PROJET DE TERRAIN DE FOOTBALL-SOCCER SYNTHÉTIQUE À LA POUDRIÈRE
La Commission scolaire des Chênes et le milieu se mobilisent !
« Premier essai... et les buts ! » Le jour n’est peut-être pas bien loin où l’école secondaire La Poudrière verra s’ajouter à ses infrastructures un terrain synthétique, dédié à la pratique du football et du soccer. En fait, si tout va comme prévu, les porte-couleurs de l’équipe de football Les Patriotes, de même que des formations de soccer de La Poudrière, pour- raient bien courir sur ce tout nouveau terrain dès la rentrée 2009-2010. En conférence de presse récemment, le direc- teur général de la Commission scolaire des Chênes, M. Yvan Aubé, a confi rmé que l’organisation qu’il dirige comptait injecter 300 000 $ des quelque 500 000 $ nécessaires à la réalisation du projet.
mai 2009
Les 200 000 $ qui viendront compléter le financement seront récoltés dans le milieu, auprès d’entreprises et donateurs de la région. À cet égard, les choses augurent plutôt bien puisque, déjà, les membres du comité de pro- motion du projet, coordonné par M. Gaétan Janelle, sont en mesure de confi rmer des contributions franchissant le cap des 100 000 $.
Pour une, la Corporation de développement et de promotion de Saint-Nicéphore contribuera au pro- jet à hauteur de 75 000 $. Précisons que cette corpora- tion est un organisme à but non lucratif qui avait comme
Premier essai... et les buts ! La Commission scolaire des Chênes et le milieu drummondvillois se mobilisent pour doter l’école La Poudrière d’un terrain synthétique. À l’avant, on reconnaît Gaétan Janelle, chargé de projet, Jeanne-Mance Paul, présidente de la Com- mission scolaire des Chênes, Yvan Aubé, directeur général de la com- mission scolaire, et Denyse Landry, directrice de l’école La Poudrière.
À l’arrière, on retrouve, Bernard Beaubien, de Métallus (contribution de 10 000 $), Martin Charpentier, entraîneur de l’équipe de football Les Patriotes, Anthony Labonté, joueur des Patriotes, de même que Jean-Guy Boisclair, Ginette Beaulieu, Daniel Beaulac et Denis Vadnais, tous de la Corporation de développement et de promotion de Saint- Nicéphore (contribution de 75 000 $).
mandat la promotion économique de l’ancienne ville de Saint-Nicéphore, avant son regroupement avec la Ville de Drummondville. Les fonds résiduels ont, depuis la fusion des municipalités, été consacrés à la réalisation de projets bénéfi ciant à la collectivité. Il va sans dire que la propor- tion des élèves du secteur Saint-Nicéphore fréquentant La Poudrière a été un élément déterminant dans la décision de la Corporation. La Commission scolaire des Chênes et le comité de fi nancement sont extrêmement reconnaissants envers cet organisme, plus particulièrement messieurs Jean- Guy Boisclair et Daniel Beaulac.
À cet apport majeur s’ajoutent ceux, tout aussi signifi catifs de :
• Le personnel de l’école La Poudrière (plus de $16 000 !!!)
• Bio Agri Mix (14 000 $)
• Metallus ($10 000)
• Le Royaume du Luminaire ($5 000)
• Yves-François Blanchet, député provincial de Drummond (1 000 $)
Bien qu’ils soient près du but, les membres du comité de promotion sont toujours à pied d’œuvre et poursuivent la sollicitation de partenaires éventuels, lesquels permettront de doter l’école La Poudrière d’un terrain synthétique qui, non seulement bénéfi ciera aux équipes sportives de l’école, mais à toute la collectivité.
Depuis nombre d’années, les équipes sportives de l’éco- le La Poudrière évoluaient sur le terrain situé non loin de l’Olympia Yvan-Cournoyer. En raison de son utilisation régu- lière, jumelée aux conditions climatiques, ce site, en gazon naturel, en venait à se détériorer sérieusement, si bien que la Commission scolaire des Chênes doit investir des sommes importantes afi n d’assurer, de manière récurrente, sa réfection.
De plus, la sécurité des athlètes est constamment en jeu.
Une fois réalisé, le terrain de l’école La Poudrière pourra permettre la pratique du football, du soccer à 11 joueurs ou à sept (7) joueurs (le terrain pourrait alors être divisé en deux parties). Comme le site est éclairé, il donnera accès à une plage d’utilisation maximale.
