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Le Morceau de sucre «Spectacle médication» Le Morceau de sucre Projet artistique Le Morceau de sucre Ligne gestuelle Morceau de sucre

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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le morceau de sucre

Le Morceau de sucre est une compagnie de danse contemporaine née en 2017, à l’initiative de la chorégraphe et danseuse-interprète Amélie Boblin.

« Spectacle médication »

Un morceau de sucre évoque à tous la douceur, le moment de plaisir simple, la convivialité d’un café partagé. Il est celui qui « aide la médecine à couler ». La compagnie est attachée à l’idée du

« spectacle – médication » : le spectacle créateur de bien-être, qui rassemble, qui libère, qui déleste, donne le sourire, non sans interroger, bousculer parfois.

Le Morceau de sucre tente d’élargir les regards, d’alléger, d’énergiser. Le projet artistique de la compagnie se veut aussi lumineux que le permet l’époque particulière que nous traversons, baignée de questionnements, d’inquiétudes individuelles et collectives. Fortement liée aux arts de la rue et partisane d’une danse accessible à tous, la compagnie s’inscrit dans une démarche de démocratisation de l’artistique.

Projet artistique

La compagnie met en scène le monde dans lequel nous évoluons, parfois absurde et hostile, trop souvent discordant, et y recherche le sensible.

Le Morceau de sucre met en corps et en mots avec réalisme et joyeuseté la relation, le sentiment, et incite à déconstruire les normes sociétales. Il louange le quotidien, l’habituel, donne à émouvoir, à sourire, à ouvrir le champ des possibles. Il fait l’éloge de la tendresse, de la légèreté et de la bienveillance.

Ligne gestuelle

La danse du Morceau de sucre est résolument expressive, engagée, incisive. Le travail de recherche gestuelle d’Amélie Boblin s’ancre dans la fluidité, et le sens (émotion, narration) est moteur du mouvement. Théâtre, mime, chant, jonglage, sont autant de langages qui viennent compléter l’écriture chorégraphique du Morceau de sucre. L’univers musical est déterminant, tant dans le processus d’improvisation en amont que dans la précision chorégraphique d’exécution.

Créations

La première création de la compagnie, Bonnes Femmes sur Banc Public (2017) esquisse le décalage d’histoires de vie, le repli sur soi et la guérison par l’ouverture à l’autre. À table ! (2019) peint les relations à l’épreuve du quotidien, déconstruit les tensions et barrières individuelles, et célèbre les douceurs ordinaires.

La compagnie travaille actuellement à sa prochaine création : un questionnement autour de la notion de parcours de vie et de chemin initiatique vers l’apaisement. Le Poids des cartons tente de déconstruire les injonctions genrées et les normes sociétales, familiales et de couple, et célèbre une féminité ressentie et éprouvée librement par chacune.

Actions pédagogiques

La transmission tient une place forte dans les projets menés par Le Morceau de sucre. La compagnie s’attache à proposer une approche de la pratique de la danse appréhendable par tous. Elle défend l’enrichissement individuel et collectif par le mouvement : estime et prise de soin de soi, développement de l’expression, des sensibilités, relâchement des tensions, apaisement ; ce adapté à l’âge et à l’histoire de corps de chacun.

Depuis sa création, la compagnie propose de nombreuses actions de pratique sur le territoire normand  : ateliers hebdomadaires réguliers, ateliers d’improvisation, interventions scolaires, rencontres chorégraphiques intergénérationnelles…

Autour des spectacles proposés, la compagnie tient à asseoir le lien tissé entre équipe artistique et public : temps de rencontre, répétitions publiques, représentations scolaires, ateliers en lien avec les thématiques abordées, résidences…

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Le Poids des cartons Le Poids des cartons

Samedi 18 avril. Printemps. Esther pousse doucement la porte de l’appartement. Son appartement.

Samedi 18 avril. Printemps. Esther pousse doucement la porte de l’appartement. Son appartement.

Inspire. Et entre. Elle voulait être là un peu avant Lisa. Avant l’énergie, la bonne humeur, les cartons, Inspire. Et entre. Elle voulait être là un peu avant Lisa. Avant l’énergie, la bonne humeur, les cartons, les trois étages à faire parcourir à la machine à laver. Avant ça, elle voulait ouvrir la porte seule.

les trois étages à faire parcourir à la machine à laver. Avant ça, elle voulait ouvrir la porte seule.

