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Le Canada devrait-il autoriser la publicité directe des médicaments d’ordonnance?: OUI

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  Canadian Family PhysicianLe Médecin de famille canadien  Vol 55:  february • féVrier 2009

Débats

Le Canada devrait-il autoriser la publicité directe des médicaments d’ordonnance?

I

l est temps de mettre un terme à ce débat au Canada.

Le plus grand risque pour les patients canadiens ne vient pas des annonces publicitaires de médicaments diffusées par des sources médiatiques américaines, mais bien du manque d’accès aux renseignements sur les médicaments d’ordonnance. À titre de défenseur des intérêts des patients, de mère de 2 enfants ayant des problèmes de santé et d’épouse d’un homme souffrant de multiples problèmes chroniques, je connais les frus- trations qu’engendre la recherche d’information sur les nouvelles thérapies. En Europe, où il existe des obstacles semblables, un sondage auprès de 268 organisations sans but lucratif de patients a révélé que le cinquième des répondants disaient ne «jamais» pouvoir accéder à des renseignements de grande qualité sur les médica- ments d’ordonnance, les trois cinquièmes répondaient y avoir «parfois» accès, tandis que seulement 13 % affir- maient «toujours» y accéder1.

Au Canada, le débat entourant la publicité telle que faite aux États-Unis a fait dérailler la discussion sur l’ac- cès direct par les patients aux renseignements sur les médicaments. Les critiques de la publicité directe sur les médicaments d’ordonnance (PDMO) englobent souvent l’information directe aux consommateurs, malgré l’ab- sence de données probantes2.

Arguments à l’appui

Cet article présente 4 points en faveur d’un accès direct par les patients à des renseignements sur les médica- ments d’ordonnance :

La publicité sur les médicaments ou les maladies contri- bue  à  la  santé  publique  en  augmentant  les  consulta- tions  appropriées  pour  des  problèmes  de  santé  non  diagnostiqués ou traités. Dans la plupart des études, on s’entend pour dire que les annonces de «sensibilisation à la maladie» ou de «sensibilisation aux médicaments»

se traduisent par une augmentation des consultations

pour des problèmes spécifiques3. Les critiques se plai- gnent que la demande de conseils à un médecin par des patients en santé constitue un gaspillage de ressources en soins de santé4; par ailleurs, rares sont les données probantes qui confirment que ces consultations ne sont pas appropriées5.

Dans une enquête par la Food and Drug Administration des États-Unis, les médecins ont répondu que la majo- rité (88 %) des patients qui demandaient des renseigne- ments à propos de médicaments en particulier après avoir vu des annonces publicitaires souffraient en fait des problèmes pour lesquels ces médicaments étaient conçus6. Environ le quart des patients dont la consulta- tion était incitée par des annonces publicitaires ont reçu de nouveaux diagnostics, certains pour des problèmes possibles à prévenir comme l’hypertension, le diabète, l’hypercholestérolémie et la dépression7. Près de 75 % des médecins qui ont répondu au sondage ont signalé que les campagnes amélioraient la qualité de leurs dis- cussions avec les patients. En général, la publicité peut aider à redresser le «déficit en matière de santé» qui fait en sorte que des problèmes sérieux ne sont pas suffi- samment diagnostiqués et traités.

Les annonces ne font pas en sorte que les patients reçoi- vent  des  médicaments  inappropriés. Les médicaments d’ordonnance comptent parmi les rares substances exi- geant l’autorisation d’un intermédiaire avisé, ce qui a ten- dance à limiter plutôt qu’à favoriser l’accès. Bien que les médecins rapportent que leurs patients leur demandent de l’information sur les médicaments annoncés, plus de la moitié de ceux qui ont participé à un sondage du Boston Consulting Group ont affirmé que les formulaires influençaient grandement leurs pratiques en matière d’or- donnances, et le tiers ont mentionné qu’ils ne discute- raient pas de traitements non couverts par les assureurs8. Selon une étude longitudinale comparant des Canadiens anglophones exposés à des annonces

OUI

Durhane Wong-Rieger

PhD

Les parties à ce débat contestent les arguments de leur opposant dans des réfutations accessibles à www.cfp.ca. Rendez-vous au texte intégral en ligne, puis cliquez sur CFPlus dans le menu à droite en haut de la page.

suite à la page 136 This article is also in English on page 130.

