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Mesure absolue de la section efficace différentielle d'émission de rayonnement de freinage pour des électrons monocinétiques de 120 keV

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Academic year: 2021

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(1)

HAL Id: jpa-00206751

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Submitted on 1 Jan 1968

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Mesure absolue de la section efficace différentielle d’émission de rayonnement de freinage pour des

électrons monocinétiques de 120 keV

R. Quivy, J. Franeau

To cite this version:

R. Quivy, J. Franeau. Mesure absolue de la section efficace différentielle d’émission de rayonnement

de freinage pour des électrons monocinétiques de 120 keV. Journal de Physique, 1968, 29 (11-12),

pp.985-989. �10.1051/jphys:019680029011-12098500�. �jpa-00206751�

(2)

MESURE

ABSOLUE DE LA SECTION

EFFICACE DIFFÉRENTIELLE D’ÉMISSION DE RAYONNEMENT

DE

FREINAGE

POUR

DES

ÉLECTRONS MONOCINÉTIQUES DE

120

keV

Par R.

QUIVY

et

J. FRANEAU,

Institut Interuniversitaire des Sciences Nucléaires, Centre de la Faculté Polytechnique de Mons (Belgique).

(Reçu

le 10

juillet 1968.)

Résumé. - Une méthode

expérimentale

de mesure de la section efficace différentielle de rayonnement de

freinage

est décrite. Des mesures ont été effectuées pour des

angles

d’émission

variant de 35° à 155° et pour

quelques

radiateurs de nombre

atomique compris

entre 13 et 79.

Nos résultats sont en bon accord avec la théorie, en ce

qui

concerne

l’angle

d’émission de l’intensité maximale. Par contre, nous trouvons

expérimentalement

que la section efficace différentielle

s’exprime

par une fonction de la forme :

Zx f(E0,

03B8,

h03BD)

avec x = 2,27 ± 0,05.

Abstract. 2014 An

expérimental

method for

measuring

the

bremsstrahlung

differential cross-section is described.

Experiments

have been carried out for emission

angles

from

35° to 155°, and for some radiators, the atomic number

varying

from 13 to 79.

Our results agree with

theory concerning

the emission

angle

of maximum

intensity.

We found

experimentally

that the differential cross-section follows the law :

Zx f(E0,

03B8,

hv)

where x = 2.27 ± 0.05.

1. Introduction. - Plusieurs auteurs ont étudié

th6oriquement

1’emission de

rayonnement

de

freinage,

pour des electrons

monocinetiques,

dans des conditions

energetiques

d6termin6es. Nous nous sommes pro-

pose

de comparer les valeurs

exp6rimentales

de la

section efficace différentielle avec celles que

pr6voient

les differentes theories. A cette

fin,

nous avons realise

un

dispositif

de mesure et mis au

point

une m6thode

de correction des

grandeurs

mesur6es. Nos resultats confirment certaines

predictions theoriques

mais sont

moins en accord avec d’autres.

2.

Dispositif experimental.

- La

figure

1 donne un

schema du

dispositif experimental

que nous avons

utilise. La cible C est

dispos6e

dans 1’axe d’une cuve

cylindrique,

dans

laquelle

on realise le

vide,

et est

plac6e

normalement au faisceau d’61ectrons 6mis par le canon a electrons C.E. Ce canon est muni d’un collimateur limitant l’ouverture du faisceau d’electrons a un

angle

a tel que la surface

d’impact

sur la cible

a un rayon d’environ 13 mm. Le canon et son colli-

mateur sont blindes de

façon

a eviter

1’emergence

de

photons

de

freinage

dont la detection

risquerait

de

fausser les mesures. Les

photons

de

freinage

6mis par la

cible,

dans la direction

0,

sont d6tect6s par un ensemble

(scintillateur

NaI +

photomultiplicateur) dispose

a l’extérieur de la cuve. Ce detecteur

regarde

le centre de la cible a travers un hublot d’aluminium

de

0,1

mm

d’6paisseur,

et sous un

angle P (limit6

par

un collimateur en

fer)

tel que le d6tecteur voit

toujours

1’entierete de la tache

d’impact

des electrons sur la

FIG. 1. -

Dispositif experimental:

C.E., canon a

electrons;

C, cible en materiau diffuseur etudie ;

Ei,

electrode de collection du faisceau d’electrons ; D, detecteur du rayonnement de

freinage.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:019680029011-12098500

(3)

986

cible,

et cela

quel

que soit

1’angle

0

(a 1’exception

de

90°) .

