• Aucun résultat trouvé

Guide de l étudiant Se libérer de la culpabilité

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Guide de l étudiant Se libérer de la culpabilité"

Copied!
15
0
0

Texte intégral

(1)

Guide de l’étudiant Se libérer de la culpabilité

Si vous désirez remplir un formulaire d'appréciation au sujet de cet atelier, visitez le :

www.ecoutetoncorps.com/appreciation

(2)

Définition

Croyance d’être fautif, coupable. Se blâmer, se condamner pour quelque chose.

Pourquoi se sent-on coupable et d’où cela vient-il ?

Nous nous sentons coupables, fautifs lorsque nous agissons à l’encontre du système de valeurs qui nous habite.

La culpabilité découle directement des croyances que nous entretenons consciemment ou non sur ce qui est bien ou mal dans notre système de valeur.

Un système de valeurs est un ensemble de croyances et de certitudes auquel un individu se réfère pour déterminer ce qui est vrai, beau, bien selon des critères personnels ou sociaux.

Ces critères proviennent généralement de l’influence de nos parents, de nos familles, puis de nos éducateurs, la publicité, le système médical, de la religion, du contexte social et de nombreux systèmes établis par les humains qui gèrent le monde.

Notre système de valeurs est majoritairement basé sur les notions de bien et de mal qui nous ont été inculquées.

La notion de bien et de mal est modifiée constamment selon le mode de pensée des humains, puisqu’elle correspond à une création du mental humain. Les croyances qui en découlent changent continuellement selon les époques, la société à laquelle on appartient, notre groupe d’appartenance, etc. Ces croyances déterminent beaucoup notre attitude, nos choix et nos comportements.

La culpabilité découle des croyances associées aux blessures de trahison et d’injustice.

Ces croyances deviennent des parties de nous qui nous accusent lorsque nous n’agissons pas en conformité avec ce qui est enregistré à ce niveau dans notre mémoire. Elles deviennent des points de référence et nous nous en servons comme principes moraux.

(3)

Cependant, il peut y avoir jugement sans culpabilité mais quand il y a culpabilité, il y a toujours un jugement.

Pourquoi continuons-nous à nous sentir coupable même après en être devenu conscient ? a) Parce que nous croyons que nous ne recommencerons plus ;

b) Parce que nous croyons être considéré une bonne personne ainsi ; c) Parce que nous n’avons pas encore fait le pardon véritable envers : d) Quelqu’un qui nous a fait la même chose dans le passé ;

e) Soi pour avoir agi ou avoir été ainsi avec une autre personne.

LA MORALE ET LA CULPABILISATION

La morale est la science du bien et du mal. Faire la morale signifie chapitrer, sermonner.

Moraliser, c’est instruire ou reprendre quelqu’un en lui faisant la morale. On cherche à influencer l’autre pour qu’il adhère à notre propre système de valeurs. Il y a donc un lien direct entre moraliser l’autre et vouloir le culpabiliser selon notre notion de bien et de mal. Nous appelons cela la culpabilisation.

Culpabilisation : accuser quelqu’un d’autre, vouloir qu’il se sente coupable.

La culpabilisation nous indique que si nous osions agir comme quelqu'un qui agit d'une façon qui est considérée comme mal par notre système de valeurs, nous nous sentirions coupables. Nous essayons de culpabiliser l’autre encore davantage lorsque nous ne nous permettons pas de le faire nous-mêmes.

Il est très dérangeant de constater que quelqu’un d’autre ose se permettre de faire ce que nous n’osons pas. Cette personne fait justement partie de notre vie pour attirer notre attention sur notre propre CONTRÔLE et sur l’absence d’amour de nous-mêmes.

Se sentir coupable et vouloir culpabiliser l’autre nous permet donc de devenir conscients des croyances que nous entretenons consciemment ou non sur ce qui est bien ou mal dans notre système de valeurs.

Dans la société actuelle, nombreuses sont les personnes qui accordent beaucoup d’importance aux valeurs matérielles, morales ou traditionnelles, par exemple : une importance solennelle aux événements tels que mariages, baptêmes, fiançailles, compléter de hautes études parce qu’il en est

(4)

ainsi de génération en génération, atteindre un certain statut social, l’apparence physique, les convenances, la politesse, les traditions, etc. Le problème ne consiste pas dans le fait d’honorer ces valeurs, mais plutôt d’ignorer ou de faire totalement fi des valeurs spirituelles, tels que le respect, l’intégrité, la compassion, l’acceptation et l’amour véritable, au détriment des valeurs précitées.

