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Le racisme est une théorie 'fondée sur l'idée de la supériorité de certaines « races » sur les autres

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Fr,b«fi!ä£

8 septembre 2000 - N° 17 - Fr. 3.90

Spécial Gottéron avec

Benichons

de la plaine

Hubert:

mi-ange, mi-indien

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irt^UEäSS Sur le vif

Toutes les personnes qui se reconnaîtront

sur ces photos gagnent un abonnement de trois mois à notre revue.

Il suffit de s'annoncer par fil au 026/425 48 15

(Alexandra Martins) ou par écrit à Fribourg Illustré CP 331,1701 Fribourg

Des pavés pour

le Tour de Suisse Les pavés de Lorette, à Fribourg, ont été récemment le support des cyclistes du Tour de Suisse. Une montée courte mais abrupte pour un tour qui a attiré de nombreux amateurs de la petite reine.

Texte et photos: Nadia Maillard

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18%

d'étrangers en Suisse,

p our ou contre?

Le 24 septembre 2000, (a population suisse devra se prononcer sur Vinitiative intituCée "pour une réglementation de VimmigrationLancée par l'extrême droite, elle propose de limiter à 18% (a proportion d'étrangers établis en Suis¬

se. A-t-eüe des chances d'aboutir? Meilleure gérance d'un pays ou tendance ra¬

ciste, (a réponse n'est pas si évidente.

Le racisme est une théorie 'fondée sur l'idée de la supériorité de certaines « races » sur les autres. Les doctrines qui en résultent prônent no¬

tamment la ségrégation entre

«races inférieures» et «races supérieures». L'expansion des blancs à travers le monde ren¬

força cette attitude (massacres d'amérindiens par les Espa¬

gnols, puis aux Etats-Unis).

En 1853, Gobineau publia son Essai sur l'inégalité des races humaines. A l'aide d'ar¬

guments sans fondements scientifiques; il avançait que toutes les qualités auraient été réunies chez cf'anciens habi¬

tants de la Perse, les Arians ou Aryens.

Cette théorie fut reprise et poussée à l'extrême par les nazis qui assimilèrent ces prétendus Aryens aux Alle¬

mands et, à un degré moindre, à tous les blancs d'Europe au¬

tres que les Juifs (et les Slaves), et en arrivèrent à l'extermina¬

tion cf'un grand nomôre de Tsi¬

ganes et de six millions de Juifs.

Aujourd'hui, la référence raciale tend à être mi¬

nimisée dans les discours ra¬

cistes pour être remplacée par la référence culturelle: ce que l'on rejette, ou plutôt, ce que l'on avoue rejeter, ce n'est pas une race différente, qualitati¬

vement inférieure; c'est un en¬

semble de coutumes considé¬

rées comme intolérables... et en tout cas non tolérées.

A l'heure où les Ren¬

contres internationales de Folklore ont fait rêver les nombreux spectateurs de Fri- bourg et d'ailleurs, en réitérant leur slogan de tolérance vis à vis ^'autres pays et d'autres cultures, à l'heure où ['Unesco a placé cette année 2000 sous le signe de la paix, la question se pose plus que jamais ! A chacun de voir où com¬

mence la tolérance et de calculer le besoin et les ef¬

fets d'une réglementation à 18% somme toute raciale!

Nadia Maillard

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cJ^ommaire 8 septembre 2000 - N° 17

De saison

8-9 Esprit de bénichon 17 Marché-concours de Bulle 33 1 bougie pour le home St-François

Flash Tour de Suisse à Fribourg

Camel Trophy Motocross à Cutterwil Merci Slava

Spécial Gottéron

Art et musique

14 La femme au château de Gruyère 15 Les arts exposent

36 François Volery, compositeur 37 Chœur-mixte d'Arconciel au Canada

Les jeunes

Couverture:

Cette rose éclose respire les derniers rayons estivals.

PHOTO A. F10RAVERA

10-11 Des indiens dans la ville 18 L'école à bien changé 38 Flash dur les nouveaux

forestiers-bûcherons

Fondé en 1945 Rte de la Glâne 31 -1701 Fribourg Revue bimensuelle d'information et d'actualité paraissant le premier et le troisième vendredi de chaque mois.

Organe officiel de l'Association Joseph Bovet et des Fribourgeois

«hors les murs».

Rédaction et administration:

Route de la Glâne 31

Case postale 331 - 1701 Fribourg Tél. 026/425 48 25

Fax 026/425 48 20 Rédaction et coordination:

Nadia Maillard Correspondantes:

Nathalie Balmat Gérard Bourquenoud Albert Bovigny Albert Jaquet Marinette Jaquier Jacqueline de Saint-Bon Paul W. Tekadiozaya Service des abonnements:

Alexandra Martins Tél. 026/425 48 00

Abonnements 2000 (TVA incluse):

Annuel: Fr. 82.50 Semestriel: Fr. 42.50 Etranger: Fr. 95.- Par avion: Fr. 120.—

Vente au numéro: Fr. 3.90 CCP 17-2851-7

Tirage: 5700 exemplaires Editeur:

Fribourg Illustré SA Route de la Glâne 31

1701 Fribourg Publicité:

Alexandra Langel Tél. 026/425 48 00 Natel 079/314 90 44 Mise en pages et graphisme:

Michel Brodard Marlyse Audergon

Délai de réception des annonces:

15 jours avant la parution.

La reproduction de textes ou d'illus¬

trations ne peut se faire qu'avec l'autorisation de la rédaction. Celle- ci n'assume aucune responsabilité concernant les manuscrits et photos non commandés.

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Nou\ #elle estiyale

Fritz (iv) d'Eric Sommer Il fit pourtant ce que son supé¬

rieur attendait de lui.

Il ouvrit le sac et déposa sur le bureau huit boîtes de papier à photocopier surmontées d'une enveloppe. Il ouvrit celle-ci la première et découvrit la photo¬

copie d'un relevé des Comptes de chèques postaux. Il s'agis¬

sait d'une somme de quatre mille huit cents francs portée au crédit du compte habituel du service. Il sourit et remit le document dans l'enveloppe.

Il se tourna vers son supérieur et lui dit: «Nous l'avons eu. Il a payé.» L'emploi du pronom

«nous» était une mesure diplo¬

matique destinée à associer le supérieur dans la réussite, bien que le jeune homme ait tout fait tout seul.

Mais aucun sourire n'éclairait le visage de son vis-à-vis.

Un peu inquiet sans trop savoir pourquoi, il ouvrit la première des boîtes. Il prit la feuille du dessus et vit tout de suite ce que c'était: Les Comptes de chèques postaux avaient préle¬

vé sur le même compte une somme de un franc vingt. Rien d'étrange à cela. Chaque fois que les Comptes de chèques postaux encaissaient un man¬

dat, ils prélevaient cette som¬

me quel que soit le montant de ce mandat.

Ne comprenant toujours pas, il leva les yeux vers son chef d'un air interrogateur. Il ren¬

contra le même regard froid qui lui ferma la bouche sur une question qu'il s'apprêtait à po¬

ser. Revenant à la feuille qu'il tenait dans la main, il regarda avec plus d'attention le justifi¬

catif de l'opération. C'était une photocopie de mandat postal adressé par Monsieur Fritz Nacht à l'administration des impôts avec mention: re¬

dressement fiscal N° 57 concer¬

nant l'immeuble de La Combe Basse.

Lorsqu'il arriva au montant, il fut surprit. Le mandat était de un franc vingt. Son esprit de comptable fut un peu choqué.

Ce que ce papier disait, c'était que le service des impôts avait reçu de M. Nacht une somme de un franc vint et que les chèques postaux avaient préle¬

vé pour la même opération un franc vingt. Résultat: le servi¬

ce des impôts n'avait pas en¬

caissé un seul centime. L'ar¬

gent était allé à la Poste.

Ayant peur de comprendre, il regarda la deuxième feuille.

Elle était identique. Il feuille¬

tait fébrilement le paquet avec des gestes de plus en plus fré¬

nétiques. Il se sentait pâlir.

«Vous pouvez effectivement vérifier», dit alors son supé¬

rieur d'une voix rageuse, «il y en a cinq cents par boîte, quatre mille en tout. Quatre mille fois un franc vingt font quatre mille huit cents francs.

Le montant exact du redresse¬

ment que vous avez adressé à M. Nacht. Il a donc tout payé, mais nous n'avons reçu aucun centime car la Poste a prélevé un franc vingt par mandat. J'ai eu M. Hofer au téléphone ce matin. L'idée de livrer par por¬

teur les quatre mille photoco¬

pies dans un sac postal sur mon bureau est de lui et toute l'histoire est dans les journaux du matin. L'administration des impôts s'est couverte d'un ri¬

dicule qui va nous poursuivre pendant des mois. Vous en êtes le responsable, et accessoire¬

ment M. Nacht. J'attends votre demande de mutation à 14 heures sur mon bureau.

* * *

*

Dans la cuisine, ce matin-là, la pile de courrier était recouver¬

te d'un journal grand ouvert.

