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des origines préhistoriques au XIII siècle

PAR

LUCIEN PERRIAUX

Agrégé de l'Université Président d'honneur de la Société d'Archéologie de Beaune

Presses Universitaires de France

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IL A ÉTÉ TIRÉ DE CET OUVRAGE : VINGT EXEMPLAIRES HORS COMMERCE

SUR VÉLIN PUR FIL LAFUMA NUMÉROTÉS DE I A XX

ET

MILLE EXEMPLAIRES SUR VÉLIN BOUFFANT NUMÉROTÉS DE I A 1000.

Dépôt légal. — I édition : 2 trimestre 1974

© 1974, Lucien Perriaux

Tous droits de traduction, de reproduction et d'adaptation réservés pour tous pays

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En souvenir de mes Aïeux, paysans et artisans tous Bourguignons,

et spécialement

de ma grand-mère Mariette de Challanges, mon initiatrice en la science du terroir.

Beaune, janvier 1974.

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Avant-propos

Nous possédons deux Histoires de Beaune.

La première est l'œuvre de l'abbé Gandelot, qui la publia en 1772.

Les premiers chapitres, concernant l'Antiquité et le haut Moyen Age, n'ont plus de valeur historique.

La suite, en particulier les Temps modernes, mérite qu'on lui accorde encore quelque créance.

A la fin du dix-huitième siècle, Pasumot projeta de reprendre ce travail et s'attacha surtout à la période gallo-romaine. Sa Notice des Antiquités de la Ville de Beaune nous permet de connaître cer- tains monuments disparus, sans en accepter l'interprétation.

L'abbé Bredault, mort en 1817, s'appliqua à compléter ou à rectifier l'Histoire de Gandelot. Son manuscrit, publié en 1889 par les soins de la Société d'Archéologie de Beaune, conserve une réelle valeur historique.

La deuxième Histoire de Beaune, rédigée par M. Rossignol, conservateur des Archives de la Côte-d'Or et secrétaire de l'Aca- démie de Dijon, a été publiée en 1854.

Les historiens actuels y trouvent encore beaucoup à glaner, dans les chapitres sur le Moyen Age et surtout dans ceux qui traitent de la période du quinzième au dix-huitième siècle. Après

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lui, les érudits locaux ont apporté des compléments utilisables sur bien des points.

Mais depuis cinquante ans de remarquables travaux ont paru sur l'histoire de la Bourgogne médiévale et moderne. Il reste à en tirer, en ce qui concerne le pays beaunois, une image plus précise et plus diversifiée.

Pour les temps préhistoriques, protohistoriques et, au-delà, jus- qu'au seuil du Moyen Age, les méthodes et les travaux classiques des historiens ne suffisent plus.

C'est à l'archéologie qu'il faut faire appel.

Celle-ci, en trente ans, a fait d'énormes progrès dans toute l'Europe occidentale. Elle nous a révélé, avec une précision parfois étonnante, le comportement des premiers hommes, puis celui des peuples, leurs migrations, leurs techniques, parfois leurs croyances et même leur environnement.

En ce qui concerne le pays de Beaune, les quelques « stations » correctement fouillées ont fait l'objet de communications reposant enfin sur une base scientifique. Elles nous permettent, pour la très longue période qui va du Paléolithique supérieur au haut Moyen Age, des comparaisons et des parallélismes avec ce qui est équivalent en Europe occidentale.

Après les premiers affranchissements de villes et de communautés villageoises, durant le premier quart du treizième siècle, l'évolution du pays va s'accélérer selon de nouvelles orientations.

J'ai donc cru bon d'arrêter là, pour le moment, notre étude.

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Ses limites

I - QU'EST-CE QUE LE PAYS BEAUNOIS ?

Notre étude englobera à peu près le territoire de l'ancien Pagus belnensis, mais à l'occasion elle en débordera :

— au nord jusqu'à une ligne passant par La Bussière-sur- Ouche, Détain, le val de Vergy, Vosne-Romanée, Cîteaux ;

— au sud, Nolay, Santenay, la vallée de la Dheune de Demigny à Allerey ;

— à l'ouest, la vallée de l'Ouche de Veuvey à Bligny, Cussy-la- Colonne, Santosse ;

— à l'est, le val de Saône seurrois.

A l'intérieur de ce quadrilatère, trois grandes familles de paysages s'étagent de l'ouest à l'est (carte n° 1).

Les paysages actuels

I / La « Montagne » et l' « Arrière-Côte ». — Le revers occidental en est jalonné par les prairies d'allure bocagère, annonçant l'Auxois, au-delà de la vallée de l'Ouche moyenne.