Respirer les nouvelles odeurs. Draps blancs sur les meubles. Poussière, un peu. Elle ouvre la fenêtre, Respirer les nouvelles odeurs. Draps blancs sur les meubles. Poussière, un peu. Elle ouvre la fenêtre, se déplace lentement. Mesurée, précautionneuse. Tout est à inventer. Elle aimerait bien installer une se déplace lentement. Mesurée, précautionneuse. Tout est à inventer. Elle aimerait bien installer une guirlande de lumières, mettre la table juste où le rayon de soleil entrera en fin d’après-midi, et puis guirlande de lumières, mettre la table juste où le rayon de soleil entrera en fin d’après-midi, et puis éparpiller ses livres partout. Elle aimerait bien refermer la porte. Refermer la porte sur avant.

éparpiller ses livres partout. Elle aimerait bien refermer la porte. Refermer la porte sur avant.

Esther, elle traîne le poids de ses cartons, trop chargés pour ses épaules. Esther, elle vient déposer, Esther, elle traîne le poids de ses cartons, trop chargés pour ses épaules. Esther, elle vient déposer, déposer son trop-plein de fragilités, de peurs, de questions. Elle est pleine d’envies, qu’elle étouffe déposer son trop-plein de fragilités, de peurs, de questions. Elle est pleine d’envies, qu’elle étouffe sous ses craintes. Esther, elle voudrait oublier Louis. Elle vient se construire sa tanière à elle, son sous ses craintes. Esther, elle voudrait oublier Louis. Elle vient se construire sa tanière à elle, son cocon. Esther vient se retrouver.

cocon. Esther vient se retrouver.

Et Lisa sera là. Lisa son amie. Lisa lumineuse, Lisa attentive. Et intransigeante. Lisa qui accompagne, Et Lisa sera là. Lisa son amie. Lisa lumineuse, Lisa attentive. Et intransigeante. Lisa qui accompagne, qui questionne, qui écoute, qui sait dire, qui fait pas de cadeaux.

qui questionne, qui écoute, qui sait dire, qui fait pas de cadeaux.

Le Poids des cartons

Le Poids des cartons c’est l’histoire d’un emménagement, de rideaux à poser, de souvenirs dépous- c’est l’histoire d’un emménagement, de rideaux à poser, de souvenirs dépous- siérés. C’est l’histoire du chemin d’Esther. Esther femme, avec toute la charge et le merveilleux que siérés. C’est l’histoire du chemin d’Esther. Esther femme, avec toute la charge et le merveilleux que cela contient. C’est l’histoire d’Esther qui grandit, qui s’affranchit de ce qu’on attend d’elle, qui ap- cela contient. C’est l’histoire d’Esther qui grandit, qui s’affranchit de ce qu’on attend d’elle, qui ap- prend à dire non, et à dire oui, l’histoire d’Esther qui prend sa place et qui existe, délestée de ses prend à dire non, et à dire oui, l’histoire d’Esther qui prend sa place et qui existe, délestée de ses valises.

valises.

Au travers d’Esther et de Lisa,

Au travers d’Esther et de Lisa, Le Poids des cartonsLe Poids des cartons interroge nos positionnements de femmes, interroge nos positionnements de femmes, cherche à déconstruire les injonctions, le regard posé sur nos corps, nos mots, nos agissements et cherche à déconstruire les injonctions, le regard posé sur nos corps, nos mots, nos agissements et celui, anticipé ou non, du corps social, familial et de couple.

celui, anticipé ou non, du corps social, familial et de couple.

Le Poids des cartons

Le Poids des cartons explore les fragilités, les failles, les violences, et met en geste la résilience, la explore les fragilités, les failles, les violences, et met en geste la résilience, la sensibilité, la tendresse et l’apaisement.

sensibilité, la tendresse et l’apaisement.

note d’intention

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Début spectacle :

Pièce d’un appartement – atemporel.

Fond de scène : mur en U (forme trapèze) ouverture 7 m, hauteur 1,80 m.

Murs blancs et bois clair.

Porte d’entrée en bois à cour, fenêtre à jardin, tringle sans rideaux, étagères murales vides.

Meubles couverts de draps blancs, on devine un lit simple sous la fenêtre et une table de nuit à cour, un canapé au centre, un guéridon à l’entrée.

