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Soutien aux entreprises. Dynamisme économique et emploi

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Academic year: 2022

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ENTREPRISES

P 2 - Événements SIMI : le stand de Vitry

OIN : présentation du projet aux entreprises

P 3 - Éditorial

P 4-5 - Études et réalisations Zones d’activités Seine Amont : vers une charte qualité

Secteur Ardoines : étude pour un centre biotech

P 6-7 - Dossier :

Le soutien aux entreprises : R&D, création, reprise

P 8 à 11 - La vie économique L’Agence d’essais ferroviaires et le TGV Est

APIGS : la peinture dans tous ses états

Toutes les « Saveurs d’Italie » !

P 12 - Zone franche urbaine Emploi et développement Aménagement de la RN305 Sud

ENTREPRISES

V itr y

N° 43 Mars 2007 Ville de Vitry-sur-Seine

w w w. m a i r i e - v i t r y 9 4 . f r

Dynamisme économique et emploi

Dynamisme économique et emploi

Soutien aux entreprises Soutien aux entreprises

(2)

Événements

VITRY AU SIMI

Une initiative positive

Petit-déjeuner du 25 octobre 2006

Présentation de l’Opération d’Intérêt National

La tenue d’un stand au SIMI, le salon de l’immobilier d’entreprises, en décembre dernier, a permis de faire connaître les po- tentialités économiques de la ville auprès des commercialisateurs, entreprises et in- vestisseurs.

Un ensemble de panneaux présentait les grands projets d’aménagement avec l’Opé- ration d’Intérêt National, les projets autour de la gare des Ardoines, la ZFU, la ZAC Concorde Stalingrad, etc.

De nombreuses entreprises et partenaires ont participé à la rencontre avec le maire, Alain Audoubert sur le stand. Suite à ce salon,des rendez-vous ont déjà été pris avec plusieurs investisseurs et promoteurs : au- tant de contacts intéressants pour le déve- loppement de l’activité économique.

Une initiative réussie, qui contribue à la va- lorisation de l’image de la ville !

A l’invitation du maire, Alain Audoubert, une quarantaine de chefs d’entreprise ont participé au petit-déjeuner consacré à la présentation de l’Opération d’Intérêt Na- tional décidée par l’État sur le territoire de Seine Amont. Au cours de son exposé, le maire a présenté les enjeux de cette opéra- tion pour l’ensemble du territoire et plus particulièrement le secteur des Ardoines, pôle central de développement. Tout en af- firmant sa volonté que la ville conserve son pouvoir décisionnaire, il déclarait : « Il s’agit d’un atout important, car pour le secteur Ar- doines, la collectivité locale ne peut agir seule, pour des raisons financières mais aussi en raison de la complexité des enjeux, qui né- cessite des décisions et des interventions à tous les niveaux, de la commune à l’État» faisant référence notamment au dépôt de carburant BP, la nouvelle traversée de Seine et le développement de transports en com- mun. Il devait souligner également que l’OIN c’est « bien sûr le développement éco-

nomique mais aussi un véritable projet de territoire assurant une mixité entre activi- tés, habitat, transport et services».

La rencontre s’est poursuivie par un débat autour des questions de transport (la fré-

quence du RER C…), les activités appelées à s’implanter sur la ville, la ZFU, les terrains disponibles…

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Éditorial

PRATIQUE

Le Service du Développement Économique, votre interlocuteur privilégié !

Hôtel de Ville - 2 avenue Youri-Gagarine - 94407 Vitry-sur-Seine cedex Tél. 01 46 82 82 85 - Fax. 01 57 67 08 21

Courriel : economie@mairie-vitry94.fr Responsable : Bernard Fontaine ZFU: Mikaël Ktorza - Tél. 01 46 82 82 68

Le site Internet de la ville : www.mairie-vitry94.fr Vitry Entreprises

Publication municipale éditée par la ville de Vitry-sur-Seine, 2, avenue Youri-Gagarine, 94407 Vitry-sur-Seine cedex.

■ Directeur de la publication : Michel Le- prêtre■ Réalisation : Direction de la Com-

munication et Service du Développement Économique Conception, rédaction : Escalier D CommunicationPhoto couver- ture et dossier : Phototèque Sanofi - Aventis R&D - Ambroize Tézénas ■ Impression : Im- primerie municipale ■ Tirage : 3 500 ex

Grâce au partenariat engagé entre la chambre de métiers du Val-de-Marne et la ville de Dresde en Allemagne, la société Fulinox a présenté ses produits (équipement de cuisines de restaurants), en octobre 2006, au salon des entre- prises artisanales dans le cadre de la Foire internationale de Dresde.

Le Forum Mécatronic s’est tenu le 3 novembre dernier à l’IUT de Chérioux.