La réalisation éventuelle de ce projet majeur constituera un outil de développement important, tant pour l’école La Poudrière que la Commission scolaire des Chênes. En outre, il convient de rappeler que chaque année, plus de 110 jeunes de l’école La Poudrière évoluent pour les différentes équipes de football (benjamine, cadette et juvénile) des Patriotes. C’est sans compter ceux qui évoluent au soccer. Ils proviennent autant des programmes réguliers que de ceux dévolus aux élèves en diffi culté d’apprentissage. C’est bien connu, les jeunes se servent du sport comme motivation pour persévérer dans l’obtention de leur diplôme d’études secondaires ou leur diplôme d’études professionnelles.
L’invitation est donc lancée à celles et ceux qui voudront se joindre à ce mouvement. Pour ce faire, il suffi t de commu- niquer avec Bernard Gauthier, secrétaire général et directeur adjoint au Service des communications, au 819 478-6700, poste 6796.
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LA CHAMBRE DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE DE DRUMMOND ET LA COMMISSION SCOLAIRE DES CHÊNES
réalisent un projet en partenariat
La Chambre de commerce et d’industrie de Drummond et la Commission scolaire des Chênes ont mis de l’avant un projet visant à permettre à des enseignants du secondaire régulier et aux conseillers en orientation, de comprendre un peu plus la dynamique des emplois dans le secteur manufacturier.
L’initiative de réaliser ce projet pilote a été offerte à la Chambre de commerce et d’industrie de Drummond, par la Fédération des Chambres de commerce du Québec. Ce projet entre en parfaite ligne dans le cadre du vaste projet de
la Réussite éducative auquel sont intimement liées la Com- mission scolaire te la CCID, depuis quelques années, Les prémisses à ce projet sont, dans un premier temps, qu’environ 60% des nouveaux emplois et des emplois de remplacement font appel à des compétences de la for- mation professionnelle de niveau secondaire (DEP) et de la formation technique de niveau collégial (DEC). Ces em- plois se sont considérablement diversifi és et complexifi és au cours des dernières années et les conditions de travail et de rémunération ont nettement évolué.
De plus, la situation de l’emploi des fi nissants pour ce genre d’emplois est souvent faussée par des perceptions dépassées selon lesquelles il s’agit d’emplois de manœuvre ne compor- tant que des tâches répétitives accompagnées d’importants efforts physiques et souvent associés à des conditions de tra- vail peu attrayantes alors que la réalité est tout autre.
Dans cette perspective, ce projet avait comme objectif de permettre à des enseignants du secondaire régulier de se familiariser avec les emplois professionnels et techniques en allant directement constater dans des entreprises.
Deux entreprises de Drummondville ont accepté de par- ticiper à ce projet. Il s’agit du groupe Soucy et de GEA Houle.
M. Yannick Lévesque, directeur de production, secteur métal chez le Groupe Soucy a effectué la visite d’usine avec une douzaine d’enseignants et conseillers en orientation de la Commission scolaire des Chênes.
PROJET EVEREST
Des élèves de 34 groupes de 4e année, répartis dans 23 écoles de la Commission scolaire des Chênes, ont vécu une ascension au sens propre et au sens figuré dans le cadre du projet Everest. Les élèves ont d’abord été invités à vivre une ascension vers leurs rêves et à expérimenter le dépassement.
Par le biais d’activités en classe orchestrées par l’équipe d’animateurs et d’animatrices de vie spirituelle et d’engage- ment communautaire, les jeunes ont été amenés à identifier leurs rêves, leurs défis et les forces qu’ils portent à l’intérieur d’eux. Dans cette démarche, l’emphase a été mise sur l’im- portance de la persévérance, de la solidarité ainsi que le dé- passement et la connaissance de soi. Les participants ont pu assister à une conférence de M. François Langlois, alpiniste (3e Québécois à conquérir L’Everest) et, ultimement, vivront LEUR Everest, soit l’escalade du Mont Saint-Hilaire.
