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LE GROUPE DE LA BANQUE MONDIALE Note de présentation régionale

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Academic year: 2022

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LE GROUPE DE LA BANQUE MONDIALE – Note de présentation régionale

Bureau régional Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA)

La région MENA se compose des pays suivants : Algérie | Bahreïn | Djibouti | Egypte Iran | Irak | Jordanie | Koweït | Liban | Libye | Malt | Maroc | Oman | Qatar | Arabie saoudite Syrie | Tunisie | Emirats arabes unis | Cisjordanie et Gaza | Yémen

MENA - Analphabétisme chez les adultes - (% > à 15

ans)

60 45

34 24

0 20 40 60 80

1990 2002

femmes hommes

Source: World Development Indicators

Mortalité à la naissance (pour 1000)

44 94

0 20 40 60 80 100

1980 2001

Source: World Development Indicators

LES DEFIS DU DEVELOPPEMENT

La région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA) est une région d’une grande diversité économique qui comporte à la fois de riches économies pétrolières du Golfe et des pays pauvres en ressources par rapport à leur population, tels que l’Egypte, le Maroc, et le Yémen. La prospérité économique de la région sur une grande partie du dernier quart de siècle écoulé a été fortement influencée par deux facteurs – le prix du pétrole et l’héritage des politiques et structures économiques qui ont fait ressortir le rôle prépondérant des états.

A compter de la fin des années 80, nombreuses étaient les économies de la région MENA engagées aux réformes économiques pour restaurer les équilibres macro- économiques et promouvoir le développement induit par le secteur privé. Par conséquent, la fin des années 90 a connu des améliorations de la croissance économique. Toutefois, la région continue à faire face à d’importants défis économiques et sociaux dont le plus important est le chômage, avec une estimation prudente de plus de 15 pour cent de la population active. Plus de 20 pour cent de cette dernière n’ont pas d’emploi en Algérie, en Cisjordanie et à Gaza, en Libye, et au Maroc.

Le chômage est un peu moins marqué au Liban, en Tunisie, en Iran et en Jordanie.

Parmi les jeunes, les taux de chômage représentent le double de la moyenne régionale de certains pays, exigeant de la région qu’elle créée environ 4 millions d’emplois par an sur les années à venir pour accueillir les nouveaux entrants sur le marché de l’emploi.

Les incertitudes provoquées par la guerre en Iraq ainsi que par la crise israélo- palestinienne qui se poursuit n’ont fait que renforcer le ralentissement économique de la région pour l’année civile 2002. La croissance économique dans la région a chuté de 3,2 pour cent en 2001 à 3,1 pour cent en 2002, avec une baisse constante de la confiance des investisseurs, de la croissance du marché des exportations, et du tourisme.

Appui de la Banque mondiale

Les principaux objectifs de la Banque mondiale dans la région consistent à renforcer la dynamique en vue de la création d’un climat d’investissement, d’emplois, et d’une croissance durable, et à donner aux pauvres les moyens d’acquérir le savoir et les compétences requis pour leur permettre d’établir des conditions de vie soutenables.

Au cours de l’exercice budgétaire 2003, les opérations de prêt se sont montées à un total de 1,1 milliard de $EU dans 11 pays couvrant 19 projets qui ont appuyé les réformes et investissements dans les secteurs public et privé, l’éducation, l’approvisionnement en eau et la gestion des ressources naturelles, l’agriculture, et l’infrastructure. En réponse à l’intérêt croissant de la région vis-à-vis d’un engagement

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Espérance de vie à la naissance (en années)

58 68

0 20 40 60 80

1980 2001

Source: World Development Indicators

soutenu aux réformes de politiques, la Banque continue à partager le savoir et les conseils à travers les études économiques et sectorielles programmatiques, et en offrant une série d’activités analytiques, consultatives, et d’apprentissage. Au Maroc, par exemple, la Banque a aidé le Gouvernement à mettre au point un examen des dépenses publiques qui lie les dépenses aux résultats accomplis dans le pays en commençant par la santé. Depuis de nombreuses années déjà, le partage du savoir a été au cœur de l’assistance au développement de la Banque aux pays du Golfe.

