps.

L’ouverture des inscriptions pour les séjours d’été a été également repoussée.

DES ÉQUIPEMENTS SPORTIFS MIS AUX NORMES

La Ville effectue régulièrement des travaux dans les gymnases et les stades pour améliorer leur sécurité et leur accessibilité.

Un système électrique a été placé au gymnase Louison-Bobet pour renforcer la sécurité autour des paniers de basket.

D

ans le cadre de ses mis- sions d’entretien des équipements sportifs muni- cipaux, le service des Sports veille à ce que les normes d’accessibilité et de sécu- rité soient respectées. « Un organisme certificateur vérifie la conformité de tous les équipements sportifs.

Nous procédons ensuite aux interventions nécessaires », explique Abdelsalem Hitache, responsable technique des équipements sportifs.

Les établissements recevant du public, dont les gymnases, doivent être accessibles aux personnes en situation de handicap, ainsi que le prévoit la loi de 2005. Pour répondre à ces exigences, la Ville a créé près des gymnases, depuis plusieurs années, des places à mobilité réduite (PMR).

Les dernières en date ont été conçues l’année dernière au gymnase Louison-Bobet, où une rampe avait déjà été ins- tallée. Autre dispositif à res- pecter : les paniers de basket doivent être suspendus et relevables par câbles.

Dans ce même gymnase, la municipalité a installé un boîtier à clé et un disposi- tif électrique qui permet de relever les buts, en lieu et place de l’ancienne mani- velle. Pratique, ce système empêche que les panneaux ne tombent et les fait s’immo- biliser en cas de rupture d’un câble, ce qui évite ainsi tout risque d’accident.

Homologation des terrains de football Après la montée en natio- nale 3 de l’équipe première du Noisy FC en 2019, le service des Sports a dû programmer des interventions sur les ter- rains de football. Pour respec- ter les normes de la Fédération française de football, les filets et les buts ont été remplacés sur les terrains en bord de Marne, à la Butte-Verte et au stade Alain-Mimoun. Dans ce dernier, trois abris de touche et un tunnel à la sortie des vestiaires ont été construits, et l’éclairage a été remplacé pour que les matchs puissent avoir lieu en soirée.

(16)

Noisy mag : Quelles sont vos missions en tant qu’adjointe au maire ?

Bellina Léon : Je dois mettre en œuvre le contrat local de santé, signé en 2019, pour amé- liorer l’accès aux soins de tous les Noiséens dans tous les domaines de la santé, y compris la psychia- trie. Cela passe notamment par un accompagnement des profes- sionnels de santé intéressés par notre ville, en lien avec la direc- tion du Développement urbain.

Plusieurs d’entre eux se sont

installés à Noisy ces derniers mois, et des cabinets pluridis- ciplinaires devraient s’y établir prochainement.

L’épidémie de Covid-19 a-t-elle un impact sur vos projets ?

B. L. : Elle a accéléré le départ en retraite de certains médecins, ce qui conduit la Ville à réactuali- ser ses projections en matière de démographie médicale. Par ailleurs, la mise en place d’une communauté professionnelle ter- ritoriale de santé (CPTS, NDLR) a été ralentie. Mais je reste opti- miste : elle devrait voir le jour d’ici la fin de l’année.

Quelle est l’utilité de cette CPTS ?

B. L. : Elle facilitera la coordi- nation des parcours de soins pour les patients ainsi que les

échanges entre les profession- nels de santé, généralistes, spécialistes, professions paramé- dicales, sans oublier les hôpitaux et les associations. Ces différents acteurs vont définir un projet de santé et de prévention, dans le cadre de la création de la CPTS Noisy-le-Grand-Gournay. Nous avons pu réunir plusieurs d’entre eux le mois dernier en visioconfé- rence et allons mettre en place une plateforme participative pour faciliter les échanges. Dans la continuité de cette CPTS, nous souhaitons ouvrir un pôle de santé. Ce lieu combinera de la médecine de pointe et des soins médicaux de proximité. Il réunira des médecins généralistes, des spécialistes, des professionnels exerçant dans les secteurs para- médical et social  – ambulanciers, assistantes sociales –, et propo- sera de l’aide administrative, etc.

Quelles sont les mesures prises en faveur des personnes handicapées ?

