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Cela exige parfois des années d'efforts de la part des dirigeants, comme des entraîneurs et des joueurs

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Academic year: 2021

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PEINTRES AM Al Eu..

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Le billet

I J ien n 'est plus facile que de démolir une équipe de hockey sur I * glace, mais la construire est une autre paire de manches.

Cela exige parfois des années d'efforts de la part des dirigeants, comme des entraîneurs et des joueurs. Il est en effet plus agréable de récolter des fruits sur un arbre plein de sève que de ramasser des fleurs fanées par la paresse de ses propres branches.

Jeu suédois,

Gottéron aux abois!

Telle la campagne des transferts de l'an passé qui n'a pratiquement pas appor¬

té d'eau au moulin. D'autre part, Kjell Larsson, le nouvel entraîneur, n'a-t-il pas eu tort de se séparer des joueurs qui étaient les sels minéraux de l'équipe et qui se sont distingués toute la saison dans d'autres clubs? Les supporters fri- bourgeois ont donc raison de manifes¬

ter leur mécontentement, car eux aussi sont convaincus qu'un arbre sans sève ne donne aucun fruit.

Avec Slava Bykov et Andrej Khomutov, deux vedettes russes au talent incontes¬

té, le HC Fribourg-Gottéron a gravi les échelons de la hiérarchie du hockey suisse. Il a été trois fois vice-champion et était le leader romand du champion¬

nat. Aujourd'hui, le train a passé. Il ne reste que les rails. Et encore. En plus de cela, la machine semble être grippée.

A qui la faute si le club fribourgeois est tombé aussi bas? Depuis un lustre, ce roudoudou s'est malheureusement en¬

dormi sur un oreiller de mollesse, laissant la responsabilité aux deux Russes de marquer des points et de conduire l'équipe de St-Léonard à la gloire. Autre question: est-ce que les joueurs suisses et fribourgeois ont progressé avec la présence de Bykov et Khomutov dans leurs rangs? Selon des spécialistes de ce sport qu 'est le hockey sur glace, ils n 'ont

fait aucun progrès. Le HC Fribourg- Gottéron n'a-t-il pas commis une autre erreur? Celle de dépenser des lingots d'or pour un entraîneur qui, semble-t-il, ne connaît pas le hockey suisse et n'a pas compris que l'adage «Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil» n'est plus de mise dans le sport.

N'est-il pas exact aussi que le jeu cana¬

dien convient mieux aux hockeyeurs suisses que le jeu suédois? Le gouvernail d'un navire comme Gottéron, dont le budget atteint six millions de francs, ne devrait-il pas être confié à un homme qui a de l'autorité et du dynamisme à revendre? Car une équipe qui perd son énergie par la mollesse de son entraî¬

neur chancelle toute la saison.

La vérité en face c'est aussi le caractè¬

re «je-m'en-foutiste» de certains joueurs qui touchent un salaire de 200 000 francs par an pour faire la nique au pu¬

blic, aux dirigeants et à l'entraîneur. Un tel comportement mérite des sanctions.

Combien d'entre nous sommes contraints de travailler plusieurs années pour gagner le salaire annuel d'un joueur de ligue A?

Et lorsque l'on entend le «ab irato» de Jean Martinet qui n'arrive pas à digérer l'incroyable gâchis du club fribourgeois pour lequel il a œuvré des années, presque jour et nuit, pour en faire une

équipe performante et qu'il a renfor¬

cée par deux vedettes russes du hoc¬

key mondial qu'il est allé chercher à Moscou, il est permis de comprendre notre et votre déception. Les «mordus» "

du hockey sur glace à la patinoire de St-Léonard ont vécu l'ère Martinet qui, n'en déplaise à certains, a été fabuleu¬

se pour le HC Fribourg-Gottéron. Celle de Bykov et Khomutov est, elle aussi, à l'heure actuelle, sérieusement en dan¬

ger. Lequel des deux sera le futur entraî¬

neur de Gottéron?

L'équipe favorite des Fribourgeois n'a pas réussi cette saison à se qualifier pour les play-offs, donc le manque de recettes va probablement peser lourd sur les finances du club. Cette situation va très certainement obliger le comité à réfléchir et à revoir sa politique des transferts comme celle des jeunes.

Quant à Kjell Larsson - s'il est encore à Fribourg la saison prochaine - il devra trouver des sels minéraux en suffisance pour que la sève puisse atteindre toutes les branches de l'arbre, afin de redon¬

ner au HC Fribourg-Gottéron la floraison dont il bénéficiait avant son arrivée sur les bords de la Sarine...

Gérard Bourquenoud

FRIBOURG ILLUSTRÉ N° 5

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Sommaire

I 8 mars 1996 - N° 5

Gestion du trafic Les carrefours giratoires se multiplient depuis quelques années dans le canton de Fribourg comme partout ailleurs.

Pourquoi? Parce que ce procédé moderne de gestion du trafic per¬

met une circulation beaucoup plus fluide, un trafic ralenti et une plus grande sécurité.

Pour une cause humanitaire

Cascadeur de profes¬

sion, François Gaillard, de Corcelles-près-Payer- ne, assène le coup de grâce aux autos à bout de souffle dans de spec¬

taculaires «crash» qu'il met lui-même en scène.

Récemment il a organi¬

sé une cascade inédite à Payerne, qui a eu pour effet de remplir les tire¬

lires des Cartons du cœur.

A la rencontre des gens Deux de nos collabora¬

trices sont allées à la dé¬

couverte des gens dans plusieurs villages grué- riens situés sur les rives de la Sionge, ruisseau qui prend naissance dans les marais de Vaulruz et qui a donné son nom à un hameau, pour ensuite passer à Riaz et se jeter dans le lac de la Gruyère, à la hauteur de Gumefens.

Les arts

Peintres amateurs fribourgeois

Poyas de Félix Castella 4 Les sports

Gymnastique à Avry-Rosé 6 Salon de l'auto

Giratoires: gestion du trafic L'entretien de votre véhicule

La voiture électrique 9 Le monde animal

Le grand sommeil 16 Eglise

Les 20 ans de Cinedia IO Théâtre

La jeunesse d'Ursy sur scène 19 Le patê d'intche-no

On tsin apri lè raté 21 L'invité du Frill

François Gaillard, cascadeur 22 Huitième district

Nos compatriotes de Genève 25 A la rencontre des gens

Sur les rives de la Sionge 27 Propos de table

Les gruyères du terroir 33 Santé

Un nouveau sein? 37 Hommage à...

Ceux qui nous ont quittés 39 Contes et légendes

La veillée chez Jean-Joseph 43

NOTRE COUVERTURE La voiture, c'est vous!

Tel est le thème du 66e Salon de l'au¬

tomobile qui s'est ouvert ce vendredi 7 mars au Palexpo, à Genève, pour 10 jours. Une exposition qui présente 1041 marques de voitures, y compris Ford que vous propose le garage Olivier Hauser & Fils, à Matran, avec le sourire d'Alexandra, de Sandra et de Monique.

PHOTO: G. BD PHOTO INVITÉ : MARINETTE GRANDJEAN

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Les arts

SOCIÉTÉ FRIBOURGEOISE DES PEINTRES AMATEURS

Déjà quarante printemps et toujours active

^ elon la plaquette éditée pour son 40e anniversaire fêté il y a quelques Jk J semaines, il n 'existe que très peu d'écrits sur la création de ce groupement, si ce n 'est que les membres fondateurs encore de ce monde: Albert Fracheboud, Paul Gross, Gilbert Macherel et Théodore Schmid, se souviennent qu'ils se réunissaient tous les quinze jours au Restaurant Continental, par amitié et par intérêt commun, pour des conversations à bâtons rompus, où parfois il était question de peinture...

La création de la Société fribourgeoise des peintres amateurs du dimanche (SFPA) a eu lieu lors de l'assemblée constitutive du 14 mars 1955. Sans perdre de temps, le comité fit preuve d'initiative et communiqua son enthou¬

siasme et son élan aux membres. Et la so¬

ciété, tel un bateau qui prend l'eau, s'est engagée contre vents et marées dans une croisière qui a duré quarante ans et va continuer son chemin avec le concours de près d'une centaine de membres.

