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PREVALENCE DES MALADIES RESPIRATOIRES CHEZ DES CHEVAUX REFERES POUR BAISSE DE PERFORMANCE

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33ème journée d’étude jeudi 08 mars 2007

PREVALENCE DES MALADIES RESPIRATOIRES CHEZ DES CHEVAUX REFERES POUR BAISSE DE

PERFORMANCE

Par :

E. van Erck, V. Jasekova, R. Fonseca, T. Art

Centre de Médecine Sportive du cheval, Faculté de Médecine Vétérinaire, Université de Liège, Belgique (Equine Sports Medicine Centre, Faculty of Veterinary Medicine, University of Liège, Belgium)

Résumé

Le but de cette étude rétrospective était de déterminer la prévalence des affections respiratoires chez des chevaux de sport référés pour baisse de performances. Les disciplines de galop, trot, concours complet, concours de saut d’obstacle, dressage et endurance étaient représentées (329 chevaux au total). L’ensemble des chevaux a été examiné à l’endoscopie et des prélèvements trachéaux et broncho-alvéolaires ont été systématiquement effectués. Une ou plusieurs affections respiratoires ont été diagnostiquée(s) chez 79% des chevaux toute discipline confondue. Parmi ces affections, les problèmes des voies respiratoires profondes étaient largement majoritaires (76%) et principalement représentés par la maladie inflammatoire respiratoire et la pousse. Les problèmes pulmonaires diagnostiqués différaient en fonction de l’âge et de la discipline du cheval. Hémorragies pulmonaires et infections bactériennes étaient significativement associées à la présence d’inflammation. Cette étude permet de conclure que les maladies respiratoires représentent une cause prédominante de baisse de performances chez les chevaux de sport. Celles-ci pouvant être associées aux conditions de vie et d’hébergement, le contrôle de la qualité hygiénique de l’environnement des chevaux semble essentiel.

Mots-clés : Maladie respiratoire, environnement, inflammation, poumon, performance

Summary

Prevalence of respiratory diseases in horses referred for poor performance

The aim of this retrospective study was to determine the prevalence of respiratory diseases in 329 sport horses referred for decreased performances. The disciplines represented were gallop, trot, eventing, show jumping, dressage and endurance. Endoscopy, tracheal wash and broncho-alveolar lavages had been performed systematically in all horses. One or several respiratory conditions were diagnosed in 79% of the poor performers, whatever their discipline. Lower airway diseases were largely predominant (76%) and mostly represented by inflammatory conditions, such as inflammatory airway disease or heaves. Pulmonary diseases varied according to the age or discipline of the horse. Exercise-induced pulmonary haemorrhage and bacterial infections were significantly associated with respiratory inflammation. This study shows that respiratory diseases represent a major cause for decreased performances in sport horses. Because airway diseases can be closely linked to the horses’ housing and working conditions, the quality control of the horse’s environment seems essential.

Key-words : Respiratory disease, environment, inflammation, lung, performance

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Introduction

La litière et les fourrages représentent une source abondante de poussières organiques, à la fois végétales et microbiennes, d’allergènes et de substances irritantes (toxines, gaz). Une majorité de chevaux de sport sont hébergés en box pendant une partie ou la totalité de l’année et inhalent de grandes quantités de particules. Ces conditions environnementales, associées à un mode de vie actif au cours duquel les chevaux sont soumis à des efforts et des transports répétés et à une pression infectieuse liée au contact avec d’autres individus, augmentent les risques de développement des affections respiratoires. Ces affections respiratoires sont reconnues comme étant un facteur limitant les performances chez le cheval de sport et leur expression généralement subclinique rend leur diagnostic difficile. L’objectif de cette étude rétrospective visait à déterminer la prévalence des affections respiratoires dans une population de chevaux de sport référés pour baisse de performances ou intolérance à l’effort.

2. Matériel et méthodes 2.1. Chevaux

Les dossiers de 329 chevaux de sport (âgés de 2 à 22 ans) référés au centre de Médecine Sportive du cheval (CEMESPO) de l’Université de Liège pour performance décevante ou intolérance à l’effort ont été investigués. Il s’agissait de 133 Trotteurs, 9 Purs-sangs, 141 chevaux de saut d’obstacle (CSO), 12 chevaux de dressage, 7 chevaux de concours complet, et 23 chevaux de loisirs. Tous les chevaux poursuivaient une activité sportive régulière.