Les hauts plateaux (550 à 600 m d'altitude), comprenant les « chaumes d'Auvenay » aujourd'hui défrichés, Bessey-en- Chaume, Détain-Bruant.

L'Arrière-Côte, un peu moins élevée (350 à 400 m), plus accidentée, constituée par une série de hauts coteaux, séparés

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CARTE I. - LE PAYS BEAUNOIS

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par les trouées des vallées conduisant vers la Côte de petits torrents issus du pied des « falaises » de Vauchignon, Saint- Romain, Bouilland, Arcenant.

Ces réseaux aboutissent à la Dheune au sud (Cusanne), à la rivière de Meursault (ruisseau des Cloux), à la Vandaine ou Avant-Dheune, au « cours » de Rhoin et au Meuzin.

2 / La Côte, au versant entièrement revêtu du célèbre vignoble, sous des plateaux aujourd'hui couverts de pins noirs.

Au pied de la Côte, jaillissent des « douées » ou doix, résurgences de type vauclusien, telles la Bouzaise et l'Aigue de Beaune, la Doix de Serrigny, l'Arlot et Fontaine Saint-Marc à Premeaux, la Vosne et la Vouge.

3 / La Plaine ou « Pays bas » (175 à 200 m environ), encore couverte en partie des lambeaux des grandes forêts (Cîteaux, Borne, Champjarley, Saint-Loup) séparés par des « essarts », grandes clairières en culture (Villy-le-Moutier, Meursanges, Chevigny-en-Vallière, Saint-Loup, etc.). Ce pays bas se rac- corde à la Côte par un talus très aplani de « champagnes » (Quincey, Chorey, Challanges, Montagny, etc.).

Les origines du relief actuel

Les grands traits de ce relief ont été fixés à l'époque dite pliocène.

Auparavant, sous l'influence des poussées orogéniques alpines, de multiples fractures avaient déjà individualisé, dans notre pays, deux compartiments :

A l'ouest, le bloc de la future « Montagne » essentiellement calcaire dans lequel se développeront les phénomènes de disso- lution karstique.

A l'est, une vaste fosse d'effondrement allant jusqu'à l'actuel Jura et où s'installa durablement un véritable « lac Tanganyika », le lac bressan des géologues, lentement remblayé d'une masse énorme de dépôts argilo-marneux.

Avec les temps quaternaires (le pléistocène), une alternance de périodes climatiques chaudes et de périodes froides (les glaciations) achèvera de modeler dans le détail les plateaux occidentaux, décapant ceux-ci, recreusant ou élargissant les combes.

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Tandis que la future plaine demeure un pays lacustre à niveau variable, par le jeu des glaciations successives, entre- coupées de stades interglaciaires.

Des tourbières temporaires, des épandages de cailloutis ou de limons achèveront le remblaiement, tandis que des terrasses s'étageront sur les bords de la Saône et de ses affluents.

Pays amphibie, longtemps inaccessible aux premiers hommes.

L'éternel carrefour

II - LA POSITION GÉOGRAPHIQUE ET LES INFLUENCES CLIMATIQUES

A travers les âges, le pays beaunois a toujours connu les avantages et parfois les inconvénients d'être un carrefour.

Géographiquement, botanistes et zoologistes s'accordent ici avec les climatologistes.

Par l'ouest, arrivent les dépressions atlantiques, pour- voyeuses de pluie en toutes saisons : le « vent du Morvan » de nos paysans est redouté, en été, pour les orages accompagnés souvent de grêle qu'il fait naître.

Du nord et surtout du nord-est, la bise tantôt desséchante, tantôt chargée de neige, mais toujours froide, souffle lorsque

« l'anticyclone d'Europe centrale » déborde sur la France.

Du sud-est et du sud, surtout en belle saison, souffle le « vent de Saône », prolongement extrême des influences méditerranéennes.

Le balancement de ces trois types de temps, l'interpéné- tration de ces trois climats expliquent aussi la présence dans la flore locale de plantes adaptées à ces diverses influences.

La flore atlantique ne domine qu'à l'ouest de la Montagne.

Par contre les plantes subalpines sont nombreuses sur nos plateaux et les espèces subméditerranéennes se retrouvent au sud de Beaune.

C'est ce qui fait le charme de nos « montagnes » au printemps.

Pour le profane, signalons seulement quelques échantillons caractéristiques de ces fleurs.

Au-dessus de Détain, en bordure du Bois Janson, on peut

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voir fleurir en juillet la belle gentiane bleue de nos Alpes.

Sur les hauteurs dominant le val de Bouilland, comme à Arcenant ou à Lusigny, les plantes alpestres abondent : citons parmi elles la rare saponaire des Alpes ( Saponaria ocymoïdes).

