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DU MÊME AUTEUR CHEZ LE MÊME ÉDITEUR : L'HOMME QUI TROUBLA LA FÊTE. (Cartonné).

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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SE RÉVEILLER DÉMON

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D U M Ê M E A U T E U R CHEZ LE MÊME ÉDITEUR :

ŒIL POUR ŒIL.

L'HAMEÇON.

NE TE RETOURNE PAS, KIPIAN.

L'HOMME QUI TROUBLA LA FÊTE. (Cartonné).

LE HUITIÈME JOUR DU SEIGNEUR, suivi de LE REPAS DES FAUVES.

LES POINGS FERMÉS.

CHEZ D'AUTRES ÉDITEURS :

LA CANNE. (Julliard).

LES MÉGOTS DU DIMANCHE. (Gallimard).

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VAHÉ KATCHA

SE RÉVEILLER DÉMON

roman

P L O N

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© 1964 b y Librairie Plon, 8, rue Garancière, Paris-6'.

Droits de reproduction et de traduction réservés pour tous pays, y compris l'U.R.S.S.

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A Brigitte

Mon avocat se leva. Sans se presser il s'avança vers les jurés. Il était maigre et sec. On ne pouvait pas lui donner un âge.

Il ôta ses lunettes, essuya les verres avec sa manche, longuement, les rajusta sur ses yeux perçants comme s'il voulait donner aux jurés l'impression de les voir pour la première fois. Il parla doucement, confi- dentiellement, en s'arrêtant devant chaque juré. Six hommes et deux femmes qui écou- taient attentivement en essayant de rester impassibles. Mon sort était lié aux mots qui se détachaient des lèvres de mon avocat.

A ses gestes. A ses silences. Coupable ou non coupable. Coupable : la mort ou la prison. Non coupable : la liberté. J'avais l'impression d'assister à un drame bur-

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lesque. J'essayais de planer, de me détacher des événements et des hommes qui m'en- touraient. Mais quatre mois de détention m'avaient affaibli. La sérénité à laquelle j'aspirais n'était plus qu'un mythe. J'avais le trac. Je transpirais. J'épiais les six hommes et les deux femmes qui se trouvaient en face de moi. J'essayais d'interpréter leur moindre mouvement. Deux médecins. Un masseur qui travaillait dans l'établissement thermal et que j'avais rencontré deux ou trois fois. Un photographe. Un instituteur.

Un cultivateur. Les deux femmes n'exer- çaient aucune profession. J'essayais de rester calme.

Tout à l'heure, en écoutant le Procureur général j'étais persuadé d'être un criminel.

En écoutant mon avocat j'avais la cer- titude d'être innocent. Coupable ? Inno- cent ? Je n'arrivais plus à faire le point.

Le doute s'était enraciné dans mon esprit.

Deux personnes toussèrent en même temps dans la salle bondée. Un homme se moucha. Mes nerfs aiguisés captaient le moindre bruit. Je savais que des dizaines de personnes m'observaient. Le trac me

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procurait une lucidité maladive. Je voyais tout. J'entendais tout. Mon avocat par- lait. Ses arguments se bousculaient sur mes lèvres. Ses déductions flambaient dans mon cœur. J'avais envie de crier mot à mot ce qu'il disait. Brusquement il y eut un silence.

Quoi ! Déjà ? J'avais beaucoup de choses à dire encore et mon avocat s'était tu. Les jurés se levèrent et disparurent. J'avais l'impression d'être frustré. Chose bizarre, la présence des jurés me réconfortait. Main- tenant j'étais tout seul avec une centaine de fantômes qui devaient calculer mes chances. Tout seul. Même mon avocat ne servait plus à rien. Il se mit à ranger ses papiers puis se tourna vers moi. Je savais qu'il connaissait intimement un mem- bre du jury : le docteur Lorge. Ce dernier avait-il assez de poids pour convaincre les autres membres de mon innocence ?

— Quelle chaleur !

Il s'épongea le front avec un mouchoir.

Je n'osai pas lui poser des questions. Il continua d'une voix neutre :

— Dans ces salles on grelotte l'hiver et on étouffe l'été...

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Il enleva ses lunettes, les essuya.

— Maître...

C'était une femme qui l'appelait. Jolie, un peu vulgaire. Où l'avais-je déjà ren- contrée ?

— Tiens...

Une lueur étrange traversa les yeux de mon avocat. Une lueur que je n'aimai pas.