La Banque continue à élargir sa gamme de services au-delà des opérations directes de prêt dans plusieurs domaines importants. Tout d’abord, elle encourage les entrées d’investissements privés dans la région grâce à l’usage actif de ses garanties qui aident à diminuer la perception de risque des investisseurs et le coût pour les emprunteurs.

Ensuite, la Banque continue à travailler étroitement avec ses institutions sœurs, la Société financière internationale (SFI), qui favorise le développement économique à travers le secteur privé, et l’Agence multilatérale de garantie des investissements (AMGI), qui encourage l’investissement étranger dans les pays en développement en fournissant des garanties aux investisseurs étrangers.

Société financière internationale (SFI) : Au cours de l’exercice budgétaire 2003 (juillet 2002 – juin 2003), la SFI a engagé 13 investissements pour un montant total de 193 millions de $. Les investissements ont été consacrés à des mécanismes de financement des échanges ainsi qu’à une vaste série d’industriels ; la SFI a également établi un nouveau mécanisme destiné à assister les petites et moyennes entreprises en Afrique du Nord. A la fin de l’exercice budgétaire 03, le total de l’actif et des prêts de la SFI dans la région se situe à 740 millions de $ pour 88 projets. (Pour la SFI, la région MENA inclut le Pakistan ; les chiffres ont été ajustés pour correspondre à la définition de la Banque mondiale.)

Agence multilatérale de garantie des investissements (AMGI) : Au 30 juin 2003, le total de l’engagement brut des garanties de l’AMGI dans la région MENA se situe à 167 millions de $, représentant environ 3 pour cent de l’encours du portefeuille total de l’agence. Ceci représente quatre projets, en Jordanie, au Koweït, en Algérie et en Syrie, dont deux dans le secteur manufacturier, un dans le tourisme et un dans le secteur pétrolier et gazier. De plus, l’AMGI s’est efforcée d’attirer des investisseurs de la région MENA et les a assistés à garantir leurs investissements destinés à la région ainsi qu’à l’Afrique et à l’Asie du Sud-est. La région MENA constitue une région-phare pour l’AMGI, où elle s’efforcera de faciliter les investissements directs étrangers et inter- régionaux.

Principaux domaines des opérations actuelles de prêt* - MENA

(contre-valeur en millions de $EU-août 2003)

Industrie &

Commerce (333) Droit & Admin.

publique (592) Info. & Comm.

(74)

Agriculture (752)

Eau, Assain., Protect.

inondations (816) Finance (195) Education

(807) Santé & Social

(778)

Transport (540)

Energie &

Mine (69)

* - Y compris Prêts (BIRD), Crédits (IDA), et Financement spécial (pour Cisjordanie & Gaza) actuellement en supervision, nets d’annulations.

Pays MENA éligibles* pour recevoir les prêts de la Banque mondiale

Algérie | Djibouti | Egypte | Iran | Irak | Jordanie | Liban | Maroc | République arabe syrienne| Tunisie | Yémen

*y compris les financements spéciaux de Cisjordanie et Gaza

D o n n é e s s u r l e M o y e n - O r i e n t e t l ’ A f r i q u e d u N o r d

Population totale: 0,3 milliard Croissance de la population: 2.0 % PNB par habitant pour 2002: $2.070 Population vivant avec le VIH/

SIDA: 0,07 million

Projets actifs: $4,8 milliards (au 30 juin 2003)

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Pour une meilleure qualité de l’éducation en Tunisie

Même si, au milieu des années 1990, la Tunisie avait pu assurer les inscriptions en première année du cycle primaire pour la presque totalité des enfants de six ans, le système scolaire connaissait néanmoins un fort taux d’abandons et de

redoublements dans les classes plus avancées. A la demande du

gouvernement tunisien, l’assistance de la Banque mondiale avait été requise dans le cadre d’un projet de réforme plus vaste se basant sur un projet d’assistance appuyé par l’UNICEF en faveur de l’amélioration de l’apprentissage (“learning

improvement” project).

