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L'AME MUSULMANE EN TUNISIE

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Academic year: 2022

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L'AME MUSULMANE

EN TUNISIE

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OUVRAGES DU MÊME AUTEUR

ROMANS

Le Sort le plus beau! (Flammarion) ... 1 vol.

Un Héros national (Flammarion) ... 1 vol.

En collaboration avec CHARLES GÉNIAUX : Une Affranchie (Flammarion) 1 vol.

Font-Colombes ou l'Amour et l'Art (Dunod) ... 1 vol.

Le Cyprès (Lafitte) ... 1 vol.

VOYAGES

Les Visions du Languedoc (U.S.H.A., Aurillac)... 1 vol.

IL A ÉTÉ TIRÉ DE CET OUVRAGE : 12 exemplaires sur vélin bibliophile

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P h o t o C. Géniaux.

TUNIS VUE A VOL D'OISEAU

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CLAIRE CHARLES-GÉNIAUX

L'AME MUSULMANE E N T U N I S I E

ILLUSTRÉ DE PLANCHES HORS TEXTE

PARIS

FASQUELLE ÉDITEURS

11, RUE DE GRENELLE, 11

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Tous droits réservés Copyright 1934, by FASQUELLE ÉDITEURS

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A Celui qui fut mon compagnon de route, Par les yeux de qui j'ai vu et adoré la Tunisie, Ce livre qui est sien et mien tout ensemble.

C. G.

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« A ceux qui vous haïssent, répondez : « Vous êtes nos frères ». (ISAÏ, LXVI.) Au moment où le Duc-d'Aumale pénètre dans le canal de la Goulette, le soleil levant montre sa face d'or entre les pointes jumelées du Bou-Khornine et, une fois de plus, le dieu dévorateur, Baal-Karnaïm, prend possession du ciel. Ses longs rayons frisants éveillent, de l'autre côté du golfe, ce qui fut Carthage et, à leur caresse, la petite ville de Sidi-Bou-Saïd, sur son cap sang-de-dragon, roucoule comme une colombe dont elle a la blancheur. Sur le lac sans profondeur, moiré de vert par les vases et les algues, les flamants roses, troublés par l'arrivée du transatlantique, s'en- volent en inscrivant dans l'azur encore pâle de lumi- neux triangles.

Masquant Tunis, la colline de Sidi-Bel-Hassem appa- raît tout d'abord. Sur ses flancs dorés, balafrés de sanguine, s'étage une blanche nécropole où luisent, parmi la verdure cendrée des faux poivriers et des mimosas. aux grappes d'or, les koubahs et les tombes

des Croyants.

Laquelle de ces tombes abrite ma charmante amie Tij-ba, dont le nom veut dire : Diadème-de-beauté, et que j'avais surnommée : « Belle et Bonne » ? Ma pre-

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mière pensée, avant d'aborder Tunis, est pour cette douce créature et je songe avec mélancolie, en regar- dant les stèles gravées de sentences coraniques, signa- lant les fosses maçonnées et peintes, qu'elle a seulement changé de demeure.

Les maisons musulmanes sont-elles autre chose, pour les femmes, que des prisons ou des tombeaux?

Sans fenêtres sur la rue, leur façade aveugle peut dissimuler tous les mystères de l'amour, de la haine et de la mort. Sous les dalles de plus d'un patio furent enterrées une épouse coupable, une jeune fille séduite.

Les voisins français de Tij-ba n'ont appris sa maladie et sa mort qu'en voyant s'arrêter devant sa porte bleue cloutée, les funèbres porteurs.

Jeune fille ravissante, elle avait quitté ses parents pour habiter la demeure de l'époux inconnu que son père lui avait conseillé d'accepter. Celui-là, ou un autre, qu'importait à Tij-ba, puisqu'elle ne connaissait aucun jeune homme? A-t-elle répondu avec joie aux transports amoureux de son époux? Du moins, chaque année, un bel enfant naissait. Lorsque je l'ai connue, ses maternités trop rapprochées l'accablaient déjà, mais un poète arabe eût encore célébré son teint de lis et de rose, car, en vérité, la carnation de ces reclu- ses, à l'abri des hâles, reste une merveille.

