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Td corrigé Exercices d'entraînement : Perfectionnement en lecture - Td corrigé pdf

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

! Mise en garde !

Vous trouverez dans ce document des exemples d’exercices destinés à améliorer la lecture des élèves en ciblant des objets de travail précis (plus particulièrement les implicites).

Mais ceux-ci ne sont QUE des exercices : les compétences travaillées devront être mises en œuvre collectivement et individuellement lors de « vraies » lectures, là où elles prennent tous leurs sens.

Les ateliers de questionnement de texte, par exemple, mettent en situation les compétences travaillées dans ces exercices.

Sommaire

(Ces textes sont tirés du site TFL. Vous y retrouverez les auteurs)

Page 2 : L’implicite : une conquête nécessaire - Partager la perception de l’implicite

Page 3 : Exercices d'entraînement : Perfectionnement en lecture. Compréhension de l'implicite, inférences Page 4 : Exemples d’exercices : entraînement à l’inférence (CE2)

Page 5 : Partager la perception de l’implicite : quelques idées d’activités

Page 6 : Exemple d’exercices : Réaliser des inférences et prendre conscience de l’activité mentale liée à la compréhension des informations implicites (CM1 / CM2)

Page 9 : Exemple d’exercices : réaliser des inférences à partir de textes poétiques (CM)

Page 11 : Exemples d’exercices d’entraînement : Maîtrise des relations anaphoriques ; Développer le repérage des référents derrière les substituts lexicaux (CE2 / CM)

Page 14 : Exercices d’entraînement à la maîtrise des relations anaphoriques ; Repérages des substituts anaphoriques et activités de production d’anaphores (CM1 / CM2)

Page 16 : Compréhension du sens local

Page 17 : Exercices d'entraînement : Compréhension du sens local Page 19 : Travailler la cohérence et la structure des textes

Page 21 : Certains élèves font des confusions dans les références aux personnages lors de leurs lectures ou dans leurs écrits, comment les aider ? Découvrir les personnages dans les albums

Page 22 : Certains élèves font des confusions dans les références aux personnages lors de leurs lectures ou dans leurs écrits, comment les aider ? La référence : identifier les substituts

Page 23 : Faut-il travailler particulièrement les pronoms ? Travailler régulièrement sur les pronoms dans un texte lorsque l’occasion se présente.

(2)

L’implicite : une conquête nécessaire Partager la perception de l’implicite

Il importe de définir la notion d’implicite :

« On peut tirer d’un énoncé des contenus qui ne constituent pas en principe l’objet véritable de

l’énonciation mais qui apparaissent à travers les contenus explicites. C’est le domaine de l’implicite ».

On distingue les implicites sémantiques et les implicites pragmatiques. Les premiers sont attachés au seul matériel linguistique de l’énoncé ; pour extraire les seconds le coénonciateur met en relation l’énoncé avec son contexte en faisant appel en particulier à des lois du discours. De « Paul ne vit plus à Londres mais à Paris » on peut tirer par exemple ces deux implicites sémantiques : Paul vit actuellement en France et Paul vivait auparavant à Londres. Dans un contexte donné le coénonciateur peut aussi en tirer des implicites pragmatiques, par exemple « Paul ne pourra se rendre à notre invitation » ou « Paul n’a pu recevoir ta lettre ». », Maingueneau D., Les termes clés de l’analyse du discours, Seuil « Mémo », 1996.

Parce qu’il y a de l’implicite dans tout texte, le lecteur sera amené à faire un certain nombre d’inférences afin de construire une compréhension fine du texte. Cette notion d’implicite est donc complexe et il est difficile de la proposer, abstraitement, à des jeunes lecteurs.

