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Musée des Beaux-Arts

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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L . A T K l B D K l ü U E G E I È T K « l i t 1 5 J A N T I F K 1 9 1 4

C H R O N I Q U E L O C A L E

M O N C A L E P I N T e nta tio n.

Ça, mes honnêtes gens, la bise est bien ' flurc et celui qui n’a pas de pardessus jicut être tenté par le pardessus d’autrui, .surtout quand ce vêtem ent est à portée tle main, dans un vestiaire non gardé, '-«t qu’il est encore en bon état. Car que voudriez-vous qu’on fît d’un pardessus somma on en voit ta n t e t dont no se jiôucierait pas le fripier et encore moins ■ma « tan te ? »

Le col graisseux, les pans imprégnés «l’une boue que n’enlève plus la brosse la plus vigoureuse, des plis lamentables partout, des poches boursouflées comme des yeux de gosses après un grand déses­ poir, personne n’aurait songé à prendre induem ent ce panlessus-ià dans la salle «lu restaurant d’un hôtel de la rive gau­ che, comme c’est arrivé l’autre soir.

Il faut se draper de modestie. Ça n’est peut-être pas très chaud, mais, du moins, <;a ne fait envie à personne.

Tendis que si vous vous m ettez à po r­ ter des pardessus Mylord, il est clair qu’on se dira : « E n voilà un qui a joli­ m ent su rem bourrer son immeuble. » E t, du coup, toutes les concupiscences prendront feu comme branches de Noël dans une cheminée.

Ce n’est pas pour excuser le moins du monde le voleur du pardessus du Mon­ sieur qui dînait dans un re stau ra n t de la live gauche. J ’espère q u ’on l’arrêtera et' qu’on le m ettra au chaud, puisque t ’est m anifestem ent ce qui lui m anquait.

Mais i! est clair aussi que si on n’avait pas pris la sotte habitude de se vêtir, la nature s’en serait chargée d ’une façon ou d ’une autre et que le Monsieur du restau ran t n ’au ra it pas été, l’autre soir, en grand danger d’attrap e r une fluxion de poitrine.

On a to u t gâté.

G a v r o c h e .

Refîtes Informations $!u Jour

— Le s liqu ida tio n s de co m m erc e On nous ccrit :

Vous intéresserioz sans doute un grand nom bre de vos lecteurs en leu r faisant savoir s'il existe u n règlem ent ou une loi su r les liquidations de commerce.

U ne bonne loi p rotégeant les com m erçants d ans ce dom aine p a ra ît de to u te nécessité, à la condition toutefois qu'elle ne reste pas le ttre m orte comme c 'e st hélas tro p souvent le cas chez nous.

***

Nous pouvons dire à notre correspondant, q u ’uno commission extra-parlem entaire p ré­ sidée p a r M. le conseiller d :E ta t M aunoir, chargé du d ép artem en t du commerce e t do l'industrie, élabore un projet de loi su r la- police du commerce e t qu:il s'y trouvera des articles : déballage, liquidation, concur- voriee déloyale, etc.

— E t à G e n è ve ?

Plusieurs compagnies d ’assurances opé­ r a n t dans le canton do St-G all, o n t décidé «rabaisser le ta u x des prim es d ’assurances éta n t donné la valeur d u corps des sapeurs- pom piers cfc l'cxcelence de leur m atériel.

— M usée des B e a u x - A r t s .

Le Conseil ad m in istratif a décidé d ’ac- quérii: pour le Musée des B eaux-A rts do l a Ville .de Genève, les-œ uvres suivantes i d eu x études do Boudin e t de D aubigny; avec la p articip atio n de. la Société auxiliaire du M usée; un p o rtra it de M athias M orhardt, p a r H odîer, e t deux œ uvres do Nieder- Ïiausern-Rodo, « l’A n d an tc d, e t le groupe bronze u V én u s'p assan t d e v a n t le soleil».

Cette dernière œ uvre figurera à une e x ­ p osition rétrospective, qui a u ra lieu à Berne, dans le courant de cette année.

— P a r c M o u -R e p o s .

L e Musée E thnographique du Parc Mon- R epns sera ferm é jusqu’à fin janvier, p o u r lau sç1 de nettoyage des collections.

— O r d re de s ervice .

U n ordre do service rigoureux enjoint- nux -conducteurs des voitures fermées île la C. .G. T . E ., ligne de G rand-L ancy, de te n ir la porte do la plateform e arriéro ou­ v erte.

Mercredi soir, su r la voiture 112, un v o y a­ geur qui te n a it à rester d eb o u t te n ta , m ais vainem ent, de ferm er la porte : <t O rdre de service, fit le conducteur; croyez bien que j ?aim erais m ieux ferm er -cette porte. »

— Soirée de B e lle s -Le ttre s

L ’ancienne Comédie, à la Maison com m u­ nale de Plainpalais, é ta it tro p petite pour

contenir les spectateurs venus nom breux à la soirée annuelle de la Société de Belles- Lcttres.

D ans l'assistance, très élégante, on rem ar­ quait do fo rt belles toilettes féminines qui contrastaient harm onieusem ent avec le frac ou l’habit noir e t les couleurs rougo e t verte.

Nous avons noté la présence de MM. Ic recteur Mayor, les professeurs Yung. Fehr, e t Choisy, des délégués de Zofingue, des re­ présentants de Stella, des E tu d ian ts français e t de toutes les sociétés universitaires, ainsi que d 'u n grand nom bre de Vieux-Bellet- triens.

L a soirée d éb u ta par un prologue en un acte, e t en vers, dû à M. Moriaud, très bien joué p ar Mlle H en ry e t deux Bellcttriena. Im Pupille, comédie en iui acte, do Fagan, également bien rendue p ar Mlles M argue­ rite Couard, E m m a Sartorio e t MM. Emile G audet, Ami Lossic-r e t Paul Baym ond. Puis le Barbier de Séville, comédie en 4 actes, do B eaum archais, perm it d ’applaudir ses excellents interprètes, artistes talen tu eu x e t réputés, Mlle Gilberto H enry, MM. X a ­ vier Bu isin, Je a n W achsm utli. Georges Droz, Je a n V ungnat, M arins Noul, H enri Biiod, G ustave Favre, L a mise en scène é ta it très bien réglée p ar Mme A. Chantre.

U n bal très anim é, sous la conduite de l'orchestre d'Allessandro, term in a ail p etit jo u r cette brillante soirée qui laissa à chacun le meilleur souvenir, e t fa it bien augurer des fêtes qui au ro n t lieu prochainem ent pour com m émorer le 90mo anniversaire de cette société.

On a beaucoup adm iré dans la sallo de bal le nouveau drapeau, dessiné p ar M. D unki e t brodé p a r la maison K eller e t R ichard, à Genève.

