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Procès-verbal Commission Pastorale Réunion du 17 novembre 2020

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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Présents :

Mesdames D. Baude, I. Braibant, A. Brochier, C. de Biolley, T. Hebbelinck, S. Allaux, C. Werbrouck.

Messieurs B. Durand et P. Neven.

Excusés :

Messieurs C. Bodiaux, B. Hallet et M. l’abbé F. Hosteau.

PARTAGE DES VÉCUS DE TERRAIN LORS DE CETTE SECONDE VAGUE PANDÉMIQUE

Chaque participant est invité à donner un écho de ce qui est vécu dans son institution au cours de cette seconde vague de la pandémie.

Isabelle Braibant – MontLégia

Envoi d’un courrier à la direction générale demandant :

- de ne pas séparer les services essentiels et non essentiels dans l’accompagnement spirituel des patients - de rester sur le terrain relationnel pour accompagner les fins de vie.

Cela ne concerne que les salariés reconnus comme travailleurs de l’institution. Ils interviennent à la demande et toujours en lien avec l’équipe soignante.

Caroline Werbrouck – MontLégia et vicariat de la Santé pour le diocèse de Liège

Du point de vue du vicariat et du diocèse, ces derniers ont accepté l’accès de tous dans les hôpitaux, personnel accompagnant rémunéré ou non. Mais il y a plus de malades parmi les équipes. C’est davantage ce point qu’il faut gérer.

Bernard Durand – MMI

La situation est difficile dans les MR/S du Hainaut : beaucoup de personnel absent ou en quarantaine. Dans l’institution de Bernard la situation est sous contrôle pour le moment mais ils ont des lits vides, ce qui est très rare !

Au niveau spirituel : suppression des célébrations eucharistiques ; pas de passage dans les chambres ; sacrements peuvent être donnés mais l’accompagnement spirituel ne peut pas se faire comme souhaité ! De leur côté, les directions doivent gérer les circulaires et directives qui se multiplient au jour le jour…

Pierre Neven – CHR Mons Hainaut

À Mons-Warquinies, il y a beaucoup de patients covid. Certains services sont fermés.

Au niveau spirituel : plus de célébrations ; les bénévoles de l’EAH ne viennent plus à l’hôpital ; Pierre est le seul à être disponible et va visiter les patients non covid sauf s’il y a des demandes chez les patients covid.

Claire de Biolley – MR/MRS de l’est du BW

Les situations sont très diverses (contexte avec de multiples variables) : - il y a des lieux où les aumôniers ne sont pas sollicités ;

- d’autres où leur présence est encouragée ;

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- beaucoup de souffrance chez les personnes âgées : parfois non tenues au courant du décès d’un voisin de chambre ou d’un autre résident…

- de même, la situation est de plus en plus difficile pour les visiteurs (qui sont souvent aussi des personnes seules). Nécessité de les soutenir, notamment via des petites réunions Zoom qui sont des moments de partage importants pour eux.

Aude Brochier – Jolimont :

À Jolimont, les quatre salariés continuent leurs visites et vont également sur demande dans les unités covid, parfois accompagnés d’un prêtre.

Un bénévole tient la permanence les mardi et jeudi après-midi.

Un domaine dans lequel Aude est fortement sollicitée est celui du volontariat. Elle gère les bénévoles dans les unités non covid et depuis le lundi 16 novembre dans les unités covid également.

Les frères et sœurs de la communauté de Tibériade ont proposé d’apporter une aide logistique. Ils ont reçu un très bon accueil. Aude constate que les soignants sont demandeurs d’avoir à leur côté des personnes disponibles pour écouter les patients. Ils sont contents de la présence de la communauté dans les unités covid.

Dominique Baude – Ghdc :

Il y a environ 200 patients covid qui sont hospitalisés à Charleroi. Il y a beaucoup d’unités covid ou mixtes.

Les situations sont compliquées : manque de personnel et saturation du personnel. Il a fallu recourir au soutien de l’armée amenée à gérer des situations de violence notamment à l’entrée de l’institution (personnes voulant pénétrer à tout prix dans le bâtiment ; personnes refusant de mettre le masque, etc.).

Au niveau de l’accompagnement spirituel :

- une cellule d’accompagnement des patients avait été mise en place lors de la première vague. Elle a été remise sur pied lors de cette seconde vague

- même constat que chez Aude : les soignants sont demandeurs pour qu’on aille dans les chambres → ils orientent les membres de l’EAH vers les patients qui ont le plus besoin de soutien

- rôle de soutien de l’EAH pour le personnel de l’hôpital : cf. les « relations de couloir » - pas de célébrations depuis mars

- un prêtre donne les sacrements mais il n’est pas à l’aise en raison de son âge. Ils ont donc fait appel à un prêtre plus jeune d’une paroisse.

