sommaire
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Vu et entendu
. . . . .3 4 5 9
. LeVade-mecul)1de la réforme
Le rapportBruegelsur les universités Lesdouzeobjectifsdu CNRS
International 11 Ils ontdit
12. Les chiffres du mois
"~3 .No.~inàtions
'14M(),risd~ médecins, plÛsde dépenses de santé
16 L'orientationsur la sellette
L'orientation fait partie des points mis en lumière par la nouvelle loi sur les universi- tés.Vie universitaire propose un état des lieux et a recueilli le points de vue d'interlocu- teurs privilégiés: P.Augé, di- recteur de la Conférence des SeUIO et H. de Monts de Sa- :"5vasse, directeur de l'ONISEP.
24 Lesuniversitésfrançaises au tempsde l'absolutisme 27 Entretien
L'UEAvient de publier un rapport sur les doctorants en Europe. Vie Universitaire a interrogé Lesley Wilson, secrétaire de l'DEA pour préciser l'objectif de ce rapport et les enseignements que l'on peut en tirer, en particulier pour la France,
28 L'Agence d'évaluation de la recherche
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et de l'enseignementsupérieur 30 Lecturet U alité
Troispour cent
Tout le monde admet qu'il faut consacre!
du PIS à la recherche, condition essentiel la croissance, elle-même condition de tout(
autres conditions (emplois, richesses...) Pourquoi 3 %? Parce que... c'est le chiffn États-Unis; cela devient donc un objectif.
Si les pays qui ont aujourd'hui la plus forte san ce ne sont pas ceux qui consacrent le d'argent, en valeur absolue et en pourcentagE R et D (l'Inde frôle les 1 %, la Chine ne les a pas), ils n'ambitionnent pas moins de le faire Pourtant, si l'on se retourne sur lesdéce
passées - et encore plus sur le
XIXesiècle
'l'exploitation industrielle et commercialE s'aperçoit qu'il n'y a aucune corrélation d entre la R et D et la croissance économiqUE
:"5
Il y a, par contre, un chaînage fort, comç parfois ténu, entre financement de l'éconl volonté d'entreprendre, formation des techni et des ingénieurs et croissance économiqu chaînage prend sans doute toute sa valeur e efficacitéquand il s'appuie ou plus exacte quand il est super- «visé» par une politiql R et D qui symbolise le progrès.
La puissance économique du japon s'est bâti
la
copieet le détournement de brevets, non:recherche.Ilen est de mêmede celle,actuelle, Chine.Lesdeux puissances ont mis en avant ouvriers,leurs technicienset leurs ingénieurs.
C'est sans doute autrement qu'il faudrait jw de la nécessité d'une vraie politique de R et on ne peut ici que rappeler ce que disait en l'OCDE: « Dans bien des cas, on ne meSUrE les retombées de la recherche publique sur lé ductivité soit parce qu'elles sont indirectes, parce que leurs résultats ne s'intègrent pas
les mesures existantes du PIS ».