— L a m o r t du v o iiu r ie r A r d in . . On sait que le professeur M égevand, qui a fa it l’autopsio nu corps d ’A rdin, trouvé dans lo R hône, n ’a constaté aucune trace d ’ecchymose ou de contusions.

De l'avis de la police, il y a u ra it suicide. C ette opinion n ’est pas partagée p a r un vieil ouvrier domicilié rue du Tem ple, qui tra v a illa it dans la n u it même où A rdin se serait jeté dans le R hône; il e n te n d it du sixième étage où il habite un b ru it de pnp, une courte dispute e t uu cri bien vite étouffé.

11 regrette de n ’avoir pu descendre de son ap p artem en t pour se rendre su r le quai, près de la passerelle, d ’où il a v a it entendu les

bruits. •

— C lu b h yg ié n iq u e de P la in p a la is M ercredi a eu lieu rassem blée du Club hygiénique de P lainpalais, sous la présidence de M. M cnnillod. U ne cinquantaine de m em ­ bres av aien t répondu à l ’appel. M. Willem in, m aire de P lainpalais, est nom m é m em bre honoraire, en reconnaissance de l’in térêt qu'il porto à la société. L ’assemblée a décidé de prendre p a rt au cham pionnat de Berne à l’E?:position, en ju illet prochain. Puis on a procédé au renouvellem ent du com ité, qui est composé comme su it : MM. M. M ermillod, président; A. Z achm ann, vice-président; H. F avrod, secrétaire, C. A ddor e t M. Vigny, vice-secrétaires; H . Vign}% tréso rier; F. M au­ let, vice-trésorier; C. Mani e t J . B ertlioud, m em bres a d jo in ts; M oniteurs : L. C'orboud, P . W erhly, A. Zachm ann. L. M uller porte- drapeau.

L a soirée annuelle aura lieu à la salle com ­ m unale de Plainpalais, le 7 m ars prochain.

Les cours do culture physique comm ence­ ro n t le lundi 2 février, sous la direction des m oniteurs, au local, rue des M araîchers.

— C h e z les o u vrie rs de l’ a lim e n ta tio n -Le com ité de la Fédération de l'alim en ta­ tio n informo les m em bres de toutes les sec­ tions que, à p a rtir du 16 courant, les secoure do m aladie e t de chômage seront distribués À Ja Ghairibre du trav ail, rue du Tem ple, 10,

a u p ro m it. étage, . .

— C h e z les épiciers.

; R éunis en assemblée, hier soir, ît la C ham ­ bre de trav ail, les commis-épiciers o n t pris connaissance d ’un p ro je t de tarif soumis par quelques maisons. Les commis recevraient dé 130 à 245 francs p a r mois e t les livreurs âgés de 16 à 20 ans, de 80 à 130 francs. , L a ferm eture des magasins au rait lieu ii 10 heure du soir, lo sam edi à 9 heures ] /2. E n outre, les magasins ne seraient pas ou­ verts lo dim anche.

— U n e discussion qu i fin it m a l.

M. H. B illard, typographe, m angeait une fondue dans u n café de l’avenue de Lancy, lorsqu’il fu t provoqué p ar deux consom m a­ teurs, M M E. e t D. A u n m om ent donné, co dernier saisit M. B illard au collet, le frap p a et lui déchira ses vêtem ents. M. B illard a déclaré

qu’il déposerait uno plainte.

— L e « cito yen » C o c h o n à G e n è v e . On a annoncé que l’illustre dém énageur parisien fera, dans le courant de février, une série de conférences dans la Suisse ro ­ m ande.

Sous Ic3 auspices du Syndicat des loca­ taires du canton do Genève, qui est affilié à l’Union ouvrière, M. Cochon fera, à son arrivée en Suisse, une conférence dans notre ville.

— AssSm blée générale de l’ U n io n o u ­ vriè re .

M. G alséran, qui présidait, à la Chambre du trav ail, l’assemblée généralo sem estrielle de l’U nion ouvrière, a donné lecture d ’un ra p ­ p o rt sur l’activ ité de l’Union, qui a adm is dans sou sein hu it nouveaux syndicats, ce qui porto à tren te-d eu x le nom bre des organisa­ tions affiliées.

U ne longue discussion s’est engagée au su jet du m ouvpnient entrepris p a r les ébénis­ tes. Il a été donné connaissance à l’assemblée des versem ents effectués en faveur des gré­ vistes p a r les boulangera rom ands, les bou- ehers-charcutiers, les pelletiers, le3 tailleurs, les ouvriers su r cuir, les bijoutiers, les ch ar­ bonniers e t les ram oneurs.

L a question du syndicat obligatoire sera étudiée d 'u n e m anière approfondie dans une prochaine assemblée do l’Union.

— V ic tim e s du fr o id .

M. D om inique R o th , 46 an=, s’est affaissé dans uno salle d u café Berlie, rue du P ort où il est domicilié.

A iSt-Gervais, M. E. K nuchel, tailleur, a été frappé d 'u n e congestion e t ram ené' chez lui, rue G renus, 41, dans un é ta t alarm an t.

S ur l'avis des médecins, les deux m a ­ lades o n t été tran sp o rtés à l’H ôpital can tonal.

— P a tin a g e de Flo ris s a n t.

B rillante réunion, mercredi soir, à hétan g de Florissant, où une nom breuse et élégante assistance s’é ta it donné rendez-vous.

L ’orchestre d ’Alcssandro é ta it de la partie; c’est dire que le suecè? fut. complet. L a glace é ta it superbe e t l’éclairage électrique ajo u ­ ta i t uno note féerique à l’étang. Le froid très vif a stim ulé l’ard eu r des fervents, au nom ­ bre desquels nous avons rem arqué M. e t Mme Raynalcl Moynicr, ' Mme de Siiupy, Mlle D elvar, M. G ustave de Geer, Mlles K archer, M. René M irabaud, Mme Léon M artin, etc.

Si la tem p ératu re se m ain tien t aussi fa­ vorable, la. direction sera bien inspirée en organisant de nouvelles fêtes de n uit, a u x ­ quelles la bonne société aime à se rendre nom ­ breuse, comme on a pu le co n stater hier mercredi.

V endredi, fête de n u it avec l’orchestre d ’Alessandro.

E n Suisse la tem pérature reste égalem ent basse; on signale des neiges dans le sud du Tessin. Veut est. .. . ■ _

-A Genève e t dans la région, ciel gris e t froid; le therm om ètre m arque —2 & midi.

Bulletin des C. F. F. — Stations d’hiver 15 janvier, 8 h. matin

Cinquième

Edition

6 heures

— Q u ’ y a -t-i! ris y ra i dans cctts liisioire? On noua assure de source bien renseignée q u 'u n e e n q u ê t e discrète serait ouverte de­ puis une quinzaine de jours au su je t d ’un A llem and domicilié dans notre ville, à la Servetie. Ce personnage a u ra it, dit-on. h ab ite une grande ville de la Suisse où il

S’é t a i t , signalé à la police p a r un m anque de profession très défini.'