2.2. Examens réalisés

Après une anamnèse détaillée, les chevaux ont été soumis à un examen général incluant une auscultation systématique de la trachée, des bronches et des deux aires pulmonaires et cardiaques. Seuls les dossiers des chevaux ayant été systématiquement soumis aux examens complémentaires suivants ont été retenus :

• Hématologie et biochimie sanguine (protéines totales, haptoglobine, enzymes musculaires)

• endoscopie des voies respiratoires supérieures sans sédation

• endoscopie des voies respiratoires inférieures (trachée + bronches) avec réalisation de prélèvements dont un lavage trachéal (LT) et un lavage broncho-alvéolaire (LBA).

Pendant l’endoscopie des voies respiratoires supérieures, les naseaux étaient obstrués afin d’obtenir une hyperventilation transitoire, permettant d’apprécier la tonicité du nasopharynx et le degré d’abduction des deux cartilages aryténoïdiens. En cas de suspicion d’un phénomène d’obstruction dynamique des voies respiratoires supérieures, une endoscopie d’effort était effectuée sur tapis roulant.

Le LT était réalisé en instillant 30 ml de sérum physiologique stérile (NaCl 0,9%) dans la trachée distale, juste en amont de l’inflexion, via un cathéter stérile fermé par un bouchon de gélose, introduit dans le canal opérateur d’un endoscope de 240 cm. Le cathéter était ensuite retiré et l’endoscope avancé dans les premières bronches, jusqu’à ce qu’il se cale dans une bronche dorsale.

Le LBA était alors réalisé en instillant 250 ml de sérum physiologique, en injectant et récupérant initialement 100 ml puis de manière successive des seringues de 50ml. Le lavage trachéal était traité pour analyse cytologique et bactériologique et le lavage broncho-alvéolaire pour analyse cytologique. Pour l’analyse cytologique, les lames étaient préparées à l’aide d’une centrifugeuse de type cytospin puis colorées par une coloration de May-Grünwald-Giemsa.

D’autres examens complémentaires ont été réalisés chez la plupart des chevaux, dont des tests à l’effort, examens de boiterie, échocardiographie, etc… afin de déterminer s’il y avait d’autres affections pouvant contribuer à limiter les performances. Ces éléments ne sont pas détaillés dans cette étude.

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2. 3. Définition des affections respiratoires diagnostiquées

Les problèmes respiratoires ont été divisés en affections des voies respiratoires supérieures et inférieures. La présence d’une pharyngite folliculaire était notée mais n’était considérée comme une entité pathologique à part entière. Les chevaux étaient considérés comme souffrant d’une affection des voies respiratoires supérieures lorsque, en hyperventilation induite ou à l’effort, une obstruction dynamique était observée. Les affections les plus fréquemment rencontrées étaient des hémiplégies laryngées ou des déplacements dorsaux du voile du palais (DDVP).

Les affections des voies respiratoires inférieures identifiées et leurs critères de définition étaient :

la maladie inflammatoire des respiratoires (MIR)

Æ augmentation modérée de la proportion des cellules inflammatoires d’un ou plusieurs types dont les neutrophiles (>10%), les mastocytes (>2%) et les éosinophiles (>2%)

l’hémorragie pulmonaire induite par l’exercice (HPIE)

Æ présence d’érythrocytes et/ou d’hémosidérophages représentant plus de 10% de la population cellulaire dans l’un ou les deux prélèvements de LT ou de LBA (1). L’observation de sang en nature dans les voies respiratoires et/ou l’occurrence de l’épistaxis ont été considérés comme éléments corroborants.

l’infection bactérienne

Æ observation de sécrétions muqueuses à mucopurulentes dans la trachée, l’isolement de souches bactériennes pathogènes dans la culture du LT et l’observation de bactéries à l’intérieur et à l’extérieur du cytoplasme cellulaire

l’infection virale

Æ anamnèse évoquant un épisode de fièvre, de la contagion, observation de cellules épithéliales desquamées avec signes indiquant un passage viral au niveau respiratoire (aciliocytophtorie, inclusions cytoplasmiques,…), sérologie positive.

La pousse

Æ signes cliniques évocateurs, présence de quantités excessives de neutrophiles non dégénérés dans les liquides de LT et de LBA (>10%).

3. Résultats

Une affection respiratoire a été diagnostiquée chez 79% des chevaux, toutes disciplines confondues. Dans 30% des cas, ces affections respiratoires étaient associées à d’autres affections pouvant également contribuer à limiter les performances du cheval, dont l’existence d’une boiterie (19,4%), d’une cardiopathie (2,5%) ou l’occurrence de rhabdomyolyses induites par l’exercice (4%).

