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Etat des personnes étant Nées où Mariées où décédées où concessionnaires à l'ile des Pins. Sommaire

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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Sommaire

...

ODDOS Clémentine Jeanne...2 ...

ODDOS Germain René ...2 ...

OGÉ Joseph Claude ...3 ...

OLIVI Titus Darius Artaxercès Sésostris...3 ...

OLLIVIER Mathurin Marie...3 ...

OMNÈS Maria...4 ...

OPTAVIN Jeanne...4 ...

OSÉMÉRY Jean Dit Eugène ...4 ...

OSWALD Aloyse...4 ...

OUTARDEL Jacques Alexandre Justin ...5 ...

OUVRÉ Augustin Désiré Dit Bec...5 ...

OZÉRÉ Théodore...6

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1.ODDOSClémentine Jeanne,

Fille deODDOSGermain René - 2 -, Gendarme Né le 15/01/1843 à Saint-Pierre-de-Méaroz (38).

Décédé le 25/08/1881 à Île des Pins (98) à l'âge de 38 ans.

et deLYNCHHéléna Francoise Née le 19/05/1862 à Nouméa (98).

Décédée le 30/07/1907 à Païta (98) à l'âge de 45 ans.

Deuxième enfant de Germain et Héléna.

A sa naissance, ses père et mère étaient âgés de 38 ans et 18 ans.

Elle voit le jour à Île des Pins (98), Ile des pins le 22/03/1881.

Décédée le 06/05/1963 à Nouméa (98) à l'âge de 82 ans.

Mariée le 27/12/1900 à Nouméa (98) à l'âge de 19 ans, avecFACIOEmile Odesef Barbutze Il voit le jour le 05/09/1877 à Houaïlou (98).

Décédé le 27/05/1901 à Nouméa (98) à l'âge de 23 ans.

Mariée le 18/11/1902 à Nouméa (98) à l'âge de 21 ans, avecGUICHARDEmile Philippe Il naît à Nouméa (98) le 20/05/1873.

Décédé le 12/08/1958 à Nouméa (98) à l'âge de 85 ans.

Professions : Employé de commerce.

1 enfant est né de cette union :

oGUICHARDClément Léon Jean-Marie Né le 19/01/1914 à Nouméa (98).

Marié en 1940 à Sarraméa (98) avecBONNARDLuce Thérèse Dite Lucie.

Enfant - GUICHARD Clément Léon Jean-Marie (° 1914)

Petit-enfant - GUICHARD Micheline

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2.ODDOSGermain René,

Il naît le 15/01/1843 à Saint-Pierre-de-Méaroz (38).

Décédé le 25/08/1881 à Île des Pins (98) à l'âge de 38 ans.

Professions : Gendarme.

Marié le 23/03/1879 à Païta (98) à l'âge de 36 ans, avecLYNCHHéléna Francoise Elle voit le jour à Nouméa (98) le 19/05/1862.

Décédée le 30/07/1907 à Païta (98) à l'âge de 45 ans.

2 enfants sont nés de cette union : oODDOSMarie Antoinette Emilie

Née le 04/11/1878 à Païta (98).

Mariée le 23/01/1897 à Païta (98) avecABELGottlieb Henrich.

Mariée le 23/12/1915 à Nouméa (98) avecGAILLOTAlexandre Francois.

Décédée le 13/09/1922 à Nouméa (98) à l'âge de 43 ans.

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oODDOSClémentine Jeanne - 1 -

2 Enfants - ODDOS Marie Antoinette Emilie (° 1878 + 1922)

- ODDOS Clémentine Jeanne - 1 - (° 1881 + 1963)

2 Petits-enfants - GAILLOT Alexandre Pierre Léon

- GUICHARD Clément Léon Jean-Marie (° 1914)

Arrière-petit-enfant - GUICHARD Micheline

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3.OGÉJoseph Claude 1,

Il voit le jour le 23/09/1845 à Voreppe (38).

Décédé le 05/11/1893 à Île des Pins (98) à l'âge de 48 ans.

Professions : Tailleur d'habits.

1 Note Générale : Condamné en 1887 à Aix à 3 mois de prison et a la relégation pour escroquerie - Matricule 779 - FR ANOM COL H 1131 - Arrivé en 05/1888 par le "Ville de Saint Nazaire"

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4.OLIVITitus Darius Artaxercès Sésostris 1, Il naît à Santa-Reparata-di-Balagna (2B) en 1820.