— A propos d 'u n in cen die.

M. Vogt, juge d ’instruction, s’e-st rendu jeudi m atin à M alval pour interroger divers tém oins dans l’affaire d ’incendie volontaire do n t nous avons parlé récem m ent.

— D e la ’ c a sse».

En la n ç a n t des pierres, des gamins ont brisé m ercredi après-m idi, une glace de 125 fr., au café de Mme G layre, rue Neuve d u T em ple, 48.

— Service In te rro m p u .

Le service dès lignes de S t-Ju licn , Grand- L an cy e t Ceinture a subi une pertu rb atio n assez - considérable m ercredi soir p a r suite d 'u n accident survenu à une voiture c la place du Cirque.

r - V o le u rs dp c h a p fia u x .

Cinq chapeaux do dam p m t été volés m ercredi dans le vestiaire des employées de MM. Sm allm ann e t T erry , rue do B erne,

SSio 61.

! — Sous m a n d a t :

i’ U n nom m é-G crvais D ., sous m a n d a t de C o m telaïy . (Jura.-Bernois), a ■ été arrêté jbudi m atin à Sauverny p ar les gardes*- ruraux.

S T A T IO N S . |CiHKSU!> TJ55I L'S cou Iim . Ad cl hod e n ... —12 Florin.1 1001 -A n d e r m a t t ... —11 N u a g o u x . itiiH -A ro s a ... - 1 0 N u a g e u x . . lU O f Los A v a n t s . ... — 13 B i'a m e u s . 30 .11 40 C a u x .. .V... —13 Be'iitû. ' 00 ii nu C lia m p ô r y ... - 1 4 llcM i. .. 30 i l 4U C h âteiiu . d ’Ü e x ... . . - 1 « B e ^ i . . , 30 i\ /i(l E n g e l b e r g ... - 13 (îolivorfc. 1 6 àlOÜ G r in d e lw îild .. - 1 S D ru m e u x . Tj û IUU-(S.staad. . .1... - — 14 BlilliU. f ■ i VU) -il 50 K a n d e r s te » ... —14 Nurigoux^, . üO a .'ia K l o s t e r s ... —l(i DtSiçn. ‘ 100 1-] jQ u z ü rh e id e ... - 1 1 N u tig e n x . ' ■ 75 à 100 L e y s i u ... . —H N u a g e u x . 40 à £10 M o n ta n a -V e rm a l a . —12 N i^ijgeux. .. 40 H G0 M t-S o le il (S t.lm ie r ) —13 N eigo. 40. :i 50 M u n e n ... —12 N n h ç à u x . - 400 ^ Lo P o n t ... —11 C o u v e rt. . 30 il GO llig h i-K u ll h a d ... - 1 4 N u n g e n x . 100-1-S to -C ro ix -L . B asses - n B ru m e u x . 40 il ÜO V illa rs-C h e * ii« re s.. —14 N u a g e u x . t;o si

W a îd h a u s -l^ liin s . . - 1 4 B eau . 100 \

VVengcn . . . —14 (Couvert, CiO û 7 a Z w o is im m e ii... - 1 4 B ea u . •J0 iï 40 J J ttllo lin j j o f î n u l n , 1 5 j a n v i e r , ? h n i i u l n

S T A T IO N S uniCii1»IC- T iiA ir.s — JV li N T <ienâ«u ... B ea u . C alm e. i i a i o ... : ... Cou v e rt. C alm e. B e rn e ... ‘J ( ‘o u v e r t. (>nlii:tii D av u s ... . —il C o u v e rt. Cul m e. h 'r ilio it:f *... . —9 N u a g e u x . ( 'a im e . (lol.hardiâasclidnaii!. . - t) B rm iil la rd . C alm e. l u te r la k o n ... . —S C ou v o r t. Cal mo l.aC ln iu Ji d e Komin C ouV ert. (•alm o. L a i n a n u e ... • — C o u v e rt. B ise. L iig n iio ... .-1 -C o u v e rt. C alm e. hlm il r o u x ... . —4 C o u v e r t. Clll OI G

N o u ch i' t o i ... ( ‘o u v e r t. C alm e. S a in t B lo r iz ... C o u v e rt. C alm e. Si e r r e... .- 1 H oau. C alm e. V ovoy ... O ’Vy.ort. E iso . Y iin i'-)i... . — 7 N ei^ o .

.

.(Tiilme. S iiiiilia ... Cu u y o r t. (ïnlnii). Pi l a i e ... - 1 4 (ïoûV ert. ('k lln o : W e i u a o iiu tu id ... - 1 3 N eigo. ( 'a l mo

Les drames de la misère

_

Trois enfants, abandonnés par leur père, sont reçu ailiis à Moiflesiilaz M ercredi ffpÄ -m idi arrivaient i Moillc-fïiilaz, oxtcnuéj de fatigue e t souffrant de Id faim , les trois enfants d ’nn Valaitnn, nom m é G., précédem m ent domicilie à B on­

ne ville.

.

.... - .. .

Alfred G-, l’oîné, âgé do 17 ans, est phtisique; ßes deux frères, l'é lis e t Louis, .sont âgé-; de 11 et 8 ans. '

Les trois pauvres garçon?, qui sont venus i pied de ßonnoville, p o rtaien t des véte-nu-nts en loques qui ne les protégeuient guère contre le froid.

L 1; brigadier do g •'ndannrrio Duvoisin a conduit ces petits m alheureux au x violons du Palais do justice.

II3 o n t été interrogés p a r 5F.1 le comm is­ saire de police Ses.-ler qui avec infinim ent do raison, les a fa it conduire dans un p etit hôtel pour y passer la nuit.

Ces enfants seront conduits au jo u rd ’hui à Vernayaz, dans le Valais, leur lieu d ’ori-gino.

: J IÆ T f i i A ! l » S Q 1 J I I , F , U T Une dépression couvre le sud de l’Europe é t la M éditerranée; son contre-se trouve près de Ltvoum e (7,'Î0 m m .); une au tre passe dans le nord de la Russie. Les fortes pressions s’étendent encore du nord-ouest à l’est du continent ; on note 778 mm. au x îles Féroé, 776 à Shields, 772 au x îles Scilly e t à Kieff.

Des neiges e t des pluies sont tom bées sur le nord, l’ouest e t le sud de l’Europe.

L a tem pérature reste liasse sur to u t le con­ tin en t. On note - 27 degrés au Spitzberg, — 18 à Lemberg, —7 à N ancy e t Clerniont- F errand, —6 à Toulouse, —ü à Marseille, —4 à P aris, —3 à B iarritz, + 3 à B rest, 7 i. Alger.

