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THE CONCEPTION OF SPACE IN THE BERBER

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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T HE CONCEPTION OF SPACE IN THE B ERBER CULTURAL TRADITION

Manel SOUIDI

PhD student, Arch, Mediterranean Architecture Laboratory, Institute of Architecture and Earth Sciences, Ferhat ABBAS University of Setif,

souidi31manel@gmail.com Rahma SARAOUI

PhD student, Arch, Mediterranean Architecture Laboratory, Institute of Architecture and Earth Sciences, Ferhat ABBAS University of Setif, r_saraoui@live.fr

Hamza ZEGHLACHE

Prof, Dr, Arch, Mediterranean Architecture Laboratory, Institute of Architecture and Earth Sciences, Ferhat ABBAS University of Setif,

zeghlache@gmail.com Siham BESTANDJI

Lecturer, Dr, Arch,Cities and Health Laboratory, Department of Architecture, Faculty of Architecture and Urban Planning, Salah BOUBNIDER University of Constantine 3, sihambestandji@yahoo.fr

Abstract:

Amazigh architecture in the rural environment has always been marked by the Berber way of life in general and their cultural tradition, there has been an interdependence between the family structure and the conception of space among the Kabyle on the architectural level and urban. In Algeria, the traditional rural space of Kabylia constitutes a unique wealth characterized by its adaptation to the natural and social environment. The village of Djebla located at the peaks of the mountains in the daïra of Adekar, wilaya of Béjaia in Algeria is the example on which our work will be based, namely: a hundred houses and a set of districts, a prayer hall and a meeting place commonly called Tajmaat. In this study, we are interested in the significant aspect of the spaces designed in the house, the district and the village, and in the transposition of the collective cultural values of the Kabyle on the architectural and urban plan.The purpose of this article is to provide knowledge of the symbolic meaning of spatial design in reference to Berber culture through an analytical approach to a body of study, thus demonstrating the reflection of centrality and a social hierarchy in spatial organization.

Keywords: Traditional architecture, urban heritage, Kabyle village, symbolic meaning, cultural values.

Introduction:

Le territoire algérien est riche en traces humaines matérielles et immatérielles qui illustrent l’image de la vie quotidienne de l’être humain depuis les temps anciens. Un patrimoine diversifié situé en milieu urbain ou en milieu rural, ces traces reproduisent non seulement la relation homme – nature mais aussi la relation homme – religion et homme – société. Dans les villages kabyles à titre d’exemple, l’architecture traditionnelle vernaculaire est étroitement liée à l’aspect naturel, social et spirituel de l’homme, elle est une expression matérielle et

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sensible d’une communauté villageoise, qui joint entre l’utilitarisme et le symbolique.

Qualifiée ainsi par un milieu vivant qui reflète les besoins pour lesquels il a été construit. Elle est une composante de l’esprit du lieu car elle reste fondamentalement liée aux rapports d’une société avec son espace physique naturel. Tout d’abord par la fourniture de matériaux en référence à la zone géographique et par l’expression d’une connaissance rendue par des générations : « Il s’agit d’une architecture qui a été réalisée avec des ressources locales, aussi bien en ce qui concerne les matériaux, les techniques que les compétences de ses constructeurs. Elle est ainsi l’expression fondamentale de la culture des différentes communautés et de leur rapport avec la nature et le paysage ». (Rehabimed, 2007)

Problématique :

Les études antérieures sur la maison kabyle ont largement étudié sa conception et ses composantes, d’autres aussi ont traité des traditions, des structures familiales et de la hiérarchie sociale dans les villages de la Kabylie qui se perpétuent à nos jours, le présent article traitera alors de la combinaison entre les deux parties précédentes à savoir le lien qui existe entre la hiérarchie sociale et la conception spatiale dans le milieu rural de la Kabylie. «

… Chaque village est un monde. Un sol bourré de valeurs, de traditions, de saints lieux, d’honneur ombrageux, de folles légendes et de dures réalités ». (Memmri, 1996)

L’architecture traditionnelle amazighe constitue l’un des témoignages essentiels de notre histoire collective dans la mesure où elle incarne l’un des derniers legs de la société traditionnelle à la société industrielle. Malgré les transformations et autres mutations socioculturelles et économiques, la région n’a jamais rompu avec ses racines.