Décédé le 30/05/1882 à Île des Pins (98) à l'âge de 62 ans.

Professions : Cultivateur.

1 Note Générale : Condamné au bagne de Nouvelle Calédonie en 1874 - Embarqué sur "Le Var" le 1 mars 1875 et arrivé à Nouméa le 23 juillet 1875 - Matricule n° 7393 - FR ANOM COL H 392

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5.OLLIVIERMathurin Marie 1,

Il voit le jour le 12/02/1837 à Merléac (22).

Décédé le 01/05/1875 à Île des Pins (98) à l'âge de 38 ans.

Professions : Magasinier.

1 Note Générale : Condamné la déportation simple en Nouvelle Calédonie en 1871 Matricule 2702 ANOM COL 94.

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Partit à bord de la "Sibylle" qui a quitté Brest le 1 février 1874 et après avoir eu une voie d'eau au large du Portugal, elle fait relâche à Arzew en Algérie pour réparer. l Alceste 8 ème Convoi de la commune de Paris, quitte Arzew le 9 avril 1874 après avoir transbordé les condamnés de la Sibylle, L'Alceste arrive à Nouméa le le 9 Août 1874 après 122 jours de mer.

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6.OMNÈSMaria 1,

Elle voit le jour à Guilers (29) le 13/08/1855.

Décédée le 07/05/1892 à Île des Pins (98) à l'âge de 36 ans.

Professions : Tailleuse pour femmes.

Unie avecBERNARD

1 Note Générale : Condamnée le 6 mai 1890 à Rennes à 6 mois de prison et a la relegation pour vol - Matricule 258 - FR ANOM COL H 869 Arrivée en 12/1891 par le "Calédonie"

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7.OPTAVINJeanne 1,

Elle est née en 1837 à Bourges (18).

Décédée le 05/03/1913 à Île des Pins (98) à l'âge de 76 ans.

Professions : Sans.

Unie avecFIEDOROWICZ

1 Note Générale : condamné au bagne de Nouvelle Calédonie en 1895 Cote FR ANOM COL H 1132 Matricule n°

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8.OSÉMÉRYJean Dit Eugène 1,

Il voit le jour à Aixe-sur-Vienne (87) le 18/12/1841.

Décédé le 04/07/1898 à Île des Pins (98) à l'âge de 56 ans.

Professions : Menuisier.

1 Note Générale : Condamné en 1892 à Poitiers - Bagne en Nouvelle Calédonie - Matricule 2837 - FR ANOM COL H 1132 Arrivé en 05/1894 par le "Calédonie"

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9.OSWALDAloyse 1,

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Il est né le 14/09/1833 à Thann (68).

Décédé le 28/08/1907 à Île des Pins (98) à l'âge de 73 ans.

Professions : Placier.

1 Note Générale : Condamné en 1890 à Paris - Bagne en Nouvelle Calédonie - Matricule 1704 - FR ANOM COL H 1132 Arrivé en 05/1891 par le "Calédonie"

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10.OUTARDELJacques Alexandre Justin 1,

Il est né le 27/02/1838 à Merville-Franceville-Plage (14).

Décédé le 17/10/1894 à Île des Pins (98) à l'âge de 56 ans.

Professions : Cultivateur.

1 Note Générale : Condamné en 1888 à Rouen -à 1 an de prison et a la relégation pour vol - Matricule 2838 - FR ANOM COL H 1132 Arrivé en 05/1894 par le "Calédonie"

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11.OUVRÉAugustin Désiré Dit Bec 1, Il est né en 1846 à Paris.

Décédé le 23/05/1905 à Île des Pins (98) à l'âge de 59 ans.

Professions : Comptable.