Au niveau bénévolat :

- Dominique est la personne qui centralise tous les apports de volontaires extérieurs mais elle ne gère pas la mise en place de ces services (renvoi à la RH).

- souhait de l’hôpital : ne plus vivre ce qui s’est passé lors de la 1ère vague, à savoir que les malades ne reçoivent aucune visite :

➢ création d’une fonction « référent infirmier » qui est immergé dans l’unité et connait les familles : donne régulièrement des nouvelles à ces dernières.

➢ suivi et lien hôpital/familles auquel ils sont très attentifs.

➢ développement d’outils de communication virtuelle pour le patient et sa famille → technologie

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- candidats bénévoles :

➢ ils ont reçu une proposition d’aide de 3 paroisses mais ils ont choisi de ne pas y faire appel

➢ les candidats bénévoles « extérieurs » qui sont plus facilement acceptés sont des infirmiers retraités ou des étudiants en infirmerie.

➢ mais, estime Dominique, ce n’est pas évident d’intégrer en situation de crise des candidats volontaires qui sont extérieurs à l’institution et extérieurs au monde des soins de santé en général.

Discussion sur l’accueil de bénévoles extérieurs

Aude réagit aux propos de Dominique. De son côté, elle était fort prudente au départ. Puis la direction l’a invitée à tenter le coup. Des bénévoles se sont présentés spontanément. Ils avaient des profils très différents des candidats habituels : des personnes jeunes ; qui travaillent mais veulent donner de leur temps.

Aude expérimente et voit les fruits apportés par la présence des bénévoles dans les différents services. Ils remontent le moral aux soignants. Elle remarque aussi que des portes s’ouvrent grâce à la présence des frères et sœurs de Tibériade. Ex. : on a proposé de leur prêter une voiture, de les héberger.

Les candidats bénévoles reçoivent une formation express et sont très vite autonomes. Aude ne fait « que » coordonner leur travail.

Au niveau com, Aude a été très claire : les frères et sœurs de la communauté de Tibériade ne sont pas des bénévoles de l’aumônerie mais ils sont là pour l’aide logistique.

Caroline : au CHR, un appel aux bonnes volontés a permis d’avoir le « quota » de bénévoles nécessaire en 2 jours !

Isabelle : au CHC : appel à des bénévoles logistiques. Ils sont relativement jeunes et sans lien avec l’équipe d’accompagnement spirituel puisqu’il y a un responsable volontariat qui est distinct d’Isabelle (responsable pour l’accompagnement spi). Ces bénévoles gèrent les colis des familles et le linge.

Tri des patients

Thérèse demande si le tri des patients est une réalité qu’ils rencontrent ou ont entendu parler sur le terrain.

Aude : très vite, un médecin en SI a remarqué que les patients de + 65 ans (devant être intubés) avaient peu de chance de s’en sortir. Il y a des patients qu’on ne descend pas volontairement en SI car ce service est saturé. Cela provoque des drames familiaux qui ont lieu quotidiennement devant les unités covid. Ces situations sont très difficiles psychologiquement pour les soignants. Aude constate clairement que le critère de l’âge entre en ligne de compte pour transférer ou non un patient en SI. Le service de SP est quant à lui fermé. Cela interpelle : il s’agit d’un service qui est considéré comme un « plus » quand tout va bien mais dont on peut facilement se passer quand la situation dégénère.

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Isabelle : le service des SP est également fermé au CHC. Le tri existe en dehors des pandémies mais il a pris plus d’ampleur pendant cette crise. Il faut remarquer qu’il y a plusieurs types de SI, ce qui permet d’être respectueux de l’évolution des patients. Si le pronostic évolue bien, le patient est transféré dans un nouveau service SI (plus « light » que le précédent) et enfin dans un service banalisé. Il y a une volonté de donner toutes ses chances aux personnes. De facto, il y a beaucoup de turn over, beaucoup de sorties et de gens qui rentrent chez eux plus ou moins guéris.

