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infoligues RHUMATISME SANTÉ AU TRAVAIL Au volant de son bus et de sa santé TABAGISME Le journal d information des ligues de la santé

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infoLigues

LE jouRnaL D’infoRMation des ligues de la santé

SANTÉ AU TRAVAIL

au volant de son bus et de sa santé

TABAGISME

aIde À l’aRRÊt en MIlIeu PRéCaIRe

INfoBRèVES

RHUMATISME

Mal au dos un JouR, Mal au dos touJouRs?

DÉCEMBRE 2013

Dans le monde de la santé, plus que dans d’autres secteurs, la publication de chiffres, de quelle que nature qu’ils soient, provoque presque toujours son lot de réactions et surtout d’émotions. Tantôt ce sont les médecins qui s’estiment injustement attaqués quant à leurs revenus, tantôt ce sont les responsables d’hôpitaux qui contestent que chaque franc investi dans les soins aigus n’est pas forcément synonyme de gains de santé, tantôt ce sont les assureurs qui se défendent s’agissant du rapport entre les coûts qu’ils doivent rembourser et le montant des primes qu’ils sont contraints de fixer.

Dans tous les cas, les émotions sont au rendez-vous et la contestation permanente au sujet de la pertinence des chiffres illustre pleinement les énormes difficultés que rencontrent les acteurs du système de santé pour tirer tous à la même corde.

Parmi ces acteurs, les patients sont généralement moins souvent questionnés quant aux coûts qu’ils engendrent.

Cela est probablement dû au statut particulier du patient qui est à la fois l’objet de la prestation de soins et celui qui devra in fine s’acquitter de la facture via ses primes d’assurance- maladie, ses impôts et ses participations directes.

Pourtant, dans le domaine du diabète, nous venons d’assister à des réactions vives d’un nombre significatif de patients souffrant de cette maladie à la suite de la médiatisation dont l’étude du Professeur Claude Jeanrenaud de l’Université de Neuchâtel a fait l’objet. Après une analyse des coûts directs dans un premier temps, le second volet de son étude s’est intéressé aux coûts indirects du diabète, en particulier aux effets sur la productivité en entreprise. Pour le seul canton de Vaud, des dizaines de millions de perte de productivité ont été identifiés.

Suite en page 2...

des ChIffRes et des éMotIons…

© iStockphoto

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Le passage du bus Bilan & Conseils Santé Janvier

EPFL-Lausanne, Saint-Sulpice, Aigle Février

Lausanne Bourdonnette, Yverdon, Lausanne Mars

Bex, Gland, Rolle, Blonay, Cully, Lutry

Info & inscription:

www.bilanconseilsante.ch 021 623 37 45

edIto - suIte

Les réactions de personnes diabétiques, se sentant discriminées en plus des souffrances qu’elles doivent endurer dans leur vie quotidienne, sont compréhensibles. Mais ces patients doivent être rassurés, car tant le commanditaire que l’auteur de l’étude ont surtout voulu démontrer le coût humain de cette maladie, et permettre aux responsables de la santé publique de disposer d’éléments pour fixer des priorités. Lorsque l’on fait des efforts de transparence, c’est tout le contraire de la stigmatisation - par conséquent de l’émotion - et de vrais débats peuvent alors être ouverts.

La seule chose que l’on puisse regretter est que l’on ne dispose pas encore de comparaisons de coûts directs et indirects pour d’autres maladies chroniques en particulier, et cela à l’échelle des principaux cantons suisses. Dans le domaine du diabète, le canton de Vaud a fait œuvre de pionnier - au prix d’avoir provoqué quelques émotions - mais les efforts permettant d’éclairer avec précision l’ensemble des coûts de santé sont chaque jour plus indispensables.

L’organisation future du système de santé en dépend; les priorités sanitaires que les autorités politiques doivent fixer et réorienter en permanence en dépendent; la nécessaire mobilité des ressources, même modeste, notamment entre les soins aigus et les actions de prévention, en dépend. Et les assurés-patients, afin qu’ils comprennent et acceptent les charges financières importantes qu’ils supportent, ont aussi besoin de cette transparence. Personne ne doit avoir peur de cet objectif, comme personne n’a peur de rouler dans un tunnel parfaitement éclairé.

HENRI ROTHEN Président exécutif des Ligues de la santé

infoBrèves

Arrêter de fumer, la bonne résolution de janvier !