1 Note Générale : Condamné au bagne de Nouvelle Calédonie en 1888 Matricules 955 Zone cote H 1132. Témoins de l'insurrection Canaque du 26 Juin 1878 à Boulouparis.C'est sans contredit dans le camp de la transportation que s'est passée la scène la plus émouvante, qui, jusqu'à ce jour, soit connue : M. Leca, surveillant de la transportation, chef de camp, en est, on peut le dire sans exagération, le héros. M. Leca, sa dame et leurs deux enfants venaient de se mettre à table : avec eux déjeunait M. Henderson, colon à Bouloupari. Pendant le repas un canaque appelé Paita, qui souvent venait à la maison, se présente à la porte de la salle à manger, dépose ses armes sous la véranda et entre. Après avoir dit bonjour à tout le monde, il reçoit en remerciant une tablette de tabac que lui donne M. Leca, et aussitôt il part en disant qu'il va se promener. C'est ainsi que procèdent toujours les indigènes : lorsqu'ils ont obtenu ce qu'ils désirent, ils s'en vont. Dans celte occasion, Païta savait ce qui se faisait dans la maison ; il ne lui en fallait pas d'avantage. M. Leca qui était très prévenant pour cet indigène, à cause de son père, chef d'une tribu voisine, l'accompagne jusqu'à la porte et lui demande si les coupables de l'assassinat de la famille Chêne ont été livrés. Païta répond que non, et M. Leca lui dit d'engager les chefs à le faire : ils seront immédiatement mis en liberté. A ce moment ils arrivent sur la porte, et pendant que Païta reprenait ses armes, M. Leca aperçoit sur la plateforme du camp un nombre considérable de canaques, tous armés de haches, casse-têtes, sagaïes. En donnant une poignée de main à son visiteur, M. Leca lui demande ce que font ces canaques : Ils viennent avec moi, répond-il. Parce qu'ils savent que les chefs sont là. L'attitude des indigènes frappe M. Leca : ce ne sont pas là leurs allures ordinaires : ils sont silencieux et d'après ses propres expressions ils ont une figure sinistre. Sans hésiter, il prend immédiatement des mesures pour repousser une attaque si elle vient à se produire : cette attaque est pour lui imminente. Un kiosque, servant de salle à manger, se trouve à l'extrémité de la plate-forme : les surveillants y prennent leurs repas. Il les rejoint et leur donne l'ordre de se retirer dans la salle où sont déposées les armes pour parer à toute éventualité; il leur recommande de ne pas passer au milieu des indigènes et de gagner la pièce désignée en contournant le corps de bâtiment.

Il opère le mouvement indiqué', mais en arrivant en face de là plate-forme, il voit un spectacle horrible : les deux surveillants

Macquin et Gesland, moins perspicaces que leur chef, n'ont pas partagé ses craintes; ils ont traversé la plate-forme et sont déjà assassinés. M. Leca lui-même, en voulant pénétrer dans la' pièce où sont les armes, voit immobile à la porte, la hache levée, un indigène qui va le frapper. II le tue d'un coup de revolver et entre. Une porte enclouée séparait le surveillant Leca de la salle à manger où se trouvait sa famille et M. Henderson; il l'enfonce. Que voit-il? M. Henderson haché, sa femme et ses enfants massacrés et trois indigènes qui terminent leur horrible besogne! Armé de son chassepot,

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il les charge, et, à coups de baïonnette, il les tue. Loin de se laisser abattre par cet horrible spectacle l'énergie de M.

Leca ne fait que s'accroître. Tout à l'heure il a fait tout son possible pour organiser la défense, maintenant il faut venger la mort de ceux qui lui étaient si chers. Par deux ouvertures qu'il pratique aux portes, il fait feu tantôt d'un côté, tantôt de l'autre, et bientôt les canaques, au nombre de cent cinquante, reculent devant cet homme qui se multiplie. C'est là une lutte qui n'est pas dans les habitudes des canaques : l'assassin ne combat pas, il surprend, il incendie. C'est ce que fait la bande dirigée par ce même Païta qui, tout à l'heure, est venu donner la main à ceux qu'il massacre maintenant. La surprise n'a pas réussi, ils ont recours à l'incendie. Le feu est mis aux deux extrémités du bâtiment, et Monsieur Leca voit que, s'il ne veut être brûlé vivant, il faut sortir. Il ouvre une porte, mais la referme aussitôt.- les canaques sont de chaque côté du mur la hache levée, prête à s'abattre sur la tête de M. Leca. Le temps presse cependant, le feu gagne et bientôt le refuge de notre héros sera une véritable fournaise. Par les ouvertures pratiquées, M. Leca passe son revolver, fait feu à droite, à gauche, tire encore à droite, tire encore à gauche, force les indigènes à se retirer, prend avec lui toutes les cartouches, referme la caisse aux arme, ouvre la porte et sort. Il bat en retraite à reculons, menaçant de son chassepot ceux qui se rapprochent le plus; mais les indigènes ne désirent pas se mesurer plus longtemps avec leur adversaire et ne le poursuivent pas. Ils ont peut-être une autre raison; le feu gagne et le pillage va bientôt devenir impossible.

