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SALAIRE, TRAVAIL ET EMPLOI DANS LE FOOTBALL PROFESSIONNEL FRANÇAIS

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SALAIRE, TRAVAIL ET EMPLOI DANS LE FOOTBALL PROFESSIONNEL

FRANÇAIS

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COLLECTION « DROIT ET ÉCONOMIE DU SPORT »

Dirigée par F. ALAPHILIPPE et J.-P. KARAQUILLO

N° 1 — J.-F. Nys : Les subventions municipales aux clubs de football.

N° 2 — J.-F. BOURG : Salaire, travail et emploi dans le football profes- sionnel français.

N° 3 — P. BIOJOUT : « Le sponsoring ». Analyse économique du comporte- ment des entreprises en matière de parrainage sportif.

A paraître Ouvrage collectif : « Le Dirigeant Sportif Bénévole ».

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CENTRE DE DROIT ET D'ECONOMIE DU SPORT

FACULTÉ DE DROIT ET DES SCIENCES ÉCONOMIQUES DE L'UNIVERSITÉ DE LIMOGES

SALAIRE, TRAVAIL ET EMPLOI DANS LE FOOTBALL PROFESSIONNEL

FRANCAIS

PAR

Jean-François BOURG

FÉDÉRATION FRANÇAISE DE FOOTBALL

LIGUE NATIONALE DU FOOTBALL

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SOMMAIRE

AVANT-PROPOS IX

INTRODUCTION 1

TITRE I. — Les conditions de l'emploi et les revenus du travail 7 Chapitre 1. — Offre de travail et population active 9

Chapitre 2. — La demande de travail 25

Chapitre 3. — Équilibre de l'emploi et conditions de travail .. 43

Chapitre 4. — Les revenus du travail 61

TITRE II. — Le fonctionnement du marché dans le football profes-

sionnel 79

Chapitre 5. — Les agents présents sur le marché et leur action. 81 Chapitre 6. — Une approche du fonctionnement du marché par

les théories de la segmentation ... 99

CONCLUSION 111

ANNEXES 113

BIBLIOGRAPHIE ... 125 INDEX ... 129

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AVANT-PROPOS

Cet ouvrage est le résultat d'une recherche achevée en mars 1981, lors de la préparation d'un Doctorat en Sciences Économiques.

Cette étude s'inscrit dans le cadre des travaux entrepris par les colla- borateurs du Centre de Droit et d'Économie du Sport de Limoges.

L'idée d'une recherche jaillit habituellement du constat d'une lacune et de l'intuition que tenter de la combler peut mettre sur la voie de découvertes précieuses.

L'Économie du Sport est un chapitre nouveau de l'Économique. En effet, si l'historien, le philosophe et le sociologue ont investi ce champ d'analyse depuis de nombreuses années, l'économiste n'y a pas prêté, jus- qu'à présent grande attention.

Ce qui est frappant, c'est le monopole anglo-américain qui s'instaure dans ce domaine de recherche. En particulier, jusque vers la fin des années 1970, on note une absence à peu près totale de travaux français et même une ignorance assez générale de cette branche nouvelle chez les économistes universitaires.

Cette situation peut s'expliquer par quelques spécificités de l'histoire du sport en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis : lieux d'apparition, au XIXe siècle, du sport moderne, structuration rapide des pratiques et des spectacles, professionnalisation extrême de l'entreprise sportive, etc...

Aussi, les économistes américains font-ils appel, pour analyser l'activité sportive, aux outils théoriques traditionnellement utilisés en économie politique.

Les groupements sportifs revêtant la forme juridique de sociétés commerciales, et leur objectif étant le profit, la sphère sportive devient marchande.

En France, les valeurs attribuées au sport (gratuité et désintéresse- ment de l'effort, 1' « idéal olympique », etc...) constituent, à cet égard, un frein puissant à la pénétration des intérêts économiques dans le sport.

Comme toute discipline qui se forme avec un certain retard sur ce qui se fait à l'étranger, l'Économie du Sport devra éviter de reproduire, même en les améliorant, les recherches anglo-saxonnes.

Bien plus, elle devra affirmer son autonomie. Certes, il est connu que la société française, le sport français en l'espèce, subit, à un rythme diffé- rent et dans d'autres conditions, les mêmes mutations que celles que l'on peut observer aux États-Unis. Est-ce suffisant pour justifier le choix des

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mêmes supports théoriques, des mêmes outils méthodologiques et des mêmes postulats ?

La variété des choix retenus, allant du descriptif à une théorisation poussée, est une forme de réponse à cette interrogation.

