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Les arts pendant la guerre

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Academic year: 2021

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m

m

LA VIE GENEVOISE

D ans les Sociétés

Société genevoise de photographia

Samedi 27 avril, soirée annuelle de pro­

jections artistiques à la Salle de la I n f o r ­

m ation, a u bénéfice d ’œuvres de bienfai­

sance. Lo programme ne com prend que

des vues en couleurs, choisies parm i les

m eilleures que les sociétaires o n t prises en

1917, e t,

e n

plus, une double série de 22

oliohés qui feront connaître p a r anticipa­

tion au public les plus beaux aspects de la

cam pagne W illiam F avre, au printem ps et

en

autom ne.

Plusieuiu excellents artistes e t la sec­

tion de ch a n t de l ’AroIe se feront entendre

a u cours de la p artie musicale, do n t les

num éros soi’t spécialem ent choisis pour

accom pagner les séries de clichés.

Location iiu magasin de m usique Ghouet

e t Gaden, t'o rra te n e , 16. Consulter les af-

tiéheè.

. .

' .

La Primevère

C ette sooiété m ix te litté ra ire e t sportive

s nomm é MM. A lbert Guillobez, p a rta n t

a u service en France, p résident d ’honneui;

P au l M artin, p résid en t; R oger Fatio, vice-

président; Mile Decerlier, secrétaire; M.

to u ia Caula, tréso rier; Georges H entz,

a d jo in t.

Les C onférences

L ’école dentellière genevoise

U ne conférence sera donnée le 23 avril,

ft 8 h.

du soir, p a r M. P au l R udhardt,

ingénieur, directeu r de l ’Office de l ’indus­

trie genevoise, sur cL es dentelles belges e t

i ’Ecole dentellière genevoise ».

C ette conférence, accompagnée de pro-

îections lum neuses, au ra lieu dans les

salles du m utée de l ’industrie genevoise,

B âtim en t électoral (entrée n ie de la Piaine,

4, au 2me étage). Il sera projeté su r l ’écran

de nom breux clichés belges em p ru n tés a u

gran d s musées de Bruxelles e t de Bruges,

ainsi que les dernières créations de dentelles

suisses, œ uvrées à T E coie dentellière gene­

voise. Ce sera, pour les am ateurs que le

sujet ; intéresse, une heure aussi in stru c­

tiv e q u e ch arm ante.

V i e P r a ti q u e

La culture des principaux légumes et le choix dés porte-graine

M. D um o n th ay , jardinier en chef à F

Ego

le

fl’h o rticu ltu re de C hâtelaine, parlera m er­

c re d i 1er m ai, à 2 h. après m idi, à la classe

d ’ag ricu ltu re de la Société des a rts , à l’A th é ­

née, de la c u ltu re des p rin cip au x légumes

' e t choix des porte-graine.

Les organisateurs qui o n t choisi ce su jet

bien actuel in v ite n t to u te s les personnes

que le su je t intéresse à y assister, l o u t cçux,

• t ils so n t nom breux, qui, p our p arer au

renchérissem ent de la vie tou jo u rs plus crois­

s a n t, essaient de cu ltiv er u n p e tit jard in ,

c e p erd ro n t pas leur tem ps en a lla n t s’en tre­

te n ir quelques in s ta n ts su r la cu ltu re m a ­

raîch ère. Les dam es y so n t cordialem ent

Invitées. L a conférence e st g ratu ite.

A ffaires im m obilières

Mlle B e rth e t a vendu a u x m ariés F. jSpiel-

tr.a n n e t Louisa ïr é h a n une pareeHè à

Caxouge p our le p rix de 27.000 f r .; Iég m a ­

riés O tto Gakl e t Marie Jungi à M. A. Gon-

th ie r u n e parcelle à Lancy, 22.500 f r .; Mme

V ve F . Bigo, née Chevaasus à, BS. ’ A. T o r­

na re, une parcelle à Lancy, 40.000 fr.;

la S.

A. P errot-D uval e t Oie à M. W.-J.

B urford, une parcelle à Veyrier, 5063 fr. 75,

a u x m ariés R . B orn e t A nna Meyer, des par-

oelles dans la même comm une, 4296 fr .;

K M . C. B oym ond e t A lfred Roschi à

M.

Ch. Beer, des parcelles à B ernes, C artigny

e t Laconnex, 55.000 fr. ; M. H ugo L u th e r au x

m ariés P . Speidel' e t Marie D uveau, des p a r­

celles à Lancy, 28.000 fr.; les m ariés F.

B o ttin i e t Joséphine R olland a u x mariés

F . Bosson e t- J . Boccard une parcelle à

ffhônex, 14.000 fr. ; Mme Rose R enaud, uée

ÎPète a u x m ariés Charles Georges e t Anna

l'ra v c lla , une parcelle à Chêne-Bougeries,

£0.500 f r .; M. Georges-L.-G. F azy à la

S. I. de la place du P etit-L an cy A, une p ar­

celle à Lancy, 92.000 fr.; à la S. I. de la

ilaco d u P etit-L an cy B, une parcelle dans

mémo comm une, 58.000 fr.

r .

Affaires municipales

Le Conseil m unicipal est convoqué m ard i

soir à 8 h. 1/4, d ans la salle d u G rand Conseil,

avec l’ordre d u jo u r su iv an t : 1. rap p o rts des

commissions chargées d ’exam iner les p ro ­

position d u Conseil ad m in istratif pour la

suppression de subventions pour l’in s ta l­

lation de la lum ière éleotrique dans les

im m eubles; 2. p our une dem ande de créd it

en vue de la construction d ’un m agasin

à l’usine à gaz; 3. p our l’ach at de hors-lignes

en vue de p o rter la largeur des rues R ô tis­

serie e t T raversière de 12 à 14 m ètres; 4. pour

1 ouv ertu re d ’un c ré d it en vue de l'a c q u i­

sition de m atériel p our l ’Ecoie d ’H orlo-

gérie e t de la création d ’uné nouvelle classe;

prem ier d é b a t su r la proposition a u Conseil

a d m in istra tif p our l’im position de centimes

additionnels e t l’application d ’une ta x e de

séjo u r; 6. requêtes en n atu ralisatio n .

MENUS PROPOS

U n p'-ilu

(P etite anecdote rigoureuse-

•pince-

m ent authentique). P en d an t le

sans rire dernier bom bardem ent de P aris

p a r les g o th a s ,. les clients et

clientes d ’un grand re sta u ra n t du IVme a r ­

rondissem ent étaient descendus dans les

caves de l ’immeuble, e t devisaient gaîm en|.

Soudain, u n épais nuage de poussière

s ’engouffra p ar le vasistas. Tum ulte, cris :

les gaz !

.

, .

U n poilu qui s ’é ta it glissé parm i la bande

joyeuse, déclare avec le plus g ran d sérieux :

«Ça, c ’est le nouveau gaz lourd. I l n ’y a

qu’une chose à faire : que chacun hum ecte

son m ouchoir (gazons)... p ar la m éthode la

plus n aturelle e t se l’applique sous le nez. »

A ussitôt d it que fa it. E t le poilu facétieux

de se tordre en v o y an t dam es e t messieurs

suivre son ordonnance à la lettre.

L ’histoire à fa it le to u r des tranchées,

où elle a obten u le succès que l’on pense !

Conseiller des dames J e viens de lire un

et des demoiselles journal de modes, et

,

principalem ent,

dan

c e . journal, la correspondance des lectrices

qui désirent c o n n a ître 'la solution do mille

petits problèmes quotidiens.