Atelier, stamm, cours

Tout au long de ce périple accompli par la SFPA, chaque comité a cherché des lo¬

caux pour des rencontres et des cours, mais il n'a jamais trouvé une solution dé¬

finitive. Le stamm s'est tenu dans de

nombreux restaurants de la ville, alors Peinture de Louis Macherel.

que des peintres ont même prêté leurs ateliers, mais sans connaître beaucoup de succès. Malgré cette carence, tout a été mis en œuvre pour stimuler les membres. Des cours de dessin, de peintu¬

re, de batik, de gravure, etc., ont été orga¬

nisés par la société elle-même et animés par Albert Fracheboud, Jean Limât, Béatrice Legendre, Bernard Morel et Joseph Demierre. Aujourd'hui, comme par le passé, existe la possibilité de s'ins¬

crire aux cours programmés de l'Ecole d'ingénieurs, de l'Université populaire ou de l'Ecole Migros. De tels cours ont été confiés notamment à Albert Fracheboud, F. Garopesani, Marcel Hayoz, J. Masset, Jean-Pierre Humbert, Pascale Rosset, Jean-Marc Schwaller, M. Baroncelli, Albin Kolly, Paul Simonet, etc.

Comme l'a si bien dit Yoki: «D'instinct, je me dirige vers les peintres qui expri¬

ment une certaine idée du bonheur.»

C'est aussi dans cette voie que la Société fribourgeoise des peintres amateurs envi¬

sage de poursuivre son activité. Le FRILL lui souhaite bon vent.

G. Bourquenoud

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- J& ' Trente peintures accrochées

dans un hôtel

Ce magnifique paysage d'hiver peint par notre compatriote Germain Chassot, qui vit à Hattersheim, en Allemagne, est l'une des trente aquarelles et peintures qui embellissent l'inté¬

rieur de l'Hôtel Brumital, à Unterschächen, dans le Lötschental, où cet artiste peintre glânois passe la plupart de ses vacances avec son épouse Käthi. Fait rarissime, cet établissement est tenu depuis 125 ans par la famille Imholz. Actuellement, c'est la quatrième génération qui l'exploite, alors que la cinquième est disposée à reprendre cet hôtel dans un proche avenir.

G. Bd FRIBOURG ILLUSTRÉ N° 5

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Traditions

PRINGY

Les poyas de Félix Castella racontent la Gruyère et ses traditions

Ë—j élix Castella vient de recevoir le prix du «Maintien des traditions grué- M riennes». Primé pour ses poyas, le peintre de Pringy fait l'unanimité.

Avec sa palette et ses pinceaux, il retrace avec exactitude son coin de pays.

Félix Castella est né à Pringy en 1917. Un petit village de la verte Gruyère, baigné de soleil, où l'on respire l'air pur et la liberté d'un endroit encore

préservé. Enfant d'une famille d'agriculteurs, son chemin est tracé d'avance: travailler la terre, comme son père.

Ce dernier ayant acquis

«la ferme du Creux» en 1931, Félix Castella ne l'a plus jamais quittée.

Il épouse une fille du village et la vie conti¬

nue, au rythme des sai¬

sons. En 1972 il occupe son rare temps libre en peignant divers motifs sur les courroies des sonnailles pour une en¬

treprise de la région.

Son travail original et soigné est rapidement remarqué et, sur les conseils judicieux du conservateur du musée de Bulle, il dessine sa

première poya. Il n'a pas besoin d'aller quérir très loin ses sujets. Devant ses yeux s'offre chaque jour un sublime paysage.

Assis devant la petite fenêtre de la chambre de séjour de sa maison, il reproduit les trois Dents: la Dent de Broc, du Chamois et de Bourgoz. L'artiste ne s'arrête plus de créer et fait preuve d'un talent fou. Ses poyas sont belles, colorées, variées et précises et rendent avec exactitude les plus petits dé¬

tails. Les vaches, noires ou brunes, cou¬

chées ou debout, sont vivantes et fort bien

proportionnées. On sent un coup de crayon tracé avec amour et vérité. Les armaillis aussi sont plus que vrais. Solides et barbus,

Gros plan sur une poya de l'artiste.

ils sont, la plupart du temps, la reproduc¬

tion d'un modèle existant.

Une poya en Amérique

En 1976, le peintre de Pringy connaît le succès. Les poyas de Félix Castella ont la cote et se vendent bien. L'une d'elles s'est même envolée pour San Jose, en Amérique. Ce jour-là, l'artiste a cru à un poisson d'avril. Une commande par télé¬

phone le 1er avril, un rien «farceuse», l'a fait sourire. Mais quelques jours plus tard,

une confirmation et un chèque par écrit ont dissipé tous ses doutes.

Apprécié du public, Félix Castella s'est fait un nom. Mais les belles années sont loin et les gens regardent maintenant à la dépense.

Aujourd'hui, la vie est devenue difficile, les ventes ont chuté. Toutefois, rien n'est venu altérer l'enthousiasme et l'envie de

créer du peintre.

Un prix bien mérité Les années filent vite et Félix Castella com¬

mence à sentir doulou¬

reusement le poids des ans. L'arthrose, enne¬

mie avide et sournoise, est apparue et rend par¬

fois la vie pénible à l'artiste. Mais sa pas¬

sion pour les couleurs est la plus forte. Sa per¬

sévérance et son talent ont été couronnés le 29 novembre dernier par un prix bien mérité, celui du «Maintien des traditions gruérien- nes». Dans sa ferme à Pringy, contre le mur de la petite chambre, la récompense est au¬

jourd'hui accrochée et l'heureux élu y jette souvent un œil, où l'on peut voir briller une étincelle de fierté. La silhouette petite, alerte, un tantinet coquine et un rien vieillissante, Félix Castella est un pur Gruérien. Homme simple, attaché à sa terre et à ses traditions, il n'a de cesse de ra¬

conter les merveilleux paysages de son coin de pays, avec sa palette et ses pin¬

ceaux. D'ailleurs, sa mère le répétait sou¬

vent autrefois: «Il savait dessiner bien avant de savoir lire!»

Marinette Jaquier PHOTO MJ

FRIBOURG ILLUSTRÉ N° 5

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sports

GYMNASTIQUE A AVRY-ROSE

Un spectacle d'une rare beauté

n Suisse, l'histoire M J de la gymnastique a commencé au XIXe siècle.

Celle de la Société de gym¬

nastique féminine d'Avry- Rosé a pris son envol en 1975. A cette époque, ces villages ne possédaient pas de salle, c'est donc à Seedorf qu 'une cinquantai¬

ne de dames se retrouvaient chaque jeudi soir.

En 1978, lors de l'inaugura¬

tion de la salle de gymnastique d'Avry, une première démons¬

tration des dames fut organi¬

sée et le virus était lancé. La même année, un groupe mères-enfants ainsi qu'un groupe seniors vinrent grossir les rangs. En 1980 ce fut au tour de la section pupillettes et actives juniors de venir fer¬

mer la boucle. Affiliée à la Fédération fribourgeoise de gymnastique, cette société fé¬

minine a réussi à maintenir le cap et regarde même l'avenir avec sérénité. Par son activité et surtout le bien qu'apporte le sport à tous ses membres, elle favorise en plus la compréhen¬

sion mutuelle et contribue au développement physique et in¬

tellectuel de la jeunesse.

La gymnastique féminine d'aujourd'hui vise avant tout à l'esthétique, ce qui en fait le premier sport féminin. Ainsi conçue, elle requiert et déve¬

loppe de la part de ses prati¬

quantes des qualités spécifi¬

quement féminines: grâce, beauté du geste, sens du ryth-

Au tour des garçons de démontrer leurs talents.

Ligne et élégance grâce à la gym!

me. L'imposition récente de la musique pour les exercices au sol en accentue le caractère artistique. La technique de l'élan a, elle aussi, permis d'introduire plus d'harmonie, d'élégance et de virtuosité dans les exercices tant fémi¬

nins que masculins, comme nous l'avons constaté et appré¬

cié lors du spectacle présenté récemment par la Société de gymnastique féminine d'Avry- Rosé qui fêtait ses quatre lustres d'existence et d'activi¬

té. Un programme très réussi et applaudi par un très nom¬

breux public qui a ainsi expri¬

mé sa reconnaissance au comi¬

té que préside Micheline Luy, aux monitrices et moniteurs pour leur dynamisme et leur inlassable dévouement.

