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Pour citer cet article :

Gilles LOUŸS, «Le carnet de voyage – Introduction», Viatica [En ligne], 5 | 2018, mis à jour le : 15/11/2019, URL : http://revues-msh.uca.fr/viatica/index.php?id=836.

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Le carnet de voyage – Introduction

Gilles Louÿs Université Paris Nanterre, CSLF Pas de meilleur endroit que le Rendez-vous du Carnet de voyage de Clermont-Ferrand pour organiser une réflexion collective, d’ordre historique et typologique, sur un objet qui connaît actuellement une réelle fortune éditoriale et suscite l’engouement du grand public : avec 80 carnettistes exposant leurs réalisations, une librairie éphémère rassemblant des centaines de titres relevant du carnet de voyage ou de la littérature viatique en général, près de 20 000 visiteurs, cet événement, qui en était cette année à sa 18e édition, atteste de la popularité croissante du carnet de voyage1. Une popularité qui tient bien sûr à la démocratisation et à la facilité du voyage lointain, certains diront même la massification du voyage2, mais qui s’explique aussi par la créativité associée au carnet qui peut combiner dessins, textes, photos – une créativité qui s’exprime aussi dans des réalisations audio et vidéo ou des créations animées numériques, dont on trouvera, dans le présent numéro de Viatica, un échantillon significatif de ces nouvelles tendances3. De ce point de vue le Rendez-vous clermontois constitue une sorte d’observatoire de toute la richesse d’expressivité et d’inventivité dans ce domaine.

C’est d’ailleurs l’occasion de constater qu’on publie beaucoup de carnets de voyage depuis ces dernières années4, pour des raisons qu’explique l’intérêt envers une forme d’expression ouverte à l’hybridation de différentes pratiques (le journal intime, le fragment, la « chose vue », le témoignage, l’anecdote, le reportage) et marquée par sa dimension interculturelle (le choc des cultures, aujourd’hui comme hier). Bref, le carnet de voyage est devenu aujourd’hui un objet éditorial à part entière, ce qui n’est pas sans provoquer quelque étonnement quand on se tourne vers le passé et qu’on essaie de reconstituer son histoire.

En effet, c’est depuis une époque récente qu’on publie des carnets de voyage – essentiellement depuis le XXe siècle. Cette publication a longtemps été réservée à quelques auteurs notoires (Gide, Leiris par exemple) – ou accédant à la notoriété en vertu de circonstances extraordinaires. Et cela pour une raison simple : les manuscrits qu’ont rapportés de leurs voyages, durant des siècles, pèlerins, navigateurs, diplomates, scientifiques ou tous les professionnels appelés à voyager (commerçants, militaires, missionnaires, ethnographes…) n’étaient précisément pas destinés à la publication, même s’ils pouvaient donner lieu dans

1 La 18e édition du Rendez-vous du Carnet de voyage, dirigé par Jean-Pierre Frachon, s’est tenue au Polydome de Clermont-Ferrand les 17, 18 et 19 novembre 2017. Nos remerciements vont à l’association Il Faut Aller Voir (IFAV), organisatrice de cet événement, qui a hébergé les 17 et 18 novembre la journée scientifique sur le carnet de voyage co-organisée par l’Université Paris Nanterre (CSLF : équipes Observatoire des écritures

contemporaines et Dynamiques herméneutiques) et l’Université Clermont Auvergne (CELIS). Les contributions réunies dans le présent numéro de Viatica sont issues, pour la plupart, de cette journée d’étude.

2 Un rapide coup d’œil sur les destinations couvertes par les carnets des exposants, dans les espaces qui leur étaient consacrés au Polydome de Clermont-Ferrand, atteste du goût pour des destinations lointaines comme les espaces d’Asie (singulièrement la Chine) ou l’Amérique latine (en particulier le Brésil) : indice que les grandes tendances du carnettisme d’aujourd’hui sont en relation étroite avec celles du tourisme contemporain et de son industrie.

3 Nous remercions Anne Pastor, Lucie Bauchot, Nicolas Buclin et Loup Blaster d’avoir autorisé la revue Viatica à publier dans le présent numéro des extraits de leurs récentes réalisations : carnet de voyage sonore à Rangoon pour Anne Pastor (Yangoon, sur France-Culture), carnet multimédia en ligne, pour Lucie Bauchot et Nicolas Buclin (Épopée en Cuba), court métrage en ligne pour Loup Blaster (Al Hurriya).