A insi,. Rose de M ai désire, apprendre la

recette exacte des pommes de terre souf­

flées ; Mélancolia v eu t qu’on lui révèle

à quel point du front correspond actuelle­

m ent le secteur 68 (et la défense nationale,

m adam e î) ; Bobèche, d o n t le chagrin n ’a

pas attén u é la coquetterie, pose c e tte in ­

terrogation : «Le deuil d ’une belle-mère

peut-il com porter une . jupe courte î » ;

Jolis Y eux supplie qu’on lui fournisse un

remède contre l ’acné qui la ravage ; Iris

N oir, bonne m énagère, s ’inquiète de savoir

si des poireaux pousseraient dans la caisse

verte de son balcon.

Mais il convient de m ettre à p a rt lés

deux questions posées, l’une p a r M ary de

l a Vallée, l’au tre p a r M azette. M ary tien t

à être fixée de suite : « Q uand la guerre,

finira-t-elle î » sim plem ent ; q u an t à M a­

zette, ellè ignore ce qu’il faut faire quand

« on a une plum e de stylograpbe tro p dure ».

J ’ignore ce que les lectrices abondantes

de cette revue de l ’élégance vont répondre

à l’une e t à l’au tre questions.

P our la prem ière, je crains fort que la plus

perspicace d ’entre elles ne puisse donner

satisfaction à M ary de la Vallée ; quant

à la correspondante qui se dissim ule sous

le gentil pseudonym e de M azette, je peux,

si elle lit la Tribune, lui faire connaître la

meilleure réponse au problèm e angoissant

qu’elle pose : ce L a plum e de votre sty lo -

graphe est tro p duro, M a z e tte # C hangez-la...

à moins que, sim plem ent, vous vous résol­

viez à. ne plus écrire, ce qui se ra it peut-être

la solution la meilleure II»

-

-Nous avons reçu»

L ’Eventail, revue de littératu re e t d ’a rt

vient de faire p a ra ître son sixième fascicule;

il contient des vers d ’A ndré Spire, d ’E u ­

gène F abre e t de

N.

de Solpray. A ndré

Delemer, u n jeune écrivain d ’avenir p u b le

u n fragm ent de rom an «L e Voyage à la

m er », e t François Laya comm ente l ’œ uvre

du peintre Em ile Bressler. Ce numéro très

v arié, avec les chroniques habituelles de

G. H offm ann e t F. L aya, renferm e encore

une page spirituelle de H . Gauthier-Villars,

II e st accompagné de marges de Em ile

Bressler e t contient deux reproductions des

toiles de ce peintre.

LES ARTS

pendant la guerre

Quand

la

guerre est venue, il

y

eut

dans le monde des artistes un moment

de grand désarroi. L a vie é ta it dure

pour le plus grand nombre d ’entre eux.

Beaucoup végétaient. Le talent ne nour­

rissait pas son homme. A p a rt certaines

exceptions que crée ce noyau d’am ateurs

plus ou moins éclairés, plus ou moins

doués qu’on retrouve à toutes les épo­

ques et qui, p ar leurs achats judicieux

ou non, assure largement la subsistance

ä une pléiade d ’attistes, la plupart

poursuivaient leur sévère labeur au m i­

lieu des mille difficultés de l’existencë.

L a guerre parut devoir aggraver en­

core leur situation, la ' rendre même

impossible. On eut un moment l’impres­

sion que le désastre était complet. En

présence du.cataclysm e, to u te préoccu­

pation d’a rt semblait de trop. Les

grands musées se fermèrent. Les galeries

de3 marchands de tableaux restèrent dé­

sertes. Les artistes qui n’avaient pas eu

à répondre à l’appel des armes, se tro u ­

vèrent soudain aux prises avec des com­

plications auprès desquelles celles d ’au ­

trefois parurent jeux d ’enfants. Ceux

qui gravissaient les échelons qui devaient

les conduire au succès se ' retrouvèrent

soudain au bas de l’échelle. Tout était

à refaire. Beaucoup durent rompre mê­

me avec le milieu qu’ils avaient choisi,

quitter leur patrie naturelle ou 'leur p a ­

trie d ’élection, recommencer l’existence

noyés dans l’indifférence générale pour

to u t ce qui touchait aux arrs.

-On crut que cette indifférence dure­

ra it aussi longtemps que la guérie.

Mais, heureusement, ici encore, les

pronostics ne se réalisèrent pas. On en­

tendit de nouveau parier d ’achats. Des

expositions s’ouvrirent qui intéressaient

un public de plus en plus nombreux. La

production, ûiii ne s’était jamais arrêtée,'

mais qu’on pensait être à demi-tarie,

reprenait aVec vigueur. Il y eut to u t à

coup comme une fièvre de création artis­

tique. De tous côtés, le ü o t des œuvres

m onta.

Cette fièvre ne s’est pas ralentie, ce

fiot n’est point retenu. Les artistes affir­

ment aujourd’hui p arto u t leur existence

et les marchands d’œuvres d’a rt font

de bonnes affaires.

La situation en p a ta ît même re n ­

versée. Elle n’est plus com patable à ce

qu’elle était avant la guerre. L a p lu p a rt

dés artistes vivent actuellement de ieur

métier.

.

Les causes de ce revirement inattendu

sont complexes, comme les causes de tout

revirement et ou se trom perait en voulant

les réunir sous d ’étroites catégories.

Il est probable cependant qu’il procède

en partie de la lu tte générale que se livre

le monde dans tous les domaines. Le

domaine d ’a rt ne devait pas plus que

n’importe quel autre échapper au confiit.

Là également les deux civilisations aux

prises devaient vouloir se mesurer.

Préoccupés de ne négliger aucun des

moyens propres à l'em porter sur l ’ad ­

versaire, on com prit tout le p a rti qu’on

pouvait tirer de l’action que l’a r t a to u ­

jours exercé sur la fouie, même à son insu.

On chercha, donc à travailler l ’âme popu­

laire par. ce moyen-là. La propagande'

le considéra même .bientôt comme une

de ses meilleures armes.

Elle lui perm ettait, en effet, de com­

b a ttre parto u t sans que, nulle part, on

songea à s’offusquer de sa présence et à la

tra ite r d’intruse, car on admet comme v é­

rité absolue que l’a rt n’a pas de fron­

tières et que p arto u t il est chez lui.

L a propagande appelle la propagande

et stimule ies esprits. La propagande

artistique d ’un des groupements de na­

tions appela im m édiatem ent celle de

l’autre groupement et, sous l’effet de

cette double propagande, la curiosité

pour les choses d ’art s’excita. On courut

aux diverses manifestations, on com­

menta, on discuta. Il n’en fallut pas pl’us-

pour créer un véritable mouvement

to u t à l ’avantage des artistes.

L A T R I B U N E D E G E N E V E

I

Le terrain d’ailleurs était favorable

à ce mouvement. On éprouvait univer­

sellement le besoin d’échapper au cau­

chemar de la guerre. On senta.it la néces­

sité de continuer, malgré les événements,

à vivre, pour avoir

la

force d’aller jus­

qu’au bout, une vie aussi rapprochée

de la normale que possible. E t, de même

que, dans tous les domaines, l’effort

de l’homme ten d toujours à- s’adapter

aux circonstances, il revint to u t naturel­

lement à ce qui contribue à orner l’exis­

tence, à en faire oublier les peines et les

soucis.

...

.

. D ’autres préoccupations allaient encore

le pousser plus avant dans cette direc­

tion.

.

On ne ta rd a pas à se rendre compte

que cette guerre ‘n’est pas seulement

une guerre de m aintenant, mais qu’elle

se poursuivrait d’autre manière, long?

tem ps après q u ’elle! au rait cessé dans sa

forme brutale et homicide, et q u ’il était

indispensable de préparer l’avenir si l’on

ne voulait pas :être. pris au dépo.urvu.