L’occasion pour les entreprises adhérentes du réseau Mécatronic de présenter leur activité ainsi que les réalisations s’appuyant sur les coopérations offertes par le réseau (études, recherches, prototypes).

Christian Hugues, Vitriot et créateur de la société MINIX, au salon Aerospace Design Anaheil (Californie) avec le sou- tien du réseau Mécatronic.

L ’intervention économique des collectivités territoriales et les nouvelles mesures de dé- centralisation permettent d’attribuer des aides aux entreprises sous diverses formes et sous certaines conditions, au niveau régional et départe- mental.

Pour sa part, notre ville développe toute une série de dispositifs pour rendre le territoire plus attractif et favoriser l’implantation de nouveaux emplois, sa participation au SIMI ou son investissement dans la mise en place de l’Opération d’Intérêt National en sont des exemples.

Avec son service du développement économique, elle a mis en place des outils comme la bourse de l’immobilier d’entreprises qui offre une bonne lisi- bilité des locaux et terrains disponibles et un lieu d’information et d’orientation concernant les diffé- rentes aides existantes au niveau local, régional ou national.

La Ville subventionne également, avec les villes de Seine Amont, le Conseil général et le Conseil régio- nal, l’association Seine Amont Initiative, qui propo- se, accompagne et met en place des prêts d’honneurs aux porteurs de projets et aux repreneurs. Enfin, la Zone franche urbaine, par les aides qui lui sont liées et la mise en place, au niveau local, d’une commis- sion technique qui permet un suivi rigoureux, a déjà permis l’implantation et la création de nombreuses entreprises et commerces, créant 150 emplois de- puis 2004 bénéficiant à une majorité de Vitriot(e)s.

La volonté de la Ville est que ces aides soient réelle- ment utiles à l’emploi et au développement de l’ac- tivité économique, afin de répondre aux besoins de la population et de bien préparer, et même d’antici- per, les grandes mutations prévues pour le sud-est parisien. ■

Michel LEPRÊTRE Maire-adjoint chargé

du développement économique

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Études et réalisations

Zones d’activités en Seine-Amont

L’aménagement de la rue Charles-Heller, qui sera terminé à la fin du mois de mars, va dans le sens d’une requalifica- tion de la zone d’activi- tés, avec un aménage- ment paysager, la prise en compte des circula- tions douces, la récupé- ration et le filtrage des eaux de pluie.

Vers une charte qualité

L’Association Seine Amont Développement (ASAD) a lancé une étude pour la requalification des différentes zones d’activités économiques sur le territoire des cinq villes concernées : Alfort- ville, Choisy-le-Roi, Ivry-sur-Seine, Orly et Vitry-sur-Seine, avec l’objectif d’établir une charte qualité, à partir d’un diagnostic dé- taillé et d’une démarche participative et concertée entre les diffé- rents partenaires de chaque zone : entreprises, commercialisa- teurs, aménageurs, acteurs publics.

Cette charte servira de cadre de développement, en don- nant une image nouvelle et dynamique de l’activité en Seine- Amont, mieux intégrée dans le tissu urbain et respectueuse des contraintes environnementales.

La charte comprendra quatre volets :

•La qualité urbaine et paysagère : amélioration de la qualité ar- chitecturale (hauteur des bâtiments, texture des matériaux…), traitement des enseignes publicitaires, aménagement des es- paces extérieurs publics et privés, mobilier urbain…

•La gestion de l’environnement : traitement des eaux pluviales et usées, gestion des risques naturels et technologiques, traitement des déchets banals et spécifiques, économie d’énergie et utilisa- tion des énergies renouvelables, maîtrise des nuisances.

•La gestion des sites, les services : amélioration de la communi- cation, signalétique (enseignes, entrée de zone, jalonnement), développement des services aux entreprises et à leur personnel (accès, déplacements,gardiennage, commerces, restauration…).

•Suivi et évolution de la qualité, avec notamment, la mise en place d’un comité de suivi.

Cette charte ambitieuse correspond aux souhaits et aux besoins de nombreuses entreprises déjà implantées d’avoir un territoire dynamique, accueillant, attractif.Avec le soutien de dif- férents partenaires (Villes, Conseil général, Conseil régional, ADEME…), sa mise en œuvre devra se faire avec la participation active des entreprises et des acteurs économiques du territoire.

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Tr avaux de v oirie Comminiqué

Rue Eugène-Hénaff

A la hauteur du rond-point,entre le quai Jules-Guesde et la rue Édith-Cavell, la chaussée, affaissée sur toute la largeur de la voie, doit être refaite. La rue sera barrée dans les deux sens, pour une durée de deux mois,à partir de la fin du mois de février.