Texte et photos: G. Bd

FRIBOURG ILLUSTRE N° 5

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Les sports

TIR FEDERAL EN CAMPAGNE AU HAUT-VULLY

Une manifestation qui reunira

quelque 2000 tireurs

Jeu des foulards pour les filles.

Gymnastique mères-enfants.

Les yeux rivés sur les exercices gymniques.

Verra-t-on une telle image dans le Haut-Vully?

A venchois et Lacois se rencontreront du 31 mai au 2 juin dans le beau village de Lugnorre pour le Tir fédéral en campagne, dont l'organisation a été confiée

cette année à la Société des carabiniers du Haut-Vully.

Le concept de cette manifesta¬

tion, à laquelle participeront quelque 1700 tireurs de la Fédération du district du Lac et 300 du district d'Avenches, a été présenté récemment à la presse par Fred Maeder, prési¬

dent du CO; Hans Etter, prési¬

dent des tireurs du Lac; et Maurice Kolb, président des tireurs du district d'Avenches.

Grâce à une parfaite entente entre Vaudois et Fribourgeois, ceux-ci iront ensemble griller

leurs cartouches sur le belvé¬

dère du lac de Morat. Eric Simonet, syndic de la commu¬

ne du Haut-Vully, a qualifié cette manifestation de «prélu¬

de à l'Expo 2001», du fait qu'elle suscite un enthousias¬

me extraordinaire dans cette région où les organisateurs ont déjà recruté 225 personnes sur les 300 bénévoles qui sont in¬

dispensables pour assurer son bon déroulement.

G. Bd FRIBOURG ILLUSTRÉ N° 5

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GIRATOIRE

Procédé moderne de gestion du trafic

Les carrefours giratoires se multiplient depuis quelques années dans le can¬

ton de Fribourg, en particulier dans le chef-lieu de la Gruyère, mais aussi en Suisse romande. Leur séduction atteint non seulement les villes, mais égale¬

ment les villages. Et pour quelle raison ? Parce qu 'ils permettent une circulation plus fluide, un trafic ralenti et une plus grande sécurité. Ce qui est encore plus étonnant, c'est que plus rien n 'arrête la prolifération des ces giratoires que l'on nomme aussi anneaux d'asphalte.

Le double giratoire de Moncor, à Villars-sur-Glâne, est une parfaite réussite et facilite le trafic dans tous les sens.

En 1980, la Suisse ne comptait qu'une vingtaine de giratoires, ce nombre est passé l'an dernier à plus de cinq cents. Et ces nouveaux carrefours à priorité de gauche continuent de séduire les com¬

munes, alors même que les caisses pu¬

bliques se vident. Et ce qui est le plus frappant, c'est que pour rien au monde la ville de Bulle n'a voulu renoncer à la réalisation de son plan de circulation qui a pour but de remplacer tous les carre¬

fours à feux par des giratoires. A l'heure actuelle, ils sont presque tous réalisés, soit plus d'une vingtaine au prix de 200 000 francs chacun. Cette commune fribourgeoise a donc déboursé plus de quatre millions de francs pour les gira¬

toires.

Il faut aussi avouer que la configuration de la ville se prête bien à ce mode de ges¬

tion du trafic. La plupart de ces giratoires ont été aménagés avec des traverses de chemin de fer et embellis de fleurs du¬

rant la saison estivale.

D'autre part, la construction d'un gira¬

toire coûte plus cher à l'investissement que la simple installation de feux. Les carrefours circulaires exigent fréquem¬

ment une modification ou une transfor¬

mation de la configuration des lieux, d'où la nécessité de travaux de génie civil. A l'entretien, en revanche, les feux reviennent beaucoup plus cher que les giratoires.

Construits aux entrées des villes, les car¬

refours circulaires doivent rappeler, dans la pensée des ingénieurs, les portes des temps jadis, marquant la limite du milieu

urbain. A l'intérieur des localités, les an¬

neaux d'asphalte obligent l'automobilis¬

te à un effort de réflexion, ce qui le contraint à infléchir sa trajectoire, donc de ralentir. Les accidents sont aussi moins nombreux et moins graves. Le double giratoire de Moncor, à Villars- sur-Glâne, par exemple, figure parmi les lieux sûrs des carrefours à grand trafic.

Malgré une complication apparente, ces deux cercles tangents au point de ren¬

contre de quatre routes importantes faci¬

litent grandement la circulation dans tous les sens. Un giratoire ne peut deve¬

nir dangereux que s'il est mal réalisé et qu'il tient davantage de l'ellipse que du cercle.

Ce nouveau procédé moderne de gestion

du trafic n'a pu se généraliser en Suisse avant l'abolition d'un tabou, la sacro- sainte priorité de droite. Appliquée dans les carrefours circulaires, celle-ci conduit à l'autoblocage du système. Ce sont les Anglais qui, les premiers, ont compris qu'il fallait donné la priorité aux

voitures engagées dans l'anneau.

Aujourd'hui, le giratoire n'a pas seule¬

ment pour but de rendre le trafic plus fluide, mais également d'en modérer la vitesse. Des calculs effectués en Suisse ont démontré que l'aménagement d'un carrefour circulaire avait totalement modifié le comportement d'un grand nombre d'automobilistes. Ceux-ci sont à l'heure actuelle 85% à respecter la limi¬

tation de vitesse à 50 km/heure, alors qu'ils n'étaient que 22% auparavant.

Plus efficace que la répression, le gira¬

toire a pour effet, semble-t-il, de trans¬

former le conducteur en gentleman res¬

ponsable!

Texte et photo: G. Bourquenoud FRIBOURG ILLUSTRÉ N° 5 27

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Salon de l'auto

L'entretien de votre véhicule

Gardez votre voiture jeune et jolie plus longtemps c 'est pos¬

sible, il suffit de prendre quelques précautions.

Prenez donc le temps de vous occuper de votre véhicule, pour cela planifiez tout d'abord dans votre emploi du temps une demi-journée, voire une journée complète pour «remettre à neuf» votre voiture.

Préliminaire

LE LAVAGE. Avant d'entamer les quel¬

ques petites répara¬

tions prévues, vous devez laver votre voi¬

ture à grande eau pour éliminer toutes les sa¬

letés.

Un conseil: optez plu¬

tôt pour un lavage à haute pression, c'est le seul outil vraiment efficace. Rincez abon¬

damment les parties comme le châssis, le berceau avant et le bas moteur, ainsi que les passages de roues.

Pour nettoyer votre carrosserie, préférez

un lavage manuel. Mouillez abondam¬

ment votre voiture puis utilisez une épon¬

ge propre et douce accompagnée d'un shampooing auto. Faites attention aux vieilles éponges qui peuvent être char¬

gées de poussière et qui rayeraient la car¬

rosserie. Puis rincez et séchez correcte¬

ment la carrosserie et appliquez un lustreur doux pour éliminer l'oxydation de la peinture. Si vous le souhaitez, vous pouvez apporter une touche finale à ce la¬

vage en appliquant une couche de cire...

Les impératifs

LES NIVEAUX. Votre voiture, vous l'utilisez régulièrement et vous ne prenez jamais le temps de vérifier les niveaux...

Soulevez le capot, tirez la jauge d'huile, le moteur doit être froid. Le niveau d'huile de votre moteur doit se situer entre les deux repères, de préférence vers le maximum. Regardez également le li¬

quide de refroidissement, faites l'appoint si nécessaire de liquide. S'il présente un aspect brunâtre, il faut prévoir son rem¬

placement lors de la prochaine révision.

Surveillez également le liquide de frein.

Le niveau ne doit pas être en dessous du minimum. Si le niveau est proche du mi¬

nimum, cela signifie que les plaquettes devront être changées rapidement. Il fau¬

dra le signaler à votre garagiste lors de votre prochaine visite. Si ce dernier est en dessous, complétez-le et surveillez son évolution, car s'il y a une fuite, il se peut que vous perdiez le liquide et que vous n'ayez plus de freins! Le dernier niveau à vérifier est celui de la batterie. Le liquide de cette dernière doit se situer au-dessus des éléments. Si ce n'est pas le cas, com¬

plétez avec de l'eau distillée.

