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Les manifestations articulaires de l’infection chronique par le virus de l’hépatite C.

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Revue Marocaine de Rhumatologie

L’infection par le virus de l’hépatite C (VHC) est un problème de santé publique. Elle touche 180 millions de personnes dans le monde(1). Le VHC est un rétrovirus (virus à ARN) à tropisme hépatique. L’infection par le VHC passe à la chronicité chez 70 – 90 % des patients et peut aboutir, après plusieurs années d’évolution, à la cirrhose avec risque du cancer du foie. L’hépatite C est souvent asymptomatique et sa découverte est souvent fortuite à l’occasion d’un examen de routine ou d’un don de sang.

L’hépatite C n’est pas seulement une maladie hépatique

; plusieurs manifestations extra-hépatiques peuvent se

voir chez 40 à 70 % des patients et peuvent concerner plusieurs organes. Il peut s’agir d’atteinte articulaire à type d’arthralgies ou arthrites(2), de cryoglobulinémie mixte, de syndrome sec, de vascularite, de glomérulonephrite, de porphyrie cutanée, de diabète…etc. (3,4).L’atteinte articulaire est la plus fréquente des manifestations extra- hépatiques de l’hépatite C(5).

arthralgies

Les arthralgies touchent principalement les grosses articulations, les mains et les genoux, plus rarement les

Correspondance à adresser à : Dr. S. Slimani Email : slimani@dr.com

résumé

L’hépatite C est un problème de santé publique affectant à peu près 180 millions de personnes dans le monde. Plusieurs manifestations extra-hépatiques ont été décrites chez les patients infectés par le virus de l’hépatite C.

L’atteinte articulaire est la plus fréquente des manifestations extra-hépatiques, souvent sous forme d’arthrites et rarement sous forme d’arthrite. Les arthrites au cours de l’hépatite C peuvent se présenter sous forme de polyarthrite symétrique, de mono- ou oligoarthrite. La polyarthrite symétrique pose le problème de diagnostic différentiel avec la polyarthrite rhumatoïde. Les anticorps antipeptides cycliques citrullinés sont le plus souvent négatifs et pourraient aider à distinguer les deux pathologies. Le traitement de ces atteintes articulaires fait appel aux AINS, à l’hydroxychloroquine ou aux corticoïdes à faible dose.

Mots clés :

Hépatite C; Arthralgie; Arthrite, polyarthrite; Cryoglobulinémie.

abstract

Hepatitis C is a public health problem with an estimated180 million cases worldwide.

Many extrahepatic manifestations have been reported in patients with hepatitis C virus infection. Joint disorders are the most common extrahepatic manifestations, oftenmainlyas arthralgia and rarely as arthritis. Arthritis in hepatitis C patientsHCV-related arthritismay be presented as in symmetrical polyarthritis and mono-oligoarthritis.

Symmetrical arthritis makes differential diagnosis problem with rheumatoid arthritis.

Anti-cyclic citrullinated peptide antibodiesare often negative and can help in distinguishing symmetrical polyarthritis from rheumatoid arthritis.Treatment of those joint involvements includes NSAIDs, hydroxychloroquine and low doses of corticosteroids.

Key words :

Hepatitis C; Arthralgia; Arthritis, polyarthritis; Cryoglobulinemia.

Manifestations articulaires de l’infection chronique par le virus de l’hépatite C.

Rheumatic manifestations during Hepatitis C infection.

Samir Rouabhia

1

, Samy Slimani

2

1 Service d’Hépatologie, Centre hospitalier universitaire Touhami Benflis, Batna - Algérie.

2 Service de Rhumatologie, Centre hospitalier universitaire Touhami Benflis, Batna - Algérie.

Rev Mar Rhum 2015; 31:45-8

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chevilles ou les coudes ; elles sont souvent bilatérales et symétriques, non déformantes et migratrices. Intermittentes et souvent inaugurales, elles sont retrouvées chez 50 à 80 % des patients(6). Cacoub et al. retrouvent la notion d’arthralgies chez 23 % de leurs 1614 patients atteints d’hépatite C(6). Une autre étude prospective d’une année montre que 20 % des patients atteints d’hépatite C souffrent d’arthralgies (7).

arthrites

La prévalence des arthrites chez les patients atteints d’hépatite C varie de 2 à 27 % selon les études(8).

Cette variation de prévalence est due à la différence dans la méthodologie des études et la spécialité du centre traitant, rendant difficile la détermination de la prévalence exacte des arthrites au cours de l’hépatite C.Les arthrites sont rarement rapportées par les études faites par les non rhumatologues, 4 à 5 % selon certains auteurs(9,10). Cependant les atteintes articulaires, souvent asymptomatiques, semblent plus fréquentes chez les patients vus par des rhumatologues. Iagnocco et al., après examen articulaire à l’échographie chez 29 patients atteints d’hépatite C, trouvent des signes inflammatoires articulaires chez 96,5 % des patients(11). Les arthrites au cours de l’hépatite C peuvent être classées en deux groupes : Polyarthrite symétrique (PS), qui peut simuler une véritable polyarthrite rhumatoïde (PR), et mono- ou oligoarthrite intermittente(12).

La polyarthrite de l’hépatite C peut toucher de façon symétrique les petites et les moyennes articulations. Les interphalangiennes proximales, les poignets et les chevilles sont les articulations les plus fréquemment atteintes.

