• Aucun résultat trouvé

PRESSE REVUE DE. Radio. télé JOURNAUX. M édias. sociaux MÉDIAS PRESSE. 29 juin information PRODUIT PAR

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "PRESSE REVUE DE. Radio. télé JOURNAUX. M édias. sociaux MÉDIAS PRESSE. 29 juin information PRODUIT PAR"

Copied!
30
0
0

Texte intégral

(1)

REVUE DE

PRESSE

2 9 juin 20 22

PRESSE

JOURNAUX

Radio

télé

M É D I A S M édias sociaux

information

PRODUIT PAR

Afin de se conformer à la Loi sur le droit d’auteur,

la FCSSQ détient une licence autorisant une redistribution électronique restreinte de ce document.

(2)

ÉDITORIAL

DU BOULOT POUR LE PROTECTEUR DE L'ÉLÈVE

JUDITH LACHAPELLE LA PRESSE

Le Québec a révoqué pratiquement autant de brevets d'enseignement en cinq ans que l'Ontario en 2020, nous apprenait cette semaine la collègue Marie-Eve Morasse'. Entre 2017 et juin 2022, 33 enseignants ont perdu le droit d'enseigner au Québec (dont 4 en 2020), alors que la sanction s'est appliquée à 28 enseignants ontariens durant la seule année de 2020.

Comment expliquer une telle différence entre les deux provinces ?

Les enseignants québécois sont-ils plus vertueux que leurs homologues ontariens ? Le système québécois parvient-il plus efficacement à éviter de délivrer un brevet d'enseignement à un individu qui ne le mérite pas ? Les parents québécois sont-ils davantage satisfaits du travail des enseignants ?

Il faudrait une analyse fine de la mécanique disciplinaire entre les deux provinces pour comprendre pourquoi, en apparence du moins, les enseignants ontariens sont plus souvent punis que leurs homologues québécois.

Retenons toutefois un principe élémentaire : pour qu'un comportement soit sanctionné, il faut d'abord qu'il soit porté à l'attention des autorités compétentes.

Et au Québec, on le sait, le processus de plainte en milieu scolaire est notoirement obscur et fastidieux.

Au Québec, les plaintes concernant les services éducatifs sont surtout gérées par les instances locales, soit l'école ou le centre de services scolaire. Le ministère de l'Éducation hérite de cas très graves, voire criminels — les brevets d'enseignement de ces derniers cas ne sont donc pas nécessairement révoqués en raison du dépôt d'une plainte, mais souvent à la suite de décisions judiciaires. De fait, la majorité des brevets (tant du côté québécois qu'ontarien d'ailleurs) ont été révoqués en raison « d'antécédents judiciaires » ou de

« comportements de nature sexuelle ».

Très peu de plaintes pour faute grave d'un enseignant atterrissent sur le bureau du ministre. En 2020, le

ministère de l'Éducation du Québec a reçu cinq plaintes

« envers des enseignants qui auraient commis une faute grave ou un acte dérogatoire à l'honneur ou à la dignité de la fonction enseignante ». Les autres plaintes pour des comportements moins graves ont été gérées par les instances régionales. Combien de plaintes ? De quelle nature ? On l'ignore.

Pendant cette même période en Ontario, l'Ordre professionnel des enseignants a étudié 625 plaintes envers des enseignants. La grande différence avec le Québec est que les audiences et les décisions disciplinaires de l'Ordre sont publiques — ce qui permet à tous de comprendre exactement ce qui est reproché à l'enseignant. Ou, plus simplement, où se situe « la ligne », « à quoi il faut faire attention, quoi ne pas faire », a expliqué à notre journaliste Gabrielle Barkany, porte- parole de l'Ordre des enseignants de l'Ontario.

Au Québec, faut-il le rappeler, aucun registre de plaintes envers les enseignants n'existe.

Pour savoir comment tel comportement a été sanctionné (ou non) par les directions, il faut faire des démarches auprès des écoles et des centres de services scolaires.

Il existe plus de 3000 écoles (primaires, secondaires, centres de formation professionnelle) rattachées à quelque 70 centres de services scolaires... Et chacun dispose de son « protecteur de l'élève ».

Bien sûr, le futur Protecteur national de l'élève, qui entrera en poste en 2023, doit justement servir à combler ces lacunes. Son rôle sera notamment de faire en sorte que les protecteurs régionaux (qui ne relèveront plus des centres de services) se concertent pour harmoniser leurs décisions et, surtout, les faire connaître du public. Le Ministère espère aussi réduire les délais dans le traitement des plaintes.

Comme la CAQ a renoncé à soumettre les enseignants à un ordre professionnel, il faut donc espérer que ce Protecteur national de l'élève saura gagner à la fois la confiance des citoyens et le respect des personnes à qui ils confient leurs enfants.

La Presse Plus, 29 juin 2022, page B2

(3)

Voici le cours de citoyenneté

Le programme du nouveau cours Culture et citoyenneté québécoise sera testé au secondaire cet automne

Le contenu du nouveau cours Culture et citoyenneté québécoise, qui remplacera le controversé cours Éthique et culture religieuse, prend forme. Le programme secon- daire provisoire, dont Le Journal a obtenu copie, sera testé dans une vingtaine d'écoles dès la rentrée.

DAPHNÉE DION-VIENS

Le Journal de Québec

Au primaire, le travail est moins avan- cé, indique nos sources, mais une tren- taine d'écoles expérimenteront aussi le nouveau cours lors de la prochaine année scolaire.

Au total, une cinquantaine d'établisse- ments participeront à ces projets pilotes qui permettront d'apporter des modifica- tions au besoin, explique-t-on.

Québec vise l'implantation du nouveau cours dans toutes les écoles de la province à la rentrée 2023.

Ce contenu occupera la même place dans la grille-matière que le cours Ethique et culture religieuse, qui s'était attiré plu- sieurs critiques au fil des ans.

Le « document de travail confidentiel », sur lequel Le Journal a pu mettre la main, est daté du 22 juin.

Plusieurs sections restent à complé- ter, mais les orientations du programme et plusieurs éléments de contenu sont définis.

Cette version provisoire a été soumise à la consultation dans le réseau scolaire.

DIALOGUE ET PENSÉE CRITIQUE

Tel qu'annoncé en grande pompe l'au-

tomne dernier, ce nouveau cours vise à préparer les jeunes Québécois à l'exercice de leur citoyenneté, grâce à la pratique du dialogue et au développement de la pensée critique, peut-on lire.

Le contenu s'articule principalement autour de trois objectifs, qui seront aussi les mêmes au primaire : préparer à l'exer- cice de la citoyenneté québécoise, viser la reconnaissance de soi et de l'autre et poursuivre le bien commun.

Au secondaire, deux compétences sont à acquérir : étudier une réalité culturelle et réfléchir sur une question éthique.

Pour y arriver, une dizaine de thèmes seront abordés (voir encadré ci-contre), de la première à la cinquième secondaire.

ÉDUCATION A LA SEXUALITÉ

L'éducation à la sexualité, qui était enseignée via des « capsules d'informa- tion » insérées dans d'autres matières, sera désormais intégrée dans ce nouveau cours tout au long du secondaire.

Le contenu sera sensiblement le même, mais ce nouveau cadre permettra davan- tage d'échanges et de réflexions entou- rant ces enjeux tout en s'assurant que le contenu ne soit pas balayé sous le tapis, comme c'est parfois le cas présentement, fait-on valoir.

L'éducation numérique sera aussi abor- dée, mais surtout en quatrième secondaire, où il pourra notamment être question de cyberintimidation et de cyberdépendance.

CULTURE RELIGIEUSE

Par ailleurs, ce nouveau cours vise à pré- senter la culture religieuse comme étant

l'une des facettes de l'identité, au même titre que plusieurs autres, plutôt que d'en faire une composante prioritaire comme c'était le cas dans le cours Ethique et culture reli- gieuse, indique-t-on.

Les religions occupent ainsi beaucoup moins de place dans le contenu que dans le cours précédent.

UN ASSEZ BON ACCUEIL

En octobre, le gouvernement Legault s'était attiré de nombreuses critiques lors du dévoilement des grandes lignes de ce nouveau cours, auquel une dizaine de ministres avaient été associés.