STAGEBOOM
Dans le but d’optimiser la collaboration entre les entreprises de la région drummondvilloise et la Commission scolaire des Chênes, une application web nommée Stageboom a été mise sur pied. Cette ressource répertorie plus de 470 entreprises et celles-ci ont toutes un élément en commun: elles sont in- téressées à collaborer en partenariat avec la commission sco- laire, à des activités telles que des visites d’entreprises, des stages pour les élèves ou encore des conférences dans les écoles. De plus, ce projet est en lien avec l’approche orien- tante, puisqu’il permet aux jeunes de vivre des expériences concrètes qui les amènent à développer la connaissance qu’ils ont d’eux-mêmes tout en explorant des métiers et pro- fessions. Ainsi, la persévérance scolaire des élèves est boni- fiée puisque ceux-ci connaissent mieux les liens qui existent entre les matières enseignées et le monde du travail.
TROIS PROJETS ISSUS
DE PARTENARIATS EN LICE pour les prix d’excellence de la FCSQ
La Fédération des commissions scolaires du Québec (FCSQ), décernera, dans le cadre de son congrès annuel (fin mai), ses prix d’excellence. Cette année, les projets soumis de- vaient être axés sur la persévérance scolaire et, à ce titre, la Commission scolaire des Chênes a présenté trois projets. Elle profite de ce bulletin pour remercier les partenaires qui ont permis leur réalisation, pour le bénéfice des 13 000 élèves de la commission scolaire. Voici une brève description de chacun des projets.
PARTENARIAT
avec la Caisse Desjardins de Drummondville
En 2004-2005, 45,3% des garçons quittaient l’école sans di- plomation à la CS des Chênes. Nous avons choisi de diffuser ces chiffres et d’interpeller la communauté sur différentes tribunes. Consciente de cette situation et des impacts sur la collectivité, la Caisse Desjardins de Drummondville a dé- cidé d’agir et de s’impliquer financièrement auprès de la CS afin de favoriser une amélioration de la réussite des jeunes.
Dans un partenariat sans précédent, la Caisse de Drummond- ville versera 1 M$ à la CSDC au cours des cinq prochaines années pour favoriser des projets permettant d’améliorer la persévérance scolaire. Un comité composé de différents in- tervenants de la CS a été mis à contribution afin d’identifier les problématiques et imaginer des pistes d’action. L’apport financier de la Caisse (250 000$ en 2007-08) a permis la mise sur pied de nouveaux projets qui à leur tour ont été bonifiés par la priorisation de différentes ressources humaines et fi- nancières pour leur réalisation.
LE SERVICE AUX ENTREPRISES
« exporte » ses compétences au Nouveau-Brunswick
Récemment, le Service aux entreprises de la Commission scolaire des Chênes a été approché par le Collège com- munautaire du Nouveau-Brunswick, afin d’y offrir une formation sur le logiciel « Filemaker » à des participants oeuvrant dans le secteur du cinéma et de la télévision.
C’est l’AQTIS (Association québécoise des travailleurs
de l’image et du son), clients du Service aux entreprises depuis plus de cinq ans, qui l’ont référé à la direction du Collège. À la fin du mois de mars dernier, le Service aux entreprises a donc délégué ses formateurs, dans le cadre de cette formation intensive sur « Filemaker ». Il s’agit du premier mandat « hors-Québec » pour le SAE. Au dire de la coordonnatrice, Mme Johanne Lachapelle, il est réconfortant de constater que la confiance d’un client comme l’AQTIS ait des répercussions positives de cette nature pour le SAE.
COMMISSION SCOLAIRE
ET CENTRE LOCAL D’EMPLOI : des liens « tissés serrés »!
La Commission scolaire des Chênes collabore depuis plu- sieurs années avec le Centre local d’emploi de Drummond- ville pour offrir des formations qui répondent aux besoins du milieu et des individus. La région a un tissu fortement industriel qui compte un grand nombre de petites et de moyennes entreprises. Le principal créneau que développe le Service aux entreprises de la Commission scolaire est la fabrication métallique et tous ses dérivés. Pour s’assurer de bien cerner les besoins, la coordonnatrice et la conseillère s’informent mutuellement sur les besoins des employeurs.
Depuis cinq ans, le secteur du Service aux entreprises de la Commission scolaire a vu son chiffre de vente se multi- plier par cinq. La coordonnatrice du Service aux entrepri- ses, Mme Johanne Lachapelle, explique cette augmentation exceptionnelle par une concertation accrue avec le milieu, un lien indéfectible avec Emploi-Québec, une direction engagée, des conseillers compétents, des commissaires impliqués et une simplification des procédures. De plus, il n’existe depuis deux ans qu’un seul service aux entreprises public qui intègre celui du Cégep de Drummondville et de la commission scolaire, car le milieu des affaires trouvait ce genre de compétition non productif.
