Étalonnage du calorimètre Étalonnage du calorimètre électromagnétique tonneau électromagnétique tonneau , ,
Identification des leptons Identification des leptons
et et
recherche d’un boson de Higgs recherche d’un boson de Higgs
dans le canal qqH
dans le canal qqH →qq →qq
dans l’expérience ATLAS au LHC.
dans l’expérience ATLAS au LHC.
Fabien Tarrade
Fabien Tarrade
LAPP, Annecy
LAPP, Annecy
Cadre théorique et contexte expérimental
I. Reconstruction du signal et étalonnage du calorimètre électromagnétique
II. Identification des leptons dans leurs désintégrations hadroniques
III. Recherche d’un boson de Higgs du Modèle Standard
Conclusion générale
Plan Plan
Cadre théorique Cadre théorique
et et
contexte expérimental contexte expérimental
Le Modèle Standard et le boson de Higgs L’expérience ATLAS au LHC
Le calorimètre électromagnétique
Le Modèle Standard Le Modèle Standard
succès :
prédictions (boson W, Z, quark t …) en accord avec les résultats expérimentaux mesures de précision en accord avec la théorie
masses :
générées par le mécanisme de Higgs, auquel est associé un boson de Higgs
limite du Modèle Standard problème de naturalité
nombre de paramètres libres …
Supersymétrie
dimensions supplémentaires …
Modèle Standard : Modèle Standard :
Au-delà du Modèle Standard (nouvelles extensions) : Au-delà du Modèle Standard (nouvelles extensions) :
mais cette dernière particule
est encore inobservée
Le boson de Higgs Le boson de Higgs
limites sur m
limites sur m
HiggsHiggsdans le Modèle Standard : dans le Modèle Standard :
recherche du boson de Higgs : recherche du boson de Higgs :
recherche directe
mHiggs > 114.4 GeV/c2 @ 95% CL (LEP)
ajustements électrofaibles mHiggs < 207 GeV/c2 @ 95% CL
limite théorique
mHiggs < 1 TeV/c2 (trivialité, unitarité)
mHiggs inconnue
nécessite une grande gamme d’énergie
section efficace de production
σHiggs une dizaine d’ordres de grandeur plus faible que σtotale
LHC
collisionneur proton-proton de 27 km de circonférence
énergie dans le cm √s = 14 TeV
croisement paquets de protons toutes les 25 ns Luminosité nominale prévue:
2.10
33cm
-2s
-1à 10
34cm
-2s
-1basse : 10 fb
-1/an
haute : 100 fb
-1/an
4 grandes expériences:
ATLAS, CMS, LHCb et ALICE
premières collisions fin 2007 √s = 450+450 GeV
LHC : LHC : Large Hadron Collider
CERN, Genève
Tevatron
section efficace proton-(anti)proton
LHC
Le LHC
Le LHC
variables pseudo-rapidité : η =-ln( tan(θ/2) ) énergie transverse : E
T= E sin (θ)
L’expérience ATLAS L’expérience ATLAS
caractéristiques
longueur : 44 m diamètre : 22 m poids : 7000 t
Y
X Z
φ θ
géométrie symétrie suivant φ symétrie par
rapport à η=0
ATLAS : A Toroïdal LHC ApparatuS ATLAS : A Toroïdal LHC ApparatuS
protons
protons
résolution en impulsion :
σ(p)/p = 0.05 % p (GeV) 1% pour |η|<2.5
Solénoïde 2T Solénoïde 2T
détecteurs internes détecteurs internes
détecteur à pixel
SCT (Semi-Conductor Tracker)
Le détecteur interne
Le détecteur interne
Les calorimètres Les calorimètres
résolution en énergie (en GeV) :
électromagnétique: σ(E)/E = 10%/√E 0.3/E 0.7% pour |η|<3.2 hadronique: σ(E)/E = 50%/√E 3% pour |η|<3
: σ(E)/E = 100%/√E 5% pour 3<|η|<5
les calorimètres les calorimètres
électromagnétique
Le spectromètre à muons Le spectromètre à muons
résolution en impulsion :
σ(pT)/pT < 3% pour 10<pT<250 GeV et pour |η|<2.7 σ(pT)/pT = 10 % à 1 TeV
8 aimants toroïdaux 8 aimants toroïdaux et 2 toroïdes bouchons et 2 toroïdes bouchons
spectromètre
spectromètre à à muons muons
MDT (Monitored Drift Tubes)
CSC (Cathode Strips Chambers)
RPC (Resistive Plate Chambers)
TGC (Thin Gap Chambers )
calorimètre à échantillonnage plomb/argon liquide
argon liquide (90 K) :
homogénéité, stabilité chimique, tenue aux radiations
couverture :
|η|<1.475 partie tonneau
1.375<|η|<3.2 partie bouchon
géométrie cylindrique hermétique en φ accordéon