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GO

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  Canadian Family PhysicianLe Médecin de famille canadien  Vol 55:  february • féVrier 2009

(illicites) états-uniennes concernant 3 médicaments et des Canadiens francophones non exposés à de telles annonces, les annonces n’avaient pas eu d’effet sur les taux de prescription de 2 de ces médicaments et n’ont entraîné qu’une augmentation à court terme des ordon- nances du troisième9.

Parallèlement, le Government Auditing Office des États-Unis a conclu que seulement 27 % des personnes ayant vu des annonces de médicaments demandaient en fait ces médicaments et recevaient une ordonnance10. Les trois quarts des patients qui ont demandé conseil à leur médecin après avoir vu une annonce de médica- ment ont déclaré que leur médecin avait discuté avec eux de santé et de changements au mode de vie; plus de la moitié avaient reçu une prescription d’un médicament générique équivalent, tandis que 51 % s’étaient fait sug- gérer des traitements sans ordonnance.

L’information directe aux consommateurs sur les produits  pharmaceutiques répond à un besoin des patients jusque  là  insatisfait. Non seulement la majorité des Canadiens (68 %) sont-ils en faveur de l’information directe aux consommateurs sur les médicaments d’ordonnance, mais ils croient aussi que la PDMO est permise11.

Dans un même ordre d’idée, le public a exercé des pressions sur la Commission européenne pour qu’elle permette aux sociétés de produits pharmaceutiques de donner des renseignements (et non de la publicité) direc- tement aux consommateurs dans les médias publics, notamment à la radio et à la télé, dans les journaux et dans Internet12. Répondant à un sondage, la plupart des groupes de patients européens atteints du cancer ont dit ne pas pouvoir se fier à leur spécialiste pour obte- nir assez de renseignements, et beaucoup étaient d’avis que les pratiques des médecins en matière d’ordon- nance étaient régies par les budgets restrictifs des auto- rités de la santé13. Dans un autre sondage, les groupes de patients estimaient avoir le doit d’approcher direc- tement les sociétés de produits pharmaceutiques pour obtenir de l’information sur leurs médicaments14. L’information directe aux consommateurs sur les médica- ments doit être équilibrée, vérifiée et surveillée. En avril 2008, la Commission européenne, tout en maintenant son interdiction de faire de la publicité, a proposé un cadre permettant l’information directe sur les médicaments d’or- donnance dans les médias publics et dans du matériel audiovisuel et écrit, sous réserve d’une vérification préa- lable et d’une surveillance par une entité indépendante15. L’information ne doit pas être «trompeuse par omission»

et doit obligatoirement «présenter de manière équilibrée»

tant les avantages que les risques, de manière à ce que les consommateurs puissent prendre des décisions éclairées.

Le guide de Santé Canada sur la publicité des médica- ments en vente libre reconnaît que les consommateurs

devraient recevoir des renseignements justes et équi- librés au sujet des avantages et des risques associés aux médicaments pour prendre des décisions avisées.

Il reconnaît que le public ne lit pas nécessairement les notices ou les monographies sur les produits, mais qu’il s’intéresse aux annonces publicitaires. Par conséquent, des renseignements équilibrés transmis aux patients par la publicité peuvent promouvoir l’usage convenable des médicaments et apporter par le fait même des avanta- ges concomitants au système de santé16.

Je propose d’utiliser la même logique et les mêmes directives pour les médicaments d’ordonnance.

L’information doit être fondée sur des données proban- tes et ne pas excéder ce qui a été approuvé dans les monographies du produit. Il faut inclure tous les bien- faits et les risques importants, et toutes les communi- cations doivent faire l’objet d’une vérification préalable et d’une approbation. Les communications inexactes doivent être corrigées ou retirées, et les renseignements trompeurs devraient entraîner des pénalités.

Un dernier mot

Il est illogique et irresponsable de permettre la libre cir- culation outre frontière de la PDMO tout en restreignant des renseignements plus appropriés produits au Canada, qui seraient approuvés et surveillés par les autorités canadiennes. Nous pourrions trouver une approche cen- trée sur le patient qui répond aux besoins de renseigne- ments équilibrés, de grande qualité et complets sur les médicaments d’ordonnance, qui ne trompent pas les patients ni ne les incitent à une utilisation inappropriée des médicaments.