Quai Jules-Gesde

Afin de permettre l’installation de la nouvelle turbine à combustion sur le site du centre de production EDF,le quai sera fermé dans les deux sens à la circulation du 17 au 25 mars.

ZAC du Port-à-l’Anglais

Deux nouvelles voies vont être créées au sein de la ZAC, reliant la rue Édith- Cavell au quai Jules-Guesde.Ces travaux vont durer deux mois (mars et avril), pouvant provoquer une gêne à la cir- culation sur le quai et rue Édith-Cavell.

Rue Charles-Heller

L’aménagement de la rue a été retardé, les canalisations devant être reprises.

Les plantations seront éffectuées cou- rant mars et la rue ouverte à la circula- tion fin mars.

Depuis plus de trente ans, le CFA Rabelais forme des jeunes de 16 à 25 ans en ap- prentissage. Il prépare aux métiers de l’ali- mentation, de l’hôtellerie-restauration, de la vente et forme des cuisiniers, des ven- deurs, des boulangers et pâtissiers (l’un d’entre eux vient de remporter le 1er prix de la baguette tradition du Val-de-Marne), avec une réussite à plus de 80 % aux dif- férents diplômes préparés.

Le CFA vit sur ses fonds propres et a besoin du soutien des entreprises, en tant que par- tenaires professionnels et financiers.

Il sollicite les entreprises afin qu’elles contri- buent, par le versement de leur taxe d’ap-

prentissage, à sa mission d’accompagne- ment, de promotion de ses formations et d’insertion des publics jeunes.

Pour plus de renseignements, contacter Nathalie VINCENT, chargée des relations extérieures :

cfa-vincent-nathalie@hotmail.fr

CFA François-Rabelais 6 rue Pierre-et-Marie-Curie 94407 Vitry-sur-Seine cedex Tél. 01 45 73 61 50

Fax. 01 45 73 29 70

www.ac-creteil.fr/cfa/rabelaisvitry Dans le cadre de la priorité donnée

au développement économique et de l’Opé- ration d’Intérêt National (OIN), la Ville a commandé une étude de faisabilité et de montage d’un projet immobilier dédié à l’accueil d’activités liées aux biotechnolo- gies, aux biosciences et au biomédical.

En effet, la Ville dispose d’ores et déjà d’importantes potentialités foncières dans ce secteur et près de 10 hectares, si- tués autour de la gare des Ardoines et le long de la rue Léon-Geffroy, appartenant à la SNCF et à Réseau Ferré de France, peu- vent être rapidement disponibles selon le protocole signé le 12 décembre 2006 avec ces deux entreprises.

L’identification du territoire vitriot au titre du pôle de compétitivité mondial Médicen, la proximité d’un des principaux centres de recherche du groupe Sanofi- Aventis donnent sa cohérence à ce projet d’accueil d’entreprises à forte valeur ajou- tée dans le domaine des biotechnologies.

L’étude portera sur l’attractivité des différents sites envisagés, les différents types de produits immobiliers les plus

adaptés (pépinière, hôtel d’entreprises, la- boratoires…), et le positionnement du pro- jet par rapport à d’autres opérations exis- tantes ou en devenir à proximité : Biotech, Biopark, Génopôle Charles-Foix à Ivry-sur- Seine ou à Villejuif, le Campus de cancéro- logie autour de l’Institut Gustave-Roussy.

La création d’un parc biotech aux Ardoines, s’il s’avère pertinent en terme de faisabilité, permettrait de renforcer l’at- tractivité de ce quartier et d’amorcer sa transformation économique.

Les Ardoines

Vers la réalisation

d’un secteur biotech ?

CFA Rabelais et taxe d’apprentissage

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Dossier

Aides à la création, à la reprise d’activités ; aides

à la recherche-développe- ment, aides à l’exportation, aides à l’emploi… autant de dispositifs existant au niveau de l’État, des régions, des conseils géné- raux, des chambres consu- laires, d’organismes spécialisés (DRIRE, OSEO).

L’Insee évalue à plus de mille les seules aides à la création et à la reprise en France, alors que seulement 15 % des créateurs en béné- ficient. En effet, certains estiment n’avoir besoin de personne, d’autres ne savent pas à qui s’adresser, parce qu’ils ne connaissent pas les différentes structures et d’autres encore n’osent pas faire la démarche. Cette situation est d’autant plus dommageable que les chiffres montrent que les créateurs d’entreprises conseillés en amont, aidés au moment de la création, puis suivis, ont beaucoup plus de chance de réussir leur projet (80 % de réussi- te au terme de cinq ans d’existence contre 50 % pour la moyenne nationale).