Dans le réseau scolaire, plusieurs y avaient vu « un grand spectacle à saveur électora- liste » et craignaient une « instrumentali- sation de l'éducation à des fms politiques ».

Une version provisoire de ce programme a été présentée récemment au comité de validation et au comité de consultation, qui réunissent des experts et acteurs du réseau scolaire. Le contenu a été assez bien reçu, selon nos informations.

Dans le réseau scolaire, plusieurs se pré- occupent toutefois des conditions de mise en oeuvre de ce nouveau programme, rédigé à la vitesse grand V, et espèrent que la formation sera au rendez-vous pour les enseignants.

© Droits auteurs protégés, propriété de l'éditeur

La vente et la reproduction de ce document sont strictement interdites

Le Journal de Montréal, 29 juin 2022, page 6-7

Le Journal de Québec, 29 juin 2022, page 7

(4)

À LA UNE Éducation

LE PROGRAMME DU COURE CULTURE ET CITOYENNETÉ QUÉBÉCOISE

Pour chaque thème, voici quelques concepts et exemples de notions:

I re SECONDAIRE (50 HEURES)

Identités et appartenances - Transformation identitaire (puberté, découverte de l'amour et de la sexualité, orientation sexuelle) - Espaces de socialisation,

conformisme et contestation

Vie collective et espace public - Institutions

publiques, citoyenne- té, écoresponsabilité - Diversité sociale (ethnoculturelle, linguistique, religieuse, socioécono- mique et de genre)

000

2e

SECONDAIRE (50 HEURES)

■Autonomie et interdépendance - Liberté de choix, solidarité sociale, consommation

- Relations amoureuses et agir sexuel, consentement et violences

Démocratie et ordre social - Droits individuels et droits collectifs, institutions démocratiques

- Droits et responsabilités, participation citoyenne

© Droits auteurs protégés, propriété de l'éditeur

La vente et la reproduction de ce document sont strictement interdites

(5)

3e

SECONDAIRE (PAS DE COURS OFFERT)

4e

SECONDAIRE (100 HEURES)

Relations et bienveillance

- Relations affectives et amoureuses, agir sexuel - Continuum de la violence, relations égalitaires - Communication numérique (cyberintimidation)

Justice et droit - Institutions juridiques, Charte des droits et libertés

- Violence à caractère sexuel et conjugal - Encadrement juridique de la vie amoureuse et sexuelle

Culture et productions symboliques

- Cultures populaires et culture de masse - Cultures alternatives, culture religieuse, diversité culturelle Représentation de la sexualité

• Technologies et défis d'avenir

-Technologie et humanité (cyberdépendance) - Innovation technologique et intelligence artificielle,

- Transition écologique

5e

SECONDAIRE (50 HEURES)

Quête de sens et visions du monde - Questions philoso- phiques existen- tielles (sens de la vie et de

la mort), agentivité sexuelle (désir et plaisir), relations interpersonnelles et amoureuses

- Choix relatifs à la vie adulte, religions et spiritualité

Groupes sociaux et rapports de pouvoir - Sexisme, racisme, colonia- lisme, inégalités socioéco- forniques, exploi- tation, violences, pratiques égalitaires, féminisme, syndicalisme,

antiracisme, mouvement t-GBTQ+

© Droits auteurs protégés, propriété de l'éditeur

La vente et la reproduction de ce document sont strictement interdites

(6)

Il donne 100% à tous ses élèves

SIMON CARMICHAEL LE SOLEIL

A-,- diable la moyenne -le groupe. Les bulletins de tous les élèves de l'école primaire - . ze lt"

I C „. „." "„ m _ _m „ _ „ "„..„ „."

„. „ „." . „ , "„ " „„ „."

de "_m . . „_ „.. „ „.. __ .

,."

W

,.." ,." „..

.„...

_. _.

: "...„-.,."

„.„

„_ "„. ._: ...„- "-:-.-.. _..-._ - _. „„ .. -:

e_- -•a•_ :_:-s o•_=-__ a_ "._...._.._ ..._..._-._ r-:._ _ ...,.,:: -„....„,.„„:....::"-„..:... .... „„ „... „„ „.. aaa•._^ss;-...... „":,:.:, " .„„... "„„" „„ „.. „ „ „„" „ ... „ ... ;" ... .._ a__._...._.._ „...„ .„.. „.."„„"F.„". le

"„:::....

.„„„...„: . de la m..A».."a„...y classe», Vlca.-lvv)i _....

,

plaide -..:-..-:-..:ÿ:-mm l'enseignant , . - wÎ- -G- Yv-C 1- --,.r .-..« -. -Itl-tive 7' . . -'- , uy „. -"ii vier ".o.-ne.

«Afin d'éliminer les effets indésirables de la moyenne du groupe sur l'interprétation du bulletin, le seul moyen à notre disposition pour ne pas pénaliser les élèves est d'attribuer la note de 100 % à tous», résume l'enseignant en éducation physique dans un courriel envoyé aux parents de l'école primaire quelques jours avant l'envoi des bulletins.

S'en est suivi une pluie de commentaires positifs.

«Bravo pour cette initiative!» «Enfin! On place l'enfant avant la performance!» «Quelle démarche remarquable», se sont réjouis les parents.

Si la manoeuvre a de quoi surprendre, elle est mûrement réfléchie. «On a des élèves qui sont super bons en sport, mais qui ne se forcent pas. On en a qui ont de la difficulté et qui se donnent à fond. Ça n'a aucun sens que le premier ait une note parfaite et le deuxième passe proche de couler», souligne M.

Dionne.

En décernant la note parfaite aux 365 élèves de l'école, l'enseignant espère éviter la comparaison entre les élèves. «C'est super démotivant pour un étudiant qui s'investit pour s'améliorer de recevoir son bulletin et d'être en bas de la moyenne. Ce n'est pas productif si on veut donner le goût du sport, au contraire.»

«Et même si on répète que c'est l'effort et l'implication qui comptent, tout ce beau message perd son sens.

Automatiquement, on se compare à la moyenne.» Ce sera donc 100 % pour tout le monde.

En contrepartie, le prof d'éducation physique fera un commentaire détaillé pour chaque bulletin, indiquant la progression de l'élève.

Les étudiants seront évalués par rapport à l'implication dans leurs apprentissages, leurs comportements

éthiques, leurs développements psychomoteurs et sociomoteurs ainsi que pour leur aisance en piscine.

Pas question d'y retrouver des pourcentages. Ils seront remplacés par des commentaires, indiquant si l'enfant répond aux attentes ou doit s'améliorer.

«C'est beaucoup, beaucoup plus parlant pour un parent, juge-t-il, lui-même père d'un enfant d'âge scolaire. Une note chiffrée ne renseigne aucunement les parents. Qu'est-ce que ça dit de voir 74 ou 86?»

demande-t-il.

Sortir du cadre, des centres jeunesse au gymnase La philosophie d'enseignement de M. Dionne ne date pas d'hier. Dès le début de sa carrière, il tente de déjouer les cadres établis et les règles rigides du ministère de l'Éducation pour offrir des rencontres positives entre ses élèves et le sport.

«Quand j'étais jeune, je l'avais facile en éduc. J'étais bon et le prof m'adorait, parce que c'était la performance qui était importante, raconte l'imposant homme au large sourire. Mais je voyais que pour les élèves qui étaient moins habiles, c'était presque de l'humiliation.»

Une fois à l'université, cette sensibilité pour les élèves qui ont du mal à se fondre dans le moule de l'école l'a amené à abandonner sa formation en enseignement du primaire pour compléter un baccalauréat en psychoéducation. «Je me concentrais toujours sur ceux qui étaient en retrait, qui ne l'avaient pas facile», se rappelle M. Dionne.

Il travaille quelques années dans les centres jeunesse, avant d'être formé en psychomotricité, lui permettant de s'attaquer aux enjeux comportementaux et sociaux des jeunes via le sport et l'activité physique.

