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TOXICITE DE L OCHRATOXINE A. 3. EFFETS PENDANT LES STADES INITIAUX DE LA GESTATION CHEZ LE RAT

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HAL Id: hal-00900988

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Submitted on 1 Jan 1978

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TOXICITE DE L’OCHRATOXINE A. 3. EFFETS PENDANT LES STADES INITIAUX DE LA

GESTATION CHEZ LE RAT

J. Moré, P. Galtier, M. Alvinerie, Nicole Brunel-Dubech

To cite this version:

J. Moré, P. Galtier, M. Alvinerie, Nicole Brunel-Dubech. TOXICITE DE L’OCHRATOXINE A. 3.

EFFETS PENDANT LES STADES INITIAUX DE LA GESTATION CHEZ LE RAT. Annales de

Recherches Vétérinaires, INRA Editions, 1978, 9 (1), pp.169-173. �hal-00900988�

(2)

TOXICITE DE L’OCHRATOXINE A

3. EFFETS PENDANT LES STADES INITIAUX DE LA GESTATION CHEZ LE RAT

J. MORÉ

P.

GALTIER M. ALVINERIE

Nicole BRUNEL-DUBECH

Station de

Pharmacologie-Toxicologie,

1.N.R.A., 180, chemin de Tournefeuille, 31300 Toulouse, France.

Summary

OCHRATOXIN A TOXICITY. 3. EFFECT DURING THE EARLY GESTATION IN THE RAT.―

Ochratoxin A administered

by gastric tubing

to

pregnant

rats at

day

2 after

mating

increases

the number of resorbtion sites. A

high

level of

mycotoxin

was found in the

plasma

of females and in the

embryos (up

to 5.6 p. cent of the total administered

doses).

At sacrifice time

(day

10 after

mating)

no

morphological

defect was observed in the

embryos.

Introduction.

Depuis

les travaux de Purchase et

Théron (1968)

et ceux de Galtier et al.

(1974)

on connaît la toxicité

aiguë

de l’ochratoxine A chez le rat et la souris adultes. Dans un

article

précédent (Moré

et

Galtier, 1974)

nous

avons montré les effets de cette substance

sur les foetus de rats et notamment ses pro-

priétés tératogènes qui

confirment les résul- tats obtenus dans une autre

espèce

de labo- ratoire, la

souris, après

administration intra-

péritonéale

de toxine

(Hayes

et

al., 1974).

Dans le

présent

travail nous nous proposons

d’envisager

d’une

part

l’action et, d’autre

part,

le devenir de l’ochratoxine A chez des rates

gestantes

et leurs

embryons

à la suite d’un traitement

ponctuel

réalisé avant l’im-

plantation

des

blastocystes

dans l’utérus.

Matériel et

techniques.

Les animaux.

Nous avons utilisé 69 rates

vierges

Wistar élevées conventionnellement. D’un

poids

moyen de 273 ± 5 g, elles ont été

réparties

à raison de 3 par cage, abreuvées et nourries ad libitum

(aliment complet

d’entretien

U.A.R.,

A

304).

Après

randomisation des

traitements,

les animaux ont été

répartis

en 3 lots de 23.

La date de la saillie a été confirmée par la

pratique journalière

des frottis

vaginaux

(coloration

de

Schorr).

Le

jour

zéro

étant

celui du

co’it ;

les animaux ont tous été sacrifiés au dixième

jour

de la

gestation.

(3)

La toxine.

L’ochratoxine A cristallisée a été obtenue à

partir

d’une souche

d’Aspergillus

ochraceus Wilhelm isolée de

fourrages

contaminés et

cultivée

sur blé

(Galtier

et Le

Bars, 1973 ; Galtier,

1974

a).

La

mycotoxine

a été dissoute

sous forme de sel de sodium dans une

solution aqueuse

isotonique

de

NaHC0 3 (14 g/1).

Le traitement.