Quand Tij-ba sortait, c'était pour s'enfermer dans une voiture aux stores baissés; ou bien, à pied, enve- loppée d'un voile opaque, sous lequel son cœur malade étouffait. Le soin de ses enfants, la tenue de sa maison, la confection longue et minutieuse de plats excellents et que, suivant la tradition, la maîtresse de maison, si riche soit-elle, doit préparer, et quelques réceptions de parentes, occupaient ses journées. Parfois, à travers le treillage vert qui défendait la fenêtre de son salon,

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solitaire et mélancolique, Tij-ba observait, dans la maison en vis-à-vis, une famille française groupée, les soirs d'hiver, sous la lampe. Le père, tout en lisant, surveillait les devoirs de ses fils et échangeait d'affec- tueuses paroles avec la mère, occupée d'un travail de couture; les fillettes feuilletaient un livre d'images.

On les sentait unis, confiants, harmonieux. Tij-ba et son mari avaient pris hâtivement un repas silencieux.

Leurs enfants, confiés au domestiques, ne paraissaient jamais à table et n'approchaient leur père qu'avec un tremblant respect. Le dîner terminé, Si Mohamed Ali se rendait à son cercle, ou bien, retiré dans sa chambre, il lisait des livres austères dont il n'entre- tenait jamais sa femme, la jugeant incapable de s'y intéresser. Cet homme profondément religieux et lettré prenait un singulier plaisir à la lecture de nos orateurs chrétiens du XVII siècle, Bossuet, Fénelon, Bourdaloue. Afin d'abréger cette ennuyeuse soirée, Tij-ba s'était couchée; lorsque son mari la rejoignait, soumise à son désir, elle s'abandonnait à lui.

Elle ne se plaignait jamais. N'était-elle pas parmi les plus heureuses? Son mari fidèle l'aimait à sa manière orientale; il ne partageait pas sa couche avec une autre épouse, n'entretenait pas de concubine, et les plus malveillants ne lui connaissaient aucune maî- tresse juive ou européenne. Les enfants de Tij-ba étaient beaux et bien portants; sa demeure franco- arabe lui offrait, en même temps que le mystère d'une maison musulmane, les commodités d'une habitation française. Ses servantes étaient empressées à ses soins et, lorsqu'elle assistait à un mariage ou à une circon- cision, ses amies enviaient son élégance.

Mais depuis qu'elle avait comparé son existence à celle de ses voisins français, elle mesurait tout ce

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qui manquait à son union, de tendresse, de confiance et d'amitié. Douce et résignée, la jeune femme était encore reconnaissante à son mari de la liberté relative qu'il voulait bien lui accorder. Songeant à sa mère, seconde épouse de son père, Tij-ba s'estimait privilé- giée, et elle se plaisait à penser que ses filles, plus instruites et mariées à des jeunes gens exempts des préjugés islamiques, connaîtraient un sort plus enviable.

Or, Tij-ba est morte, et elle ne franchira jamais plus la porte bleue de la maison où elle fut non pas esclave, mais dérisoire souveraine.

J'ai hâte de savoir à présent quels progrès se sont accomplis dans l'évolution des musulmanes depuis la mort de ma charmante amie.

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DE MA TERRASSE...

Depuis notre premier voyage, les changements importants survenus dans la société tunisienne n'ont affecté que les juifs et les musulmans acquis en partie à la civilisation occidentale — ce qui constitue une minorité, d'ailleurs assez importante. L'aristocratie, les beldis (la bourgeoisie), tout ce que l'on appelait les

« Vieux turbans » par opposition aux « Jeunes Tuni- siens », et les fellahs, sont demeurés fidèles à leurs mœurs antiques. Aussi la physionomie de Tunis ne s'est-elle guère modifiée dans l'ensemble.

Je la retrouve avec une joie mélancolique, comme elle nous apparut, il y a vingt ans, par ce matin de février.

De la terrasse où je passe une partie de mes jour- nées, je découvre le grand échiquier de la ville sur lequel s'enlèvent coupoles de mosquées et de zaouias, minarets carrés ou octogonaux, lanternons, arcs cou- ronnés d'anthémis jaunes et de résédas, enjambant, d'une maison à l'autre, les ruelles. Chaque matin, c'est comme un renouveau de la ville rechaulée par le soleil naissant et qui va, suivant les heures de la journée, passer par toutes les couleurs du prisme en suivant de subtiles dégradations. Dans la ronde des heures

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chacune d'elles pourrait porter, de l'aurore au cou- chant, une robe d'un ton différent.