Le Soleil (Numérique), 29 juin 2022, page A2

(7)

Au tournant des années 2010, il retourne à l'école et termine sa formation en enseignement au primaire. En 2015, il atterrit à l'école primaire l'Odyssée de Val- Bélair. Rapidement, l'enseignant constate que l'évaluation basée sur la performance, comme prescrit par Québec pour les cours d'éducation physique, n'est pas au service de l'apprentissage.

«Ça ne marche pas de faire cinq cours en jonglerie et d'évaluer au sixième sur une seule routine. J'ai toujours dit aux élèves que je les évalue dès qu'il mettait le pied dans le gymnase», relate-t-il.

Il évacue donc la notion de jours d'examens, de notes aux performances et de comparaisons avec les pairs.

«Ça enlève un stress inutile et ça permet aux élèves, et à l'enseignant, de se concentrer sur ce qui compte».

Une manoeuvre pour «brasser la cabane»

La directrice de l'école primaire, Maude Laflamme, ne s'en cache pas : elle s'attend à un appel du ministère de l'Éducation en lien avec l'initiative. Déjà, elle a reçu quelques appels d'employés de la Commission scolaire de la Capitale, perplexe devant la démarche.

«Je n'ai pas de problème à défendre ça. Comme école, on essaie de toujours être un pas en avant, et Guy- Olivier, lui, est toujours deux pas en avant! On l'appuie à 100 %» lance-t-elle en riant.

«On s'attend à ce que ça fasse réagir. C'est un peu le but, avoue la jeune directrice. Si ça peut mettre de la pression pour lancer le chantier qu'on réclame depuis des années sur les évaluations, tant mieux. Il faut que les choses bougent et qu'on encourage le jugement professionnel des enseignants».

Mme Laflamme juge que dans de nombreux cas, les notes sont chiffrées pour répondre aux besoins administratifs, et non pas aux besoins de l'élève.

Si elle convient que l'attribution de 100 % à tous les élèves s'appliquerait difficilement à certaines matières, comme les mathématiques et le français, par exemple,

elle juge que d'autres matières pourraient en bénéficier, comme les arts, la musique et l'éthique et culture religieuse.

«Et dans toutes les matières, il y a des choses à modifier et à appliquer pour éviter qu'on fasse un simple cumulatif des notes pour évaluer un élève», plaide-t-elle

Les deux professionnels de l'enseignement s'appuient sur le rapport «Évaluer pour que ça compte vraiment», commandé par le ministère au Conseil supérieur de l'éducation et rendu en 2018, pour demander un grand chantier sur les pratiques évaluatives du système de l'éducation.

Les conclusions du rapport sont sans équivoque. «La comparaison des élèves au groupe a des effets contre- productifs, notamment sur le plan de l'estime de soi, de la motivation et de la persévérance scolaire», tranchent les experts, ajoutant que «la note ne dit rien des forces et des faiblesses de la personne évaluée» et qu'elle

«ne renseigne pas sur ce qui doit être fait pour soutenir les apprentissages».

La démarche de donner 100 % à tous les élèves découle d'une discussion concernant le rapport entre M. Dionne et quelques collègues qui enseignent l'éducation physique. À la suite d'une discussion sur le rapport, l'enseignant de l'école l'Odyssée a tenté, sans succès, de savoir si le ministère de l'Éducation s'apprêtait à lancer le grand chantier sur l'évaluation, comme le propose le rapport. «Alors, comme je suis obstiné, je suis allé plus loin moi-même», indique-t-il.

«Tant mieux si mon initiative lance un débat, une discussion. Je n'attends que ça», lance avec détermination l'enseignant. Il faut qu'on se parle de la valeur de nos évaluations», conclut M. Dionne.

«Ça prend du monde pour brasser la cabane, Guy- Olivier est là pour ça et notre école aussi», ajoute sa directrice en lui lançant un regard complice.

(8)

1 Tribune

rvUmt:K,,.--

La Tribune

Le Centre de services scolaire de la Région-de-Sherbrooke (CSSRS) essuie un troisième refus du ministère de l'Éducation entourant la construction de la nouvelle école Mitchell-Montcalm à Sherbrooke.

Après avoir reçu la lettre de confirmation, le directeur adjoint à l'administration du CSSRS Patrick Guillemette affirme avoir rapidement posé des questions au ministère de l'Éducation (MEQ) afin de comprendre ce troisième refus.

«Ce qu'on nous dit c'est que le projet a été recommandé par l'équipe d'ajout d'espace et qu'il est classé comme étant prioritaire. L'enveloppe budgétaire attribuée aux projets majeurs [de 50 millions et plus] n'est toutefois pas suffisante pour en permettre l'autorisation», explique-t-il précisant que le fait d'avoir ou non un terrain désigné n'influence pas l'analyse faite par le MEQ.

Or, l'enjeu d'espace se fait de plus en plus important dans les écoles sherbrookoises. Huit classes modulaires sont notamment attendues sur le terrain du pavillon Montcalm pour l'automne 2023. Un total de 18 classes modulaires seront nécessaires à court terme afin de répondre à la demande, analyse-t-on au CSSRS.

«C'est sûr qu'on est déçu», commente d'emblée Sylvain Racette, directeur général du CSSRS. «D'autant plus qu'aucun projet majeur n'a été octroyé cette année, fait-il remarquer. Toutefois, on sent que le dossier chemine puisqu'il est maintenant recommandé par le MEQ. On peut dire que ça avance!»

Le président du conseil d'établissement de l'école secondaire Mitchell-Montcalm, Philippe Grenier, entrevoit également une lueur d'espoir. «J'ai l'impression que l'entonnoir se resserre tranquillement, dit-il. Avec cette nouvelle

recommandation, on franchit une étape supplémentaire. Ce

n'est pas un rejet total. Ça nous permet de croire que ça s'en vient. Peut-être pas maintenant, mais bientôt.»

Campagne électorale

Questionné à savoir s'il anticipait des annonces en éducation au cours des prochains mois en vue des prochaines élections québécoises, M. Racette admet avoir réfléchi à cette possibilité.

«Je ne sais pas si ça s'est fait dans le passé, mais je suis étonné qu'aucun projet n'ait été retenu sur le plan des investissements majeurs. Est-ce qu'il y aura des annonces pendant l'été? Je ne sais pas. Pour l'instant le projet est refusé, mais il est clair que nous avons besoin de cette nouvelle école. Il y a une augmentation constante du nombre d'élèves par année», rappelle-t-il.

«On peut effectivement se permettre d'avoir un peu d'espoir», a répondu pour sa part Philippe Grenier. «On n'a pas nécessairement d'indicateurs en ce sens, mais le dossier sent quand même bon. Beaucoup plus qu'il y a deux ou trois ans.»

Des choix «illogiques»

La députée de Sherbrooke Christine Labrie a pour sa part montré un peu moins d'enthousiasme devant ce troisième refus. «Le ministère ne pourra pas pelleter vers l'avant indéfiniment», a-t-elle commenté.

«Leurs choix n'ont aucune logique », ajoute-t-elle rappelant les fonds octroyés au CSSRS en 2020 pour un projet d'ajout de classes au Triolet. «Ce projet n'était pas jugé prioritaire et il ne pourra pas se réaliser parce qu'ils n'ont toujours pas financé l'agrandissement du Centre 24-Juin duquel dépendait ce projet.»

«Ils devraient plutôt donner les fonds à chaque centre de services et laisser les gens qui connaissent les besoins décider quels sont les projets prioritaires au lieu de prendre des décisions aussi absurdes dans leur tour à Québec», mentionne- t-elle.

Un troisième refus pour la nouvelle école Mitchell-Montcalm

SABRINA LAVOIE

La Tribune (Numérique), 29 juin 2022, page A2

(9)

Nouvellist e

'Nu...-RFC2VC

Un nouveau repère pour aider les parents à inspirer et stimuler leurs enfants

NAOMI GASCON Le Nouvelliste

La Table régionale de l'éducation Centre-du-Québec (TRECQ) lance, pour la fin de l'année scolaire, La Trappe Parent—CQ. La page Facebook se veut le repère des parents du Centre-du-Québec qui souhaitent bonifier le quotidien de leurs enfants avec des activités stimulantes, et ce, tout au long de leur parcours scolaire.