Par conséquent, la culpabilité engendre plusieurs peurs, dont celles de déplaire, d’être rejeté, de ne pas être à la hauteur, etc. ; en somme, nous éprouvons la peur de ne pas être aimé. Voilà pourquoi, au fil du temps, l’humain a perdu de vue sa propre réalité spirituelle. Il devient l’esclave de son intellect au lieu de se servir de son intelligence.

DISTINCTION ENTRE L’INTELLECT ET L’INTELLIGENCE

L’ego est créé par l’intellect qui n’est formé que de mémoires toujours reliées au passé. Il ne peut donc tenir compte de ce qui constitue les besoins du moment, tandis que l’intelligence correspond à la partie en nous branchée directement à la Source Divine, à la connaissance et à ce qui s’avère bon pour nous.

Tous les humains sont doués d’intelligence, mais hélas, la plupart privilégient plutôt leur intellect. Ils se réfèrent à ce qu’ils ont appris dans le passé plutôt que d’utiliser leur discernement et agir en fonction de ce qu’il y a de mieux pour eux dans l’instant présent. Ils basent leurs décisions sur des expériences du passé à cause de leur mental trop développé et mal utilisé.

L’intelligence se manifeste toujours dans le moment présent. La personne intelligente est consciente de son pouvoir de choisir et elle l’utilise avec discernement, car elle est aussi consciente des conséquences, de la loi de cause à effet qui est à la base de la notion de responsabilité. Être responsable, c’est aussi le moyen le plus rapide pour revenir à l’intelligence.

(5)

LA RESPONSABILITÉ ET LA CULPABILITÉ

Une personne consciente qui accepte d’assumer toutes les conséquences de ses actes, de ses paroles, de ses décisions et de ses réactions devient un être totalement responsable.

Être responsable, c’est être conscient que tout ce qui nous arrive fait partie de notre propre création et résulte de notre grand pouvoir de créer.

Une personne responsable sait qu’elle crée entièrement sa vie, même si tout ne se déroule pas toujours à son goût; elle sait que son attitude intérieure et ses croyances en sont les causes. Elle ne blâme personne, ni elle-même, et sait qu’elle reste la seule qui puisse faire quelque chose pour remédier à cette situation.

Cette notion spirituelle de la responsabilité comporte 2 aspects :

1. Nous ne pouvons culpabiliser personne d’autre pour ce qui nous arrive, c’est-à-dire nous ne devons pas croire que les autres doivent assumer les conséquences de nos décisions ou réactions.

2. Nous ne pouvons pas nous culpabiliser pour ce qui arrive aux autres, incluant nos proches, c’est- à-dire nous ne devons pas croire que nous devons assumer les conséquences de leurs décisions ou réactions.

La croyance populaire qui entraîne le plus de culpabilité est celle de croire que nous sommes responsables du bonheur

et du malheur des autres.

Pourtant, personne n’est sur cette planète pour rendre quelqu’un d’autre heureux. Personne n’a ce pouvoir. Cette fausse croyance déforme notre vision d’une personne responsable.

Nous ne sommes pas responsables de ce qui se passe à l’extérieur, nous sommes responsables de nos réactions face aux choses ou aux personnes de l’extérieur.

Même si nous ne sommes pas responsables de ce qui se passe à l’extérieur, nous sommes attirés magnétiquement vers certaines personnes et situations pour donner l’occasion à notre âme de grandir.

Celles-ci réveillent notre culpabilité, elles ne la provoquent pas.

(6)

Nous sommes tous responsables à 100 % de notre façon de réagir à toute situation qui se présente au cours de notre vie.

Habituellement, quand une personne en a assez de vivre difficilement avec les conséquences de ses choix, elle décide alors de faire des transformations et de faire des choix plus intelligents. Grâce à la notion de responsabilité, l’humain finit par faire des choix de plus en plus CONSCIENTS et INTELLIGENTS pour lui.

Pour ce, il est essentiel de bien faire la différence entre la responsabilité et l’engagement.

LA RESPONSABILITÉ ET L’ENGAGEMENT

Responsabilité : assumer les conséquences de ses actes, de ses paroles, de ses décisions et de ses réactions.

Engagement : promesse verbale ou écrite suite à une entente, un accord clair avec quelqu’un ou avec soi-même.