Le service du développement économique : une mission de conseil et d’orientation

La ville de Vitry a la volonté, par l’intermédiaire de son service du dévelop- pement économique, d’avoir un rôle de conseil, d’orientation pour permettre aux porteurs de projet, aux entreprises qui ont des projets de recherche-développement, de frapper à la bonne porte. En partenariat avec les organismes locaux (Seine Amont Initiative, CRITT MECA, les chambres consulaires, le service économique du Conseil général), il est le “ guichet ” à qui s’adresser prioritairement. Cette fonction de conseil et d’orientation est complétée par la bourse des locaux, qui offre une connaissance la plus exhaustive possible des locaux disponibles sur la commune, et peut répondre aux différents besoins d’im- plantation ou d’extension.

Les aides

au développement

Ce dossier ne peut présenter tous les dispositifs.Nous présentons ici deux or- ganismes nationaux susceptibles d’appor- ter des aides directes à la recherche-déve-

loppement, la DRIRE et OSEO, ainsi que l’ADEME, apportant un soutien aux éco- nomies d’énergie et à la protection de l’en- vironnement.

•La DRIRE - Direction régionale de l’indus- trie, de la recherche et de l’environnement

www.ile-de-france.drire.gouv.fr La Drire intervient pour accompagner le développement des PMI. Les divisions

“ Développement industriel ”assurent cette mission par un accompagnement indivi- duel des entreprises pour les aider à mener à bien leurs projets (d’investissement, de recherche et développement),notamment en utilisant les différentes aides financières à destination des entreprises, en instrui- sant et en assurant le suivi des dossiers in- dividuels de demande de subventions.

Elle conçoit et anime également des ac- tions pour créer les conditions favorables au développement des entreprises, visant à faire émerger des synergies entre les en- treprises et leur environnement. Enfin, elle mène une analyse des enjeux indus- triels par secteur d’activités et par bassin d’emploi afin de comprendre et d’antici- per les évolutions du tissu industriel.

LES AIDES AUX ENTREPRISES

Comment s’y retrouver

et y avoir accès ?

(7)

M

ME

OUAKI

GÉRANTE D’UNE LIBRAIRIE PRESSE EN CENTRE VILLE Je suivais un stage de l’AFPA pour les créateurs d’entreprises, envoyée par l’ANPE. SAI y a fait une intervention : j’ai alors pris rendez-vous et, après présenta- tion et acceptation de mon dos- sier, j’ai obtenu un prêt d’hon- neur et le droit à l’EDEN. Cela m’a beaucoup aidée pour racheter le stock du magasin et informatiser la gestion de la presse, en mini- misant le prêt bancaire dont j’avais besoin.

Tout s’est déroulé simplement et rapidement : le prêt a été accor- dé au mois d’août, l’argent dis- ponible en septembre et les rem- boursements, différés, n’ont commencé qu’en janvier. Cela donne une bouffée d’air appré- ciable. SAI suit régulièrement l’évolution de mon entreprise : je suis en train de préparer un bilan intermédiaire que je vais leur communiquer.

POINT DE VUE

Elle conçoit et anime également des actions visant à l’intégration du développement durable dans les politiques de développe- ment des PME/PMI : systèmes de mana- gement environnemental, gestion des dé- chets et des effluents, éco-conception, intégration de technologies économes,uti- lisation rationnelle de l’énergie…

•OSEO - www.oseo.fr

OSEO a une mission de financement et d’accompagnement des PME françaises, en appui des politiques européennes, na- tionales et régionales. Née en 2005 de la réunion des compétences de l’ANVAR (Agence nationale de valorisation de la re- cherche) et de la BDPME (Banque de dé- veloppement des PME), incluant la SO- FARIS (société de garantie de finan- cement), OSEO a pour mission : - de fournir des réponses aux besoins fi-

nanciers des PME,essentielles à leur émer- gence et à leur développement et qui ne sont pas couverts par les acteurs privés ; - de favoriser l’innovation sous toutes ses formes au sein des entreprises, en tant que facteur de compétitivité.

Pour cela, elle accompagne les chefs d’en- treprises dans leurs projets et leur permet d’avoir un meilleur accès aux finance- ments. Elle met les PME au cœur d’un ré- seau leur permettant d’accéder aux par- tenaires et services utiles : banques, organismes de fonds propres, réseaux d’accompagnement,milieux scientifiques, technologiques, grands comptes.

OSEO a pour fonction d’être présent tout au long de la vie de l’entreprise, en parti- culier dans les moments les plus risqués : création, innovation, développement, ex- port, transmission.