Cet été, La Trappe Parent — CQ s'adresse aux parents d'enfants qui fréquentent le primaire. Un défi par jour et une capsule d'information haute en couleur par semaine seront diffusés durant toute la saison estivale. La TRECQ veut ainsi fournir les outils nécessaires pour que les parents puissent agir efficacement pour contrer les effets de la glissade de l'été. Ce phénomène consiste en la perte d'apprentissages créée par

l'absence d'activités scolaires et une stimulation moindre en période estivale.

« Durant l'été, il est important de maintenir actives les connaissances des jeunes. Bonifier leur quotidien avec des activités stimulantes est une stratégie fort efficace qui fera toute la différence. L'essentiel à comprendre, c'est que ça doit demeurer simple et surtout miser sur le plaisir en famille.

Compter les automobiles rouges, cuisiner une recette, jardiner, bricoler, chanter, ce sont tous des moyens accessibles pour stimuler les enfants. Et si les idées manquent, vous pouvez désormais vous inspirer avec La Trappe Parent — CQ

» souligne Caroline Dion, la directrice générale de la TRECQ.

La diffusion des défis quotidiens ainsi que des capsules débutera le lundi 27 juin sur la page Facebook de la Trappe Parent - CQ.

Le Nouvelliste (Numérique), 29 juin 2022, page A20

(10)

Actualités

Écoles réclamées à LIEDS: le combat se poursuit

Les partis politiques provinciaux doivent s'engager à la construction d'une troisième école primaire et d'une école secondaire à Lite-des-Sœurs d'ici 2023.

Clément Gaboury egabou ry@metromedia.ca

C'est ce que l'Arrondissement de Verdun demande aux candidats pour les pro- chaines élections provinciales du 3 octobre prochain.

Le conseil d'arrondissement a adopté à l'unanimité une résolution en ce sens, le 7juin dernier.

La construction d'une troisième école primaire est réclamée à L'Île-des-Soeurs depuis 2017. En 2019, des dizaines de classes de l'école des Marguerite avaient été aménagées dans une tour de bureaux de la Place du Commerce en raison du manque de places. Une situation dite tem- poraire, qui persiste depuis bientôt trois ans.

En visite à ne-des-Soeurs en avril 2019, le ministre de l'Éducation Jean-François Roberge avait mentionné qu'un terrain serait sélectionné l'été suivant pour la construction d'une future école. Les résul- tats se font toujours attendre.

La priorité

En 2021, plusieurs parents d'élèves avaient mis en place une pétition demandant l'ac- célération du projet de construction d'une troisième école primaire.

La mairesse de Verdun, Marie-André Mauger, estime que le besoin pour une

école secondaire à Elle-des-Saurs est tout aussi criant.

«On donne un signal clair que ce soit la priorité des candidats aux élec- tions provinciales. On veut qu'ils se positionnent là-dessus », a indiqué

Mme Mauger en entrevue.

«Les devoirs ont été faits déjà pour démontrer non seulement le besoin, mais une certaine urgence de ce besoin. Pour nous, ces deux écoles sont les projets prio- ritaires», poursuit MP1e Mauger.

L'Éducation n'est pas de compétence municipale, mais l'Arrondissement tient à souligner l'importance des écoles dans la vie communautaire.

«On cherche vraiment à améliorer la vie de quartier. Quand on sort du cursus primaire à L'île-des-Soeurs, il y a comme une diaspora de jeunes qui vont dans plein d'écoles secondaires sans néces- sairement qu'il y ait un tronc commun », explique la mairesse.

Jusqu'à maintenant, la députée de Verdun, Isabelle Melançon, est la seule candidate à s'étre engagée à faire de ces dossiers sa priorité pour la prochaine campagne électorale.

Les défis sont multiples

l.a question du manque d'écoles à L'île- des-Soeurs a fait couler beaucoup d'encre dans les dernières années.

Le dossier a été étudié plusieurs fois à ]Assemblée nationale et a également été ciblé par le projet de loi 66 visant à accé- lérer les travaux d'infrastructures.

Comment se fait-il qu'en juin 2022, tou-

jours rien n'a été fait?

« Il y a une rareté de terrains », men- tionne Marie Andrée Mauger.

« L'île a une superficie de 3,75 km carrés, ce n'est pas un territoire élastique. C'est un territoire qui est petit. Quand on exclut la superficie du boisé Saint-Paul et du golf, on est à moins de 3 km carrés.»

Mauger rappelle que L'île-des- Soeurs n'est pas une propriété de la Ville.

Durant les années 50, la Congrégation de Notre-Dame a vendu L'Ile-des-Soeurs à un propriétaire privé.

L'Arrondissement de Verdun ne possède que les rues, les emprises publiques et les parcs sur le territoire de 1:11e-des-Soeurs.

«Le premier réflexe des gens c'est de dire: allez vers les parcs. Mais on ne veut pas aller dans les parcs, on veut aller sur des lots non construits ou qui ont un potentiel de redéveloppement, mais ces lots-là ne sont pas la propriété de la Ville.

C'est pour ça que ça rend les choses aussi compliquées», poursuit Mm Mauger.

Pour assurer la réalisation du projet des deux écoles, Marie-André Mauger croit qu'un propriétaire privé devra vendre un terrain au ministère de l'Éducation, et ce, à bas prix.

« Le coût des terrains est tellement élevé.

C'est déjà cher bâtir une école méme quand on a le terrain, vous pouvez imaginer sans.»

La résolution interpellant les futurs candidats aux élections provinciales est une initiative de la conseillère de la Ville, Véronique Tremblay. M

«Une école, c'est le socle d'une vie communautaire.»

MARIE-ANDRÉE MAUGER, MAIRESSE DE VERDUN

© Droits auteurs protégés, propriété de l'éditeur

La vente et la reproduction de ce document sont strictement interdites

Métro - IDS/Verdun, 29 juin 2022, page 4

(11)

Une bibliothèque-conteneur inaugurée au parc Carignan

Le Biblioconteneur, inauguré la semaine dernière au parc Le Carignan par des représentants de

l'arrondissement de Montréal-Nord et du Centre de services scolaire de la Pointe-de-Fille (CSSPI), doit son nom au fait qu'il s'agit d'une bibliothèque construite à partir de deux conteneurs de fret maritimes.

Adrien Banville

La mairesse d'arrondissement de Montréal Nord, Christine Black; la présidente du CSSPI, Marjolaine Dupuis; le directeur de l'aménagement urbain et des services aux entreprises, Jérôme Vailiancourt; et la directrice de l'école Le Carignan, Pascale Beaudry, ont inauguré le Biblioconteneur, un projet de bibliothèque temporaire.

Situé au coeur du parc Le Carignan, il abritera pendant un minimum de cinq ans

abanvi leemetro*nedia.ca

les livres de l'école primaire, au bénéfice de ses élèves de 5 à 12 ans et des résidents du quartier.

11 sera équipé d'une terrasse verte et d'un café littéraire, qui agrémenteront la lecture des élèves et seront mis à dis- position des résidents les soirs et fins de semaine. Le lieu est également aménagé pour que des classes extérieures puissent s'y tenir.

«C'est agréable pour nous de transfor- mer un espace d'asphalte en un espace de livres et d'éducation. C'est un pas de plus qu'on fait au niveau de la culture avec la bibliothèque. Ça rend la culture plus accessible aux jeunes», a déclarée la mai- resse d'arrondissement, Christine Black.

« Il n'y avait pas de bibliothèque à l'école. ll fallait penser en dehors de la boite et ç'a donné ce projet qui est une annexe finalement de l'école, mais qui est dans un espace public», a-t-elle précisé.

Bien que la structure de conteneur et le revêtement extérieur en bois soient complétés, il reste à meubler l'intérieur

de la structure éphémère, tâche qui sera

confiée au CSSPI et à la direction de l'école Le Carignan, qui y transférera sa collection de livres.

Des activités de lecture y seront aussi organisées au courant de l'été.

Le Biblioconteneur sera prêt pour la rentrée 2023.