Lumière : rayons de soleil, matinée.

La scénographie évolue avec le fil narratif : peu à peu l’appartement prend vie, à l’image de la douceur et de la gaieté d’Esther.

Trois journées ponctuent l’installation : à chaque journée une nouvelle plante en pot (petite pousse fragile / plante de taille moyenne / grand ficus envahissant et sympathique !), et un nouveau point lumineux (lampe de chevet discrète / guirlandes lumineuses / abat-jour sur pied).

Fin spectacle :

L’appartement a été aménagé. Cocon chargé et joyeux.

Décoration atemporelle.

Coussins colorés sur le lit et le canapé, table basse chargée, livres éparpillés, rideaux à motifs, fenêtre ouverte, cadres au mur, miroir discret, tapis. Trois points verts / trois points lumineux.

thematiques abordees

- Premiers cartons

/ être seul(e) : se construire, oser / prendre des décisions / soutenir et accompagner l’autre / donner l’énergie, l’élan / liberté réjouissante.

- Souvenirs - rupture

/ prendre sa place : se faire entendre : dire oui, dire non / notion de consentement / dépasser la crainte de s’opposer, de s’affirmer / colère positive.

- Consoler Esther

/ apaisement par la relation à l’autre : être attentif / douceur / laisser, déposer / accueillir.

-

Lisa et ses fragilités

/ s’affranchir des impositions familiales  : déconstruction des injonctions intériorisées / se construire au dehors / déculpabilisation.

- Le miroir

/ rapport à l’image : relation à son propre reflet et regards conjoints entre l’autre et soi / injonctions genrées (au corps jeune, mince, maquillé, séduisant sans être trop exposé...) / trouver en soi le regard bienveillant / confiance et épanouissement.

- Bataille d’oreillers

/ éducation genrée - obligation à la féminité : questionnements autour des activités « de fille », « de garçon » / lâcher prise / complicité.

- La machine à laver

/ performance et compétition : savoir dire ses fragilités, entendre celles de l’autre / prise de soin de l’autre, aide / face aux limites (notion d’échec).

- Derniers cartons

/ être bien : parole libérée / apaisement trouvé en soi, avec l’autre / entrevoir l’ouverture vers l’extérieur.

scenographie

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partenaires / soutiens

distribution

Chorégraphe : Amélie Boblin

Interprètes : Emilie Brown, Margot Jouenne Scénographie - décors : Nicolas Maze (Atelier du Chien qui fume)

Peinture, menuiserie, électricité : Jean-Charles Boblin, Serge Nicolle, Catherine Nobis

Costumes : Clotilde Gentil Univers sonore : Pierre Hamel

Arrangement « Oh Mama Dear » - Noa : Fegz Voix : Elisio, Isabelle, Léa, Olivier, Sandra, Serge, Timéo, Zoélie

Enregistrement et montage voix : Mila Deshayes Création lumière : Nicolas Kergosien

Production, diffusion : Lise Nicolle Photographie : Jimmy Carlier

Regards extérieurs : Guillaume Cahue, Sylviane Guibert, Ludivine Hilairet, Joséphine Le Duff, Jérémy Martin, Alix Vallaeys

Regard extérieur chant : Naouel Bessaï

PIAF - Bernay / Ville de Vire-Normandie / MJC La Guérinière de Caen / Fonds de Développement pour la Vie Associative - Calvados / Communauté de Communes de Souleuvre-en-Bocage / Ville du Tourneur / Collectif Local d’Actions Culturelles de Bény-Bocage / MJC Bertrand Le Chevrel de Vire- Normandie / Ville de Fleury-sur-Orne / Espace Tandem-Maladrerie de Caen.