L’architecture du village de Djebla est le produit d’une culture et de valeurs morales ancestrales inhérentes à la société kabyle dont l’acte de bâtir constitue une empreinte culturel d’un acte riche en messages symboliques et sociaux. Ce travail se pose donc la question suivante : Comment se reflète la tradition kabyle dans l’espace ? Quels sont les éléments où se matérialisent les croyances et coutumes des kabyles à l’échelle de la maison et à l’échelle du village ?

Matériels et méthodes :

Ce travail est bien entendu, un approfondissement des connaissances à travers une initiation à la recherche scientifique. Pour mener à bien cette initiation, nous avons choisi une approche qui servirait d’avantage notre problématique et nous permettrait de détecter la signification symbolique de la conception spatiale : de la maison kabyle au village de Djebla. Ceci nous a conduits à choisir une approche analytique, à travers laquelle on peut expliquer les phénomènes liés au vécu.

La symbolique dans la tradition berbère :

Bourdieu considère que la maison s’organise selon un ensemble d’oppositions homologues : feu-eau, cuit- cru, haut- bas, lumière- ombre, jour- nuit, masculin- féminin, nif- hurma, fécondant- fécondable, culture- nature, les mêmes oppositions s’établissent entre la maison dans son ensemble et le reste de l’univers. Ces relations d’opposition s’expriment à travers un ensemble d’indices qui les fondent en même temps qu’ils reçoivent d’elle un sens (la maison ou le monde renversé).

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Cette architecture renvoie à une centralité prononcée : Axxam est conçu essentiellement d’une partie haute et importante où se déroule la majorité des activités quotidiennes, le groupement de maisons s’organise autour d’une cour intérieure commune entre les membres de la grande famille qui habitent le même quartier. Tajemaat en tant que place publique d’une grande envergure rassemble autour d’elle les entités des maisons avoisinantes.

La maison constitue, pour l'homme, le «ventre protecteur» et la «sécurité primordiale»

(Kaufmann, 1989). Elle représente son berceau, sa citadelle et son cosmos. Elle est l'une des grandes puissances d'intégration pour les pensées et les souvenirs (Bâchelard, 1970) alimentant, par conséquent, les rêves de l'homme et ses rêveries (Noschis, 1983).

Le foyer condense en lui une multitude de symboles personnels, sociaux et physiques (Sixsmith, 1986), il devient, de ce fait, une «entité multidimensionnelle définissant et définie par des facteurs culturels, sociodémographiques, psychologiques, politiques et économiques.»

(Lawrence, 1987, p. 155).

La maison devient un lieu chargé affectivement et susceptible de véhiculer des significations, des images et des symboles. Ceux-ci se rattachent au contexte socio-familial, à la structure architecturale, à l'identité et au soi.

L’espace existentiel selon C.N.Schultz est en effet l’endroit où naissent les relations homme-espace : « …dénoter des aspects spatiaux objectivement descriptibles, d’une forme de vie intersubjective, et ainsi l’image que se fait chaque individu des relations spatiales qui font partie de son existence ». (Schulz, 1894), Il s’agit donc de dénoter les valeurs purement fonctionnelles et utilitaires des objets construits, en leur attribuant des valeurs symboliques tout en les considérant comme objets signifiants.

Le village de Djebla en Kabylie :

Le corpus d’étude choisi pour ce travail est le village de Djebla, à Béjaia, qui recèle de nombreux villages habités par des populations de culture berbère. Le village Djebla se situe au sud-est à 20 Km de la commune de Beni Ksila, sur la crête la plus haute de la commune (appelée Mezalla auparavant), et au nord-ouest à 50 Km de la ville de Bejaia avec une vue sur la mer méditerranéenne au Nord et la montagne de Ibarissen de Toudja, les monts de Taourirt Ighil et Adekar vers l’Est. (Kaci et Iftissen, 2017).

Sur une altitude de 670 m. Il a été fondé vers les débuts des années 1500et occupé jusqu’à 1989, il est d’une superficie de 12.82 hectares. Des projets d’utilité publique se sont implantés dans les années 80 le long du chemin de wilaya N° 14 vers le littoral, ce mouvement a contribué à créer l’actuel chef-lieu de la commune de Beni Ksila.