Le calorimètre Le calorimètre électromagnétique électromagnétique
bouchons bouchons
tonneau tonneau
profondeur (suivant r) :
25 à 34 X
0longueurs de radiation 2 demi-tonneaux
z<0 et z>0
1 demi-tonneau :
partie tonneau : partie tonneau : caractéristiques : caractéristiques :
r
Principe et segmentation Principe et segmentation
particules
η
développement de la gerbe : absorbeur plomb : X
0=0.56 cm φ
ionisation de l’argon liquide : électrons d’ionisation signal : collecté par la couche centrale des électrodes
principe : principe :
compartiment avant compartiment avant
compartiment milieu compartiment milieu
compartiment arri compartiment arrièèrere
=0
=1.4
pré
pré é échantillonneurchantillonneur
r
cellules
η
φ r
compartiment compartiment
milieu milieu
prépré
échantillonneur échantillonneur
compartiment arrière compartiment arrière
compartiment avant compartiment avant
segmentation : segmentation :
compartiment granularite (×) profondeur pré-échantillonneur 0.025 x 0.1 1-2 X0.025 x 0.1 1-2 X00 avant 0.003 x 0.1 3-5 X0.003 x 0.1 3-5 X00 milieu 0.025 x 0.025 15-18 0.025 x 0.025 15-18 XX00
arrière 0.05 x 0.025 1-8 X0.05 x 0.025 1-8 X00
=0.8
cryostat
déclenchement L1 L1 décision
HTHT
filtre de mise filtre de mise en forme CR-RC en forme CR-RC
22ADCADC RODROD
SCA
signal d’étalonnage signal d’étalonnage
t
U
étalonnage
A A
maxmax∞ ∞ E E
déposéedéposée(2.8 (2.8 A/GeV) A/GeV)
temps de dérive ~ 450 ns
t I
signal de physique signal de physique
3 gains (1:9.3:93) 3 gains (1:9.3:93)
cellule de cellule de détection détection
reconstruction de reconstruction de l’énergie par filtrage l’énergie par filtrage optimal
optimal
E = a
is
it U
signal après mise en forme signal après mise en forme échantillonnage
toute les 25 ns
La chaîne de lecture La chaîne de lecture
caverne pour l’électronique
chaîne de lecture pour ATLAS: chaîne de lecture pour ATLAS:
besoin de la forme du signal de physique gphysique, de sa dérivée g’physique et de la matrice d’auto corrélation du bruit R
reconstruction de l’énergie en utilisant les coefficients de filtrage optimal ai
Coefficients de Coefficients de filtrage optimal filtrage optimal
méthode de méthode de filtrage optimal filtrage optimal : :
électronique optimisée pour la haute luminosité (bruit d’électronique et d’empilement) le filtrage optimal permet de réduire le bruit à basse luminosité (d’un facteur 1.7) minimise les biais introduits par les décalages en temps lors de l’échantillonnage
coefficients de coefficients de filtrage optimal filtrage optimal (OFC): (OFC):
t
ADCADCpicpic
ADCADCpicpic∞ E∞ Edéposédéposé
I. Reconstruction du signal et I. Reconstruction du signal et
é é talonnage talonnage du calorimètre du calorimètre électromagnétique
électromagnétique
Test en faisceau de 2004
Prédiction du signal de physique
Production des coefficients de filtrage optimal Reconstruction de l’énergie
Résumé
Le test en faisceau de 2004 Le test en faisceau de 2004
test en faisceau combiné: test en faisceau combiné:
objectifs: objectifs:
tranche complète d’ATLAS électronique finale
90 millions d’événements : e, π, μ,γ,p énergie de 1 à 300 GeV
performances combinées des sous détecteurs valider la modélisation Monte Carlo
validation du code de reconstruction et d’
étalonnage dans l’environnement logiciel : ATHENA
caractéristiques : caractéristiques :
acquisition cadencée à 40 Mhz comme au LHC faisceau asynchrone contrairement au LHC
dispositif
calorimètre électromagnétique calorimètre électromagnétique TRT
TRT
calorimètre calorimètre hadronique hadronique
chambres chambres à muons à muons chambres
chambres à muons à muons
cryostat et module cryostat et module prototype du prototype du calorimètre calorimètre
électromagnétique électromagnétique
Différence entre le signal Différence entre le signal de physique et d’étalonnage de physique et d’étalonnage
signal de physique gphysique dans ATLAS