S au v sfag e c e î ißunss d élin q u an ts

■ - - /, ' i.

ba Chambra pénale

de l änfanee

à O g n è t f B

On sa it que la G rand ConseÜ -lu.c^uton do Genève a a d o p té ^ d ans s a séance tin 4 o cto ­

b r e 1913, lo p r o j e t d e . l o i c O D s tiip a n t u n t r i ­

b u n al spécial pour enfantas. ' '

C ette loi e n tra n t en vigueur Lu 1er m ars, la brochure quo Me H . A rastein, docteu r en d roit, vient de publier su r la Chambro pénals de l’enfance, à Genève, arrive e n tem ps o p ­ portu n e t sera.lue p a r i o u s ce-uxi qui V in té- ressent à la solution délicate .du p a lp ita n t problème de la protection, de la ^ ifiv illa n c i! ■et do la correction de l’enfahee cqupable. . -

La crim inalité infiintile a pj-is.des propor-,

tions in quiétantes, i i l’on e n jugo p ar les ■statistiques, qui nous révèlent; que, en 1010, su r 100 condam nés, il y a eu en A li'-m ^ ü o le 53,3 % de m ineurs; en A u tric h e le .67,8 % ; en 1911, en A nglererrc, le 32,6 ° a ; en Franco,

le 40 % . ’

Si l’on considère-qu’en 190$, l'A utriche ne com ptait que le 23,4 % de liiinetîrs. on s'a p e r­ çoit avec stu p eu r que, dans-ce piïVs, la cri­ m inalité infantile ä doublé dans Tcspaco de deux ans.

Jetez les veux su r les quotidiens, vous se­ rez édifié?. Il y a peu de jours encore, à P a ­ ris, un jeune homme dfc quinze aus, Maurice Courtois, tira it cinq balles de revolver su r une ji unc fille, e t le fils d ’un concierge, Léon

De-courtioux, âgé de dix-sept ans, poignardait son père.

Chez nous, dernièrem ent, la cour correc­ tionnelle condam nait dcs jeunes gens de seize, dix-sept-et vingt ans qui avaient commis de nom breux cambriolages avec effraction et, au quai du Lém an, des vols do réticule, à m ain année. A ctuellem ent, deux précoces vauriens, les complices de l’assassin P erriard, sont détenus à St-Antoine e t com paraîtront prochainem ent d ev a n t le jury.

Indépendam ent des jeunes gens qui nous offrent de si frappants exemples de crim i­ nalité, il y en a actuellem ent une foulo qui vivent en marge du code, ne trav aillan t pas ou presque pas e t échappant au contrôle de la puissance paternelle, si ta n t est que celle-ci existe. 11..est tem ps d ’enrayer le mal.

Me Amstcin nous dém ontre que les tr i­ bunaux pour enfants e t to u te l’organisation qu’ils portent- seront le salut. Nous, ne serions pas loin do le croire, si les m agistrats appelés il présider de tels trib u n au x envisageaient leur mission ainsi ^ujj î.j'e-Amst^iii rcnt.çnd. : « Il faut, écrit-il, que les enfants rebelles, révoltés, voire délinquants, trouvent, en lui l’autorité morale e t paternelle qui s’impose non p ar la force, mais p a r la douceur, c-t qu’ils finissent par dire, en p arlan t de lui, .( notre juge »; ainsi que c’est le cas du m a­ g istrat Liudrey, de Denvers; ou encore « ce fu t notre meilleur ami », comme le pro­ clam a, en so rta n t de Met-tray, au tem ps du bienfaiteur Frédéric-A uguste ’ de Metz, celui qui devait devenir un des plus grands sociologues quo connut, le X IX m e siècle.

« €fe serait donc une grave erreur de penser qu’uno telle chargo pourrait être confiée à une personne fatiguée, désireuse de tro u ­ ver line sinécure pour ses vieux jours, eu encore à un homme n’ay an t à son actif qu’une vie politique plus ou moins intense qu'il s’agirait de récom penser au mieux !

« N ’oublions pas que ce m agistrat n ’aura pas seulem ent à prononcer dc3 jugem ents; sa tâche est de transform er des jeunes dévoyés en d ’utiles citoyens. Son influence n s s’exercera pas uniquem ent à l’occasion de l’instruction e t du jugem ent, mais il organisera sérieusem ent le contrôle de la liberté surveilléé e t le séjour dans un é ta ­ blissement. Son contact avcc ceux qu’il devra juger sera en quelque sorte perm a­

n e n t... i> ■ •

Le p o rtra it qu’a tracé M .A m stein du juge d’une cham bre pénale p our l’eiifanco nous p araît être adéquat à la mission qu’un conducteur d ’âmes doit rem plir, to u t au moins pour la m ajorité des jeunes dévoyés, qui sont souvent p lu s-rébarbatifs et insou­ mis que coupables,c’est-à-dire que leur culpa­ bilité est due plus souvent à l’ignorance, au m auvais exemple ou à des lectures -mal digérées qu’à un vice inné e t incurables Le juge fera preuve tic m ansuétude, il em ploiera la douceur pour convaincre e t ram ener au bien certains dévoyés qui pour­ ront, éventuellem ent, être soumis au ré­ gime de la liberté surveillée, régime qui, noua le croyons, donnera d ’excellents résul­ ta ts lorsqu'il s’agira de délinquants qui, sous l’empire d ’uno influence' passagère, ont commis un acte, illicite.

La détention ■ préventive, c’est-à-dire le séjour de la prison, est- néfaste à cette c a té ­ gorie de jeunes gens. La notion de l’honneur, su rto u t, s'attén u e considérablem ent chez celui qui respire l’air des prisons e t vit dans la prom iscuité de louches individus.

' Quelles sanctions devra, à l’avenir, pren ­ dre lo trib u n al à l’égard des mineurs?

i La réprim ande, l’amende, des mesures privatives' de liberté, avec susp*”ision d ’exé etition et. enfin, l’exécution do ces mesures », répond M. Amstein. Do cctto manière, il sera fa it'd ro it au principe nouveau : enlever nux sanctions privatives de liberté leur carac­ tère ac tu e l do peine

. ■■ « * * • . . ■ . -1près les E tats-U nis, l’A utriche e t l ’AUc m agri-r; la Frantfe a , JSaruné loi qui, proriiul guêo Üb‘22 ju illet 1912, entrera! en vignénr, comme chez lions, lo 1er m a r s prochain, organisé; li’i'r systèm e de surveillance e t d ’é ­ d ucation p o u r les eiifartts âgés de moins de treize ans, e t créé des trib u n a u x spéciaux pour Ica mineur:? de treize à. d ix -h u it ans. (Notre nouvelle loi considfH égalem ent comme -miiu-urs les jeunes gens qui n 'o n t pas dépassé dix-huit. ans).

Eu F rïh c e , jplssLSt-ance publique a, en effet, donné de piètres résu ltats au point de vile de l ’éducation des enfants qui. lui ont été confiés e t l’on a jugé que de sérieuses réform es -s’im posaient.

