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Dosage immunoenzymatique du virus de la mosaique du tabac dans differents tissus de tabac cultives in vitro

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Dosage immunoenzymatique du virus de la mosaique du tabac dans differents tissus de tabac cultives in vitro

Loïc Cardin, D. Salle, Alain Poupet, Michel Ponchet

To cite this version:

Loïc Cardin, D. Salle, Alain Poupet, Michel Ponchet. Dosage immunoenzymatique du virus de la mosaique du tabac dans differents tissus de tabac cultives in vitro. Agronomie, EDP Sciences, 1983, 3 (10), pp.983-988. �hal-02720580�

(2)

Dosage immunoenzymatique du virus de la mosaïque

du tabac dans différents tissus de tabac cultivés « in vitro »

Loïc CARDIN, Dominique SALLE Alain POUPET Michel PONCHET

1. N. R.A. , Station de Botanique et de Pathologie végétale, 62, boulevard du Cap, F 06602 Antibes

RÉSUMÉ Une méthode immunoenzymatique (méthode ELISA de type sandwich) a été appliquée au dosage du virus de la mosaïque du tabac dans trois types de tissus de tabac (Nicotiana tabacum var. « Samsun ») infectés et

cultivés « in vitro » : cals, bourgeons végétatifs en multiplication rapide et plantules enracinées. Les anticorps

anti-VMT sont couplés avec la (3D-glucose oxydase : la grande stabilité de cette enzyme, peu utilisée

jusqu’alors en virologie végétale, permet une conservation de longue durée du conjugué.

Il existe, pour la courbe étalon, une linéarité entre 7 et 125 ng/ml de virus purifié, déterminant ainsi la zone de

dosage. Dans nos conditions, la quantité minimale d’antigène que l’on peut doser est de l’ordre de 0,1 (ig de

virus/g de matière fraîche et la reproductibilité des résultats est estimée à 15 p. 100.

La teneur en antigène viral est respectivement 20 et 40 fois plus élevée dans les bourgeons et les plantules que dans les cals.

Mots clés additionnels : ELISA, Nicotiana tabacum, (3D-glucose oxydase.

SUMMARY Immunoenzymatic assay of TMV from different « in vitro » cultured tobacco tissues.

An immunoenzymatic assay (ELISA) has been used to measure the level of virus synthesis in callus, proliferating vegetative buds and rooted plantlets of tobacco (Nicotiana tabacum var. Samsun) cultured « in

vitro » and infected by tobacco mosaic virus.

The enzyme, coupled with TMV antibodies, was (3D-glucose oxidase : its high stability allows a long term

storage of the conjugate. The tissue extracts were diluted so that the virus concentration ranged from 7 to

125 ng/ml (for linear response of standard) and virus levels were estimated by comparison with this standard

curve.

The amount of virus in buds and plantlets was respectively 20 and 40 times that in callus. This method gave

reproducible results (variability less than 15 %), was very sensitive (down to 0.1 wg virus per gram fresh material is measurable) ; it could be a very helpful tool to study plant-virus interactions.

Additional key woTds : ELISA, Nicotiana tabacum, βD-glucose oxidase.

1. INTRODUCTION

L’étude de la multiplication virale dans les plantes

infectées

implique ’

la mise en oeuvre d’une méthode de

dosage

du virus simple, rapide, sensible, fiable et

applicable

à un nombre élevé d’échantillons.

Les méthodes proposées

utilisent

soit le pouvoir infec-

tieux du virus (dosage biologique : HOLMES, 1929), soit les propriétés physico-chimiques ou antigéniques de la parti-

cule virale.

La méthode immunoenzvmatique de type « sandwich »

(méthode

ELISA ; CLARK & ADAMS,

1977)

réunit les critères précédents. Utilisée dans le

diagnostic

d’un nombre croissant de viroses (BOSSENEC & MAURY, 1977 ; DUNEZ, 1977 ; BARBARA et al., 1978 ; DEVERGNE et al., 1978...),

elle offre également des

possibilités

de

dosage

des virus

encore peu exploitées

(MEHRAD

et aL, 1978 ; MARCO &

C OHEN

, 1979 ; CARDIN, 198! ; DEVASHet al., 1982).