Le tableau 1 récapitule les affections diagnostiquées en fonction de la discipline du cheval. Les problèmes diagnostiqués différaient en fonction de l’âge et de la discipline du cheval. Parmi ces affections, les problèmes des voies respiratoires profondes étaient largement majoritaires (76%) et représentées principalement par des affections pulmonaires de type inflammatoire, telles que la MIR ou la pousse (42%).

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Tableau 1 : Répartition des affections respiratoires diagnostiquées chez des chevaux de sport référés pour baisse de performances, en fonction de la discipline pratiquée.

Table 1 : Frequency of diagnosed respiratory diseases, according to the type of sport practised by horses referred for poor performance.

Galop Thoroughbred

(n=9)

Trot Standardbred

(n=133)

Obstacle Showjumpers

(n=141)

Complet Eventers (n=7)

Dressage Dressage (n=12)

Loisir Leisure (n=23)

Endurance Endurance

(n=4)

Total

(n=329) Moyenne

age ± écart-type

Mean age

± SD

3,7 ± 1,3 4,7 ± 1,9 9,1 ± 3,4 12 ± 5,3 9 ± 4,7 11,4 ± 4,9 8,1 ± 3,6

OVRS 2 38 50 2 0 0 0 92

IV 2 20 27 0 1 0 0 50

IB 6 70 46 1 1 0 3 127

MIR 8 90 61 0 0 0 2 161

Pousse 0 2 19 0 0 10 1 32

HPIE 9 68 60 2 1 1 0 141

OVRS : obstruction des voies respiratoires supérieures, upper airway obstruction ; IV : infection virale respiratoire, respiratory viral infectionI ; IB : infection bactérienne respiratoire, respiratory bacterial infection ; MIR : maladie inflammatoire respiratoire, inflammatory airway disease (IAD) ; Pousse : recurrent airway obstruction or heaves ; HPIE : hémorragie pulmonaire induite par l’exercice, exercise induced pulmonary haemorrhage (EIPH).

La prévalence des MIR était particulièrement élevée chez Trotteurs, les galopeurs et les chevaux de CSO, soit 68%, 89% et 43% respectivement, alors que la pousse était plus fréquemment diagnostiquée chez les chevaux de loisir (44%) dont la moyenne d’age était plus élevée (Figure I).

Aucun signe d’HPIE n’a pu être mis en évidence chez les chevaux d’endurance et la proportion de chevaux souffrant d’HPIE était faible chez les chevaux de loisir et de dressage (4.3% et 8.3%

respectivement). Parmi les chevaux de complet, d’obstacle, de trot et galop, un diagnostic d’HPIE a été établi pour 28.6%, 43.3%, 71.1% et 77.8% d’entre eux, respectivement (Figure II).

Plusieurs affections respiratoires pouvaient être diagnostiquées chez un même cheval. Une association hautement significative (p<0.0046, test de Cochran-Mantel-Haenszel) a pu être mise en évidence entre la MIR, les HPIE et les infections bactériennes, toutes disciplines confondues. Il y avait également une dépendance entre HPIE et la présence d’obstruction des voies respiratoires supérieures chez les chevaux de saut d’obstacle.

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Figure 1 : Pourcentage des chevaux souffrant d’une affection respiratoire de type MIR (Maladie inflammatoire respiratoire) ou de type pousse, en fonction de la discipline sportive pratiquée.

Figure 1 : Percentage of horses suffering from inflammatory airway disease (IAD) or from recurrent airway obstruction (RAO or heaves) according to the sport practised.

100 90 MIR

Pousse 80

70 60

% 50

40 30 20 10 0

Loisir

Galop Trot Obstacle

Figure 2 : Prévalence des hémorragies pulmonaires induites par l’exercice (HPIE) chez les chevaux référés pour baisse de performances, en fonction de la discipline pratiquée.

Figure 2 : Prevalence of exercise induced pulmonary haemorrhage (EIPH) in horses referred for poor performance according to the type of sport practised.

Endurance HPIE

0,0 10,0 20,0 30,0 40,0 50,0 60,0 70,0 80,0 90,0 100,0

Galop Trot Obstacle Complet Dressage Loisir

%

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4. Discussion

Il ressort de cette étude que les maladies respiratoires ont une prévalence très élevée chez les chevaux de sports contre-performants. Si dans 30% des cas, la coexistence de problèmes autres que les affections respiratoires pouvait contribuer à limiter les performances, dans 70% des cas, les maladies respiratoires étaient la seule anomalie diagnostiquée pouvant expliquer la contre- performance. L’observation d’une prévalence aussi élevée doit être nuancée par le fait que la population considérée était issue de cas référés au CEMESPO de Liège, un centre spécialisé dans l’investigation des maladies respiratoires du cheval. De ce fait, la proportion de cas respiratoires reçus en consultation au CEMESPO pourrait être supérieure à celle existant dans la population générale.