Espérons que la Cham bre pénale de l’en-- fance, & Genève, donnera les bons résultats qui - o n t 'é t é constaté j dans les pays qui îtous o n t précédés dans cette voie e t, en te r ­ m inant, faisons brièvem ent, avec M. Arns­ tein. l’historique de cette cham bre :

'■ En février 1008 M.lc dép u té V uagnat déposa un projet de loi à cet effet. Q uatre mois plus ta rd s ’ouvre lo to u r do préconsul­ tation. M. le conseiller d ’E ta t M aunoir présente un contre-projet, dans le but do concilier les divers points de vue. A près une discussion, à laquelle pren n en t p a rt JIM.

M agnenat e t R ich ard , le pro jet est renvoyé à une commission.

E n octobre 1909, M. R aoul M artin, ra p ­ p orteur, avouo son im puissance, la com­ mission é ta n t entravée p ar les art. 96 e t 101 de la C onstitution gnevoisc; il s’ag it de la réviser pour aller de l’av an t.

E n janvier 1910, le G rand Conseil procède à cette révision; u n mois après, le peuple sanctionne la décision do scs représentants (4552 oui contre 347 non). Le 15 ju in do la mêm e année, M. V uagnat dépose un nouveau pro jet do loi élaboré d ’un com m un accord avcc M. M

aunoir.-Le 24 septem bre 1910, le p ro jet est re n ­ voyé à une commission, pour ab o u tir enfin à la session d ’autom ne de l’année que nous venons de term iner.

M .

G r a n d C o n s e i l Séance du m ercreùi 1 4 ja n v ie r Présidence de M. B o v e y r o n , président. Après l’asserm entation de M. W anncr, le nouveau député de la rive gauche (gro\:)X! dém ocratique), M. le président prononce en term es excellents l’éloge funèbre de M. O harton, décédé.

Les séances .sont fixées au x mercredis e t sam edis, à 3 heures.

Le bureau désigne comme- scrutateurs pour la session MM. Ivivazza, Nieolet, P o n cct e t Br-rchten.

P ro p ositio n s in dividuelles

Une véritable avalanche tom be dans

l’assemblée. *

M. Dusseiller annonce qu’il déposera un projet do loi su r la réglem entation du travail des ouvrières à domicile.

M. K ochctte déclare qu’il interpellera sur le conflit qui existe entre deux D épar­ tem ents sur l'application de la loi sur l'a b ­ sinthe.

M. A dor développe im m édiatem ent une interpellation sur l’élargissement de la rue Traversière. Il m ontre quo la ville ne lient en venir à bout seule,avec les lois actuelles de l’assainissem ent des vieux quartiers : c’est du devoir do l’E ta t de l’aider dans cette tâche difficile, e t il dem ande qu’il étudie le m oj'en d ’exécutcr ces transform ations de vieux quartiers p ar une prise d ’actions ou par d ’autres voies.

M. F a sy répond que l’E ta t est dans les mémos dispositions mais qu'il lui fa u t exa­ m iner les moyens les plus pratiques d 'a rri­

ver à ce but. .

M. F. M artin déposera un p ro jet de loi,, concernant des opérations de voirie en ville.

M. Roux dem ande l’acquisition de la com­ mune de Collongi1?, de la Pointe de la Bise, afin de donner an public une grève suivie la c .,

M. Nieolet interpellera le Conseil d ’E ta t su r les mesures qu’il a prises concernant 1s con­ flit des ébénistes.

M. N aine déclare qu'il reprendra son p ro ­ je t concernant l'établissem ent d ’une régie cantonale de i’i’ffichage.

M. Le Gointe dem ande au G rand Conseil do com pléter la commission qui s'occupe de son projet d ’assurance invalidité e t vieillesse.

M'. M artin-Achard fait une proposition analogue co n cern an t son p ro jet sur les expro­ priations.

M. Nieolet reprendra aussi s:-n p rajet sur les conflits collectifs.

' L a présidence dem ande à ceux des députes qui o n t des projets à réintroduire de bien vouloir le faire. D ans ce ças-li' les débats seraient repris où ils en étaient en novem ­

bre 1913. ...

V is ite u rs ho n o raires des prisons Le sort choisit les nom s suivants p arm i les députés inscrits pour ces fonctions 'MM. V uagnat, Düsseiller, W . .M artin, F . N avaiw a, R oüllet, Bürger e t L ad u iç ? . . . C om m is s io n lé g is la tive - .

-, L a présidence désigne pour composer cette Commission MM. A. Lacheilal. .Rutty,- Vtta? gndt, Yv'illemin, Jaccoud,- Guinnnd, Sigg.

T a x e m ilita ire .

-Il e s t procédé à. l’élection de s ijt m embres de Jau..coinniissiôu de recoure p o u r-la taxb m ilitaire. Sur SG bulletins valables sont élus M M iR m uid. par 68 voix, Roux-ËggIÿ,'67 F in - (iger 6ü, Trubold GG, Màllet 6S. V iennent en­ suite M M .-B eata-38,- Lncombé 29, C arazetti 28, L n second to u r est nécessaire pour un

nom. " ■ ' ■

. Sur 90 bulletins distribués et 83 valables, SI. Lacombe est élu. p ar 43 voix. M. Beat a - c-n o btient 42. . .

. . Taüte m o b iliè re

Le G rand Conseil procède à I’élc-ction de hu it membres d- la commission taxatrice pour la tax e mobilière. Sur 86 bulletins d istri­ bués et 86 valables, m ajorité absolue , 44. Sont élus MM. R am u 69, Boveyron, 68, R ey-B ousquet 62, F rutiger 58, T aponnier 56, Louis R oux 44. V iennent ensuite JIM. Clie- vrièr 42, Micheli 39, D alphin 39, Sarasin 35 e t G avard 29.

Un second to u r pour deux sièges. 84 b u l­ letins délivrés, S3 retrouvés. Sont élus MM.

Chcvricr avcc 45 voix et Dalphin 39. MM. MK eheli et Sarasin obtiennent 35 voix.

C om m issio n des pétitions

Sont désignés pour en faire partie MM. Pc* ter, Lachenal, F. Martiu, Naine, Poncet «t Perret-,

N a tu ra lis a tio n s

Une candidature est retirée, Plaiupalaïs n’ayant pas fait les diligences nécessaires pour la faire aboutir en temps voulu ; c’est cello da M. Joseph Martin.

( V o it patje su iv a n te f i A V e n B E B P f t lH R E S B U O O N B «] V to to r - Réputation univartêltai ■ M V U N T B l ' A K T O D f M l C É P H A L I N E antimigraine, ne déprime pas.