LES PNEUS. Cherchez les coupures ou les hernies qui se sont formées sur les

pneus. Très souvent ces défauts ne peu¬

vent être réparés, il faut remplacer le pneu endommagé. Vérifiez l'épaisseur des sculptures. La loi autorise une profondeur minimale de 1,6 mm, mais la météo n'étant pas très bonne en automne comme en hiver, il faut être prudent. Dernière vé¬

rification: la pression. Vérifiez la pres¬

sion lorsque le pneu est froid.

LES ESSUIE-GLACES. Les raclettes des essuie-glaces sont pé¬

rissables et il faut donc les remplacer avant qu'elles n'aient rendu l'âme. Vérifiez égale¬

ment le niveau du ré¬

servoir de lave-glace.

LA ROUILLE. La peinture des pare- chocs, des ailes et du capot souffre particu¬

lièrement des gra¬

villons qui sautent sur les voitures. Si vous ne faites pas attention, les petits éclats se trans¬

forment vite en points de rouille qui finissent en corrosion. Une fois installée, la rouille prolifère rapidement.

Si l'éclat est récent, recouvrez-le à l'aide d'un pinceau-retouche. Si l'éclat est plus important, utilisez un mastic de finition pour reboucher. Si par contre la rouille a eu le temps de s'installer, vous devez uti¬

liser un produit antirouille.

Surtout n'escamotez pas cet entretien, prenez le temps pour le faire. Ne comptez pas sur votre garagiste pour qu'il fasse ces réparations sans que vous ne le lui de¬

mandiez. De plus, gare à la facture qu'il vous soumettrait... Entretenez votre voi¬

ture et elle vous le rendra...

© Multi-Ad Services Europe

FRIBOURG ILLUSTRÉ N° 5 Ht

(12)

Salon de l'auto

LE MARCHE DE L'ELECTROMOBILE PREND DE L'AMPLEUR

Batterie miracle et percée suédoise m meux importants projets de développement de la voiture électrique ont été

engagés simultanément ces jours-ci: l'utilisation en usage quotidien d'une batterie zinc-air très prometteuse à Brème et la mise en place d'un concept de marketing visant à accélérer l'avènement de l'électromobile en Suède.

Renault Clio électrique.

«Les batteries zinc-air produiront de superper¬

formances!» Josef Jäger, de la société saint- galloise Larag, est passionné par le système énergétique israélien que les postes alle¬

mandes s'apprêtent à tester avec 64 véhicules en trafic urbain. A la demande de Mercedes- Benz, Larag a modifié à cet effet le mode de traction de vingt voitures.

Le comportement des nouvelles batteries est impressionnant. En comparaison des tradition¬

nels systèmes à plomb, elles parviennent, à poids égal, à stocker près de sept fois plus d'énergie. Cette densité énergétique excep¬

tionnelle offre notamment de meilleures accé¬

lérations. Les accumulateurs sont peu encom¬

brants et légers. Et ils permettent de parcourir des distances de l'ordre de 300 kilomètres avant recharge.

En revanche, les batteries zinc-air ne peuvent être simplement branchées sur une prise élec¬

trique normale. Les agrégats doivent être reti¬

rés du véhicules et placés dans une installation

PHOTO ASVER spéciale. Ils peuvent être rechargés autant de fois que l'on veut sans produire de déchets.

Pour le moment, ces batteries ne se prêtent

donc pas à la traction de véhicules particuliers.

Seuls les services municipaux de Brème dispo¬

sent des installations de recharge.

Il fallait donc concevoir des véhicules d'essai avec la capacité de changer rapidement les agrégats de batterie. Cette condition fut un vé¬

ritable défi pour les techniciens chargés de ré¬

équiper les véhicules Larag. Cette commande d'Allemagne confirme que les pionniers suisses de l'électromobile figurent toujours dans le peloton de tête mondial.

Malgré leurs faiblesses clairement identifiées, notamment en matière de batteries, les véhi¬

cules électriques sont désormais considérés en Suède comme mûrs pour leur introduction à plus grande échelle sur le marché. C'est ainsi qu'un premier groupe d'acheteurs représentant 35 entreprises du pays a passé une commande de 150 Clio électriques.

Des mesures de promotion ciblées et des cam¬

pagnes d'information réalisées par les pou¬

voirs publics devraient entraîner d'autres commandes comparables. Les responsables suédois ont l'ambition de faire rouler 250 000 électromobiles sur les routes du pays d'ici l'an 2010.

Suzanne Wegmann

SALON INTERNATIONAL DE L'AUTOMOBILE

Palexpo - Genève, du 7 au 17 mars 1996

Le 66e Salon international de l'automobile de Genève présentera cette année quelque 1041 marques en provenance de 36 pays, sur une surface de 90 000 m2. Près de nonante nouveautés mondiales et européennes sont annoncées à cette exposition qui dispose d'un parking d'un millier de places. «La voiture, c'est vous», tel est le thème choisi pour le Salon 96 qui sera ouvert les 7, 8,9, 11, 13, 14 et 16 mars de 9 h à 19 h, les 12 et 15 mars de 9 h à 22 h, les 10 et 17 mars de 8 h à 19 h.

Il est d'autre part intéressant de savoir que 20 834 voitures neuves ont été mises en circulation dans notre pays en janvier 1996, soit 15,8% de moins que durant le même mois en 1995.

FRIBOURG ILLUSTRE N° 5

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Curiosités

La «Jeanperrin»: première voiture du Val-de-Travers

Louis Jeanperrin avait fondé sa propre marque automobile vers 1890 à Glay, petit village du pays de Montbéliard, situé près de la frontière suisse. Dix ans plus tard, l'usine occupait une cen¬

taine d'ouvriers. La marque fut ensuite présentée à Paris lors de l'Exposition universel¬

le de 1900 et avait reçu, la même année, la médaille d'or des constructeurs de l'Ex¬

position internationale de Porrentruy. Avec le décès de Louis Jeanperrin en 1905, à l'âge de 48 ans, la fabrication fut suspendue, puis l'usine ferma ses portes en 1909.

Trois voitures de cette marque ont survécu: l'une est au Musée Gianada à Martigny, une autre aux USA et celle que nous voyons sur cette photo avait été vendue au dentiste Jeanneret de Fleurier. Sa fa-

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mille a fait don de cette auto¬

mobile au Musée régional du Val-de-Travers. En 1959 elle fit le voyage jusqu'à Glay, où elle étonna les habitants et ra¬

viva les souvenirs des anciens.

Elle est actuellement exposée au Musée de l'automobile à Muriaux, dans le canton du Jura.

G. Bd Quelle évolution en un siècle!

Fiche technique Origine: Glay

Année: 1897 Moteur: monocylindre

Cylindrée: 1330 cm3 Puissance: 6 CV

Poids: 420 kg Vitesse: 25 km/h Frein sur une roue

PHOTO G. BD

w

FRIBOURG ILLUSTRÉ N° 5

(14)

jeux N°5 concouts

Miniquiz

Cinq questions pour tester vos connaissances générales. Des trois réponses qui vous sont pro¬

posées, deux sont fausses.

Choisissez la bonne!

1. En quelle année fut inventé le timbre-poste par l'Anglais Chal¬

mers?

a 1820 □ 1840 □ 1860 2. Quel est le prénom du héros du

roman d'Alain-Fournier «Le Grand Meaulnes»?

Histoire en pointillés

D Augustin

□ Célestin

□ Martin

3. Combien de fois les hommes ont-ils visité la lune?

O 5 fois □ 6 fois □ 7 fois 4. Quel est le plus grand des

océans?

□ L'océan Indien

□ L'océan Pacifique D L'océan Atlantique

5. Dans quel pays le golf a-t-il été inventé?

□ Canada □ Australie

□ Ecosse

plan • théâtre - 110 - entourant - entre - comme - urbain - des - pâtés - 40 - amphi¬

théâtre • Augst - artisanat • (Insulae) - maisons

• forum - damier - construite - mètres - angles - peu - autres - rues - possède - occupés - du - plus - officielles - découpant - thermes Remplacez les pointillés par les bons mots

plochés dans la liste ci-contre.

L'urbanisation de l'Helvétie: Avenches (3) (Tiré du livre «Histoire de la Suisse, Editions Fragnière SA) Avenches Nyon et est sur un en Ses se croisent à droits ainsi de .... «quartiers» d'environ 70 sur Certains d' eux sont par des de : habitation commerce; d' par constructions : temples, bâtiments le Un à l'écart centre Avenches son et son

Armoiries communales:

les connaissez-vous?