L’engagement se situe au niveau du domaine matériel (dans le avoir et le faire), tandis que la responsabilité se situe au niveau de l’être. Personne ne peut faire une promesse, par exemple, d’être toujours patient. Cela demanderait d’exercer du contrôle et de ne pas être soi-même.

Nous ne pouvons donc pas exiger de nous-mêmes ni des autres de nous engager à ou de promettre d’ÊTRE… Nous imposer d’être quoi que ce soit représente un manque de respect pour nous et pour les autres.

Les ententes sont nécessaires avant de pouvoir s’engager avec soi ou avec les autres.

Malheureusement, l’humain est beaucoup plus porté à entretenir des attentes que de prendre des ententes claires avec ses proches.

Nous avons été éduqués de façon à avoir des attentes. La plupart des gens veulent et s’attendent à ce que les autres fassent quelque chose pour eux et que ces derniers les rendent heureux.

(7)

Cette attitude nous incite à culpabiliser les autres lorsque nous sommes malheureux et nous éloigne de notre responsabilité.

La décision de nous engager donne une direction à notre vie. Cependant, n’oublions pas que nous sommes tous responsables de nos engagements. Lorsque les conséquences sont trop difficiles à

assumer, nous apprenons alors à avoir un meilleur

discernement face à nos engagements.

SUIS-JE COUPABLE ?

Au plan spirituel : nous pouvons affirmer que nous ne sommes jamais coupables, puisque la notion de bien et de mal n’existe pas. C’est une création du mental inférieur.

Notre mission d’être sur terre consiste à évoluer et à vivre toutes sortes d’expérience dans l’acceptation pour parvenir un jour à redevenir pur esprit.

Cependant, il arrive des circonstances où nous voulons volontairement faire du mal à quelqu’un, lui nuire.

Au plan matériel, il est vrai que l’on peut être déclaré coupable quand il est prouvé que nous avons commis une faute (selon les valeurs humaines) volontairement et avec toutes nos facultés, c.-à-d. en sachant que nous nuisions à quelqu’un.

Au plan spirituel, cependant, nous ne sommes jamais coupables, mais plutôt en réaction à cause d’une souffrance ou d’une peur. C’est une partie en nous qui a peur d’être fautive et qui nous accuse.

Pourquoi ?

Parce qu’elle ne réalise pas qu’elle nous fait réagir à cause de sa trop grande souffrance. Cette partie qui souffre nous incite à agir de la sorte parce qu’elle croit que la vengeance est la seule solution pour arrêter sa souffrance.

(8)

La culpabilité n’apporte jamais le résultat désiré. Au contraire, elle nous empêche d’entrer en nous- mêmes et de développer notre compassion pour les parties de nous qui souffrent. Elle nous empêche de devenir conscients de ce qui nous a motivés à agir ainsi. Elle ne nous donne pas le droit d’être humains avec des faiblesses, des peurs, des limites.

L’humain croit encore que lorsqu’il se sent coupable, c’est signe de remords, de bonnes intentions, d’être une bonne personne. Ce qu'il doit réaliser, c’est que ça ne fonctionne pas.

Plus on s’accuse, plus ça recommence.

Nous attirons inconsciemment une nouvelle expérience qui nous permettra de contacter la souffrance qui nous habite.

En acceptant qu’il y a des parties en nous qui souffrent sans nous culpabiliser, nous nous recentrons immédiatement et cela nous permet de reconnaître que tout ce qui nous entoure, en particulier les gens que nous côtoyons, s’avère utile pour nous aider à évoluer et à nous conscientiser grâce à ce qu’ils représentent pour nous.

La culpabilité représente une des plus grandes sources de souffrance et de misère humaine, puisqu’elle nous empêche de nous accepter tels que nous sommes avec nos limites et de vivre nos expériences dans l’amour de nous-mêmes. Plus nous nous acceptons, même si nous ne sommes pas d’accord, plus ça change.

Comment transformer la culpabilité en responsabilité En se posant les questions suggérées dans l’atelier :

a) quand je me sens coupable face à moi-même ;

b) quand je me sens coupable face à quelqu’un d’autre ; c) quand je culpabilise quelqu’un d’autre ;

d) quand quelqu’un d’autre me culpabilise.

.

(9)

Suggestions pour approfondir les sujets couverts au cours de l’atelier

CD de conférence

• CD-06 Être responsable, c’est quoi au juste

• CD-17 Relation parent-enfant?

• CD-67 La loi de cause à effet

• CD-82 Savez-vous vous engager?