t
ADCADCpicpic
5 échantillons espacés de 25 ns
dont 1 échantillon proche du maximum(+/-2 ns)
t
ADCADCpicpic
32 échantillons espacés de 25 ns retard programmable :
échantillonnage toutes les 1.04 ns
signal d’étalonnage g étalonnage
gphysique gétalonnage MMphysphysiqueique
MMétalonnageétalonnage pour une même charge injectée les
signaux de physique
g
physique etd’étalonnage
g
étalonnage sont différentsbesoin de prédire le signal de physique
g
physique préditepour calculer MM / MM
g
physique prédite= g
étalonnage* H(t) différence :
H(t) de forme g
physique≠ g
étalonnage
de point d’injection
Prédiction du signal Prédiction du signal
de physique de physique
signal de physique au test en faisceau
t
ADCADCpicpic
6 échantillons espacés de 25 ns
faisceau asynchrone
particules avec une phase aléatoire [0-25 ns]
forme de physique
g
physique avec échantillonnage fréquentsignal de physique prédite gphysique prédite
paramètres fixés paramètres libres
g
physique préditeajustée à la g
physiquepour différents courants injectés
am pl itu de ( u. a)
temps (ns) signal de physique : signal de physique :
électrons de 250 GeV coupures de sélection :
nombre d’événements par cellule : 1000 Epré-échantillonneur, avant, arrière > 1 GeV et Emilieu> 7 GeV
η
η=0.8
particules
g
physiqueg
étalonnagesignal de physique
0.6<η<0.8 problème de Haute Tension
η >0.8 qualité des données ne permettent pas de reconstruire de bonnes formes de physique
co up s d’ A D C signal d’étalonnage
temps (ns)
Reconstruction du signal Reconstruction du signal d’étalonnage et de physique d’étalonnage et de physique
module
φ
pour différents courants injectés
Ajustement Ajustement
temps (ns)
am pl itu de ( u. a)
compartiment avant
ajuster les prédictions gphysique prédite aux courbes de physique mesurées gphysique résidus autour de 2 % au maximum
calcul de Mphysique/Métalonnage
calcul des jeux de coefficients de filtrage optimal pour toutes les cellules
ajustement : ajustement :
ré si du s g
physiqueg
physique préditerésidus
g
physique prédite- g
physique
g
physique préditerésidus =
Reconstruction Reconstruction
de l’énergie de l’énergie
reconstruction de l’énergie d’une cellule : reconstruction de l’énergie d’une cellule :
utilisation des coefficients de filtrage optimal
coefficients de filtrage optimal rapport des maximas :
gphysique sur gétalonnage extraction du
Monte Carlo + test en faisceau calcul à partir des
valeurs mesurées des composants d’étalonnage
co up s d’ A D C
DAC
déterminés par une procédure d’étalonnage
amas de taille fixe
×
=3×
3 dans le compartiment milieu autour de la cellule la plus énergétiqueaucune correction : pertes latérales, vers l’arrière, ….
Résolution de la réponse en Résolution de la réponse en
fonction de
fonction de η η sans correction sans correction
reconstruction de l’énergie d’un amas : reconstruction de l’énergie d’un amas :
balayage en η (η<0.6)
én er gi e (G eV )
η
=0.28
én er gi e (G eV )
E = 168.2 GeV σ = 1.4 GeV σ/E = 0.81 %énergie (GeV)
électrons de 180 GeV
Résumé Résumé
perspectives : perspectives :
résumé et contributions : résumé et contributions :
code de prédiction des formes de physique migré dans ATHENA testé et validé avec les données du test en faisceau de 2004 production des coefficients de filtrage optimal
validation de la chaîne de reconstruction de l’énergie avec les OFCs
prouver que l’on peut prédire les formes de physique avec 5 échantillons au LHC
préparer le code et la stratégie pour le démarrage du LHC
II. Identification des leptons II. Identification des leptons
dans leurs désintégrations dans leurs désintégrations
hadroniques hadroniques
Processus de physique avec des leptons Caractéristiques des leptons
Algorithmes TauRec
Tau1P3P
Première comparaison TauRec/Tau1P3P
Résumé
boson de Higgs du Modèle Standard (VBF) qqH → qqττ
Z → ττ W→ τντ