Dans le cadre de la campagne nationale « Toux matinale? Et si c’était une BPCO », la Ligue pulmonaire vaudoise propose une séance d’information gratuite sur le tabac et la Broncho-Pneumopathie Chronique Obstructive (BPCO) le 9 décembre à 18h30, dans ses locaux de l’avenue de Provence 4 à Lausanne. Cette maladie est due à un rétrécissement progressif des voies respiratoires qui réduit les performances physiques. En principe, les fumeuses et les fumeurs de plus de 45 ans devraient faire mesurer leur fonction pulmonaire afin de s’assurer que celle-ci n’est pas altérée par un début de BPCO, car les dommages causés par celle-ci sont irréversibles.

De premières indications peuvent déjà être fournies par le test de risque en ligne sur www.test-bpco.ch. L’arrêt du tabac reste le meilleur moyen d’éviter de développer cette maladie sournoise, ou d’enrayer sa progression.

Le cours stop-tabac de la Ligue pulmonaire est une méthode concrète pour arrêter de fumer durablement. La prochaine session de cours a lieu du 21 janvier au 25 février 2014. Informations et inscriptions au cours stop-tabac : prevention@lpvd.ch ou 021 623 38 86. www.lpvd.ch

Plus de saveur au quotidien grâce aux Tables conviviales

Pour que manger reste un plaisir, même lorsque l’on vit seul à l’âge de la retraite, Pro Senectute Vaud propose aux seniors de prendre de bons repas, dans une ambiance chaleureuse. Ainsi quatre types de Tables conviviales sont organisées par des animateurs bénévoles : - La Table d’hôtes a lieu au domicile de l’organisateur ou à proximité.

- La Table familiale consiste à partager un repas habituel.

- La Table à deux permet de déguster un plat élaboré ensemble.

- La Table au bistrot rassemble

des seniors accompagnés d’un bénévole au restaurant.

En 2012, 2’340 aînés ont savouré 23’496 repas équi- librés dans le cadre de cette prestation, qui permet de rapprocher les habitants âgés d’une commune ou d’un quartier.

Voyage créatif

Partez à la rencontre de votre imaginaire! Un nou- veau « groupe créatif », proposé par la Ligue vaudoise contre le cancer aux patients atteints de cette mala- die et à leurs proches, prendra forme début 2014 à Lausanne. L’occasion d’explorer cinq techniques artis- tiques − collage, peinture, argile, encre et craie – dans une atmosphère chaleureuse.

Informations pratiques : les mardis de 14h à 16h, dès le 21 janvier 2014 dans les locaux de la Ligue vaudoise contre le cancer, place Pépinet 1, à Lausanne.

Renseignements: www.lvc.ch ou par tél.

au 021 623 11 24/11.

infoBrèves : VB, CC, MB.

© Pro Senectute Vaud - Yves Leresche

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Santé au travail • interview

au volant de son bus et de sa santé

M. Witz, pouvez-vous brièvement vous présenter et nous décrire votre journée type de travail?

Mon nom est Patrick Witz et je suis conducteur de bus tl. Mes journées commencent généralement tôt, je me lève vers 3h30-4h00 et mon service débute entre 5h00 et 5h30. Ma journée de travail se termine entre 13h00 et 14h00. Il y a des tournus au niveau des horaires mais c’est celui que je préfère, car je peux ainsi avoir mon après-midi de libre.

J’avoue que ça n’était pas facile au début de se lever aussi tôt, j’ai bien dû mettre une année pour m’y habituer.

Quelle a été votre première réaction lorsq u’on vous a annoncé que vos formations continues porteraient cette année sur le thème de la santé?

J’ai applaudi car on en avait besoin. Vous savez, le métier de conducteur, avec ces horaires, n’est pas un métier facile. Il faut déjà bien gérer son temps libre, au niveau des repas et du sommeil tout particulièrement, sinon ça ne pardonne pas. Si vous ajoutez à cela le stress du trafic, la position de conduite toute la journée et la concentration perpétuelle qu’il faut avoir au volant, on le ressent clairement en fin de journée au niveau physique.

Et qu’en pensez-vous maintenant, de façon générale, après avoir suivi ces formations ?

Eh bien, je confirme que c’était une bonne idée. À titre personnel, cela m’a permis de changer certaines habitudes. Par exemple, avant, je ne déjeunais pas le matin. J’essaie maintenant de partir au travail

avec quelque chose dans le ventre. Pareil pour les moments de repos ; vous savez, je suis un bon vivant de nature, j’attendais donc souvent la limite avant d’aller me coucher. Le cours sur le sommeil m’a permis de mieux gérer mes cycles de repos.

