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Academic year: 2021

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Texte intégral

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LE COLLÈGE

LE P INT SUR

Pour un collège plus juste et plus humain

La question du collège semble avoir été occultée depuis quelques années. Cet ultime échelon de la scolarité commune fait pourtant l’objet de multiples mesures apparemment éclatées depuis 2005 qui posent tous les outils de sa dénaturation.

De plus en plus travaillé par de multiples fractures (géographiques, sociales, scolaires...), il est le lieu de toutes les tensions où les difficultés scolaires se révè- lent de manière plus aiguë qu’à l’école primaire et où les problématiques liées à l’en- trée dans l’adolescence se font jour.

Abandonné à un « socle commun » paré de toutes les vertus, il paie le prix fort des suppressions massives d’emplois du second degré alors qu’il est déjà, de l’aveu de tous, notoirement sous-doté... et ne parvient pas à réduire un échec scolaire qui concerne 10 à 15 % des élèves dès l’entrée en Sixième.

Les personnels ont de plus en plus de mal à y exercer leur métier : comment prendre efficacement en charge des élèves très divers, pour qui l’école ne fait pas toujours sens ou qui rechignent au respect des règles, quand le quotidien de la classe se détériore sans cesse, quand les conditions de travail se dégradent, quand la charge de travail s’alourdit avec toujours plus de nouvelles tâches imposées ? Le collège revient aujourd’hui sur le devant de la scène avec des déclarations ou propositions émanant d’organisations syndicales, de partis politiques, de rapports divers (Grosperrin, Cour des comptes, HCE...).

Avec la proposition de fondre l’école primaire et le collège dans une « école du socle commun », resurgit le projet d’« école fondamentale », que la profession a rejetée dans les années 70 et 80, qui présente comme de fausses évidences des mesures (« primarisation » du collège, polyvalence des enseignants) qui marquent un renoncement à faire entrer tous les élèves dans les apprentissages du second degré.

Poser la question du collège afin de relancer la nécessaire démocratisation du second degré suppose de se mettre d’accord sur ce que doivent être les finalités du collège, les statuts et les missions de ses personnels, les contenus d’enseigne- ment et les pratiques pédagogiques, les conditions d’études des élèves, le fonc- tionnement des établissements...

Pour le SNES, il est nécessaire et possible de construire un collège plus juste et plus humain qui concilie massification et ambition pour tous, qui réduit les écarts de réus- site entre les élèves et qui n’assigne personne à un destin tracé d’avance.

Il fait des propositions pour que le collège permette à tous les élèves d’accéder à une véritable culture commune exigeante afin d’en faire des individus et futurs citoyens libres et éclairés, et de les préparer tous à des poursuites d’études.

Car il s’agit bien de les amener à un niveau de formation et de qualification qui leur permette de s’insérer dans une société de plus en plus complexe.

Roland Hubert, Monique Daune

S O M M A I R E

Page 2

La vérité sur la réalité et les chiffres du collège

Place et rôle spécifique du collège

Page 3

L’école prépare l’avenir des jeunes

Pour une culture commune qui structure les individus

Plus de mixité...

Page 4

L’orientation

Des personnels aux métiers respectés et reconnus

Des initiatives locales dans le respect des règles nationales

L’éducation : un investissement

ONT COLLABORÉ À CE 4 PAGES : SANDRINECHARRIER, MONIQUEDAUNE, VALÉRIEHÉRAUT,

ANNEKOECHLIN, FRANÇOISLECOINTE, BRUNOMER,

CATHERINEREMERMIER

L’Université Syndicaliste, supplément à L’USno701 du 10 novembre 2010, hebdomadaire du Syndicat national des enseignements de second degré (FSU) : 46, avenue d’Ivry, 75647 Paris Cedex 13.

Directeur de la publication : Roland Hubert (roland.hubert@snes.edu) – Compogravure : C.A.G., Paris Imprimerie : SEGO, Taverny (95) – NoCP 0113 S 06386 – ISSN no0751-5839

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LE P INT SUR LE COLLÈGE...

Rétablir la vérité sur la réalité

et les chiffres du collège

Le collège n’est unique qu’en apparence :

il y a des classes de niveau déguisées ;

les collèges sont très différents entre eux ;

trop d’élèves échappent de fait à une for- mation commune.

Les sorties du système éducatif sans qualification ou diplôme

ont considé- rablement baissé (170 000 au milieu des années 1970 ; 60 000 en 1995). Elles stagnent pratiquement depuis 1995 (on en comptait encore 42 000 en 2005) mais elles sont insup- portables pour les jeunes concernés comme pour la société tout entière.