Cet ouvrage fait donc une large place au travail empirique. C'est parce que la théorie, surtout lorsqu'elle échappe comme ici au domaine tradi- tionnel de l'analyse économique, ne peut s'appuyer sur des intuitions et des raisonnements conduits dans l'abstrait.

Sa puissance explicative dérive avant tout de la conformité de ses pré- dictions avec les faits.

La conséquence de ce choix est d'offrir au lecteur une base d'informa- tions riches, qui, d'une part, ne peuvent s'accommoder de n'importe quelle théorie et, d'autre part, suscitent un approfondissement, voire un dépas- sement des théories couramment acceptées.

Notre ambition est de fournir une contribution à une meilleure connais- sance des mécanismes qui régissent le fonctionnement du marché du travail dans le football professionnel français.

De façon plus concrète et non exhaustive, cette recherche essaie d'apporter des éléments de réponse à une série de questions. Quelles sont les règles qui fixent le montant des transferts des joueurs ? Quels sont leurs revenus ? Pour quelles raisons un footballeur professionnel gagne, en moyenne, 6 fois plus que le S.M.I.C. ? Comment expliquer que Michel PLATINI ait un salaire 40 fois supérieur à celui de certains de ses camarades ? Quel rôle jouent l'État, la fédération, la ligue, le syndicat des joueurs, les collectivités locales, les annonceurs publicitaires et les médias dans le football professionnel ?

Cet ouvrage est donc d'abord le fruit d'un travail d'investigation.

Aussi a-t-il fallu s'attacher à extraire, de la masse considérable des matériaux accumulés et de qualité inégale, la teneur scientifique désirable.

Cependant, l'abondante littérature sportive n'a pas suffi à alimenter cette étude.

De ce fait, je tiens à remercier tous ceux qui, par leurs conseils, cri- tiques et suggestions, m'ont fait bénéficier de leur aide tout au long de l'exécution de ce travail. J'exprime en particulier toute ma reconnaissance à M. le Professeur Jean VINCENS, de l'université de Toulouse et à M. le Pro- fesseur Wladimir ANDREFF, de l'université de Grenoble, qui ont bien voulu accepter la direction de cette recherche dans un domaine peu fréquenté, et dont la compétence et la bienveillance m'ont permis de réaliser ce travail.

Mes remerciements s'adressent également à :

M. François ALAPHILIPPE, Professeur de Droit à l'Université de Limoges, Directeur du Centre de Droit et d'Économie du Sport de Limoges.

MIIE Chrystelle BOUTTEAUX, Conservateur de la Bibliothèque Universitaire de Limoges, Section Droit et Sciences Économiques.

M. Charles DEHOUT, Expert financier de la Ligue Nationale du Football Professionnel.

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M. Jean-Pierre KARAQUILLO, Professeur de Droit à l'Université de Limoges, Directeur du Centre de Droit et d'Économie du Sport de Limoges.

M. Philippe PIAT, Président de l'Union Nationale des Footballeurs Profes- sionnels.

M. Jean SADOUL, Président de la Ligue Nationale du Football Professionnel.

M. Fernand SASTRE, Président de la Fédération Française de Football.

M. Jacques THEBAULT, Administrateur de la Ligue Nationale du Football Professionnel.

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INTRODUCTION

Le sport, dont chacun s'accorde à reconnaître qu'il constitue l'un des plus grands phénomènes sociaux du ){XC siècle, n'a suscité jusqu'à présent que très peu d'études. Mises à part quelques recherches, il apparaît que les sciences sociales ont négligé cette activité.1,

L'économiste notamment s'y est très peu intéressé2. Comment expli- quer cette relative indifférence du chercheur? Par la nature juridique et les finalités des clubs sportifs français : associations à but non lucratif régies par la loi du 1er juillet 1901, qui en feraient un domaine en marge des rapports marchands devant lequel l'économiste se sentirait dépourvu d'instruments d'analyse ? Ou bien s'agit-il d'une activité qui entend se préserver des analyses « scientifiques » ? Quelle que soit la réponse, on ne peut que constater la rareté des recherches universitaires entreprises en Économie du Sport3.

En premier lieu, il convient de relever l'ambiguïté du concept « Sport ».

Le même mot recouvre des pratiques fort différentes par leur intention, leur nature et leurs effets4. La surabondance de « sens » véhiculés nous incite à proposer la définition que fournit G. Magnane pour lequel le sport est

« une activité du loisir dont la dominante est l'effort physique, participant à la fois du jeu et du travail, pratiquée de façon compétitive, comportant des réglements et des institutions spécifiques, et susceptible de se transfor- mer en activité professionnelle »5.