•ADEME - Agence de l’environnement et de la maîtrise d’énergie- www.ademe.fr L’ADEME propose aux entreprises un en- semble de services pour la réalisation d’études techniques et économiques leur permettant de faire le bon choix en ma- tière d’actions liées à l’énergie et à l’envi- ronnement.Soutien méthodologique,aides financières en cas d’expertise, elle appor- te une aide structurée afin d’encourager les investissements des PME en faveur de la maîtrise de l’énergie. Des garanties fi- nancières peuvent également être obte- nues par l’intermédiaire du FOGIME.

A Vitry, deux organismes pour l’aide à la R&D et à la créa- tion/reprise

•CRITTMECA

Association loi 1901, CRITTMECA agit dans le cadre d’une mission d’intérêt gé- néral confiée et financée par le ministère chargé de la Recherche et de la Technolo- gie et par la Région Ile-de-France.Son rôle est d’assister directement les TPE et PME dans la définition de leurs besoins tech- nologiques et de leurs programmes de re- cherche-développement et de les accom- pagner dans leurs projets en leur donnant accès à un réseau d’organismes de com- pétences (CRT, universités, écoles d’ingé- nieurs…) et par l’utilisation des aides de la région. Ces aides consistent en un allè- gement des frais de travaux confiés à un organisme externe, à faciliter la création de postes de cadres ou de techniciens liés aux projets et,enfin,à recourir à un expert en vue d’une étude technique.

Ces aides peuvent être conjuguées à celles de SAI pour la création ou la reprise d’en- treprises.

CRITTMECA est également à l’origine de la création du réseau de partenariat in- dustriel Mécatronic sur le territoire de Seine Amont.

En 2006, 65 entreprises de Seine Amont ont été aidées, dont 17 de Vitry.

•SAI (Seine Amont initiative)

SAI est un dispositif de financement de création ou de reprise d’entreprises en Val- de-Marne. Il est prestataire de l’État pour

Société Fulinox : fabrication d’équipements de cuisines de restaurants

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LOCATION

• Activités et bureaux LE PLATEAU

- 1 180 m

2

dont 100 m

2

de bureaux ZONE D’ACTIVITÉS, SECTEUR ALLENDE - 2 500 m2 dont 600 m2 de bureaux

• Bureaux et laboratoires LE PLATEAU-LE MOULIN VERT

- 3 940 m

2

, divisibles en lots de 400m

2

au sein d’un immeuble R+4

• Activités

ZONE D’ACTIVITÉS NORD - 1 500 m

2

VENTE LOCATION

• Activités et bureaux

ZONE D’ACTIVITÉS, SECTEUR NORD - 7 540 m

2

, dont 1 000 m

2

de bureaux et

locaux sociaux

VENTE

• Activités et bureaux

ZONE D’ACTIVITÉS, SECTEUR ARDOINES - 1 600 m

2

dont 600 m

2

de bureaux

BOURSE DE L’IMMOBILIER D’ENTREPRISES

Vous cherchez à vous installer à Vitry. Vous souhaitez des locaux mieux adaptés à votre ac- tivité : la Bourse de l’immobilier d’entreprises, constituée par le Service du développement économique, peut vous aider. Cette bourse se veut la plus exhaustive possible sur les bureaux et locaux disponibles de la commune.

Retrouvez plus d’offres sur le site de la ville www.mairie-vitry94.fr rubrique “activités éco- nomiques”, bourse de l’immobilier.

PARMI LES LOCAUX ET TERRAINS DISPONIBLES

(février 2007)

CONTACT:

Laurent Prêteux - Tél. 01 46 82 82 64 laurent.preteux@mairie-vitry94.fr

les avances remboursables EDEN (avan- ce remboursable pour les porteurs de pro- jet au RMI, jeunes, personnes de plus de 50 ans…).Il est financé par le Conseil ré- gional, le Conseil général et les villes de Seine-Amont, notamment Vitry et Ivry.

L’association s’adresse plus particulière- ment aux créateurs de TPE et finance les structures d’insertion par l’économie.

Tous les porteurs de projet de Seine Amont peuvent prétendre à une aide sous forme de prêt d’honneur (avance per- sonnelle sans intérêt, remboursable sur cinq ans).Au niveau de l’ensemble du dé- partement, elle s’adresse aussi aux por- teurs à faibles ressources. Les deux aides pouvant être cumulées.

