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Relations interpersonnelles Égalité filles / garçons Discriminations, sexisme et LGBT+phobies

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Academic year: 2022

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ÉDUCATION à la sexualité

Fiche Activité 6

Relations interpersonnelles Égalité filles / garçons – Discriminations, sexisme et

LGBT+phobies

ACTIVITÉS / ANIMATIONS

Module 1 – Égalité filles/garçons (cycle 4)

OBJECTIF DE LA SÉANCE

→ Aborder les relations filles / garçons et l’égalité entre les filles et les garçons, les femmes et les hommes.

POINTS D’ATTENTION

L’usage du masculin dans un texte comme « neutre » rend le genre féminin invisible et conduit à oublier qu’il peut aussi s’agir d’une femme dans la situation évoquée. Ceci est tellement fréquent que nous en avons à peine conscience.

L’usage de noms de métiers au féminin permet d’éviter cet écueil ainsi que de comprendre tout de suite que des femmes sont concernées.

Une langue qui rend les femmes invisibles reste la marque d’une société dans

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ANIMATIONS PROPOSÉES

1/ Scénario

Le scénario est lu puis fait l’objet d’une discussion.

Scénario :

Une fille accompagnée de son père a un accident de montagne. Tous les deux sont grièvement blessés et sont conduits à l’hôpital le plus proche. La fille doit être opérée d’urgence, on appelle donc le chirurgien de garde. Le médecin arrive et dit : « Je ne souhaite pas l’opérer, car c’est ma fille ».

Question : que pensez-vous de cette situation ? Réponse : le chirurgien est la mère de la fille.

2/ Quiz sur l’égalité

Quelques questions relatives à l’égalité entre les femmes et les hommes

1/ Classer ces différents pays, du premier au dernier, à avoir accordé le droit de vote aux femmes :

À/ Australie B/ Finlande

C/ France D/ Portugal

E/ Russie F/ Tunisie

G/ Norvège H/ Suisse (dernier canton)

Réponses : Australie (1902) – Finlande (1906) – Norvège (1913) - Russie (1918) – France (1944) – Tunisie (1957) – Portugal (1974) – Suisse (1990)

2/ Depuis quand une femme a-t-elle le droit de travailler sans l’autorisation de son mari ?

À/ Depuis toujours B/ Depuis le Moyen-âge

C/ Depuis la 2ème guerre mondiale D/ Depuis 1965

E/ Depuis 1982

Réponse : depuis 1965

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3/ Un homme peut devenir sage-femme depuis : À/ 1923

B/ 1960 C/ 1982

D/ il ne peut pas l’être

Réponse : 1982 (sage-femme signifie « personne sachant, ayant des connaissances sur les femmes »)

4/ Depuis quand est-on passé de la puissance paternelle à l’autorité parentale conjointe ?

À/ 1900 B/ 1920 C/ 1950 D/ 1970 E/ 1990

Réponse : 1970

Les deux époux assurent ensemble la direction morale et matérielle de la famille.

5/ En moyenne, par jour, combien de temps les femmes et les hommes qui travaillent à plein temps consacrent-ils quotidiennement aux tâches domestiques ?

Les femmes :

À/ 2h15 B/ 3h00 C/ 3h30 D/ 4h30

Les hommes :

À/ 0h15 B/ 1h50 C/ 2h00 D/ 3h30

Réponse : dans les couples hétérosexuels, les femmes consacrent en moyenne 3h26 aux tâches domestiques et les hommes 2h001. En 1999, c’était 3h48 versus 1h59. Les hommes s’adonnent au bricolage, au jardinage, aux soins aux animaux.

Les femmes passent trois fois plus de temps que les hommes à faire le ménage, la cuisine, les courses ou s’occuper du linge et deux fois plus à s’occuper des enfants. Les femmes s’occupent au quotidien des taches les moins visibles et les moins valorisées.

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6/ Depuis quand l’âge du mariage est-il le même pour les femmes et les hommes en France ?

À/ 1865 B/ 1924 C/ 1944 D/ 2006

Réponse : 18 ans révolus pour les femmes comme pour les hommes depuis 2006.