B. L. : L’école Simone-Veil accueille des élèves déficients auditifs, d’autres établissements reçoivent des enfants autistes, et un foyer pour des adultes autistes est en construction dans le nord de la ville. Les services munici- paux chargés de la construction ou de la rénovation des bâtiments et des espaces publics pensent à l’accessibilité en amont des pro- jets. Nous souhaitons également créer un GPS participatif signa- lant les lieux facilement acces- sibles ou les travaux gênants.

La « ville intelligente » que nous voulons mettre en place sera aussi une ville inclusive.

« UN MEILLEUR ACCÈS À LA SANTÉ POUR TOUS »

Bellina Léon est adjointe au maire déléguée à la Santé et à l’Intégration des personnes handicapées.

Elle détaille pour Noisy mag ses missions et les grands projets prévus durant son mandat.

Bellina Léon met en œuvre la politique de santé de la Ville. Cette dernière prévoit notamment la création d’une communauté professionnelle territoriale de santé.

Et sinon…

Bellina Léon a mené une carrière de kinésithérapeute dans le secteur libéral et en milieu hospitalier.

Retraitée, elle aime être au service des autres et préside une association de jeunes artistes, Le Tableau manquant. Elle apprécie également le golf, la musique

classique et les promenades dans la nature.

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Actualités Actualités

LES CONSEILLERS JUNIORS PRENNENT LEURS FONCTIONS

Élus le 16 novembre 2020, les quarante-quatre membres du Conseil municipal des enfants ont siégé pour la première fois le 10 février. À cette occasion, Brigitte Marsigny, le maire, leur a remis

leur écharpe d’élu, et ils ont pu se familiariser avec leurs nouvelles missions.

Lors de cette première séance, les conseillers ont été informés des projets qu’ils pouvaient mener dans les commissions.

E

n rencontrant les acteurs de la vie politique locale, comme le maire, Brigitte Marsigny, et les élues chargées de la Démocratie locale, Véronique Lachkar et Martine Boucher, les conseillers municipaux juniors ont pris conscience de l’impor- tance de leur rôle.

Une école du citoyen Durant deux  ans, une fois par mois, ces élèves de CM1 et CM2 se réuniront à l’hôtel de ville en commissions thématiques (soli- darité et citoyenneté, dévelop- pement durable et prévention) pour porter des projets utiles aux Noiséens. Dans cette « école du citoyen », ils cultiveront des valeurs comme l’échange, le

partage, l’écoute des autres et le sens de l’engagement. Ils partici- peront aux grands événements de la ville, comme le marché de Noël ou la Fête du fantastique, ou à des opérations comme, récemment, la collecte solidaire dans les écoles.

Leur rôle est aussi d’informer l’équipe municipale des aspira- tions des jeunes Noiséens. « La solidarité, le lien intergénération- nel, le développement durable : les enfants se mobilisent sur tous ces sujets. Siéger dans cette assem- blée est une belle expérience. Cela permet de connaître les rouages d’une collectivité et de cultiver déjà le mieux vivre en société », explique Martine Boucher, conseillère municipale déléguée à la Démocratie locale.

J’ai envie de faire avancer les choses en matière de pollution.

Par exemple, mettre plus de poubelles qui permettent de trier et de recycler les déchets.

Travailler sur des projets auprès des seniors me tient aussi à cœur.

Mathilde Vo, CM2, école élementaire des Richardets Les enfants portent un autre regard sur la vie de la cité, plus naïf, plus décalé et plus spontané.

Noisy est une ville jeune, cela a du sens qu’elle intègre déjà les enfants dans la vie municipale. Les enfants d’aujourd’hui deviendront les acteurs de demain.

Duy-Hiep Vo, père de Mathilde

J’ai voulu entrer au CME pour lancer des projets, comme la création d’un club de lecture, un tournoi sportif interécoles ou une collecte solidaire.

Je veux faire de la politique plus tard, donc c’est une première expérience intéressante pour moi.

Amjad Ayari, CM1, école élémentaire des Noyers Se sentir citoyen et capable de mettre en place des projets, rêver, s’épanouir, le Conseil municipal des enfants permet tout cela à la fois. Les enfants y apprennent à convaincre les autres. Cette instance les fait aussi sortir de leur statut d’élève.