I l y eut, dès lorè,'dans tous les domaines',

un sursaut d’a c tm tê et l’on com prit

plus encore que le domaine artistique

devait être travaillé également.

II convient de citer aussi, pour n’exa­

miner que les causes les plus probables

de cette si intéressante résurrection

artistique, le déplacement qui s’est

produit dans les fortunes, le désir d ’é­

chapper à l’im pôt en plaçant des capi­

tau x sur de3 choses insaisissables pour

le-lise, parce qû’&lles ne se' peuvent éva­

luer, la création d ’intérieurs luxueux et

le besoin si'légitime de les orner.

:

De là, l’afflux d ’argent qui s’est porté

vers les œuvres d ’a rt et qui est venu fort

avantageusement modifier les conditions

de vie de ceux qui le3 produisent et les

stimuler.

A Genève également, on retrouve et

ces préoccupations nouvelles et ce zèle

nouveau et

ce3

fortunes qui s’emploient

involontairement ou volontairement à

modifier la situation des artistes. On ne

çaurait trop s’en féliciter. Genève m érite

à bien de3 égards de. participer au mou­

vement esthétique général. Eiie

a

bon

nombre d ’artistes bien- doués, travail-,

leurs, dont l’esprit est en éveil;et le désir

de probité manifeste;, Eiie

a

e t produit

chaque jour des oeuvres qu’èlle peut mon­

trer. N ’eat-elie pas

la

patrie d’élection

d ’un Hodler ? E t quancl on possède un

Fonfcanez, pour ne pas donner aujour­

d’hui d ’autres exemples, n’est-on pas en

é ta t de se mesurer

avec

la production

artistique de beaucoup d ’autres pays ?

Au public genevois m aintenant de com­

prendre toujours mieux l’imnortance du

problème artistique d’aujourd’hui et de

tous lc3 temps, et du rôle qu’il est apneiê

à jouer, comme to u t autre public, dans

l’e.ssor de tous les arts.

Personne ne lui fera l’injure de croire

qu’il n’en estjpas capable.

E d . B A U T Y .

Les Journaux

3

E T A T C IV IL ,

PE TIT-SA C O N N EX

D u 16 avril

Mariages : A lbert-C hristian U r er, Ser­

bie, e t M addalena-C arlotta Capelli, Tessin. —

Charles-G ustave Jordan, Genève, et .Teanne-

L aure-E lisabeth L evet, F iance. — Mareel-

E rn est L andry, N euchâtel, e t G eorgette­

Pauline Brossatid, l'Yauee; — R obert Jenzer,

Berne, e t Léonie-Suzanne T auxe, V aud. :J-i

■Hans-Senno-Emit SafjftBnf Berne, ot O lga­

Helena Lübeck, Allemagne. — Léopold-Louis

Eugène M atthey, Neuehâtel, e t Ursule-

Joséphine U idry, Fribourg. — Max-W erner

K anzig, Berne, e t Jeanne Lier, Zurich. —

Alpha-Charles Giddins, A ngleterre, e t H é­

lène G illaud, Vaud. — George-Friedricb

Mann, Allemagne, et M aria-Luzia M arxer

Autriche. — Charles-Constant Duboule e t

Jeanne-M arguerite B aud, Genève.

Dccis : Suzanne lîinggenberg, veuve

S lrupler, 79 ans, Thurgovie. — Auguste-

Célestin Pieyre, m arié, 07 ans, F iance. —

Aibert-Victor P ite tti, 11 jours, Italie. —

Denise-Emilie Germain, 26 jours, France. —

Justc-A ntoine

Chaillet,

07

ans, m arié,

Vaud. — Giovanni Candolfi, 79 ans, m arié,

Tessin. — Irène-H enriette Dubi, 22 jours,

Berne. — M arie-Pauiine-Augusta Pfeffer,

femme Weber, 60 ans, Genève.

1 La presse étrangère —

L A S IT U A T IO N E N H O L L A N D E

L a situation en H ollande s’aggrave c h a ­

que jour. Des ém eutes de la faim o n t déjà

éclaté. Les rations de p ain d ev en an t chaque

jour un pieu plus petites. I l est probable

qu’a u cours de la sem aine prochaine il n ’y

au ra plus de viande d u to u t. E t jusqu’à la

fin de la crise — car c ’est le term e que l’on

coutum e d ’em ployer — la ration allouée par

sem aine e t p ar personne n e dépassera guère

200

gram mes. Q uant a u beurre e t a u x graisses

ils seront rationnés prochainem ent. Le fro­

mage l’est depuis quelque tem ps déjà. Dans

les grandes villes la population se soulève. Le

chômage augm ente chaque jour en in te n ­

sité. Le charbon m anque. Quelques b o u lan ­

geries ont déjà été pillées. Le- m écontente­

m ent populaire est général. I l fallait s’a t ­

tendre à ce que la presse allem ande v ît en

•tout cela la

main de l’E n ten te.

' .aL e vol des bateaux, écrit la

Berliner Tagblatt

est ap p aru m aintes fois comme la

fin dram atique de to u te une évolution qui

comm ença, au cours de l’é té dernier, p ar la

sortie confiante des b atea u x hollandais de

leurs ports n a tio n a u x e t qui se term in a par

leur c a p t. Mais d éjà au m om ent de l’émo­

tion causée p ar les déclarations de l’A ngle­

terre e t des E tats-U n is on p u t so rendre

com pte que ce n ’é ta it là qu’un ch ap itre de

to u te u n e politique e t un fragm ent de to u t un

plan com plet. Puis une fois le vol accom pli,

les « Associés » (sic) o n t de nouveau fa it cies

propositions à la H ollande, comme si rien

ne s ’é ta it passé ».

' Ce fu t im to rt de la H ollande que d ’avoir

repris la conversation avec l’E n te n te . Le

pays s’est tro p facilem ent laissé hypnotiser

p ar le danger d o n t on le m enaçait. I l s ’est

d it :

« Si je gagne d u tem ps, je gagne to u t. *

M -is to u te c e tte diplom atie n ’a servi à rien

d u to u t. Avec la d isparition de ses b atea u x ,

la H ollande a perdu la p artie la plus im ­

p o rta n te e t la plus active de sa prospérité.

Cela, le gouvernem ent l’a v a it com pris e t

il l’a v a it d it dans ses réponses a u x exigences

prem ières do l'E n te n te . L a politique hol-

landui e ne .sera ja m a is qu’une politique

d e faiblesse, parce qu’elle d o it défendre

des in té rê ts 'a u s s i' im portants- que ceux

d ’un .grand E t a t avec lés m oyens d ’un

p e tit E ta t;

-« Tous ces facteu rs o n t donc joué leur

rôle. - M iis, d u fa it que l’on tr a it a it aussi

vivem ent que possible avec les « Associés »

e t que, p ar là même, on les lia it, on p e r­

d a i t de vue qu’on se lia it soi-même.

J u s q u ’à m a in te n a n t, conclut le journal

de B erlin, au cours de c c u e guerre, la H ol:

lande a p ratiq u é u n e diplom atie rem ar­

quable, absolum ent ad éq u ate à la situ atio n .

Et. cela pour son b rnheur.

M lheureuSement pour elle, elle a perdu

de vuo certain s faits élém entaires. Sans

d oute, l'A llem agne n e p eu t donner à la

H )lla n d e n i prendre a u ta n t que les Alliés.