Fritz souriait en le lisant.

Il leva la tête et rencontra le re¬

gard gris. Cette fois-ci il dut enfin le comprendre, car il murmura: «moi aussi, je t'ai¬

me».

(fin)

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Félicitations

à

Albert

Mettra ux

pour ses 45 ans de service à l'imprimerie Fragnière à Fribourg.

... et bonne et heureuse retraite!

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Economie INSTITUT AGRICOLE DE GRANGENEUVE Réorganisation du Centre

de formation pour l'économie familiale

Ê-Jlanifiée depuis plus M. d'une année, la réor¬

ganisation du Centre de formation pour l'économie familiale de l'IAG se réali¬

sera durant l'été 2000. Cet¬

te réorganisation se carac¬

térise par une séparation des activités de formation professionnelle et des acti¬

vités de vulgarisation en économie familiale et aussi par l'introduction de nou¬

velles formations.

Les causes de cette réorga¬

nisation sont multiples Tout d'abord, l'objectif d'être en conformité avec l'organisa¬

tion au niveau fédéral. En ef-

Institut agricole de Grangeneuve.

fet, au niveau de la Confédéra¬

tion, la formation est rattachée à l'Office fédéral de la forma¬

tion et de la technologie, alors que la vulgarisation en écono¬

mie familiale agricole reste rattachée à l'Office fédéral de l'agriculture.

Ensuite, la mise en place d'un nouvel apprentissage de ges¬

tionnaire en économie fami¬

liale. L'enseignement pour le canton de Fribourg a été attri¬

bué à l'IAG, que ce soit pour les ménages ruraux, privés ou col¬

lectifs. A cela vient s'ajouter la formation des aides familiales.

Opter pour le gaz naturel, c'est s investir dans l'environnement.

gaz naturel Une oasis pleine de fraôcheur et un accueil chaleureux...

c'est le gaz, c'est frigaz ! Foire de Fribourg STAND 348 - Halle 1 C

Bernadette Droz, nouvelle directrice du Centre deformation pour l'économie familiale.

PHOTOS IAG Cette réorganisation signifie aussi des déménagements internes et l'attribution de nouvelles responsabilités La formation de base sera con¬

centrée dans les locaux de l'Ecole ménagère I et II, avec comme directrice Mme Berna¬

dette Droz.

La vulgarisation en économie familiale agricole est déplacée au rez-de-chaussée du bâtiment des stations agricoles. Elle aura le statut de «Service de vulgari¬

sation en économie familiale»

avec comme responsable Mme Irène Lüthi Miinger.

Cette réorganisation permettra d'adapter constamment les prestations aux besoins de la clientèle et de poursuivre l'en¬

gagement de l'IAG en faveur de l'économie familiale et de la promotion de la paysanne.

IAG

Pour renouveler votre plaisir de cuisiner

Plus de 80 nouvelles idées pour une cuisine au quotidien, va¬

riée, étonnante et haute en cou¬

leur! Ce nouveau livre réunit des recettes au goût du jour, créées pour rendre la cuisine quotidienne encore plus légère et plus plaisante et vous per¬

mettre de servir en très peu de temps un repas «gourmand». ■

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Ça va la tête

La nouvelle Mes!

Clin d'œil au look piquant de Meg Ryan, pour cette coupe dont la modernité tient à ce nouveau volume qui donne la tendance. Volume poids plu¬

me, dont l'effet naturel est donné.

Automne/Hiver

Deux coupes,

deux

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Modernité fatale coupe et couleur de caractère, pour une version magnétique

«femme fatale moderne».

Sur un même carré basique, 2 facettes à interpréter selon son style, son humeur.

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Bénichon

Michel Gremaud La bénichon, c'est une cène:

une communion sous plu¬

sieurs espèces. Point de blas¬

phème! La fête par excellence de tout le Pays de Fribourg, étymologiquement, c'est la

«bénédiction». Et pour cause, la bénichon fut célébrée de¬

puis le XVe siècle au jour de la dédicace - «bénission» de l'église paroissiale. Au gré des saints patrons, guère de dimanches sans bénichon!

C'était avant l'ère des congés payés. Alors on faisait durer la fête: permission de danser du dimanche au mardi. Trois jours de bombance, crénom!

Avec des pauses rythmées par les flonflons sur le pont de danse. Des équipées sur les chars à bancs et des parties de grande balançoire à dix ou vingt places, de quoi serrer les danseuses davantage encore.

Préludes aux épousailles: la

terre allait se mettre en repos, on songeait à ensemencer d'autres jardins.

Ajoutée à d'autres fêtes chô¬

mées à tout bout de champ, la bénichon devint prétexte à toutes sortes de débordements et dévergondages, répétés de la Saint-Jacques à la Saint- Martin. C'en était trop, mes aïeux! En 1443, Leurs Excel¬

lences de Fribourg tonnèrent

«Contre ceux qui font rumour eis bénissions ou eis nopees».

Forçant à la tempérance, in- ventèrent-elles du même coup la diététique avant la lettre?

Résultat, les bénichons furent concentrées à l'orée de l'au¬

tomne: vers la «rindya», la désalpe des troupeaux quittant les chalets pour regagner les fermes de la plaine. Ça n'a pas changé maintenant que la bé¬

nichon est toute profane. C'est qu'on ne peut faire le bilan des dons de la terre et du travail des hommes qu'une fois le cycle annuel de la nature ache¬

vé.

Regroupement donc, sur deux temps principaux... qui en font quatre: à Fribourg, à Bul¬

le et en Sarine-Campagne, bé¬

nichon «de la plaine» le deu¬

xième dimanche de sep¬

tembre, puis «recrotzon» (pe¬

tite bénichon) le quatrième dimanche. Entre-deux s'est lo¬

gé le Jeûne fédéral... Puis bé¬

nichon «de la montagne» dans les villages gruériens le deu¬

xième dimanche d'octobre, et

«recrotzon» le troisième di¬

manche (celui où Châtel-Saint- Denis a sa bénichon). Car l'usage a consacré nombre d'exceptions. Broc bénichon- ne à Carnaval depuis des temps immémoriaux (fausse est la tenace légende selon la¬

quelle la fête de Broc aurait été reportée à Carnaval après le dramatique incendie du vil¬

lage, le 27 juillet 1890, di¬

manche de la Saint-Jacques et jour de bénichon à La Tzintre, La Villette et Bellegarde). Et Saint-Sylvestre festoie tou¬

jours à la Saint-Sylvestre (en Singine, bénichon se dit

«Tanzkilbi»).

Avec le temps, la consistance et l'ordonnance des saveurs de bénichon ont évolué. Elles va¬

rient selon les régions. Et l'on n'a plus aujourd'hui ni le temps mignon... ni l'héroïsme stomacal requis par le par¬

cours bénichonnesque entier.

On prend donc souvent les raccourcis.

Si bien qu'au restaurant le re¬

pas de bénichon fait souvent messe basse plutôt qu'office solennel. Difficile d'y humer ce qui est peut-être l'essentiel:

les préparatifs du grand rituel, étendus sur plusieurs jours.

Pour commencer, celui de la

«moutarde de bénichon»: sub¬

tile autant qu'intense alchimie orientale, alliance du raisiné de poires qu'est le «vin cuit»

avec une décoction de graines

de moutarde moulues, sucre candi, réglisse, anis vert, anis étoilé, girofle et cannelle...

Tant d'épices révèlent la sour¬

ce: la plus originale sans doute des spécialités culinaires fri- bourgeoises est au bout de la Route des Indes. Avec les me¬

ringues, cuquettes, merveilles, beignets «au genou», brice- lets, pains d'anis et cuisses- dames, cent parfums auront embaumé la maison autant qu'aiguisé les appétits en vue de la cène de bénichon. Qui n'est pas qu'un jambon, si chrétiennement qu'ait été éle¬

vé le cochon!

Quelle mesure garder devant la fête digne de Canaan? Un abbé de mes amis, Alphonse Menoud, qui fut journaliste et aumônier des armaillis, répon¬

dait en citant le précepte qu'il avait fait le sien: «Il ne faut ja¬

mais dépasser les excès!» Pré¬

cepte plus évangélique qu'il n'y paraît, où l'homme surpas¬

se la bête incapable de déme¬

sure. L'abbé paraphrasait à sa façon Pierre Reverdy: «Rares sont ceux qui, dans leur vie et dans leur art, savent rejoindre le tact et la mesure en passant par la démesure».

Tel est l'esprit de la bénichon, facette de l'art de vivre d'une petite civilisation: Comme toute civilisation, celle-là mé¬

nage des circonstances où le besoin est dépassé. Pas seule¬

ment pour un plaisir de bouche, ou alors on n'aurait rien compris. Il s'agit de se rassembler autour de la table et de se reconnaître, avec son identité et ses limites. Ne faut- il pas des jalons et des repères avancés pour savoir où gît la sagesse?

Esprit de bénichon,

où es-tu?

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Menu de Bénichon et musique champêtre Venez faire la fête avec nous S. + Ch. von Gunten et leur équipe Veuillez réserver votre table au 026/919 64 44

et bientôt... la chasse!