En 2006, les habitants ont créé une association Tadjmaath N'Djebla pour prendre en charge cet héritage pour sa sauvegarde notamment les bâtisses anciennes, la première compagne de restauration a été faite pour une vingtaine de maisons avec la collaboration de la commission européenne, plus d'autres acteurs : C’est une restauration typique, en utilisant des matériaux anciens avec la participation des gens de Béni Ksila et ceux d’autres villages.

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Le village (taddart) compte une centaine de maisons, leur état de conservation varie entre maisons restaurés, en chantier, en ruine et maisons modernes récemment construites. Les maisons tout en dur, généralement sans étage, couvertes de tuiles rouges, s’écrasent les unes sur les autres au point que, vues de loin, elles donnent l’impression de n’en former qu’une seule, immense. (Source : PDAU de Bni Ksila)

La tradition implique la séparation des deux sexes et donc de leurs espaces respectifs : la femme est à la maison à cuisiner, à tisser ou à veiller sur les enfants et l’homme est dehors à Tajemaat ou dans les champs. L’espace urbain est donc masculin par excellence sauf pour le point d’eau (Thala), car la récolte des eaux est une activité féminine.

La signification de l’espace à l’échelle urbaine (le village) :

L’espace rural que nous allons analyser dans cette partie est composé de :

• Ruelles : Ce sont des éléments qui composent la structure du village, elles desservent les différentes maisons, et sont des formes variables. Ils peuvent être parallèles ou perpendiculaire aux courbes de niveaux (Azil, 2015).

• Les ruelles desservant les maisons sont des impasses étroites alors que les rues principales qui mènent vers Tajemaat ou la mosquée sont plus larges, cette hiérarchie signifie pour l’étranger que l’accès aux impasses est interdit, qu’il mène vers un espace intime et clos alors que la largeur signifie que l’accès est permis, à un espace public et ouvert aux hommes surtout. Certaines ruelles sont dédoublées pour que l’étranger sorte directement sans accès au village.

• Tajemaat : C’est le lieu où se génère toutes les affaires (réunions, discussions et décisions…etc.), constitué généralement des sages et l’imam du village dont les lois sont munies avec la participation de tous les habitants du village. (Allili, 2013). C’est le cœur du village occupé à plein temps.

• La place centrale par rapport au village et la proximité à la salle de prière renvoient à la valeur des personnes qui constituent Tajemaat dans la société : les sages du village, qui sont généralement les grands-pères et responsable de la grande famille, à qui les membres de la famille et tous les habitants du village confient leur problèmes ou confrontations afin d’en trouver la solution.

Fig. 1. La Place de Tajemaat à Djebla. (AZIL, 2015).

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Le complexe religieux : qui comporte une mosquée (Ldjamae) et des salles réservées à l’étude (zaouïa). On y célèbre les évènements religieux et effectue les pratiques spirituelles et éducatives pour des raisons sociales où l’ensemble des pratiques portent des valeurs de fraternité, justice et apprentissage...etc. (Azil, 2015). Comme toute société traditionnelle en Algérie, la religion se manifeste dans la vie des habitants et la mosquée peut être le foyer d’assemblées traitant des divers soucis du village en la présence des sages et de l’imam. Elle est aussi le lieu de célébration des fêtes religieuses occasionnellement.

• Le moulin : Il désigne l’espace où on fabrique et extrait l’huile d’olive. Installée le plus souvent en plein air ou dans un abri couvert et fonctionne toujours à l’aide d’un cheval ou d’un âne. Situé souvent à proximité de la maison ou dans le champ d’oliviers. Dont la valeur économique est de minimiser le transport des olives et l’huile d’olive.

Fig. 2. le moulin de l’huile d’olive. (AZIL, 2015).

La source d’eau : dans la majorité des cas, thala est l’espace féminin par excellence, elle est définie comme le seul espace pour s’alimenter en eau dans le village. C’est une source naturelle d’eau, qui se situe souvent à l’extérieur du village, à usage domestique, pour laver la lessive, abreuver les bêtes et irriguer les terres agricoles. Cet espace considéré par les femmes comme un point de rencontre tout comme Tajemaat est considéré par la gente masculine : c’est là où les femmes du village se racontent leur soucis, les histoires du quotidien et se partagent les joies et tristesses de la vie commune.