Module 2 - Sexisme, LGBT+phobies, violences sexuelles (collège)

OBJECTIFS DE LA S

É

ANCE

→ Favoriser la compréhension des conséquences négatives des stéréotypes et de toutes les formes de discrimination ou d’exclusion

→ Favoriser dans les échanges un climat d’ouverture et de respect qui permet le développement de l’empathie et l’acceptation des différences dans la relation à l’autre

→ Promouvoir la confiance en soi et le développement de la personne pour chacun

POINTS D’ATTENTION

L’hétérosexisme, qui s’appuie sur les stéréotypes de sexe et l’assignation aux rôles sociaux de sexe, est à l’origine du sexisme, de l’homophobie comme de la transphobie. Les stéréotypes de sexe limitent le développement de l’individu sur tous les plans (personnel, affectif, scolaire, professionnel, social, etc.) et se révèlent aliénants pour les deux sexes par l’attribution des mêmes caractéristiques aux personnes d’un même sexe. Le sexisme génère inégalités, discriminations et hiérarchisation entre les sexes. Il se manifeste aussi par l’adoption d’un double standard en matière de sexualité agie : les jugements sont beaucoup plus sévères pour les filles que pour les garçons. Les LGBT+phobies discriminent les personnes qui, du fait de leur orientation sexuelle ou de leur identité de genre, ne se

conforment pas aux codes de la féminité ou de la masculinité.

Si les comportements homophobes ou transphobes doivent être sanctionnés, les idées doivent pouvoir être discutées, car leur analyse permet de contribuer à l’apprentissage de l’autonomie intellectuelle des élèves. Permettre l’expression d’opinions homophobes ou transphobes ne signifie donc pas les cautionner, mais saisir l’occasion de les passer au crible de l’esprit critique.

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ANIMATION PROPOSÉE

Scénarios

Pour chaque scénario, il est possible de reprendre la même trame en inversant les rôles des filles et ceux des garçons pour pointer les différences de perception en fonction du sexe des protagonistes.

Durant la séance, on peut demander aux élèves de former des petits groupes de 4 ou 5 et leur proposer d’élaborer un court jeu de rôle entre les protagonistes du scénario. À tour de rôle devant le reste du groupe qui sera observateur, chaque équipe présente sa création, même brève, qui permet d’appréhender différemment les comportements, attitudes et émotions des personnages joués.

Scénario 1 :

À l’occasion d’une soirée, Leïla, 14 ans, s’habille de façon sexy, espérant ainsi attirer le regard de Gaby, 15 ans, le garçon dont elle est secrètement amoureuse.

Au cours de la soirée plusieurs personnes jouent au jeu « action ou vérité ». Dans le cadre d’un défi, Leïla embrasse son ami Ludovic et Gaby fait de même avec une autre fille. Un peu plus tard dans la soirée, Leïla et Gaby se retrouvent seuls, ils en profitent pour discuter. Au bout d’un moment ils s’embrassent.

De retour à l’école, le lundi suivant, Leïla s’aperçoit que plusieurs jeunes, garçons et filles, parlent d’elle en la traitant de « fille facile » et de « salope » parce qu’elle a embrassé deux garçons sur la bouche au cours de la même soirée et qu’elle était vêtue de façon provocante. Leïla ne comprend pas ce qui lui arrive et ne sait pas quoi faire. Quant à Gaby, les quelques personnes qui parlent de lui le décrivent comme le nouveau séducteur de l’école.

Scénario 2 :

Jules et ses copains trouvent que Mounir reste trop à l’écart et ne participe pas souvent à leurs jeux. Un jour, au détour d’un couloir du collège, loin du regard des adultes, ils le poussent contre un mur et lui baissent rapidement son pantalon.

Depuis ce moment, Mounir a acquis une nouvelle réputation et se fait souvent traiter par les élèves de la classe de « tapette », « pédé ».

Scénario 3 :

Cela fait plusieurs fois que Romain entend dire que les garçons ne pensent qu’au sexe. Il a entendu des filles parler ainsi, mais il a aussi entendu cette remarque dans sa famille. Romain pense qu’il est intéressé par le sexe, mais pourtant il ne considère pas qu’il ne pense « qu’à ça ». Pour lui, l’amour et la confiance sont importants. La semaine dernière, il est allé au cinéma avec Alicia, une fille qu’il apprécie énormément. Pendant la séance, Romain a passé son bras autour du cou d’Alicia qui a eu un brusque mouvement de recul avant de lui dire qu’il ne pensait qu’au sexe, comme tous les garçons. Elle a ajouté qu’elle n’avait pas envie de coucher avec lui. Romain a été très surpris de cette réaction, il ne pense pas avoir

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Scénario 4 :

Louna a toujours aimé jouer au foot depuis l’école primaire. Au collège en 6ème cela ne posait pas de problème. Elle a déménagé et arrive dans un nouveau collège pour démarrer sa classe de 5ème. Quand elle a voulu jouer au foot avec les garçons, les filles ont trouvé cela bizarre. L’une d’elles est venue la trouver pour l’insulter et la traiter « d’homosexuelle ». Depuis, les blagues et les insultes n’ont pas cessé. Une enseignante qui a été mise au courant lui a dit de ne pas faire attention à ce que disaient les autres, c’était « pour rire ». Un des garçons de la classe avec lequel elle s’entendait bien ne veut plus lui parler. Ses copains se moquent de lui et lui disent qu’il est amoureux d’une « gouine ».