Cochez la case qui correspond à la commune représentée ci-contre par son armoirie.

□ Delley

□ Chésopelloz

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Les meilleures réponses seront tirées au sort.

Nom:

Prénom:

Adresse:

Localité:

Tout le monde peut participer en retournant la page de jeux à:

«Concours FRILL», Case postale 331, 1701 Fribourg. Délai d'envoi: 18.3.96.

Chaque fois une lettre Pour aller de FORT à TURC, il vous suffit de changer chaque fois une lettre au mot précé¬

dent.

F O R T

E

T U R C

La devinette du jour:

- Pourquoi les diplomates doivent-ils faire preuve de souplesse?

- Parce que la détente est de leur ressort.

La lettre mystère Remplacez le point d'in¬

terrogation par une let¬

tre, de manière à com¬

pléter chaque mot. Ex.

TRA7UE devient TRAQUE et TRAPUE.

1. VO?E (4 sol.)

2. FRANC7IS (2 sol.)

3. PA7SAGE (3 sol.)

4. PAR70 (1 sol.) 5. LAN7E (3 sol.)

(15)

Des ballons plein le ciel

et une station fourmillante de monde Entre terre et ciel

Vue partielle de cette manifestation.

Avec un soleil omniprésent, une température agréable et des di¬

zaines de milliers de curieux, la 18e Semaine de ballons à air chaud de Château-d'Oex a connu un succès inespéré. En effet, le premier week- end, alors que la neige faisait défaut dans la majorité des stations d'hiver, le public a quitté le brouillard de la plaine pour aller se distraire dans le

Pays-d'Enhaut.

Le nouveau ballon Château-d'Oex prenant son envol.

Les adultes comme les gosses, très nom¬

breux cette année, avaient les yeux rivés sur des ballons aux formes spectaculaires telles que l'aigle, la tête de renard, le verre de bière, la loco à vapeur, le bidon d'huile, l'hôtel volant et bien d'autres qui ont fait l'attraction de gens venus de tous les coins de la Suisse. A provoquer des fris¬

sons chez quelques personnes âgées qui se posaient la question de savoir comment ces objets pouvaient se dandiner dans le ciel. Un spectacle extraordinaire qui a eu pour effet d'amuser beaucoup de monde

Depuis un quart de siècle qu'il ne fait que bourlinguer dans toute la Suisse, Ted Robert était, lui aussi, à la 18e Semaine de ballons à air chaud de Château-d'Oex, non pas pour s'offrir un voyage dans les airs, mais pour gagner son pain quotidien.

Avec sa guitare sous le bras et son petit toutou qui l'accompagne partout, il a animé pendant quelques jours les établis¬

sements publics et distrait en chansons les hôtes de la station vaudoise. L'objectif du FRILL l'a saisi sur le vif alors qu'il chan¬

tait dans un estaminet du Pays-d'Enhaut.

G. Bd

durant une semaine, grâce à une météo qui, cette année, a été favorable au bon dé¬

roulement de cette manifestation.

Texte et photos: G. Bd

Ted Robert et sa guitare.

Ted Robert, le bourlingueur

FRIBOURG ILLUSTRÉ N° 5

(16)

Le monde animal

Le grand sommeil Rendre l'hiver supportable

a

Deux ours à l'heure du bain, un jour d'été.

PHOTO PETER WEIBEL ÉDITIONS ANIMAN, LAUSANNE I-Yasser sept mois sans manger n 'est pas une perspective qui enchanterait

A. tout le monde. Pourtant, l'ours noir le fait chaque année, narguant les tourments de la faim en dormant. Plus incroyable encore, les femelles mettent bas pendant leur long sommeil.

Les ours hibernent afin de survivre quand l'eau et la nourriture sont rares. Ils se prépa¬

rent pour ce long repos en mangeant beau¬

coup, ce qui augmente leur poids initial de quelque 45 kg.

Puis ils cherchent un gîte. Parfois, c'est une caverne; sinon un terrier qu'ils se creusent ou même un tronc creux font l'affaire. (Les ours n'utilisent jamais deux fois le même gîte.) A l'intérieur, ils s'aménagent un lit de feuilles, de mousse, d'herbes et de mor¬

ceaux d'écorce. En automne, les ours pas¬

sent de plus en plus de temps à dormir, et en hiver, quand la température descend en des¬

sous de zéro, ils sommeillent souvent pen¬

dant plusieurs semaines.

Pendant l'hibernation, les ours perdent l'ex¬

cédent de poids qu'ils ont pris en automne.

Leur système digestif s'arrête et ils se nour¬

rissent des réserves de graisse qu'ils ont ac¬

cumulées. Sans que l'on sache bien com¬

ment, ils transforment les déchets que produit leur corps en protéines qui entre¬

tiennent leurs tissus musculaires.

Le corps des ours parvient aussi à faire face à l'énorme quantité de cholestérol qui s'ac¬

cumule pendant l'hibernation. Un homme souffrirait d'un durcissement des artères ou de calculs biliaires; mais l'ours ne semble pas en être affecté.

D'après une légende des Indiens du Clan des Ours du Winneba-go, les ours survivent pendant l'hibernation en suçant leurs pieds.

En été, ils écrasent sous leurs pattes toutes sortes de baies dont ils utilisent les prin¬

cipes vitaux en hiver.

Le train de la vie

Le pouls normal de l'ours, qui est de 80 bat¬

tements par minute, passe alors à 8. Grâce à son épaisse fourrure, la température de son corps ne baisse que de quelques degrés. Son sommeil est très léger, la moindre perturba¬

tion le réveille.

La naissance des oursons dérange à peine la femelle. Elle met bas en janvier ou février une portée de deux ou trois petits pas plus gros qu'un rat. Les oursons pèsent alors moins de 500 grammes, n'ont pas de poils et se nourrissent tout seuls du lait de leur mère qui dort. Au printemps, ils pèsent déjà 4 kg.

Comment fait l'ours pour savoir qu'il est temps de se préparer à l'hibernation? Il semblerait que son corps émet une substan¬

ce hormonale qui contrôle ses fonctions. Le raccourcissement des jours, la plus grande rareté de la nourriture et les changements de temps déclenchent-ils l'hibernation? Voilà qui demeure un intrigant mystère.

FRIBOURG ILLUSTRE N° 5

(17)

Humour _ /

Si vous voulez bien patienier deux ou trois heures et je suis à vous...

Prison pour femmes

Comme je disais avant d'être interrompue par ces policiers..

Il était le même dans la vie, jamais sérieux.

/•W-J-"

Maman, quand je parlais d'un dix vitesses..

Il est sûr que les accidents qui m'ont permis de les récupérer ne sont pas le fruit du hasard...

4>

Q. O

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FRIBOURG ILLUSTRÉ N° 5

(18)

Eglise

SERVICE AUDIO-VISUEL CINÉDIA

Un engagement tous azimuts

Cy est au mois de février dernier, lors des journées «Portes ouvertes» au Centre diocésain de Villars-sur-Glâne, que le Service audio-visuel Cinédia (SAD) a fêté ses vingt ans d'existence. Une manifestation qui était honorée par Mgr Amédée Grab, évêque du diocèse de Lausanne, Genève et Fribourg, et des délégués des cantons romands.

Mgr Amédée Grab, évêque du diocèse. A gauche, Léon Mauron, l'un des pionniers de Cinédia.

Un anniversaire qui a d'autre part été mar¬

qué par la parution du 300e numéro de la revue Cinéma, éditée depuis quinze ans par l'Office protestant, Cinédia et Ciné- Feuilles. Au fil de ces années, des milliers de films ont été analysés pour que le ciné¬

ma puisse apporter sa contribution dans la défense et la promotion des valeurs hu¬

maines fondamentales.

C'est autour de l'abbé Léon Mauron, pré¬

sent à cette cérémonie du 20e anniversai¬

re, qu'en février 1976 une équipe fondait officiellement le SAD, devenu par la suite le Service interdiocésain audio-visuel (SIDAV), lequel a fusionné il y a cinq ans avec l'Office catholique du cinéma pour donner naissance à Cinédia. Ces orga¬

nismes ont comme objectifs principaux la création artistique, la communication, le dialogue entre les différentes cultures et philosophies.

Texte et photos: G. Bd

Des délégués des cantons de Vaud et du Jura.