Hôtel - restaurant du Cheval Blanc Rue de Gruyères 16, 1630 Bulle

Ouvert 7/7

Hôtel de la Croix-Fédérale LE CRÊT GRANDE BÉNICHON

Samedi 9 septembre, dès 21 h

Dimanche 10 septembre, dès 11 h -12 h, 15 h -18 h et 21 h-24 h

Grand bal avec l'orchestre Flasch'Band Menu de circonstance

Veuillez réserver vos tables au 026/918 51 42 - Famille Rey

Dimanche 24 septembre: RecrOtZOll Bal 11 h -12 h/15 h -18 h et 21 h - 24 h

FLEUR A FLEUR Centre commercial

1726 FARVAGNY

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OUVERT TOUS LES DIMANCHES DE 10 H À 12 H GIGOT P&GNEAU

-1 gigot de 2 à 2,5 kg - 2 dl de vin blanc - 2 dl de bouillon - 4 à 5 gousses d'ail

■ sel, poivre, romarin et sauge haché fin

Assaisonner le gigot avec le sel, le poivre et les herbes. Le saisir rapi¬

dement dans le four bien chaud à 250°. Quand il est bien doré, déglacer avec le vin blanc et le bouillon. Ajouter les gousses d'ail et cuire 1 h 30.

Eviter de retourner la viande avec une fourchette pour ne pas faire s'écouler les sucs et le sang.

Laisser reposer à couvert 15 min, avant de le découper pour le servir.

Le gigot d'agneau de la bénichon doit être bien cuit et non rosé.

Servir avec une purée de pommes de terre et une salade de carottes rouges.

Gérard Bourquenoud Membre assidue du Cercle fri- bourgeois «La Berra», Le Lan- deron-Cressier, Hedwige Rue- din de Cressier, a fêté récemment son quatre-vingt- septième anniversaire. Tou¬

jours lucide, alerte et possédant une santé de fer, elle a participé

le 18 juin dernier à la journée AJB aux Colombettes. C'est au cours de cette escale en Gruyè¬

re, qu'elle a été saisie par notre objectif en compagnie d'une compatriote, Raymonde Aeby, de Cornaux (à gauche). Fri- bourg Illustré lui souhaite de multiples printemps fleuris pour devenir centenaire! ■

L'espoir de devenir

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Vv \ Et oui, cet été encore, Hubert

s'est paré de son plus beau plumage pour devenir un grand chef indien. Il nous a fait rire, il nous a fait jouer, nous avons tous été très émus.

Une fois maquillés, fiers de faire partie de la tribu, une centaine d'enfants ont aména¬

gé dans des tipis. Une légende indienne leur a été contée dans une cabane de bois par «la meilleure conteuse de tout l'Ouest» a certifié Hubert! A la tombée de la nuit, un im¬

mense feu a été allumé et com¬

me sorti de nulle part, le grand chef indien Hubert est apparu sous le regard émerveillé des touts petits... et aussi des plus grands!

Après minuit, bâtons de clo¬

chettes en mains, ils s'en sont allés réveiller, cris à l'appui, les habitants de l'Auge. Enco¬

re une escapade au bord de l'eau pour écouter des instru-

Indfens

dais

la \ille

J—f ubert Audriaz et son^ Parje biais f" P«ssePurt

11 vacances, ont offert énnt° d" reve f}ein leS ^ ou plutôt une réalité déboràf eur' esPace une

nuit indienne très très magiqn

à

' r ;

fSS- H

ments indiens résonnant le long des falaises du Gottéron et toute la tribu est retournée autour du feu pour délecter une soupe de corbeau (lé¬

gumes) et de la viande de bi¬

son (cervelas). Le petit matin est arrivé à grands pas et tout le monde était encore debout!

Bientôt les plus courageux iront dans la grotte voir le grand Manitou. Pour les autres, le marchand de rêve a cédé sa place au marchand de sable...

Hubert, entre tes idées et ton cœur de magicien, le rêve de¬

vient réel, tout est alors si beau, si simple et si magique.

Le bonheur est alors acces¬

sible à tous. Voilà encore une belle leçon de vie, une belle le¬

çon d'amour. Au nom de tous les enfants qui ont eu la chan¬

ce de te croiser sur leur che¬

min, un gigantesque merci!

■fc."

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m

vfi

mr.

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• *

Pour toute la famille,

Hubert et son équipe propose à présent et jusqu'à fin octobre

«Le parcours des Anges», une autre aventure à vous donner des ailes!

Tous les samedis soir de 19 à 22 h et les dimanches après-mi¬

di, de 15 h à 18 h, départ au Grabensaal.

Reportage texte etP,otos: Nadia »*Mard

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Mots croisés

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Entrent par la sortie.

Légume de l'Amérique du Sud - Petit canot.

Invitation à quitter les lieux - Prénom féminin - Fourrure.

Au-dessus du maître-autel - Attirent certains amateurs de sports d'hiver.

Singe - Rend poli.

Soutient la colonne - Marque d'accord - Il est onctueux.

Fit la première voiture automobile à vapeur - Petite réception - Interjection.

Ne se dépêche jamais - Accordée - Nom suédois d'un port de Finlande.

Ne retournent pas facilement leur veste - Vider un réservoir.

Fait penser à la rose - Sans quitter la cité - Aiment les eaux calmes.

Appris - On y coupe le filet - Connut le siège de Troie.

Richesse d'Evian - Prénom espagnol - Torrent alpestre.

N'est jamais cru - Tourne avant de disparaître - Ses bords ne sont pas secs.

L'Irlande des poètes - Goûte - Venus.

Au bord de la Baltique - Ce n'est donc pas une adepte.

VERTICALEMENT

1. Façon de quitter sa cellule avant d'avoir purgé sa peine - Bien faite.

2. Arrive à la fin - Grossit en prenant de l'âge.

3. Décide de la nationalité - Qui sont en communication.

4. Participe - Ville du Japon - Dirigeant.

5. Particule - Ville de Grande-Bretagne.

6. Parties de ballet - Pris - Possessif.

7. Dupe - Fait étudier l'adulte - Doux.

8. Machine - Du centre de l'Italie - Symbole chimique.

9. Adverbe de lieu - Ville de Norvège - On le jette à l'eau.

10. N'a peut-être pas la main tendue, mais doit avoir l'oeil ouvert - Titre donné à un souverain.

11. Yacht de course - Lisse du garde-corps - Figure biblique.

12. Matière isolante - A une université quatre fois centenaire.

13. D'un auxiliaire - Potentine.

14. Porté fréquemment - «La Belle Cordière» - Pronom.

15. Un des créateurs du lyrisme choral - Ancien nom d'une île du Japon.

Solution dans notre prochain numéro 1 23456789 10 11 12131415

BÉLIER 21.03 - 20.04 Au boulot, on parle beaucoup de votre savoir-faire; on pourrait même vous faire une offre qui vous surpren¬

dra. Ne la refusez pas trop vite, elle pourrait vous donner l'occasion de montrer l'étendue de vos compé¬

tences. Si vous êtes célibataire, cela pourrait bientôt changer. De tendres moments vous attendent.

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TAUREAU 21.04 - 21.05

CANCER 22.06 - 22.07

à

BALANCE

<m' 24.09-23.10 Inutile de vous demander comment vous allez! Votre mine est resplendis¬

sante, et vous respirez la joie de vivre. Au travail, vous êtes en train de faire vos preuves, ce qui ne peut que vous servir. Vos démarches et vos né¬

gociations vous avantageront. Avec vos proches, vous savez davantage à quoi vous en tenir.

Votre planète maîtresse vous donne beaucoup d'énergie actuellement;

vous vous sentez capable de soulever des montagnes. Sur le plan sentimen¬

tal, c'est plutôt tranquille. Un vieux copain aura besoin de votre soutien moral. Au travail, rien ne va comme prévu.

GÉMEAUX 22.05 - 21.06 D'ordinaire, vous êtes souple, mais vous commencez à en avoir assez du comportement de certaines per¬

sonnes. Si vous vous exprimez en gardant votre sang-froid, vous pour¬

rez faire valoir vos opinions. Profes¬

sionnellement, des portes s'ouvrent devant vous.

SCORPION 24.10-22.11 Il n'y a pas à dire, vous faites plus que votre part au boulot, mais on dirait que personne ne remarque vos ef¬

forts. Ça vous démotive un peu.

Votre partenaire est préoccupé ces jours-ci; profitez-en pour sortir: ça vous changera les idées.

SAGITTAIRE 23.11-21.12 Vous débordez d'énergie et de confiance en vous. En fait, rien ne peut vous empêcher d'atteindre les objectifs que vous vous êtes fixés.

Votre réussite professionnelle vous fera sauter de joie. Votre partenaire fond d'amour pour vous alors sachez lui rendre. Montrez-lui que vous aus¬

si vous l'adorez.