désintégration du boson de Higgs : désintégration du boson de Higgs :
processus du Modèle Standard : processus du Modèle Standard :
important pour la mise en route du détecteur
Processus de physique Processus de physique
avec des l
avec des l eptons eptons
canal VBF très important pour un Higgs de basse masse : 115 GeV/c
2< m
Higgs< 145 GeV/c
2désintégration en une paire de leptons τ
mHiggs (GeV)
mHiggs (GeV )
signification statistique
rapport d’embranchement
production par fusion de bosons vecteurs faibles (VBF) 10%-20%
(mHiggs=115-145 GeV/c2)
5σ
Les leptons Les leptons
état final rapport
d’embranchement (%)
type de désintégration e υe υ
17.8 leptonique
(35.2%)
μ υμ υ 17.4
π υ 11.1 hadronique
1 particule chargée (46.5%)
π π0 υ 25.1
π + n π0 υ n ≥2 10.3
π π π υ 9.5 hadronique
3 particules chargées
propriétés des leptons propriétés des leptons : :
lepton τ
m
= 1776.99
+0.29MeV c = 87 μm
modes de désintégration des leptons modes de désintégration des leptons : :
désintégrations hadroniques
jets
désintégrations leptoniques
e, μ
Candidats
Candidats jets jets
jet τ
π
0π
+π
-π
+reconstruction des candidats jets reconstruction des candidats jets : :
échantillons Z→ττ
caractéristiques
amas calorimétrique bien collimé
petit nombre de traces chargées associées région
|η|<2.5 zone limite du détecteur interne
jets QCD
électrons : gerbe tardive ou important bremsstrahlung muons interagissant dans les calorimètres
TauRec et Tau1P3P
bruit de fond identifié comme des jets bruit de fond identifié comme des jets : :
algorithmes de reconstruction des jets algorithmes de reconstruction des jets dans ATLAS: dans ATLAS:
Reconstruction Reconstruction
TauRec (algorithme officiel) : TauRec (algorithme officiel) :
initié par différents objets : amas calorimétrique ou trace association des traces aux candidats jets
étalonnage de l’énergie des jets (calorimètres)
initié par une trace de bonne qualité
construction des candidats jets avec 1 ou 3 traces
étalonnage de l’énergie des jets (détecteur interne et calorimètres)
détermination des variables discriminantes identification des jets
Tau1P3P (nouvel algorithme): Tau1P3P (nouvel algorithme):
p
T(GeV)
résolution (%)
détecteur interne calorimètres
pour TauRec et Tau1P3P : pour TauRec et Tau1P3P :
pions
TauRec : pré-sélection TauRec : pré-sélection
algorithme de reconstruction algorithme de reconstruction
des jets des jets par défaut dans ATLAS : par défaut dans ATLAS :
amas (E
T>15 GeV), ou une trace (p
T> 2 GeV)
association des traces aux candidats jet si ΔR=√(Δη
2+Δφ
2)<0.3
candidat jet de TauRec
η nombre de traces u.a efficacité de reconstruction
eff
reconstruction
coupure
ΔR<0.4
ΔR<0.3
TauRec : variables TauRec : variables
détermination des variables discriminantes pour l’identification des jets et pour la réjection des jets QCD
u.a
REM
rayon électromagnétique R
EM: jet τ : jet mince
petit profil dans la direction transverse
jet QCD : pour de grands p
T :grand boost
jet plus étroit
TauRec : identification TauRec : identification
étalonnage de l’énergie des jets
poids (Monte Carlo) appliqués sur l’énergie dépendant de la densité en énergie (à la H1)
coupure sur les variables discriminantes
jet identifié par TauRec
u.a
σ = 10.4%
= -1.8%
(ETτreconstruit – ETvrai τ visible)/ ETvrai τ visible
possibilité d’être initié à partir de différents objets bonne efficacité de reconstruction
bonne résolution en énergie
caractéristiques des leptons dans leur mode hadronique :
1 trace + n π0 (Tau1P) 3 traces + n π0 (Tau3P)
trace de bonne qualité (pT> 9 GeV),
recherche des traces voisines (pT> 2 GeV, ΔR<0.2) 1 trace de bonne qualité
+ pas de trace voisine + 2 traces voisines
nouvel algorithme de nouvel algorithme de reconstruction des jets
reconstruction des jets dans ATLAS : dans ATLAS :
|η|
efficacité de reconstruction
candidat jet