Les coûts du projet n'ont pas encore été dévoilés au moment d'écrire ces lignes. Ri

« Il n'y avait pas de bibliothèque à l'école.

Il fallait penser en dehors de la boite et ç'a donné

ce projet qui est une annexe finalement de l'école, mais qui est dans

un espace public »

CHRISTINE BLACK

-

© Droits auteurs protégés, propriété de l'éditeur

La vente et la reproduction de ce document sont strictement interdites

Métro - Montréal-Nord, 29 juin 2022, page 4

(12)

De retour de France la «tête pleine d'idées»

La mairesse de Montréal-Nord, Christine Black, revient d'une mission à Évry- Courcouronnes, en banlieue de Paris, la «tète pleine d'idées ». Elle y était du 29 mai au 2 juin, avec une délégation menée par le YMCA du Québec, qui a reçu une subvention de près 12000$

pour le voyage.

Anouk Lcbcl alehe [x-n -f•r. raci-.ca

«On est encore en train d'assimiler les apprentissages. Ça va nous prendre quelques semaines», a mentionné l'élue d'Ensemble Montréal, en entrevue avec- Métro, quelques jours après son retour.

La mission de quatre jours portait sur les innovations en matière d'éducation et faisait suite à une visite d'une délégation d'Évey-Courcouronnes à Montréal-Nord à l'automne 2019.

La mairesse Black et le conseiller de la Ville Abdelhaq Sari faisaient partie d'une délégation de six personnes composée également de la directrice de la Table de quartier de Montréal-Nord, ]-Ioda Essassi, du directeur réseau Saint-Léonard et Anjou du Centre de services scolaire de la Pointe-de-111e (CSSPIJ, Jean-Francois Bouchard, de mcme que de deux repré- sentants du YMCA.

Des Pyramides au nord-est

M' Black savait avant son départ que Montréal-Nord et l:vey•Courcou ronnes avaient beaucoup en commun. Cela l'a d'autant plus frappée une fois sur place.

La Commune française a été construite en bordure de la Seine, où on cherche à

© Droits auteurs protégés, propriété de l'éditeur

La vente et la reproduction de ce document sont strictement interdites

remettre en valeur les berges et les rendre accessibles aux citoyens. « Il y a un parallèle à fore avec le parc Aimé-Léonard et notre rivière des Prairies», croit la mairesse.

Densément peuplé. le quartier des Pyramides a été durement frappé pen- dant la pandémie, un peu comme l'a été le nord-est de l'arrondissement.« En France, les règles sanitaires étaient encore plus strictes et les jeunes ne pouvaient pas aller bien loin. Ils étaient pris dans des petits appartements.»

Une relation à consolider

Le voyage confirme la volonté des deux municipalités de continuer à travailler ensemble, souligne M"'" Black.

Ce sera d'ailleurs au tour de la déléga- tion d'Évry-Courcouronnes de venir à Montréal-Nord en octobre prochain, si les conditions sanitaires le permettent.

Une subvention de près de 12000$

Le YMCA a financé le voyage grâce à une subvention du 11700$ du Fonds franco-québécois pour la coopération décentralisée. coordonné par le minis- tère des Relations internationales et de la Francophonie.

Cela signifie un maximum de 1950$ (lee dépenses pour chacun des six membres de la délégation.

Le conseil d'arrondissement de Montréal-Nord a aussi autorisé un mon- tant de 1000$ en dépenses additionnelles pour Mn" Black et M. Sari, lors de la séance du 9 mai,

Les dépenses supplémentaires des autres délégués devront cire assumées par leurs organisations respectives, a pré- cisé M"'y' Black pendant l'entrevue. M

Métro - Montréal-Nord, 29 juin 2022, page 6

(13)

53 000 $ de Québec pour une nouvelle cour d'école à Saint-Honoré-de-Shenley

Alexandre Dube

" . Le maire de Saint-Honoré-de-Shenley, Dany Quirion, le député de Beauce-Sud, Samuel Poulin, la directrice de l'école primaire de Saint-Honoré-de-Shenley, Marilyne Goulet, la conseillère municipale, Karine Champagne et l'enseignant responsable du projet, Frédéric Leclerc (photo : gracieuseté).

La campagne de financement pour donner une cure de jeunesse à la cour de l'école primaire de Saint-Honoré-de-Shenley peut compter sur une enveloppe de 50 000 $ du gouvernement

du

Québec, dans le cadre du volet Soutien à la

vitalisation

et à la coopération intermunicipale du Fonds régions et ruralité (FRR).

L'objectif est de réaménager complètement la cour d'école et de la doter de nouvelles infrastructures récréatives et sportives. On souhaite y construire un terrain synthétique, des balançoires et des paniers de basketball, un cabanon et d'une zone de jeux de sable.

En plus des 50 000 $ provenant du FRR, le député de Beauce-Sud, Samuel Poulin, le ministre de l'Éducation, Jean-François Roberge, et le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de

l'Alimentation, André

Lamontagne,

y consacrent chacun 1 000 $ de leurs fonds discrétionnaires de députés, portant à 53 000 à la campagne de financement.

« Depuis notre arrivée, nous investissons massivement à Saint-Honoré-de-Shenley », affirme Samuel Poulin, donnant en exemple « l'arrivée d'un tout premier CPE, la réfection de plusieurs routes et rang, le nouveau pavillon agroalimentaire, le ciné-parc et maintenant la nouvelle cour d'école ».

*MaBeauce.com, 28 juin 2022, page NA

(14)

Le maire de Saint-Honoré-de-Shenley, Dany Quirion, fait valoir que « L'activité physique est essentielle au développement des enfants » et que cette aide est « Un geste important pour ceux qui contribueront à l'avenir de notre société ».

Les travaux doivent être faits en 2023.

(15)

Près de 11,5 M$ de Québec pour les infrastructures sportives et récréatives

Alexandre Dubé

La ministre déléguée à l'Éducation, Isabelle Charest, lors de son annonce le 21 juin à l'école au Trésor-du-Boisé, à Montréal (photo : Facebook - Isabelle Charest - Députée de Brome-Missisquoi à l'Assemblée Nationale du Québec).

Le gouvernement du Québec a dévoilé récemment près de 175 MS pour la réalisation de 81 projets via son Programme de soutien aux infrastructures sportives et récréatives scolaires et d'enseignement supérieur (PSISRSES). Du lot, 11 465 227,46 S sont distribués pour 6 projets dans Chaudière-Appalaches.

Au centre de services scolaire (CSS) de la Beauce-Etchemin, la Polyvalente de Saint-Georges reçoit 4 919 566,00 $ pour la réfection des plateaux sportifs extérieurs.

Quatre projets iront de l'avant au CSS de la Côte-du-Sud, soit l'aménagement d'une cour extérieure à l'école aux Quatre-Vents de Saint-Malachie (92 639,78 $), la mise en place d'un dôme sur le terrain synthétique multisport Laprise, situé près de l'école secondaire secondaire Louis-Jacques-Casault de Montmagny (1 032 358,04 $).

L'école primaire des Hauts sommets de Sainte-Perpétue verra ses terrains, modules et zones de jeux être réaménagés (300 882,86 $) et on revitalisera la cour de l'école primaire de Saint-Marcel (119 780,78 $).

Finalement, le Cégep de Thetford pourra aller de l'avant avec la construction d'un complexe sportif intérieur 5 000 000,00 $.

*MaBeauce.com, 28 juin 2022, page NA

(16)

Un prix de 5000 $ pour la classe CAPS-DÉFIS de l'école secondaire de Cabano

Guylain Jean

Des jeunes heureux de la classe CAPS-DÉFIS (Photo de courtoisie)

Une très bonne nouvelle pour la classe de CAPS-DÉFIS de l'école secondaire de Cabano, qui a reçu ce matin (mardi), un beau chèque de 5000 $ suite à la participation au Concours national Cheese4change de Tre Stelle.

Les élèves ont soumis une bonne recette de pizza qui a répondu aux critères de sélection pour ainsi mettre la main sur ce beau montant d'argent.

Bien sûr, c'est une grande fierté et une autre réussite pour eux. Nos félicitations à tous et bravo pour votre recette de pizza, que tous voudront maintenant connaître!!!