4 On peut s’en rendre compte en lisant le beau livre de Pascale Argod, L’Art du carnet de voyage, Paris, Gallimard, 2014.

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certains cas à une élaboration ultérieure sous forme de livre. On sait par exemple que certaines des pages des carnets tenus par Claude Lévi-Strauss lors de ses premières expéditions au Brésil ont été « recyclées » dans Tristes Tropiques5 et dans certaines de ses études publiées par la suite6 – mais ses carnets proprement dits n’ont pas été transmis au public sous forme de publication7. De même, les carnets de route de Nicolas Bouvier qui se trouvent dans le Fonds Bouvier de la Bibliothèque de Genève n’ont pas été publiés – en tout cas pas encore, et il faut ici remercier Éliane Bouvier qui a autorisé Raphaël Piguet à reproduire, dans son article consacré aux carnets préparatoires à L’Usage du monde et publié dans le présent numéro de Viatica, les deux feuillets mythiques rescapés de la décharge de Quetta.

Bref, les carnets de voyage d’antan n’avaient ni la visibilité ni la dignité qu’ils ont acquises aujourd’hui. Dans ces conditions, comment reconstituer la généalogie du carnet de voyage ? Comment retrouver des formes d’expression qui furent longtemps exclues de la littérature légitime, et dont l’imprimé ne peut, de ce fait, retenir la trace ? C’est ce défi que le présent numéro de Viatica se propose de relever, à travers des contributions proposant d’éclairer, depuis le Moyen Âge jusqu’au XXe siècle, l’histoire des différentes formes prises par le carnet de voyage. Mais ce n’est pas le seul, car peut-on mettre le même contenu dans l’expression « carnet de voyage » quand il s’agit de manuscrits appartenant à des époques antérieures, singulièrement au Moyen Âge où, comme le signale Christine Gadrat-Ouerfelli, les récits illustrés de pèlerinage en terre sainte n’ont été transmis qu’à travers des copies manuscrites, seulement accessibles à un public choisi de lecteurs ? Parle-t-on bien du même objet ? Les formes et les fonctions de ce que Marie-Christine Gomez-Géraud propose d’appeler le « manuscrit de voyage » sont en effet différentes selon qu’il s’agit d’un outil de recension entre les mains d’un pèlerin, d’un navigateur, d’un commerçant, d’un naturaliste, d’un explorateur – ou d’un peintre écrivain comme Fromentin. Bref, l’engouement contemporain pour le carnet de voyage, qui nous en a fait quelque chose de familier, d’à la fois personnel, créatif et original, ne doit pas faire oublier la diversité de ses usages durant sa très longue histoire, et le fait qu’il était réservé à une catégorie restreinte de lecteurs. Ce qui conduit à une autre interrogation sur la façon dont nous lisons, aujourd’hui, les carnets de voyage d’hier.

Mais alors peut-on dire qu’il existe un objet « carnet de voyage » qui se perpétuerait à travers les siècles, et tel que, malgré les formes multiples qui lui adviennent entre les mains de ses utilisateurs, il demeure reconnaissable au point qu’on puisse le mettre en regard avec les réalisations les plus contemporaines ? C’est la conviction qui anime certaines études récentes sur les carnets de voyage8. De fait, il existe une troublante similitude de forme entre certains manuscrits du XVIe siècle – voire de la fin du Moyen Âge – et les productions des

« carnettistes » d’aujourd’hui, comme le remarque Marie-Christine Gomez-Géraud, commentant la liberté parfois chaotique avec laquelle se présentent, sur la page manuscrite, dessins et inscriptions diverses. Mais on aurait tort d’en déduire une analogie de fonction. Si le

5 Voir la notice de Vincent Debaene dans l’édition des Œuvres de Claude Lévi-Strauss dans la Bibliothèque de la Pléiade, Paris, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 2008, p. 1682 et suiv.

6 Je pense à « Le Sorcier et sa magie », publié dans le numéro 41 des Temps modernes en 1949, puis dans Anthropologie structurale, Paris, Plon, 1958, p. 183 et suiv.