Le financement d’une valeur de 99 millions de dollars accordé par la Banque a contribué à la mise en place d’un nouveau programme scolaire, à la production et la distribution de nouveaux livres scolaires, ainsi qu’à l’utilisation de nouveaux outils d’évaluation de la performance des étudiants. En outre, un programme de formation extensive des enseignants a été mis au point pour équiper ces derniers et leur donner les qualifications nécessaires pour introduire les nouvelles méthodes d’enseignements dans leur instruction quotidienne. La nouvelle méthodologie s’efforce de fournir à chaque élève les compétences de base dans un ensemble de matières principales ; elle réclame de la part des enseignants une attention particulière sur les besoins de chaque étudiant et leur confère aussi la responsabilité des progrès de l’élève.

Le programme de priorités scolaires couvre désormais quelques 600 écoles primaires et 100 écoles secondaires. Des classes maternelles ont aussi été aménagées dans plus de 400 écoles pour abriter les enfants les plus désavantagés.

PRIORITES DE LA BANQUE MONDIALE DANS LA REGION MENA

La stratégie régionale de la Banque met l’accent sur cinq priorités pour les pays du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord :

• Education pour un monde global

• Gestion durable des ressources en eau

• Problématique hommes-femmes

• Efficacité et gouvernance du secteur public

• Savoir, partenariat et sensibilisation Education pour un monde global

Bien que les pays de la région MENA consacrent une part plus importante de leur produit national brut à l’éducation que d’autres régions du monde, leurs efforts n’ont pas encore donné naissance à une population active compétitive. La région continue de faire face aux défis que constituent le développement d’un système éducatif de haute qualité à tous les niveaux et la promotion d’une formation et d’un apprentissage permanents répondant aux besoins du marché de l’emploi. La mise à niveau du système éducatif est dès lors une importante composante de la stratégie de la Banque mondiale visant à encourager un développement économique axé sur le savoir, basé sur un enseignement de qualité et sur la créativité des populations, ainsi qu’à faciliter la transition économique des pays de la région MENA. Plus particulièrement, la Banque mondiale collabore avec les pays de la région MENA en vue de garantir un accès équitable à l’éducation et la rétention scolaire ; d’améliorer la qualité et la pertinence de l’enseignement primaire, secondaire et supérieur ; de renforcer les capacités de gouvernance pédagogique à la fois au niveau du secteur public et des communautés locales ; d’accroître l’efficacité des services éducatifs ; et de favoriser la viabilité budgétaire de l’investissement public consacré au secteur de l’éducation. Au cours de l’exercice budgétaire 2003, la Banque mondiale a, entre autres, apporté son appui à un Projet de réforme de l’éducation pour une économie du savoir en Jordanie, qui contribue à un programme intégré de réforme de l’éducation cofinancé par neuf autres agences de développement. Au Yémen, la Banque mondiale a assisté le Gouvernement à formuler une Stratégie de développement de l’enseignement fondamental, élément clé de sa Stratégie de réduction de la pauvreté. La Stratégie de l’éducation du Yémen a été avalisée par la communauté internationale des bailleurs de fonds dans le cadre de l’initiative mondiale d’éducation accélérée pour tous « Education for All Fast-Track Initiative ».

Gestion durable des ressources en eau

Les pays de la région MENA abritent 5 pour cent de la population mondiale mais ne disposent que de moins de 1 pour cent des ressources renouvelables en eau douce.