« Le principe est simple, explique Fran- çois Hubert, directeur de SAI, nous ana- lysons les projets, nous apportons un fi- nancement sous forme de prêt d’honneur (de 3 000 à 20 000 euros) une fois le pro- jet accepté, et nous apportons un suivi, avec l’aide de parrains bénévoles (chefs d’en- treprises ou cadres à la retraite). Nous ap- portons également une aide à l’obtention de prêts auprès des banques. En 2006, SAI a aidé 66 projets en Val-de-Marne, dont plus de la moitié en Seine Amont. 80 % des entreprises que nous avons aidé ont un taux de réussite à 5 ans d’existence, la moyenne nationale étant de 50 % seule- ment. »

DOSSIER

ADRESSES UTILES

• DRIRE Ile-de-France Antenne du Val-de-Marne 21 rue Olof-Palme

94006 Créteil cedex Tél. 01 45 13 28 10

Télécopie : 01 43 99 58 51

• OSEO

27 avenue du Général- Leclerc

94 710 Maisons-Alfort cedex Tél. 01 41 79 91 00

Télécopie : 01 41 79 95 95

• ADEME Ile-de-France 6-8 rue Jean-Jaurès 92807 Puteaux cedex Tél. 01 49 01 45 47

Télécopie : 01 49 00 06 84

• CRITTMECA

146 rue Léon-Geffroy 94400 Vitry-sur-Seine Télécopie : 01 43 91 13 34

• Seine Amont Initiative 146 rue Léon-Geffroy 94400 Vitry-sur-Seine Télécopie : 01 43 91 13 31

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L’Agence d’Essai Ferro- viaire de Vitry, regroupe 250 in- génieurs, techniciens, opéra- teurs qui testent et expertisent

les matériels roulants, leurs composants et leur interaction avec l’environnement ferroviai- re. Le site de Vitry, de 3,75 hec- tares, comprend un laboratoire physico-chimique de 3 000 m2, des halls d’essais électriques, de freinage, d’analyse de struc- tures, des graisses et roule- ments, de l’usure…

Des centaines d’essais différents sont ainsi effectués, sur le freinage, l’acous- tique, les matériaux, le comportement au feu ou encore la qualité de l’air embarqué.

«Nous travaillons beaucoup sur le vieillis- sement des différents composants d’un train, » explique Jean-Pierre Lamorte, res- ponsable QSE-communication de l’AEF.

« en cinq semaines, nous avons la capacité de les faire vieillir de trente-cinq ans !»

Tester le futur TGV Est

L’AEF procède à des essais sur ligne, comme celle du nouveau TGV Est qui re- liera Strasbourg à la capitale en 2h30 et cir- culera sur quatre réseaux différents (alle- mand, français, luxembourgeois et suisse).

Ainsi, avec quatre rames d’essai, remplies d’appareils de mesure, de capteurs, d’ordi- nateurs qui analysent les données, ingé- nieurs et techniciens vérifient et valident tous les aspects liés à la réalisation de la nouvelle ligne : conformité de la voie elle- même, positionnement des rails, matériel roulant, acoustique, vitesse, etc. Tous types d’essais sont réalisés, à grande vitesse, bien supérieure à la vitesse commerciale,ou avec un matériel défectueux : un amortisseur

en moins par exemple… pour s’assurer de la bonne tenue de la rame.« La mise en ser- vice du TGV Est est prévue le 10 juin. Les es- sais vont se poursuivre pratiquement jusqu’à cette date » souligne Jean-Pierre Lamorte.

« Sur cette ligne, nous participons égale- ment aux programmes d’excellence sur la grande vitesse, avec des motrices spéciales, dont les média se font actuellement l’écho.

La création d’une nouvelle ligne est une op- portunité : de tels essais ne seraient pas pos- sibles sur une ligne déjà en service ».

Une large activité nationale et internationale

L’AEF travaille pour moitié avec la SNCF et, pour l’autre, avec des clients ex- ternes,par l’intermédiaire du GIE EurailTest (groupement SNCF-RATP) : autres entre- prises ferroviaires, en France, en Europe et dans le monde, et industriels du ferroviaire (ensembliers,équipementiers,sous-traitants,

organismes de recherche et de normalisa- tion).«Nous sommes un laboratoire accrédi- té en ISO 17025, qui effectue des analyses et prononce des avis d’expert.Les homologations sont ensuite prononcées par les organismes de tutelle émanant des ministères des Transports des pays concernés».

L’Agence d’Essai Ferroviaire

a tout essayé, même le futur TGV Est

AGENCE D’ESSAI FERROVIAIRE 21 avenue du Président-salvador- Allende - Tél. 01 47 18 84 15

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Salles de peinture, ateliers de ponçage, étuves, atelier

des “ épargnes ”, autant d’activités différentes regrou-

pées au sein du vaste bâti- ment de la société APIGS, également équipé de filtres d’air, à l’entrée pour suppri- mer les poussières et à la sortie pour éviter toute pol- lution, ainsi que d’un système de purification de l’eau.

« Nous sommes prestataires de servi- ce dans l’application de peintures industrielles spécifiques » explique son dirigeant, M.