Les diverses conceptions de l'exercice sportif sont clairement déga- gées : loisir, compétition, profession. C'est cette dernière que nous envi sageons dans ses dimensions économiques, tout en introduisant d'autres

1. G. MAGNANE, Sociologie du sport, Gallimard, Paris, 1964. — M. BOUET, Signification du sport, Éditions Universitaires, Paris, 1972. — J. M. BROHM, Sociologie politique du sport, J. P. Delarge, Paris, 1976.

2. Ch. MALENFANT-DAURIAC, L'économie du sport en France. Un compte satellite du sport, CETEM, Cujas, Paris, 1977. — W. ANDREFF, Aspects économiques des relations sportives, Cours de Maîtrise A.E.S., Université de Limoges, 1979. Non publié.

3. F. DI RUZZA - B. GERMER, Le Rôle des activités économiques dans la structuration de la pratique sportive. Le cas du ski en France. Thèse complémentaire IREP. Grenoble, Mai 1977. Publiée sous le titre « Ski en crise ». P. U. de Grenoble, 1977. P. FOUQUES, Le marché du travail sportif, Thèse Doctorat, Paris X, 1978. J. F. Nys, Analyse des subventions municipales aux clubs sportifs. Le cas du football en France, Thèse complémentaire, Limoges, 1979.

4. B. GIIXET, Histoire du sport, P.U.F. Que sais-je ? Paris, 1975.

5. Op. cit., p. 81.

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approches (historique, sociologique, juridique...) en fonction de leur apport à l'étude des aspects économiques.

A cet égard, l'examen de la naissance, de l'organisation et du déve- loppement du football n'est pas sans intérêt quant à leurs conséquences sur la forme prise par ce sport : passage d'un sport de détente, de défou- lement au sport-spectacle, modification des conditions économiques de sa mise en valeur, transformation du statut de l'athlète, évolution de la structure et du niveau des coûts et des recettes... 6.

De base populaire (jeux de balle collectifs), le football est apparu en Angleterre vers 1800 ; l'essor industriel et urbain va modeler sa structu- ration : 1850, premier club ; 1863-1880, création de la fédération ; 1888, premier championnat national ; fin du XIX. siècle, légalisation du profes- sionnalisme.

La codification et l'exportation du football « moderne » seront le fait des classes sociales dominantes.

Il est à noter que cette mise en place se fait en France avec un certain décalage temporel : 1872, premier club Le Havre Athletic Club ; 1893, fédération ; 1918, Coupe de France ; 1932, Championnat national et recon- naissance du professionnalisme.

En fait, cette structuration du sport de compétition (1880-1930) est immédiatement postérieure à la généralisation des effets de la Révolution Industrielle (amélioration du niveau de vie, raccourcissement de la semaine de travail, développement des moyens de transport...).

L'extension de ce mouvement vers les autres pays européens contribue à créer un marché du spectacle sportif. On assiste à une multiplication des rencontres payantes. En France comme en Angleterre, ce sont des indus- triels (J. P. Peugeot, pour le premier club français le F. C. Sochaux rému- nérant les joueurs) ou des hommes d'affaires (G. Guichard, propriétaire de la Société Casino, crée l'association sportive Casino laquelle, à la suite de fusions, deviendra l'Association Sportive de Saint-Etienne) qui sont à l'origine de cette évolution 7.

La compétition de plus en plus vive entre les clubs, les matches inter- nationaux qui mettent en jeu le prestige national conduisent à une sélec- tion des meilleurs joueurs, à des achats et des ventes..., un deuxième mar- ché s'organise, celui des sportifs. L'irruption de l'argent va avoir des incidences profondes sur la technique et la tactique de jeu.

En 1850, l'équipe de football est formée d'attaquants avec un seul défenseur. Il s'agit de marquer des buts le plus souvent possible. Très rapidement, les défenses vont être renforcées afin d'empêcher l'autre équipe de marquer. Avec la défense apparaît la division du travail et la spécialisation des joueurs à des postes et à des tâches plus limités 8. Cette pratique plus défensive est certes due à des modifications des règles,

6. R. AVRILLIER, Note de discussion sur l'histoire du football, Séminaire « Socio- économie du sport », Grenoble, 17 février 1978.

7. A. COTTA, La société ludique — La vie envahie par le jeu, Grasset, 1980. Selon l'auteur, la paume fut au xvie siècle l'un des premiers spectacles sportifs payants.

8. Voir J. MERCIER, Le football, P.U.F. Que sais-je ? Paris, 1972, pp. 52 et s. pour la présentation très révélatrice de la répartition des joueurs et de leur rôle sur le terrain.

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notamment celle concernant le « hors-jeu », mais elle résulte avant tout de l'enjeu des rencontres qui est profondément transformé : l'argent, le commerce et la politique se sont ajoutés à l'aspect purement sportif. Ce n'est pas un hasard si c'est en Italie, où le spectacle sportif est une formi- dable affaire financière (recettes aux guichets, paris...), que cette concep- tion prendra la forme la plus achevée : le « béton », le « catenaccio »9.