C. Poslianec dans Activités de lecture à partir de la littérature de jeunesse propose des pistes pour l’aborder. Il suggère d’explorer l’album de Michel Piquemal, On s’aimera toujours, Syros, 1994. Le texte raconte l’histoire d’un enfant, le narrateur, en vacances au bord de la mer. Mais ce discours à la première personne est chargé d’implicite. L’implicite est révélateur, à cet égard :

« Depuis que je suis arrivé à la mer, je n’ai pas envie de jouer. Ma tante a beau me répéter de m’amuser avec mes cousins, je préfère rester tout seul. Je n’aime pas leur regard en coin, je ne veux pas qu’ils me plaignent. J’ai envie d’être triste et ça ne se partage pas. »

L’enfant-narrateur essaie de combler « un grand trou laissé par un arbre arraché ». Mais il sait qu’il n’y parviendra pas. Petit à petit, le lecteur peut comprendre, en déchiffrant l’implicite, que la grand-mère du narrateur est morte. Mais ce n’est jamais dit explicitement. Or, ce qui est remarquable dans cet album, c’est que l’illustratrice a tenté de faire percevoir au lecteur qu’il y a des éléments implicites. Pour ce faire, elle a utilisé un procédé particulier : chaque page, en papier assez fin, forme une sorte de pochette, fermée du côté de la tranche et du dos, ouverte en haut et en bas. A l’intérieur de ces pochettes, l’illustratrice a parfois dessiné un élément qui, en raison de la minceur du papier, apparaît comme un dessin en filigrane. C’est bien là une métaphore de l’implicite, si présent dans le texte. Les éléments ainsi dessinés ne sont pas signifiants en eux-mêmes : une tente de plage, un pare-vent, un couple, un bateau, etc. Ce qui est signifiant, c’est le procédé qui permet de faire percevoir à des jeunes ce qu’est l’implicite, présent et absent en même temps.

*****************

Être lecteur c’est justement s’approprier la lecture donc le côté implicite qui fera que l’on aimera ou non un livre, que l’on aura ou non envie d’en parler et de communiquer autour. C’est ce côté très personnel et affectif qui n’est généralement pas abordé à l’École et qui fait que certains enfants passent à côté du plaisir de lire en faisant de la lecture un acte purement scolaire.

Ils se fixent alors uniquement sur la compréhension, extérieure à toute interprétation personnelle.

L’enseignant devra être vigilant pour éviter de ne travailler que sur l’explicite (il est beaucoup plus facile de corriger des réponses à des questions appelant une seule réponse précise). Dès le cycle 1, lors de lecture orale on veillera à interroger sur la compréhension mais aussi sur le ressenti, le non-dit, ce que l’auteur et l’illustrateur suggèrent.

C’est ainsi que l’on va aider les élèves à argumenter, à se positionner, à communiquer autour de la lecture, à devenir curieux de lire.

Exercices d'entraînement :

(3)

Perfectionnement en lecture. Compréhension de l'implicite, inférences

1. Rapprocher des éléments du texte

Lis d'abord ce texte, puis réponds à la question

J'étais en train de garder mes bêtes en lisant. Il y avait du vent ce jour-là. Je m'endormais un peu, lorsque mon chien labri se mit à aboyer. Je n'y pris pas garde tout de suite. Puis je réalisai que trois brebis s'étaient écartées. Avec l'aide de mon chien, il me fallut peu de temps pour les ramener. Mais en revenant, plus de chapeau, plus de journal ! Ah

naturellement, me dis-je, je ne fais jamais attention ! Le berger ne semble pas étonné à la fin : pourquoi?

Lis d'abord ce texte, puis réponds à la question

Il y avait six heures qu'elles volaient sans interruption et elles sentaient le besoin de refaire leurs forces. Pour cela quoi de mieux qu'une bonne ventrée de harengs . Elles survolaient l'embouchure d'un fleuve. D'en haut, elles voyaient les bateaux à la queue leu leu, comme des animaux marins patients et disciplinés, attendant leur tour pour gagner la pleine mer.

De quelles créatures parle-t-on ?

Ces textes courts sont taillés sur mesure pour que la question finale oblige à inférer. On remarque que cela implique une attitude mentale active où le lecteur construit le sens, et ne se contente pas de "l'absorber".