de Tau1P candidat jet de Tau3P
eff
reconstruction
Tau1P
|η|
efficacité de reconstruction
Tau3P
eff
reconstruction
Tau1P3P : pré-sélection
Tau1P3P : pré-sélection
Tau1P3P : variables Tau1P3P : variables
détermination des variables discriminantes pour l’identification des jets
et pour la réjection des jets QCD
Tau3P
u.a
ΔET12
ΔR<0.1 ΔR<0.2
fraction d’énergie déposée ΔE
T12:
jet τ : jet bien collimé
jet QCD : pour de grands p
T :grand boost
jet plus étroit
Tau1P3P : identification Tau1P3P : identification
étalonnage de l’énergie des jets technique du flux d’énergie
information du détecteur interne et calorimètres
coupure sur les variables discriminantes
Tau1P
u.a u.a
(ETτreconstruit – ETvrai τ visible)/ ETvrai τ visible
Tau3P
jet identifié
par Tau1P jet identifié par Tau3P
σ = 10.1%
= -1.7%
initié à partir d’une trace
séparation des jets avec 1 ou 3 traces
bonne résolution en énergie
Comparaison Comparaison
TauRec/Tau1P3P I TauRec/Tau1P3P I
meilleure efficacité de reconstruction des candidats jets de TauRec que ceux de Tau1P3P
efficacité de reconstruction des jets efficacité de reconstruction des jets : :
efficacité de reconstruction
|η| |η|
efficacité de reconstruction
normalisée par les avec 1 trace normalisée par les avec 3 traces
trace de bonne qualité avec Tau1P3P
séparation des jets avec 1 ou 3 traces avec Tau1P3P
Comparaison Comparaison
TauRec/Tau1P3P II TauRec/Tau1P3P II
facteur de réjection des jets QCD : facteur de réjection des jets QCD :
coupures séquentielles sur les variables discriminantes pour TauRec/Tau1P3P en gardant la même efficacité de reconstruction et d’identification
1 trace 3 traces résolution en énergie : résolution en énergie :
meilleure résolution en énergie avec Tau3P résolutions de TauRec et Tau1P comparables
meilleure résolution en énergie avec Tau3P
bien meilleur facteur de réjection avec Tau1P3P
calcul d’une vraisemblance:
8 variables discriminantes : R
EM, ΔE
T12, nbr de traces …
pour un efficacité donnée (20 à 70 %)
coupure sur la vraisemblance dépendant de l’énergie E
Tméthode d’identification optimisée seulement disponible pour TauRec
TauRec : identification TauRec : identification
ε=50%
J2 : R 40 J3 : R 100 J5 : R 200
efficacité reconstruction et d’identification
facteur réjection
méthode de vraisemblance : méthode de vraisemblance :
1 trace 3 traces
meilleur facteur de réjection avec la vraisemblance (TauRec)
pour Tau1P3P avec une méthode optimisée : meilleurs facteurs de réjection
attendus
Résumé Résumé
TauRec donne de bonnes performances avec la possibilité de démarrer avec différentes options et a une bonne efficacité de reconstruction
Tau1P3P a une efficacité de reconstruction plus faible, mais un bien meilleur facteur de réjection et une meilleure résolution en énergie pour les candidats Tau3P
comparaison entre TauRec et Tau1P3P
validation des échantillons Monte Carlo produits par la collaboration
première étude avec le format de données pour analyse (AOD), utilisation des données les plus récentes et comparaison dans les mêmes conditions
étude avec un plus large éventail d’échantillons (plus grande gamme en ET) comparaison du facteur de réjection en utilisant la même méthode optimisée
résumé : résumé :
contributions : contributions :
perspectives : perspectives :
III. Recherche d’un boson de Higgs III. Recherche d’un boson de Higgs
du Modèle Standard du Modèle Standard
Le signal et les bruits de fond Coupures de sélection
Résultats en simulations rapide et complète Potentiel de découverte
Résumé
Signal Signal
fusion de bosons vecteurs faibles : V=W, Z qq qqVV qqH (H )
avec H→→hadron(s) υ
+ l υ
lυ
m
H= 120 GeV/c
2σRE = 340 fb
2 jets très énergétiques vers l’avant pas de jets centraux
2 jets, un vers l’avant et l’autre vers l’arrière 1 jet central
1 lepton central
de l’énergie transverse manquante