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LO-THEATRE

I.om D i i p e r r e y d a Cotte semaine :

C li s in t l u i ip , célèbres duettistes ; I . e s frè «

rcs* H o in iN , acrobates équilibristes. A la

dem ande yénerale : U c v ll.s p r l, dans un nouveau répertoire. — Au Cinéma Pallié : « m i s l ’i m i i l l e , grande vue en 8 parties*; tirée de l ’ojuvre populaire d ’H ector Malot. 1

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fera u n e d é m o n s tr a tio n d e c e tte d a n se c é lè b r e

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le sam edi 17 janvier

de 3 h. 1 [2 à G h .i[2 de l’après-m idi

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C a r te s à s fr a n c s (th és et p â tis s e ­ r ie s , sa n d w ic lie s com p ris).

L e n o m b r e d e s b ille t s é ta n t str ic te ­ m e n t lim ité , ou e s t p rié d e le s p ren ­ d re, ù l’a v a n ce, a u p r è s du c o n c ie r g e

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B u r . , 7 : i, 3[4 J e u d i R i d . , 8 h . i [ 4

Q U A K E R O I R L

o p é r e tte a n g la ise en 3 a c te s , n m siq u a d e L io n e l M on ck lon .

B a r ., 7 li. 3(4 V en d red i R id., 8 h.

MADAME BUTTERFLY

D ram e ly r iq u e en 3 a c te s , de

G . P u c c in i.

MAIVTZELLE NITÖUCHE

o p é r e tte en 3 a c te s , m u siq u e d e H ervé

INFORMAIION^FINANCIERES

Service xpccinl

Paris, m ercredi soir. \ l’ouverture, les meilleures dispositions

ronstatées liier en fin de séance ont totale­ ment disparu. A l'exception de lu Rento fran­ çaise qui s'inscrit en bonne avance, les cours témoignent d'une faiblesse générale. La Ban­ que mexicaine est mauvaise sur la décision prise hier par le conseil des ministres mexi eain-de suspendre l’intérêt des titres de la dette intérieure et extérieure drici six mois. Les mines Æor sont affectées par l’aggravation île 1».situation dans l’Afrique du Sud. Plus tard, la-rente foncière voit sa baisse s’accen­ tuer sensiblement. La place présente une certaine agitation. On assiste à do nouvelles liquidations. Le 3 % réactionne. On reprend sur l’Electricité parisienne. En coulisse, les râleurs russes, les caoutchoucs ot les aurifères s’améliorent. Pendant la séance, les affaires eont des plus nulles, on reste dans les bas cours. .Lo groupe des cuprifères so retrouve en moins-value assez sensible. La réponse des primes s'effectue dans ces conditions. Les valeurs do naplite sont relativement bien tenues. En fin de séance, des rachats ont lieu. On enregistre des cours en reprise i ’ir divers groupes. Clôture meilleure.

(Bulletin téléphonique) t

Lausanne, jeudi. Aujourd’hui, les cours so maintiennent. La J o u s et Orbe 4 % cote 93, la Ville de Lausanne 4 % 1909 cote 93.50, 4 1/4 101.25, Châtelard 4 % 97.90, Crédit Foncier Vau- dois 3 i/2 9 .\7 5 , 3 3/4 série F 85, 4 % série G f)0, 4 1/4 94, 4 /g 09.10, l’Aiglc-Leypin 98, les Tramways Lausannois 88, la Station climatérique do Lcysin 95.75, Majestic Nice 80, Hôtels Sc-ilcr 97.50, Mühlcthalcr

100. '

Le marché des actions est toujours calme. Le Bankverein cote 758, le Crédit Foncier Vaudois 035, Viége-Zcrmatt 570, Feuille il’Avis 310, Village Suisso 400, Peter Cailler ït Koliler 324, les bons 105.75.

n.timuiinutjue par la Sot.itlt S u n tt é t Banque i l de Oévôu, û l.auiaunei

Genève, jeudi. , De toutes parts, en rangs serrés, nous ar- Jivent do mauvaises nouvelles. Do nouveau 'n8. s ’agitent, l’Albanie so débat,la ïriplicc intervient, le Mexique suspend l’in- terêt sur sa dette nationale; tout cela agré- iiienté de catastrophes diverses, do naufrages, u ouragan», d'éruptions ot da tremblements ••c terre... enns parler du fameux suectre

qui surgit chaque année à pareille époque : u La guerre au printemps ! »

En pareilles circonstances il arrive toujours quo l ’inquiétude engendre des craintes exa­ gérées et envisage en couleurs plus noires en­ core dos situations déjà suffisamment som­ bres. Aussi convient-il de ne paa perdre la tête, de considérer les choses froidement et de faire impartialement non seulement la part des risques mais celle aussi des avantages de la situation.

Prenons pour exemple (et c’en est un bon) l’affaire de la Cqncimi. Hier nous sont arri­ vés de Milan, sur cette valeur, des cours en forte baisse, de 92 à 84. E t comme cola représente une chute de 14 fr. en deux jours le public de notre place, qui est très intéressée à cette valeur, s ’est inquiété. On se deman­ dait ce qu’il y avait.

Or, nous savons qu’on s’est préoccupé en haut lieu de cet état de choses et qu’il a été pris, ce matin même, des renseignements aux sources les plus autorisé s. Il en dé­ coule c qu’il n’y a, à cette chute des cours, aucune autre cause que l’arrivéo de nom­ breux ordres de vente (liquidations forcées, dit-on) sur un marché déprimé et qu’hier, en particulier, toutes les valeurs industriel­ les italiennes ont payé leur tribut à la fai­ blesse générale. Mais rien dans la situation de la société ne justifie uno pareille dépré dation. Les affaires de la Ooncimi conti­ nuent normalement et les cours actuels pa­ raissent bien au-desEOus de la valeur du titre». C’est bien là un exemple de l’illogisme de l'état d ’esprit actticl. On "fait de la baisse sur une valeur dont le dividende de 6 % esf assuré et on trouve moyen de la faire tom ber à prés de 20 fr. au-dessous du pair, par la seule cause do l’énervement général. Per­ dons-nous donc tout bon sens?

Notre bourse, ce matin, a, du reste, cor­ rigé en partio cet excès de pessimisme. La Concimi a débuté à 88, 4 fr. au-dessus de la clôture de Milan, et s ’est avancée encore jusqu’à 90. Il semblait y avoir des deman­ des avisées dans ces bas cours,

Le reste du marché a été irrégulior, mais relativement satisfaisant, quoique les tran­ sactions aient été maigres et, pour la plu­ part, au comptant.

Aux mines, la Trifail est en liausso do 2 fr. à 345. La Gafsa perd 5 fr. à 800. Les pro­ nostics vont déjà leur train concernant le dividende éventuel sur cctto valeur. Un bulletin local, toujours^bien informé, dit qu’il est encore trop tôt pour hasarder un chiffre. L’impression cependant, qui sem­ ble dominer est quo le dividende actuel sera maintenu. D e touto façon, ce titro £emhlo t o u t e fc au prix

Les Caoutchoucs sont en avance de 2 fr. a 8i)>

L a Santos gagne 3 fr. à 895 e t reste de­

m andés ainsi. .