Quelle énergie! Rien ne peut vous empêcher de faire tout ce qu'on at¬

tend de vous. N'ayez crainte, on re¬

marque vos efforts et votre disponibi¬

lité. Sous peu. vous pourrez en tirer des avantages tangibles. Sur le plan sentimental, c'est bien tranquille;

profitez-en pour accepter des invita¬

tions et pour voir vos amis.

LION 23.07 - 23.08 Au travail, vous devez surmonter beaucoup d'obstacles; certains de vos collègues se fient démesurément à vous. Ne réagissez pas trop vite, et pesez bien vos mots. Votre douce moitié vous montre à quel point elle tient à vous: elle vous traite aux petits oignons.

CAPRICORNE 22.12-20.01 Vous avez les nerfs à vif et vous vous en faites sans raison. Au travail, vous avez beaucoup de choses à faire et vous ne savez plus trop comment ré¬

agir. Vous aimeriez en parler à votre douce moitié, mais elle ne semble pas très disponible. Sur le plan financier, faites preuve de prudence.

&

VERSEAU 21.01 -18.02

v VIERGE 24.08 - 23.09 Vous êtes en forme, mais vous sem- blez avoir les nerfs à vif. Pourquoi ne pas prendre davantage de temps pour vous? Au boulot, ce n'est pas tou¬

jours facile, mais vous faites tout ce qu'on attend de vous. Votre partenai¬

re vous en demande beaucoup; de votre côté, vos attentes ne sont guère réalistes.

C'est une semaine qui s'annonce plu¬

tôt calme tant sur le plan affectif que sur le plan professionnel. Vous de¬

vriez en profitez pour prendre un peu de congé, de toute façon, rien ne pres¬

se et tout ce que vous avez entrepris jusqu'à maintenant peut attendre votre retour. Votre partenaire semble très empressé à votre égard, pensez à fonder une famille!

POISSONS

"w 19.02 - 20.03 Vous êtes en pleine forme et cela fait plaisir à voir! Au travail, vous êtes débordé et une aide vous serait pré¬

cieuse. Si vous êtes célibataire vous devriez sortir de vos charentaises cela vous ferait beaucoup de bien!

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par Gérard Bourquenoud

La mort de Diana remue

encore les esprits

Sou venez-vous de l'accident qui a coûté la vie à la jolie et élégante prin¬

cesse d'Angleterre il y a quelques années. Sa tragique disparition à Pa¬

ris avait choqué le monde entier et aujourd'hui encore des milliers de personnes vont quotidiennent dépo¬

ser des fleurs sur sa tombe.

Un accident qui est toujours resté un mystère pour Mohamed Al-Fayed qui n'en démord pas, parce que cer¬

tain que son fils Dodi et la princesse Diana ont été victimes d'un attentat organisé par la couronne britannique.

Et malgré le non-lieu prononcé en septembre 1999 par la justice fran¬

çaise, le milliardaire ne peut ad¬

mettre les circonstances dans les¬

quelles s'est déroulé ce drame. Il enquête depuis quelques semaines sur une nouvelle piste qui l'a conduit de Paris à St-Tropez, puis en Italie et en Angleterre. Il veut absolument sa¬

voir la vérité, même si cela va lui coûter beaucoup d'argent. Un com¬

bat qui ne fera pas revenir son fils Dodi dont le mariage avec Diana

était déjà envisagé.

Honneurs militaires

Un postulat a été déposé récemment au Conseil national dans le but de renoncer à cette ancienne coutume lors de la visite de chefs d'Etat, pour la raison que cette tra¬

dition est jugée comme dépassée et du fait aussi que la tenue vestimentaire de nos soldats n'a rien du panache des gardes de Buckingham Palace à Londres. D'autres estiment qu'il faut maintenir les honneurs militaires, car c'est une opportunité à montrer notre armée de milice et en même temps une façon de manifester notre

respect à l'égard de nos hôtes étrangers. Qui a tort qui a raison?

Un aéroport international à Payerne?

L'accident du Concorde qui a fait 113 victimes à Paris, a suscité une réflexion de la part des responsables des aéroports de Kloten et de Cointrin qui se trouvent eux aussi dans des zones à forte concentration urbaine. En prenant exemple sur l'aéro¬

port J-F- Kennedy situé à plus de 100 km de New York, la construction d'un aéro¬

port international à Payerne est considérée comme une idée géniale en ce sens qu'il serait à même de concentrer tout le trafic aérien et pourrait être relié aux plus grandes villes de notre pays par des lignes de Swissmetro.

Pour les uns, c'est un rêve qui pourrait peut-être se concrétiser en 2020, alors que pour d'autres, c'est une idée utopique. L'infrastructure d'un tel aéroport a été éva¬

luée à sept milliards de francs, le raccordement terrestre (autoroute et rail) à dix milliards, et un Swissmetro à 15 milliards. Le projet de Payerne est malgré tout in¬

téressant en ce sens qu'il pourrait créer 200 à 300 (XX) emplois, donc un atout bien¬

venu pour l'économie de cette région vaudoise.

Toujours moins de prêtres

Le nombre de prêtres diocésains comme celui des religieux est en nette régression depuis quelques années. En 1995, la Suisse comptait 1235 prêtres en activité contre 1471 cinq ans plus tôt. Durant la même période, le pourcentage des paroisses sans prêtre est passé de 37,5% à 55%. Plus de la moitié des paroisses catholiques suisses n'ont donc plus de prêtre sur place. Le problème de la relève est lui aussi aigu, puisque 316 prêtres sont morts en l'espace de huit ans et seize ont quitté le sacer¬

doce, alors que seulement 98 ont été ordonnés. Cette baisse est toutefois compen¬

sée par l'augmentation du nombre des agents pastoraux laïcs hommes et femmes

^ qui sont actuellement près de 3500 dans notre pays. .

Six fois 150 œufs Selon des études faites sur la mouche domestique, celle-ci vit trois se¬

maines en été et deux mois en hiver.

Et durant cette courte vie, elle pond jusqu'à six fois 150 oeufs. L'éclosion se fait en deux ou trois jours à 10° C et en huit heures à plus de 20°C. Les larves se transforment en pupes en quatre jours et la pupe devient mouche en trois jours. Le cycle com¬

plet dure cinq à dix jours selon les conditions climatiques.

13

(13)

Les arts En cent métamorphoses:

Château de

Gruyères été 2000 Exposition

collective de 80 artistes

Les artistes ont fait plus que d'explorer le pouvoir conquis par les femmes après des siècles d'hégémonie masculi¬

ne. Ils se sont mis à l'écoute de la chevauchée des Walkyries.

La Mamma, la Nonne et la Pu¬

tain se voient reléguées au ma-

I a

gasin des accessoires périmés.

La Mère Courage traînant la marmaille, la Sainte Catherine confite en dévotion ou Manon perdue de réputation ne fait plus recette. Qui parle désor¬

mais de deuxième sexe, parle des hommes tombés dans les trente-sixièmes dessous. Les belles petites gueules d'amour ont aboli la loi des mâles et pris le volant. Refus de priori¬

té! Elles se sont arrogé le pri¬

vilège de faire cascader la ver¬

tu. Elles osent enfin allumer et séduire, aimer ou balader.

Allégories classiques: vierge et mère ou femme - fleuve, personnages mythologiques:

Danaé, Proserpine, modèles historiques de la revendication égalitaire: Lysistrate et Ama¬

zones. Toutes passent au crible de la vision critique. Elles ne sont plus ni ange ni bête. Elles se veulent sirène, mutante ou harpie. Condition existentielle des femmes, - le vieux cercle de l'enfer: l'origine, la source, l'entrailles -, les artistes osent tout, même dénoncer leur pou¬

voir génésique abusif. Des fem¬

mes à hommes aux femmes sans hommes, de la vierge au sex-symbol, Gruyères tend un miroir au beau sexe. A chacu¬

ne de s'y retrouver. L'irrévé¬

rence dégage un souffle jubila- toire: l'art à bout portant.

Ainsi soient-elles.

Et les hommes? Où sont pas¬

sés les flamines porteurs de torche, les va-t-en guerre à la grenade dégoupillée, les héros bottés et casqués? Les fem¬

mes, telles qu'elles voudraient être, ont voué ce profane au re¬

but. Foin des Adam à la feuille de vigne en déshérence, mys¬

tiques fondateurs de dynasties.

L'homo erectus: obscène et abusif. Mal aimé, le carnet à souches se retrouve sans un mot de remerciement pour des services autrefois considérés, ou même, particulièrement bienvenus. Ni chèque, ni chic, ni choc. Le Matrimoine solde les comptes.

femme

Etienne Chatton, conservateur Centre international de l'art fantastique Château de Gruyères I ttïk Moriiui

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(14)

Entreprises Electriques Fribourgeoises Bd de Pérolles 25, 1701 Fribourg Tél. 026/352 52 52

présente

Les arts

le loup, le lynx

l'ours et

le sanglier kalB/doscope

jusqu'au 24 septembre 2000

Galerie de la Schiirra, 1723 Pierrafortscha, Fribourg

Les tableaux

de Peyer, surtout des paysages, enlevés dans une pâte épaisse aux cou¬

leurs vives, présentent avec force les ambiances et lu¬

mières des différentes régions qui ont marqué le peintre.

