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Connexions des axes des ellipses de conductibilité thermique et des coefficients d'élasticité de flexion dans le gypse

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237192

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237192

Submitted on 1 Jan 1876

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Connexions des axes des ellipses de conductibilité thermique et des coefficients d’élasticité de flexion dans

le gypse

Ed. Jannettaz

To cite this version:

Ed. Jannettaz. Connexions des axes des ellipses de conductibilité thermique et des coeffi- cients d’élasticité de flexion dans le gypse. J. Phys. Theor. Appl., 1876, 5 (1), pp.247-248.

�10.1051/jphystap:018760050024701�. �jpa-00237192�

(2)

247 geant la lame

également

dans de l’eau

gommée ;

le

pinceau

enlève

l’écriture

qui

n’est que

superficielle.

En

supposant plusieurs

lames de verre recouvertes de vernis à la

sandaraque posé

à

froid,

on

peut

obtenir des lames translucides

qui

seraient

employées

utilement dans la

lihotométrie,

pour rem-

placer

les lames de verre amidonnées par le

procédé Foucault, qu’il

est difficile d’obtenir recouvertes d’une couche bien uni- fôrme.

CONNEXIONS DES AXES DES ELLIPSES DE CONDUCTIBILITÉ THERMIQUE ET DES COEFFICIENTS D’ÉLASTICITÉ DE FLEXION DANS LE GYPSE ;

PAR M. ED. JANNETTAZ.

De l’ensemble due mes recherches sur la

propagation

de la chia-

leur dans les corps

cristallzsés, j’ai

tiré cette loi

remarquable : qu’une

même

température

se propage le

plus loin,

à

partir

d’une

source de clialeur

déterminée,

suivant les directions

planes qui

se

clivent le

plus facilement,

ou, si l’on aime

mieux, qui

adhèrent aux

directions

parallèles

par la moindre cohésion.

J’ai vu, par

exemple,

que dans le gypse le

grand

axe de

l’ellipse

des conductibilités du

plan g1,

celui de

plus

facile

clivage,

fait avec la

zone verticale un

angle

de I7

degrés

et

qu’il

est, par

conséquent, plus près

du

clivage

vitreux ou de second ordre que du

clivage fibreux,

le

plus difficile,

ou de troisième

ordre,

en

appelant clivage

de

premier ordre,

celui

qui

est

parallèle

au

plan g1 lui-même,

et

aiyuel les

deux autres sont

perpendiculaires.

Le

plan

du

papier

est lc

plan g’ (plan

de

symétrie

des cristaux de

gypse).

En exerçant normalement au

plan

de

symétrie

un effort pour percer le

cristal,j’ai

observé que l’air

interposé

entre le feuillet dé- formé et le feuillet traversé donnait lieu à des anneaux colorés el-

liptiques

semblables aux

ellipses

de

conductibilité,

et

j’ai

été conduit

à reclzercher la valeur des coeuiclents d’élasticité du gypse, suivant les rayons vecteurs de ces courbes. J’ai déterminé les coefficients d’élasticité de flexion de laines de gypse

prélevées

dans difrérentes

directions,

et notamment dans les directions

parallèles

aux axes des

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018760050024701

(3)

248

ellipses.

En

comparant

leurs

rapports

à ceux des axes de conduc-

tibilité, j’ai

trouvé que les

premiers

sont

représentés

par les cubes des seconds.

Je me suis servi de la formule connue

y,

Pl 1,

E

désignant

la

flèche,

la

charge,

la

longueur

et le coeffi-

ciel’lt d’élasticité par

rapport

au

grand

axe ; les mêmes lettres ac-

centuées ont la même

signification

relativement au

petit

axe.

J’ai obtenu

I,939

pour

rapport

des coeflicients d’élasticité. Ce nombre est

précisément

le cube de

1,247,

rapport des axes de con- ductibilité

thermique.

SUR LA THÉORIE DES CONDENSATEURS, DE L’ÉLECTROPHORE

ET DES MACHINES DE HOLTZ;

PAR M. A. RIGHI.

Dans une

première

Note

(1) j’ai

fait connaître les

expériences

re-

latives à la

pénétration

de la

charge

dans les corps isolants fixes et

en mouvement. Je vais en faire voir diverses

applications.

1. Les

phénomènes

des condensateurs

s’expliquent parfaitement

en admettant la

polarisation

de la lame

isolante, qui produit

le

pouvoir spécifique d’induction,

et la

pénétration

des

charges

des

armures sur les deux faces de la lame. On a récemment admis une

théorie

différente,

et l’on a émis des doutes sur

l’explication

des

décharges résiduelles ,

fondée sur la

pénétration

des

charges.

MM. Kohlrausch et

Clausius (2)

admettent que les résidus sont dus à une

polarisation

des molécules de

l’isolant, qui,

contrairement

aux résultats de M. Felici

(3),

aurait une certaine durée

après

la

décharge .

Les

expériences qui

suivent

expliquent

certains résultats

qui,

(1) Journal de Physique, t. V, p. I82, juin I876.

(2)Théorie mécanique de la chaleur, traduite par F. Folie, t. II, p. g2.

(3) Journal de Physique, t. III, no 35, p. 334.

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