L’approvisionnement en eau de la région, par habitant, n’est plus qu’à un tiers seulement de son niveau de 1960 et il est prévu que la disponibilité de l’eau diminuera de moitié au cours des 25 prochaines années. La gestion de l’eau en tant que ressource socio-économique et la prise en compte de la dimension régionale du défi de l’eau sont essentielles au bien-être humain, à la croissance économique et à la stabilité dans la région. Les nouvelles opérations de la Banque mondiale abordent le rôle vital de la gestion intégrée des ressources en eau dans la région et encouragent la participation des associations des usagers de l’eau et des communautés locales. Au cours de l’exercice budgétaire 2003, l’appui de la Banque mondiale a porté, entre autres, sur un projet de gestion intégrée des ressources en eau dans le bassin de Sanaa au Yémen visant à ralentir l’épuisement des eaux souterraines – dans une région qui souffrirait d’une pénurie extrême sur les 20 prochaines années si le taux actuel d’extraction des eaux souterraines est maintenu. Pour l’exercice budgétaire 2004, les engagements de la Banque mondiale portent notamment sur un don destiné à un Projet d’urgence pour le secteur de l’eau dans le gouvernorat d’Hébron dans le Sud de la Cisjordanie. Le projet s’inscrit dans un programme plus vaste appuyé par l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID) et l’Agence française de

(4)

Prestation de services de base aux villages isolés du Yémen : le Projet de fonds social de développement

Dans les villages reculés du Yémen, l’un des pays les plus pauvres de la planète, les services de base tels que les écoles ou l’eau potable sont inexistants. Le fonds social de développement (FSD) a été établi en 1997 avec l’appui de la Banque mondiale dans le but de réduire la pauvreté, en fournissant des services de santé de base et des services sociaux élémentaires aux communautés pauvres les plus reculées, et en leur offrant des opportunités économiques.

Le FSD, en association avec les communautés locales des villages montagneux reculés, a permis la restauration des systèmes traditionnels de puisage d’eau et a par ailleurs augmenté les taux d’inscriptions des filles grâce à la construction de nouvelles écoles. Dans certaines communautés, le FSD a financé quelques nouveaux centres de santé et, grâce à la construction de nouvelles routes, il a pu relier villages reculés et places de marché.

Le taux des projets consacrés à l’éducation s’élève à plus de 50 pour cent des activités du FSD ; viennent ensuite les projets d’eau et de santé.

Depuis l’ établissement du FSD, plus de 2 420 projets ont fait l’objet de contrats signés. Parmi ceux-ci, quelques 1 115 sont achevés et ont permis à plus de cinq millions de personnes d’en bénéficier sur l’étendue du territoire.

développement (AFD). Le principal avantage du programme consiste à améliorer l’alimentation d’eau courante pour environ 400.000 personnes, dont certaines consacreraient actuellement jusqu’à un tiers du revenu familial à l’eau approvisionnée par camion.

Problématique hommes-femmes

Bien que des progrès aient été enregistrés au cours des dernières décennies pour ce qui est des indicateurs de genre et de l’égalité entre les sexes dans la région MENA (notamment des améliorations plus rapides que dans toute autre région au niveau de l’éducation des filles), les disparités fondées sur le sexe demeurent un défi pour la région. La stratégie axée sur la problématique hommes-femmes de la région MENA souligne l’importance d’une sensibilisation accrue de l’impact de cette problématique sur le développement et l’efficacité économiques. Dans ce contexte, le Rapport régional MENA sur le thème de la problématique hommes-femmes intitulé “Women in the Public Sphere” (« Les femmes dans la sphère publique »), qui analyse les barrières à la participation des femmes à la population active, sera publié en 2003, parallèlement à trois autres rapports régionaux consacrés au commerce, à la gouvernance, et à l’emploi – qui soulignent le rôle essentiel des sexes dans le nouveau modèle de développement régional. Ceci va également dans le sens de la Stratégie régionale pour le Moyen- Orient et l’Afrique du Nord qui identifie la problématique hommes-femmes comme l’un des cinq domaines stratégiques prioritaires.