2. Le chaînon manquant

Pour conforter cette habitude, on peut pratiquer régulièrement un autre exercice. On propose deux phrases sans liaison apparente, et il s'agira de justifier l'enchaînement.

Quel rapport ?

Il ne neigeait pas encore. Jean Michel proposa de faire les courses.

Après l'accident, Daniel ne pouvait plus marcher. Antoinette a quitté son travail.

A la télévision, on parlait des élections. Papa se mit à chercher fébrilement dans son portefeuille.

On peut même envisager de tirer deux phrases au hasard, dans un esprit "oulipien".

Chaque fois, la question sera : quel rapport ? Même les réponses apparemment illogiques intéresseront le maître, ou seront commentées par le groupe d'enfants.

Ce qui est important est de faire acquérir un "geste mental" qui devra devenir spontané : établir la liaison entre les segments d'un texte qui doivent s'enchaîner, s'inquiéter de la cohésion. C'est un aspect du comportement actif du lecteur.

Toutefois, on ne peut attendre des résultats rapides à partir de ces seuls exercices, supports de taille réduite. D'autre part, trouver le lien en étudiant un texte "à l'arrêt" n'est pas la même opération que de le réaliser spontanément pendant la lecture. Aussi, pour la mise en place d'habitudes durables, on s'appuiera en même temps sur la pratique

régulière des ateliers de questionnement de texte.

Exemples d’exercices : entraînement à l’inférence (CE2)

(4)

1) Retrouver qui parle dans un texte et justifier sa réponse.

2) Produire un écrit sur le modèle proposé.

Partager la perception de l’implicite Quelques idées d’activités

(5)

1- A partir de tous types de lecture (collective ou individuelle, de l’enseignant ou des élèves) cycles 1, 2, 3

Questionnaire oral ou écrit :

Après quelques questions « fermées », qui appellent une lecture explicite et une seule réponse, (Combien y-a-t-il d’enfants dans l’histoire, lequel arrive à résoudre le problème… ?), on posera des questions « ouvertes », lecture implicite qui appellent des réponses diverses (Auquel des enfants t’identifies-tu et pourquoi ? Est-ce que on aurait pu s’y prendre autrement pour résoudre le problème - comment ? Qu’est ce qui t’a plu ou déplu dans cette histoire et pourquoi ?).

La correction de ce type de questions portera alors non sur le contenu mais sur la façon d’exprimer sa pensée ce qui est très important pour la notion d’écrit : trop souvent les élèves et l’enseignant s’attachent plus au fond : réponse exacte qu’à la forme.

Tableau collectif des livres lus dans la classe :

Sur un tableau à double entrée les élèves dans la case correspondant à leur nom et au livre lu placeront leur « côte d’amour » (note, dessin d’un bonhomme qui rit, pleure, code couleur…)

Cahier de lectures personnelles :

Ce cahier commencé très tôt peut suivre l’enfant tout au long de sa scolarité ; il ne s’agit pas de raconter les livres lus (ou entendus) mais de les noter (titre, auteur, illustrateur, éditeur), de les illustrer (en reproduisant une illustration ou en recopiant un passage de texte qui plaît

particulièrement), de dire ce que l’on en pense en argumentant. Pour les maternelles on donnera des catalogues éditeurs aux élèves et ils rechercheront les couvertures des livres, ils les découperont et colleront dans leur cahier, petit à petit ils recopieront le titre, l’auteur…

Apostrophe :

Oralement, à tour de rôle, dans le cours de l’année, les élèves présenteront oralement des livres lus ; les autres les questionneront pour savoir si le livre leur a plu ou non et pourquoi. Les avis différents sur un même livre permettront d’affiner la notion de lecture implicite.

2- A partir de livres documentaires

On comparera ceux qui vont plus loin que de donner simplement l’information.