• Les champs : constitués des jardins potagers près de chaque maison ou des champs d’oliviers, de figuiers et d’autres fruits comme les amandes …etc. Bien que le travail de la terre soit affecté aux hommes, les femmes ne sont pas exclues de cette corvée dans la saison de récolte des olives et du ramassage du bois pour la cuisine et le chauffage en hiver.

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• Signalons que toute tâche de construction de maisons, travaux de voirie ou même les moissons (travail d’utilité publique) est une corvée bénévole impliquant tous les villageois au biais de la tiwizi (ou twiza an arabe) et s’accompagnent d’actes rituels : une cérémonie annonce le fait et un repas commun est consommé à l’honneur de ce travail. Dans le cas de la construction d’une nouvelle maison, la cérémonie exprime la création d’un « nouveau monde » dans lequel une famille va s’installer.

La signification de l’espace à l’échelle architecturale (la maison) :

« L’homme est la lampe du dehors, la femme est la lampe du dedans » (Proverbe kabyle).

L'influence de la dimension sociale sur la conception et la détermination du cadre de vie, a été souvent l’objet de discussions et de recherches. Parmi ces études, le travail fondamental de Pierre Bourdieu sur la maison de Kabylie.

En Kabylie, le pilier principal de la maison - tronc d'arbre - est identifié à l'épouse. Les Kabyles usent aussi fréquemment d'un proverbe qui dit : « La femme, c'est les fondations, l'homme la poutre maîtresse» (Paul-Lévy & Segaud, 1983).

Nous présentons dans ce qui va suivre la symbolique de la maison kabyle (Axxam) qui s’applique pratiquement sur toutes les maisons du village de Djebla. La maison kabyle où le monde renversé, on observe que l’orientation intérieure est exactement opposée de celle de l’espace extérieur. La division de la maison en une partie obscure (cotés ouest et nord) et une partie lumineuse (cotés est et sud) correspond à la division de l’année en une saison humide et une saison sèche. (Fig. 3).

Fig. 3. La division symbolique de la maison Kabyle

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L’entrée à la maison est un espace qui définit le passage du monde extérieur au monde intérieur. Lieu de passage obligé entre deux espaces définis, elle est donc le lieu où le monde se renverse.

Le déplacement du seuil au foyer est très chargé de signification et de conséquences magiques car il apporte la plénitude. Le déplacement du seuil vers l’extérieur renferme tout ce qui sera l’avenir, et en particulier l’avenir du travail agraire qui s’accomplit conformément à l’orientation, c’est-à-dire de l’ouest en est. La double orientation de la maison implique qu’on entre et on sort par pied droit.

Fig. 4. Un seuil d’une maison en Kabylie.

Pour ce qui est de l’organisation intérieure, la maison est à l’origine composée d’une pièce de vie. Elle englobe deux principaux espaces (taqaàt) pour les gens et adaynine pour les animaux. « C’est à la taqaàt que les gens mangent, dorment et font de la cuisine » (Genevois, 1962).

Fig. 5. Vue sur Taqaat.

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Fig. 6. De l’espace intérieur (illust. Mohand Abouda, AXXAM Djebela. Bejaia),

La cour ou Afrag, Dans l’habitat traditionnel la présence d’une cour « afrag » indique que la maison (axxam) prend une autre appellation : la harat. La cour est un espace multifonctionnel utilisée majoritairement par les femmes que par les hommes. Cet espace introverti est formé par l'espace résultant de la jonction de deux ou trois maisons disposées à angle droit ou parallèlement, elle n'a pas de forme géométrique ou d'orientation particulière ni une position centrale.

La mixité dans l'afrag est permise lors des fêtes. Un ordre dans le désordre : deux demi- cercles (dits ici ssef) divisent l'espace : d'un côté les hommes, de l'autre les femmes, qui peuvent chanter voire danser à tour de rôle. On partage la cour en deux à l'aide d'un fil séparateur sur lequel on étend une couverture qui montre bien que la séparation est plus symbolique que réelle.