L’objet de cet article est de préciser les conditions

d’utilisation de cette méthode (sensibilité, gamme de

dosages, précision) pour doser le virus de la mosaïque du

tabac dans des tissus de tabac cultivés « in vitro » infectés

(3)

par ce virus. Ce travail préliminaire s’inscrit dans le cadre d’une étude de la

cinétique

de la synthèse virale en rapport

avec l’organogenèse.

II. MATÉRIEL ET MÉTHODES

A. Source d’inoculum et matériel végétal

Nous avons utilisé une souche commune du virus de la

mosaïque du tabac entretenue au laboratoire depuis plu-

sieurs années ; un lot de tabacs cultivés en serre (Nicotiana

tabacum var. « Samsun ») est inoculé avec une suspension

purifiée

de virus 25

vg/ml

(Ricci,

1970).

Les prélèvements de tissus ou d’organes destinés à être

cultivés « in vitro » sont réalisés 15 j

après

l’inoculation. La

morphogenèse est orientée vers l’obtention de 3 types de matériel végétal :

- bourgeons végétatifs

(B)

en multiplication rapide,

- plantules (P) enracinées,

- cals indifférenciés (C).

Les masses de microbourgeons

(B)

et les plantules (P)

sont obtenues en utilisant comme explants primaires des bourgeons axillaires ; l’induction des cals

(C)

est réalisée à

partir de tissus médullaires.

Les mêmes types de tissus sont cultivés à partir de tabacs

sains.

La composition des milieux de culture

spécifiques

est

indiquée

dans le tableau I.

Les échantillons servant aux mesures proviennent de

cultures âgées de 60 j, ayant subi un repiquage sur chacun

des 3 milieux de culture précédents.

B. Technique de dosage immunoenzymatique du virus

1. Préparation des réactifs

Les anticorps anti-VMT sont obtenus par immunisation d’un lapin ; l’animal subit une injection intramusculaire par semaine pendant un mois,

puis

une injection de rappel

mensuelle pendant 8 mois ; chaque injection contient 1 mg de virus purifié dissous dans 1 ml d’eau distillée additionné de

formaldéhyde

à 0,4 p. 100, mélangé à un volume égal d’adjuvant complet de Freund.

Les immunoglobulines sont purifiées par précipitation au

sulfate de sodium (18 p. 100) à partir de sérum correspon- dant à plusieurs prélèvements effectués après le 3emois

d’immunisation. Leur couplage (5 mg) avec la !iD-glucose oxydase (10 mg 210

U/mg,

grade 1 Boehringer) est réalisé à

l’aide du m-periodate de sodium, selon le principe décrit

pour la peroxydase par NAKANE & KAWAOI (1974), (F

ERRUAet a!., 1980). Une chromatographie sur colonne de Séphacryl S200, équilibrée avec du tampon phosphate de

sodium (0,01 M)-chlorure de sodium

(1

p. 100) permet d’isoler les immunoglobulines marquées. Après concentra-

tion par dialyse sous vide et adjonction de sérum albumine

(10 mg/ml), le conjugué est conservé à - 20°C en présence

de glycérol (50 p. 100) ; il peut également être directement

congelé sous forme de fractions aliquotes.

Lors de chaque essai, la courbe étalon est établie en

utilisant une suspension de VMT (1 mg/ml en solution

aqueuse + 0,4 p. 100 formaldéhyde) ; on emploie une

gamme de dilutions de 7,8 à 250 ng/ml dans le tampon phosphate-chlorure de sodium-Tween 20 à 0,5 p. 100 (PBS- T) contenant 2 p. 100 de polyvinylpyrrolidone (P.M.

25 000, Merck) et 0,2 p. 100 de sérum albumine bovine

(fraction

V,

IBF), (pH

ajusté à 7,2) ; cependant, lors

d’essais préliminaires, une gamme de dilutions plus étendue

a été utilisée (2 à 500 ng/ml), (fig. 1).