J'avais rencontré cette femme dans un bar.

Elle était entraîneuse. Était-ce lui qui l'avait invitée à venir assister au procès ? Mon corps se couvrit de sueur. Je venais de confier ma vie à cette mauvaise lueur.

Non, non, c'était ridicule. Après tout, mon avocat était un homme comme les autres.

Il fréquentait les bars, buvait du scotch, courtisait les filles.

— Vous la connaissez ?

Avait-il saisi le fond de ma pensée ? Il ajouta aussitôt :

— Une fille étrange. Toujours des his- toires avec la police...

Je ne voulais pas penser aux jurés qui délibéraient. Je ne voulais penser à rien.

La moindre question que je me posais me donnait le vertige et m'entraînait dans

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un gouffre visqueux. Je n'en sortais plus.

— Voulez-vous me passer le journal ? J'étais resté quatre mois sans journaux.

J'éprouvai un certain plaisir à le déplier.

On parlait de mon procès. Je tournai les pages pour m'attarder sur les spectacles.

Dehors la vie se déroulait normalement.

Comme chaque année pendant la période des vacances les galas se succédaient au casino. Des vedettes, des hommes poli- tiques envahissaient l'établissement ther- mal. Des Anglais jouaient au golf près du lac. Durant deux mois notre petite ville d'eau s'animait. Ensuite l'hiver venait très vite. Les commerçants s'exilaient vers la Méditerranée. Un orchestre local s'instal- lait le samedi soir et le dimanche au casino.

Le physionomiste des salles de jeux repre- nait ses fonctions de maître-nageur à la piscine couverte qui sentait le soufre.

— Les voilà !

Les conversations s'interrompirent. Les jurés entrèrent. Mon avocat rajusta ses lunettes. Le trac me saisit. Le Président parla. Je ne comprenais pas ses paroles.

Mon cerveau surexcité s'était entraîné du-

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rant des mois à n'enregistrer que deux mots : coupable ou non coupable.

— Bien, bien... fit mon avocat.

J'étais acquitté. Non coupable...

Je regardai autour de moi. Le Président bavardait avec deux jurés. Le Procureur qui m'avait accablé s'éventait nonchalam- ment avec un journal. La foule s'écoulait.

Des gens me faisaient des signes amicaux.

Des gens que je ne connaissais pas.

— On se voit demain dans mon bureau ? demanda mon avocat.

— Oui, demain, chez vous...

Chez lui. Cela signifiait que je pouvais traverser la rue, prendre un taxi, sonner à une porte. Maintenant il fallait partir, re- prendre les objets que j'avais confiés à l'administration de la prison, signer des papiers. Revoir la prison pour la dernière

fois.

— Vous venez...

Mes gardes s'impatientaient. Avant de quitter la salle, pendant que j'étais plongé dans une espèce de chaos, il me sembla que quelqu'un s'était approché de moi et m'avait lancé un mot ou une phrase.

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— Encore une signature...

Je signai.

— Quelle heure est-il ? demandai-je.

— Vingt heures trente.

Il faisait encore jour.

— Pourrais-je passer la nuit ici ?

L'administrateur releva la tête, étonné, puis laissa tomber :

— Si vous voulez...

Pendant toute la nuit je pensais à Fur- kof et à Nicole. Furkof était mort. Nicole, sa femme, m'attendait. Exprès j'avais de- mandé à passer la nuit dans cette cellule pour effacer le souvenir de Furkof. Je vou- lais repartir à zéro avec Nicole. Nous allions pouvoir vivre maintenant tranquillement.

Lorsque Furkof vivait je prenais mille pré- cautions afin de ne point éveiller ses soup- çons. Il était mort sereinement avec le

sourire.

Vers l'aube, je dus m'endormir. En

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ouvrant les yeux je me sentais un autre homme. Depuis quatre mois je vivais dans la fièvre, à demi-inconscient. A par- tir d'aujourd'hui j'allais réintégrer le sillage que j'avais quitté. Je me levai. Et si on n'allait pas m'ouvrir la porte ? Un léger étourdissement m'obligea à m'asseoir sur le lit. Je pensai au verdict. Non coupable.

Acquitté. Les jurés... La scène de la veille se dessina nettement devant mes yeux. Un membre du jury s'était approché de moi et avait murmuré entre ses lèvres :

— Assassin !

C'était le photographe.

En quittant la prison je fus surpris par le mouvement qui régnait dans les rues.