PmOURBÊ Fondé en 1945

Route de la Glâne 31 1701 Fribourg

Revue bimensuelle d'information et d'ac¬

tualité paraissant le premier et le troisième vendredi de chaque mois. Organe officiel de l'Association Joseph Bovet et des Fribourgeois «hors les murs».

Rédaction et administration:

Route de la Glâne 31

Case postale 331 - 1701 Fribourg Tél. 037/82 25 25

Téléfax 037/24 32 44 Rédacteur en chef:

Gérard Bourquenoud Correspondantes:

Valentine Jaquier Marinette Jaquier Marinette Grandjean Paul Teka-Grandjean Albert Bovigny Jacqueline de Saint-Bon Félix Briilhart

Service des abonnements:

Patricia Barras

Abonnements 1996 (TVA incluse):

Annuel: Fr. 79.50 Semestriel: Fr. 40.50 Etranger: Fr. 91.50 Par avion: Fr. 117.- Vente au numéro: Fr. 3.70 CCP 17-2851-7

Tirage: 6500 exemplaires Editeur:

Imprimerie Fragnière SA

Route de la Glâne 31 - 1701 Fribourg Publicité:

Daniel Brodard

Responsable et conseiller en publicité Route de la Glâne 31 - 1701 Fribourg Tél. 037/82 25 25 - Privé 029/2 74 42 Alice Roulin

1835 Montbovon - Tél. 029/8 19 18 Danielle Chassot

1732 Arconciel - Tél. 037/33 26 33 Délai de réception des annonces:

15 jours avant la parution

La reproduction de textes ou d'illustrations ne peut se faire qu'avec l'autorisation de la rédaction. Celle-ci n'assume aucune res¬

ponsabilité concernant les manuscrits et photos non commandés.

FRIBOURG ILLUSTRÉ N° 5

(19)

Théâtre

URS Y

La jeunesse paroissiale a joué la carte de la comédie policière

y y oum, boum,

>> * * boum.» Les trois coups résonnent dans la salle paroissiale d'Ursy, pleine à craquer. La Société de jeu¬

nesse est prête pour son théâtre. Elle interprète une comédie policière intitulée

«A vous de juger». Pour sor¬

tir du traditionnel vaudevil¬

le, elle a choisi, cette année, cette pièce en deux actes écrite dans les années 90 par S-H Nati et Jacques Thareau.

Avec au menu: intrigue, sus¬

pense et humour.

Carte difficile

En changeant de répertoire,

La troupe au complet.

les acteurs amateurs ont joué la carte difficile de la nou¬

veauté. Dommage! Les piè¬

ces des années précédentes étaient plus divertissantes et

humoristiques. Il y eut cette fois-ci des moments assez longs où le spectateur parais¬

sait s'ennuyer. Espérons simplement que pour l'an

prochain la troupe reviendra à la comédie de boulevard, toujours plaisante et bien ac¬

cueillie. En rappelant toute¬

fois que la jeunesse parois¬

siale d'Ursy a le grand mérite d'organiser chaque année un spectacle pour dis¬

traire la population.

Un final très original a clos la soirée. La troupe au com¬

plet a chanté le générique, style comédie musicale, avant que le grand rideau écarlate ne retombe sous les applaudissements des spec¬

tateurs.

Marinette Jaquier

Du charme

et un talent caché

Faut-il être comédienne pour jouer les pasquins ou le jeu de deux commères dans une fête de famille? Pas nécessairement, nous ont dit Marinette et Virginie qui, ensemble, forment un duo déjà très doué qui cherche à éclabousser les plaisanteries d'un Verdurin.

Glissant vers la fantaisie ou un délirant pastiche, toutes deux rivalisent de talent et de charme pour injecter dans leurs farces cet humour satirique plus que dramatique. Tels des cancans sur un fil de rasoir.

Leurs broutilles et leurs blagues sur l'avenir, l'amour et le bon¬

heur d'un couple, le dernier lapin lapin, en vérité un farfadet tombé d'une autre planète pour sauver la nôtre. Un peu nunuche sur les bords, mais très sympa, ce duo a du je-ne-sais-quoi dans les veines!

Dans leur rôle de commères, elles abusent parfois de l'humaine tendresse de chacun et chacune, elles n'hésitent pas à forcer la dose pour les plus susceptibles, de les faire tomber dans le pan-

Ecoute-moi bien Virginie: un coup de rouge n'a jamais fait de mal à per¬

sonne!

neau, même si vous avez pris la précaution de croquer un sucre d'orge à l'entracte pour conserver votre âme sur le chemin du paradis!

Gibelin

U

FRIBOURG ILLUSTRÉ N° 5

(20)

| Sur le vif

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(21)

Le patê d'intche-no

Gino - On tsin ke ne chè dèmorâvè pâ a kore

apri lè raté

y y m -g-ino» irè on tsin pâ kemin lè j'ôtro, l'a tyè a dèmandû a chon

^ Vw-/ mètre, le garde Robert Kotin. L'è Ii ke li a aprê prà dè tsoujè:

kemin fayi vèyi, dzoure, achoroyi, pâ dzapâ po pâ chè fére a dèkrouvâ, chiêdre di trachè ou nâ, chayi du dèjo on tsiron dè chinyon onfuji, mimamin di bithè tyâyè pè on brakonyé è katchiè lé dèjo, po pâ chè fére a prindre, alâ portâ a la méjon na biyôta avoui on mèchâdzo, rètrovâ on chindê din la né...

L'i a dza prà dè j'an ke «Gino» l'è modâ po le paradi di tsin, ma inke bâ on moujè adi a li è a to chin ke l'a fê.

Po rapalâ ti hou chovinyi vèku avoui

«Gino», Robert l'a èkri on lêvro in franché ke l'è a non:

«Quand la nature vous parle»

To chin ke l'è kontâ din chi lêvro chè pachâ ou payi di renâ è di tsamo, din lè dzà, din lè patchi, din lè pêru è lè koyà, chu lè frithè di vani, achebin le tsôtin tyè l'evê è pê ti lè tin. Po vo bayi oun'idé dou travô dè «Gino», l'é moujâ dè vo tranchlatâ in patê ouna pâdze dou lêvro a Kotin: «Kan fô chè mèfyâ di lèvantsè».

«On dzoua ke dutrè dè no no tsèrtchi- van di brakonyé, ke no moujâvan in trin dè rapèrtchi on dêri tsamo, dèvan la grôcha nê, no chin arouvâ din on tsalè yô chè trovâvan dou j'omo, di brakonyé dè rènon, ke no konyechan du grantin. Bin chur ke n'avan rin dè bithè è rin dè fuji avoui là, adon, rin dè pràvè. Ma, in rèmodin du lé avoui on dè là, li é mothrâ lè trachè dè chè botè ke chè diridjivan in'amon. Chu montâ dè ha pâ avoui mon tsin, ma l'omo l'a rèfoujâ dè mè chiêdre. L'è adon ke no j'an rètrovâ di trachè dè chan d'ouna bithe byochia. On tro pye yin, in'amon, na tropa dè tsamo adi

tot'èpouéri è hô chu la fritha, la bithe byochia ke vanâvè in tsanbotin.

L'è adon ke l'é dèchidâ dè rèdèchindre ou tsalè d'avô, yô mè j'èmi m'atindan.

Lou j'é dèmandâ yô k'iran lè dou bra¬

konyé. M'an répondu ke l'avan rèko- nyu k'iran a la brakone è ke l'è j'avan léchi modâ. Le lindèman matin, no dè- chidin dè rèmontâ chu ha fritha, tsèr- tchi apri lè fuji k'iran prou chur katchi lé d'amon. In'arouvin ou déchu, l'avé

Rèchponchâbyo dè ha pâdze:

Albert Bovigny

Rte de Schiffenen 15, 1700 Fribourg

rèmarkâ ke la nê irè j'ou troupâye to pri d'on'achokrê dêri la fritha. Du lé, l'é dèmandâ a «Gino» dè tsèrtchi:

«cherche Gino». On'oujâvè pâ fére la mindra chèta. Avoui tota ha nê frètse k'irè tsejête fayi chè bayi a chyin dè pâ fére èmodâ na lèvantsè. L'è pâ j'ou bin grantin, on tro d'avô dè l'achokrê, le tsin chè betâ a gratâ prèvon din la nê è l'a rèchayê on fuji dè tsathe. No chin rèdèchindu avoui na bala pràva din lè man. Ma no mankâvè onkor'on fuji.