Parmi les différents thèmes abordés lors de ces formations (alimentation, sommeil- repos, ergonomie, activité physique), quels conseils santé avez-vous de la peine à appliquer au quotidien ?

Je dirais tout ce qui concerne l’activité physique.

Le matin c’est un peu difficile pour vous dire la vérité, on préfère attaquer la journée avec un café bien noir. L’après-midi après le travail, je préfère commencer par une sieste. J’aimerais bien bouger davantage mais mes horaires ne me donnent pas cette opportunité malheureusement. J’ai par contre bien gardé les fascicules distribués lors des cours avec les exemples d’exercices à faire chez soi. Je les trouve intéressants même si je ne les ai pas encore mis en pratique.

Et quel a été celui, ou ceux, qui vous a le plus marqué et pourquoi ?

Comme j’en ai parlé, le thème du sommeil est central pour notre métier. Ça n’était d’ailleurs pas la première fois que les tl nous proposaient une formation dans ce domaine. Cela m’a donc permis de creuser un peu plus le sujet. Je citerais aussi le thème de l’ergonomie pour ce qui est de la position au volant. On croit souvent qu’on a une bonne position mais j’ai bien vu que j’avais encore une bonne marge d’amélioration dans ce domaine. Propos recueillis par ALM

Les Transports publics de la région lausannoise (tl) ont mandaté les Ligues de la santé afin de former leurs 640 conducteurs sur des thèmes de promotion de la santé. Parmi ces collaborateurs, Patrick Witz, conducteur aux tl depuis 15 ans, nous fait part de ses impressions.

PRestatIons À la CaRte

Contenant une dizaine de fiches thématiques, la plaquette «la santé dans votre entreprise»

présente l’ensemble des prestations proposées par les Ligues de la santé en matière de prévention alcool, alimentation, activité physique, bilan santé, tabagisme, promotion de la santé, prévention des maux de dos, prévention du stress et sommeil.

Cette plaquette peut être commandée au 021 623 37 37 ou téléchargée

z

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tabagisMe

aIde À l’aRRÊt

en MIlIeu PRéCaIRe

Le CIPRET-Vaud a pour mandat de prévenir le tabagisme auprès de l’ensemble de la population vaudoise, y compris parmi les personnes à faible statut socio-économique. Ces dernières, qui cumulent bas niveau de formation, emplois peu qualifiés et peu rémunérés, fument plus souvent que la population générale et il leur est plus difficile d’arrêter de fumer. Elles sont également difficiles à atteindre directement ; une collaboration avec les lieux qu’elles fréquentent est indispensable pour y parvenir.

C’est dans ce contexte que le Point d’Eau de Lausanne (PEL) a été approché. Cette institution a pour but d’accueillir des personnes démunies ou défavorisées, sans distinction d’âge, de nationalité ou de statut légal en Suisse. Elle leur offre des pres- tations dans les domaines de l’hygiène corporelle et de la santé. Les professionnels du PEL ont manifesté dès les premiers contacts leur intérêt à développer la thématique du tabac auprès des usagers, qui comptent un grand nombre de fumeurs.

Une aide pratique à l’arrêt

Le CIPRET a d’abord animé deux permanences au PEL, afin de récolter les besoins des personnes fré- quentant ce lieu. Cette première approche a intéressé les usagers qui avaient de nombreuses questions sur le tabac et les risques liés à sa consommation.

Les différents échanges ont clairement fait émerger la demande d’une aide pratique à l’arrêt ; or les aides existantes leur étaient de facto inaccessibles puisque la plupart de ces personnes ne dispose pas d’une assurance-maladie, ni des moyens financiers nécessaires à l’achat d’un traitement de substitution nicotinique (patchs ou autre).

Il est courant de penser que les fumeurs en situation de précarité économ iq ue et socia le v ivent dans un contexte trop difficile pour imaginer arrêter de fumer.

Une recherche-action menée par le CIPRET-Vaud au Point d’Eau de Lausanne déconstruit cette idée : les usagers de cette institution d’accueil à bas seuil ont manifesté leur intérêt en participant au projet d’aide à l’arrêt mené dès juillet 2013.