*MonTémiscouata.com, 28 juin 2022, page NA

(17)

131-auce

MRC de La Nouvelle-Beauce

Trois municipalités améliorent la sécurité près de leur école

Par Salle des nouvelles

Entre 2016 et 2020, neuf municipalités de La Nouvelle-Beauce ont profité de subventions du gouvernement du Québec totalisant 13 500$ afin de soutenir la création d'environnements sécuritaires pour les cyclistes et les piétons.

Le but est d'encourage les saines habitudes de vie. La MRC de La Nouvelles-Beauce devait s'engager à verser le même montant que Québec.

Les municipalités devaient se doter d'un plan de déplacement grâce au programme À pied, à vélo, ville active. Ces plans prévoyaient des actions pour encourager le transport actif et améliorer la sécurité des déplacements à pied ou à vélo aux abords de leurs écoles primaires.

Dans cette optique, un appel de projets a été lancé parmi les municipalités qui se sont dotées d'un plan de déplacement pour qu'elles puissent bénéficier d'une aide financière parmi les 27 000 $ disponibles.

Des projets dans trois municipalités du territoire ont été retenus.

- Saints-Anges recevra une aide de 9 000$ pour procéder à l'installation de panneaux lumineux pour traverse de piétons et le remplacement de supports à vélos dans les secteurs de l'école et du chalet des loisirs.

- Scott recevra une aide de 9 000$ pour adapter l'environnement autour de la nouvelle école primaire pour assurer la sécurité des élèves lors de la rentrée scolaire 2022.

- Vallée-Jonction recevra une aide financière de 9 000$ pour l'installation de panneaux lumineux pour traverse de piétons et le marquage de traverses de piétons dans plusieurs secteurs de la municipalité.

*BeauceMédia.ca, 28 juin 2022

(18)

Québec verse 53 000 $ pour une nouvelle cour d'école à Saint-Honoré-de-Shenley

Courtoisie - Le maire de Saint-Honoré-de- Shenley, Dany Quirion, le député de Beauce Sud, Samuel Poulin, la directrice de l'école primaire de Saint-Honoré-de- Shenley, Marilyne Goulet, la conseillère municipale, Karine Champagne et l'enseignant responsable du projet, Frédéric Leclerc.

Le député de Beauce-Sud, Samuel Poulin, vient d'annoncer par voie de communiqué de presse une contribution de 53 000$ du gouvernement du Québec pour la réalisation d'une toute nouvelle cour à l'école primaire Saint-Thérèse de Saint-Honoré-de-Shenley.

Le projet vise le réaménagement complet de la cour d'école et l'acquisition de nouvelles infrastructures soit la construction d'un terrain synthétique, des balançoires et des paniers de basketball. La

construction d'un cabanon et d'une zone de jeux de sable est également prévue.

Cet appui financier s'inscrit dans le cadre du volet Soutien à la vitalisation et à la coopération intermunicipale du Fonds régions et ruralité. Des sommes individuelles de 1000 $ du député Poulin, de 1000$ du ministre de l'Éducation, Jean-François Roberge et de 1000 $ du ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, André Lamontagne, viennent s'ajouter au montant.

Les travaux sont prévus en 2023.

*EnBeauce.com, 28 juin 2022

(19)

Vapotage : dissuader les ados sans nuire aux adultes qui veulent écraser

Les autorités de santé publique du Canada veulent bannir les saveurs des liquides pour protéger les adolescents. Une idée qui fait du surplace depuis un an, alors que les jeunes consommateurs continuent de se multiplier.

Catherine Dubé

Melon miel, mangue, glace à la banane : sans l'impressionnante gamme de parfums des liquides pour cigarettes électroniques, Ludovic Dubé n'aurait, de son propre aveu, jamais été tenté d'en faire l'essai.

« J'avais envie de tous les goûter ! Chaque fois, c'était nouveau et rafraîchissant », raconte-t-il.

Le jeune homme de 18 ans a vite apprécié l'effet de bien-être engendré par la nicotine. Six mois plus tard, il était accru. Il traînait toujours l'une de ses vapoteuses dans ses poches et prenait une bouffée dès qu'il en avait l'occasion. Il l'a même déjà fait en pleine nuit. Il tente maintenant de se défaire de cette dépendance et voudrait vapoter seulement une ou deux fois par mois, lors de soirées entre amis.

La proportion de jeunes disant avoir vapoté durant les 30 derniers jours a doublé de 2017 à 2019, passant de 10 % à 20 %, selon l'Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves (ECTADE), menée auprès des élèves du secondaire par Santé Canada. Environ 40 % de ces jeunes disaient fumer chaque jour.

Inquiet de cette augmentation rapide, Santé Canada a annoncé l'an dernier vouloir interdire les arômes sucrés dans les produits de vapotage, pour éviter qu'une nouvelle génération de Canadiens ne

deviennent dépendants de la nicotine.

Parmi les jeunes qui vapotent régulièrement, 90 % utilisent des produits avec nicotine et 57 %, des produits qui n'en contiennent pas, selon l'ECTADE (une partie des jeunes consomment les deux).

Un bon outil pour cesser de fumer ?

Le projet de règlement interdisant les saveurs (sauf la menthe, le menthol et le tabac) est cependant au point mort depuis les consultations publiques de l'automne 2021. Des associations de vapoteurs comme Rights 4 Vapers ont fait valoir que des arômes variés étaient une mesure incitative pour délaisser la cigarette traditionnelle.

Or, seul le tiers des fumeurs utilise cette méthode pour cesser de fumer, selon le plus récent coup de sonde réalisé par Statistique Canada en 2019, et le nombre d'ex-fumeurs est stable au pays depuis une décennie. Si le taux de tabagisme continue de baisser (il est passé de 20 % à 13 % de la population canadienne en 10 ans), c'est pour une autre raison. « Les fumeurs les plus âgés décèdent et les plus

*L'Actualité.com, 28 juin 2022

(20)

jeunes fument la cigarette en moins grand nombre », explique Flory Doucas, codirectrice de la

Coalition québécoise pour le contrôle du tabac, mise sur pied par l'Association des intervenants en dépendance du Québec.

Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), les preuves de l'efficacité de la cigarette

électronique pour se sevrer du tabac sont insuffisantes pour en recommander l'usage. Les méfaits de la nicotine ne font en revanche aucun doute et l'OMS exhorte les pays à adopter des lois sévères afin que les dispositifs qui en contiennent ne se retrouvent pas entre les mains des adolescents.

Fragiles cerveaux d'ados

La nicotine a un effet encore plus délétère sur un cerveau en plein développement que sur celui d'un adulte, affirme le D` Nicholas Chadi, pédiatre et clinicien-chercheur spécialisé en médecine de l'adolescence et toxicomanie au CHU Sainte-Justine. « Cette substance stimule certaines zones du cerveau, notamment celles liées au plaisir, et produit des libérations massives de dopamine. Le jeune se sent euphorique, mais une fois l'effet dissipé, il se sent souvent moins bien qu'au départ. D'où l'envie de recommencer », explique le médecin.

Ces perturbations ont des conséquences sur la régulation des émotions, le sommeil, l'appétit, le niveau d'énergie, la concentration, la maîtrise de l'impulsivité et la motivation. Les jeunes qui vapotent sont aussi plus susceptibles de souffrir d'anxiété et de dépression.

Sans compter les risques cardiovasculaires et pulmonaires liés aux autres constituants des liquides de vapotage, ajoute le médecin, coauteur du document de principe sur le vapotage de la Société

canadienne de pédiatrie. Le nuage qui s'échappe d'une vapoteuse est loin d'être inoffensif. « Il s'agit d'un aérosol, un mélange de vapeur d'eau et de particules fines en suspension composé de douzaines et de douzaines de produits chimiques, de traces de métaux lourds et de substances potentiellement cancérigènes », dit le D1 Chadi.

Un arôme habituellement utilisé comme additif alimentaire n'a pas les mêmes effets lorsqu'il est chauffé et inhalé. Une fois dans les poumons, ces particules causent de l'inflammation et de la toux.