Foued Ayari, père d’Amjad

(18)

DES AIDES POUR PÉRENNISER VOTRE ENTREPRISE

Vous êtes commerçant, artisan, gérant d’une PME ou d’une TPE ? L’État et la Région Île-de-France ont mis en place des dispositifs pour vous soutenir pendant l’épidémie de Covid-19.

Voici une sélection d’aides et de mesures auxquelles vous pouvez prétendre*.

Aide financière et prêts

La Région a mis en place une aide au loyer forfaitaire exceptionnelle pouvant aller jusqu’à 1 000 euros pour soutenir les commerces, les restaurants, les bars et les entreprises artisanales qui ont dû fermer en novembre. Pour en bénéficier, l’entreprise doit comp- ter moins de dix salariés, avoir été créée avant octobre 2020, et son chiffre d’affaires doit être infé- rieur ou égal à 2 millions d’euros.

Autre dispositif de la Région à destination des TPE et PME, le prêt Rebond leur permet d’em- prunter de 10 000 à 300 000 euros sur une durée de sept ans, avec deux ans de différé.

L’État et les régions ont égale- ment réactivé le fonds de solida- rité, accessible aux entreprises de cinquante salariés et moins ayant subi une interdiction de recevoir le public. Elles peuvent pré- tendre à une aide allant jusqu’à 10 000 euros ou à une indemnisa-

tion de 20 % du chiffre d’affaires de l’année précédente, dans la limite de 200 000 euros par mois.

Les entreprises restées ouvertes mais dont le chiffre d’affaires a chuté de 50 % peuvent obtenir jusqu’à 1 500 euros par mois.

iledefrance.fr/a-vos-cotes, grandparisgrandest.fr, rubrique « Entreprises et emploi/

Crise sanitaire : soutien et accompagnement aux entreprises ».

Exonération des charges

Les entreprises de moins de cin- quante salariés peuvent bénéficier, depuis octobre 2020, d’une aide pour le paiement de leurs cotisa- tions et contributions sociales, et d’une exonération d’une partie des cotisations et contributions patro- nales. Elles doivent avoir subi une perte de leur chiffre d’affaires d’au moins 50 % par rapport à la même période de l’année précédente ou être fermées au public.

www.mesures-covid19.urssaf.fr

Aides au développement numérique

La Région Île-de-France aide les petites entreprises, les commer- çants et les artisans à accélérer la transition numérique de leur acti- vité en mettant à leur disposition un chèque numérique pouvant aller jusqu’à 1 500 euros. De son côté, la chambre de commerce et d’industrie d’Île-de-France les aide à réadapter leur stratégie commerciale : diagnostic numé- rique avec un conseiller, guide pour vendre sur le web, fiches d’information, etc.

entreprises.cci-paris-idf.fr, francenum.gouv.fr

*Plus d’infos sur les aides sur le site economie.gouv.fr

Noisy soutient ses commerçants

La Ville a mis en place une plateforme numérique pour les commerçants noiséens.

Ces derniers peuvent y renseigner leurs horaires d’ouverture et de fermeture, les services proposés aux clients, etc. Depuis mai 2020, des exonérations de loyer ont été accordées, au cas par cas, aux commerçants locataires de la Ville qui ont dû interrompre leur activité.

voscommercesanoisy.fr

© iStock/mikimad

De nombreux organismes ou collectivités accompagnent les commerçants et artisans touchés par l’arrêt ou la baisse de leur activité.

(19)

Économie & emploi

L

e Syndicat intercommunal pour le gaz et l’électricité en Île-de- France (Sigeif) accompagne les collectivités dans la recherche de solutions favorisant la mobilité durable. Il participe notamment au déploiement d’un réseau de bornes de recharge pour les véhi- cules électriques et au dévelop- pement de stations-service gaz et biogaz, avec sa société d’économie mixte Sigeif Mobilités.

Faible empreinte carbone

«  La Ville de Noisy, que la démarche intéressait, nous a pro- posé un terrain inutilisé le long de l’autoroute A4. Cette nouvelle station répond aux besoins des entreprises circulant au sein de la zone à faibles émissions qui se met en place (à l’intérieur de l’A86, NDLR). Située à proximité d’un échangeur de l’A4, elle permet aux conducteurs de faire le plein sans circuler dans le centre-ville », précise Jean-Michel Philip, direc- teur général de Sigeif Mobilités.