Musée Suisse du Vitrail Centre suisse de recherche et d'infor¬

mation sur le vitrail

Au Château - 1680 Romont - Tél. 026/652 31 52 présente jusqu'au 5 novembre 2000

Reflets enchan¬

teurs - l'art de la

peinture sous

verre

Basée sur un choix représentatif de la collection R. et F. Ryser, et com¬

plétée par des prêts de musées et de particuliers d'Europe et des Etats- Unis, c'est la première exposition en Suisse couvrant plusieurs siècles et divers aspects de l'art de la peinture sous verre.

La Fondation Pierre Gianadda à Martigny

Tél. 027/722 39 78 présente la rétrospective

Van Gogh jusqu'au 26 novembre 2000

Le Musée d'art et d'histoire présente une

Exposition

rétrospective

Antoine Claraz Sculptures, peintures, dessins et de nom¬

breuses études en trois dimensions pour des réalisations monumentales témoignent du travail figuratif de ce praticien virtuose et prolifique. Oublié des dictionnaires d'ar¬

tistes, l'auteur du monument à l'Abbé Bovet à Bulle fait cependant partie des sculpteurs qui ont façonné des œuvres appartenant à notre environnement mais demeurées anonymes.

Jusqu'au 15 octobre 2000, tél. 026/305 51 67.

Musée d'histoire naturelle Chemin du Musée 6 1700 Fribourg Tél. 026/300 90 40 Fax 026/300 97 60 présente

o iseaux

sans frontières

jusqu'au 19 novembre 2000

15

(15)

INDEX DES SALLES - FAYS GOURMAND A=Assemblées et conférences Bwsßanquets de sociétés C=Congr?*- Concerts»- Théâtre E=Expositî"Crrvs, Salons N=Retoas de noces S=Séminaires^Comités • -

Lieu

Enseigne Tél.

Fax

N=Ré^>as de noces Jour(s) de fermeture

S=Sémînaires;iComités

La Glâne SIVIRIEZ

Auberge du Lion-d'Or ^ T. 026/656 1331

F. 026/656 1662 Lundi La Vevevse

LE CRÉT

Hôtel Croix-Fédérale ^ T. 026/918 51 42 Lundi La Gruyère

AVRY-DEVANT-PONT

Café-Rest. Lion-d'Or T. 026/915 21 30 Lundi

et mardi 30 à 200 places A B C

E N S Spécialités russes CRESUZ

Hôtel du Vieux-Chalet M T. 026/927 1286

F. 026/927 2286 Mardi, sauf juillet-août Jusqu'à

250 places A B

C N Cuisine régionale - Jambon Tournedos Vieux-Chalet ECHARLENS

Auberge de la Croix-Verte www.gruyere-nature.ch/croixverte

T. 026/915 15 15 F. 026/915 17 70

E-mail: c_bussard@com.mcnet.ch

Dimanche

soir et lundi 120 places A B

N S Cuisses de grenouilles Spécialités ae saison MORLON

Hôtel-Rest. Gruyérien M T. 026/91271 58

F. 026/912 16 84 Mardi 10 à 120 places Accès chaise roulante

A B N S Riet de sandre du lac SALES

Hôtel de la Couronne T. 026/917 81 12 Lundi Jusqu'à

250 places A B

N S Petit menu gastronomique VU ADENS

Chalet des Colombettes T. 026/919 6063

F. 026/919 6069 _ 10 à 200 places A B C

E N S Fondue 19 fr. - Pizza Buffet au fil des saisons dès 38 fr.

VUIPPENS

Café-Rest. Maison de Ville E-mail: famille.piccand@bluewin.ch

T. 026/915 15 92 F. 026/9153092 www.lyoba.ch/piccand

Mardi et

mercredi 15 à 150 places Accès chaise roulante A B

N S Filet de perche et de sandre du loc

La Sari ne 2r|

EU FRIBOURG

Café-Rest. du Jura T. 026/466 32 28

F. 026/466 32 58 Dimanche 20-30,60,160

Grande terrasse A D S

C E N Spécialités de saison

Menu traditionnel et gastronomique FARVAGNY

Restaurant Lion-d'Or M T. 026/411 11 30

F. 026/411 11 45 Dimanche

et lundi 60 à 500

places A B C

E N S Rigatoni flambé Toujours les ardoises ROSSENS

Hôtel-Rest. du Barrage ^ La Broyé ESTAVAYER-LE-LAC

Buffet de la Gare W

T. 026/411 99 41

F. 026/411 9940 Mercredi 45 à 120

places Suggestions gastronomiques MUSEE fifo T. 026/663 1033

F. 026/663 5045 Mardi 15 à 120 places ABC Spécialités de saison

Accès ihoise roulonte ENS Menu traditionnel et gastronomique

Image

d'antan

Cours Alpin d'été de la lrc di¬

vision du 29 mai au 19 juin 1954 au glacier du Trient.

Le sherpa Tenzing (au centre en blanc) a été avec Hillary un des premiers homme a at¬

teindre le sommet de l'Everest

(16)

Marché concours de Bulle 2000

Irtïfikqjagg Manifestation

La parade des tau¬

reaux aura lieu dans le grand ring d'Espace Gruyère les 19 et 20 sep¬

tembre.

Plusieurs innovations d'im¬

portance sont en effet ap¬

portées au programme de la manifestation: le classe¬

ment des taureaux s'ouvre au public, le concours du public et l'exposition de mères de taureaux et leur classement.

Une offre génétique tou¬

jours plus relevée

543 taureaux sont inscrits à Bulle et parmi eux, 156 tau¬

reaux Holstein, à très haut po¬

tentiel laitier et de grand for¬

mat et capacité, 359 taureaux des sections Red Holstein et Tachetée rouge associant pro¬

ductivité, teneurs et qualités morphologiques et enfin 28 sujets Simmental combinant au mieux les aptitudes laitières et bouchères.

La «rencontre avec le taureau»

sera l'occasion pour les nom¬

breux visiteurs de déguster des produits de la ferme au stand patronné par l'Association pour la promotion des produits du terroir du pays de Fribourg (tenu par les Dames paysannes fribourgeoises), ainsi que du lait et autres boissons lactées au stand des Producteurs Suis¬

ses du Lait. Le marché bullois accueillera aussi des parte¬

naires de l'agriculture, soit les milieux de l'alimentation ani¬

male, de l'insémination, des équipements, la presse profes¬

sionnelle et l'artisanat. Le Mar¬

ché-concours de Bulle devient ainsi un lieu de rencontre pri¬

vilégié entre visiteurs, éle¬

veurs et autres professionnels de la terre.

Bertrand Droux, gérant du Marché-concours de Bulle

Grange-Neuve TENOR:

156 taureaux Holstein paraderont dans le grand ring d'Espace Gruyère.

Leon 6585.04180.60: un des beaux spécimens de race Sim¬

mental à admier au ring.

Le programme 2000

Mardi 19 sept. Classement des taureaux - Marché - Soirée du Marché-concours dès 08 h Arrivée des taureaux

dès 11 h Classement des taureaux au ring OUVERT AU PUBLIC 14 h 30 Ouverture des écuries

dès 20 h • Concours du public: «Election du plus beau taureau» (au ring) -»■ Un vol Suisse-Canada aller-retour A GAGNER!

• Classement des mères de taureaux au ring

• Soirée récréative avec l'orchestre D A N Z ' S (dès 21.00) Merer. 20 sept. Journée officielle: Marché - Présentations au ring

dès 08 h dès 11 h 08 h 30-11 h et 13 h-14 h dès 14 h

Marché

Présentations au ring des Champions de catégorie,

du «Champion de Bulle 2000», des mères de taureaux championnes et remise des prix aux éleveurs

Réception des taureaux par la Coopérative fribourgeoise pour l'écoulement du bétail

Départ des taureaux

17

(17)

ßifecmaßs

Scolarité L'école a bien changé!

hension de baignoires qui se vident ou se remplissent.

D'ailleurs chez Jean il n'y avait pas de baignoire, ce qui ne l'a pas empêché de devenir un bon paysan.

Pour les filles, les punitions étaient moins musclées. Elles se traduisaient en retenues, mises à la porte ou au coin avec interdiction de bouger.

Fillette vive, pour ne pas dire turbulente, j'avais ma part de punitions. A genoux, les bras en croix, le livre de géographie sur la paume droite, celui d'histoire sur la gauche, j'étais condamnée à l'immobilité.