les bosons émis sont des singlets de couleur signal : signal :
topologie particulière : topologie particulière :
signature dans le détecteur : signature dans le détecteur :
u.a
η quark
jets
produits de désintégration du Higgs
quarks qui rayonnent les bosons
Bruits de fond Bruits de fond
bruit de fond irréductible : bruit de fond irréductible :
bruit de fond réductible : bruit de fond réductible :
Z + 2 jets avec Z→
calcul des éléments de matrice LO radiation de gluons « parton shower »
Z+2 jet contient en réalité Z+3 et même Z+4 jets
problème de double comptage
nouvelle description plus
correcte des processus
multi jets : première étude
ancienne description des
processus multi jets :
Pré-sélection Pré-sélection
pré sélection :1 lepton isolé + 1 jet + deux jets ou plus déclenchement sur les leptons : E
Te> 25 GeV ou P
Tμ> 20 GeV
coupure sur le E
Tdu jet : E
Tjet > 40 GeV (pour une bonne réjection des faux )
étiquetage des jets vers l’avant et l’arrière : 2 jets étiquetés (bien séparés)
coupures de pré-sélection : coupures de pré-sélection :
u.a u.a
E jet pT max (GeV)
Masse invariante Masse invariante
coupure pour la reconstruction de masse de la paire de : m
reconstruction de la masse invariante : reconstruction de la masse invariante :
(p
Tτ1+ p
Tτ2) = p
Tl/x
l+ p
Tτ-jet/x
τ-jet
= p
Tl+ p
Tjet-τ+ p
Tmanqj1
j2
H l
υ υ
υ jet-τ
approximation colinéaire
où x
let x
τ-jetsont la fraction du moment du parent τ portée par le lepton ( τ→υ
lυ
τl) et par
le jet τ (τ→ υ
τhad)
nombre d’événements
Mττ(GeV/c2)
ττ=118+/-10 GeV/c2
Sélection finale Sélection finale
m
T(l,p
Tmanq) = ( (E
T(l) + E
Tmanq)
2-|pT(l) + p
Tmanq|
2)
½< 30 GeV E
Tmanq> 30 GeV
m
jj> 700 GeV
veto sur le jet : pas de jet avec E
Tj veto>20 GeV
entre les 2 ”jets étiquetés ”
coupures de sélection finales : coupures de sélection finales :
à haute luminosité ~23 événements se superposent au processus dur très efficace pour éliminer les bruits de fond
supprime le signal
à basse luminosité : ~4 événements se superposent au processus dur
σ×RE (fb) après la pré sélection et après toutes les coupures :
signification statistique S/√B
Résultats Résultats
génération H→ττ
Z+jj (QCD)
Z+jj (EW)
Z+j
Z+n jets n=0 à 5
t t W+j
coupure de pré
sélection (σ×BR en fb) 29.7 2.74×104 58.3 1.66×104 2.28×104 1.76×104 6.65 ×104
fenêtre en masse (σ×BR en fb)
0.51 0.20* 0.03 0.11 0.36 0.0* 0.01*
nbr d’événement 30 fb-1
15.3 6.0*
0.9* 3.3 10.8 0.0* 0.3*
signal bruits de fond irréductibles bruits de fond réductibles résultats de la simulation rapide : résultats de la simulation rapide :
nouveau résultat
S/√B = 4.7 : Z+jj(QCD+EW), Z+j, t t, W+j
S/√B = 4.4 : Z+n jets, Z+jj(EW), t t, W+j incertitude théorique%
sur le bruit de fond Z jets
faible statistique
Premiers résultats avec la Premiers résultats avec la
simulation complète simulation complète
premiers résultats avec la simulation complète : premiers résultats avec la simulation complète : E
Tmanqest l’observable la plus délicate
effet de l’énergie transverse manquante
ETmanq simulation ETmanq simulation vraie ETmanq
rapide complète complète
Étude des performances de la Étude des performances de la
simulation complète simulation complète
performances avec la simulation complète : performances avec la simulation complète :
u.a
acceptance plus faible pour les électrons et les muons
étalonnage médiocre pour les jets et les jets
ETmanq optimiste avec la simulationrapide
pour le signal : manque de statistique
bruit de fond non simulé
ETmanq (reconstruite)– ETmanq(vraie) (GeV)
σ = 8.1 GeV
= 1.2 GeV σ = 10.6 GeV
= -1.1 GeV
découverte possible pour un Higgs de basse masse 115 GeV/c
2< m
Higgs< 145 GeV/c
2
pour 3 ans à basse luminosité (30 fb
-1) canal très important
expérimentales : E
T manq, identification des
simulation : description des Z + n jets théorique : incertitude ~ 30%
autres : empilement, calibration ….