L'évolution du nombre moyen de buts inscrits par match de championnat est significative : 1932-1933 : 3,9 buts par match ; 1945-1946 : 3,5 buts ; 1979- 1980 : 2,8 buts. En Italie, ce chiffre était de 1,9 pour la saison 1978-1979.

Avec ces changements tactiques, on passe d'un jeu d'équipe, de groupe, à une somme de combats individuels dans des territoires définis, valorisant ainsi le dribble, l'exploit, la vedette.

Cette individualisation de l'exploit dans un jeu pourtant collectif est accentuée par le passage du classement des équipes au classement des joueurs 10.

Le championnat établit une hiérarchie entre les clubs selon leurs résultats. Très vite, on aboutit à une autre forme de classement, le classe- ment individuel des joueurs selon leur poste, leur talent, le nombre de buts inscrits...

De la même façon, l'évolution des règles du football est significative : les premières règles (1850-1900) vont favoriser le jeu d'équipe, à partir de 1900 la codification est liée à l'organisation du football en tant que marché international et compétition.

Ces mesures concernent plus particulièrement la répression (création des coups francs directs, des penalty, sanction des « hors-jeu »... ces nou- velles lois impliquent de nouvelles actions de jeu qui valorisent l'exploit d'un joueur : tirs des coups francs par exemple), le spectacle, la plupart des changements sont guidés par le souci d'accroître l'aspect spectaculaire et rentable du football (multiplication des épreuves, challenges, coupes, planification des rencontres des différents sports afin qu'il n'y ait pas concurrence, institution des matches en nocturne, modification des règles de jeu), l'organisation du marché (les actions des instances dirigeantes visent à réglementer le marché des joueurs, des clubs, du spectacle, de la publicité : rapports clubs-joueurs, rapports entre les clubs, circulation des joueurs...).

L'intérêt de cette approche socio-historique est de montrer les moda- lités de la structuration du marché du football professionnel et l'incidence de la pénétration des activités marchandes sur les conditions de pratique de ce sport (l'organisation de la compétition tend à s'aligner sur les cri- tères économiques et commerciaux). Il faut cependant relativiser ce der- nier point, car d'une part, tout ne se ramène pas à des phénomènes écono- miques, particulièrement dans le domaine sportif, d'autre part, le football n'est pas aussi dépendant de son environnement que d'autres sports tels

9. Voir J. P. RETHACKER et J. THIBERT, La fabuleuse histoire du football. Éd. Odil, Paris, 1975, p. 884.

10. Voir R. AVRILLlER, op. cit.

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Le football professionnel français, c'est une galerie de cham- pions légendaires. De génération en génération, les Kopa, Piantoni, Fontaine, Platini, etc..., ont été considérés comme les personnalités les plus populaires et les plus en vue de leur pays.

Mais c'est aussi un phénomène économique de masse qui engendre des flux monétaires non négligeables.

Chaque année, plùs de 5,5 millions de spectateurs assistent aux rencontres des championnats de première et de deuxième division. Chaque match de coupe d'Europe est suivi par 20 à 30 mil- lions de téléspectateurs.

En 1981, le chiffre d'affaires des clubs de division 1 était de 260 millions de F, le budget de l'A.S. Saint-Étienne dépassait 33 millions de F. Cette recherche revêt un intérêt particulier, au moment où l'équilibre économique du football français est remis en cause par la récurrence des crises financières affectant les clubs professionnels, car elle propose un éclairage nouveau et une com- préhension plus complète de cette discipline perçue dans toutes ses dimensions. Dé nombreuses questions surgissent : quels sont les salaires des joueurs français ? A quels mécanismes leur répar- tition obéit-elle ? Comment expliquer le niveau et les inégalités des revenus des footballeurs ?

Pour tenter de mettre en lumière les racines des difficultés qu éprouve le système sportif à assurer une bonne régulation de son fonctionnement, Jean-François BOURG s'attache à saisir com- ment le jeu des forces institutionnelles, sociales et sportives structure le football professionnel et débouche sur une triple diffé- renciation des tailles financières des clubs, des rôles des clubs dans la compétition sportive et des statuts des joueurs.

Jean-François BOURG, né en 1955, économiste, dirige le service municipal des sports de la Ville de Brive-la-Gai!larde.

Il enseigne également à l'École de Commerce de Brive et participe aux tra- vaux de recherche du Centre de Droit et d'Économie du Sport de Limoges.

95,00 F IMPRIMERIE A. BONTEMPS, LIMOGES

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