La Brasier est en nouvelle baisse do 2 fr. à 85.

L a Trique lâche 1 fr. à 534 e t l’Union F i­ nancière 2 fr. ii 59S. •

Les T ram w ays so n t en avance inattenduo do 10 fr. à 375. .

L a Bor ordinaire plonge de 1380 à 1360. g L a Totiâ gagne 2 fr. à 1065.

A ux obligations, les Chemins Fédéraux resten t à 895.

L e s p rojets fin a n c ie rs de M . C a illa u x . —

Le D aily Chronitle a publié une longue in­ terview de M. Caillaux. A propos des ques­ tions financières, M. Caillaux a déclaré qu’il avait l ’intention de taxer' le capital lui-même, non pas d’après le système alle­ mand, mais d ’après l'estate duty anglais. Cet im pôt frappe les successions et perçoit un pourcentage croissant, non pas suivant l ’éloignemcnt de ln parenté, mais suivant l’importance de la totalité des sommes laissées. « Mais je n’attendrai pas, pour cela, ajoute le ministre, que les gens meurent. Je mo propose de taxer la fortune elle-même chaque année e t d ’obtenir de la sorte do 175 à 200 millions. » M. Caillaux déclare enfin qu’en attendant le passage, par le Parlement, des grandes mesures financières qu’il avait en vue, il ferait face aux dépenses par l’émission de Bons du Trésor et ne lan­ cerait un emprunt qu’un peu plus tard.

U n e fu s io n m in iè re . — Un projet de fu­ sion entre la « Crown Mines « et la « Robin­ son Gold c ,. sera soumis aux assemblées extraordinaires de ces sociétés, qui se tien­ dront lo 16 mar3 ptochain. Si les résolutions sont adoptées, la « Crown Mines » absorbe­ rait la « Robinson » qui entrerait en liquida­ tion (avec effet rétroactif à partir du 1er janvier 1914) et passerait- la « Crown Mi­ nes » tout son actif, sauf Ist. 192.500 (réser­ vées au paiement du dividende pour le deuxième semestre de 1913) et 40.000 ac­ tions « Crown Mines n, en portefeuille. La «R obinson» recevrait, en outre, 100.000 actions « Crown Mines # et répartirait le to ­ tal de 200.000 actions <i Crown Mines » .à ses actionnaires, à raison do 2 t Crown Mines n pour 5 « Robinson •>.

B a n q u e n a tion ale de B u lg a r ie , à S o fia .

Cette banque a obtenu d'un groupe do ban­ ques hongroises et allemandes une avance de fri 10 millions pour une période do six mois e t gagéo par..des .videurs m ob ilises négocia­

bles en bourse. _

C h e m in s de fe r A n d a lo u s . — T o u r l’exercice écoulé, la moihs-valuc de3 ïeceftes' est cio P. 059.032 soit 2 .1 6 ° n. Mais eétto dim inution n ’empêchera, paa lR- compagnie de 'pratiquer les am ortissem ents qui, la libéreront d.u. con- venio e t lui assureront dès 1914 la libre dis­ position des bénéfices. Ce n ’est- pas.cepcndunt qu’il faille envisager une augm entation riu dividende pour 191-1, car 1p. compagnie aura certainem ent soin de consolider sa situation financière e t d ’am éliorer son réseau • afin de. supporter favorablem ent le -développement éventuel de son trafic. ,i

G a fs a . — A près a v o ir nnnôncê' l’augm en­ ta tio n tle 45.000 tonnes pour 1913 dans l’expédition des phosphate?, le bulletin de MM. D u v a l e t Cic ajoute :

« On p eu t supposer que le bénéfice de 1913 sera à peu près égal à celui <Ie 1912.

II est évidem m ent prém aturé de parler dividende quinze jours à peine après la clô­ tu re d e l’exercice; nous croÿôrts donc devoir engager nos lecteurs à m ettre en quarantaine les articles de jo u rn au x faisant des pronostics en augm entation ou eh dim inution; ccs appréciations ne p euvent être établies su r aucune base sérieuse. »

/!).» i.i

•J22 —

C 0 U R S ~ C 0 M M E R C I Ä t r X Uu 14 ja n v ie r (par dé.iicclic)

Paris, sucre commit, 31.62.*4. Paris, suore prochain, 31.87.%.

Havre, calé «îuurant, C3:—.— . Havre, café prochain, 03..--- . .

Ifavro* coton inmrunt. 83.,62 \ ’z . Havre, cototr prochain, £3 62.%.

Lundros cuivre disponible, "62 12 6 sli. — Londres cuivro n trois mois, 62 7[S sh.

B o u r s e c l e G e n è v e

- .i .

CWIIKN OIT 1 3 J A K Y I E I t

Fo n d s d ’ E ta ts 3 l / s Clirm. 1er WdérailX, lx!K) ’.HIS.feér. A-ll SI »* Clieciiliis lor l-Vdifran* 1JU3 Uilteie 3 U/U

3 O'O litMirVoi* iM’ct: loU . a . . , , 4 0 /0 I.u ccrn o is 1900 0 i 0 /0 NüiicliûMoiri ÎUU7 i 1/4 Vuudois 1ÜJ3 , * , # #f*c , , Kunko 1888 l»1s . 4 1/2 .lapon, T a h a rs. ir e sù riu . , • OLIimiaiittfi lots tu rc s

i t.*2 P o rtu g ais IK'.U, Jubac». • • • • 3 4/S R usse o r ■ 5 0 /0 Sao i'a n lo 1U0J , « • • • « * • 4 UU S c ib u itMj

O b lig a tio n s m u n ic ip ales

3 1 2 Ville rti* G enève AM89

4 0 ,0 VilliMle (iitnevc M I X ) ... 3 00) Ville de llc rn e IKÎ17 . , , . . . 3 1 /2 Ville de Z urich I8 9 i f • • p • 3 1/2 Ville de Z urich lstJK * • • r • 4 1/4 Ville de Z u rich IU13 • . • • • «

Yt 0 /0 Vilîe de I*»••!•» IM i . . . • « • 5 0 ,0 V illa de llio-ilo.iiistuiro fOOl . . . . • 3 O.O Y ü lirilc Tu!ital!)12 (U ir c i ftiijiiaia#

n:!» — :wu — MO — £«15 - 4 SO - îifK) - 73 — 01 50 200 — 4Pîî - ;u7 -4 hU2i ao 030 - sin - :m — 4M - 4SI — 4SS SU) 57.) 50 4(50 - 4X2

-G h liflrU icn s de c h sin iu s d : fe r suisses

4 0 I) I ‘'7'i . . . . — M I/ ‘l O hlrul-SM isse iS!î4. , , . î57 —

.5 ii'2 .lnr,t .Snitui.iii . . . k . . . . . i ï :s SJJ

l 0,0 Union Suircu: LSiÜ;, Irç ÎjypuUif' nuo . . 4 0

Çll)l!(|ntiDii5 île c h em in s étrangers

•j 0 ;f) I m u’iiiriis ci. Kiiii-A ïiirinii-, aitciuniic». ’ •i 0 0 iMiMHiISiIIIIMIK (t l l i l l l ü ...