L’entrée en poste de la directrice du Service aux entreprises a coïncidé avec l’arrivée d’une nouvelle conseillère à Emploi- Québec. Le lien entre ces deux personnes s’est tissé facile- ment, au dire de Mme Lachapelle, et leurs lignes de pensée sur les services à offrir aux employeurs se rejoignent.
Pour elles, il faut adapter les formations aux besoins des entreprises et mettre le client au centre de l’intervention.
Elles font le maximum pour attacher toutes les ficelles d’un dossier et chacune, à travers son institution, prend les ris- ques inhérents à tout accord.
Pour assurer le succès de leurs interventions, les partenaires se demandent comment elles pourraient, en tant que personne ou institution, faire davantage, être plus que des fournisseurs de services, devenir des créatrices de solutions. Comment chacune des parties peut-elle faire avancer le dossier et faire changer les choses? Évidemment, cette démarche proactive donne de très bons résultats dans le milieu.
Sylvie Verville, d’Emploi-Québec et Johanne Lachapelle croient que le succès de cette collaboration repose sur les conditions suivantes :
• Se centrer sur le client
• Faire preuve de souplesse et de respect
• Faire preuve d’honnêteté et d’ouverture quand on tra- vaille avec les autres
• Prendre conscience que l’argent ne nous appartient pas, qu’il appartient à la communauté
• Croire à la collaboration
• Se centrer sur les besoins du client et de l’adulte
• Impliquer la direction générale
• Écouter le milieu et ses besoins
• Faire en sorte que les idées novatrices se concrétisent On ne peut que constater, dans cet exemple, qu’il est pos- sible de créer de nouvelles façons de faire, ou d’adapter celles qui sont déjà en place pour répondre davantage aux besoins de formation des adultes en emploi. Quand chaque partie travaille en valeur ajoutée, les résultats sont surprenants!
LE RIF
tient ses olympiades industrielles
Le RIF a organisé, le samedi 25 avril, en collaboration avec le Centre communautaire Pierre-Lemaire, les olympiades industrielles.
Ils étaient plus de 70 à suer sous les chauds rayons du soleil.
En effet, la température était à son meilleur pour l’ouverture de la 34e semaine de l’industrie. « Saines entreprises, au défi! » proposait cette année des olympiades industrielles.
Chapeautées par le Service aux entreprises de la commission scolaire et menées de main de maître par les employés et les bénévoles du Centre communautaire Pierre-Lemaire, les acti- vités, toutes très physiques et très actives, se sont déroulées dans la bonne humeur et un sain esprit de compétitivité. Du soccer, du hockey, des batailles d’épées-mousse, du frisbee, du ballon-chasseur, enfin plein d’activités qui ont ranimé le cœur d’enfant chez les participants.
L’équipe de la BDC, dont le capitaine était Robert Lamy, fut cou- ronnée grande gagnante de la journée. L’équipe de la formation professionnelle de la commission scolaire des Chênes a donné son 110% tout au long de la journée. Tous les participants ont reçu une médaille fabriquée par un jeune du camp de jour.
Nous relancerons, dès l’automne, les entreprises de la ré- gion pour que la date des prochaines olympiades soit ré- servée à l’agenda de leur club social car, de l’avis de tous, ce fut une réussite.
EN RECONNAISSANCE DES EFFORTS DES ÉLÈVES QUI SE DESTINENT VERS LA FORMATION PROFESSIONNELLE
La cuvée 2009 des récipiendaires des Bourses Alonzo-Malouin est connue
La deuxième édition du programme de bourses Alonzo- Malouin a connu son point culminant le mardi 19 mai, dans le cadre d’un souper du Club Rotary de Drummondville. À cette occasion, les récipiendaires de bourses ont été honorés et trois d’entre eux ont mérité une bourse supplémentaire, à la suite de la « joute oratoire » à laquelle ils se sont prêtés.