Sur les terrasses à rebord très bas, des hommes en djebba bleue, brune ou lilas, apparaissent : ils vien- nent humer l'air frais à cette heure où les femmes s'attardent à leur toilette. Leurs silhouettes prennent une grande importance sur cette blancheur encore froide et bleutée. A contre-jour de l'Orient, les dômes de la mosquée de Sidi-Marhez sont d'un vert pâle avec des scintillements d'or comme de l'émail qui aurait coulé sur des poteries. Un peu à gauche, du fondouk des tisseurs de soie, s'élève une fumée blanc d'argent traversée de soleil et, d'un hammam, monte le parfum du romarin dont les branches odoriférantes servent à chauffer l'étuve.

Tout à coup surgit sur une terrasse voisine une gracieuse jeune fille, presque une fillette encore.

Malgré le froid qui est vif, elle marche pieds nus sur le dallage; une foutah rayée moule sa croupe ferme d'un dessin précis et souple. Agile et féline, elle ne tient pas en place; elle a des allongements de pan- thère quand elle se couche à plat ventre. La voici debout qui fait des signes à quelqu'un, d'invisible pour moi, et qui doit se trouver de l'autre côté du patio, ou dans une maison voisine et, soudain, elle s'accroupit comme pour se cacher. Parfois elle se penche à l'extré- mité de la terrasse qu'aucun rebord ne défend. Rele- vée d'un mouvement de ressort qui se détend, elle envoie d'un geste gracieux et mutin de ses mains déliées des baisers, fait encore des signes de ses doigts bruns singulièrement expressifs, puis elle prend un objet dans son corsage qu'elle lance de l'autre côté.

Elle disparaît pour revenir bientôt avec une autre foutah plus belle, blanche et mauve. Sa takrita retirée,

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ses cheveux noirs apparaissent, longs et nattés. Elle recommence son jeu. Elle s'est aperçue que je l'obser- vais, mais ma curiosité ne la trouble pas. Bientôt je vois surgir à côté d'elle une petite fille drôlement habillée, enfoncée dans un cafetan comme ceux des garçons, en velours violet brodé d'argent. La grande sœur, avec des gestes impératifs, lui ordonne de s'en aller, mais la gamine s'y refuse. Alors, l'aînée, sans quitter son observatoire, pose un doigt sur la bouche pour recommander le silence absolu. Au bout de quel- ques instants, la grande sœur refusant le jeu, l'enfant redescend pour ne plus revenir.

L'après-midi, sur la terrasse à gauche de la mienne, des foutahs bariolées de bleu, de rouge, de jaune, exposées en plein soleil, claquent dans le vent avec le bruit de voiles de navires. Suspendues à des cordes d'alfa, elles se gonflent, se creusent, comme si elles recouvraient des croupes. Un peu plus bas, un âne roux tourne une noria formée de troncs d'arbres, et le grincement des bois est comme la plainte aiguë, monotone et résignée de la bête condamnée à ces tra- vaux forcés jusqu'à l'abrutissement et la mort.

Accoudée contre un blanc muret, une jeune musul- mane, la tête enveloppée d'un foulard cerise qui laisse voir son visage d'ambre brun et ses sourcils réunis en vol d'hirondelle sur ses yeux immenses, nous aper- çoit, se cache, tourne autour d'un lanternon d'un bleu vif, reparaît un peu plus bas, au-dessus de fenêtres qui, avec le treillage de bois vert de leurs moucharabiehs, semblent des cages. Les minarets ocrés, les dômes de tuiles vernissées d'un vert sou- tenu des koubahs se détachent sur le blanc des ter- rasses, lumineuses jusqu'à la fusion, qui s'évaporent dans un cercle de collines en fourrures de lions.

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Au premier plan, les coupoles de Sidi-Marhez, dans leur blanche nudité, ont la beauté parfaite de la courbe pure. Cette architecture simplifiée à l'extrême, satis- fait pleinement l'œil et l'esprit : elle est un absolu comme le ciel bleu où aucun nuage ne laisse sa trace.