* Avec le soutien du ReNAR dans le cadre du PEPS- Plan pour les Espaces Publics vivantS et de la DRAC Normandie

calendrier de creation

juillet 2020 / janvier 2021

sessions régulières Souleuvre en Bocage (14) / Collectif Local d’Actions Culturelles

février 2021

résidence La Halle Michel Drucker, Vire (14) juillet 2021

résidence Souleuvre en Bocage (14) / Collectif Local d’actions Culturelles 28 octobre - 31 octobre 2021

résidence Souleuvre en Bocage (14) / Collectif Local d’actions Culturelles 18 décembre - 30 décembre 2021 résidence MJC Guérinière, Caen (14) 31 janvier - 4 février 2022*

résidence Le PIAF, Bernay (27) 10 février - 17 février 2022

résidence MJC Guérinière, Caen (14) 18 mars - 23 mars 2022

résidence MJC Guérinière, Caen (14) 28 avril 2022*

journée maquette - Atelier 231 – Sotteville-lès-Rouen (76) mai 2022

La Halle Michel Drucker, Vire (14)

Première prévue en juillet 2022 au Festival des Virevoltés

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equipe

Amelie Boblin - choregraphe

Amélie découvre le jazz et la danse contemporaine dès son plus jeune âge à Caen auprès d’Evelyne Hérouf, Céline Pannier et Sylvie Kukla. Elle s’initie également au théâtre et participe au film Saint-Cyr (Patricia Mazuy) en 1997.

Elle intègre en 2003 le Conservatoire National de Région de Basse-Normandie en cycle à orientation professionnelle danse contemporaine (discipline complémentaire danse classique), elle y découvre l’écriture chorégraphique d’Héla Fattoumi et Eric Lamoureux, Laura Simi et Damiano Foa, Jesus Hidalgo, Sophie Quénon. Elle obtient le Diplôme d’Etudes Chorégraphiques en 2008.

Amélie entame en 2006 une longue collaboration avec David Louazel (Cie Urticaire). Danseuse-interprète puis assistante chorégraphique et répétitrice (Un après-midi d’été – 2008, Terminal 17 – 2008), elle expérimente un travail gestuel directement lié au sens et à l’émotion, particulièrement narratif et imagé et fortement attaché à la rue. Amélie enrichit parallèlement sa formation d’interprète : à la Ménagerie de Verre, au Centre de Danse du Marais, notamment auprès de Marion Ballester, Nina Dipla, Peter Goss, Martin Kravitz… Elle découvre également la danse-contact auprès de Patricia Kuypers.

Elle fonde en 2008 la compagnie Les Autres Pas pour une unique création : Les Uns Sensibles (Prix du public du Festival universitaire de Monastir – 2008) aux côtés du comédien Guillaume Dupeyron.

En 2009, elle crée à Vire la Cie du Lit qui Grince en collaboration avec David Louazel. Amélie met en scène En Partance (2009), L’Ephémère Barbotage (2010),  Space Turkey (2012) et Suis-moi (2016). Elle y poursuit également son parcours d’interprète.

Après le départ de David en 2017, Amélie réinterroge son écriture. Elle développe une gestuelle ample et engagée, fortement déterminée par la partition musicale, de large inspiration cinématographique et manie tant la danse que la percussion corporelle, le mime et l’écriture textuelle.

La compagnie Le Morceau de sucre naît de ce virage chorégraphique. Trois créations voient le jour : Bonnes femmes sur banc public (2017), À table ! (2019) et Le Poids des cartons (2022).

Le chemin d’Amélie est jalonné d’actions pédagogiques défendant l’accessibilité de la danse à tous publics : ateliers hebdomadaires réguliers, ateliers d’improvisation, interventions en milieux scolaire et hospitalier, rencontres chorégraphiques multigénérationnelles… En quinze ans, Amélie crée près d’une trentaine de projets spectacles amateurs.

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Margot suit dans son enfance les cours de danse moderne, classique et orientale proposés par Véronique Jouan et Aïcha Tayeb et intègre les ateliers de la Cie du Lit qui Grince en 2012. Elle suit des études de psychologie et poursuit sa formation de danseuse sur Caen avec Laurence Guilleux et Sylvie Kukla, et auprès de la Cie Les Chronophages.

Elle intègre la Cie du Lit qui Grince en 2016 pour la création La Première Vraie Aventure et rejoint ensuite Le Morceau de sucre pour Bonnes Femmes sur Banc Public (2017), puis pour À table ! (2019) et Le Poids des cartons (2022).

Elle obtient en 2019 un Master de psychologie à l’Université de Lille. Elle expérimente la danse contact et danse des 5 sens avec la Compagnie du 8 renversé et l’expression primitive avec France Schott-Billmann. En 2021, elle entre en Master 2 de Création Artistique spécialité danse-thérapie à Paris Descartes et poursuit sa collaboration avec Amélie au sein du Morceau de sucre.