problème : veto dans la région centrale
Potentiel de découverte Potentiel de découverte
Signification statistique
découverte
mHiggs (GeV/c2)
5σ résultat :
résultat :
erreurs systématiques : erreurs systématiques :
à haute luminosité : à haute luminosité :
nouveau point
Résumé Résumé
résumé : résumé :
contributions : contributions :
perspectives : perspectives :
découverte possible pour un Higgs de basse masse mHiggs = 120 GeV/c2 importance de la bonne description du bruit de fond Z+ multi jets
bonne reconstruction de l’énergie transverse manquante primordiale
validation de la simulation rapide
première étude avec le fond Z+ n jets correctement décrit
comparaison des performances d’identification entre les simulations rapide et complète rapide survol avec la simulation complète
étude du bruit de fond avec beaucoup plus de statistique (Z+n jets) étude et compréhension des performances de la simulation complète
Perspectives Perspectives
mise en route : mise en route :
premières données : premières données :
recherche du Higgs : recherche du Higgs :
comprendre la réponse du calorimètre électromagnétique avec les données de muons cosmiques
constantes d’étalonnage pour les premières collisions
compréhension des événements de biais minimum validation et amélioration de l’étalonnage Z→ee étude des performances de reconstruction et d’identification pour Z→ττ
étude de l’énergie transverse manquante
•
compréhension de la description Monte Carlo de Z + n jets
grâce aux données
Transparents
Transparents
supplémentaires
supplémentaires
Le Modèle Standard Le boson de Higgs Le LHC
L’expérience ATLAS Le détecteur interne Les calorimètres
Le spectromètre à muons
Le calorimètre électromagnétique Principe et segmentation
La chaîne de lecture
Coefficients de filtrage optimal
Plan Plan
Le test en faisceau de 2004
Différence entre le signal de physque et d’étalonnage Prédiction du signal de physique
Reconstruction du signal de physique et d’étalonnage Ajustement
Reconstruction de l’énergie
Résolution de la réponse en fonction de η sans correction Résumé
Plan Plan
Processus de physique avec des leptons Les leptons
Candidats jets Reconstruction
TauRec : pré-sélection TauRec : variables
TauRec : identification Tau1P3P : pré-sélection Tau1P3P : variables
Tau1P3P : identification
Comparaison TauRec/Tau1P3P I Comparaison TauRec/Tau1P3P II TauRec :identification
Résumé
Plan Plan
Signal
Bruits de fond Pré-sélection
Masse invariante Sélection finale Résultats
Premiers résultats avec la simulation complète
Étude des performances de la simulation complète Potentiel de découverte
Résumé
Plan Plan
L’expérience
L’expérience
ATLAS au LHC
ATLAS au LHC
Trigger Trigger
Trigger in ATLAS
High Level Trigger Level 1
2.5 μs
~10 ms
~sec
PC farms
Level 2
Event Filter
Hz
kHz
kHz
LVL1
Calorimeter+Muon Trigger, coarse granularity
LVL2
Region of Interest, All detectors, full granularity
Event Filter refines the selection,
can perform event reconstruction
using latest alignment and calibration
data (full offline reconstruction)
Le calorimètre électromagnétique
Le calorimètre électromagnétique
Principe de fonctionnement Principe de fonctionnement
particules η
φ
η
r
développement de la gerbe : absorbeur plomb : X0=0.56 cm ionisation de l’argon liquide électrons d’ionisation
signal
induit par couplage capacitif
collecté par la couche centrale des électrodes
principe : principe :
développement de la gerbe développement de la gerbe
absorbeur
électrode de lecture
Performances Performances
résolution en énergie :
uniformité en position < 0.7% jusqu’à 300 GeV
linéarité en énergie
< 0.5 % pour des énergies de 10 GeV jusqu’au TeV
performances : performances :
limites imposées par la physique: boson de Higgs (H→γγ), bosons lourds (Z’→ee)
terme échantillonnage :a ~ 10 % √(GeV) bruit b : ~ 0.3 GeV à basse luminosité ~ 0.5 GeV à haute luminosité terme constant : c ~ 0.7 %
mesurées en test en faisceau
Tests électriques
Tests électriques
Profondeurs du calorimètre Profondeurs du calorimètre
électromagnétique
électromagnétique
signal de physique signal d’étalonnage
Reconstruction du signal Reconstruction du signal d’étalonnage et de physique d’étalonnage et de physique
pour différents courants injectés
am pl itu de ( u. a) co up s d’ A D C
temps (ns) temps (ns)
signal de physique : signal de physique :
électrons de 250 GeV 0 < η < 0.8
coupures de sélection
cellules avec assez d’événements
module
η
η=0.8
φ
φ particules
g
physiqueg
étalonnageméthode de convolution en temps (TCM) utilise les formes de physique et d’étalonnage
Prédiction du signal Prédiction du signal
de physique de physique
transformée de Laplace
cali= constante de décroissance fstep= 0.065
r = rC
0 = (LC)
cali
fstep
Td
prédiction du signal de physique : prédiction du signal de physique :
point d’injection
forme du signal
étalonnage
physique
g
physique prédite= g
étalonnage* H(t) ajusté à la g
physiquecali
paramètres libres:
paramètres fixés:
g
physique prédite(s)= g
étalonnage(s)
M M physique physique /M /M étalonnage étalonnage
MMphyphyss MMcslicsli
A correction for the M
physique/M
étalonnagefactor is needed (5-10%)
L’identification des leptons
L’identification des leptons τ τ
Efficacité, réjection Efficacité, réjection
nbr vrai hadronique eff reconstruction et d’identification =
nbr candidat jet (reconstruit,identifié jet et venant d’un vrai hadronique )
facteur réjectionjets QCD = nbr vrai jet partonique (q,g)
nbr candidat jet (reconstruit,identifié jet et venant d’un vrai parton )
eff reconstruction =
nbr candidat jet (reconstruit et venant d’un vrai hadronique )
nbr vrai hadronique
bosons de Higgs d’une extension Supersymetrique du Modèle Standard (MSSM) (A/H, H+)
A
0/H
0→ ττ, H
+-→ τ
+-+ν
τsignature de processus supersymètrique avec des dans l’état final
dimensions supplémentaires … nouvelles théories (?)