Par exemple, sur les champignons : quelles techniques font que l’auteur donnent envie de cueillir des champignons (présence de recettes de cuisine, informations sur l’odeur, la texture, présence de belles photos de sous-bois, localisation en France…) alors que d’autres documentaires sont purement informatifs (texte uniquement descriptif, photo détourée sorties du contexte…)

3- A partir de séries

On dégagera les caractères permanents des personnages, leurs façons d’agir, leur évolution au cours des épisodes… (voir Apprendre à aimer lire - Michel Peltier – Hachette - 1995)

4- A partir d’une lecture suivie de l’enseignant

Ces moments de lecture orale de l’enseignant, ritualisés, théâtralisés sont très importants et permettent à chaque élève d’intérioriser la lecture : à la fin de chaque épisode on envisagera différentes suites possibles.

5- A partir de nombreux livres connus par les enfants ( livres de la BCD ou livres de la classe)

Jeu « ça me fait penser à ». Il s’agit de placer à tour de rôle un livre à côté du précédent en disant le point commun que l’on y voit (format, auteur, illustration présentant des points communs, même héros, lieu proche…).

Exemple d’exercices :

Réaliser des inférences et prendre conscience de l’activité mentale liée à la compréhension des informations implicites (CM1 / CM2)

(6)

L a q u e s t i o n p o s é e o b l i g e l

é l è v e à m e t t r e e n r e l a t i o n l e s i n f o r m a t

(7)

i o n s i m p l i c i t e s d a n s l e s c o u r t s t e x t e s p r o p o s é s .

L e f a i t d e s o u l

(8)

i g n e r l e s m o t s q u i p e r m e t t e n t d e r é p o n d r e à l a q u e s t i o n v i s e l a p r

(9)

i s e d e c o n s c i e n c e d e l

a c t i v i t é d u l e c t e u r .

1 ) I n f é r e n c e s u r u

(10)

n p e r s o n n a g e

"

C

é t a i t l

h e u r e d

e m m e n e r V i c t o r i a , n o t r e l a b r a d o r

(11)

d e p u r e r a c e , e t C h a r l e s n o t r e f i l s , f a i r e l e u r p r o m e n a d e m a t i n a l

(12)

e .

"

( U n e h i s t o i r e à q u a t r e v o i x , A n t o n y B R O W N E )

Qui est Victori a

………

………

………

………

……

A quel mome nt se passe la

(13)

scène

?

………

………

………

Soulig ne les mots qui te perme ttent de justifie r ta répon se.

2 ) I n f é r e n c e s u r l e n a r r a t e u r

"

C a t e d i r a i t d

(14)

e v e n i r f a i r e d u t o b o g g a n

?

"

d e m a n d a u n e v o i x . C

é t a i t u n e f i l l e ,

(15)

m a l h e u r e u s e m e n t , m a i s j

y s u i s q u a n d m ê m e a l l é . E l l e é t a i t g é n i a l

(16)

e a u t o b o g g a n . E l l e a l l a i t v r a i m e n t v i t e . J

é t a i s i m p r e s s i o n n é . ( U

(17)

n e h i s t o i r e à q u a t r e v o i x , A n t o n y B R O W N E )

Qui est le narrat eur (soulig ne la bonne répon se)...

un garço n ? une fille ? Soulig ne les mots qui te perme ttent de justifie

(18)

r ta répon se.

3 ) I n f é r e n c e s u r u n o b j e t

"

S i e l l e o s a i t e n t i r e r r i e n q u

u n

(19)

e d u p a q u e t , l a f r o t t e r c o n t r e l e m u r e t s e r é c h a u f f e r l e s d o i g t s .

(20)

E l l e e n t i r a u n e , p f u t t

! C e f u t u n e f l a m m e c h a u d e e t c l a i r e , c o m

(21)

m e u n e p e t i t e l u m i è r e q u

e l l e e n t o u r a d e s a m a i n .

"

( d ' a p r è s H a n s

(22)

C h r i s t i a n A n d e r s e n )

Que tient- elle dans sa main

………

………

………

Soulig ne les mots qui te perme ttent de justifie r ta répon se.