Scénario 5 :

Lou vient de rentrer en 3ème. Elle a suivi sa scolarité dans le même collège, où elle est connue comme étant une fille. À 14 ans, Lou déclare être un garçon. Il est soutenu par sa famille qui le comprend et l’accompagne dans ses démarches.

Mais au collège les filles le refusent dans les toilettes à cause de son apparence de garçon. Les garçons ne le veulent pas dans les toilettes parce que ce n’est pas « un vrai garçon ». Au final, Lou tente de se débrouiller pour ne jamais aller aux toilettes au collège. Interpellée, la CPE l’autorise à aller aux toilettes des professeurs. Lou n’est pas très à l’aise avec cette décision qui est perçue comme un privilège par les autres élèves.

Module 3 - Sexisme, LGBT+phobies, violences sexuelles (lycée)

OBJECTIFS DE LA SÉANCE

→ Favoriser la compréhension des conséquences négatives des stéréotypes et de toutes les formes de discrimination ou d’exclusion

→ Favoriser dans les échanges un climat d’ouverture et de respect qui permet le développement de l’empathie et l’acceptation des différences dans la relation à l’autre

→ Promouvoir la confiance en soi et le développement de la personne pour chacun

POINTS D’ATTENTION

L’hétérosexisme, qui s’appuie sur les stéréotypes de sexe et l’assignation aux rôles sociaux de sexe, est à l’origine du sexisme, de l’homophobie comme de la transphobie. Les stéréotypes de sexe limitent le développement de l’individu sur tous les plans (personnel, affectif, scolaire, professionnel, social, etc.) et se révèlent aliénants pour les deux sexes par l’attribution des mêmes caractéristiques aux personnes d’un même sexe. Le sexisme génère inégalités, discriminations et

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hiérarchisation entre les sexes. Il se manifeste aussi par l’adoption d’un double standard en matière de sexualité agie : les jugements sont beaucoup plus sévères pour les filles que pour les garçons. Les LGBT+phobies discriminent les personnes qui, du fait de leur orientation sexuelle ou de leur identité de genre, ne se

conforment pas aux codes de la féminité ou de la masculinité.

Si les comportements homophobes ou transphobes doivent être sanctionnés, les idées doivent pouvoir être discutées, car leur analyse permet de contribuer à l’apprentissage de l’autonomie intellectuelle des élèves. Permettre l’expression d’opinions homophobes ou transphobes ne signifie donc pas les cautionner, mais saisir l’occasion de les passer au crible de l’esprit critique.

La période de la découverte de l’amour et de la sexualité peut rendre les jeunes plus vulnérables, ce qui peut augmenter le risque de violence dans la relation, tant sexuelle que physique ou psychologique.

Comprendre les rouages de cette violence relationnelle (qui peut prendre des formes variées comme le chantage, la pression sur autrui, la diffusion de rumeurs, etc.), la reconnaitre quand elle est présente permet de mieux appréhender le rôle de chaque protagoniste dans la relation.

ANIMATION PROPOSÉE

Scénarios

Pour chaque scénario, il est possible de reprendre la même trame en inversant les rôles des filles et ceux des garçons pour pointer les différences de perception en fonction du sexe des protagonistes.

Durant la séance, on peut demander aux élèves de former des petits groupes de 4 ou 5 et leur proposer d’élaborer un court jeu de rôle entre les protagonistes du scénario. À tour de rôle devant le reste du groupe qui sera observateur, chaque équipe présente sa création, même brève, qui permet d’appréhender différemment les comportements, attitudes et émotions des personnages joués.

Scénario 1 :

Sofia tient absolument à ce que son copain Joe l’accompagne ce soir à un repas chez des amis. Elle le lui a demandé plusieurs fois, et il a toujours dit qu’il n’en avait pas envie. Sofia n’est pas contente et pense qu’elle va trouver un moyen de le convaincre. Elle y réfléchit toute la journée. Quand Joe s’approche d’elle et commence à l’embrasser, la caresser puis lui dit qu’il a envie de faire l’amour avec elle, Sofia lui répond qu’il n’obtiendra rien d’elle s’il ne l’accompagne pas à son souper avec ses amis. Joe est déçu, ce n’est pas la première fois que Sofia se comporte ainsi avec lui. Elle lui fait souvent du chantage. Il se demande si ce qu’il vit est normal et si les copines de ses amis se conduisent ainsi.

Scénario 2 :

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ce sont des injures du style “sale pédé” ou “tapette”, des mots qui blessent. J’ai essayé avec des filles, je ne sais plus où j’en suis : je suis bi… je crois… enfin peut- être homo. Mes études me plaisent, on doit faire un stage dans une entreprise.