Malgré tous les progrès réalisés,

il y a un

« noyau dur » de l’échec scolaire qui persiste :

les évaluations de la DEPP recensent par exemple 15 % d’élèves en grande difficulté en fin de collège auxquels s’ajoutent entre 28 et 30 % d’élèves fragiles ;

les journées d’appel 2008 ont recensé 11,8 % des jeunes de 17 ans en difficulté en lecture (dont 4,9 % en grave difficulté).

Il faut donc s’attaquer à la réduction des sorties sans qualification tout en poursui- vant l’élargissement de l’accès aux bacca- lauréats.

L’assouplissement de la carte sco- laire a des effets dévastateurs

en renforçant la polarisation sociale des éta- blissements : les plus fragiles se retrouvent davantage ghettoïsés ; ceux qui avaient réussi à préserver une certaine mixité sont davan- tage fuis.

L’éducation prioritaire

est concentrée sur un petit nombre d’établissements (253 RAR), les autres étant destinés à en sortir. Le nouveau dispositif CLAIR préfigure une nou- velle carte, très resserrée, de l’éducation prio- ritaire et vise à imposer une déréglementa- tion tous azimuts.

Le socle commun ne « fait » pas culture :

il s’appuie sur une conception utilitariste des savoirs, il marginalise certaines disciplines, il introduit la notion d’attitudes normées à évaluer.

APRÈS L’ÉCOLE PRIMAIRE,

LE RÔLE SPÉCIFIQUE DU COLLÈGE...

Le débat dans les années 1970 et 80 sur la place du collège entre

« primaire supérieur » et « secondaire inférieur » est tranché pour faire du collège le premier étage du second degré.

Mais il est loin d’être le « petit lycée » que décrivent certains.

E

n 1989, il a la mission de pré- parer tous les jeunes à des poursuites d’études avec l’objec- tif de 100 % de qualifiés (au niveau V) et de 80 % au niveau du baccalauréat.

Mais les gouvernements succes- sifs ont sous-estimé l’importance des évolutions à réaliser et celle des moyens humains et matériels à y consacrer pour atteindre ces objectifs légitimes et ambitieux.

Depuis la loi Fillon de 2005, le col- lège est censé garantir à tous les élèves la maîtrise d’un « socle commun » en fin de scolarité obli- gatoire ; il n’a plus l’ambition de préparer tous les jeunes à des poursuites d’études.

D’élever le niveau de formation et de qualification de tous les jeunes.

Les besoins en formation et qualification de la société sont immenses.

Même les emplois les moins qualifiés requièrent une maîtrise de connaissances plus importante que par le passé.

Ignorer l’objectif d’avoir plus de bache- liers et d’étudiants, et recentrer tous les efforts sur la seule acquisition du socle commun pour toute une génération constituent une véritable régression pour les jeunes et la société.

Il faut relever le défi d’une pénurie prévi- sible de hautes qualifications et élever le niveau de tous les jeunes, en ne laissant personne sur le bord du chemin, ce qui suppose de lutter contre l’échec dès les premiers signes à l’école primaire.

De penser le collège dans le cadre d’une scolarité obligatoire portée à 18 ans.

Tous les jeunes doivent pouvoir pour- suivre leurs études après la Troisième dans des voies diverses. Prolonger la sco- larité obligatoire à 18 ans permettrait de redonner du temps à la construction

patiente des savoirs et d’aller au cœur des missions du collège en apprenant aux élèves à réfléchir, à raisonner, à travailler à la maîtrise de tous les langages, à prati- quer dans tous les domaines artistique, scientifique, technologique, sportif...

Cela permettrait de desserrer les contraintes en matière de contenus à enseigner en donnant du temps aux élèves pour se les approprier.

De permettre à tous les élèves d’en- trer dans les apprentissages du second degré.

Toutes les difficultés scolaires ne naissent pas au collège. Mais elles s’y révèlent de manière plus aiguë. L’école primaire doit avoir les moyens de mieux remplir ses objectifs.

La rupture contestée par certains entre le CM2 et la Sixième aide aussi à grandir.

Mais elle doit être préparée et accompa- gnée. Aucune étude n’a jamais démontré qu’une équipe pédagogique resserrée autour de quelques enseignants polyva- lents au collège permettrait une plus grande réussite des élèves.