M lgré cela, elle lui est indisjw nsable. Les

relations politiques hullando-allemond.es ne

pourront jam ais ê tre qu’actives. Elles ne

p euvent pas ê tre abandonnées. E t on a

tro p oublié ce qui est le plus im p o rtan t

on to u te c e tte affaire : le m aintien de l’é­

quilibre do la H ollande entre les deux

groupes de belligérants. L a H ollande a p ra ­

tiq u é im e politique, d ’autruche quand elle

a ta rd é à s’entendre avec l’Allem agne

pour la conclusion d ’une convention éco­

nom ique en vue d ’une en ten te chim érique

avec les « Associés ».

.

C ette fois-ci, la diplom atie hollandaise

a m al vu. N i plus, m ais n i moins. F a u t-il

croire que la H ollande retrouvera le sens

aigu de la n e u tra lité qu’elle possédait

ju squ'à m a in te n a n t e t qui a é té l’élément

prim ordial de sa • force S

ç» ’

•. .

■»'•.*

_ . • »■

'

»j

' La presse suisse

F A C H E U K SY M P T O M E

Le

Genevois

organe du p arti radical ge­

nevois écrit so us ce titre :

« Le groupe

ladiea.-dém ocratiquc

des

Cham bres a décidé de p ro tester contre les

a tta q u e s injustes à l ’adresse de M. le con­

seiller. fépéral Schuithess.

P ro tester contre des attaciues «injustes»

c’est bien; c ’est m êm e très b ien ,p arce que

de la sorte on 'aisse assez clairem ent en te n ­

dre q u ’il n ’est pas question de s ’insurger

contre les justes a tta q u e s; e t à moins que

M. Schuithess n ’a it h érité cie l’infaillibliiité

rom aine il n a p p a r a ît guère possible oue

rien dans ses décisions n ’a it jam ais m otivé

îa critique. On la repousse p artiale; on l’ac­

cepte donc justifiée.

Mais si nous étions à la place de M. Schul

thess, nous nous défierions de cette ta p a ­

geuse m arque de confiance.

1

Quand les hommes au pouvoir ont besoin

des ordres d u jo u r des assemblées de leurs

am is p o u r e’y m ain ten ir o’e st qu’ils chan-

ceHént» N ous avoüs d it' pourquoi nosu ne

désirons pas la ohute_ de M. Schuithess; le

geste du g roupé radical nous rem ontre assez

inopportuném ent que le m alade é ta it plus

a tte in t que nous ne croyions.

Encore un pavé d ’ours de même calibre

e t nous ne donnerions pas cher d u fauteuil

du président du D épartem ent de l’Economie

publique. Ah ! les am is...»

A P R E S L A L E S S IV E

Les jo urnaux de la Suisse rom ande sont

tous d ’acoord pour déclarer que M. De Ra-

bours a su trouver, p our son interpellation,

les accents e t les term es qui convenaient.

L a

Gazette de Lausanne,

p a r exem ple,

déclare :

Ce fu t le p o in t culm inant de la séance. I *

député libéral de Genève a fait d ’éclatants

débuts e t s ’e st révélé d ’emblée comm e un

o rateu r de p ren v er ordre. Son interpellation

s u r les affairés Scœ.iex e t Lîdinegg lui a don­

né m atière à un discours à la fois b rillan t e t

solide, dans lequel il a développé avec beau­

coup de verve e t de m ouvem ent des arg u ­

m ents politiques e t juridiques très convain­

cants. Auprès de totis ceux qui sont capables

d ’apprécier sans p a rti p ris l ’éloquence p a r­

lem entaire (ce n ’est pas la m ajorité de la

salle), le succès de M. D eR abours a été grand

e t m érité.

E N C O R E

Le

Dovere

rapporte un léger incident qui

en d it long cependant su r le .saus-gêne de

nos indésirables :

U ne jeune recrue, excitée p ar le vin et

p ar de subversives théories, se m et à invee-

liver en pleine place de Bell inzone l’armée

e t les institutions m ilitaires. Au grand, scan­

dale du public qui l’entoure, elle lance des

diatribes contre la p atrie e t insulte les a u ­

torités. Mais voilà qu’un étranger, interve­

n an t, se perm et de défendre le soldat ivre

et de soutenir ses théories d ev an t la foule !

» Il est tcmp3 qu’on en finisse avec ces

perturbateurs, -dit le Dovere. Il est tem ps

que ces pêcheurs en eau trouble com pren­

n en t enfin que leurs divagations hors de

propos avec la situ atio n actuelle ne peuvent

être tolérés chez nous. L a patience doit

avoir ses lim ites. »

>

Il y a longtemps que la coupe déborde.

A PR O PO S D U C H A R B O N

-La pressé de la Suisse allem ande se

m ontre très, sobre de com m entaires sur les

exigences allem andes.

Les p ro testatio n s

se font a tte n d re . I l so trouve cependant

quelques jo urnaux pour m anifester de la

m auvaise hum eur.

Ainsi, le Landbote

de W in terth o u r d e ­

m ande que la Sui-.se fasse des d ém o n stra­

tions un peu plus énergiques contre la p re s­

sion économique extérieure. Nous devons

aider à tous les belligérants à payer leurs

d ettes de guerre. On ré d u it la valeur d u

franc suisse. L ’A llemagne la prem ière a

m arché dans cette voie en nous faisan t

payer son charbon en franc3 e t non en

m arks e t sans te n ir com pte du cours d u

change. E it-ce équitable î ÎS’aurions-noua

pas le d ro it de réduire proportionnelle

m en t nos com pensations î

A ujourd'hui, la guerre sous-m arine sane

merci nous a tte in t aussi e t l’on nou

3

tr a ite

en ennemis. On a en ten d u des internés

allemands d ire que d an s peu d ’années, nos

soldats porteraient aussi l’uniform e aile*

n m id . «C’est p eu t-être seulem ent un sot

bavardage, mais cela m ’a serré la gorge.

C’est le signe, en to u t cas, d ’une disposi­

tion m alveillante e t insupportable. »

. Le journal zuricois est modeste. Q uant à

celui qui a. eu la gorge serrée en e n te n d a n t

les insolents propos de l’in tem é, il a u ra it

bien fait cie se donner de l’a ir en a p p liq u an t

à n o tre « h ô te » la paire de claques qu’il

a v a it si richem ent m éritées.

Ce sera pour 1

1

. prochaine fois.

Lg 6'/- Galleï Tagblalt com m ente, avec plu?

de sérieux, la nouvelle des préten tio n s exor

.

b ita n te s . des -négociateurs • llem ands. Le

gouvernem ent allem and sem ble s ’étre ra llié

'

au p o in t p e vue d e s , grands propriétaires

de mines qui o-t de spéculer su r la situ atio n

créée p a r la guerre e t d ’exploiter les neutres.

U ne augm entation des prix se ra it justifiée,

si elle re sta it dans les lim ites convenables,

m ais elle n e d o it pas prendre des proportions

qui causent la ru in e économique d ’un E ta t

voisin e t am i e t qui équivalent à u n e c o n tri­

bution de guerre, comm e on en impose au x

territo ires occupés. A v an t d ’a rrê te r leurs

p réten tio n s, les conseillers com m erciaux

d u fisc prussien e t ceux des p ropriétaires

de minas d ev raien t se dem ander si les

échanges avec des E ta ts ami»' et liont on a

besoin, comme ils ont besoin de vous, doivent

être réglés seulem ent p ar des p réten tio n s

fiscales e t s’il ne fa u t pas y faire intervenir

certains im p o n d érab les.