Kotyè mê pye tâ, kan le furi mothrâvè chon nâ, «Gino» trovâvè on tro pye yin on chèkon fuji.

Ti lè kou ke «Gino» l'avi fê on bon travô le rèmèrhyâvo avoui on bon mochi dè tsê, kotyè kou li bayivo mi¬

mamin chin ke ma fèna l'avi inkotyi po mon goutâ.

La tyinta brâva bithe, li mankâvè tyè la parola.»

Che vo vo j'intèrèchidè a chi bi lêvro, vo j'i tyè a tèlèfonâ a Robert Cotting, Bi l'Adrey, 1724 Ferpicloz.

Albert Bovigny

~E

FRIBOURG ILLUSTRÉ N° 5

(22)

L'invité du Frill

IL DEMOLIT DES VOITURES POUR UNE CAUSE HUMANITAIRE

François Gaillard, profession cascadeur

Aux antipodes des superbes véhicules brillant de tous leurs chromes, expo¬

sés, sous les feux des projecteurs du Salon de l'auto, à la convoitise du chaland, les épaves des voitures qui ont fait leur temps attendent la presse libé¬

ratrice qui les transformera en cubes de ferraille. Ainsi le veut la société de consommation. Pourtant, certaines de ces bagnoles pas trop rouillées, au moteur ronronnant encore vaillamment malgré le kilométrage élevé qui les pénalise vis-à-vis de l'Argus, suscitent la convoitise de François Gaillard, 40 ans, Corçallin, cascadeur. Certains bichonnent leur voiture; lui, il assène le coup de grâce aux autos à bout de souffle dans de spectaculaires «crash» qu 'il met en scène. Récemment, sur la place des Tireurs à la cible, à Payerne, il a exé¬

cuté une cascade inédite pour remplir les tirelires des Cartons du cœur, organi¬

sation caritative qui vient en aide aux démunis de la région.

Rencontre avec ce personnage sympathique et généreux.

mais j'ai bénéficié de l'expérience et des conseils d'un autre cascadeur, Jim Starck, que j'avais connu à Corcelles lors d'une représentation. Il m'a invité à le rejoindre en Autriche et c'est ce que j'ai fait, à l'âge de 18 ans. J'ai pu ainsi apprendre toutes les ficelles du métier, c'est-à-dire comment choisir les véhicules, les préparer, poser les harnais de sécurité. J'ai aussi appris les trucages pour le cinéma, ainsi que les emplacements des caméras pour FRILL - François Gaillard, votre

cascade du dimanche 4 février der¬

nier a fait la une des médias de Romandie, d'outre-Sarine et même de l'Hexagone. En quoi était-elle inédite?

F. Gaillard - Il s'agissait d'un crash à l'américaine, cascade tout à fait bana¬

le et que j'ai accomplie à plus de deux cents reprises au cours de ma carrière.

L'innovation et le risque supplémen¬

taire, c'était d'y associer un groupe de cracheurs de feu payernois, les Hell's Dragons, qui ont eu pour mission d'embraser le véhicule que je pilotais, à l'instant précis où je percute l'obs¬

tacle, en l'occurrence une voiture per¬

pendiculaire à ma trajectoire. La diffi¬

culté majeure consistait à «viser», à 80 km/h, entre les cracheurs de feu sis de part et d'autre du tremplin et à conduire avec le dossier du siège en position complètement couchée. De plus, avec un casque intégral sur la tête et un harnais de sécurité, la marge de vision est réduite de 50%. Mais je n'avais pas le droit à l'erreur, car je ne risquais pas seulement ma peau, mais

v

Crash du 4 février dernier.

celle des cracheurs de feu. Un centi¬

mètre d'écart et c'était la catastrophe.

- Vous êtes cascadeur professionnel.

Comment peut-on exercer cette profession en Suisse? Y a-t-il des écoles de cascade?

- En Suisse, il n'existe aucune école de ce type. Je suis un autodidacte,

PHOTO M. DUPERRE1X les prises de vues. En résumé, il n'y a pas d'école de cascade voiture mais, en France par exemple, on peut suivre des cours pour apprendre à tomber de cheval, entre autres.

- A quels genres de films avez-vous pris part?

- Des téléfilms pour les télévisions au- FRIBOURG ILLUSTRÉ N° 5

(23)

L'invité du Frill

trichienne et allemande, des spots pu¬

blicitaires pour le port de la ceinture de sécurité parrainés par le Touring- Club allemand. Bien entendu, il s'agissait toujours de cascades auto¬

mobiles, mais j'ai aussi doublé des acteurs lors de défenestration du 6e

étage, soit 20 mètres de chute libre amortie par des cartons et de la mous¬

se. A propos de chute libre, j'ai aussi exécuté plusieurs fois une cascade qui m'a laissé des souvenirs plutôt dou¬

loureux pour mon anatomie: une grue hissait jusqu'à une hauteur de 50 mètres une voiture dans laquelle j'avais pris place. Ensuite, la grue lâ¬

chait son fardeau et nous atterrissions, la voiture et moi dedans, sur un «ma¬

telas» de vieilles bagnoles. Vous ima¬

ginez le choc à la réception au sol! Il m'en reste des séquelles: vertèbres fracturées et ressoudées n'importe comment...

- Quels conseils donneriez-vous à un jeune qui voudrait suivre vos pas?

- Premièrement, il ne s'agit pas d'un métier, mais d'une vocation, ce qui

était mon cas. Ensuite, il ne faut pas escompter la gloire de ce métier. C'est une profession extrêmement dange¬

reuse si l'on ne respecte pas certaines règles. Le cascadeur est toujours amené à se surpasser, à aller au-delà de ses limites, et cela peut mener au cimetière, comme ce fut le cas pour Alain Prieur et Franck Verbar.

Comme il n'y a pas d'école, que le ci¬

néma suisse est quasi inexistant, donc emploie rarement des cascadeurs, il faut s'expatrier. Ensuite, rares sont les cascadeurs qui ont monté une véri¬

table entreprise familiale comme Rémy Julienne. Il existe passablement de troupes de cascadeurs qui «tour¬

nent» en Europe, comme les Hell Drivers, les Cascadeurs d'Hollywood et les Stundmann-show. J'ai travaillé dix ans avec ces groupes, dont les membres sont tous d'anciens funam¬

bules recyclés dans la cascade auto¬

mobile. Ce sont des «gens du voyage»

qui risquent tous les jours leur peau pour des clopinettes.

En effet, il faut savoir que ce métier est très mal payé, que les cascadeurs

ne sont jamais assurés et que le moindre bobo est à leur charge. De plus, il faut compter avec une longue et minutieuse préparation des véhi¬

cules qui sont détruits en quelques se¬

condes!

Pour parler de mon expérience per¬

sonnelle, en définitive je n'ai récolté que des plaies et des bosses (vertèbres fracturées, côtes cassées, coupures, brûlures, etc.). Je passais de la combi¬

naison de cuir à la chemise d'hôpital.

Mais malgré tout il me reste d'in¬

tenses et merveilleux souvenirs et des albums de photos qui font rêver mes copains.

- Il y a plusieurs années que vous en avez terminé avec ce dangereux mé¬

tier. Pourtant, il y a trois ans, vous franchissiez un tunnel de feu de 30 mètres de long au guidon de votre VTT, ceci pour récolter des fonds pour les enfants de l'ex-Yougosla- vie. Puis, tout récemment, vous enfi¬

lez à nouveau votre vieille combi¬

naison de cuir et vous faites vibrer votre fidèle public, cette fois pour les Cartons du cœur. Vous venez de fêter vos 40 ans. Pourquoi risquer votre vie ainsi?

- Certainement pas pour la gloire!

Bénéficiant d'une rente AI en raison d'une maladie nerveuse congénitale, je connais les fins de mois difficiles.