Les doses, choisies en fonction de la dose

tératogène (lot

A : 5

mg/kg

et lot B : 10

mg/kg)

ont été administrées en une

seule fois étant donné la lenteur d’élimination et l’accumulation de l’ochratoxine A

(Moré

et

Galtier, 1975).

Tous les animaux ont reçu la

drogue

par

tubage gastrique

sous un vo- lume de

0,5

ml pour 200 g de

poids

vif. Les

sujets

du lot témoin

(lot T)

ont reçu une

quantité

de bicarbonate

(14 g/1) équivalente

à celle des individus

intoxiqués

de

poids identique.

Pesée

des animaux.

Les femelles sont

pesées

le

jour

du traite-

ment

(J2 post coïtum)

et le

jour

du sacri- fice

(J10

post

coïtum).

On calcule pour cha-

P

que lot le

rapport

- X 100 Po

repré-

Po

sente le

poids

au

jour

du traitement et P le

poids

au

jour

du sacrifice.

Les

prélèvements.

Les femelles anesthésiées à l’éther sont

laparotomisées. Après prélèvement

de 5 ml

de sang dans l’aorte

abdominale,

l’ovario-

hystérotomie

est

pratiquée.

Les

ovaires,

sé-

parés

des

oviductes,

sont examinés au

stéréomicroscope

et les corps

jaunes

sont

comptés.

Les

embryons

sont extraits des utérus. Ces derniers sont immédiatement traités par la

technique

de Salewski

(1964)

afin de dénombrer les sites

implantatoires ;

et par là

même

d’en déduire le nombre de

résorptions.

Nous avons pu ainsi calculer les taux de

résorption : (nombre

de

résorptions/

nombre

d’implantations)

X

100 ; d’implanta-

tions :

(nombre d’implantations

/ nombre de

corps

jaunes)

X

100 ;

et de viabilité :

(nom-

bre

d’embryons

viables / nombre

d’implan-

tations)

X 100. La

centrifugation

du sang des femelles

permet

de recueillir le

plasma qui

est aussitôt

congelé (―30°C)

ainsi que les

embryons

en vue du

dosage

ultérieur

de l’ochratoxine A.

Dosage

de l’ochratoxine A.

Plasma et

embryons

sont extraits au

Poly-

tron par l’éther

diéthylique après

acidifica-

tion à

pH

2. La

phase organique

des

broyats

est

séparée

par

centrifugation (6000

tr/mn

X 10

mn)

suivie d’une

évaporation

sous vide.

Une fraction

aliquote

est

déposée

sur cou-

che mince

(gel

de

silice,

Merck réf.

5721). ¡.

Après migration

dans le

système : toluène,

acétate

d’éthyle,

acide

formique (5:4:1.,

(4)

v/v/v)

les

spots

d’ochratoxine A sont élués par 4 ml d’une solution de bicarbonate

0,5

M

(Galtier,

1974

b).

La

quantification

est effec- tuée à l’aide d’un

spectrofluorimètre

Perkin-

Elmer MPF 3

(À.

excitation = 380 nm ;

émission

= 440

nm).

Analyse

des résultats.

Les différents résultats ont été traités soit par

analyse

de variance

(test

de F ou t de

Student),

soit par le coefficient de corré- lation des rangs

.(r’

de

Spearman)

ou le test

de Kruskal-Wallis

(variables

non

paramé- triques)

selon les

suggestions

de Mc Cau-

ghran

et Arnold

(1976).

Résultats.

- Le

poids

moyen des femelles au

jour

du traitement

(Po)

est de 269 ± 4 g pour les

témoins,

de 270 ± 4 g pour le lot A et de 275 ± 6 g pour le lot B. Aucune différence

significative

n’existe entre les trois lots d’ani- maux

(test

de

F).