Dans le pire des cas, elles peuvent également entraîner une pneumopathie associée au vapotage. Vingt personnes ont dû être hospitalisées pour cette raison entre mai 2019 et août 2020 au Canada, dont cinq ados, qui souffraient de fièvre et de douleurs thoraciques.

D'où l'urgence d'agir en bannissant les arômes sucrés, insiste Flory Doucas, de la Coalition québécoise

pour le contrôle du tabac. Les saveurs de confiseries, de desserts et de boissons gazeuses sont déjà

interdites par la Loi sur le tabac et les produits de vapotage ; il serait maintenant temps de s'attaquer

aux arômes fruités, selon elle. « Enquête après enquête, les jeunes disent que c'est ce qui pique leur

curiosité. Ils ont aussi tendance à penser que ces produits sont moins nocifs », dit-elle. Ils en sont sans

conteste les plus grands consommateurs : les saveurs de fruits sont préférées par 69 % des 15-19 ans et

62 % des 20-24 ans, alors qu'elles remportent la faveur de 33 % des 25 ans et plus.

(21)

Au Québec, des recommandations émises par le directeur national de la santé publique en 2020 vont encore plus loin que celles de Santé Canada : seul l'arôme de tabac devrait être permis, point. Le ministre de la Santé, Christian Dubé, s'est engagé à y faire suite, mais avec des élections provinciales à l'automne, il faudra patienter avant qu'un projet de loi voie le jour. L'Île-du-Prince-Édouard et la Nouvelle-Écosse ont toutes deux pris cette avenue : la vente de produits de vapotage aromatisés y est interdite, sauf ceux à l'arôme de tabac.

Plusieurs pays ont déjà fait de même, dont la Finlande et l'Estonie. Le Danemark ne permet pour sa part que le tabac et le menthol.

Abigail Friedman, professeure associée à l'École de santé publique de Yale, au Connecticut, y est allée d'une autre proposition dans les pages du New England Journal of Medicine en avril dernier :

conserver les arômes de fruits pour satisfaire les fumeurs adultes, mais limiter la vente de tous les produits contenant de la nicotine (cigarettes, cigares et produits de vapotage) à des boutiques

spécialisées accessibles uniquement aux personnes de 18 ans et plus. « Cela réduirait non seulement l'exposition des adolescents à ces produits, mais aussi celle des adultes qui tentent d'arrêter de les utiliser », écrit-elle.

La Nouvelle-Zélande a adopté une approche mitoyenne : on ne trouve que les saveurs de tabac, de menthol et de menthe dans les dépanneurs — les arômes fruités sont relégués aux boutiques

spécialisées. L'Ontario et la Colombie-Britannique ont fait exactement la même chose ; au Canada, les restrictions sur la vente au détail des produits de vapotage sont de compétence provinciale.

Au Québec, tant que les fabricants de produits de vapotage (dont de grands cigarettiers) continueront de pouvoir vendre des produits sucrés au dépanneur du coin, ils profiteront de la manne, croit Flory

Doucas. À ce jour, aucun de ces fabricants n'a fait homologuer l'une de ses vapoteuses comme aide à

la cessation tabagique par Santé Canada, ce qui demanderait de présenter des études cliniques prouvant

qu'elles sont efficaces.

(22)

Les employés de Kronos participent à La

Boucle: près de 12 000 $ pour l'école primaire J.P.-Labarre à Varennes

Metil - :_ : : De gauche à droite : Valérie Hébert

(directrice, Affaires environnementales, Kronos), Diane Fortin (directrice de l'école J.P.-Labarre), Christian St-Louis (surintendant de production chlorure, Kronos) et Frédéric Boisselle (président et directeur chez Kronos). (Photo : Kronos)

Le 11 juin dernier, une équipe de 18 employés de l'usine de fabrication de pigments blancs de dioxyde de titane de Kronos Canada à Varennes ont complété La Boucle cycliste de 135 km du Grand défi Pierre Lavoie. Portant fièrement les couleurs de Kronos, les employés de l'usine ont contribué à la promotion des saines habitudes de vie tout le long du trajet, dont le point de départ et d'arrivée était Sorel-Tracy, qui traversait de nombreuses municipalités dont Varennes et Sainte-Julie.

De plus, l'activité a permis d'amasser près de 7 000 $ en dons pour le projet de réfection de la cour de l'école primaire J.-P.-Labarre à Varennes qui a grandement besoin d'amour et de rajeunissement.

Kronos, via son programme de soutien Kronos Cares, a fait un don supplémentaire de 5 000 $, portant le montant total du don à près de 12 000 $, ce qui surpasse l'objectif initial de 10 000 $.

Frédéric Boisselle, président et directeur de l'usine est fier de cette initiative qui permet de soutenir et d'encourager les saines habitudes de vie chez les jeunes de Varennes et il espère que les employés seront encore plus nombreux à participer à l'événement l'année prochaine!

*LaRelève.qc.ca, 28 juin 2022

(23)

Communiqué (s)

(24)

Rapport annuel 2021-2022 de la FCSSQ

Une transition réussie dans un contexte exceptionnel!

Québec, le 28 juin 2022 – La Fédération des centres de services scolaires du Québec (FCSSQ) a présenté son rapport annuel 2021-2022 lors de sa dernière assemblée générale tenue le 9 juin dernier. Le Plan stratégique 2021-2025 adopté en novembre 2021, lequel est articulé autour de trois orientations stratégiques – briller, soutenir et rassembler davantage – et qui expose la mission, la vision et les valeurs de la nouvelle Fédération constitue une grande partie de cet exercice. Il s’agit donc du premier rapport annuel dressant le bilan des actions posées en lien avec le Plan stratégique.

La présidente-directrice générale de la FCSSQ, Mme Caroline Dupré, a souligné que « malgré le défi que représentait la mise en œuvre des dispositions de la Loi modifiant principalement la Loi sur l’instruction publique relativement à l’organisation et à la gouvernance scolaires, et ce, dans un contexte exceptionnel marqué par la crise sanitaire mondiale, je considère que nous avons réussi cette transition. Bien que la situation pandémique ait chamboulé les pratiques dans tout le réseau de l’éducation et qu’elle ait commandé de s’adapter continuellement, je suis fière de cet accomplissement et de l’accompagnement que la Fédération a su offrir à ses membres afin de les soutenir et de les accompagner tout au long de cette épreuve ».

Le rapport annuel 2021-2022 de la FCSSQ fait état d’un bilan riche tant au niveau des actions posées que des représentations faites au bénéfice de la réussite éducative.

Briller davantage en quelques exemples…

➔ Parmi les nombreuses actions posées en lien avec l’orientation Briller davantage, se trouve, entre autres, la présence active de la FCSSQ dans les diverses instances stratégiques, dont celle traitant de la pénurie de main-d’œuvre qui sévit dans l’ensemble du réseau public de l’éducation. La Fédération a également contribué significativement à l’élaboration et au dépôt du Plan de relance pour la réussite éducative 2021-2022. On compte également la réalisation du Guide des bonnes pratiques d’accompagnement pédagogique ainsi que la publication de plusieurs avis et mémoires liés à divers enjeux pouvant impacter le réseau public d’éducation. La FCSSQ a également procédé à la conception et l’actualisation de 10 formations menant à une attestation d’études professionnelles (AEP) dans des secteurs d’activités ciblées prioritaires pour l’économie.

Soutenir davantage en quelques exemples…

➔ En vue de Soutenir davantage, un président-directeur général adjoint fut nommé, à l’automne

dernier, afin de bonifier l’équipe de la présidence-direction générale de la FCSSQ et d’assurer le

développement du secteur des affaires administratives de la Fédération. D’autres actions

concrètes ont été posées, notamment à l’égard de la gestion de la pandémie : vigie et

(25)

accompagnement pour l’application des mesures sanitaires et de leur impact, services-conseils, rencontres, production de documents d’information et analyse de l’impact des coûts liés à la gestion de la COVID-19.

