• Aucun résultat trouvé

Nuits blanches à Seattle

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Nuits blanches à Seattle"

Copied!
1
0
0

Texte intégral

(1)

Correspondances en Onco-Théranostic - Vol. V - n° 1 - janvier-février-mars 2016 4

É d i t o r i a l

AVIS AUX LECTEURS

Les revues Edimark sont publiées en toute indépendance et sous l’unique et entière responsabilité du directeur de la publication et du rédacteur en chef.

Le comité de rédaction est composé d’une dizaine de praticiens (chercheurs, hospitaliers, universitaires et libéraux), installés partout en France, qui représentent, dans leur diversité (lieu et mode d’exercice, domaine de prédilection, âge, etc.), la pluralité de la discipline. L’équipe se réunit 2 ou 3 fois par an pour débattre des sujets et des auteurs à publier.

La qualité des textes est garantie par la sollicitation systématique d’une relecture scientifique en double aveugle, l’implication d’un service de rédaction/révision in situ et la validation des épreuves par les auteurs et les rédacteurs en chef.

Notre publication répond aux critères d’exigence de la presse :

· accréditation par la CPPAP (Commission paritaire des publications et agences de presse) réservée aux revues sur abonnements,

· adhésion au SPEPS (Syndicat de la presse et de l’édition des professions de santé),

· indexation dans la base de données internationale ICMJE (International Committee of Medical Journal Editors),

· déclaration publique de liens d’intérêts demandée à nos auteurs,

· identification claire et transparente des espaces publicitaires et des publirédactionnels en marge des articles scientifiques.

Nuits blanches à Seattle

Sleepless in Seattle

C hers lecteurs de Correspondances en Onco-Théranostic, j’écris cet “édito” au milieu de la nuit à Seattle où a lieu le congrès de l’USCAP (United States and Canadian Academy of Pathology), qui, cette année, s’intitule “Next generation learning”. Si la pathologie moléculaire s’y taille encore une part importante, en particulier les syndromes héréditaires (développés en pathologie digestive, ORL et gynécologique) et le séquençage nouvelle génération dans divers cancers avec un focus sur les biopsies liquides, le congrès aborde cette année les évolutions des modes de communication et d’enseignement (et de microscopie) ainsi que les nouvelles technologies.

À l’ère de Twitter et de de Facebook, comment l’information se transmet-elle en pathologie ? En quoi cela peut-il faire progresser les pathologistes ? Comment l’enseignement se transforme et se dynamise grâce aux nouvelles technologies ? Va-t-on vivre un jour dans un monde sans microscopes ? Jusqu’où ira le “virtuel” ? Passera-t-il, lui aussi, par les imprimantes 3D ?

L’avancée technologique, l’explosion des moyens de communication et le démembrement moléculaire des tumeurs : tout cela donne un peu le tournis !

Nous en reparlerons certainement plus longuement dans un prochain numéro de Correspondances en Onco- Théranostic.

Pour l’heure, je vous laisse découvrir ce très beau numéro rédigé sous la direction de Dominique Figarella-Branger.

Il porte sur la pathologie des tumeurs cérébrales, elles aussi en route pour une classification histomoléculaire.

Vous aurez donc, avant la parution de la classification de l’OMS 2016, un panorama complet des tumeurs gliales infiltrantes de l’enfant et de l’adulte, des gliomes et tumeurs glioneuronales circonscrites, des tumeurs épendy- maires et des tumeurs embryonnaires.

Les échos des congrès nous montreront, quant à eux, comment l’emballement médiatique autour d’une étude peut donner de faux espoirs aux patientes…

Très bonne lecture !

F. Penault-Llorca

Centre Jean-Perrin, Clermont-Ferrand L’auteur déclare ne pas

avoir de liens d’intérêts.

0004_COO 4 21/03/2016 14:37:16

Références

Documents relatifs

Because diet is known to affect development dur- ing all juvenile stages (Zajitschek et  al. 2009), whereas the social environment only affects juvenile development in the

◼ Même approche pour le traitement de la douleur chronique centralisée chez les patients présentant des troubles rhumatismaux et musculo-squelettiques associés que chez les

la lésion nodulaire siège dans le secteur latéral droit et dans le segment VI ou segment antéro basal droit.. y a - t - il des signes patents de cirrhose hépatique

Étude dynamique IRM après injection (c et d) : la phase de post-équilibre tardif (d) montre le rehaussement massif du contingent collagène contrastant avec le lavage du parenchyme

Voilà une belle façon de finir l’année, commencée avec un numéro spécial sur les cellules et l’ADN circulants, puis avec ce beau dossier sur la pathologie osseuse et avec

La dose reçue ne doit pas dépasser 650 mGy par centimètre pour un scanner abdominal (par passage). Le meilleur moyen de diminuer la dose reçue par le patient est de ne pas

• Comment limiter (et dans quelles situations) l’irradiation liée aux scanners itératifs.. • Quelles perspectives d’amélioration

D’après Nijenhuis [22] même si les troubles somatoformes ne sont pas référencés comme troubles dissociatifs dans le DSM- IV, la forte corrélation entre eux indiquerait que