Le gouvernem ent im périal allem and ne

d e v ra it pas ignorer que le peuple suisse sa

se n t m enacé dans son indépendance écono­

m ique e t p o litique p ar l’étran g er. « E n p a rti­

culier, on cro it, non seulem ent en Suisse

rom ande, avoir des raisons d ’a d m e ttre que

l’Allemagne p o u rra it abuser d ’une m anière

ou d ’une a u tre de sa puissance e t c!e son

'

a p p é tit d ’expansion a u x dépens de no tre

E ta t n e u tre e t autonom e ». Ce sentim ent n«

f

p ourra que se fo rtiticr.si l’Allemagne n e fait

pas preuve de plus de prévenance. La ques*

_•

lion d u r iz d u charbon sera p our n o u s'u n e

pierre de touche e t nous m ontrera quelles

'

so n t a u vrai les intentions de l’Allemagne.

i

| La “Tribune

de

Genève” se vent)

10 cent, le numéro

GUERISON de la GOUTTE

La Goutte, au début, se caractérise par des attaques lo c a lisé es-

dans le gros orteil, attaques esp acées le s unes d es autres. Plus tard,

c e s attaques se généralisent, devienn en t p lu s fréquentes.

Le Goutteux, bien portant entre le s accès, s’aném ie à ce m om ent;

perd se s forces, et c ’est alors que su rvienn en t le s lé sio n s viscéra les.

La Goutte se p résen te sou s d eux form es :

1

° La Goutte articulaire chronique caractérisée par d es lésio n s

articulaires, déform ations, tophus, an k ylosés ;

2

° La Goutte viscérale dont le siège d es m anifestations est le

cœ u r, le cerveau, les rein s, l'estom ac. Cette form e est de beaucoup

la plus dangereuse.

T R A I T E M E N T D B L A G O U T T E

Un grand nom bre de goutteux se con ten tent de soign er l’a ccès _

de Goutte en appliquant un. cataplasm e laudanisé, un topique quel- I

con q u e,,p ou r éloign er la douleur.

.

I

Il se produit ce fait que le s prép aration s em p lo y ées en d orm en t I

sim p lem en t là souffrance san s d étruire la cause dè l’in fection dont-

le s progrès in sen sib les p rép aren t nn r,éveil terrib le.

:

î

Or,

11

faut d ébarrasser Torfianism e en tier de tout germ e de

m aladie ; on y parvient sûrem ent et rapidem ent par l'em ploi du

D G L O R O S T A N

C’est un rem ède qui a p lu s de 30 années de su ccès à son a ctif e t

dont l’éloge n’est plus à faire. II est préparé sp écialem en t pour

gu érir :

Goutte, Sciatique, Rhumatismes, Gravelle, A rthritism e, Maux

de rem s

,

Lumbago etC:

.

'

Pendant le traitem ent, il est in dispensab le de faire usage du

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s s u r a n c e s . S o c i é t é s u is se d ' a s s u r a n c e s vie e t u c c i d e n t s , p r e m i e r o r d r e , c h e r c h e a g e n t s e t c o u r t i e r s actif s, ù G e n è v e e t d a n s le c a n t o n . I*278li E c r i r e , c a s e 10013, F u s t e r i e . ________________ o n n e à t o u t fa i re e s t d e m a n d é e p o u r mé-, n a g e d e 2 p e r s o n n e s e t . u n e n f a n t . S ’a d r e s ­ s e r , C o u te lle r ie . 5, r u e l ’a u l - B o u c h e t (C liante-

poulet ). 0X04

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o n n e b t o u t fa ire , r e c o m m a n d é e e s t d e m a n ­ d é e p o u f p e t i t m é n a g e u y u n t f e m m e de c h a m b r e . , 9168 S ’a d r e s s e r de 10 à 3 h e u r e s o u d e 6 4 8 h e u ­ r e s, Mine J a c c a r d , r u e S t - L é g e r , 8.

B

o n n e à t o u t f a i r e s a c h a n t u n p e u c u i s i n e r p o u v a n t a l l e r e n z o n e . Se p r é s e n t e r e n t r e 1 e t -3 h e u r e s , r u e G i n é r a l - DMfour, 19. a u 2me, à d r o i t e . 0189

B

o n n e s r e a s s u j e t t i e s c o u t u r i è r e s . Mme Mon- t illa rd . 8, o v e n u e P ic t e t -d e -H o c h e m o n t . UlOO

C

u i s i n i è r e r e c o m m a n d é e , 25 a v r i l p o u v é té 6 la c a m p a g n e . M m e S u n d t , 11, r u e G é n é r a l - b u f o u r , e n t r e i e t 2 e t 6 e t 7 h e u r e s . 9*78 e m u n d é e r é a s s u j e t t i e o u j e u n e o u v r i è r e c o u t u r i é r e . M l l e H e r m i n , 25,TeiraS8iére.80ti4

D

e m a n d é e j e u n e J l h e a c t i v e , p r o p r e , a i d e m é n a g e , cu is in e . C o u r s B a s t i o n s , 10, Jrne, m u t i n . ______ . ° ' ' - T j ' u t r e p r e n e u s e s e t a j o u r e u s e s d e m a n d é e s J u p o u r b l o u s e s l i n g e r ie . '.Travail suivi; , J038 Jo c q u e s I l e y m à h , 2, r u e V e r d a m e

M

* m e

T. G oy. % q u a i d e s E ù u x - v i v e s , c h e r -

clie o u v r i è r e c o u t u r i è r e ( t a i l l e u r e t Hou), p o u v a n t a i d e r à la c o u p e et d i r i g e r p e t i t g r o u ­ pe d’o u v r i è r e s . P l a c e c r a v e n i r p o u r p e r s o n n e c a p a b l e e t s é ri e u s e .eu a c n uuac, _____ ui son S u m s o n - H a n a u e r , p a s s a g e d e s Lio ns , j . j - N o 4, d e m a n d e e n t r e p r e n e u s e s p o u r r o b e s e t b lo u se s, t r a v a i l suivi, b ie n p a y é . O u v r i è r e s , r é a s s u j e t t i e s p o u r l’a t e l i e r . P l a c e s b i e n r é t r i ­ b u é e s , a u g m e n t a t i o n r é g u l i è r e , p a s d e m o r t e sa iso n .

’ e

8521 i b e r t do P a r is, 10, b o u l e v a r d d u T li e u t r e , d e m a n d e o u v r i è r e s , p o u r flou e t ines r é a s s u j e t t i e s . _______ 9198

Q’

13

n d e m a n d e u n g a r ç o n d e 15 à 16 a n s , p o u r fa ire l e s c o m m i s s i o n s . e y e l e r » F a v r e , f a b r i q u e de c a d r a n s . A ir e . 9123

O

n

d e m a n d e tille h o n n ê t e e t t r a v a i l l e u s e p o u r t o u t fa ire . S ’a d r e s s e r , r u e G r e n u s , 19, a u 1 e r, c o m m e r c e d e c h a u s s u r e s . ______ 8959

Q

n d e m a n d e line j e u n e u n e , t o r t e , p o u r l a c u i s in e . De s u ite . H e g i n a P a l a c e . C o r r a t e r i e , 1. __________ 8975

Ü

n d e m a n d e des j e u n e s tilles d e

14 à

tt> b i e n r é t r i b u é e s , s p i r a u x R é u n ie s , S t* Je a n , 19, - r 1 j .1. j . , _________ . ; n d e m a n d e j e u n e fille p o u r t o u t f s l r k po lir m é n a g e d e 3 p e r s o n n e s . 9066 s ’a d r e s s e r , r u e d u C o n tra t-S o c ia l, I , au p r e ­ m ie r é te g » , p o rt« d u m llia u .

O

n d e m a n d e a p p r e n t i e e t r é a s s u j e t t i e c o u t u ­ r i è r e . — Mlle S. G e r l a c h , 8, r u e Phili

Pfnntamour.