Une vraie opérette. Des femmes en maillot de bain. Des hommes portant des chemises multicolores; des voitures de sport qui tournaient en rond. Je m'enfermai dans une cabine téléphonique et je composai

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le numéro de Nicole. Ma main tremblait.

Lorsque j'entendis sa voix aucun son ne sortit de ma gorge.

— Où es-tu ?

Elle attendait mon coup de fil, comme convenu.

— Nicole, si tu savais...

— Je t'attends. Viens tout de suite.

— Non, non. A ce soir.

— Pierre...

Je raccrochai. J'avais besoin de réfléchir.

J'allai trouver mon avocat. Il était plongé dans la lecture d'un dossier. Il avait reçu le chèque de Nicole.

— Nous avons été acquittés à l'unanimité.

Il était content. Son ami le docteur avait dû lui raconter la délibération.

— A l'unanimité sauf une voix, dis-je.

Il me regarda surpris.

— C'est exact. Il y a eu une réticence au début... Comment l'avez-vous appris ?

— C'est le photographe qui me croit coupable.

Il me regarda, haussa les épaules.

— Quelle importance ? Vous avez été acquitté, c'est l'essentiel.

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En me voyant arriver ma concierge versa des larmes comme si je revenais de la guerre. Elle m'avait préparé un colis. Du chocolat et des cigarettes. Si j'étais resté en prison elle m'aurait expédié le paquet.

De toute façon elle avait pensé à moi.

Je retrouvai mon studio avec plaisir.

Tout était en ordre. L'eau coulait dans le robinet. Le poste de T.S.F. marchait. Mes chemises étaient rangées dans l'armoire. Je pris un bain et je m'étendis sur le lit. Per- siennes fermées la chambre baignait dans une demi-obscurité. Je voulais me replonger dans mes habitudes sans hâte, malgré mon impatience afin de laisser flotter les senti- ments qui m'agitaient pour pouvoir faire le point.

Le bruit d'une voiture me fit sursauter.

Je me levai et regardai à travers les per- siennes. C'était Nicole. Quelques instants plus tard elle se trouvait dans mes bras.

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Depuis des mois je pensais à cette minute.

Sa jeunesse, sa beauté, sa liberté m'appar- tenaient. Je gardai le silence incapable de prononcer un mot. Elle ne disait rien non plus. Quelqu'un marcha dans le couloir puis le bruit des pas disparut. Le même parfum se dégageait des cheveux de Nicole.

Je retrouvai avec émotion la douceur de sa peau et la chaleur de son corps aban- donné. Nous ne formions qu'un être. Nos actes et nos pensées se confondaient.

— Quel cauchemar, murmura-t-elle.

— Nous allons vivre librement mainte- nant. Ne pense plus au passé. Moi, j'ai tout oublié.

— Moi aussi.

Elle ajouta brusquement :

— Tu ne vas pas rester ici. Dès aujour- d'hui tu vas venir t'installer à la maison.

— Les gens vont jaser...

— Les autres n'existent pas. D'abord le tribunal t'a acquitté. Tu es innocent. Tout le monde le sait. Il vaut mieux que tu viennes aujourd'hui même.

Elle avait raison.

— Je vais préparer une valise.

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Elle m'aida à ranger quelques vêtements.

La villa se trouvait à l'autre bout du lac, blottie sur le flanc de la montagne. Je pris place près d'elle dans la voiture décapo- table. Elle conduisait lentement comme si elle voulait exposer notre amour en plein jour. Les gens nous regardaient avec sym- pathie. Nous fîmes le tour de la ville sans rencontrer un regard hostile. Pourtant le procès avait fait du bruit. Même les habi- tants de notre petite ville nous acquittaient.

Pour la première fois je me sentais heureux de vivre.

Un grand silence régnait dans la villa.

C'était une construction moderne, luxueuse, que Furkof avait fait bâtir il y a trois ans.

Chaque pièce était meublée différemment.

Une grande terrasse dominait le lac.

— J'ai renvoyé les domestiques pour quel- ques jours.

Mais elle avait tout prévu. Le réfri- gérateur regorgeait de victuailles. C'était la première fois que je me trouvais en tête à tête dans cette villa avec elle. Il n'y avait aucune trace de Furkof. Ses pipes et son tabac s'étaient volatilisés.

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Nicole avait changé les meubles de la chambre à coucher.

— Tu as faim ?