Le CIPRET, en étroite collaboration avec le PEL et la Policlinique médicale universitaire de Lausanne (PMU) a donc décidé d’expérimenter un projet d’aide à l’arrêt auprès des usagers du PEL. Une séance d’infor- mation/formation sur le tabagisme et les méthodes d’arrêt a été suivie par les professionnels du PEL, afin qu’ils puissent motiver et soutenir les personnes intéressées. Ces dernières ont ensuite pu bénéficier, contre une somme très modique, d’un programme d’aide à l’arrêt de trois mois, avec une consultation donnée directement au PEL par un médecin- assistant de l’Unité de tabacologie de la PMU et la remise de substituts nicotiniques. Conçu comme une recherche-action, ce projet n’a pas de visée scientifique ; il cherche cependant à tester l’intérêt de personnes vulnérables à parler de leur tabagisme et à déterminer de quelle manière elles s’approprient la possibilité d’arrêter de fumer.

Le projet a débuté au mois de juillet et se poursuivra jusqu’à fin 2013.

Il est déjà possible d’affirmer qu’il a reçu un bon accueil. Les 20 places prévues ont trouvé preneur, ce qui montre que l’aide à l’arrêt peut potentiellement intéresser tous les fumeurs prêts à arrêter, y compris ceux qui vivent dans une grande précarité. Cette expérience indique également que ce type d’aide doit être très souple dans son organisation afin d’être en phase avec les contraintes que vivent les usagers. Cela n’est possible que dans un contexte institutionnel porteur, ce qui est le cas du PEL qui fait vivre le projet de manière exemplaire.

Le projet a tablé sur la convergence entre besoins des utilisateurs et intérêt des professionnels pour développer une offre spécifique. Il n’a pas encore livré toutes ses conclusions, mais il encourage le CIPRET à continuer dans cette voie de collaboration avec les institutions en lien avec les populations précarisées. BS

© iStockphoto

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Un jour ou l’autre, chacun d’entre nous va expérimenter le mal de dos à l’occasion d’un «tour de rein», en changeant les pneus de sa voiture ou lors d’un banal geste de la vie quotidienne. Mais moins de 10% des victimes vont récidiver. Est-on certain qu’un seul épisode de lombalgie va faire de nous un «douloureux chronique» ?

Les symptômes ont souvent une origine inconnue et les lésions anato- miques et radiologiques (hernie discale, arthrose) ne sont pas corrélées avec l’importance et la pérennité des douleurs. L’absence d’étiologie précise rend souvent difficile un traitement spécifique et curatif.

Les croyances erronées des lombalgiques sont des facteurs de chronicisation des douleurs, un frein à la guérison et un terrain propice à la récidive. Les troubles cognitifs face au mal de dos sont classiques :

« je ne pourrai jamais reprendre mon travail dans cet état », « pour moi, les randonnées en montagne, c’est fini à tout jamais », «aucun traitement n’est efficace». L’expérience négative aboutit à une conduite d’évitement (peur du mouvement et de la douleur) contribuant au déconditionne- ment physique.

De récentes études démontrent que prendre des dispositions person- nelles aide à contrôler la fragilité du rachis. La reprise d’une activité physique adaptée après le premier épisode de lombalgie fait partie des recommandations pour limiter la chronicisation. La compréhension du problème, grâce à une information prodiguée par des professionnels compétents, à l’aide de schémas et de documentation, participe aussi à une meilleure gestion de la lombalgie.

Les personnes qui ont expérimenté le mal de dos, celles bienheureuses qui n’en ont jamais souffert et toutes celles qui souhaitent être les acteurs de leur propre santé font le bon choix en suivant une activité physique régulière qui leur est adaptée. AMC

La LVR s’engage depuis de nombreuses années dans la prévention des maux de dos en proposant des cours Active Backademy au public.

RHuMatisMe

Mal au dos un JouR,

Mal au dos touJouRs ?

La Ligue vaudoise contre le rhumatisme s’engage depuis de nombreuses années dans la prévention des maux de dos en proposant des cours Active Backademy au public.

Ces cours en groupe d’une heure sont hebdomadaires et dispensés par un/e physio- thérapeute. Ils peuvent être le prolongement d’une prise en charge en physiothérapie, un retour à l’activité ou une activité en toute sécurité.

Ils s’articulent autour d’exercices actifs visant l’amélioration des fonctions musculaires et articulaires, sans oublier la perception du corps.