Après le tumulte suscité par mes incartades, j'attendais que le silence se fasse. En guise de prière je comptais: un, deux, trois... mes mains basculaient, rejetant les livres qui s'abat¬

taient avec fracas au sol. Puni¬

tion et prière se conjuguaient dans le défi. On me renvoyait à la maison que je rejoignais le plus lentement possible, afin d'y parvenir à l'heure prévue par la sortie de l'école Je l'ai pourtant bien aimée cet¬

te bâtisse où j'ai passé tant d'heures de mon enfance. De mon banc je voyais les blés pointer leurs cils verts et mon esprit s'envolait par la fenêtre comme un papillon insouciant de son avenir. Les blés gran¬

dissaient, le soleil y déposait l'or de ses rayons, je galopais en liberté entre les sillons. A l'automne les épis tombaient sous la faux. Je retournais en classe grandie par la leçon de la nature, plus sûrement que par les sentences de mes maîtres.

SPS Mousse Boulanger

«La tannerie» c'est ainsi que l'on appelait l'école. C'est là qu'on tannait toutes les peaux»

Jean est né en 1900, il a l'esprit alerte. Il se souvient de toutes les rosseries faites, de toutes les punitions subies. Aujour¬

d'hui encore il se demande pourquoi il ne pouvait s'empê¬

cher de faire tout ce qui était défendu: planter un clou dans son banc, passer un bouchon noir d'encre sous le nez de son voisin, tirer les cheveux des filles, jeter des boulettes de mie de pain contre le tableau noir où elles restaient collées.

Il rit en racontant les crocs-en- jambe, les glissades sur la rampe de l'escalier, les épingles piquées dans le chi¬

gnon de la maîtresse, les han¬

netons lâchés dans la classe ou

les pétards explosant sous le pupitre du maître.

Jean grimace un peu au souve¬

nir des «baffes» sonores qui rougissaient ses joues, des coups de baguette appliqués avec vigueur sur le dos de ses mains. Pour corser la sanction, l'instituteur lui ordonnait de guérir l'instrument de torture, puis d'offrir ses doigts bien serrés au châtiment. Une fois, deux fois, trois fois, Jean reti¬

rait sa main. Ce qui avait pour effet de multiplier les coups qu'il finissait toujours par re¬

cevoir. Soulevé de terre par les oreilles, il garde un décolle¬

ment à droite, qui lui donne l'air d'agiter un éventail. La tê¬

te frappée contre le tableau était pénalité courante, sans grands effets sur la compré-

La

nature

comme

passion

Instant de profonde amitié et d'esprit familial pour ce grand-papa qui, assis dans l'herbe du pâturage du Dah à la Poya d'Estavannens, con¬

temple l'intérêt que ses deux petis-enfants manifestent pour une plante, une herbe, une fleur.

18

(18)

CAMEL TROPHY TONGA-SAMOA 2000

Mission accomplie!

Les sports

Apia, Samoa - Le Ca¬

mel Trophy Tonga- Samoa 2000 a vécu. L'Afri¬

que du Sud triomphe au classement général et rem¬

porte également VIsland Explorer Award tandis que la France s'adjuge l'Océan Explorer Award. Quant à la Suisse, elle occupe fina¬

lement la dixième place du classement général et poin¬

te en sixième position de 1'Island Explorer Award.

Partis de Nuku'alofa, capitale du Royaume de Tonga, les équipages en provenance de seize nations ont finalement rejoint Apia, chef-lieu de l'ar¬

chipel des Samoa dans le Paci¬

fique Sud. Une aventure humai¬

ne et une compétition sportive de plus de 1000 milles nau¬

tiques à bord de bateaux pneu¬

matiques à coque rigide au cours de laquelle Judith Koller et Patrick Jeannerat ont donné

hérents à la mer... pas tou¬

jours évident pour des gens de plaines et de montagnes! Mais au fil des jours notre technique s'est affinée et nous avons

\

alors savouré pleinement l'ins¬

tant présent... les superbes plongées dans les récifs de co¬

rail, l'escalade d'un volcan au milieu d'une île paradisiaque, les soirées au coin du feu en compagnie des autres concur¬

rents... une vraie tour de Ba¬

bel, on y parlait 23 langues

Camel Trophy Tonga-Samoa 2000. Swiss Team:

Palrick Jeannerat / Judith Koller

différentes!»... souligne le Biennois Patrick Jeannerat.

Sentiment unanimement par¬

tagé par Judith Koller. «La fin de l'aventure débouche sur un mélange de tristesse et de joie.

Je me sens triste que ça se ter¬

mine... mais heureuse d'avoir vécu quelque chose de très fort. L'essentiel, dans cette aventure, c'est d'arriver jus¬

qu'au bout, plus que de ga¬

gner!»

Comm.

le meilleur d'eux-mêmes, rele¬

vé d'innombrables défis, décou¬

vert des paysages féeriques tout en partageant d'intenses moments d'amitié avec les autres participants...

«Ce fut incontestablement un Camel Trophy new look très éprouvant, tant pour le phy¬

sique que pour le psychique.

Prévoir et gérer les dangers in-

rfc:--

■ : A ïJÊO

(19)

L«s sports Motocross:

Cutterwil a accueilli plus d'une

centaine de pilotes sous un soleil de plomb

»Nathalie Balmat

Comme le veut la tra¬

dition, le moto club les Rats de Belfaux a ré¬

cemment organisé à Cut¬

terwil la 6e épreuve comp¬

tant pour le championnat fribourgeois de motocross.

La course a réuni quelques 120 pilotes, petits et grands, qui ont dû sur¬

monter les embûches de la piste et la canicule.

Les conditions idéales étaient réunies pour les pilotes: de jo¬

lis obstacles à maîtriser sur une piste rapide et réputée la plus longue du championnat.

Le soleil étant de la partie, il a fallu l'arroser de nombreuses fois pour éviter une poussière excessive. Ce qui n'a pas été très commode car l'eau, tirée d'un puits situé à proximité, s'est vite raréfiée.

Spectaculaire envol au-dessus d'une «table». photosn. b

A l'heure du bilan, le prési¬

dent du MCR Belfaux Stépha¬

ne Python arborait un large sourire. Satisfait de l'organisa¬

tion mise sur pied par son équipe, il regrettait tout de mê¬

me que les pilotes et les spec¬

tateurs ne soient pas venus plus nombreux. En effet, l'épreuve coïncide avec deux courses du championnat suisse et il faut dire que certains au¬

ront préféré goûter aux joies d'une petite baignade... Qu'à cela ne tienne! En marge de la compétition, le club proposait une démonstration ainsi qu'une Le motocross allie rapidité et maîtrise mais il faut aussi du talent pour vaincre les obstacles.

Les pilotes, tout comme les spec¬

tateurs, ont dû braver la canicule.

course amicale entre les mo¬

tos traditionnelles et quelques

«oldtimers». Un véritable plai¬

sir pour les pilotes et un régal pour les yeux du public en¬

thousiaste.

Côté résultats, on retiendra la seconde place de Stéphane Python en catégorie natio, lors des deux manches de samedi

ainsi qu'une victoire et un troi¬

sième rang le dimanche. Le jeune Valentin Guillod, digne fils du président de l'Associa¬

tion fribourgeoise de motocy¬

clisme (AFM), a quant à lui exercé une quasi domination chez les 50 cm3 automatique.

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(20)

Un ancien coéquipier Russe de Slava...

...ainsi que tous ses amis pour un dernier «coup de chapeau».

Merci Slava!

La patinoire St-Léo¬

nard était comble dernièrement pour rendre un dernier coup de cha¬

peau à l'artiste. Slava, en¬

touré d'un Gottéron ren¬

forcé, a disputé son ultime match contre une déléga¬

tion russe. L'émotion était au rendez-vous. Huit fois champion de l'Union so¬

viétique, cinq fois cham¬

pion du monde et deux fois médaillé d'or aux Jeux Olympiques, Slava Bykov tire sa révérence et sort par la grande porte.

Après avoir brillé auprès du HC Gottéron de 90 à 98, Slava tire sa révérence à St-Léonard dans un dernier match d'exhi¬

bition où chaque faute était sanctionné d'un penalty. Em¬

menée par Alexeï Yashin et

Dédicace pour les lecteurs du Fribourg Illustré de Sergei Makarof ancienne vedette mondiale du hockey russe, ici au côté de la rédactrice de votre revue bimensuelle.

Slava Fetisov, la sélection Rus¬

se a marqué 10 buts contre 11 pour un Fribourg Gottéron ren¬

forcé ! La recette de la rencon¬

tre estimée à environ 30000 francs sera versée à la fonda¬

tion Théodora - des clowns pour les enfants dans les hôpi¬

taux - et à Sport-Handicap.

Parmi les invités de marque fi¬

gurait l'illustre Sergei Maka¬

rof qui savait comme Slava dompter miraculeusement le puck! Le clou de la rencontre aura sans doute été l'entrée en scène de son fils qui a marqué deux buts, ma foi quelque peu aidé par une défense hésitante!

Passage du témoin à son fils Andreï

Slava, hockeyeur prodige, a non seulement fait briller les

yeux de milliers de spectateurs durant tant d'années, mais sur¬

tout ceux de son fils Andreï. A ce dernier nous donnons ren¬

dez-vous d'ici quelques an¬

nées pour une relève nous l'es¬

pérons aussi brillante et modeste que son père! Bon vent et encore Merci Slava de transmettre votre passion et votre savoir aux jeunes Dra¬

gons avec Ruedi Raemy et François Huppé.