M. Leca traverse la cour du camp des condamnés où vingt-six cadavres sont étendus. Etes-vous tous morts, s'écrie-t-il?

A cet appel, un seul des corps étendus se relève: c'est un condamné étourdi par les coups qu'il a reçus, mais non tué. M.

Leca se dirige sur Tomo où il arrive quelques heures après sans avoir été inquiété. Le condamné blessé est rentré avec lui.

Sitôt après avoir pillé, les révoltés se retirèrent; car une heure et demie après le massacre, deux personnes qui vinrent à cheval voir ce qui se passait constatèrent que tous les assassins étaient chez M. Mostini, occupés probablement à piller et à s'enivrer. Le camp offrait un aspect vraiment horrible. L'habitation des surveillants était en cendres. A l'entrée de la véranda, et à moitié carbonisés, gisaient les cadavres des deux malheureux qui n'avaient pas ajouté foi aux inquiétudes du chef de camp, les surveillants Maquin et Gesland. A l'autre extrémité se trouvait le cadavre de M. Henderson, les bras étendus et la face tournée vers le ciel ; presque partout, au contraire, on a constaté que les victimes avaient la face contre terre. Sous la véranda, se trouvaient aussi les cadavres brûlés de trois condamnés. Dans la salle à manger, les corps de Mme Leca et de ses enfants étaient à moitié consumés. Quelques condamnés s'étaient cachés où ils avaient pu; trois, par ce moyen, ont échappé à une mort certaine. Deux s'étaient cachés dans la boulangerie; ils sont restés là jusqu'au lendemain enfouis sous des sacs de farine et de matériel. L'aventure de ces deux individus offre un côté assez curieux.

Tous les deux s'étaient cachés dans Je même endroit, mais à des moments différents; ils ignoraient par suite leur présence mutuelle; l'un d'eux avait pris ses précautions et avait avec lui six pains. Mais quelque frayeur que puissent causer des canaques en révolte, quel que soit l'envie de leur échapper, il est impossible à un homme de rester vingt-quatre heures immobile, surtout lorsque la position qui lui est imposée par la situation est loin d'être normale. Les deux condamnés cachés dans la boulangerie étaient donc obligés de remuer de temps en temps tantôt une jambe, tantôt un bras; le voisin du patient tremblait de tous ses membres et croyait à la présence de quelque canaque à la recherche de nouvelles victimes et peut-être sur les traces de sa cachette. Lorsque ces bruits inquiétants avaient quelque temps cessé, le second individu pensait le moment venu d'étirer ses membres engourdis. Ce bruit effrayait son voisin et, ainsi, ils ont tous les deux passé vingt-quatre heures dans des transes continuelles et se faisant peur mutuellement. Le troisième condamné, dont il est parlé plus haut, le nommé Ouvé, était aux fers au moment de l'attaque. Voyant le sort qui lui était réservé s'il cherchait à s'échapper au dehors, il s'est débarrassé comme il a pu de ses fers, a dissimulé une couverture dans la chaux qui se trouvait à portée et s'est mis dessous. Les canaques sont venus, ont piétiné sur la chaux et ne se sont pas aperçus de la présence du prisonnier. Après .le départ des canaques, il a rejoint les colons venus en reconnaissance et a pu regagner Bouraké.

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12.OZÉRÉThéodore 1,

Il est né le 26/09/1827 à Provins (77).

Décédé le 04/05/1879 à Île des Pins (98) à l'âge de 51 ans.

Professions : Marchand de vin.

1 Note Générale : Condamné à la déportation Simple en Nouvelle Calédonie en 1872 Matricule 1881 ANOM COL 94 à bord de "l'Orne" 5 ème Convoi de la commune de Paris, qui quitte la France le 31 décembre 1872 pour arriver à Nouméa le 6 mai 1873

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