• CD-104 Est-ce possible de ne plus se sentir coupable?

Livres

• LC-02 La responsabilité, l’engagement et la culpabilité

• LC-04 Les relations parent-enfant

• L-10 Le grand guide de l'ÊTRE

(10)

Cheminement de l’étudiant

(La partie qui suit fait partie du cheminement pédagogique des étudiants en Phase 1. Si tu n’es pas étudiant, tu peux tout de même faire le(s) exercice(s) exploratoire(s) afin de mettre en application les

notions apprises durant l’atelier car cela t’aidera davantage à transformer ta vie.)

Lecture préparatoire

Suite à la lecture préparatoire que tu devais faire avant l’atelier, nous te demandons de répondre aux deux questions suivantes en 20 à 30 lignes.

1) Qu’as-tu retenu dans ce que tu avais à lire avant cet atelier?

2) Quel passage t’a le plus touché? Pourquoi?

Exercice(s) exploratoire(s)

Cet atelier t’a sensibilisé au fait que la culpabilité découle directement des croyances que nous entretenons consciemment ou non sur ce qui est bien ou mal dans notre système de valeurs. Ces croyances deviennent des parties de nous qui nous accusent lorsque nous n’agissons pas en conformité avec ce qui est enregistré à ce niveau dans notre mémoire. La croyance la plus répandue est celle où nous sommes responsables du bonheur ou du malheur des gens qui nous entourent.

De plus, tu as appris que nous cherchons inconsciemment à culpabiliser l’autre en lui faisant la morale pour qu’il adhère à notre propre système de valeurs parce que nous nous sentirions trop coupables d’avoir ce même comportement.

(11)

Les exercices suivants vont t’aider à devenir conscient de ces deux volets de la culpabilité dans ta vie.

Premier exercice

Choisis une situation où tu te sens coupable et qui t’empêche d’aller vers le but que tu t’es fixé pour ta phase. Assure-toi de n’en choisir qu’une seule et elle doit être vécu avec quelqu’un d’autre. Tu peux donc choisir une situation dans l’une ou l’autre des positions suivantes :

• où tu te sens coupable face à quelqu’un d’autre

• où tu culpabilises quelqu’un d’autre en ce moment

Nous te proposons d’utiliser les feuilles suivantes pour compléter ton processus:

1) La feuille Comment transformer la culpabilité en responsabilité du cahier d’exercices et de répondre aux questions de la partie (partie 2 ou 3) qui correspond à ta situation.

2) La feuille d’exercice Croyance associée à la peur du cahier d’exercices et de répondre aux questions qui correspondent à la situation que tu as choisie.

Réponds à ces questions par écrit sur une feuille que tu annexeras à ton rapport de pratiques.

Nous te suggérons par la suite d’aller avouer tes peurs ou tes limites à cette personne et de nous résumer ton expérience en 8 à 15 lignes.

Deuxième exercice

Demande à deux personnes de ton entourage qui te connaissent très bien de t’aviser lorsque tu fais la morale. Cela va t’aider à devenir conscient(e) de ton système de valeurs et de tes culpabilités inconscientes. Nous te suggérons de t’informer du point de vue de ces personnes plutôt que de persister dans ton attitude moralisante. Quelle est leur vision à ce sujet ? Ont-elles des croyances différentes des tiennes ? Quelle est leur notion de bien et de mal ? Résume-nous en 8 à 15 lignes ce que tu as appris de votre échange.

(12)

Présenter et remettre ton rapport de pratiques

Pour la rédaction des exercices exploratoires précédents nous te demandons dans la mesure du possible de respecter les normes suivantes :

Utiliser une police exemple : Calibri, Times New Roman ou toute autre qui est facile à lire et d’une taille de police de 12. Ceci te permettra de mieux évaluer si tu respectes le nombre de pages requis pour ton rapport de pratique.

Pour que ton travail puisse être validé par ton consultant/e, il est important que tu t’assures de lui remettre chacun des exercices demandés. Nous ne te demandons pas de présenter un travail parfait mais bien de noter ce que tu as vécu lors de tes explorations.

Si exceptionnellement tu n’as pas pu les faire tel qu’ils étaient demandés, nous te demandons d’expliquer par écrit dans ton rapport pourquoi tu n’as pas pu les effectuer. Par exemple : Si tu devais aller partager à quelqu’un et que tu ne puisses pas y arriver, tu pourrais écrire : Comment tu te sens à la pensée d’aller lui parler? De quoi as-tu peur? Quelles sont tes pensées à ce sujet? Et ce sont tes réponses que tu incluras dans ton rapport de pratique.