Dans cette nouvelle station Total,

dédiée au gaz naturel pour véhi- cules (GNV), accessible vingt- quatre heures sur vingt-quatre, les clients ont le choix entre du GNC classique (version com- primée du GNV), provenant du réseau de gaz de la ville, et du bioGNC, gaz renouvelable issu de la valorisation des déchets orga- niques. « Nous nous engageons à ce que 10 % au moins des volumes commercialisés dans cette station

soient du bioGNC », précise Trésor Sembo, ingénieur construction chez Total. Ce biocarburant pré- sente plusieurs avantages : une empreinte carbone minime, une réduction du bruit, un prix au kilo inférieur au diesel et un temps de remplissage équivalent pour un poids lourd fonctionnant au diesel.

Station automatique GNV- bioGNV Sigeif Mobilités-Total, boulevard du Rempart.

UNE STATION GNV À NOISY

En Île-de-France, la société d’économie mixte Sigeif Mobilités a retenu Total pour construire et exploiter sa quatrième station au GNV (gaz naturel pour véhicules). Installée à Noisy, elle a ouvert en janvier.

Total s’engage à ce que 10 % au moins du carburant proposé dans cette station soit du bioGNC, un gaz renouvelable.

Focus

Nouvelle pharmacie

Yves Loko et son équipe vous accueillent depuis quelques semaines dans le quartier du Clos-d’Ambert. Située en face de la résidence Les Senioriales, la Pharmacie de la Malnoue dispose de matériel médical pour l’aide au maintien à domicile et propose une gamme de produits biologiques d’hygiène et de bien-être.

Pharmacie de la Malnoue, 69, rue de Malnoue, 01 43 05 20 24. Ouvert du lundi au samedi de 9h à 20h.

Clos-d’Ambert

(20)

O

uvert en septembre 2018, le groupe scolaire Samuel- Wallis accueille actuelle- ment sept classes de maternelle, onze classes d’élémentaire, une unité pédagogique pour élèves allophones (enfants non franco- phones nouvellement arrivés en France), une unité Rased (pour élèves en difficulté) ainsi que des accueils de loisirs maternel et élémentaire.

Nouvelle répartition des espaces

Même si sa capacité maximale n’est pas encore atteinte, la Ville, se fondant sur des estimations démo- graphiques, a décidé de construire un établissement supplémentaire dans ce quartier. « Nous sommes confrontés à deux phénomènes, explique Sylvie Huret, adjointe au maire déléguée à l’Éducation.

D’une part, l’arrivée progressive de familles dans les secteurs en cours d’aménagement à Maille-Horizon- Nord et aux Bas-Heurts. D’autre part, la montée en puissance du dispositif 100 % réussite de l’Édu- cation nationale, qui conduit à dédoubler les classes de CP et de CE1. » Un terrain situé allée Anita- Conti, en face du groupe scolaire actuel, accueillera donc, à la ren- trée 2022, une école élémentaire

supplémentaire, qui comprendra huit classes et cinq salles d’accueil de loisirs. En parallèle, la réparti- tion des espaces sera modifiée dans le groupe scolaire existant : trois classes de maternelle et un dortoir seront créés à la place de l’accueil de loisirs maternel.

Ce dernier sera transféré dans l’actuel accueil de loisirs élémen- taire. L’accueil de loisirs du futur bâtiment prendra donc en charge les élèves d’élémentaire des deux établissements.

Construction durable Le nouvel édifice abritera égale- ment une bibliothèque, une salle d’activités et une infirmerie. Un intérêt particulier sera porté aux performances énergétiques des bâtiments. Pensé pour limiter l’effet d’« îlot de chaleur », le pro- jet prévoit qu’il y ait des toitures

végétalisées, que les arbres soient plantés en pleine terre, et que la cour soit en enrobé clair ou en béton poreux. Les matériaux de construction seront choisis pour réduire les émissions de composés organiques volatils et améliorer ainsi la qualité de l’air des locaux.

Les élèves de cette nouvelle école utiliseront le restaurant scolaire et la salle polyvalente du groupe scolaire Samuel-Wallis.