Dans son effort en vue d’incorporer la problématique hommes-femmes dans les travaux réalisés dans la région MENA, le Conseil consultatif des femmes a continué de prodiguer des conseils à la Banque sur la meilleure façon d’intégrer les questions d’inégalité entre les sexes au développement. En outre, un Réseau régional consacré à la problématique hommes-femmes et au développement, appuyé par la Banque et composé d’individus et d’organisations, focalisés sur les pays de langues arabe et perse, s’est attaché à sensibiliser les décideurs, les chercheurs et les acteurs à promouvoir des politiques qui portent sur la parité hommes-femmes dans le développement. Ces efforts ont constamment aidé à attirer l’attention sur ces questions jusque dans les opérations de prêts, 80 pour cent des projets traitant des questions de parité hommes-femmes en 2002 (plus du double du taux d’il y a 10 ans).

Efficacité et gouvernance du secteur public

Le renforcement institutionnel pour améliorer la responsabilisation et l’efficacité du secteur public est un thème clé de la coopération et des services-consultatifs de la Banque mondiale à la région MENA. En septembre 2003, la Banque lance sa publication-phare intitulée “Better Governance for Development in the Middle East and North Africa: Enhancing Inclusiveness and Accountability” (Vers une meilleure gouvernance au Moyen-Orient et en Afrique du Nord : Améliorer l’inclusivité et la responsabilisation). Le rapport, rédigé en collaboration avec un réseau d’érudits de renom de la région, propose aux gouvernements et à la société civile des options pour améliorer les mécanismes de gouvernance dans la région. D’autres activités analytiques et consultatives portant sur la gouvernance et le secteur public ont également été réalisées en Iran, au Yémen, en Jordanie et au Maroc.

Au cours de l’exercice budgétaire 2002, la Banque mondiale a continué de fournir du financement pour des initiatives visant à renforcer la capacité du secteur public à assurer les services sociaux de base et l’infrastructure. A titre d’exemple, elle appuie une stratégie à long terme de développement du secteur de la santé publique à Djibouti, et assiste le Gouvernement du Maroc à fournir les services sociaux de base aux communautés démunies. En Tunisie, la Banque mondiale a approuvé un troisième prêt dans une série d’initiatives de réforme de politique, le Prêt à l’ajustement de la compétitivité économique, qui s’inspire des réformes entreprises par le Gouvernement pour créer un climat des affaires propice à l’investissement. D’autres activités nouvelles de financement ont contribué à ouvrir la voie à une plus grande décentralisation et dépendance vis-à-vis de la société civile et du secteur privé pour la planification et

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prestation des services publics. A titre d’exemple, la Banque mondiale apporte son appui à un projet de développement communautaire en Cisjordanie et à Gaza visant à renforcer le rôle des municipalités locales et conseils villageois au niveau de l’amélioration de l’accès et de la qualité des services sociaux de base dans les communautés pauvres et isolées.

Savoir, partenariat et sensibilisation

La Banque s’attache également à améliorer sa réactivité aux besoins des partenaires de la région MENA en apportant des changements à sa propre structure organisationnelle.

Par exemple, les opérations de la Banque en Algérie, Egypte, Djibouti, Cisjordanie et Gaza, et Yémen sont actuellement principalement gérées par les missions résidentes qui sont de plus en plus engagées dans des partenariats et activités liés au savoir.

Dans le même contexte, les activités se développent dans les missions résidentes au Maroc, au Liban et en Arabie saoudite.

Perspectives d’avenir

Pour aider à relever les divers défis auxquels la région fait face, la Banque mondiale veillera à apporter son soutien aux objectifs de développement à long terme, uniques à chaque pays. Elle veillera aussi à renforcer les partenariats pour le développement avec la société civile et les pauvres afin de mieux comprendre leurs besoins et avec les organisations de développement pour garantir le partage du savoir.

Tous les montants sont en équivalents de dollars US Septembre 2003

For more information, please contact mnaext@worldbank.org

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