On se souviendra qu’à l’initiative de M. Alonzo Malouin, Rotarien émérite depuis plus de 40 ans, et grâce à la contri- bution exceptionnelle de celui-ci, le Club Rotary de Drum- mondville a créé les Bourses Alonzo-Malouin. Celles-ci visent à mettre en évidence l’excellence académique, de même que l’engagement bénévole et social des élèves qui choisissent la formation professionnelle (FP), dans le cadre d’un diplôme d’études professionnelles (DEP) à la Commis- sion scolaire des Chênes.
« Ce sont tes actions, à toute étape de ta vie et en toutes cir- constances qui pavent le chemin de ta route.» C’est ainsi que s’est exprimé monsieur Alonzo Malouin afin de souligner le parcours exceptionnel des récipiendaires de la bourse.
Pour la seconde édition de ce programme de bourses, près de 4 000 $ seront remis des élèves de la Commission sco- laire des Chênes qui poursuivront leurs études en formation professionnelle. Au terme du processus de sélection, des bourses de 200 $ et 400 $ ont été octroyées dans chaque école participante.
De plus, les cinq récipiendaires des premiers prix de 400 $ attribués dans chaque école étaient en lice pour l’obtention de bourses supplémentaires totalisant 1 000 $, attribuées lors du souper Rotary du 19 mai. Ces cinq finalistes devaient prononcer une brève allocution portant sur leurs différen- tes motivations, implications et aspirations, tout en faisant ressortir leurs liens avec les valeurs propres au mouvement Rotary.
La grande gagnante fut Elsa Larivière, de l’école Marie-Rivier qui a mérité une bourse supplémentaire de 600 $, pour une bourse totale de 1000 $. Les deuxième et troisième prix sont allés à Yanéric Touchette, de l’école Jean-Raimbault, et Mi- chaël Chrétien, de l’école Jeanne-Mance, qui se sont vu re- mettre des bourses de 300 $ et 100 $ respectivement. De plus, chacun des élèves primés dans les écoles a reçu un certificat attestant l’obtention d’une Bourse Alonzo-Malouin.
Voici la liste des récipiendaires : École Jeanne-Mance :
Un 1er prix de 400 $ et un prix de 100 $ : Michaël Chrétien Un 2e prix de 200 $ : Nicolas Boisclair
École Jean-Raimbault :
Un 1er prix de 400 $ et un prix de 300 $ : Yanéric Touchette École La Poudrière :
Un 1er prix de 400 $ : Élissa Cyr Un 2e prix de 200 $ : Sam L’Heureux École Marie-Rivier :
Un 1er prix de 400 $ et un prix de 600 $ : Elsa Larivière Un 2e prix de 200 $ : Marie-Pier Houle
Éducation des adultes (Centre Sainte-Thérèse) : Un 1er prix de 400 $ : Maxime Fortin
Un 2e prix de 200 $ : Wilmine Jean-Louis
La Commission scolaire des Chênes et le Club Rotary de Drummondville s’unissent pour féliciter tous les lauréats de cette seconde édition des Bourses Alonzo-Malouin et saluent toutes celles et tous ceux qui ont présenté leur can- didature.
La commission scolaire réitère à M. Malouin et à tous les Rotariens sa gratitude pour cette noble initiative dédiée aux élèves qui ont choisi la formation professionnelle comme voie d’avenir. Il est heureux qu’une organisation comme le Club Rotary mette sur pied un projet visant à les reconnaître et à les encourager.
Photo de famille ! En compagnie de Jean-Guy René, de la Fondation du Club Rotary, Jeanne-Mance Paul, pré- sidente de la Commission scolaire des Chênes, Alonzo Malouin, Rotarien émérite, Marie Parenteau, présidente du Club Rotary de Drummondville, et Gilles Gravel, membre Rotary, voici les récipiendaires des Bourses Alonzo Malouin 2009 : Maxime Fortin et Wilmine Jean-Louis, du Centre d’éducation des adultes Sainte-Thérèse, Sam
En compagnie de M. Alonzo Malouin et de la présidente de la Com- mission scolaire des Chênes, Mme Jeanne-Mance Paul, on retrouve les
grands finalistes Yanéric Touchette, Michaël Chrétien et Elsa Larivière, qui ont respectivement mérité les 2e, 3e et 1er prix décernés dans le cadre de la seconde édition des bourses Alonzo-Malouin.
Le prochain numéro de « Agir ensemble » sera diffusé à l’automne 2009.
Nous vous invitons à faire suivre ce bulletin au personnel de votre organisation.