Le muezzin annonce la prière de l'Asser et sa voix aiguë, spiralée, monte, affirme, plane, parvient à se faire entendre parmi le tumulte de la foule, et met en fuite les pigeons, posés sur les coupoles, qui vont s'abattre dans la cour de la mosquée.

En considérant l'ensemble des terrasses de Tunis, l'on se rend compte qu'il n'y a pas d'autre cause à la fantaisie des constructeurs que l'utilité. C'est le besoin qui a créé cette variété infinie des terrasses à étages, des lanternons, des coupoles, des cubes de toutes dimensions, des renflements, des retraits. La vision blanche générale se décompose en une infinie variété de modulations de lignes et de couleurs. Il y a beau- coup plus de bon sens et de beauté dans cette ville arabe que dans les quartiers français, bêtes, vulgaires et mesquins. Ce genre de constructions, avec patio à ciel ouvert, a permis ces entassements de maisons, ces épaisseurs de logis à peine desservis par les cou- loirs ou les terrasses. Cette ville de terrasses, inter- dite aux hommes, appartient aux femmes et aux enfants qui, de plate-forme en plate-forme, se rendent visite ou viennent respirer un peu d'air frais après la claustration de la journée, dans des maisons sans vue et sans soleil. C'est donc une aire blanche, lumineuse au-dessus du sol rayé par le réseau des rues et des venelles, des impasses, une ville élevée sur la ville basse des patios, des souks, des échoppes, des ruelles creuses entre les hautes murailles des mosquées, des palais, des maisons. Au printemps, tout cet amas de

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Photo C. Géniaux.

UN CIMETIERE MUSULMAN

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blanches maçonneries délitées reçoit des graines plu- meuses, vibratiles, qui viennent se loger sous les écailles du crépis, entre deux tuiles et, arrosées par les pluies de février, germent, poussent, improvisent des jardins sauvages dont l'ardeur égaie la chaux morte.

Quelques arbres s'élancent d'un jardin intérieur, plongé dans l'ombre par leurs frondaisons. C'est là toute la nature dont jouissent la plupart de ces recluses qui ne connaîtront jamais la campagne, les champs, les montagnes, les forêts; rien que leur éternel patio, plafonné de ciel bleu.

J'assiste à la brève féerie du soleil couchant qui clôt chacune de ces journées ineffables. Le bleu du ciel qui, dans le jour, a la dureté de l'émail, prend à ce moment-là des tons de fleurs fragiles, rose, orchi- dée; les quatre coupoles de la mosquée sont d'abord de gigantesques pétales de roses, tout en gardant, tant l'air est pur, la netteté de leur contour. Cette matière blanche devient transparente, fluide, et les ombres, sur les terrasses, ne sont plus que l'ombre d'une ombre.

Et dans ce ciel précieux, les pigeons de Sidi-Marhez ont pris leur vol et sont devenus, dans les derniers rayons du soleil, des oiseaux d'or.

Puis, le rose nacré, nuancé de safran et de mauve des mosquées, des lanternons, des terrasses, de ces milliers de cubes blancs que sont les maisons gros- sièrement chaulées, s'est mué en orange. Soudain, un verre émeraude poudré d'or s'interpose entre le ciel et la terre et Tunis tout entière verdit comme une prairie printanière. A présent, sous le ciel d'une teinte indéfinissable, mariage du saphir, de l'améthyste et de la turquoise, les coupoles de la mosquée sont deve- nues quatre perles énormes, pendentif du collier d'étoiles accroché au cou de la nuit.

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TABLE DES GRAVURES

Tunis vue à vol d'oiseau Frontispice

Un cimetière musulman 17

Un palais tunisien 21

Tunis. Gardien de palais arabe 25 Tunis. — Cages accrochées dans les souks par les

marchands arabes 33

Un Beldi dans sa maison 41

Tunis. — Rue Sidi-Marhez 57

Petite négresse dans un patio de Tunis 65

L'amphithéâtre de Carthage 81

Une rue à Tunis 105

Tunis. — Cafés maures et boutiques de barbiers,

place Halfaouine 113

Maisons arabes auprès de Tombet-el-Bey, le tom-

beau des beys à Tunis 125

Un sellier brodeur musulman 137

Hammamet, la ville des Colombes 145 La grande mosquée de Kairouan 153 La mosquée du Barbier de Kairouan... 161

L'Imprimerie Moderne, Montrouge (Seine).

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