Le courant d’electrons du faisceau est mesure par l’interm6diaire d’un

amp6rem6tre qui

mesure le

courant

h

collecte par la cible et par l’ électrode de collection

El.

Comme des electrons sont diffus6s par la cible sous des

angles

tels

qu’ils

ne sont pas collectes par

El (dont

les dimensions sont limit6es par la valeur minimale de

l’angle

0 a

etudier),

il en r6sulte que

h

est inferieur

au courant du faisceau d’61ectrons arrivant sur la cible.

Pour tenir compte de cet

effet,

le courant du faisceau

a ete collecte par une electrode escamotable

E2 ( fig. 2),

FIG. 2. -

Dispositif d’6talonnage

de la mesure de l’in-

tensite du faisceau d’electrons incidents : C, cible ;

E1,

electrode de collection ;

F’21

electrode escamotable

d’etalonnage.

port6e

a un

potentiel positif

U suffisant pour

emp6cher

toute emission secondaire

(I2

= Cte pour

U >

100

V).

Ceci nous a

permis

de tracer la courbe

d’etalonnage 12 == f(Il).

Dans la

suite,

seul le courant

I,

a ete me-

sur6 et on en d6duisait le courant

12

arrivant sur la cible

par l’interm6diaire de cette courbe

d’6talonnage.

D’autre

part,

le

rendement n

de detection des

photons

6mis par la cible a ete determine en

disposant

a 1’endroit de la cible des sources etalons

d’énergies

differentes.

L’isotropie

du rendement de

comptage

a confirm6 le bon

reglage

des

positions

relatives faisceau- cible-detecteur-collimateurs.

3. Mdthode de mesure. - La cible est obtenue par

projection thermique,

sous

vide,

sur un film mince de formvar tendu sur un anneau d’aluminium. Le support en formvar

participe

faiblement a l’émission de rayonnement de

freinage.

Correction en est faite

en soustrayant, du spectre relev6 avec formvar +

cible,

le spectre relev6 avec le support de formvar seul. Pour que cette correction n’entraine pas d’erreur trop

importante,

on a avantage a augmenter

1’epaisseur

de

la

cible,

tout en restant dans une gamme

d’epaisseurs

suffisamment

petites

pour

qu’on puisse

considerer que

1’energie

des electrons reste constante. Afin de d6ter- miner au-dessous de

quelle 6paisseur

cette

hypothese

etait

valable,

nous avons relev6 des spectres de rayon- nement de

freinage,

pour différentes

epaisseurs

de

cible et pour des electrons

d’6nergie comprise

entre 80

et 120 keV. Nous avons ainsi constate que l’intensit6

spectrale

du

rayonnement

de

freinage

restait propor-

’tionnelle a

1’epaisseur

de la

cible,

pour des cibles d’or

d’6paisseur

inferieure a 150

flg/cm2;

pour des

6pais-

seurs

supérieures,

le

spectre

se déformait avec enri- chissement relatif en

photons

de faibles

energies.

Nous

avons ainsi determine

1’epaisseur

maximale compa- tible avec notre

hypothèse.

D’autre

part, l’intensit6

du

faisceau d’électrons 6tait choisie suffisamment

petite

pour que le

spectre

releve ne doive pas 6tre

corrig6

des

superpositions d’impulsions.

La raie

d’echappement (peak escape)

a 6t6

corrig6e

de

proche

en

proche

en utilisant les resultats de F. K. McGowan

[1].

L’efficience de comptage a 6t6 d6termin6e

experimentalement.

4. Rdsultats

théoriques.

- En ce

qui

concerne la

section efficace différentielle d’emission de rayonne-

ment de

freinage,

on

dispose

de la formule de Heit- ler

[2]

pour des electrons

d’energie

non relativiste.