Crampon. « Par peintures spécifiques, nous entendons des peintures pouvant résister à une température de 380°, anti-reflet, résistantes à la flamme,qui ne se salissent pas,conductrices, etc.Nous travaillons également la préparation des surfaces en fonction des différents maté- riaux (acier, inox, alliages spécifiques, com- posites), ainsi que les sous-couches et l’épais- seur de la couche de peinture. Nous traitons des pièces complexes, comportant de nom- breuses parties ne devant pas être peintes : ce sont les “ réserves ”qu’il faut protéger de façon manuelle avant toute intervention.

Notre expérience et nos recherches permanentes avec les laboratoires et les in- génieurs des fabricants de peinture et de nos clients nous permettent d’apporter des solu- tions performantes aux différents problèmes posés. Ainsi, pour PCA Citroën Sport, nous travaillons sur des voitures de rallye (la

XSARA-KCU notamment). Nous sommes in- tervenus dans trois directions : une peintu- re anti-reflet sur le capot pour éviter une gêne visuelle aux pilotes, une peinture permettant de faire glisser la boue et une réduction de l’épaisseur de la couche de peinture permet- tant d’en réduire le poids : 2,7 kg au lieu de 6 à 7 kg avec un traitement normal. »

APIGS qui a la certification Quali- fas (reconnaissance aéronautique) a une large clientèle (Thalès, Air France Indus- trie,Air Bus, Eurocoptère,Aérospaciale) en France et en Europe (Hollande, Belgique, Allemagne…)

« Nous sommes les seuls à proposer la technique de polymérisation qui permet d’obtenir une peinture aussi résistante que l’émail. Nous l’utilisons pour le traitement des capots blindés de viseur des chars Leclerc ou de cuves d’alimentation. »

L’entreprise comprend dix-sept sa- lariés.La formation se fait sur place : « Mes employés sont polyvalents et maîtrisent les différentes techniques adaptées à tous les sup- ports et à toutes les utilisations. Leur for- mation se fait au sein même de l’entreprise, il faut environ trois ans pour bien maîtriser l’ensemble des procédés».

L’essentiel de l’activité se réalise au sein des ateliers d’APIGS, mais pour cer- tains clients (Air France) ou certains tra- vaux (peinture d’antennes satellites), le tra- vail est fait sur site. « Les grandes entre- prises avec qui nous travaillons ont souvent leurs propres ateliers de peinture, mais nous apportons une souplesse, des délais et sur- tout une technicité qu’ils n’ont pas » sou- ligne M. Crampon. « Dans les prochaines années, je vois de belles perspectives, avec le développement de hautes technologies exi- geant des réponses très spécialisées. »

Vie économique

APIGS

6 rue Léon-Geffroy Tél. 01 46 81 02 48 Fax. 01 46 82 70 89 apigs@wanadoo.fr

APIGS

La peinture dans tous ses états

(11)

!

BRÈVES

Sous location et bail commercial

Un locataire titulaire d’un bail commercial peut valablement sous louer son local en tout ou partie, si une clause du bail l’y autorise ou si le bailleur donne son accord ultérieure- ment (lettre ou avenant au bail), et si ce dernier concour- re à l’acte de sous location.

Dans le cas contraire, le bailleur peut refuser au loca- taire le renouvellement de son bail, sans offre d’indemnité d’éviction pour motif grave et légitime.

(Arrêt de la Cour de cassation du 27 septembre 2006)

Nomenclature des activités et produits :

RÉVISION EN 2006

Les nomenclatures françaises d’activités et de produits NAF et CPF, en vigueur depuis le 1er janvier 2003, vont être ré- visées, afin de les moderniser et de les rapprocher des grands systèmes de classifica- tion mondiaux. Les nouvelles nomenclatures permettront également de mieux évaluer l’évolution de l’économie et favoriseront les comparaisons internationales. Ces modifica- tions vont entraîner un chan- gement du code APE, pour toutes les personnes physiques ou morales inscrites au ré- pertoire Sirene géré par l’IN- SEE. Ces dernières n’ont au- cune démarche à effectuer, et seront directement informées.

SAVEURS D’ITALIE

23 ruede l’Abbé-Roger-Derry Tèl. 0146 8124 21

Au 23 rue de l’Abbé-Roger-Derry

T outes les

d’I t al ie

S a v e u rs

L’ouverture d’un commerce

“ de bouche ” en centre-ville, cela mérite d’être encouragé et salué, ce type d’activité ayant malheureusement tendance a se faire rare avec le développement de la grande distribution.

Saveurs d’Italie a ouvert ses portes en septembre 2006 et propose à sa clientè- le des spécialités de toutes les régions ita- liennes : charcuteries, pâtes, pâtes fraîches, pâtisseries, vins et liqueurs.