O b l ig a tio n s iln B a n q u e s s u is s e s 4 J /2 Flanque V aleurs du T ran sp o rt. . B"7 4 1/2 (jyisse My|i.(1u c a n l. Knhmir»j 11)13 ö .F . lOUü — 4 0*0 S u i-, n! Ii* i’Minui'.irpj !■ rainwi-Snis^ü . . 4ü2 J>0 4 0 /0 Siici£Lù l'ijiajniUîrc 1 luWi-Sinsuti . . • 480«— i 1 /2 StiLiclê i-'inaiirtaru SniMsi:-Aiuùrnïi»Mie. 4Üi —

O b lig a tio n s tic B a n q u e s étrangères

rt 0 /0 A rg e n tin e . ci:dult*s hv p o lh . no n v . 02 90 3 O/O ÜI1. i an Nns4UH OUI .i MJlMl00.2i:St'r. 27i [i 0 0 Civil. Koni:. Nu h 1 ;i j00 001) Hit S èr. 274 — 1 0 /0 Cr. Fini. Slockholm l'JOtî, Nus 1 îi 20.000 4üü —

O b lig a tio n s do G a z et d’ Ele c tric ité

fi 0 0 Un rare s! (fïaz c l IChv.Lricil* de) . . « 1)02 — 4 1(2 Kli i'.Lrouhuniu (S te Ita llrim c d ’J. • JUS 00 i 11 n. pm tr I'Iim ii-Iim: Ktoclr. 4l>7 — 4 1 2 (ii'cnuljli'ISai:. Cïétier. de Korcu t:l I jm i. â42 — 4 1 2 iVh;*I«‘S (S o d r lj K uurralu p e r l'IH nin.) 4Î!0 4 1/2 SoclH Ton(înd. Kl. c l Mt*c. Genève) 1VJ3 400 —

O b lig a tio n s de M ines

ü 0 , 0 'nui-IC'C I rànvaise (lis iin n cs de) . . .503 —

‘ Obligations diverses

Ii 0,0 R crçès (Société des Usines) . . . . fin5 — 5 0 /0 N «î'iiriadoii A grirnla de Xieo y A nexas Æ24 — G 0/u San K afael e t a n n .F a b . de pap. Mexico 471) —

A c tio n s de c h em in s de fe r

T ram w ay s G enevois (Cie des Ira n is e le c lr .) 305 —

A c tio n s de B a n q u e s

ftankvr.rein SuIk.iu 700 —-Ohii n lu ir d'Ivtcom nte dis G enève » » + !<70 — F in a n c iè re p o u r l'In d . un M exique • • . !’>U5 — lim u n KinaiicU-rc du G encve . . . îi'JS —

A c tio n s de G a z et d ’ E le c tric ité

Miii'seillo (Gtiz et l'Ire lrie itii). • • • * . — A cctin iiilaieu rs d U C rliU o n ...ï-îSS — l'r;inrn-finin>e iniur J'Ikiiinxlrie Kli-.olruniü . M a — Loire e t d u C enlre (Compaq lllcclr. tle la) . 1170 —

A c tio n s de M ines et T e rrito ire s M in ie rs

ll<ir K'le l- raniMiM* du* Mim-R de) o r cl . . 13<*,0 — ( 'h a r te m ! {Itrilish S o u th A f rien) . . . . 10 — tiaItial(Teiles l'tn isp h . et des Cli. de ! .d e| parli SOU — teiiB S . A. itAn. Ilim urotsu (C h arb o n n ag es). lüflT» — l'riia ti (Ctiurlion liages d e ) ...-115 —

A c t i o n ; ils P ro d u its alim e n taires

C hocolats s u is. P e le r, C uiller, liu lile r (bons) 322 —

A c tio n s de Sociétés im m o b iliè re s et agricoles

S ê lil (Colonies su isses de) llein b o n rsu b . . 50S —

A c tio n s de Sociétés In dustrielles

Ciioulr.houcs (Siieièl^ linancièrtî des) . a a 84 50 Coueiint (Kn^i'.ii» e t piM dutli c h iin .) a A . SI) — CoUminërc llu sso -F ran ç. . . , „ „ C'jD — DoCll.H lie ShiiIOü, f\0:i 1 3 âlO.tlOO • • . • «0.»—

San liafutil 11 abriipifrd^papiet) « «. » « 1JÜ —

A u to m o b ile s ^

A nlnm oliiles B rasier, am ion o rd in a ire ,* « 8.:i — D ritish MoLor Cab Cv l.d ... » « 83 50

A c tio n s diverses

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45 Janvier. 0 0/0 F i a n ç a i s . . , C o n so l. a n g liiii 4 0/0 B ré sil ion . . 7 0 ,0 KgypLion . , 3 0/0 K sp itg u o l K x t. 4 0/G H o n g ro is . . 4 Hj4 I t a l i e n . « , ô 0 ,0 Iiu sa o 1906 , 4 0/0 ß u s a o ISÜti . . U 0 /0 S o rb e . . . , 4 .0 /0 T u r e U n iliô . , liü ts P a n a m a . • , B a n q u e do P a r is . . B a n q u e O lto in a n e , C rédit. L y o n n a is . . U n io n P a r is ie n n e . L o m b a r d e s a n c . . M é t r o p o lita in . , , N o id -y u d . . . . N o rd E s p a g n e . . . S a ra g o a se . • » . Su ü z T h o rh so n . • • . C ü ton. h'r.-K u sse A et, S tù F i n . do c a o u te li. E a s t o r n ß n b b e r , , P h o ap . ü n ls tt A ct. . P b o ip , ü a i a a P a r t . Cl. prêc Ü u v er. 2 li. • 15« ^ 5 .9 5 ..8ß;02 ..71.67 . . .

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Cl. préc. O a v er. 2 h . Clôt- . 54:1. . . .4 1 2 ... .7 n ô .. . 1J 7 4 .. U J2 ... .62^. 1 6 0 8 ... iGäÖ.. . 1710 .114 ..40 JGG... . .OU 6 7 ... .296 .1B 4.., ..2 1 . .J lS e x .49 .1 ,2 . .6 0 . . . . - 4 9 ... 1 2 7 ... Iâ8... . .0 7 .'.. .015.. 5 ^ 0 ... 261.1/2 .1 0 9 .;. 420.. . .5 0 ., .6 0 .. 163

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Références

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