Les maladies pulmonaires de type inflammatoire étaient très largement majoritaires et ce quelque soit la discipline pratiquée. Hormis la pousse et les infections virales, pour lesquelles des signes cliniques plus évidents sont observables, le diagnostic des autres maladies telles que la MIR ou les HPIE n’a généralement pu être établi que par la réalisation d’examens complémentaires.

Si l’importante prévalence des HPIE chez les chevaux de course a été confirmée, l’observation d’hémorragie pulmonaires chez les chevaux de selle, tels que chevaux de saut d’obstacle ou de dressage est plus étonnante puisqu’il était admis jusqu’à présent que les HPIE étaient directement associées à la réalisation d’un effort maximal. Chez ces chevaux de selle, les HPIE étaient plus souvent associées à l’existence d’une OVRS concomitante ou d’une cardiopathie significative (fibrillation atriale ou insuffisance aortique) même si ces dernières restaient rares. Chez les chevaux présentant des HPIE, une association statistiquement significative a pu être mise en évidence entre HPIE, MIR et infections bactériennes, sans toutefois qu’il soit possible de déterminer laquelle était la cause ou la conséquence de l’autre.

L’ensemble des maladies inflammatoires telles que la MIR, la pousse et les infections bactériennes peut être directement ou indirectement mises en relation avec les conditions de vie et d’hébergement des chevaux (Robinson et coll., 1996 ; Hodgson & Hodgson, 2002). En effet, l’inhalation récurrente de poussières, de micro-organismes dont acariens, moisissures et bactéries, et de gaz nocifs, présents dans la litière et/ou les fourrages peut induire le développement d’une réaction inflammatoire au niveau des voies respiratoires et des poumons. L’afflux de cellules inflammatoires produit localement des perturbations structurelles et fonctionnelles, dont de l’œdème et l’augmentation de la production de mucus, voire chez les chevaux poussifs, du bronchospasme. D’autres études récentes ont démontré les répercussions fonctionnelles négatives de ces maladies et corroborent leur rôle dans la limitation des performances sportives (Couetil &

Denicola, 1999 ; Sanchez et coll., 2005).

Au vu de leur prévalence élevée, les maladies respiratoires ont des répercussions économiques incontestables, tant liées aux baisses d’activité qu’elles peuvent engendrer que par la durée et le coût des traitements entrepris. Si leur diagnostic précoce est nécessaire afin d’éviter de tomber dans des maladies de type chronique, le contrôle de la qualité hygiénique de l’environnement des chevaux constitue une pierre d’angle prophylactique essentielle. De nombreuses publications ont déjà permis de mettre en avant le rôle essentiel du choix d’une litière et d’un fourrage hygiéniques et pauvre en poussières dans la prévention des affections respiratoires (Art et coll., 2002), mais il manque actuellement des informations concernant les possibilités d’amélioration de la conception des écuries et des conditions de stockage des fourrages et des litières. Cette étude met également en exergue l’importance de la gestion des facteurs de risques hygiéniques et infectieux lors des compétitions dans la préservation de la santé respiratoire des chevaux de sport.

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Bibliographie

Art T, Mc Gorum B, Lekeux P. Environmental control of respiratory disease. In: Lekeux P ed.

Equine Respiratory diseases. International Veterinary Information Service, Ithaca NY (www.ivis.org); 2002.

Couetil LL, Denicola DB. Blood gas, plasma lactate and bronchoalveolar lavage cytology analysis in racehorses with respiratory disease. Equine Vet J 1999 Suppl 30,77-82.

Hinchcliff KW, Jackson M, Morley P. Association of exercise-induced pulmonary hemorrhage and performance in racing Thoroughbred horses. In: 50th Annual Convention of the AAEP, Denver, USA; 2004.

Hodgson JL, Hodgson DR. Inflammatory airway disease. In: Lekeux P ed. Equine Respiratory diseases. International Veterinary Information Service, Ithaca NY (www.ivis.org);

2002.

Robinson NE, Derksen FJ, OlsewskiMA, Buechner-Maxwell VA. The pathogenesis of chronic obstructive pulmonary disease of horses. Br Vet J 1996; 152. 283-306.

Sanchez A, Couetil LL, Ward MP, Clark SP. Effect of airway disease on blood gas exchange in racehorses. J Vet Intern Med 2005; 19. 87-92.

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