Les échantillons sont obtenus en broyant 1 g de matière fraîche de chacun des trois types de tissus dans 4 ml de K

2

HPO, 0,01 M pH 7 ; on centrifuge à 5 000 g pendant

10 mn ; les surnageants, après dilution adéquate dans le tampon précédent, constituent les extraits bruts à éprouver.

2. Mode opératoire

L’utilisation d’un appareil GILFORD EIA PR 50 assure

l’automatisation de toutes les opérations. Le protocole de

base est celui décrit par CLARK & ADAMS, (1977). Les

cuvettes en polystyrène (groupes de 5 barrettes contenant 10 alvéoles) sont « sensibilisées » pendant 16 h par dépôt de 0,25 ml par alvéole d’une solution d’immunoglobulines anti-

VMT (4

wg/ml)

dans un tampon carbonate-bicarbonate de sodium pH 9,6. Les différentes dilutions des extraits sont

immédiatement déposées à raison de 3 répétitions par

dilution, selon un schéma adopté pour atténuer les

inégali-

tés de réaction des supports. L’incubation de l’antigène, puis du conjugué

(dilué

à

1/1000)

dure 2 h 30 à 37°C. On

pratique

4

lavages

de 4 s entre

chaque

opération.

La lecture est effectuée après une incubation du substrat de 3 h à 37°C, de sorte que la concentration la plus élevée en

virus

purifié

(250

ng/ml)

fournisse, dans nos conditions

expérimentales,

une densité optique voisine de 1,8.

3. Mesures

La courbe étalon est tracée en utilisant la moyenne des densités optiques

(D.O.)

relatives à chaque concentration de la

suspension purifiée

(3

répétitions).

Il en est de même

pour

les courbes afférentes aux 3 types d’extraits à éprou-

(4)

*

Dilutions conservées en fonction de la zone de dosage et du parallélisme avec la droite de régression (R) de la courbe étalon.

ver ; dès lors, il est possible, à partir de la D.O. mesurée pour chaque dilution d’un extrait, d’estimer graphiquement

sa concentration en antigène viral, en se référant à la courbe étalon. Il est cependant plus avantageux d’établir la droite de régression relative à la courbe étalon afin, d’une part, d’obtenir des résultats plus précis, d’autre part, de comparer les résultats de différents essais

compte

tenu des caractéristi- ques de cette droite

(pente,

ordonnée à l’origine).

III. RÉSULTATS

Les résultats du dosage

immunoenzymatique

du virus

dans les 3 types de tissus de tabac, relatifs à un essai, sont indiqués dans les tableaux 2, 3 et 4. La teneur moyenne en

antigène viral des plantules, bourgeons et cals, est respecti-

vement de 4,60, 2,30 et 0,12

mg/g

de matière fraîche.

La représentation graphique de la courbe étalon et des courbes de dilution des extraits à éprouver apparaît dans la figure 1. Les points correspondants aux valeurs 7,8 ; 15,6 ;,

31,2 ; 62,5 et 125 ng/ml de la courbe étalon sont alignés. En deçà et au-delà de cette portion de droite la courbe s’infléchit pour former un « plateau ».

Nous avons effectué les dosages dans la partie centrale

des courbes de dilution des extraits expérimentaux

(courbes

P, B, C) où la pente est voisine de celle de la courbe étalon.

La reproductibilité d’un essai est estimée à l’aide du coefficient de variation, calculé à partir des valeurs pondé-

rales (6

répétitions)

fournies

après

conversion des densités

optiques, grâce à la courbe étalon, ce dernier est inférieur à 15 p. 100 pour la

portion

de la courbe

comprise

entre 7,8 et 62,5

ng/mI.

La reproductibilité inter-essai est appréciée en dosant le

virus dans le même extrait à 4 dates différentes

(tabl. 5) ;

dans nos conditions, le coefficient de variation est

égale-

ment de l’ordre de 15 p. 100. Nous avons vérifié à cette

(5)
(6)

occasion que les droites de régression des courbes standard

représentaient

une pente pratiquement

identique.

Enfin,

l’incorporation

de masses croissantes de cal sain lors du broyage de cal infecté a permis de déterminer la limite du dosage qui est de l’ordre de 0,1 vg d’antigène/g de

matière fraîche.