Cette theorie donne une fonction

a(O, hv) sym6trique

par

rapport

a 0 =

900,

ce

qui

n’est pas en accord

avec

1’experience.

Kirkpatrick

et Wiedmann ont

6tabli,

a

partir

des

resultats de

Sommerfeld, 1’expression :

qui

donne

1’energie rayonnee

dans la direction 0 en

fonction des composantes

Ix

et

Iy

dont les auteurs ont

tabul6 les valeurs en fonction de la

frequence v,

de

1’energie

des electrons

(6nergie

non

relativiste)

et du

nombre

atomique

du materiau diffuseur

[3].

Cette

fonction est

egalement symetrique

par

rapport

à e = 900.

Scherzer a etabli une relation

applicable

dans les

memes conditions

[4].

La

bibliographie

concernant ce

sujet [5]

montre

que les formules

th6oriques

sont difficiles a

utiliser;

seule la relation de Schiff

[6]

se

pr6te

bien au calcul.

De ces différentes

etudes,

il

apparait

que la section efficace différentielle

peut

se mettre sous la forme :

ou la fonction

f depend plus

ou moins de

Z,

suivant

le domaine

d’6nergie envisage

et suivant les

hypotheses

de

depart.

5. Rdsultats

expdrimentaux.

- La

probabilite

P

d’emission d’un

photon d’6nergie comprise

entre hv

(4)

et hv +

d(hv),

dans

l’angle

solide

dQ,

pour une tranche 616mentaire de radiateur contenant N dx ato-

mes/cm2,

est donn6e par :

ou

F(e, hv) . d(hv) .

,dQ

représente

la section efficace differentielle en fonction de la direction d’emission et

de

1’energie

du

photon.

Cette relation peut se trans- former :

ou

6(8, hv)

est la fonction calcul6e par les differentes

theories.

Puisque 6(0, hv)

n’est autre que la

probabilite

d’6mission par unite

d’angle 6,

par unite

d’energie hv,

par atome de materiau diffuseur et par electron inci-

dent,

on obtient a

partir

des resultats de mesures :

n(6, hv) :

nombre de

photons d’6nergie comprise

entre

hv et hv +

ð. (hv),

détectés dans

l’angle

solide

AQ

pendant

toute la duree de la mesure, ma : masse

atomique

du

diffuseur,

~ : efficience du

d6tecteur,

I

: epaisseur

du diffuseur

exprim6e

en

g/CM2,

I : nombre total d’electrons incidents au diffu-

seur

pendant

la duree de la mesure.

Des mesures ont ete effectuées pour les

angles

8

de

350, 550, 750,

1050 et

1250,

en utilisant les mat6-

F’IG. 3. -

Spectres d’6nergie : a (0, hv)

en fonction de

1’energie

hv des

photons,

pour

quelques angles

0

d’emission. Cible : 42,6

yg/cm2

d’aluminium.

Électrons

de 120 keV

(o

est mesure en

cm2jatome

de

diffuseur/électron incident/mo c2/radian) .

En trait

plein,

loi

th6orique

de Schiff.

i,

nos resultats

experimentaux.

(5)

988

riaux diffuseurs suivants :

formvar, aluminium, cuivre,

argent,

6tain,

or, et pour des electrons

d’energie

com-

prise

entre 80 et 120 keV.

SPECTRE D’ENERGIE. - La

figure

3

donne,

d’une part, les valeurs de

a(O, hv)

d6termin6es

expérimenta-

lement et, d’autre

part,

la courbe

th6orique

trac6e à

partir

de la relation de

Schiff,

en fonction de

l’ énergie

des

photons

de

freinage

6mis par des electrons de 120

keV,

dans une cible en aluminium et pour

quel-

ques

angles

0. Pour tous les essais que nous avons

effectués,

la section efficace

experimentale

est

toujours superieure

a la valeur

theorique.