21

(21)
(22)

Les sports

Gottéron:

hockey par passion

Nadia Maillard

Voilà le nouveau slo¬

gan d'une équipe qui se veut désormais sou¬

dée. Un 5-6e rang avec participation aux demi- finales, tel sont les objectifs du club. Il va falloir se battre mais les hommes de Serge Pelletier veulent ti¬

rer sur la même corde et se disent prêts.

Après le processus d'intégra¬

tion des joueurs, les hommes de Serge Pelletier se disent prêt à jouer à la veille du nou¬

veau championnat. L'ambian¬

ce de l'équipe, qui a compté une douzaine de départs et d'arrivées, est déjà très bonne nous confie le nouvel entraî¬

neur pour qui un club soudé est primordial. Il n'y aura pas d'étrangers, de Suisses, de Suisses romands et aléma¬

niques, il y aura une «équipe Gottéron» souligne encore le Président Gaston Baudet et le Directeur Roland von Ment- len. Mario Rottaris, capitaine, se dit confiant et attend avec son équipe impatiemment le début des rencontres. L'objec¬

tif des 5-6e rang avec qualifi¬

cation pour les demi-finales est certes haut, mais c'est un but stimulant.

Le club se veut toujours sen¬

sible au sport de pointe et au travail avec la jeunesse. Une communication plus transpa¬

rente et active sera approfon¬

die avec tous les partenaires.

Gottéron veut enfin renforcer sa position de point de ren¬

contre social et de plaque tour¬

nante économique.

Les étrangers

Thomas Östlund, gardien (1965) Jean-Yves Roy, attaquant

(1969) Craig Ferguson, attaquant

(1970) Jean-Yves Roy a assisté au match de départ de Slava. Il a été très impressionné par la ferveur du public. A Fribourg, après Slava et Andrei c'est très difficile pour un étranger. Ils ont mis la barre tellement haut. Soit on essaie de se faire une place, soit on s'en va pré¬

cise Jean-Yves.

Les matches

Cette saison, les 22 matches joués à domicile se déroule¬

ront essentiellement les ven¬

dredis et samedis à 19 h 30 et le dimanche à 16 h, sauf quel¬

ques exceptions le mardi soir.

Les abonnements vont se ven¬

dre comme des saucissons pré¬

dit Roland von Mettlen.

Les sponsors principaux Aux côtés de Liebherr, Hen- niez, Amag, Feldschlössen, Cardinal, Elvia, UBS, Adecco Ressouces Humaines, EEF et Farner SA, vient s'ajouter un nouveau sponsor: l'Interpro- fession du Gruyère. A l'épo-

Mario Rottaris, capitaine.

PHOTO THIERRY PRADERVAND

que où Gottéron disputait ses matches en Basse-Ville, le pu¬

blic tournait déjà la fondue dans les gradins: en somme c'est un juste retour du froma¬

ge!

QUESTIONS- RÉPONSES - Un club comme Gottéron a-t-il ses chances face à de gros clubs?

- (Gaston Baudet, président) Nous avons à faire à un cham¬

pionnat à deux vitesses. Il est difficile de se battre contre des équipes qui ont un budget de deux fois et demi le nôtre et qui ont un médecin! Gottéron doit faire tourner la machine avec les entrées effectives.

Mais ça n'est pas impossible et il serait faux de dire qu'un manque de moyen amène à la médiocrité du jeu!

- Est-il plus difficile de tra¬

vailler dans un club comme Fribourg qui n'a pas le sys¬

tème et l'ampleur d'un club canadien?

- (Serge Pelletier) Le travail ici est différent. Mais en quali¬

té d'entraîneur, au niveau sportif, ça ne change pas beau¬

coup... mis à part mon salaire à la fin du mois! rires...

- Le championnat 2000-2001 va-t-il avoir de l'intérêt?

- (Serge Pelletier) Sans aucun doute. La Chaux-de-Fonds et Coire vont certainement don¬

ner du fil à retordre aux autres.

Et les douze équipes auront à donner du spectacle.

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Le dragon va-t-il souvent cracher son feu pour la victoire.

PHOTO A. FIORAVERA Les sports

Notre équipe de LNA

1 Ostlund Thomas 09.09.65 G L 194/100 20 Sansonnens Alain 27 12 72 G L 180/80 84 Manzato Daniel 17 01 84 G L 183/75 15 Berger Raphaël 07 02 79 D L 187/85 57 Bezina Goran 21 03 80 D L 189/99 16 Decurtins Christoph 07 05 80 D L 183/78 52 DesclouxAntoine 11.08.69 D L 176/80 3 Fazio Livio 28 01 74 D L 176/80 5 Gerber Lukas 07 09 82 D R 187/83 19 Marquis Philippe 19 01 76 D L 180/80 77 Rauch Martin 15 06 65 D L 185/86 27 Werlen Marc 1201 78 D L 188/88 7 Ferguson Craig 08 04 70 A L 183/86 26 Hiltebrand Christof 07 05 81 A L 174/74 45 Leuenberger Lars 29 03 75 A R 172/72 12 Lussy Silvan 19 09 80 A L 186/84 18 Maurer David 09 01 80 A R 179/85 85 Montandon Gil 28 04 65 A R 185/93 25 Mouther Michel 10 01 78 A L 191/86 10 Rottaris Mario 08 02 68 A L 188/86 38 Roy Jean-Yves 17 02 69 A L 179/82 29 Schaller Pascal 24 02 71 A L 179/90 11 Slehofer Robert 17 04 72 A L 182/84 73 Wirz Valentin 09 09 81 A L 183/78 9 Zenhausern Gerd 27 04 72 A R 184/85 Age moyen: équipe 25 ans, gardiens 26 ans, défenseurs 24 ans, attaquants 26 ans

Arrivées: Berger (EVZ), Decurtins (EHC Uzwil), Descloux (SCL), Ferguson (AHL), Hiltebrand (HC Thurgau), Leuenber- ger (SCB), Lüssy (EHC Thun), Mouther (EHC Ölten), Rauch (SCB), Roy (DEL), Wirz (LHC)

Départs: Burakovsky (S), Conne (HCL), Fleury, Furier (SCRJ), Giger (SCRJ), Guignard (HC La Chaux-de-Fonds), Neininger (SCL), Raemy (HC Sierre), Savoia (CAN), Ström¬

berg (EHC Chur), Ziegler (SCB), Thalmann (HC La Chaux-de- Fonds)

Programme du championnat Sa 09.09.2000 19 h 30 Fribourg-Gottéron - EV Zug Ma 12.09.2000 19 h 30 Fribourg-Gottéron - SC Langnau Sa 16.09.2000 19 h 30 HC Davos - Fribourg-Gottéron Sa 23.09.2000 19 h 30 Kloten - Fribourg-Gottéron

Sa 30.09.2000 19 h 30 Fribourg-Gottéron - Chaux-de-Fonds Ma 03.10.2000 19 h 30 Lugano - Fribourg-Gottéron

Ve 06.10.2000 19 h 30 Fribourg-Gottéron - Rapperswil Sa 07.10.2000 19 h 30 Ambri-Piotta - Fribourg-Gottéron Ma 10.10.2000 19 h 30 Fribourg-Gottéron - Chur Ve 13.10.2000 19 h 30 Bern - Fribourg-Gottéron Sa 14.10.2000 19 h 30 Fribourg-Gottéron - ZSC-Lions Ve 20.10.2000 19 h 30 Langnau - Fribourg-Gottéron Sa 21.10.2000 19 h 30 Fribourg-Gottéron - HC Davos Ve 27.10.2000 19 h 30 Fribourg-Gottéron - Kloten

Sa 28.10.2000 19 h 30 Chaux-de-Fonds - Fribourg-Gottéron Ma 31.10.2000 19 h 30 Fribourg-Gottéron - Lugano

Ve 03.11.2000 19 h 30 Rapperswil - Fribourg-Gottéron Sa 04.11.2000 19 h 30 Fribourg-Gottéron - Ambri-Piotta Ma 14.11.2000 19 h 30 Chur-Fribourg-Gottéron

Je 16.11.2000 19 h 30 ZSC-Lions - Fribourg-Gottéron Sa 18.11.2000 19 h 30 Fribourg-Gottéron - Bern Sa 25.11.2000 19 h 30 EV Zug - Fribourg-Gottéron Di 26.11.2000 16 h Fribourg-Gottéron - Chaux-de-Fonds Ma 28.11.2000 19 h 30 Lugano - Fribourg-Gottéron