Bernard : au début de la première vague, le tri des patients a été davantage ressenti puis cela s’est estompé suite à l’intervention des médecins. Cette question du tri est une question éthique et médicale. Au niveau médical, on gère bien les situations en MR/MRS : matériel et personnel pour faire face ! Cela permet d’éviter l’hospitalisation de nombreuses personnes. Mais quand il faut hospitaliser, ils le font. Mais il faut se poser les bonnes questions et être dans la nuance : p. e. : une personne de 85 ans pourra-t-elle subir une intubation ? Est-ce la meilleure solution pour elle ? Bernard n’a pas le sentiment qu’on laisse mourir les gens en MR/S !

Aude renchérit : ce n’est pas parce qu’un patient n’est pas admis en SI qu’il n’est pas bien pris en charge.

Caroline évoque un tri dont on ne parle pas beaucoup : quand on ferme un service, notamment en psychiatrie et qu’on doit décider quels patients seront renvoyés à leur maison. Il s’agit d’un tri !

Bernard évoque un cas rencontré dans son institution lors de la 1ère vague : une personne ayant des troubles cognitifs a dû être hospitalisée mais n’a pas été testée. À son retour, elle a été mise en quarantaine dans la MR/MRS et a eu le sentiment d’être emprisonnée. Cela a suscité des tensions dans l’équipe. Les Comités éthiques devront analyser ces vécus.

Thérèse termine ce temps de partage en présentant le nouvel organigramme d’Unessa et en explicitant le nouveau nom de son service « Éthique et société ». Elle précise que cela n’enlève rien à sa mission de conseil pour les questions pastorales et spirituelles.

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MODÈLES POSSIBLES DINTÉGRATION DU SERVICE DAUMÔNERIE DANS LES INSTITUTIONS

Thérèse présente différents types d’intégration (ou de non-intégration) d’un groupe dans un autre groupe.

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Explicitation des termes repris ci-dessus : Destruction :

- Comme le nom l’indique, action de faire disparaitre, de détruire.

Exclusion :

- Action d’exclure certaines personnes d’un groupe où elles avaient auparavant leur place.

- Personnes marginalisées, mises à l’écart du groupe, car elles ne correspondent plus au modèle dominant.

- Fruit d’un processus plus ou moins brutal de rupture des liens sociaux.

Ségrégation :

- Fait pour une personne ou un groupe de constituer une unité distincte par rapport à un autre groupe/ensemble.

- Séparation imposée, de droit ou de fait, d’un groupe social d’avec les autres.

Assimilation :

- Action de rendre semblable des personnes au reste du groupe.

- Personnes assimilées sont « moulées » dans un modèle social unique.

- Adhésion totale aux valeurs du groupe.

Intégration :

- Action de faire entrer dans un ensemble en tant que partie intégrante.

- Ce qui prime dans ce modèle : c’est l’adaptation de la personne ou du groupe, ce qui n’interdit pas le maintien des différences → personne s’adapte, se transforme, se normalise par rapport au système préexistant.

Inclusion :

- Action d’inclure dans un ensemble et de donner une place de plein droit.

- Ce qui prime dans ce modèle : c’est la flexibilité de l’organisation accueillante : cette dernière accepte de se transformer, de s’adapter, de moduler son fonctionnement pour faire place de plein droit aux nouveaux venus.

L’organisation offre un « chez soi pour tous » sans toutefois neutraliser les besoins, désirs et destins singuliers.

Dialogue créatif :

- Modèle qui ne peut pas exister sans passer par le modèle 5 (intégration) ou 6 (inclusion).

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Thérèse interroge les participants :

- Dans quel modèle situez-vous votre équipe d’aumônerie ? - Idéalement, dans quel modèle souhaiteriez-vous être ? Dominique :

- Au fil de la présentation, se sentait aller d’un modèle à un autre : 2, 6, 7, …

- Estime qu’il faut faire une distinction : parle-t-on d’une intégration par rapport à la direction, par rapport aux soignants, etc. ?

- Concernant le lien à l’institution : ils sont intégrés et en certains lieux inclus. Dans certains services des réflexions ont été menées ensemble → collaboration coopérative ; projets créatifs mis un temps à l’arrêt à cause du covid. Cette pandémie sera-t-elle un tremplin ou non pour la suite de ces projets communs ? - Par rapport à la direction et au N+1 : cela dépend des personnes et des secteurs. Il y a des lieux où cela

se fait.

- Au plus on avance vers une inclusion, au plus cela parlera de soi : on devra moins définir ; on aura moins besoin de formuler le « pourquoi de notre présence ».

- En conclusion, elle remarque que quand le travail est fait en lien et avec le terrain (les soignants), cela répond à un besoin des soignants. Au niveau de la structure cela reste plus fragile.