P h ilip p e - T2(i86

Ü

11 d e m a n d e u n e lionn e d o m e s t i q u e , b i e u r e c o m m a n d é e , s a c h a n t c u i r e . .

P l a c e d e s Morg u e s, 3, 2me é t nge.________ 9093

11 d e m a n d e b o n n e à t o u t fai re. 8, b o u l e v a r d J»m e s- Fnnÿ . 2me d r o i te . _______________ 11059

0

O

n d e m a n u e , p o u r teirt f a i re , d o m e s t i q u e s é ­ r i e u s e et. r e c o m m a n d é e s a c h a n t fui ra un o b o n n e c u is in e . . . 9074 S ’a d r e s s e r de 11 :h.- 6 4 h e u r e s , che z. .M m e. A r m a n d Hloe.h.'f, T o iir-d è -l ’lle._______________

J

e u n e o u v r i e r b o u l a n g e r d é s i r e se p l u c e r . A d r e s s e , b o u l e v a r d d e la Cluse, 47. 9158

J

eu n o d a i n e s a c h a n t b i e n c o u d r e

à la m a i n

e t à la m a c h i n e e t f a i r e b r o d e r i e b l a n c h e si m p l e , d é s i r e t r a v a i l c h e z elle. — E c r i r e , M. G. 31, noslo r e s t a n t e , Cluse.__________________ 9145

u

n e b o n n e ô m n i l l e n s e d e m a n d e e m p lo i. E c ri r e , G75. T r i b u n e , p a s s a g e Lions. 9195 0 u d e m a n d e o u v r t e r e s . e t p e t i t e s m a i n s , c o u ­ t u r i è r e . Mme J o n n e r e t , 7, H er g a ln iin c . 9072

O

Ù e n g a g e r a i t de su i t e : j e u n e c o m m i s v e n ­ d e u r , p o u r r a y o n de b l a n c , b o n s o u v r i e r s t a i l l e u r s s u r g r u n d e s pièc es , j e u n e o u v r i è r e p o u r c o n f e c t i o n s c o s t u m e s d ’e n f a n t s , é v e n ­ t u e l l e m e n t o u v r i è r e p o u r l i n g e r ie c o u r a n t e , j e u n e r é a s s u j e t t i e c o u t u r i è r e . 'l'27f>7 Se p r é s e n t e r a v e c c e r t i f i c a t s e t r é fé re n c e s, Old E n g l a n d , F u s t e r i e .

0

n d e m a n d e j e u n e fille p o u r a i d e r m é n a g e . H o s e ra ie , 39. Martnmc Girod. P2747

O

n . d e m a n d e u n o u v r i e r p o u r lu m é t a l l o - p l a s ti e . L’A r t D é c o o ra tif, 11, p u ss a g e d e s l.inns. . 9069

O

n d e m a n d e do s u i t e e n j o u r n é e s r é g u l i è r e s , l i n g é r e e x p é r i m e n t é e p o u r n e u f e t r a c ­ c o m m o d a g e s . E c r i r e a v e c a d r e s s e , 653, T r i b u ­ ne, p a s s a g e L i o n s . _____________ ._________ 9083

O

n d e n ï u n d e b o n n e s o u v r i è r e s e t p e t i t e s i n u in s p o u r a i d e r uu t a i l l e u r , j u p e s e t j u - q u e t t e s . • . H e n r v & J a n e . 3, T o u r- M o itr e ss e . ■ 9154 0 n d e m n u d e r é a s s u j e l t i e s c o u t u r i è r e s . 3, ru e T o u r- M a l t r e s s e , H e n r y & .lano._______ 9153

Q

n d e m a n d e b o n n e s e n t r e p r e n e u s e s p o u r b l o u s e l i n g e r ie e t l i n g e r i e Une. Ü c r i r e s o u s E 13111 X, à P u b l i c i t a s , S. A., G e n è v e . P2788

[ \ n

c h e r c h e j e u n e lllle u y u n t b o n n e i n s t r u c ­ t i o n p r i m a i r e , vive e t m u n i e d e b o n n e s r é ­ f é r e n c e s , p o u r c o u r s e s e t t r a v a u x de b u r e a u S ’a d r e s s e r , « P a t r i e Suiss e» , 16, r u e d e l ie ss e ,

a u 1er é t a g e . 9205

Ô

n d e m u n d e a p p r e n t i e r é t r i b u é e , r é a s s u j e t ­ tie, j e u n e s o u v r i è r e s . Ru e de la F e r m e , 14, a u 1er. : • . oj ■ 9196 C i t é n o - t l a c t y l o g r u p h e . , .leüne h o m m e , o u de- 0 m o i s e l l e a y u n t b e lle é c r i t u r e e s t d e m u n ' d é e d e su ite . E c r i r e , c a s e 4494, S e r v e t t e . - 8ii67

S

t é n o - d a c t y l o g r a p l i e d e m u n d é , 12, Croix- d ’Or, 12, a u 1 e r e t u g e , g a u c h e , d e 9 h e u r e s , à midi. 916»

DEM ANDES D’EM PlftlS

Î

) o n n e c u i s i n i è r e , d ’u n c e r t a i n û g e , c h e r c h e I p l u c e s t a b l e , d a n s ' f a m ill e o u p e n s i o n , x c e l l e n t e s r é f é r e n c e s . — S ’a d r e s s e r , p e n s i o n B a r b i e r - B o n e l l i , 10, b o u l e v a r d G e o rg e s- F u v o n .

D

a m e f r u n ç a i s e a y a n t e u i n t é r i e u r so ig n é d é s i ro t r o u v e r d a n s b o n n e m a i s o n p la c e a u p r è s de d a m e o u m o n s i e u r p o u r lu d i r e c t i o n . E c r i r e , A. B., p o s t a r e s t a n t e , 9075 POBte, r u e d’it u lie , G en èv e .

D

e m o i s e ll e 26 a n s , h a b i t u é e a u c o m m e r c e , c o n n a i s s a n t s l a n g u e s e t u n p e u la c o m p ­ t a b i l i t é , c h e r c h e p lu c e p o u r l o r j u i n , e x c e l ­ l e n t e s r é f é r e n c e s . Offres s o u s ch l l l re 341,p o s t e r e s t a n t e , B o u rg -d e -F o u r. 9101 Ei a m e v e u v e p a r l a n t le s t r o i s l u n g u e s , c h e r - 1 r h e p l a c e d e v e n d e u s e . B o n n e s r é f é r e n c e s . c r i r a . 66». T r i b u n e , p a s s a g e Liona . 9186 o d lste e x p é r im e n té e , a u s s i u u c q u f ü n t do ‘ t v e n te , c h e r c h e p la c e d e su ite , u , «48, T rib u n e , p a t a s g t U o n * . » 7 1

A

v e n d r e u n e V i c t o r i a b a s p r i x e t u n l a n d a u à d é m o l i r . B o u l e v a rd de la Cluse, 105._____________ P2S03 v e n d r e a p p a r e i l p h o t o g r a p h i q u e Zeiss-l’al- m o s 6 1/2 - 9, o b j e c t i f 4.5, p a r f a i t é t a t . E c r i r e , B. A. 42, p o s t e r e s t a n t e , P l u i n p a l a i s , on té lé ph oner .8 7.4 1. 9182

A

A v e n d r e c h a r r e t t e a n g l a i s e , 2 places-, p l i a n t e , c a p o t e , t r è s b o a é t a t . — M ê m e u d r e s s e , t e n t e t o ile p o u r p o u s s e t t e , s u p e r b e f r a n g e . é t a t ne uf . D uboi s, 88, r u e ’S t -J e u n . . 9174