Nous déjeunâmes sur la terrasse. Autour de nous tout était harmonie. Le lac scin- tillait; l'haleine de la forêt et de la mon- tagne qui se dressaient au-dessus de nous, nous effleurait et nous avions envie de mordre à belles dents notre nouvelle exis- tence.

La vapeur flottait comme du brouil- lard sur la piscine de l'établissement ther- mal. Une chaleur insoutenable me prit à la gorge, me coupa la respiration. Depuis longtemps je m'étais promis de livrer mes nerfs à cette eau brûlante. J'avançai pru- demment. Un pied, puis l'autre. J'avais l'impression de marcher sur des flammes.

Lorsque l'eau atteignit ma poitrine je pous- sai un soupir de soulagement. Immobile, je regardai autour de moi. Je distinguai vaguement deux silhouettes à l'autre bout

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de la piscine. Probablement deux habitués qui venaient suivre leur cure. Tout à l'heure l'odeur du soufre m'avait suffoqué. Main- tenant je ne sentais plus rien. Des goutte- lettes de sueur coulaient le long de mes joues. J'avais dans la bouche le goût salé de tout mon corps, de tous les événements qui s'étaient infiltrés en moi durant ces derniers temps. En rejetant cette mauvaise sueur ma peau se purifiait. Je quittai la piscine et m'étendis sur la table de mas- sage. Entre les mains du masseur je n'étais qu'un amas de chair, de muscles, de nerfs et de sueur. J'avais l'impression qu'il pou- vait me façonner un nouveau visage, dé- placer mes muscles, me rallonger. Mon cerveau fonctionnait par intermittence, sai- sissait une image et se repliait pour l'ana- lyser paresseusement. Après le massage je m'étendis sur la chaise longue dans la chambre osbcure. Deux ou trois personnes se reposaient comme moi. De temps à autre une ombre pénétrait dans la pièce, montait sur la bascule et disparaissait. Un cahier relié se trouvait sur une petite table avec un crayon. Les clients assidus mar-

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quaient leurs poids à l'arrivée et au départ.

Un vieillard à la peau blanche soupira près de moi et se leva. Il se frotta les yeux et s'en alla en bâillant. J'allais quitter les lieux lorsque je crus reconnaître quelqu'un qui montait sur la bascule. Un homme d'une cinquantaine d'années. Où l'avais-je déjà rencontré ? L'homme se pesa, feuil- leta le cahier relié, réfléchit et marqua quel- que chose. Puis il disparut. Mon cerveau engourdi comme sous l'effet d'un choc cerna aussitôt son image. Cet homme nu qui venait de se peser était le photographe qui m'avait traité d'assassin au tribunal.

Que faisait-il ici ? Est-ce que par hasard...

non, c'était ridicule. Sa présence ne pouvait être qu'une pure coïncidence. Je me levai légèrement troublé. Je m'approchai de la table sur laquelle était posé le cahier relié.

Qu'avait-il marqué dessus ? Une menace ? Je commençai à feuilleter les pages. Les noms des clients s'étalaient par ordre alpha- bétique. Amont Paul. Arrivée : 90 kilos.

Départ : 88 kg 400. Beltoch Gaspard.

Arrivée : 95 kilos. Départ : 94 kilos. J'igno- rais le nom du photographe. Combien pe-

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Pierre Talian est acquitté à l'issue d'un procès. Il était accusé d'avoir poussé dans un précipice son ami Furkof. Libéré, Talian va retrouver Nicole, la femme de Furkof, qui est sa maîtresse.

Mais la vie au grand jour qu'ils vont pouvoir mener désormais est empoisonnée par la présence obsédante d'un troisième homme : à l'issue de l'audience au cours de laquelle a été prononcé l'acquit- tement, l'un des jurés, Vanier, un photographe, a jeté à la face de Talian ce simple mot : « Assassin! » Dès lors Talian va s'imaginer voir partout ce Vanier. Puis, n'y tenant plus, il s'arrangera pour faire sa connaissance et l'attirera chez lui. Vanier prendra peu à peu une place grandissante auprès du couple. Un lien étrange se noue entre les deux hommes, qui est à la fois de l'amitié et de la haine. Le photographe se transforme, sort de lui-même : il occupe exactement auprès du couple Talian-Nicole la place qui était celle de Talian auprès du couple Furkof-Nicole. Jusqu'au jour où Talian glisse mystérieusement dans le précipice où est mort Furkof.

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