Résultats et discussion :

La maison et le village dans le monde rural en Kabylie appartiennent à une architecture traditionnelle qu’on retrouve dans les différentes régions de l’Algérie depuis les temps anciens jusqu’à la période de colonisation française.

Sur le plan fonctionnel : elle s’exprime par une hiérarchisation spatiale en allant de l’espace privé et intime qui sont les parties de axxam jusqu’à l’espace public et ouvert à tous dans le quartier et dans le village. Elle traduit une compacité, une économie des espaces et une plurifonctionnalité au niveau de l’unité d’habitation où la plupart des activités se déroulent dans le même endroit et au village en général où on affectait plusieurs fonctions à un seul espace suivant les heures de la journée et les saisons de l’année.

Sur le plan symbolique : la maison, l’espace intime est le plus chargé de significations symboliques que l’espace public ou villageois : chaque élément (afrag, tabourt, taaricht,

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taqaat, adaynine ou kanoun) est lié à une histoire, une croyance ou un mythe donnant ainsi une valeur et une importance à la maison et ses composants.

Conclusion:

Afin de cerner l’évolution d’une société surtout dans le domaine de son architecture et son savoir-faire, il faut comprendre au préalable la signification qu’elle reflète, et les différents signes qu’elle diffuse.

Parler des différents signes qui existent dans l’espace villageois Kabyle, nous mène vers un concept dont l’esprit de l’identité, donne l’apparition de ce qu’on appelle les relations « homme/espace vécu » (le sacré et le cosmos). Les termes de sacré, profane, rite, symbole évoquent immédiatement des réalités dans l’esprit de chaque villageois. Dont il se sent dans un milieu construit à partir des symboles et des mythes, où on trouve, que chaque élément est en effet une perspective bien précise qui reflète un sens sacré pour lui. (BERKANI & Farah, KHECHEFOUD, 2015).

L’étroite cohésion qui existe entre l’homme et son milieu en Kabylie reflète aussi la compréhension et le respect de l’homme envers sa nature et son milieu de vie qui porte en lui autant de leçons et de modèles traditionnels dont l’architecte ou l’urbaniste peuvent s’inspirer pour la conception d’espaces et de lieux de vie chargés de valeurs culturelles et spirituelles propres à la Kabylie en particulier et loin de l’importation des modèles étrangers à la culture berbère en général.

References:

ALIKHOUDJA, Nadir (2017). Pour une antithèse de la pensée rationaliste à travers l’architecture traditionnelle, cas de l’architecture kabyle. Thèse de doctorat sciences en architecture, institut d’architecture à Sétif.

AZIL, Amel (2015). Essai de délimitation des secteurs sauvegardés en milieu rural, Cas d’étude : village Djebla, Beni Kssila, Béjaia. Mémoire de Master Architecture, Université Abderrahmane mira, Bejaia.

BASAGANA Ramon, Ali Sayad (1975). Habitat traditionnel et structures familiales en Kabylie, Mémoires du centre de recherches anthropologiques préhistoriques et ethnographiques, Alger.

BERKANI Naila Farah, KHECHEFOUD Lynda. (2015), L’espace villageois kabyle : sens et symbole Étude critique, Architecture, ville et territoire

BOURDIEU Pierre (1958). Sociologie de l’Algérie, PUF, Paris.

BOURDIEU, Pierre (1972). « La maison ou le monde renversé », dans Esquisse d’une théorie de la pratique Précédé de « Trois études d’ethnologie kabyle », Librairie Droz

KACI Tinehinen, IFTISSEN ourida (2017). Evaluation du projet de réhabilitation des maisons traditionnelles de Djebla, Mémoire de Master d’architecture, Université Abderrahmane Mira, Béjaia,.

NORBERG-SCHULZ Christian, (1981). Genius loci, Electa, Collection, Architecture.

NORBERG-SCHULZ Christian (1974). La signification dans l’architecture occidentale, Mardaga, Milan, PAUL-LEVY, Françoise, SEGAUD Marion, (1983), Anthropologie de l'espace. Paris, Centre de Création industrielle, Centre Georges Pompidou.

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