Au-dessus de Savigny et près de l'abbaye de Sainte-Margue- rite, ce sont deux plantes rarissimes d'Europe centrale : une pivoine (Paenia corallina) et une lunaire (Lunariaria rediviva).

Au sud du pays, c'est un liseron méditerranéen (Convolvulus cantabrica) qui voisine avec une daphné alpine, près d'Orches et de Saint-Aubin. Là s'arrête aussi l'aire de croissance de l'érable de Montpellier.

Ainsi le pays de Beaune offre des paysages plus « méridio- naux » que le nord de la Côte-d'Or. La limite passe au nord de Nuits-Saint-Georges.

Trois insectes du Midi en portent témoignage, qui réus- sissent à subsister dans la Côte de Beaune.

D'abord la vraie cigale, en patois la « quinque », dont on entend de plus en plus rarement le chant strident dans nos vignes et nos jardins, à la canicule. Elle abondait autrefois sur les pêchers et les amandiers complantés dans les vignes, avant d'en être expulsés par les engins mécaniques et les traitements anticryptogamiques.

La mante religieuse ou « prie-dieu », pour les mêmes raisons, ne se rencontre plus qu'exceptionnellement dans les « larreys » incultes au-dessus des vignes.

Enfin, par vent du sud, arrive jusqu'à nous le grand criquet d'Afrique, en patois la « cabre ».

Ainsi se balancent chez nous, se combattent ou se pénètrent les influences occidentale, méditerranéenne et d'Europe centrale.

Les partisans du déterminisme géographique y trouveraient là une explication des vicissitudes historiques qu'a connues le pays beaunois et dont nous allons maintenant aborder l'étude.

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LE PALÉOLITHIQUE INFÉRIEUR

(AU-DELA DE 100 000 ANS AVANT NOTRE ÈRE)

Aucune trace d'occupation humaine n'a été jusqu'ici décelée dans notre pays jusqu'aux environs de — 100 000 ans.

En bordure de la Plaine, dans les dépôts « villafranchiens », ont été trouvés les restes de la faune contemporaine des pre- mières glaciations qui couvraient les pays subalpins : éléphants, rhinocéros, grands félins, etc. Aucun vestige d'industrie humaine n'y est associé.

Une longue période de réchauffement qui s'ensuivit (entre

— 120000 et — 100000) fut marquée par des variations du niveau du lac bressan, et sur nos plateaux par le développement d'une forêt de feuillus.

C'est alors que sur le revers occidental de l'actuelle Mon- tagne, en Auxois, quelques groupes d'hommes primitifs, de la race dite de Néanderthal, les « Acheuléens », ont laissé çà et là quelques silex taillés de type « levalloisien » reposant sur une couche de dépôts exploités autrefois pour leur richesse en nodules de phosphate.

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CARTE 2. - STATIONS PALÉOLITHIQUES

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LE PALÉOLITHIQUE MOYEN

A nouveau le climat se refroidit et entre — 100000 et

— 75000 les glaciations dites « würmiennes » ramènent la persis- tance de la neige et des névés sur nos plateaux. Une forêt clairsemée, analogue à celle du Nord canadien actuel ou de la « taïga » russe, alterne avec des « toundras » à arbustes buis- sonnants et à lichens.

Une faune de grands animaux adaptés à ces climats se développe dans les hautes vallées et sur les plateaux : grands ours des cavernes (Ursus spelaeus), rhinocéros à toison laineuse (R. tichorhinus), mammouth (Elephas primigenius) et à diverses reprises le renne (Rangifer tarandus).

A chaque printemps la débâcle entraîne des coulées boueuses sur les pentes des coteaux et au débouché des combes qui se creusent et des vallées qui s'élargissent. Sur le flanc des corniches calcaires se burinent de petites cavernes et des abris sous roches (cryoclastie). Gel et dégel trient les cailloutis en sols polygonaux analogues à ceux de l'actuel arctique (cryoturbation).

Entre — 70000 et — 35000, longue période marquée par un maximum glaciaire ; quelques rares petits groupes d'hommes appartenant encore à la race de Néanderthal végètent dans l'Arrière-Côte actuelle, se réfugiant à l'entrée des cavernes et des abris sous roches en hiver, qu'ils disputent souvent aux ours et aux félins (carte n° 2).

Pendant la belle saison, ces primitifs, qui ne subsistent que par la chasse, campent au pied de nos falaises rocheuses. Ce sont les « Moustériens ».

Les plus anciens, ceux de Roche-Morand (entre Détain et Ternant), ont laissé un dépôt de pente à près de 600 m d'altitude.

D'autres ont hanté les abris de Saint-Aubin (abris Virely et Vasselon), de Santenay, les petites grottes de La Roche-Pot (sous le château) et celles de Saint-Romain (Le Verger).