Mme Wong-Rieger est présidente-directrice générale de l’Institute for Optimizing Health Outcomes à Toronto, Ont, présidente de la Canadian Organization for Rare Disorders, et fondatrice et directrice du Consumer Advocare Network.

intérêts concurrents

L’Institute for Optimizing Health Outcomes et la Canadian Organization for Rare Disorders (CORD) ont reçu des subventions sans restrictions pour l’éducation de la part de sociétés de produits pharmaceutiques. L’Institute for Optimizing Health Outcomes est financé par des contrats de service et des commandites du ministère de la Santé et des Soins de longue durée de l’Ontario et du ministère de la Santé de la Colombie-Britannique; par des contrats de service avec des établissements de soins de santé, des cliniques et des services de santé; et par des subventions sans restrictions pour l’éducation versées par des sociétés de produits pharmaceutiques.

La Canadian Organization for Rare Disorders reçoit des subventions sans restric- tions pour l’éducation de la part de sociétés de produits pharmaceutiques et de fon- dations, dont l’Alberta Gaming and Liquor Commission. L’auteure ne reçoit aucune rémunération pour ses services bénévoles auprès de CORD.

Correspondance

Mme Wong-Rieger, présidente-directrice générale, Institute for Optimizing Health Outcomes, 151 Bloor St W, Suite 600, Toronto, ON M5S 1S4; téléphone 416 969-7435; courriel durhane@gmail.com

références

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Powys, RU: PatientView; 2005. Accessible à: www.patient-view.com/ 3.%20M ain%20Report%20to%20MHRA%20Public%20Consultation%20with%20Pati ent%20Representatives,%20Sept%202005.pdf. Accédé le 18 décembre 2008.

2. Moynihan R, Henry D. The fight against disease mongering: generating knowledge for action. PLOS Med 2006;3(4):e191. Cyberpub.du 11 avril 2006.

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How does direct-to-consumer advertising (DTCA) affect prescribing? A survey in primary care environments with and without legal DTCA. CMAJ 2003;169(5):405–12.

OUI

suite de la page 134

Débats

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  Canadian Family PhysicianLe Médecin de famille canadien  Vol 55:  february • féVrier 2009 4. Mintzes B, Kazanjian A, Bassett K, Lexchin J. Pills, persuasion and public

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13. Patten SB. The impact of antidepressant treatment on population health:

synthesis of data from two national data sources in Canada. Popul Health Metr 2004;2(1):9.

CONCLUSIONS FINALES

La publicité sur les médicaments ou les maladies contribue à la santé publique en augmentant les consultations appropriées pour des problèmes de santé non diagnostiqués ou traités.

Puisque les médicaments d’ordonnance exigent l’autorisation d’un intermédiaire avisé, les annonces publicitaires ne font pas en sorte que les patients reçoivent des médicaments inappropriés.

Les sondages auprès des patients révèlent que l’informa- tion directe aux consommateurs sur les produits phar- maceutiques répond à un besoin jusque là insatisfait.

L’information directe aux consommateurs sur les médi- caments qui est équilibrée, vérifiée et surveillée peut promouvoir une utilisation appropriée des médicaments.

CONCLUSIONS FINALES

La publicité directe des médicaments d’ordonnance peut être dommageable en incitant de manière rapide et généralisée à une utilisation de nouveaux médicaments avant que l’on connaisse bien leurs effets néfastes.

Les annonces publicitaires exagèrent les bienfaits thérapeutiques et utilisent des messages émotion- nels pour cibler les personnes ayant des problèmes de santé moins graves, dont bon nombre ne béné- ficieraient probablement pas des médicaments annoncés.

La publicité fait monter le prix des médicaments et les coûts généraux des soins de santé en substituant de nouveaux médicaments coûteux sans avantages thérapeutiques.

Il faut mieux faire respecter les lois canadiennes régissant la publicité directe des médicaments d’or- donnance.

OUI

suite de la page 136

NON

suite de la page 137

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