désintégration du(des) bosons de Higgs : désintégration du(des) bosons de Higgs :
processus exotiques : processus exotiques :
Leptons
Leptons : au-dela du : au-dela du Modèle Standard
Modèle Standard
mA (GeV)
tan β
distribution distribution
E (MeV )
TauRec I
TauRec I
TauRec II
TauRec II
Tau1P3P I
Tau1P3P I
Tau1P3P II
Tau1P3P II
Tau1P3P III
Tau1P3P III
triggers triggers
Possible way of selecting taus with the ATLAS trigger
Lepton Trigger
trigger with the electron or the muon
Hadronic Tau Trigger - LVL1 Tau Trigger ( Calo)
use EM (0.2×0.2) and hadronic (0.2×0.2) towers to define a Region of Interest and also for the isolation
in the EM (1.2×1.2) and hadronic (1.2×1.2) calorimeter
- LVL2 Tau Trigger ( Calo+Tracking)
evaluating offline variables : em radius of the cluster, width in energy deposition, isolation fraction, track …
- Event Filter
based on the default -jet reconstruction code
lepton
hadrons
PRELIMINARY
trigger efficiency : still under evaluation
LVL1 Tau-Trigger LVL1 Tau-Trigger
‘
Hadronic Cal.
EM Cal. 2-Tower EM cluster
• A 2x2 tower EM cluster + 2 x 2 hadronic cluster used to ID cand.
ROIs
• A 2x1/1x2 tower EM clusters added to the energy in the hadronic inner
region (shown in red) is compared to a threshold. There are 4 in the ROI the highest ET is taken.
• A ring of 12 EM towers surrounding the clusters, which is used for isolation in the EM calorimeters
• 12 hadronic towers (behind the EM isolation ring) for isolation in the hadronic calo.
Tau trigger at LVL1
Le Modèle Standard Le Modèle Standard
et et
le boson de Higgs
le boson de Higgs
Simulation Simulation
Génération
Simulation rapide Simulation complète
Génération des événements :
• processus de production
• désintégrations successives générateur Monté Carlo : Pythia 6.205
listes des particules qui arrivent au niveau du détecteur (η, φ, E, P)
• interaction de chaque particule avec le détecteur (Geant 3)
• reconstruction des traces et des amas d’énergie (Athena 7.8.0)
• identification des particules
• on applique à chaque type de particule l’efficacité d’identification du détecteur
• on dégrade l’énergie et la position des particules en fonction de la résolution du détecteur (Atlfast 2.60)
listes des particules reconstruites détecteur (η, φ, P
T) : électrons, muons, jets de taus, photons, jets
analyse d’un canal de physique
Définitions Définitions
N=∫Ldt×σ×ε L: luminosité (cm
-2s
-1) nombre de particules/unité de surface qui tient compte de la fréquence de collision, de la densité et de la forme du faisceau par unité de temps
σ: section efficace (cm
2) proportionnelle à la probabilité que l’interaction ait lieu
ε =N
après/N
avant×100(%) ε: efficacité des coupures (en %) sur le Pt, etc … on veut augmenter le rapport Signal (S) sur Bruit (B)
R=N
avant/N
aprèsR : facteur de rejection des coupures sur le Pt , etc … il doit être grand de manière à supprimer le bruit de fond
(pour le signal)
(pour le bruit de fond)
S/√B
RE = Г(H→ττ)/Г(H)
Signifiance (en nombre de σ) où S désigne le nombre d’événements de signal et B celui de bruit de fond
3σ = évidence et 5σ = découverte
RE : rapport d’embranchement où Г représente la largeur désintégration ( Г =1 /τ, τ temps de vie)
σ(m )/<m > ×100(%) résolution de la masse du Higgs(%)
Principe d’un générateur Monte Principe d’un générateur Monte
Carlo 1/2 Carlo 1/2
gerbe de parton (PS) dans l’état initial et final (comme Pythia,Herwig)
éléments de matrice : NLO sous-processus « dur » :
désintégration des résonances :
ref : LHC Physics Event Generator Torbjon Sjostrand
Simulation of High Multiplicity Jet and Lepton Final-States
Peter Richardson