A

v e n d r e d ’o c c a s i o n c h a m b r e ù m a n g e r c o m p l è t e ai n si q u ’un l u s t r e d e s a l o n . S ’a d r e s s e r le m a t i n , r o u t e de C h ê n e , 63, 1er é t a g e , ù g a u c h e . ___________________ T2799

4

v e n d r e d ’o c c a s i o n , m e u b l e s d e sa l o n L ou is XV, s i m p l e (5 pièc es), u n e b a l a n c e lim al è. S ’a d r e s s e r , c o n c i e r g e , 2, r u e d e s C lial ots p r o l o n g é e , C h n m p e l . 8970

A

v e n d r e lit f e r p o u r e n f a n t , a v e c m a t e l a s , c o u c h e é p a u t r e , é t a t de n e u f , 30 fru n c s . S ’a d r e s s e r , a v e n u e d u Mail, 18, 2m e, p o r t e à g a u c h e , 8906 T ) i a n o d r o i t, u s a g é , e s t d e m a n d é p o u r l a c am - X p a g n e . P a y e r a i t 200-300 fr. E c r i r e , c a r t e 74, P l a i n p a l a i s . ____________ 8939

S

uis a c h e t e u r j u m e l l e s à p r i s m e s , Zeiss, G œ r z e t B o u c h e s. 9124 Offres s o n s 663, T r i b u n e , p a s s a g e Lions.__

Ü

n g r a n d colTre-fort, i n c o m b u s t i b l e , m a r q u e g e n e v o i s e , é t a t d e neuf. Maison P n r c h e t . r u e Didny.__________ 9134 i e n x bo is lit, t a b l e n u i t , 4 à 7 h e u r e s , c a r r e ­ f o u r V i l l e r e n s e , 4, ftiné. : - i 9184

I

P.mre. a i p e r b c s p e r r u c h e s o n d u l é e s e t a u t r e s jo l i s c a n a r i s j a u n e s d o r é s , m â l e s e t f e m e l l e s , e x c e l l e n t s c h a n t e u r s e t n i c h e u r s . " 9175 R u e d u L é m a n , 11, 3me, p o r t e d r o i t e . P r è s d u K u r s a n l .

CHAMBRES

e t

PENSIONS

• .-‘ Y—. :

A

l o u e r c h a m b r e e t p e n s i o n , c o n v e r s a t i o n f r u n ç a is e , r e ç o i t p e n s i o n n a i r e s p o u r t a b l e , l iu p o n t, ru e K co lè -dé- M éd ec ine . 6. 9086

B

ell e c h a m b r e , c o n f o r t m o d e r n e , p i a n o , b a l ­ c o n , soleil, t é l é p h o n e , — R u e C a r t e r e t , 26, ou 3me. I r e p o r t e fi g a u c h e , S e r v e t l e . ' 9010 el le c H a u i b r e ( 1 e t U lits>. P e n s i o n s o i g n é e d a n s p e t i t e f a m ill e f r a n ç a i s e . Q u a r t i e r tliéfitre . E c r i r e . 358U, T r i b u n e . B a r t h o l o n i . 9165

B

o r d Uu lac . c a m p a g n e , c o u p l e m a r i é , c h e r ­ c h e p o u r l’é t é , c h a m b r e a v e c p e n s i o n si p o ss ib le . Offres, 667, T r i b u n e , p a s s o g e Lio n s. ' 9143

B

u n s p e t l t e t u m i l l e , on p r e n d r a i t 1 p e n s i o n ­ n a i r e p o u r la t a b l e . P r i x m o d é r é : P r è s â t r e . Ecr.lrQ, 3587, T r i b u n e , B a r t h o l o n i . 9164 T ? n g l i s h e v e n i n g la d i e s a n d g e n t l e m a n c a n n p r a c t i c e c o n v e r s a t i o n in e l i e e r f u l s o c i e t v 5 f r . m o n t l i ly . Miss C r u n d a l l , 5. St-O ur s. 8781

1

f r a n ç a i s e , '8 le ç o n s, 5 fr., f r a n ç a i s , a l l e m a n d , ’ a n g l a i s . Moag. 11, r u e P r q d i e r . 2m e. 9078

F

r a n ç a i s , g r a m m a i r e , c o r r e s p o n d a n c e c o m ­ m e r c e ( c o n v e r s a t i o n g a r a n t i e à Io n s e n * mois). C o u r s d u s o ir. Mazel , 3, r u e L é v ri e r .

8775 ■ f r a n ç a i s e t a l l e m a n d , p a r p r o f e s s e u r d i p l ô m é e JU . g r a m m a i r e , l i t t é r a t u r e , c o u r s s p é c i a u x , s u r v e i l l a n c e d é s d e v o ir s. P r i x m o d é r é s . Qtla'p-' . . . . . . . - ...' ,'Tri-BnttS.' t i e r C h a r m i l l e s , s t - J e à n . E c r i r e , 3506, 'I r u e B a r t h o l o n i . . 804'A.

F

M

lein f o n ç a i s , Mlle Jo liv et , p a r i s i e n n e , d i p l ô m é e . e x c e l l e n t e s le ç o n s . 1 fr. Ru e C é a r d , 10. 9130 m e I l a g n t i u e r ( A n d e rw e rt h - l î i ll ) , i n s t i t u - _ t r i c e d i p l ô m é e . L e ç o n s d e . f r a n ç a i s . A.ctutoi­ e m e n t , 2 , r u e M ic ii e l- R o s e t.a n g le r u e P é c o l n t . 5824

D

n d e m a n d e l e ç o n s d ’e s p a g n o l . —• A d r e s s e r o f fr e s s o u s c h i f fr e 668, T r i b u n e , p u s s a g e Lions.____________ . 9183 ) r é p u r u t i o n a u x e x a m e n s p a r j e u n e r é g e n t e . E c r i r e . 3589. T r i b u n e . B a r t h o l o n i . - Uiüfi A l o u e r d e u x p i e c e s m e u b l é e s p o u r b u r e a u , p o r t e p a l i é r e , é l e c t r i c i t é , t é l é p h o n e . " E c r i r e , 661, T r i b u n e , p a s s a g e Lions. 9117 lo u e r, à Camille d i s t i n g u é e , a p p a r t e m e n t m e u b l é 6 p iè c e s , b a i n s , v u e s u r P l a i n p a l a i s . i s i t e r . ' d e 2 à u h e u r e s , r u e lie r n u r d - I ) u s - s n u d . 2. on 1er, g a u c h e .________ 9162

A

A

v e n d r e bel le p o u s s e t t e b r u n e , é t a t d e n e u f , 55 fr. 1 R u e d e M a l a g n o u , 2 9,2 me, p o r t e g n u c h e . 0089

A

v e n d r e s u p e r b e c o s t u m e h o m m e g r a n d e t a i l l e , p u r e lu in e, n o i r , m o i t i é pr ix . 9087 Mme D u p o n t . 6, r u e d e l’E co le-de- Méde cin e.

A

c h è t e r a i t d ’o c c a s i o n , r é c h a u d à g a z , b i c y ­ c l e t t e d a m e , l i n o l é u m . E c r i r e s o u s .3572, i r i b u n é j - B a r t h o l o n i : V . . ' 0046 .v e n d r e ' b o u i l l o i r e ’ é l e c t r i q u e , n i c k e l é e , t r è s b o n é t a t , o y a n t t r è s p e u se rv i. A r ­ n a u d , 61; r u e j l i n V h û n e ^ l e r j H o g ^ -9068

A

v e n d r e s a l o n L ouis XV, 8 p iè c e s . P i a n o n e u f , à v e n d r e o u à l o u e r . HUe I.lot.nrd. 87 ,1 e r, p o r t e d r o i te . 9H9

B

elle m a c h i n e 6 é c r i t u r e v isib le , p o u r to u t e s l u n g u e s , fr. 160. E. J e e n n o t , 14, b o u l e v n r d du P o n t - d ’A rv e . 9088

I

olie sa l le ö m a n g e r H e n r i II, c o m p l è t e , n o v e r . 1000 f r a n c s ’ 0104 flu e' B ai lliv e, 6, p o r t e à d r o i te .