Sa 02.12.2000 19 h 30 Fribourg-Gottéron - Kloten Di 03.12.2000 16 h Bern - Fribourg-Gottéron Ma 05.12.2000 19 h 30 Fribourg-Gottéron - Ambri-Piotta Sa 09.12.2000 19 h 30 EV Zug - Fribourg-Gottéron Ma 19.12.2000 19 h 30 Fribourg-Gottéron - Chur Sa 23.12.2000 19 h 30 Fribourg-Gottéron - ZSC-Lions Ma 02.01.2001 19 h 30 HC Davos-Fribourg-Gottéron Sa 06.01.2001 19 h 30 Langnau - Fribourg-Gottéron Di 07.01.2001 16 h Fribourg-Gottéron - Rapperswil Sa 13.01.2001 19 h 30 Fribourg-Gottéron - EV Zug Di 14.01.2001 16 h Chaux-de-Fonds - Fribourg-Gottéron Sa 20.01.2001 19 h 30 Kloten - Fribourg-Gottéron

Di 21.01.2001 16 h Fribourg-Gottéron - Bern Ma 23.01.2001 19 h 30 Ambri-Piotta-Fribourg-Gottéron Ma 30.01.2001 19 h 30 Fribourg-Gottéron - Lugano Di 04.02.2001 16h Fribourg-Gottéron - HC Davos Ma 13.02.2001 19 h 30 Chur-Fribourg-Gottéron Je 15.02.2001 19 h 30 ZSC-Lions - Fribourg-Gottéron Sa 17.02.2001 19 h 30 Fribourg-Gottéron - SC Langnau Di 18.02.2001 16h Rapperswil - Fribourg-Gottéron

Pour les surfeurs,

lancez-vous sur le tout nouveau site:

www.gotteron.ch

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Beauté Beauté Beauté Beauté Beauté

CLINIQUE

Les couleurs en point de mire!

PHOTO SISLEY 7^

Style métropolitain. Cet automne célébrera la femme sophistiquée, vê¬

tue strictement. Ce sera le grand retour

du tailleur. De nombreux couturiers s'étant inspirés

des centres urbains - la femme sera sur son trente et un l'au¬

tomne prochain. «Le maquillage aussi perd de sa sobriété. Le maquillage est à la mode - et il devient plus sophistiqué».

DIOR Nouvelle saison, nouvelles envies Nouvelle lumière, nouvelles harmonies De teintes volées à la nature en tex¬

tures volées à la Couture... le tout dé¬

tourné, réinventé, résolument contras¬

té, les trois compositions de l'automne Dior vont faire tourner les têtes et les cœurs.

KERASTASE

Quand le soin est plus qu'un soin

Rendre les cheveux plus forts et plus beaux...

c'est évidemment le premier bénéfice attendu d'un

soin. Mais au-delà de l'effet cosmétique, son action doit égale¬

ment corriger la matière du cheveu pour la maîtriser et le rendre plus facile à façonner, à coiffer.

SISLEY

Look «Organza»

Clin d'œil à l'hiver et aux couleurs qui l'accompagnent, le look «Organza» se joue des frimas et du froid et vient déposer un voile léger et vaporeux, aux couleurs pastel, tendres et délicates, qui évoquent les berlingots délicieusement acidulés de notre enfance, ou encore les tissus aériens

en organza de couleur, dont rêvent les petites filles pour se dé¬

guiser en princesses.

rossellinfs Manifesto

«...Le poivre, le basilic, les roses... ces arômes de chez moi et de mon jardin qui ne manquent jamais de me faire du bien. Nous avons crée le parfum Manifesto comme un éloge à ce que nous avons, et non pas à ce que nous rêvons d'avoir... Isabella Rossellini

L'ORÉAL Nouvelles colorations

PREFERENCE fait partie de la famille de la coloration per¬

manente (coloration d'oxydation). C'est une coloration haute brillance très longue durée qui ne s'efface pas grâce aux colo¬

rants brevetés dont la structure inédite les garde concentrés au coeur du cheveu. C'est une gamme très forte en reflets qui couvre les cheveux blancs.

LANCASTER .Comme une vague l\ de tendresse...

"V ' De nos jours, le démaquillage est considéré comme un moment particulier de bien-être et d'intimité, le temps de faire une pause et de s'of¬

frir de petits plaisirs délicieux et sensuels. Lancaster propose une nouvelle gamme de lotions et de masques AQUAMILK.

La douceur du lait et la fraîcheur de l'eau, voici les éléments clés de cette gamme simple, mais complète qui répond aux désirs de toutes les femmes.

GEMEY Les tendances automne-hiver 2000 Le premier est celui de l'Essen¬

ce. Le deuxième est celui de la Présence. Une gamme de cou¬

leurs allusives et rebelles pour un look des plus enjoués. Des couleurs souples et tendres, un brin naïves opposées à des cou¬

leurs intrigantes et profondes.

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La peau

» New Age Technology

#Y vénement dans le M-^J monde scientifique, des études cliniques d'une ampleur sans précédent ont permis d'étudier le stress de la peau et de révé¬

ler notamment que plus de 50% des femmes ont une peau dont le fonctionne¬

ment est perturbé par les stress quotidiens. Elles ont de plus permis de mettre en évidence le rôle des termi¬

naisons nerveuses dans la transmission du stress à la peau.

La peau est un organe senso¬

riel parcouru de fines terminai¬

sons nerveuses qui se prolon¬

gent jusqu'aux couches les plus superficielles de la peau.

En situation de stress «nor¬

mal», les fibres nerveuses trans¬

mettent des messages d'alerte aux cellules de la peau qui fabriquent en réponse des sub¬

stances capables de déclen¬

cher les réactions cutanées né¬

cessaires.

En situation de stress exces¬

sifs, tels que nous les ressen¬

tons dans le monde d'au¬

jourd'hui, les fibres nerveuses sont anarchiquement excitées.

Les messages qu'elles envoient

aux cellules cutanées sont trop nombreux et la peau réagit trop intensément. L'équilibre naturel de la peau est perturbé.

Stressée, elle perd sa douceur et son confort.

Des astuces en plus

Le froid est très utile pour se déstresser. Essayez les com¬

presses froides sur les tempes mais aussi le sac de glaçons sur le front. Et que dire du masque froid à congeler dans le réfrigérateur!

Dès que vous vous sentez stressée, pieds nus, faites rou¬

ler une balle de tennis sous la voûte plantaire. Soulagement instantané garanti.

Expirez par la bouche, les pou¬

mons d'abord, puis le ventre.

Redécouvrez le plaisir des ti¬

sanes apaisantes: zéro calorie pour le plein de sérénité.

Apprenez à relativiser. Forcez- vous à vous détendre, à lâcher prise: pour quelques minutes, les yeux fermés, faites le vide en vous, en vous concentrant sur une idée qui vous fait plai¬

sir. Dix minutes par jour et vous ne verrez plus les choses de la même façon.

Le citron: propriétés faciales, capillaires et domestiques Pour diminuer la peau grasse, faire résorber les comédons, presser un citron sur un coton et passer celui-ci sur les régions affectées. Le citron permet aus¬

si de resserrer les pores.

Le maquillage . New Age Technology

Les maquillages qui rajeunissent... tech¬

niques d'estompe

«Un ton en moins, dix ans en moins» Pour éclaircir sans ter¬

nir votre teint, optez pour une couleur de fond de teint plus claire que ce que vous avez l'habitude de porter.

Evitez les couches épaisses de fond de teint qui ont tendance à trop marquer les traits et ac¬

centuent les rides ou ridules.

Si votre peau à tendance à

«jaunir», choisissez des tons abricotés qui lui donneront un merveilleux éclat. Si elle a ten¬

dance à «rosir», les tonalités douces de beiges éclatants at¬

ténueront cet effet.

Si vous choisissez un fard (fard à paupières ou fard à

Excellent masque contre les rides

Prenez 2 tranches de citron et les placer dans un bol de bois (très important car le citron ne doit pas toucher au plastique, encore moins au métal).

Si la peau est très huileuse, uti¬

liser 4 tranches de citron et si elle est très sèche, utiliser seu¬

lement 1 tranche de citron et doubler la quantité de crème- lait (ci-dessous).

Recouvrir à moitié, soit moitié crème, moitié lait qu'on a seu¬

lement tiédi dans une cassero¬

le.

OVrflfetöBBä Beauté Couvrir et laisser reposer 3 heu¬

res. Prenez cette solution et masser votre visage ou toute autre partie de votre corps avec les doigts en mouvement rotatoire pendant quelques mi¬

nutes.

Laisser sécher sur votre peau;

enlever ensuite à l'aide d'un gant de toilette mouillé à l'eau sur lequel on aura versé 1 ou 2 gouttes d'huile d'olive.

joues), prenez-le irisé plutôt que nacré. Pour les yeux, des tons clairs ou pastels feront pétiller votre regard.

Pour les joues, mettez une touche de blush beige rosé sur le haut des pommettes pour un coup bonne mine immédiat.

Vos lèvres porteront très faci¬

lement des tons framboises, corail, ou beiges orangés. Ces tonalités illumineront votre vi¬

sage sans alourdir votre ma¬

quillage. Si vous vouliez un rouge, attention à ne pas le prendre trop dense, trop agres¬

sif.

Redessinez les contours (yeux, lèvres) avec un crayon brun tendre.

En règle générale, le résultat de votre maquillage doit être saturé et surtout pas mat parce que la matité fige les traits.

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