UNE NOUVELLE ÉCOLE EN 2022

Calendrier*

Décembre 2020 : présentation du projet aux représentants des parents d’élèves.

Février 2021 : lancement de la consultation des entreprises.

Juillet 2021 : début des travaux.

Septembre 2022 : ouverture de la nouvelle école.

* Planning prévisionnel.

Maille-Horizon-Nord

Pour accompagner l’arrivée de nouvelles familles dans le nord- ouest de la commune, la Ville a décidé de construire une école élémentaire en face du groupe scolaire Samuel- Wallis. Elle devrait ouvrir en septembre 2022.

Perspective du futur groupe scolaire, qui sera construit allée Anita-Conti.

© SOC AREN/ K

arine LE BRET ON ar

chitecte

(21)

Actu des rues

TRAVAUX EN COURS ? TERMINÉS ? Retrouvez mois par mois toute l’actualité des travaux de voirie sur noisylegrand.fr (bouton

« Accès rapides/Cartographie des travaux »).

Avenue Émile-Cossonneau : après la livraison du programme immobilier Le Nid, les trottoirs ont été refaits aux frais du promoteur.

Route de Gournay : après être intervenu sur le réseau d’eau potable, le Syndicat des eaux d’Île-de-France a remis en état la chaussée.

Place de la Division-Leclerc : deux statues de Juan Carlos Gomez ont été installées sur le rond-point.

Coulée verte : la végétation a poussé le long de la future coulée verte, entre la rue René-Navier et le boulevard Souchet. Une deuxième tranche de travaux est prévue cet été.

(22)

V

ous allez participer à un concours de mini-start-up autour du thème du déve- loppement durable. Quelqu’un sait ce que c’est ? » lance aux col- légiens Maxime Stoll, étudiant à l’ESCP, une prestigieuse école de commerce. Ce jeudi 11 février, avec Mélanie Pradel, une étu- diante de son école, il s’adresse aux treize élèves de la 3e C qui n’ont pas pu suivre un stage en entreprise. Dans le cadre du dispo- sitif des « Cordées de la réussite », le collège Victor-Hugo accueille, durant trois demi-journées, un binôme d’étudiants de l’ESCP dans chaque classe de troisième.

Découvrir des métiers

« Nous les initions au monde de l’entreprise. Hier, ils ont participé à un team building autour d’un scénario catastrophe et découvert plusieurs métiers. Ils ont égale- ment rencontré un ingénieur, qui leur a parlé de son parcours et des enjeux du numérique. Là, on passe

à la pratique ! » poursuit Maxime.

« En se mettant dans la peau d’entrepreneurs, ils apprennent à travailler en groupe, à s’écouter, à faire preuve de créativité. Nous espérons que ça leur donnera des idées d’orientation et l’envie de faire des études supérieures  », ajoute Mélanie, qui s’apprête à lancer un brainstorming.

Défendre son projet

L’étudiante inscrit au tableau les mots que lui donnent les élèves :

«  améliorer  », «  innovation  »,

« santé », « scolarité », « idéal »,

« égalité », autant d’entrées qui les aident à définir leur projet d’application : permettre aux plus démunis de trouver un logement en colocation. Les collégiens se mettent au travail : un groupe est chargé des fi nances, un autre du marketing et le dernier du design.

Prochaine étape  : défendre, le lendemain, le projet devant les autres classes et peut-être gagner une formation à la création 3D.

En plus de l’action menée avec l’ESCP, le collège Victor-Hugo avait sollicité en amont le Club Ville & Entreprises de Noisy afin d’organiser des visites d’entreprises. Novotel, Nisse Cartonnage, Restautraiteur ont ainsi accueilli une trentaine d’élèves durant la semaine.

«

DES COLLÉGIENS S’INITIENT AU MONDE DE L’ENTREPRISE

Durant une semaine en février, des élèves de troisième du collège Victor-Hugo qui n’avaient pas trouvé de stage en entreprise ont quand même pu rencontrer des professionnels et des étudiants,

et participer à un concours de start-up. Noisy mag a suivi une de ces classes de troisième.

Avec une amie, nous avons voulu créer notre marque de vêtements. Nous manquions d’informations. Ce concours de mini-start-up va m’aider à relancer ce projet. C’est bien ce genre d’initiatives, ça donne des idées de métiers.