BRAVO
À Soucy Rivalair !
La Commission scolaire des Chênes félicite chaleureuse- ment Soucy Rivalair, pour l’obtention du prix « Formation », décerné lors de la soirée des lauréats de la 34e Semaine de l’industrie.
Rappelons par ailleurs que le partenariat entre la Commis- sion scolaire des Chênes et l’entreprise drummondvilloise Soucy Rivalair inc. a été récompensé, plus tôt cette année, par l’attribution d’un trophée Mercure. Cet hommage a été décerné à Soucy Rivalair à l’occasion du Rendez-vous des gens d’affaires sur les pénuries de main-d’œuvre qualifiée, un événement organisé par la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ).
EN COURANT OU EN MARCHANT : Place à la 2
eédition de la Course
« des Chênes - toi ! »
Le dimanche 7 juin, entre 8 h et 14 h, le Village québécois d’an- tan accueillera à nouveau la « Course « des Chênes - toi ! » C’est donc dire que pour une deuxième année, le Village four- millera d’activité, avec la présence de centaines d’élèves, de parents, amis et de membres du personnel de la Commission scolaire des Chênes, qui prendront part à l’événement.
Il est d’ores et déjà possible de s’inscrire aux épreuves de course à pied, sur des distances de 1, 2 ou 5 kilomètres.
Le coût d’inscription pour chaque élève ou employé de la commission scolaire est de 2 $ pour les circuits de 1 et 2 kilomètres, et de 5 $ pour la course de 5 kilomètres.
Il va sans dire qu’outre les participants associés à la com- mission scolaire (élève ou personnel), la Course des Chê- nes-toi est accessible à l’ensemble de la population. Dans ce cas, il en coûtera 5 $ pour les trajets de 1 et 2 kilomètres, et de 10 $ pour la course de 5 kilomètres.
Volet « marche » : nouveauté
Celles et ceux qui voudront prendre part au volet « marche à pied » de l’activité pourront à nouveau le faire cette an- née. À cet égard, les organisateurs ont toutefois prévu une nouveauté. En effet, les marcheurs pourront s’exécuter en un seul temps, sur une période de 30 minutes (entre 11 h 30 et midi). Cela fera en sorte que contrairement à l’année dernière, coureurs et marcheurs bénéficieront de l’exclusivité du par- cours, pour le mieux-être et la sécurité de toutes et tous. Le coût, pour prendre part au volet « marche à pied » est de 2 $ pour les élèves ou membres du personnel de la commission scolaire et de 5 $ pour les participants « externes ».
Fait à noter, chaque parent (ou adulte) désireux d’accom- pagner son enfant (élève inscrit) pourra avoir accès au site du Village québécois moyennant une contribution de 2 $ seulement. Il pourra en profiter pour visiter ce joyau de l’in- dustrie touristique québécoise. Il s’agit-là d’une opportunité exceptionnelle, d’autant plus que la course a lieu quelques jours à peine après l’ouverture de la saison 2009 au Village.
Incidemment, la Commission scolaire des Chênes re- mercie sincèrement le directeur général du Village, M.
Pierre Derouin, ainsi que toute son équipe, pour leur ouverture d’esprit renouvelée à l’égard du comité or- ganisateur. La commission salue aussi les partenaires suivants : le CSSS Drummond, l’URLSCQ, la Caisse Des- jardins de Drummondville, le restaurant « À la bonne vôtre », Récoltes Marcotte, Énergie Cardio.
Cette année, la Course des Chênes-toi peut compter sur un porte-parole qui, dans la vie de tous les jours, n’hésite pas à passer de la parole aux actes lorsqu’il est question d’activité physique et de saines habitudes de vie. Conseiller municipal à la Ville de Drummondville et éducateur phy- sique de formation, M. Roberto Léveillée a accepté avec empressement l’invitation lancée par le comité organisateur et il prendra lui-même le départ de la course de 5 kilomè- tres, le 7 juin.
La course à pied est un exercice qui est très « payant », si je puis m’exprimer ainsi. La course exige en effet très peu d’équipement, se pratique à peu près partout, n’importe quand, à notre rythme et selon nos propres objectifs. Il ne suffit que de 30 minutes pour s’offrir un entraînement cardiovasculaire des plus bénéfiques... et un excellent anti- dote au stress », fait valoir le porte-parole.