LE SNES PROPOSE

©Daniel Maunoury

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LE P INT SUR LE COLLÈGE...

L’école prépare l’avenir des jeunes :

•l’école a le devoir de préparer les élèves à la vie professionnelle... ;

mais elle a avant tout la mission de les for- mer en leur apportant une véritable culture qui les aide à grandir, à se construire en tant qu’individus et citoyens, à se transformer au contact des connaissances et dans la rela- tion avec les autres, à devenir autonome ;

•l’école est utile aux jeunes mais elle ne peut pas être conçue de manière utilitaire et se contenter de transmettre quelques tech- niques et savoir-faire ;

elle doit donner à réfléchir les règles en montrant qu’elles sont perfectibles sans cesse, et non formater les individus au respect de règles présentées comme étant immuables et non discutables ;

•elle doit lutter contre les inégalités en faisant en sorte que ce qu’elle exige soit réellement appris en son sein.

Les classes d’âge sont des repères essentiels, surtout à l’adolescence :

les redoublements doivent rester un recours possible dans les cas les plus sérieux ;

tout passage dans la classe supérieure doit être accompagné de modules de rattrapage dans les disciplines où les élèves ont des lacunes importantes.

Solutions ponctuelles pour élèves en très grande difficulté :

des équipes pluriprofessionnelles complètes pour suivre les élèves les plus fragiles ;

•le recours à des classes à découverte profession- nelle de 6 heures en LP, voire à l’entreprise (alter- nance) peut être utile à certains jeunes tant que per- durent les retards scolaires importants mais cela doit rester une mesure d’urgence exceptionnelle.

...POUR UNE CULTURE COMMUNE QUI STRUCTURE LES INDIVIDUS

De redéfinir pour le collège des contenus d’enseignement plus accessibles et mobilisateurs tout en res- tant exigeants. Cela suppose de :

revaloriser les enseignements mal traités comme la technologie ou les enseigne- ments artistiques ;

mieux prendre en compte la culture des jeunes dans leur diversité ;

construire des programmes moins char- gés en connaissances à mémoriser et per- mettant davantage la réflexion critique, le raisonnement et la mise en activité ;

concevoir des programmes plus cohérents entre eux afin de dégager des objets d’étude favorisant un travail interdisciplinaire qui donne du sens aux apprentissages.

Ce dernier doit s’appuyer sur des connais- sances disciplinaires solides que chaque élève s’approprie dans le cadre de cours dispensés par des enseignants qui maî- trisent parfaitement cette discipline.

Aux tentatives multiples de réintroduire la bivalence, nous opposons la notion d’équipes disciplinaires qui peuvent travailler ensemble sur des programmes plus cohérents grâce à du temps pour se concerter.

De construire un collège plus sou- cieux des besoins des jeunes.

Les enseignants doivent avoir les moyens :

d’expliciter leurs objectifs et leurs méthodes aux élèves et aux parents ;

de diversifier leurs pratiques pédago- giques dans des classes moins chargées, en alternant travail en classe entière et travail en groupes, co-interventions...

Les élèves doivent pouvoir :

bénéficier au sein du collège d’aide et de conseils à hauteur de leurs besoins grâce à des équipes pluriprofessionnelles ;

disposer d’un droit à l’erreur qui ne peut se réduire au redoublement (soutien, modules de rattrapage...) ;

vivre leur scolarité dans une meilleure articulation des temps scolaires dans des lieux agréables, avec des locaux adaptés et des équipes de vie scolaire étoffées pour améliorer les conditions d’accueil et l’offre socio-éducative.

La classe doit redevenir le premier lieu d’aide à apporter aux élèves ; il faut arrê- ter l’empilement des dispositifs d’aide actuels hors temps scolaire.

De penser une évaluation des élèves plus soucieuse de repérer les réussitesque de sanctionner les lacunes, mais sans démagogie...

Donner aux élèves des notes chiffrées ne pose pas problème en soi. Mais il est nécessaire de mener une réflexion pour q u e l ’ é v a l u a t i o n d e s é l è v e s r e n d e compte du niveau réel des élèves tout en dédramatisant les difficultés qu’ils rencontrent.

PLUS DE MIXITÉ POUR PLUS D’ÉGALITÉ ET DE RÉUSSITE

Une carte scolairerepensée pour assurer plus de mixité scolaire et sociale dans tous les collèges.

Une politique de la ville qui vise à casser les ghettos et une politique d’aménagement du territoire qui permette un déve- loppement plus harmonieux de tous les territoires.