Ces petits groupes humains bien clairsemés dans l'espace et dans le temps, s'ils ont abandonné d'assez nombreux silex caractéristiques de leur technique, n'ont pas laissé en pays

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beaunois de vestiges notables de sépultures permettant de pré- ciser leurs races.

Mais durant la même longue période la station célèbre des grottes d'Arcy-sur-Cure, dans l'Yonne, et celle plus récemment découverte de Genay-en-Semurois ont livré des fragments de squelettes assez importants pour permettre de préciser que nos petits groupes des plateaux beaunois, peu éloignés, apparte- naient aussi à la race de Néanderthal (vers — 35000).

Vers — 30000, au cours d'un interstade de réchauffement, apparaissent, venant sans doute du Sud, les premiers groupes d'Homo sapiens, les Aurignaciens, chasseurs de rennes, de bovidés (bœuf musqué). Leurs traces se retrouvent à Saint- Aubin et dans les grottes de l'Ouche supérieure.

Puis un retour offensif du froid semble coïncider avec l'appa- rition de l'industrie solutréenne, si abondante au sud de la Dheune. Mais ces mangeurs de cheval n'ont laissé que peu de traces en Côte-d'Or, toujours à Saint-Aubin, à Auxey (grotte du Perroquet), à Saint-Romain (grotte du Grenier).

Après un court réchauffement, vers — 20000 ?, le froid s'installe à nouveau jusque vers — 10000.

C'est alors qu'apparaît une industrie plus variée, plus fine, travaillant autant les os que le silex, celle des Magdaléniens.

On l'a trouvée jusqu'ici à Saint-Aubin, à Clavoillon (grotte de la Tarboille), à Cormot-le-Grand (en Creusilly), à Nuits-Saint- Georges (aux Trous-Légers), à Savigny-lès-Beaune (combe d'Orange).

Mais elle ne présente pas ici les vestiges brillants de l'art contemporain si remarquable du midi de la France. En dehors de l'outillage et de quelques os gravés nos stations n'ont livré que quelques rares pendeloques.

Ces petits groupes si clairsemés chassaient surtout le renne, le chamois, le bouquetin et les derniers mammouths.

C'est sans doute de la carcasse dépecée de ces derniers que proviennent les dents éparses dans nos grottes et surtout en nombre assez important dans les gravières du pied de notre Côte (recouvrant les marnes lacustres).

Ces cailloutis marquent la fin du remblaiement du talus du

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pays bas, en rapport avec les débâcles printanières de plus en plus importantes, poussant au débouché de nos vallées le matériel calcaire arraché aux massifs de l'Arrière-Côte. Ce sont ces cailloutis plus ou moins calibrés qui sont depuis longtemps activement exploités dans les sablières beaunoises et nuitonnes.

Ainsi, vers — 10000 avant notre ère, s'achève cette très longue période paléolithique.

La fin en est marquée par un réchauffement général en Europe occidentale, qui succéda à la dernière glaciation. Le renne disparut alors de nos contrées, remontant lentement vers le nord, tandis que chamois, bouquetins et marmottes iront se cantonner dans les massifs montagneux.

Cela pourrait expliquer la disparition, dans nos pays, du peuplement déjà clairsemé des chasseurs magdaléniens dont les dernières traces marquent un déclin dans la technique.

Durant les quatre millénaires suivants, il semblerait que le pays restât vide de tout groupe humain.

LE MÉSOLITHIQUE

On désigne ainsi la période comprise entre — 8000 et

— 4000 avant J.-C. Le pays beaunois présentait alors des aspects assez proches de nos actuels paysages.

Les hauts plateaux, lessivés par les phénomènes « péri- glaciaires » (cryoturbation, solifluction), comme les hautes val- lées, engorgées de dépôts de pente, allaient être occupés, au fur et à mesure du réchauffement, par la forêt de chênes et de hêtres. Les versants bien exposés et les collines furent envahis par une végétation dense, propice aux cerfs et à certains bovidés.

Quant au pays bas, où les cours d'eau sortis de la Montagne et des « douix » de la Côte développaient leurs méandres, lente- ment les marécages et les maigres tourbières s'asséchaient.

Dans cette plaine peu accueillante, il ne semble pas qu'une occupation humaine ait pu s'établir, sauf sur les terrasses domi- nant la Saône, enfin stabilisée dans les marnes du lac bressan colmaté.

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Achevé d'imprimer le 12 avril 1974 par l'Imprimerie des Presses Universitaires de France

à Vendôme pour la typographie et par la S.I.S.A. à Paris pour la phototypie

Imprimé en France Impr. n° 24031

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