Emilie découvre la danse contemporaine à l’âge de six ans au sein des ateliers de la Cie du Lit qui Grince, puis le street-jazz avec Colleen et Fizzy Richardson et le classique auprès de

Nelly de la Pastellière, au Conservatoire de Vire.

Lycéenne, elle intègre l’option théâtre. Elle participe à plusieurs projets amateurs tels que Madison de la Cie La

BaZooka au Festival Ado du CDN Le Préau, ou Les Petits Princes et Habitus Particularus de la Cie du Lit qui Grince.

Etudiante en fac de médecine de Caen, elle poursuit sa formation de danseuse auprès d’Aline Laignel, Chantal Ruault et Sylvie Kukla et entre en formation en 2019 en cycle III d’études théâtrales du Conservatoire de Caen.

Après plusieurs créations amateures au sein du Morceau de sucre, elle intègre la compagnie en 2020 comme danseuse-interprète pour À table !. En 2022, elle interprète Lisa dans Le Poids des cartons.

Margot Jouenne - interprete

Emilie Brown - interprete

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Nicolas Kergosien - regisseur lumiere

Pierre Hamel - regisseur son

Nicolas Maze - decorateur

Nicolas obtient en 2015 un DUT Information et communication à l’Université de Caen. Régisseur lumière de formation, il travaille successivement à la création et à la conduite lumière pour les compagnies : Urticaire (2007-2008), Le Lit qui Grince (2009-2017), Pensée d’artistes (2014-2016) et Bonne chance (2017-2018). Il met en lumière les concerts du Bazarnaom de 2017 à 2018 à Caen.

Il crée en 2014 le Festival Arbrazik (concerts, spectacles…) dont l’édition a lieu chaque année à La Demeurée (14).

Parallèlement, il travaille comme régisseur site pour les festivals Rock en Seine, Solidays, Beauregard et Les Papillons de Nuit.

Il rejoint Le Morceau de sucre en 2017 pour la mise en lumière des versions salle des trois créations de la compagnie, après huit ans de collaboration avec Amélie au sein du Lit qui Grince.

Ingénieur du son dans les musiques actuelles de formation, Pierre travaille comme régisseur son au Quai des Arts à Argentan de 2013 à 2016 ; il se familiarise avec les différentes formes du spectacle vivant. À la suite de cette expérience formatrice, Pierre suit des artistes en tournée comme le groupe rock Veik ou encore le duo électro Glass, et travaille au théâtre de Caen, au Cargö et autres nombreuses salles de la région normande. En parallèle, Pierre est musicien, il étudie la trompette et la formation musicale jusqu’en fin de 3ème cycle au Conservatoire de Caen.

Il fonde en 2018 le label Onto Records mêlant musiques électroniques et arts plastiques et créé un projet personnel de recherche musicale : Outrenoir.

Pour ce dernier, Pierre bénéficie du soutien du FAR en étant Lauréat GO+

en 2020.

Pierre rejoint Le Morceau de sucre en 2019 pour À table ! et poursuit la collaboration avec Le Poids des cartons.

Nicolas Maze débute sa carrière comme ouvrier-charpentier et se tourne ensuite vers la transmission : il enseigne en lycée professionnel pendant de nombreuses années. Riche de ces expériences, il devient artisan en 2010 et s’investit dans la valorisation des bois locaux ainsi que dans les bois de section au sein de la structure.

Il fonde l’Atelier du Chien qui Fume, lieu de création, de partage et d’échange de savoir-faire.

Nicolas y crée les décors de Dedans (2012) et de La Première Vraie Aventure (2016) pour la Cie du Lit qui Grince. C’est grâce à lui, assisté de son collègue, Guillaume, que la cuisine d’Aline, Juliette et Lucie prend forme en 2019.

En 2022, la compagnie fait de nouveau appel à lui pour la création de l’appartement d’Esther dans Le Poids des cartons.

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contacts diffusion / production

Lise Nicolle / 06 31 14 33 17 lise@lemorceaudesucre.com Amélie Boblin / 07 81 44 60 17 amelie@lemorceaudesucre.com

1, rue des Halles, 14500 VIRE www.lemorceaudesucre.com

N° SIRET : 515 189 868 00018 / Code APE : 9001Z Licences d’entrepreneur : L-R-21-014863 / L-R-21-014864

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