Par contre, au

jour

du

sacrifice,

le

poids

moyen

(P)

des femelles saillies accuse une baisse sensible dans les lots d’animaux traités par

rapport

au lot té-

P

moin. L’évolution du

rapport

- X 100 est Po

illustré

par la

figure

1. Au

jour

du sacrifice les trois lots diffèrent

significativement,

non

(5)

seulement dans leur ensemble

(P

< 1

%),

mais aussi deux à deux

(A + B H T . P < 1 % ; A - B : P < 1 %). ).

- Le

pourcentage

de femelles saillies varie de 86

%,

pour les

témoins,

à 76 % pour le lot

B ayant

reçu la dose la

plus

forte

(10 mg/kg).

Le lot A

(5 mg/kg) présente

un taux intermédiaire

(85 %).

- Les nombres moyens de corps

jaunes, d’implantations

et

d’embryons viables,

ainsi que les taux moyens

d’implantation

et de viabilité sont

consignés

dans le tableau 1.

Aucune différence

statistiquement significa-

tive n’a pu être mise en évidence lors de la

comparaison

de ces moyennes. Par contre les moyennes concernant les taux de

résorp-

tion diffèrent

significativement

à 10 % avec

un H’

(test

de

Kruskal-Wallis)

trouvé de

5,90 (la

limite

supérieure

de la table donnant

H’ = 5,99

à

5 %). ).

- Dosage

de l’ochratoxine dans le

plas-

ma des femelles et dans les

broyats

d’em-

bryons.

Les résultats sont

consignés

dans le ta- bleau 2.

La

comparaison

des concentrations

plas- matiques

en ochratoxine A montre une dif- férence

significative (P

<

0,001)

entre les lots A et B

(test

de

t).

Il en est de même pour la teneur en

mycotoxine

des

broyats d’embryons.

En outre on ne trouve pas de corrélation

(test r’)

entre les teneurs

plas- matique

et

embryonnaire

du lot

B,

tandis

qu’une

corrélation existe entre ces deux données pour le lot A

(P

<

0,05).

Enfin les

pourcentages

retrouvés de la dose totale administrée

(D.T.A.)

sont très voisins dans les deux lots.

Discussion.

La perte de

poids

des animaux consé- cutive à l’administration d’ochratoxine A est connue

(Galtier

et

al., 1974 ;

Brown et

al., 1976),

mais aucune

explication

n’a été four-

nie à ce

jour

pour

expliquer

ce

phénomène

sans doute fort

complexe.

Aussi nous bor- nerons-nous à le constater.

En ce

qui

concerne les

pourcentages

de femelles

saillies,

le nombre de corps

jaunes,

le nombre

d’ovoimplantations,

les moyennes

très voisines dans les trois

lots,

ne diffèrent pas

statistiquement

au

risque

de 5 %. Il en

est de même du nombre

d’embryons

viables.

En outre, ces derniers ne

présentent

aucun

trouble

morphologique.

L’analyse

des taux de

résorption

montre

que les moyennes évoluent en fonction des doses. Le test

statistique

utilisé ne

permet

pas de conclure à une différence

significative

au seuil de 5 %. Nous admettrons

cependant qu’il

y a une forte tendance à l’effet traite- ment sur le

phénomène

considéré. Il semble donc que dans nos conditions

expérimen- tales,

l’ochratoxine A tende à

augmenter

le nombre de

résorptions

dès le début de la

gestation.

Ce

phénomène

s’accentue par la suite comme nous avons eu l’occasion de le

signaler (Moré

et

Galtier, 1974).

La, présence

de

mycotoxine

dans les em-

bryons

montre

qu’elle

franchit la barrière

materno-embryonnaire.

Les

quantités

retrou-

vées de la D.T.A. sont élevées

comparative-

ment à celles obtenues par Galtier

(1974 c).

En

effet,

pour une seule

injection

de

10

mg/kg

de toxine, cet auteur a pu observer 96 heures

plus

tard des valeurs allant de

0,1

%

(cceur)

à

0,9

%

(foie)

de la D.T.A.