Dans la société de pièces détachées automobiles où j’avais postulé, on m’a vite fait comprendre que je n’étais pas assez viril. Les voitures, c’est ma passion ! »

Scénario 3 :

Romain, 17 ans, demande qu’on l’appelle Romane, car il a pris sa décision quant à son changement de sexe qu’il murit depuis plusieurs années. Romane est soutenue par son entourage et ses camarades de classe, elle vit de mieux en mieux sa décision. Il lui arrive de se rendre en cours avec des habits féminins.

Récemment, le chef d’établissement lui a demandé de ne plus venir au lycée avec des vêtements de fille puisque c’est en tant que garçon qu’il est inscrit dans l’établissement. Romane refuse et entend s’habiller comme elle le souhaite.

Scénario 4 :

Plusieurs situations dans une soirée de lycéens où il y a consommation d’alcool.

Première situation : suite à un défi, Léa et sa meilleure amie Audrey doivent s’embrasser amoureusement devant tout le monde. Audrey, mal à l’aise, réagit et demande pourquoi elle devrait le faire. On lui répond que c’est un jeu. Léa, embarrassée mais qui ne veut pas passer pour une gamine, répond qu’il n’y a rien de grave, c’est juste un baiser. Audrey ne veut pas le faire et ne sait pas comment réagir.

Deuxième situation : des défis sont lancés. Un jeune reçoit celui de faire un strip- tease devant tout le monde. Après avoir hésité, il commence à le faire, quelqu’un sort son téléphone portable et se met à filmer la scène.

Troisième situation : une fille, visiblement ivre, entre dans une chambre du lieu de la soirée avec un garçon qu’elle ne connaît pas.

Quatrième situation : un garçon, visiblement ivre, entre dans une chambre du lieu de la soirée avec une fille qu’il ne connaît pas.

Cinquième situation : un couple se rapproche et engage une activité sexuelle évidente au milieu de tous les autres.

AUTRE OUTIL D’INTERVENTION

Contre l’homophobie.

Le livret pédagogique de cet outil « Jeune et homo sous le regard des autres » accompagne 5 courts-métrages. Il est téléchargeable sur le site de Santé publique France.

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Voici les liens pour les courts-métrages : Pauline

En colo Omar

Basket et maths

Les incroyables aventures de Fusion Man

Selon les films, le public cible est soit celui du collège soit celui du lycée. Il est à noter que sur les 5 courts-métrages, un seul concerne l’homosexualité féminine.

Les objectifs mis en évidence à partir de ces courts-métrages sont les suivants :

→ Favoriser le respect de la diversité sexuelle et prévenir les attitudes, paroles et comportements discriminatoires et leurs conséquences chez les jeunes ;

→ Faire prendre conscience à chacun de ses représentations de l’homosexualité, de la bisexualité, et plus globalement de la diversité sexuelle et des

conséquences de paroles ou comportements homo- ou biphobes ;

→ Faire évoluer les représentations de l’homo- et de la bisexualité ;

→ Transmettre des informations sur la loi en matière de discrimination en lien avec l’orientation sexuelle.

LIENS VERS :

Sur Eduscol Prévenir l’homophobie et la transphobie à l’école : les témoignages vidéo de quatre jeunes, Estelle, Johann, Louis et Sohan, qui racontent leur expérience scolaire, sans faire l’impasse sur l’homophobie et/ou la transphobie qu’elles et ils ont eu à affronter.

Sur Matilda, plateforme de vidéos pédagogiques dédiées à l’égalité entre les sexes :

• La langue française : les noms de métier (Éliane Viennot)

• La conquête de l’espace dans le sport (Nicole Abar)

Eduscol : égalité filles - garçons et prévention des violences sexistes et sexuelles

Centre Hubertine Auclert, les ressources : organisme associé de la région Ile de France, le centre Hubertine Auclert est le centre francilien pour l’égalité femmes-hommes. Il a pour objectifs la promotion de l’égalité entre les felles et les hommes et la lutte contre les violences sexuelles et apporte expertise et ressources.

Stéréotypes - stéréomeufs : site créé par la MGEN et l’ADOSEN pour la promotion de l’égalité entre les sexes, qui propose des vidéos et des fiches pédagogiques pour le premier et le second degré.

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L’école du genre : un web-documentaire qui déconstruit les stéréotypes au travers de 8 vidéos sur différents moments de la vie.

Sur Lumni :

• Balance ton sexisme

• Les femmes et les hommes ont-ils les mêmes droits ?

• Les garçons sont meilleurs en sciences que les filles

• Féminisme, rien n’est acquis

• Sexotuto : les orientations sexuelles

• Homosexualité et homophobie

• Qu’est-ce que l’homophobie ?

• Les stéréotypes dans les médias

L’école de l’égalité : site suisse qui propose du matériel pédagogique dont les activités permettent d’intégrer des dimensions en lien avec l’égalité entre les sexes dans les contenus abordés en classe.

Références

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