Bernard :

- Au niveau de MMI, on peut parler d’inclusion mais cela dépend du niveau d’analyse. Par ex. dans le comité de direction, il a l’impression qu’il y a des priorités mais que la pastorale n’en fait pas forcément partie. Il constate qu’il y a moins d’intérêt qu’avant pour ces questions.

- Rapporte une anecdote révélatrice : un collègue l’a interpellé en disant « Quand on recrute pour Maison Marie immaculée », ça rebute, du coup on met simplement les initiales MMI.

- Estime qu’il faut avoir les moyens pour être dans un modèle inclusif.

- A l’impression que la pastorale se dissout. Des petits éléments mis bout à bout montrent que finalement ce n’est pas simple. Il faudrait un permanent qui gère cette question pastorale avec – pourquoi pas – celles liées au volontariat, à l’humanisation, etc.

Caroline :

- Souligne une autre particularité dont il faut tenir compte : il y a ce que les directions permettent comme

« visite d’hospitalité » parce qu’ils ont confiance dans telle équipe mais qu’ils ne signeraient pas sur papier.

Isabelle :

- L’objectif est de tendre vers une intégration mais il y a des mots plus subtils pour préciser vers quels types d’intégration on veut tendre.

- Il faut privilégier le dialogue créatif → c’est un désir qui est présent depuis le début et a permis de travailler parallèlement avec la direction (place dans l’organigramme) et avec le terrain.

- Condition sine qua non : avoir une pertinence sur le terrain : une EAH qui a la confiance des soignants, qui travaille en lien avec eux, qui ne fuit pas les situations difficiles et qui fait ensuite des relectures des expériences de terrain avec la direction.

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- On s’adapte à l’institution mais elle s’adapte aussi à nous : ex. : choix de maintenir une chapelle et de créer un lieu interconvictionnel → c’était un point de tension avec la direction mais elle a accepté de revoir sa position.

- Le retour de tout cela : le respect dans la différence ! Aude :

- Les initiatives et la créativité permettent d’être intégrés. Le service d’aumônerie ne reste pas fermé sur lui-même.

- Au plus on propose un dialogue créatif, des initiatives bien accueillies, au plus on viendra vers nous ! - C’est dans cette optique-là que Aude a accepté des tâches qui ne relèvent pas directement de

l’aumônerie mais cela permet de donner de la visibilité et de montrer l’ouverture de ce service.

- Pour la direction, l’EAH est un service comme un autre.

- Pour les soignants, cela dépend…

- Mais, insiste Aude, il faut faire preuve de créativité.

Claire :

- Constate un peu tous les modèles dans les MR/MRS qu’elle « supervise » au niveau du BW : de la ségrégation à l’inclusion.

- Remarque : en certains lieux, cela se passe très bien entre l’équipe des visiteurs et les professionnels car il y a une bonne entente mutuelle mais quid si l’équipe change ?

- Espère que la créativité et les activités déployées pendant la crise sanitaire serviront dans l’après covid.

- Il faut œuvrer pour un dialogue créatif mais on n’y est pas encore ! Pierre :

- Service d’aumônerie encore méconnu ou mal connu dans l’institution. Il faut se battre pour être reconnu dans les services.

- Au niveau de l’institution : il y a une volonté de garder une place, un poste rémunéré mais à nouveau il faut se battre pour le maintenir.

- Mais l’EAH reste attendue par certains patients.

- Le dialogue est bon avec les infirmiers → EAH non refoulée.

- Mais Pierre est fort seul, ce qui n’est pas facile !

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Aude :

- La crise covid pourrait être une chance. Elle donne son exemple. Lors de la première vague, elle n’osait pas aller dans les services covid car il n’y avait pas assez de matériel de protection. Il fallait dès lors les laisser pour les soignants. Aujourd’hui, elle ose pousser les portes et ne se limite pas aux services non covid. Elle pousse aussi les portes des services covid et remarque que les soignants sont en attente. La présence de la communauté de Tibériade a donné la force de faire ce pas.

Merci à tous pour cet échange ! Nous nous retrouvons – nous l’espérons en présentiel – le lundi 18 janvier !

Belles fêtes de fin d’année à tous malgré ce contexte difficile !

«

Puisses-tu savourer chaque menu plaisir qui t’est offert, accueillir chaque événement comme une occasion de grandir, recevoir et donner le cœur grand ouvert

».

La consolation de l’ange, de Frédéric Lenoir.

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