Or,

si l’on considère que le

blastocyste

se fixe à

la

paroi

utérine vers le

cinquième jour post-

coïtum et

qu’avant

la nidation les

échanges materno-blastocystaires

sont assez

réduits,

il reste environ 96 heures à

l’embryon

pour accumuler une

quantité importante

de toxine.

De

plus,

les

échanges mère-embryon

com-

mencent à se

réaliser,

chez le rat, surtout au moment de l’invasion du cône ecto-

placentaire

par les lacunes

sanguimater-

nelles

(huitième jour).

L’ochratoxine A atteint donc

l’embryon,

mais les modalités de son transfert

(diffusion, transport actif,

activité des cellules

ectoplacentaires,

rôle de la vési- cule

ombilicale...)

restent obscures et

singu-

lièrement au cours des stades considérés En

effet,

la

question

n’est pas

simple

et l’on sait que pour une même substance

plusieurs

mécanismes de transfert

peuvent

entrer en

jeu

simultanément ou successive- ment. De

plus,

il faut

également

considérer l’état dans

lequel

se trouve la molécule. On sait que l’ochratoxine A

injectée

dans

l’orga-

nisme se lie pour une

part importante

aux

protéines plasmatiques,

tandis

qu’une

autre

partie

reste libre

(Gallier,

1974

b).

La corrélation entre les teneurs

plasma-

tiques

et

embryonnaires

en ochratoxine A dans le lot A infirme les

résultats

obtenus

(6)

avec le lot

B ayant

reçu la

plus

forte dose.

Peut-être existe-t-il un

phénomène

de satu-

ration au niveau des mécanismes de trans-

port

dans le cas des animaux

ayant

reçu la

dose la

plus

élevée

(lot B).

Ainsi

s’expli- querait,

en

partie,

la similitude des pourcen-

tages

retrouvés de la D.T.A. dans les deux lots.

Nous devons donc constater que

malgré

l’atteinte des femelles

(perte pondérale

et

persistance

de la toxine dans le

plasma), malgré

aussi les

pourcentages

d’ochratoxine retrouvés de la D.T.A. chez les

embryons

et

malgré

enfin une dose de toxine

proche,

dans le lot

B,

de la DMT

(11,31 mg/kg

per os ; Galtier et

al., 1974),

le

développe-

ment

embryonnaire

n’est que faiblement per- turbé. Nous pensons

qu’au

stade

ontogé- nique

considéré que l’absence de troubles de nature

morphologique peut indiquer qu’il

y a eu soit restitution ad

integrum

de ter-

ritoires

blastocystaires éventuellement lésés,

soit que l’atteinte n’est pas

morphologique

mais

peut

être due à une

perturbation

bio-

chimique

ou

métabolique qui agira

à retar- dement

étant

donné le

stockage

du

produit

dans le

plasma

maternel et surtout dans les tissus

embryonnaires.

Accepté

pour

publication,

le 16 décembre

1977.

Remerciements.

Les auteurs remercient le docteur vétéri- naire R.

Camguilhem, responsable

des ani-

maleries,

Mlle G. Larrieu

qui

nous a fourni l’ochratoxine A et MM. Dantzer et Mormède pour leur aide concernant

l’interprétation

sta-

tistique

des résultats.

Résumé

L’ochratoxine A a

été administrée

par

tubage gastrique à

des rates

gestantes

avant l’im-

plantation (jour 2, post coïtum).

Il semble que la toxine, aux doses utilisées

(5 mg/kg

et 10

mg/kg)

tende à

augmenter

le nombre de

résorptions embryonnaires.

De

plus,

une pro-

portion élevée

de la

quantité

de

drogue

administrée a été

retrouvée

dans les femelles et dans les

embryons

de 10

jours (jusqu’à 5,6 %).

On n’a pas

observé,

au moment du sacrifice

(J10 post coïtum), d’altérations morphologiques

des

embryons.

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