7 L’ensemble des carnets et documents personnels de Claude Lévi-Strauss se trouvent à la BnF : http://archivesetmanuscrits.bnf.fr/ark:/12148/cc134071 [consulté le 22/12/2017]

8 Voir Pascale Argod, L’Art du carnet de voyage, op. cit. et Stéphane Courant, qui semble mettre par exemple sur le même plan que les réalisations contemporaines le journal de voyage de Montaigne ou celui de Diderot (Voyage en Hollande), au motif que ceux-ci préconiseraient des formes de voyage permettant « la réalisation de soi » : Stéphane Courant, Approche anthropologique des écritures du voyage, Paris, L’Harmattan, 2012, p. 16- 17. Preuve que la familiarité que nous entretenons avec le carnet de voyage en fait un objet aveuglant, propre à susciter des rapprochements anachroniques.

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manuscrit de voyage existe au XVIe siècle, c’est moins parce qu’il suscite un intérêt en soi, mais plutôt parce que sa dimension subjective et anecdotique lui interdit de prétendre à la légitimité de l’imprimé, laquelle sanctionne tout ce qui entre dans le champ d’un savoir objectivé du monde. Toute confrontation avec les productions contemporaines ne peut donc qu’aboutir à montrer à quel point le carnet de voyage d’aujourd’hui s’est autonomisé au point de devenir un objet culturel légitime et potentiellement publiable : non plus « objet d’un projet », selon la formule frappante de Marie-Christine Gomez-Géraud, mais désormais « projet d’un objet9 ».

D’où la difficulté à cerner dans l’histoire une entité qui ne peut apparaître qu’au terme d’une archéologie aléatoire, dans la mesure où, comme le signale Sylvie Requemora-Gros, au XVIIe siècle, il est exceptionnel que soient conservés les manuscrits des voyageurs : on ne peut reconstituer à quoi ressemblent ces écrits qu’à partir de ce qui en a migré dans des textes imprimés, lesquels sont organisés dans un but précis, dans l’optique d’une mise en scène du savoir accumulé sur les espaces lointains. Le mot même de « carnet », s’il est attesté dès le XVIe siècle, n’est d’ailleurs pas usité au XVIIe pour désigner des écrits qui relèvent plus du négoce et des comptes que de l’enregistrement d’un vécu personnel.

Notons d’ailleurs que l’idée même que nous nous faisons du carnet de voyage, comme outil d’enregistrement d’impressions personnelles, et de ce fait ouvrant à une expression totalement libre (c’est l’un des mantras des carnettistes clermontois : « À chacun son voyage ») est démentie par la réalité même des « casernets » ou journaux de bord des navigateurs du XVIIIe. Nathalie Vuillemin attire ainsi l’attention sur la forme extrêmement normée du journal maritime, qui se doit de respecter les standards définis par l’Amirauté – et notamment s’en tenir au strict enregistrement, jour après jour, des données nautiques permettant le contrôle a posteriori de la navigation, ce qui exclut toute autre forme d’observation, a fortiori les impressions personnelles, de sorte qu’on pourrait dire que le journal de bord est, au vrai, un anti-carnet de voyage. Le journal de bord doit de plus s’écrire à l’heure du méridien de Paris, ce qui fait que, où qu’il se trouve sur les mers du globe, le navigateur déplace avec lui les repères édictés par l’autorité et reste constamment placé sous le regard de Paris.

Nathalie Vuillemin rapporte à ce propos les difficultés auxquelles sont confrontés au XVIIIe des voyageurs comme Commerson, qui participe par ses voyages et ses écrits à ce vaste mouvement de capitalisation de connaissances de type scientifique, où se signale à l’époque des Lumières la

« prise de possession du monde par le savoir ». Les contraintes du journal maritime sont en effet telles qu’elles astreignent les navigateurs à des notations elliptiques et souvent répétitives, au jour le jour, dont ils sont pleinement conscients, non sans ironie ou frustration : comment, dans ces conditions, rapporter les observations multiples, disparates, qu’ils ne peuvent mentionner ni dans le journal de navigation, ni dans les relations à caractère scientifique destinées à la publication ? D’où la complexité des écrits d’un Commerson qui s’enrichissent d’apostilles ou de renvois divers consignant tout ce qui n’a pu prendre place dans le journal de bord.