IV. DISCUSSION - CONCLUSION

Les résultats obtenus suggèrent quelques observations.

Les valeurs absolues de la concentration en virus dans les 3 types de tissus de tabac confirment les résultats antérieurs de nombreux auteurs : dans les cals, on note une faible

teneur en virus (AUGIER DE MONTGREMIER & MOREL, 1948 ; HIRTH & DURR, 1970 ; SVOBODOVA, 1971) ; dans les plantules enracinées, la concentration en virus (4-5 mg/g de

matière

fraîche)

est du même ordre que celle observée dans les feuilles de tabac infecté cultivé en serre (MAIA et al., 1976) ; dans les bourgeons en multiplication rapide, on

remarque une teneur intermédiaire

(2-3 mg/g

de matière

fraîche) que l’on peut sans doute attribuer à un état

« juvénile » de type « pseudo-méristématique » des tissus

(L

IMASSETet al.,

1949).

Nous avons indiqué que la courbe étalon, ainsi que les courbes relatives aux extraits à éprouver, comprenaient

dans leurs parties extrêmes une modification de pente

(fig. 1).

Il en résulte une

imprécision

croissante des mesu-

res, à cause de la non-proportionnalité entre les valeurs de la D.O. et les concentrations correspondantes ; en consé-

quence, seule la partie linéaire doit être conservée pour le

dosage. Dans notre modèle, cette zone est comprise entre 7

et 125

ng/ml ;

utilisant la méthode ELISA de type indirect, DEVASH et al.

(1982)

indiquent une linéarité entre 2 et

200

ng/ml.

Les tableaux 2, 3 et 4 montrent en effet que 2 à 4 dilutions conduisent à des valeurs de concentrations très proches,

alors que, pour les autres, les valeurs calculées divergent, en plus ou en moins, très nettement.

Il est donc nécessaire de réaliser plusieurs dilutions d’un extrait de façon à se placer dans la zone appropriée au dosage et de vérifier le parallélisme entre les courbes des extraits et la courbe étalon.

En outre, la méthode immunoenzymatique ELISA, de

même que toute technique imrnunologique, permet seule-

ment de doser l’antigène viral présent dans l’extrait éprouvé, sans

préjuger

du

pouvoir

infectieux de celui-ci.

Ainsi, LOEBENSTEIN & GERA (1981), dans une étude

concernant un inhibiteur de la

replication

du VMT présent

dans des protoplastes de tabac, indiquent une inhibition de 60 p. 100 ou de 70 à 80 p. 100 selon

qu’elle

est mesurée par

une méthode biologique ou par la méthode ELISA. Compte

tenu de cette réserve et des limites

indiquées précédemment

dans la

pratique

du dosage, la facilité d’exécution et la

rapidité

d’acquisition

des résultats constituent des argu- ments notables en faveur de cette méthode, notamment lorsqu’il s’agit d’éprouver un nombre élevé d’échantillons.

De plus, la possibilité de mesurer de faibles teneurs en

antigène viral, alliée à une

reproductibilité acceptable,

en

fait une méthode de choix dans une étude de la

cinétique

de

la multiplication virale. L’usage de la j3D-glucose oxydase présente l’intérêt de la grande stabilité de cette enzyme qui permet la préparation de conjugués utilisables pendant un laps de temps

important (plus

de

2 ans),

sans perte d’activité.

Enfin, le fait que dans les

plantules

entières enracinées cultivées « in vitro », la teneur en virus soit voisine de celle observée dans les tabacs cultivés en serre permet d’envisa- ger une détection très précoce de l’infection virale

(KONATE

et al.,

1982).

Par contre, celle-ci est plus aléatoire lors du processus de

propagation

par bourgeonnement axillaire.

Reçu le 13 décembre 1982.

Accepté le 18 juin 1983.

REMERCIEMENTS

Nous tenons à remercier Monsieur le Professeur R. MASSEYEFF, Messieurs B. FExRU.a et G. PE’rrnzzi (Laboratoire d’Immunologie,

CHU de Nice) pour leur aide et leurs conseils.

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