4 ) I n f é r e n c e s u r u n p e r

(23)

s o n n a g e

"

U n e t r e n t a i n e d e m o u t o n s c o u c h é s s u r l a t e r r e b r û l a n t e

(24)

s e r e p o s a i e n t p r è s d e l u i . I l m e f i t b o i r e à s a g o u r d e e t , u n p e u

(25)

p l u s t a r d , i l m e c o n d u i s i t l à o ù i l m a n g e a i t e t d o r m a i t , d e r r i è r e

(26)

u n r e p l i d e t e r r a i n .

"

( d ' a p r è s J e a n G i o n o )

Qui est

"

………

………

………

Soulig ne les mots qui te perme ttent de justifie r ta répon se.

(27)

5 ) I n f é r e n c e s u r u n e a c t i o n

"

A r r i v é à l

e n d r o i t o ù i l d é s i r a i t a

(28)

l l e r , i l s e m i t à p l a n t e r s a t r i n g l e d e f e r d a n s l a t e r r e . I l f a i s

(29)

a i t a i n s i u n t r o u d a n s l e q u e l i l m e t t a i t u n g l a n d , p u i s i l r e b o u c h

(30)

a i t l e t r o u .

"

( d ' a p r è s J e a n G i o n o )

Que fait le perso nnage

?

………

………

………

Soulig ne les mots qui te perme ttent de justifie r ta répon se.

6 ) I n f é r

(31)

e n c e s u r u n l i e u

"

P a u l n e t r a v a i l l e p a s p l u s q u

à l

h a b i t u d e , i l

(32)

n e t r a v a i l l e p a s m o i n s n o n p l u s . I l a t t e n d l a g r a n d e r é c r é a t i o n p

(33)

o u r d i s c u t e r d e l

e n t r a î n e m e n t a v e c t o u s l e s j o u e u r s d e s o n é q u i p e

(34)

d e f o o t .

"

( d ' a p r è s H . J S c h ä d l i c h , L e c o u p e u r d e m o t s )

Où se passe la scène

?

………

………

………

(35)

Soulig ne les mots qui te perme ttent de justifie r ta répon se.

7 ) I n f é r e n c e s u r u n e a c t i o n

"

P a u l , q u i s e s e n t e n c o r

(36)

e f a t i g u é , s

a s s i é r a i t b i e n s u r l e d o s d e l

é l é p h a n t - n u a g e q u i l e

(37)

m è n e r a i t c o n f o r t a b l e m e n t à l

é c o l e . I l a i m e r a i t e n c o r e m i e u x s

a l l

(38)

o n g e r d a n s l e l i t - n u a g e .

"

( d ' a p r è s H . J S c h ä d l i c h , L e c o u p e u r d e m

(39)

o t s )

Que fait Paul

………

………

………

Soulig ne les mots qui te perme ttent de justifie r ta répon se.

P a r m i l e s s t r a t é g i e s d e c o m p r é h e n s i o n

(40)

q u e d é v e l o p p e n t l e s é l è v e s , l a r e c h e r c h e d u r é f é r e n t d e s p r o n o m s

(41)

d a n s c e q u i a d é j à é t é l u ( l a p h r a s e , l e p a r a g r a p h e , l a p a g e

) e s t

(42)

i m p o r t a n t e .

L

e x e r c i c e c i - d e s s o u s n e p r o p o s e p a s c e t t e r e c h e r c h

(43)

e d u r é f é r e n t : i l c o n d u i t l

é l è v e à é t a b l i r d e s l i e n s l o g i q u e s e t

(44)

à d é v o i l e r l

i m p l i c i t e .

1 )

"

I l e s t d a n s s o n a t e l i e r , e n c o m b r é

(45)

d e t o i l e s e t d e c h e v a l e t s . L e p o r t r a i t a v a n c e b i e n . I l a j o u t e u n e

(46)

t o u c h e d e b l e u a u c o i n d ' u n e p a u p i è r e e t s e r e c u l e , l ' a i r s a t i s f a i

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