C'est pour cette raison que j'ai créé

«Boire et Manger» dans la Broyé vau- doise et fribourgeoise pour venir en aide aux familles touchées par le chô¬

mage et toutes les personnes en diffi¬

culté financière. Nous avons fusionné ensuite avec les Cartons du cœur, or¬

ganisation caritative qui poursuit le même but que Boire et Manger. J'ai exécuté cette cascade afin que les gens connaissent mieux les Cartons du cœur et pour sensibiliser, par médias interposés, le plus de monde possible au fait qu'il existe de plus en plus de FRIBÖURG ILLUSTRÉ N° 5

(24)

L'invité du Frill

pauvres en Suisse. Et pour attirer les médias, il faut du spectaculaire. Bien sûr, c'est plus facile de glisser un billet de banque à une collecte si on en a les moyens. Ce n'est pas mon cas, aussi je paie de ma personne et je donne un sens à ma vie de rentier AI en aidant les autres qui connaissent les mêmes difficultés financières que moi.

- Après deux ans de bénévolat au sein des Cartons du cœur, vous avez transmis le flambeau à d'autres.

Qu'allez-vous faire maintenant?

- Je ne vais pas me reposer, ce n'est pas mon genre. Mais je peux vous dire que les Restos du Cœur français se sont mis en rapport avec moi afin que je fasse une cascade pour eux. Et cette

même plutôt «pépère» car, finances oblige, je dois ménager ma voiture.

Alors j'économise l'essence en rou¬

lant «cool», les pneus en démarrant tranquillement, et j'évite les amendes d'ordre en respectant les limitations de vitesse. Je ne donnerai pas de conseils de «pro», car les conseils ne servent à rien sans démonstration sur le terrain, mais je dirai simplement à vos lecteurs de respecter le Code de la route. La cascade, c'est du spec¬

tacle, mais comme pour tout spec¬

tacle il faut une grande préparation et des répétitions. Si l'on naît casca¬

deur, l'on n'est pas cascadeur 24 heures sur 24. Après le spectacle, je redeviens un automobiliste anonyme.

Mais j'ai toujours énormément de plaisir à conduire un véhicule auto-

Les cracheurs de feu entourant le héros du jour.

fois je pense que je vais abandonner la voiture pour tenter... le patin à rou¬

lettes (rires). Non, sans blague, ce sera une première pour moi !

- Dans la vie courante, comment le cascadeur considère-t-il la voiture?

Etes-vous un casse-cou?

- Non, bien au contraire. Je roulerais

PHOTO GAILLARD mobile. Contrairement à certaines personnes, chez moi piloter une auto durant de nombreuses heures me dé¬

tend les nerfs.

Interview réalisée par Marinette Grandjean

Ça coule...

«Ne viens pas me voir»

Pendant la guerre, Fernand était à Clermont-Ferrand, lorsque, en pleine nuit, un avion anglais fut abattu par la D.C.A. Il avait dix-sept ans. Il s'est levé et s'est rendu dans la direction où le pilo¬

te avait dû tomber en parachute. En enten¬

dant les Allemands, il s'est caché dans un taillis où il a attendu qu'ils partent. En rampant, il s'est approché d'une forme blanche, le parachute. On ne sut jamais si le pilote anglais avait pu s'enfuir ou s'il avait été capturé par les Allemands.

Fernand a roulé le parachute, l'a caché sous sa pèlerine et, ainsi lesté, est rentré chez lui en rampant dans le fossé longeant la route. Son père a failli s'évanouir quand il l'a vu sortir le parachute.

- Mon fils est fou, a dit son père. Il m'en fera voir de toutes les couleurs. Les Allemands auraient pu l'embarquer.

Sa sœur s'est fait de beaux chemisiers avec le tissu du parachute. Fernand me parlait beaucoup de sa mère, qu'il a per¬

due en 1953. Il me disait:

- Renée, quand je mourrai, ne viens sur¬

tout pas me voir, ne te penche pas sur ce corps froid qui ne sera plus moi. Je veux que tu gardes un souvenir vivant, c'est toujours la dernière image qui reste. J'ai trop souffert d'avoir vu le visage de cire de ma mère. J'en ai rêvé pendant des an¬

nées. C'était toujours cette image qui me revenait.

J'ai respecté son désir. Il avait raison: il est toujours là, dans la maison, souriant, parfois soucieux, mais toujours vivant.

Renée Raynaud Tiré du livre «Fernand Raynaud»

Editions Pierre Marcel Favre Lausanne

...de source FRIBOURG ILLUSTRE N° 5

124F

(25)

Huitième district

Une rubrique «hors les murs» de Gérard Bourquenoud

CERCLE FRIBOURGEOIS DE GENÈVE

Hommage et reconnaissance à Gilbert Bersier Lors de l'assemblée générale

du 31 janvier 1996 tu as pré¬

senté ta démission irrévocable de président du cercle, après avoir assumé cette tâche depuis février 1977, soit une durée de 19 ans, plus longtemps que n'importe lequel de tes prédé¬

cesseurs. Ce n'est pas tellement la durée qui importe, mais plu¬

tôt la manière exemplaire avec laquelle tu as conduit les desti¬

nées de notre société, aidé en cela, il est vrai, par un équipage de très haute qualité.

Je m'en voudrais de ne pas rap¬

peler qu'après m'avoir succédé tu ne t'es pas contenté de main¬

tenir le cap. Au contraire, tu t'es efforcé d'imprimer toutes les activités de ta personnalité, non pas de manière dictatoria¬

le, mais avec le désir de convaincre, avec souplesse et

infiniment de gentillesse et d'entregent.

Tu as su aussi être à l'écoute de chacun. Un autre de tes mé¬

rites, et non des moindres, a été d'attribuer à chaque membre du comité le rôle qui lui a per¬

mis de s'exprimer dans les meilleures conditions.

Le nombre des membres actifs s'est continuellement accru, pour se situer actuellement à 669, ce qui fait du cercle la plus importante de toutes les socié¬

tés confédérées de Genève.

Toutes les activités ont été sui¬

vies avec assiduité et souvent même avec enthousiasme.

Tu as aussi été l'un des princi¬

paux acteurs dans le soutien à l'Association Joseph BOVET et l'appui financier au Conseil de la Fondation des

«Colombettes».

J'aimerais relever de même que chaque année tu as person¬

nellement rendu visite à de nombreux malades, à l'hôpital ou à domicile, en leur apportant une gentille parole et un peu de réconfort.

Je voudrais aussi exprimer la reconnaissance de tous pour le soutien discret, mais efficace, dont tu as bénéficié de la part de ta chère épouse Janine, tou¬

jours solidaire et disponible.

Ta succession sera désormais, et pour la première fois, assu¬

rée par une femme, ta vice-pré- sidente, Madame Maryvonne Pittet, élue par acclamation et à qui je souhaite un parcours aussi lumineux que le tien.

Tu es maintenant président d'honneur et tu rejoins ainsi dans la hiérarchie tes prédéces¬

seurs: feu Albert CARDI¬

NAUX, feu Louis BERSIER (à titre posthume) et moi-même.

Grand MERCI encore, mon ami Gilbert, et BRAVO pour ce que tu as fait et tu feras encore pour le cercle.

Avec toute ma sincère amitié.

Robert Aebischer Président d'honneur

et parrain

Soirée de la société «Intrè-No» de Lancy

avec des chansons de la chorale «Le Moléson»

De septembre jusqu'en mars les soirées se succèdent pour les Fribourgeois établis au bout du Lac grâce aux di¬

verses sociétés fribourgeoises de Genève. Celle du samedi 27 janvier 1996, organisée par la société «INTRÈ-NO», a connu un succès mérité. Rien ne manquait pour que la fête soit réussie. Salle joliment décorée, accueil chaleureux, retrouvailles sympathiques, repas excellent, concert joyeux par les chanteuses et chanteurs de la chorale «LE MOLÉSON» qui a réjoui l'as¬

sistance. Salutations cordiales du sympathique président de cette belle société, qui est éga¬

lement président de l'AJB. Le

clou de la soirée fut l'interpré¬

tation d'une fort jolie pièce en patois intitulée «Quand l'ami¬

tié s'en mêle», très bien jouée

par quatre excellents acteurs, dans une mise en scène et des décors de Nono Purro. Les in¬

terprètes: Gertrude Gendre, Claudine Niclass, Armand Blanc et Gaston Niclass ont été longuement ovationnés par un public conquis et ravi.

C'est par un bal conduit par les frères Pascal et Gilbert Droux que s'est terminée, au petit matin, dans la joie et la bonne humeur, cette mer¬

veilleuse soirée empreinte d'amitié et de chaleur humai¬

ne.

M. Pittet FRIBOURG ILLUSTRÉ N° 5

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