L’application réelle de la loi SRU (qui prévoit 20 % de

logements sociaux dans chaque ville).

L’accès sur tout le territoire à l’ensemble des services publics.

Des aides sociales revalo- risées(bourses sur critères sociaux, fonds sociaux).

Une relance ambitieuse de l’éducation prioritaire sur la base de critères objectifs et par- tagés.

Pour réduire les inégalités entre établissements

LE SNES PROPOSE LE SNES PROPOSE

©Daniel Maunoury

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LE P INT SUR LE COLLÈGE...

LE COLLÈGE A BESOIN D’ÉQUIPES PLURIPROFESSIONNELLES

COMPLÈTES

La mission première des professeurs est d’enseigner : ce faisant, ils contribuent à éduquer.

Ils ont déjà élargi leurs missions en y intégrant l’aide à l’étude, à l’orientation, le suivi des élèves, le tutorat.

Leur mission centrale ne doit pas être dénaturée : il faut cesser de leur imposer des tâches qui relèvent des missions d’autres personnels...

Leur faire enseigner une (ou plusieurs) autre(s) discipline(s) que celle qu’ils maîtrisent ne va pas non plus dans le sens du progrès pour les élèves.

Enseigner est un métier qui s’apprend : les professeurs doivent être mieux formés à identifier ce qui fait obstacle aux apprentissages, à gérer les conflits éventuels. Leur formation doit mieux prendre en compte les résultats de la recherche pour faire évoluer les pratiques pédagogiques, afin notamment de mieux aider les élèves en difficulté.

Un recrutement des personnels à la hauteur des besoins. Chaque collège doit disposer d’un CPE au moins.

L’augmentation du nombre de TZR pour mieux assurer les remplacements.

Des personnels mieux formés, aux mis- sions clairement identifiées et aux statuts respectés.

Des personnels qui disposent de temps pour travailler en équipe,se concerter, dia- loguer avec les familles et les élèves.

L’ORIENTATION DES ÉLÈVES EST UNE AFFAIRE SÉRIEUSE

Les élèves et les parents ont l’impression d’être mal informés alors que les sources d’in- formation n’ont jamais été aussi nombreuses.

Pour être efficace, l’information doit « parler » au jeune et à ses parents, elle doit être fiable, objective et pluraliste, prendre en compte les questions, les doutes, les projets des ado- lescents et aboutir à des projets vraiment personnels qui doivent pouvoir évoluer dans le temps.

De recruter les CO-Psy en nombre suffisant.

De penser les complémentarités entre les professeurs principaux et les CO-Psy sans que les premiers ne se substituent aux seconds.

D’offrir un large choix de formations équitablement répartiessur tout le ter- ritoire avec des passages possibles entre les trois voies du lycée.

L’ÉDUCATION N’EST PAS UN COÛT MAIS UN INVESTISSEMENT UTILE

Les initiatives locales ne peuvent s’inscrire que dans le cadre de règles nationales fortes garanties à tous les élèves, quel que soit le lieu où ils sont scolarisés.

L’autonomie de l’établissement ne doit pas s’entendre dans le sens d’une gestion locale des horaires ou des programmes mais pour permettre des initiatives locales visant à mieux prendre en compte les besoins spécifiques des élèves scolarisés dans le respect de la régle-

mentation en vigueur.

On ne peut attendre aucune amélioration du système éducatif si on ne rompt pas avec la politique actuelle de suppression massive d’emplois.

La formation coûte cher mais toute la nation en profite.

La société moderne s’appuie sur des emplois qui réclament de plus en plus de connaissances et de diplômés qui font de l’économie française l’une des plus pro- ductives.

Les entreprises doivent reconnaître l’ef- fort de formation en s’engageant à requa- lifier les postes de travail et à revaloriser les salaires.

Que tous les collèges reçoivent les moyens de prendre en charge, dans leur diversité, les élèves qu’ils accueillent.

Une loi de programmation des moyens financiersà dégager à l’échelle de toute la scolarité d’un jeune.

Une augmentation de la part du PIB consacrée à l’éducation, tout en restau- rant une gratuité réelle pour les familles.

8,5 150 000

125 000

100 000

75 000

50 000

% Millions d'euros

DIE au prix 2008 8,0

7,5

7,0

6,5

6,0

1980 1982 1984 1986 1988 1990 1992 1994 1996 1998 2000 2002 2004 2006 2008 Part de la DIE dans le PIB

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LE SNES PROPOSE

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