Agathe,en 3e C au collège Victor-Hugo

J’aime bien travailler en petit groupe sur un projet commun. Ça change des cours et ça resserre les liens entre nous. Je veux être expert- comptable ; faire partie du pôle fi nances de la mini-start-up va m’aider pour plus tard.

Mariam, en 3e C au collège Victor-Hugo Les deux

étudiants de l’ESCP aident les collégiens, séparés en petits groupes, à travailler sur leur projet d’application pour le concours de start-up.

(23)

UNE ÉQUIPE

À VOTRE ÉCOUTE !

Pascal LAGUILLY

HABITAT, GRANDS PROJETS, SCHÉMA DIRECTEUR FONCIER

Marylise MARTINS

CULTURE

(ESPACE MICHEL-SIMON, VILLA CATHALA, CONSERVATOIRE ET LE BIJOU)

Harald POILLOT

VILLE INTELLIGENTE, RELATIONS AVEC LES ENTREPRISES ET ATTRACTIVITÉ

Sylvie HURET

ENFANCE ET ÉDUCATION

Roger ROBINSON

LOGEMENT

Joëlle HÉLÉNON

EMPLOI, JEUNESSE, SENIORS ET SOLIDARITÉS

Véronique LACHKAR

VIE ASSOCIATIVE ET DÉMOCRATIE LOCALE

Bernard DELAPLANE

SÉCURITÉ ET ANCIENS COMBATTANTS

Bellina LÉON

SANTÉ ET HANDICAP

Dayan

DOUCOURÉ

PRÉVENTION, MÉDIATION ET POLITIQUE DE LA VILLE

Paulette BENNIA

CONTRÔLE DES DÉLÉGATIONS DE SERVICE PUBLIC, RESTAURATION SCOLAIRE

Assiba ABBACI

PETITE ENFANCE

Pierre BORNAND

SPORTS

Vos adjoints au Maire de quartier vous reçoivent

les 1

er

et 3

e

samedis de chaque mois de 10h à 12h sans rendez-vous Vos adjoints au Maire vous reçoivent sur rendez-vous

QUARTIER OUEST Mont-d’Est, Pavé-Neuf, Espaces d’Abraxas, Maille-Horizon-Nord

QUARTIER CENTRE Centre-ville, Clos-Saint-Vincent, Marnois, Grenouillère, Clos-d’Ambert

QUARTIER NORD Rive-Charmante, Rives-de-Marne

QUARTIER EST Coteaux, Cormiers, Hauts-Bâtons, Champy, Butte-Verte

QUARTIER SUD

Montfort, Richardets, Yvris QUARTIER NORD-OUEST La Varenne, Bas-Heurts, Épinettes

PLUS D’INFORMATIONS ET PRISE DE RENDEZ-VOUS Contact : Secrétariat des élus - 01 45 92 76 93

secretariat.elus@ville-noisylegrand.fr

www.permanences-elus.noisylegrand.fr

(24)

En chiff res

9,1 hectares, dont 5,6 hectares de parc.

500 logements.

333 nouveaux arbres.

25 % de logements sociaux.

100 % des logements certifi és NF Habitat HQE (haute

qualité environnementale).

20 % de logements passifs ou à énergie positive.

75 % de bois dans les bâtiments (hors fondations, parkings

et cages d’ascenseur).

© Giboire/MFR/Oyapock/Mutabilis

(25)

ENVIRONNEMENT

UN ÉCOQUARTIER

EXEMPLAIRE

Le futur quartier de l’Île de la Marne a reçu le mois dernier le label ÉcoQuartier « étape 2 »,

décerné par le ministère de la Transition écologique, pour la phase travaux du projet.

Cette récompense valorise la démarche initiée par la Ville pour aménager ce secteur et encourage la commune à poursuivre ses efforts en matière de développement durable.

Zoom sur les points forts de ce projet, alors que le grand parc de près de 6 hectares sera ouvert au public dans les prochaines semaines.

Vue du parc et d’une partie des logements (perspective, programme Giboire). L’utilisation du bois permet de réduire l’empreinte carbone des logements. Le parc occupe les deux tiers de la superficie de l’écoquartier.

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