➔ Aussi, afin de mieux soutenir, plus de 40 formations ont été offertes aux divers secteurs d'activités des CSS générant plus de 1 000 participations. L’équipe de la direction des relations du travail a offert un important soutien aux centres de services scolaires (CSS) dans le cadre de la gestion des moyens de pression. Les négociations nationales maintenant terminées, la mise en œuvre des nouvelles conventions collectives est en cours.

Rassembler davantage en quelques exemples…

➔ En vue de Rassembler davantage, la Fédération a mis à la disposition des directions générales des CSS des outils de communication visant à les soutenir dans leur rôle de porte-parole officiel dans certains dossiers névralgiques tels, la pénurie de main-d’œuvre, le plomb dans l’eau, la qualité de l’air, etc. Aussi, la FCSSQ a collaboré avec ses nombreux partenaires dans le traitement de plusieurs dossiers d’actualité impactant le réseau de l’éducation.

États financiers de la FCSSQ

Considérant que depuis deux ans ses revenus totaux ont plus que doublé, passant de 7,7 M$ à 18,3 M$

en 2022-2022, et ne proviennent désormais plus uniquement de la cotisation, mais de plusieurs ententes avec les différents partenaires, nous pouvons affirmer que la FCSSQ est en bonne santé financière.

À titre informatif, il est possible de prendre connaissance de l’intégralité du Rapport annuel 2021-2022 de la FCSSQ en consultant ce lien.

À propos de la FCSSQ

La FCSSQ regroupe l’ensemble des centres de services scolaires francophones du Québec ainsi que le Centre de services scolaire du Littoral. Les centres de services scolaires veillent à la réussite scolaire de plus d’un million d’élèves en assurant des services éducatifs au primaire, au secondaire, en formation professionnelle et à l’éducation des adultes. La FCSSQ offre à ses membres des services en relations du travail, en ressources matérielles et informationnelles, en financement, en transport scolaire, en formation professionnelle, en services éducatifs aux jeunes et aux adultes, ainsi que de la formation.

Conjointement avec le MEQ, la FCSSQ coordonne et dirige la négociation des matières nationales sectorielles des conventions collectives.

-30- Pour information :

Caroline Lemieux

(26)

Directrice des communications et des affaires publiques Fédération des centres de services scolaires du Québec Tél. : 418 651-3220 - Cell. : 418 570-9716

clemieux@fcssq.quebec • www.fcssq.quebec

Twitter : @FCSSQc

(27)

Le ministre Hussen et le Réseau canadien anti-haine lancent une trousse d'outils anti- haine destinés aux écoles canadiennes

English

NOUVELLES FOURNIES PAR Patrimoine canadien Juin 28, 2022, 16:16 ET

Le ministre Hussen et le Réseau canadien anti-haine feront une importante annonce pour aider à contrecarrer et à prévenir la haine dans les écoles canadiennes

OTTAWA, ON, le 28 juin 2022 /CNW/ - L'honorable Ahmed Hussen, ministre du Logement et de la Diversité et de l'Inclusion, se joindra au Réseau canadien anti-haine pour faire une

importante annonce mercredi en vue d'aider les éducateurs, les parents et les communautés à contrecarrer et à prévenir la haine dans les écoles canadiennes. Le ministre Hussen répondra aux questions des journalistes après l'annonce.

A nnonce  virtuelle  et point de presse

Les représentants des médias qui souhaitent assister à l'annonce virtuelle et au point de presse sur Zoom doivent obligatoirement con rmer leur participation en transmettant leur nom complet ainsi que le nom de leur média à media@pch.gc.ca avant 9 h HE, le mercredi 29 juin.

Un lien Zoom leur sera envoyé pour leur permettre de poser des questions après l'annonce.

Veuillez noter que tous les renseignements sont susceptibles de changer sans préavis.

Voici les détails :

(28)

ACTIVITÉ :

Annonce virtuelle et point de presse

DATE : 

Le mercredi 29 juin 2022

HEURE :   12 h HE

ENDROIT : Virtuel

SOURCE Patrimoine canadien

Renseignements: Médias seulement, veuillez communiquer avec : Arevig Afarian, Cabinet du ministre du Logement et de la Diversité et de l'Inclusion, arevig.afarian@infc.gc.ca; Relations avec les médias, Patrimoine canadien, 819-994-9101, 1-866-569-6155, media@pch.gc.ca

(29)

Invitation aux médias - Fin de l'année

scolaire - Les enseignantes et enseignants rendent visite au premier ministre

NOUVELLES FOURNIES PAR

Fédération des syndicats de l'enseignement (FSE-CSQ)

Juin 29, 2022, 06:00 ET

QUÉBEC, le 29 juin 2022 /CNW Telbec/ - Josée Scalabrini, présidente de la Fédération des syndicats de l'enseignement (FSE‑CSQ), convie les personnes représentantes des médias à assister à un événement festif devant le bureau montréalais du premier ministre François Legault. Heidi Yetman, présidente de l'Association provinciale des enseignantes et enseignants du Québec (APEQ-QPAT) et Éric Gingras, président de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), prendront également la parole.

Par la suite, les porte-paroles seront disponibles pour des entrevues individuelles (en français ou en anglais).

Aide-mémoire

Quoi : Événement festif pour souligner la fin de l'année scolaire organisé par la FSE-CSQ avec la participation de l'APEQ-QPAT et de la CSQ

Qui : Josée Scalabrini, présidente de la FSE-CSQ Heidi Yetman, présidente de l'APEQ-QPAT Éric Gingras, président de la CSQ

Quand : Le jeudi 30 juin, à 7 h 30 Prises de parole à 8 h

Où : Bureau du premier ministre François Legault 770, rue Sherbrooke Ouest, Montréal

Pro l

(30)

La Fédération des syndicats de l'enseignement (FSE) regroupe 34 syndicats représentant plus de 65 000 enseignantes et enseignants de centres de services scolaires et de commissions scolaires de partout au Québec. Elle compte parmi ses membres du personnel enseignant de tous les secteurs : préscolaire, primaire, secondaire, formation professionnelle et formation générale des adultes. Elle est af liée à la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) et négocie en cartel avec l'Association provinciale des enseignantes et enseignants du Québec (APEQ-QPAT), qui représente les 8 000 enseignantes et enseignants des commissions scolaires anglophones du Québec. Ensemble, elles représentent 73 000 enseignantes et enseignants.

SOURCE Fédération des syndicats de l'enseignement (FSE-CSQ)

Renseignements: Étienne Richer, attaché de presse de la FSE-CSQ, Cellulaire : 581 983-6130, richer.etienne@fse.lacsq.org; Maude Messier, attachée de presse de la CSQ, Cellulaire : 514 213- 0770, messier.maude@lacsq.org; Julie Montpetit, conseillère en communication à l'APEQ- QPAT, Cellulaire : 514 249-9653, julie_montpetit@qpat-apeq.qc.ca

Références

Documents relatifs

«Je leur dis aux élèves en début d'année scolaire que je m'attends d'eux qu'ils donnent ce qu'ils sont capables de faire, que ça se peut qu'une journée, que ça ne fonctionne pas

«Je sais qu'on peut appeler pour parler à des profs, mais moi comme je suis à l'école, je l'utilise plus en français, donc n'importe quelle question par rapport à la notion que je

Un sous-comité, lui, s'est penché sur l'avenir du hockey féminin. Comment initier plus de jeunes Québécoises au hockey ? À travers l'école ? Comment les convaincre de

L'établissement du secteur Hull, dont la capacité est de 745 élèves, mais en accueille pour l'instant que le tiers en attendant que son bassin de fréquentation plus officiel

Considérez ce qui suit : Google traite, estime-t-on, des dizaines de milliers (j'ai lu 7o 000) de deman- des de recherche à la seconde. Je vous laisse calculer ce que cela fait

Le passeport vaccinal ne sera pas obligatoire pour les lieux de culte (funérailles, cérémonies, mariages), mais un maximum de 50 personnes est demandé dans ces cas-ci..

Dans ce même courriel, le père déplore la mise en place d’un « système à deux vitesses » pour l’épreuve unique de français, sachant que le dictionnaire Usito pourrait

Comme nous regroupons différents programmes de l'école, le projet a un très gros apport social, notamment pour les élèves de classe d'accueil.» Il indique que l'équipe de