«Nous proposons des produits de qualité»,explique Mme Cancellara,qui tient ce commerce avec son mari. «Nos clients peuvent trouver chez nous des produits qu’ils ne trouvent pas ailleurs. Nous avons un im- portant rayon de charcuterie, avec un choix pour chaque produit (deux sortes de morta- delle et de salami par exemple). Nous soi- gnons également la qualité de nos fromages : parmesan frais de 24 mois, mozzarella au lait de buffle…».

Saveurs d’Italie propose également des plats et des pâtisseries maison prépa- rés dans la belle cuisine située à l’arrière de la boutique : quiches, poivrons grillés, pizza, chou-fleur, tiramisu, macarons..., avec, chaque jour, des préparations diffé- rentes et une formule « plat-dessert-bois- son » à emporter.

Mme et M. Cancellara sont Vitriots.

Ils avaient ce projet de commerce depuis deux ans et se sont finalement lancés :

«Pour l’instant ça marche ! Nous nous don- nons encore un an pour asseoir notre projet et vérifier s’il est valable, et nous faisons tout pour y arriver. Notre clientèle est variée, elle est de Vitry, bien sûr, mais nous avons éga- lement des clients des communes limitrophes.

On trouve chez nous des produits que l’on trouve dans des boutiques spécialisées à Paris, mais à un coût moindre.»

Saveurs d’Italie peut proposer des formules pour réceptions, repas d’affaires, séminaires jusqu’à 20 personnes, sans tou- tefois assurer la livraison. «Actuellement, nous n’avons pas la structure pour livrer, mais nous préparons tout, pour être prêt à emporter dans les meilleures conditions», souligne Mme Cancellara.

Son souhait, dès que son commer- ce sera suffisamment solide : « Aller me fournir directement en Italie, car ici on ne trouve pas tout ce qu’on voudrait en produit du terroir ».

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ZFU

ZFU ZFU Étude sur l’emploi et le développement

Après 3 ans d’application de la Zone Franche Urbai- ne,la Ville de Vitry-sur-Seine va mener une étude auprès des entreprises concernées sur les questions de l’emploi et du dé- veloppement de leur entreprise.

POUR PLUS DE RENSEIGNEMENTS : 01 46 82 82 68 (Mikaël Ktorza)

Emploi et développement des entreprises

COMMERCE,ARTISANAT, SERVICES

Le développement des quartiers

RN 305 Sud et Balzac

22 entreprises implantées au sein de la ZFU ont permis de créer 50 emplois en 2006 : c’est ce que montre une étude réa- lisée par la DDTEFP (Direction départe- mentale du travail, de l’emploi et de la for- mation professionnelle), à partir des formulaires de déclaration d’embauche fournis par les entreprises.

Sur ces 50 salariés, 36 % résident dans le périmètre de la zone franche, plus

de 50 % à Vitry (en ZFU et hors ZFU) et 72 % dans le Val-de-Marne.

Ces chiffres montrent que le dispo- sitif de zone franche est porteur de dyna- misme et d’emplois. Les recrutements au

sein de la zone franche et sur Vitry mon- trent que la clause d’embauche locale est respectée et que les entreprises ont la vo- lonté de s’implanter durablement.

Le service du développement économique va engager une étude pour analyser le potentiel de développement de ces deux quar- tiers inclus dans le périmètre de la ZFU. Diagnostic, orientations de développement, faisabilité en sont l’objet.

Concernant Balzac, le projet de rénovation urbaine prévoit la démolition de 660 logements et la reconstruction de 470, avec la créa- tion de nouvelles surfaces commerciales et de service.

Le projet de ZAC RN305 Sud s’inscrit principalement dans le triangle constitué par les rues Constant-Coquelin, Rouget-de-Lisle et la limite avec Choisy-le-Roi.

L’étude devra définir la place et la taille du commerce et de l’artisanat et le type d’activités à privilégier (tertiaire, services ou sec- teur sports et loisirs comme le prévoit le plan d’actions économiques).

Encore des locaux disponibles

Parmi les locaux disponibles en ZFU (location ou vente) :

Commerces:rues de la Glacière et Anselme- Rondenay (de 60 à 80 m2).

Bureau ou cabinet:allée du Petit-Tonneau, rue Clément-Perrot, avenue Maximilien-Robespierre (de 100 à 140 m2).

Ateliers et bureaux :rue Constant-Coquelin (180 m2).

Bureaux:avenue Maximilien-Robespierre (de 580 à 1080 m2divisibles en lots de 250m2).

Avec la participation du FSE

QUELQUES CHIFFRES Sur les 50 recrutements :

•76 % sont des hommes

•49 % étaient demandeurs d’emploi avant l’em- bauche

•48,2 % sont des emplois d’ouvriers

•50 % des emplois concer- nent le secteur industriel (industrie-construction)

•84 % des contrats sont en CDI

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