Lors des cours, le/a physiothérapeute aide les participants à être critiques face à l’hy- giène de leur dos au quotidien, mais aussi à la reprise d’une activité sportive et profes- sionnelle. Grâce à cette démarche, les par- ticipants reprennent confiance en leur dos.

L’activité physique est essentielle à une évolution positive des douleurs de dos ; les participants réguliers soulignent souvent que leurs douleurs habituelles sont moins intenses et les épisodes aigus plus espacés.

Les cours Active Backademy dispensés en groupe aident les participants à réaliser qu’ils ne sont pas seuls à souffrir de leur dos. Ils peuvent partager leurs expériences et même lier de nouveaux contacts amicaux.

Ces cours permettent ainsi à tout un cha- cun de décider de se prendre en main et de contracter en quelque sorte un abonnement avec son dos. GV

Renseignements : tél. 021 623 37 07 ou www.liguerhumatisme-vaud.ch

Inutile de rappeler que le mal de dos est le mal du siècle. Mais est-on certain qu’un seul épisode douloureux va faire de nous un malade chronique ?

Les récentes études montrent que prendre un certain nombre de dispositions personnelles permet de gérer une fragilité de l’espace lombaire.

© iStockphoto

www.liguerhumatisme-vaud.ch

www.liguerhumatisme-vaud.ch

Pantone 3278 C

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1000 Lausanne PP

Des partenaires

Espaces Prévention www.espace-prevention.ch

Nos membres

Ligue vaudoise contre le rhumatisme T. 021 623 37 07 www.liguerhumatisme-vaud.ch Ligue pulmonaire vaudoise

T. 021 623 38 00 www.lpvd.ch Fondation vaudoise contre l’alcoolisme T. 021 623 84 84 www.fva.ch

Ligue vaudoise contre les maladies cardiovasculaires T. 021 623 37 37 www.lvcv.ch

Fondation de la Mucoviscidose T. 021 623 37 17 www.mucoviscidose.ch

Association vaudoise du diabète T. 021 657 19 20 www.diabete-vaud.ch Pro Senectute Vaud

T. 021 646 17 21 www.vd.pro-senectute.ch Policlinique Médicale Universitaire T. 021 314 60 60 www.pmu-lausanne.ch

Fondation vaudoise pour le dépistage du cancer du sein T. 021 314 14 36 www.depistage-sein.ch

Institut de médecine sociale et préventive T. 021 314 72 72 www.iumsp.ch

Ligue vaudoise contre le cancer T. 021 623 11 11 www.lvc.ch

Fondation Profa

T. 021 631 01 20 www.profa.ch

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Ligues de la santé - av. de provence 12 - 1007 Lausanne t. 021 623 37 37 - www.liguesdelasante.ch

Responsable éditorial Mise en page

franco Genovese tessa Gerster

ont collaboré à ce numéro :

Virginie Bréhier (VB), Marie Bertholet (MB), Dr anne-Marie Chamot (aMC), Charlotte Christeler (CC), anouck Luini Macchi (aLM), Béatrice salla (Bs), Gaëlle Vonlanthen (GV).

la pRévention des Maladies et la pRoMotion de la santé ont besoin de votRe soutien!

CCP : 10-1491-7

Ligues de la santé

Qui sommes-nous?

Les Ligues de la santé ont été créées en 1979 par la Ligue vaudoise contre les maladies cardiovasculaires, la Ligue pulmonaire vaudoise et la Ligue vaudoise contre le rhumatisme, sous l’impulsion du Service de la santé publique du canton de Vaud. Le but était alors de coordonner et de fédérer les actions de prévention des différentes ligues et associations actives dans ce secteur. Constituées aujourd’hui sous forme d’association, les Ligues de la santé rassemblent douze institutions membres et gèrent presque autant de programmes. Elles sont ainsi devenues la référence vaudoise dans plusieurs domaines de prévention et de promotion de la santé comme le dépistage des risques de maladies cardiovasculaires, la promotion de l’activité physique et de l’alimentation équilibrée, la lutte contre le tabagisme ou encore la prévention des risques liés à la consommation d’alcool.

Bilan & Conseils Santé

T. 021 623 37 57 www.bilanconseilsante.ch Ça marche ! Bouger plus, manger mieux T. 021 623 37 90www.ca-marche.ch Pipad’es

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Les Ligues de la santé

vous souhaitent de joyeuses fêtes

et une bonne année 2014

Références

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