Il faut attendre les voyageurs du XIXe siècle et singulièrement ceux qui, par leur réputation littéraire, comme un Chateaubriand ou un Lamartine, attirent l’attention du public sur les écrits rapportés du voyage, pour assister à la floraison des carnets de voyage, outils entre les mains des écrivains, mais aussi des peintres cédant à l’attrait du voyage en Orient. Mais les carnets d’un Delacroix ou d’un Fromentin, s’ils nous rapprochent du carnettisme d’aujourd’hui, sont encore bien loin d’être les créations autonomisées du rendez-vous clermontois. Accumulation d’esquisses, de croquis, d’annotations, ils sont, plus qu’une création proprement dite, les traces d’un enregistrement du sensible ou d’une réflexion créatrice encore à venir. Guy Barthèlemy

9 On remarquera que c’est précisément pour participer au Rendez-vous clermontois que Lucie Bauchot et Nicolas Buclin ont entrepris la réalisation de leur carnet de voyage audiovisuel Épopée en Cuba : voir la transcription de la table ronde sur « Le carnet de voyage aujourd’hui » dans le présent numéro.

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montre ainsi comment le carnet devient entre les mains de Fromentin un outil heuristique, dont les contraintes liées à la rapidité d’enregistrement des choses vues lui permettent de ne filtrer du réel que ce qui transcende la perception immédiate.

Il serait également intéressant de démêler, dans les récits d’exploration de la période coloniale, au XIXe siècle, la part de ce qui provient des carnets tenus au jour le jour et de la mise en texte organisée qu’impose à l’époque la remise à l’éditeur d’un texte prêt à être imprimé10. Notons que dans les années 1930, quand pour la première fois on s’avise de publier des journaux de route, comme ceux de Gide dans ses voyages au Congo et au Tchad, il n’est pas sûr non plus que ceux-ci soient exempts d’un travail rétrospectif de remaniement ou d’amplification – même dans le cas d’un Leiris qui présente son Afrique fantôme comme la reproduction « pratiquement sans retouches » d’un journal tenu en qualité de « secrétaire archiviste » de la mission Dakar- Djibouti11.

Reste que ces carnets de route présentent toutes les marques des journaux personnels. Philippe Lejeune soulignait lui-même l’homologie entre le carnet de voyage et le journal intime, non sans exclure, par pur goût personnel, le journal de voyage du champ de ses recherches, car jugé par lui trop référentiel pour retenir son intérêt12. Et pourtant, la lecture des carnets de Michel Vieuchange et de Raymond Maufrais, deux apprentis aventuriers disparus tragiquement en 1930 et 1950 lors de raids réalisés dans des conditions extrêmes13, montre à quel point la proximité du journal et du carnet de marche, même et surtout quand il bascule dans le journal de survie, dans le cas de Maufrais, gagnerait à être méthodiquement explorée.

Enfin, voudrait-on une preuve que le carnet de voyage, même au XXe siècle, reste éloigné du carnettisme d’aujourd’hui, et peut-être bien plus proche qu’on ne l’imaginerait de ses avatars des siècles passés, qu’on la trouverait de manière frappante dans les carnets d’un Nicolas Bouvier, tels que les a étudiés Raphaël Piguet dans le fonds Bouvier de la Bibliothèque de Genève. Car si l’on y retrouve bien, dans le fameux « cahier noir », les éléments caractéristiques d’un carnet de route « canonique », il reste que c’est peut-être plus dans les « carnets de retour » de Bouvier, rédigés d’une façon déroutante, et qui interrogent la manière dont on aimerait se représenter l’avant-texte de L’Usage du monde, qu’on pourrait retrouver le fil reliant l’expérience première du voyage à sa résurrection par l’écriture. Mais si c’est là une frustration pour tous ceux qui rêveraient d’un processus génétique fluide reliant au texte final un avant- texte constitué des notes prises en voyage, il apparaît que ces surprenants détours, sur les sentiers de la création, viennent confirmer la relation dialectique que Bouvier établissait lui- même entre le nomadisme du voyage et la sédentarité de l’écriture.

10 Le récit d’Henri Mouhot, Voyage dans les royaumes de Siam, de Cambodge et de Laos et autres parties centrales de l’Indo-Chine, publié par Ferdinand de Lanoye (Paris, Hachette, 1868) est une relation « extraite de la correspondance et du journal de l’auteur », selon la page de titre du livre. Voir la version numérisée par la BnF : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1025086s/f15.image [consulté le 22/12/2017]

11 Michel Leiris, L’Afrique fantôme, Paris, Gallimard, 1981 (1934), p. 7.

12 Cf. Philippe Lejeune, « En voyage », dans Signes de vie. Le pacte autobiographique 2, Paris, Seuil, 2005, p. 161 et suiv.

13 Cf. dans le présent numéro mon article « Lire deux carnets de voyage du XXe siècle : Michel Vieuchange et Raymond Maufrais ».

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