J

e su is a c h e t e u r d ' u n e b i c y c l e t t e d e d a m e e n e x c e l l e n t ét a t. E c r i r e a v e c d é t a i l s so u a S. M. 1S, p o s t e r e s ­ t a n t e , S t a n d . ______________________________ 9203 T It fe r, t u b e s v e r n i s n o i r , b o u le s o r , s o m m i e r J j c r i n , 2 p l a c e s , é t a t ne uf . S ’a d r e s s e r , r u e B n r t h é l e m y - M e n n , 8, 1 er é t u g e , 3m» p o r t o g a u c h e . 9201

M

o t o c l e t t e . b a s p r i x . P h o t o , R h o n e , 54. 9064

O

n d é s i r e r a i t l o u e r o u a c h e t e r p e t i t p i a n o à q u e u e . E c r i r e , 672, T r i b u n e , p a s a a g e U o n e . 8177

Q

o c a s io n , 5 c a is s e s A fle u rs p o u r b a lc o n s . S 'a d r e s s e r , 1, r u e E d o u a rd -R a o in e , a u 1er, a d r o ite . —

D

e u x c h u m b r e s . m e u b l é e s (1 e t 2 lits) a v e c b o n n e p e n s i o n . R u e d e s S o u r c e s , 22. 3me. , 9157

D

u m e A u t r i c h i e n n e r e c o m m a n d e ! p e t i t e p e n s i o n g e n e v o is e , C h u m p e l , p r è s t e r m i ­ n u s t r a m , j a r d i n o m b r a g é , b e l l e s c h a m b r e s , e x c e l l e n t e c u i s in e , fr. 5,50 ù 6,— t o u t c o m p r i s . T é l é p h o n e 72-38, o u é c r i r e 3538, T r i b u n e , rue- B n r t h o l o n i . 0160

D

a n s p e tite fa m ill e on p r e n d r a i t d a m e e n p e n s i o n , j u r d i n , t e r r a s s e . — E c r i r e , A. B.. p o s t e ' r e s t a n t e . P e t i t - L a n c y . 9181 ("1 r u n d e c h a m b r e - s a l o n m e u b l é e , i n d é p e n - VT d e n t e , v u e s u p e r b e , v é r a n d a , , 14. r o u l e d e C h ê n e , 3m e é t a g e , d r o i te . 9163 r o l i e c h u r d b r e m e u b l é e . J- .10, r u e T r o n c h i n , nn 3me, ä d r o i te . 9190

O

n c h e r c h e de s u i t e p e n s i o n p o u r b é b é . S ’a d r e s s e r . M a t e r n i t é , sa l le 65, d e 1 h e u r e à 2 h e u r e s , s u u f m u r d i e t v e n d r e d i , & Mme Clie-

s e a u x . 9063 0 n c h e r c h e 2-3 c h a m b r e s m e u b l é e s a v e c c u i ­ sin e , a u so le il, a v e c j o u i s s a n c e d u p ia n o , s r p o s s i b l e , p e r s o n n e s c o n v e n a b l e s . I n d i q u e r c o n d i t i o n s . E c r i r e , M. D. 377, p o s t e r e s t a n t e . _________9193

P

e n s i o n n a i r e s p o u r lu t a b l e , c h a m b r e 1-2 lits. S’a d r e s s e r , 5, p a s s o g e d e s Lio n s , p e n s i o n , a s c e n s e u r . 8937 j o l i e s c h a m b r e s m e u b l é e s , c o n f o r t , soleil, é l e c t r i c i t é . 12, Co n s e il-G é n é ra l, 2ine, d r o i te . ______________ 9161

ENSEIGNEMENT

A

ng lu ise 50, r u e du R h ù n e . 3m e, g a u c h e . 1r e s d i s t i n g u é e d o n n e le ço ns . 0138 vis. L e ç o n s d e v io lo n, m u n d o l i n e , g u i t a r e B e r t e l l e t t o , 7, b o u l e v a r d P o n t -d ’Arve. 2322 Iplômée a n ' l a n g u e f ï n n ç a i s e , échangera it

n

lplôm

français

. W e il, », a is c o n t r e onglai«. r u e B a u d e

F « «

A

l o u e r 2 jo lie s p i è c e s p o u r b u r e a u x , é l e c t r i ­ c it é , t é l é p h o n e e tc . s ’a d r e s s e r , B e r n h e i m , r u e TourrJilait resse, 12. 2 m e. 9001

m,

A l o u e r m e u b l e s , v a is se lle , a r g e n t e r i e , l i n ­ g e r i e . P r e s s é . — C h e m i n B e ri i e , 10, rez- de- c l i a u s s é e . 9IS5 el a p p a r t e m e n t m e u b l é , 6 pièc es , c h a m b r e s b a i n s , b o n n e . E x c e l l e n t ch a u f f a g e , vue lac-', c o n f o r t , u v a n t u g e u x . — 13, r u e V o l l a n d e s , 3ruc. g n u c h e . ___________________________________ 9171 0 h u m b é s y . A l o u e r joli a p p u r t e m e n t 5 p i è c e s . M a i s o n S t u c k e r-B rf ic lm . ’ 90ïî

0

h a r o u t e r ie ù l o u e r c o n t r e b o u r g p o p u l e u x , i n d u s t r i e l ; s a n s reprise.-. E c r i r e , Geuoljrr, a v e n u e G a re , Chène-Bourj?. Genèv e. ______ l’27H'>

G

r e n i e r p o u r g a r d e - m e u b l e s . 3, r u e St-On rs , rez -d c-ch a usSée , à d r o i t e. > - .SSüli

M

e u b l é , g r a n d a p p a r t e m e n t 12 pièoeg^ .tiivi-

aible. lie r. 615, T ri b u n e , pussiige Lio ns. S93?

M

e u b l é e s , 3 jo l i e s p ièc es c o n f o rt . P o u r v i si t e r s ’a d r e s s e r à M. M o u c h e t, r u e C h a r l e s H u m b e r t , 2, a u 2ine. P lal npa liiis.__________ 901)7 e u b l é . A p p a r t e m e n t m o d e r n e , 4 p iè c e s , __ c h a m b r e b a i n s , b o n n e , sole il. — R o u t e dn Aliène, 3, a u 1er , A g a u c h e . 9176 n c h e r c h e à l o u e r p o u r l’é t é , m a i s o n n e t t e

a

_ o u a p p a r t e m e n t

à lu c a m p a g n e , sim p

m a i s m e u b l é . S ’a d r e s s e r . 88, r u e St-.Tean,__________ ^ 3

A R E M E T T R

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reuitflue un uu**

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c h a r c u t e r i e Une d a n s q u a r t i e r t r è s c e n t ! al ~wirfl nlTr«s. No 193. p o ste F u s t e r i e . x' « —ü ä m o e T — A r e m e t t r e d a n s villu a v e c t o u t le c o n f o r t m o d e r n e , p e t i t e « P e n s i o n ; tr a n g e r a ». Adi'»s»»r ohi' M No 674, i r i b u n e , p a m g * Lion».

;

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