Lorsque les exercices exploratoires seront complétés, ton rapport devra être présenté dans l’ordre suivant:

la page couverture (que tu trouveras à la fin de ce document et qui est intitulée «Rapport de pratiques». Tu dois y inscrire ton nom, celui de ton consultant/e ainsi que la date et le titre de cet atelier sur cette feuille.

tes réponses à la section intitulée «Lecture préparatoire».

tes pages de résumé pour les exercices exploratoires.

(13)

Tu devras faire parvenir, soit par la poste ou par courriel, ce rapport à ton consultant/e avant de faire ta consultation individuelle, puisqu’il servira de point de référence pour celle-ci. Tu devras également en garder une copie pour tes dossiers personnels.

Rapport de consultation

Suite à la rencontre avec ton consultant/e, nous te demandons de répondre par écrit aux trois questions inscrites sur la feuille intitulée Rapport de consultation. Tu trouveras cette feuille dans les pages suivantes.

N’oublie pas d’écrire ton nom, celui de ton consultant/e ainsi que la date et le titre de cet atelier sur cette feuille.

Tu dois remettre ce rapport de consultation (en 20 à 30 lignes) soit :

Par la poste à l’adresse suivante : Écoute Ton Corps, Rapport de consultation

1102, boul. La Salette, Saint-Jérôme, Qc. J5L 2J7, Canada;

Par e-mail : rapport@ecoutetoncorps.com

À l’atelier suivant dans une enveloppe scellée. (au Québec seulement)

(14)

RAPPORT DE CONSULTATION

NOM : ____________________________________

Date et lieu de l’atelier : _______________________ Consultant/e : ___________________________

1/Qu’est ce qui est ressorti de la rencontre avec mon/ma consultant/e ?

_____________________________________________________________________________________

_____________________________________________________________________________________

_____________________________________________________________________________________

_____________________________________________________________________________________

_____________________________________________________________________________________

2/Je me sens comment suite de cette rencontre ?

_____________________________________________________________________________________

_____________________________________________________________________________________

_____________________________________________________________________________________

_____________________________________________________________________________________

_____________________________________________________________________________________

3/ Est-ce que cela m’aide à mieux m’accepter ?

_____________________________________________________________________________________

_____________________________________________________________________________________

_____________________________________________________________________________________

_____________________________________________________________________________________

_____________________________________________________________________________________

Voici les différentes façons de faire parvenir ce rapport :

Par la poste à l’adresse suivante : Écoute Ton Corps, Rapport de consultation

1102, boul. La Salette, Saint-Jérôme, Qc. J5L 2J7, Canada Par e-mail à : rapport@ecoutetoncorps.com

Ou à l’atelier suivant dans une enveloppe scellée. (au Québec seulement)

(15)

Rapport de pratiques Se libérer de la culpabilité

Nom de l’étudiant :

_____________________________________________________________

Date et lieu de l’atelier:

_____________________________________________________________

Nom du consultant/e :

_____________________________________________________________

À faire parvenir au consultant/e. Conserver une copie pour ton dossier.

Ce document est réservé à nos étudiants des phases

«Être en relation avec soi» et «Être en relation avec les autres».

Références

Documents relatifs

Et quand ce n’est pas la mort, c’est prendre le risque de devenir fou Identifier son désir véritable, c’est prendre un risque de mort... Le poids de

Un suivi médical s’inscrit dans la durée (bilans annuels, soins), et dans de rares services hospitaliers, il est possible pour les familles de rencontrer le

De la même manière, si tout comme Barthes nous refusons au récit la capacité à évoquer toute signification autre que celle que le texte lui-même véhicule 4 , rien ne nous inci- te

Pour nos trois auteurs, cette culpabilité métaphysique, qu’ils peinent à bien définir, joue un rôle essentiel parce qu’elle brise tout orgueil et transforme,

In this work we will explore the latter aspect by looking at utterances that may be used to ini- tiate a transition from one topic to another. We shall call these utterances

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des

Approche  standard:  TGO,  quelques  manipulations  vertébrales,  viscérales,  articulaires,   crânien  etc.  Utilisation  modérée  des  techniques  directes

Cette puissance auto-érotique qui consiste à savourer la punition et la torture intérieure replace donc le sujet, en deçà de l'œdipe, dans une position pré-génitale où la pulsion