D’autre

part,

la relation de Scherzer établit que

1’energie

totale

rayonnee,

par unite

d’angle

solide

FIG. 4. -

Énergie

totale

rayonnee (unites arbitraires)

par unite

d’angle

solide et pour un

angle

0 de diffusion

donne en fonction de

l’ énergie

des

photons (electrons

de 120

keV).

et pour un

angle

de diffusion

donne,

est

ind6pen-

dante de

l’ énergie

des

photons.

Nos resultats

exp6-

rimentaux sont en accord avec cette

propriete (fig. 4).

INFLUENCE DE Z. - La formule de Schiff peut s’ecrire :

Le calcul montre que, pour le domaine

d’6nergie

que nous avons

6tudi6,

la

fonction f

est

pratiquement ind6pendante

de la nature du materiau

diffuseur,

ce

qui permet

d’6crire :

Nous avons trace

( fig. 5)

les lois

exp6rimentales

donnant

log

a en fonction de

log Z,

pour

E.,

hv et 0

FIG. 5. -

a (0, hv)

en fonction du nombre

atomique

du

materiau diffuseur, pour un

angle

de diffusion donne et une

energie

de

photons

donn6e

(electrons

de 120

keV) .

Courbe a : hv = 57 keV, 0 = 35°; Courbe b : hv = 57 keV, 0 = 75°; Courbe c : hv = 77 keV, 0 = 35° ; Courbe d : hv = 77 keV, 0 = 750.

(Pour

des raisons de clarte des

figures,

les courbes ont ete d6cal6es verticalement les unes par

rapport

aux

autres.)

constants. Ceci montre que la

fonction f

est bien

ind6pendante

de

Z,

la

puissance

de Z

qui

intervient

en facteur est

16g6rement

diff6rente de

2;

cet

exposant

serait

2,27 ± 0,05.

INFLUENCE DE L’ANGLE D’EMISSION. - La section efficace differentielle

pour hv

= Cte

presente

un maxi-

(6)

FIG. 6. -

a(6, hv)

en fonction de

l’angle

d’emission, pour

une

energie

hv de

photons

donnee. Cible en or.

electrons

de 120 keV.

mum dans une direction

OM.

Nous avons constate que

cet

angle 8M

ne

depend

pas de

1’6nergie ( fig. 6),

mais

tend a croitre avec le nombre

atomique

du diffuseur

( fig. 7). D’apres

la theorie de Sommerfeld

[7],

on

aurait

8M

= 400 pour

Eo

= 120

keV,

valeur ind6-

pendante

de

Z,

pourvu que Z soit

petit.

Cette pro-

pri6t6

est en accord avec nos mesures, confirmées par la valeur obtenue par Determann

[8]

pour des elec-

trons de 120

keV,

frein6s dans du

beryllium.

6. Conclusions. - Nos resultats

expérimentaux

sont

partiellement

en accord avec certains travaux th6o-

riques.

Nous trouvons que la section efficace différentielle

est maximale dans une direction

compatible

avec la

theorie de Sommerfeld pour des radiateurs de nombre

atomique petit.

Nous constatons que, pour un

angle

d’6mission

FiG. 7. -

Angle

8M

correspondant

a la direction d’6mis- sion maximale

d’6nergie,

en fonction du nombre

atomique

Z du materiau diffuseur, pour des electrons de 120 keV :

: :

Nos résultats.

x : R6sultat

experimental

de Determann, cible en

beryllium.

--- : valeur

th6orique

de Sommerfeld, pour Z

petit.

donné, 1’6nergie

totale

rayonnee

est

ind6pendante

de

1’energie

des

photons.

La concordance

qualitative

et

quantitative

de nos

resultats

expérimentaux

avec les valeurs

prevues

par la theorie de Schiff est assez satisfaisante. Des diver- gences du meme ordre de

grandeur

ont d’ailleurs 6t6 mises en evidence par d’autres

expérimentateurs [9].

Finalement,

nous trouvons

eXpérimentalement

que, dans le domaine

d’energie étudié,

la section efficace différentielle serait

exprim6e

par une fonction de la forme :

avec x =

2,27 ± 0,05.

Nous tenons a remercier M.

Chevry

pour 1’aide

qu’il

nous a

apport6e

lors des mesures et des calculs necessites par ce travail.

BIBLIOGRAPHIE

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