Elle n’entraine pas d’érosions et ne s’accompagne pas de nodules cutanés. La PS ressemble à une PR et peut poser un problème de diagnostic différentiel (13,14). En effet, à la phase initiale d’une polyarthrite rhumatoïde, des difficultés diagnostiques peuvent se poser devant un tableau de polyarthrite des grosses articulations, bilatérale et symétrique, non encore érosive, avec présence d’un facteur rhumatoïde. Le facteur rhumatoïde est positif dans approximativement 70-80 % des cas de polyarthrite rhumatoïde et dans 50 – 80 % des cas de polyarthrites liées à l’hépatite C(15). Le dosage de anticorps antipeptides cycliques citrullinés (anti-CCP) permet de faire la distinction car ils sont présentschez 75 à 80 % des patients avec une polyarthrite rhumatoïde et chez moins de 5 % des patients infectés par le virus de l’hépatite C avec ou sans cryoglobulinémie(16-21).

La mono- ou oligoarthrite intermittente touche les grosses articulations. Elle est rarement d’évolution chronique et est souvent liée à une cryoglobulinémie. La mono- ou oligoarthrite intermittente doit être distinguée des autres arthrites telles que les arthrites microcristallines et les spondyloarthrites. Lorsque le liquide articulaire est ponctionné, l’analyse cytologique confirme son caractère inflammatoire. Les radiographies ne mettent pas en évidence d’érosions articulaires (13).

Myalgie

Les myalgies sont rapportées chez 15 % des patients, pouvant s’intégrer dans un tableau de fatigue chronique voir de fibromyalgie (6).

PhysiOPathOlOgie

Les mécanismes physiopathologiques par lesquels le virus de l’hépatite C peut entrainer des atteintes articulaires ne sont pas clairs. Trois hypothèses sont possibles : l’invasion directe du tissu synovial par le virus, l’inflammation synoviale déclenchée par une réponse auto-immune au virus et enfin,le dépôt de complexes immuns ou de cryoglobuline au niveau de la synoviale(22-27).Ueno et al. ont détecté, par Polymerase Chain Reaction, l’ARN du VHC dans le liquide synovial chez un patient atteint d’hépatite C et souffrant de polyarthrite non érosive (28).

Les cryoglobulinémies sont définies par la présence persistante dans le sérum d’immunoglobulines (Ig) qui précipitent en dessous de 37°C et se solubilisent à nouveau lors du réchauffement. La classification de Brouet permet d’en distinguer trois types. Le type I est composé d’une Ig monoclonale unique. Les types II et III représentent les cryoglobulinémies mixtes (CM) car elles sont composées Ig polyclonales, associées (type II) ou non (type III) à un ou plusieurs constituants monoclonaux(29).

La pathogénie des CM liées au VHC a fait l’objet de nombreux travaux expérimentaux suggérant un rôle actif du virus sur la lignée lymphocytaire B(30). Le VHC est en effet présent dans les hépatocytes et les lymphocytes B. Une prolifération clonale de cellules B dans le sang et le foie a été décrite chez des patients atteints d’hépatite C et plus fréquemment chez ceux ayant une CM(31). La découverte par Pileri et al. (32) d’un des récepteurs cellulaires du VHC, le CD81, présent sur de très nombreux types cellulaires incluant les lymphocytes B, pourrait expliquer ce tropisme lymphocytaire. Certaines manifestations extra-hépatiques de l’infection par le VHC seraient liées à l’activation des lymphocytes B par le biais de la production d’autoanticorps et de CM(31).

S. Rouabhia et al.

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Manifestations articulaires de l’infection chronique par le virus de l’hépatite C

La prévalence des CM chez les patients infectés par le VHC varie de 1 à 56 % suivant les séries(33). Les manifestations cliniques des CM sont rares, observées dans environ 5 % des cas. Lorsqu’elles sont symptomatiques, les CM entraînent une vascularite systémique touchant les vaisseaux de petit calibre(34).D’autres manifestations liées à la cryoglobulinémie peuvent se voir telles que fatigue, neuropathies périphériques, glomérulonéphrites, purpura et phénomène de Raynaud(35, 36).

traiteMent Des atteintes articulaires liées au virus De l’héPatite c

Peu de données concernant le traitement des atteintes articulaires au cours de l’hépatite C sont disponibles ; par conséquent, l’approche thérapeutique de ces atteintes est beaucoup plus empirique que standardisée. Le traitement vise l’amélioration des symptômes articulaires sans aggraver les lésions hépatiques. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), l’hydroxychloroquine et les corticoïdes à faible dose constituent les principaux éléments du traitement. L’utilisation des AINS est déconseillée en cas de cirrhose avec varices œsophagiennes car risque d’hémorragie digestive fatale(12). Le traitement étiologique antiviral quand il est indiqué peut améliorer la symptomatologie s’il y a eu une réponse virologique.

cOnclusiOn

L’hépatite C peut s’accompagner de manifestations articulaires type arthralgies ou arthrites. Les arthrites peuvent simuler une polyarthrite rhumatoïde. Le traitement des atteintes articulaires n’est pas standardisé, mais fait appel aux AINS, à l’hydroxychloroquine et aux corticoïdes à faible dose.

DéclaratiOn D’intérêt

Les auteurs déclarent n’avoir aucun conflit d’intérêt.

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