• Aucun résultat trouvé

Histoire de l'architecture : quelle est la situation de notre disci...

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Histoire de l'architecture : quelle est la situation de notre disci..."

Copied!
2
0
0

Texte intégral

(1)

APPEL À INTERVENANTS / MODÉRATEURS

Les premières Rencontres de l’AHA auront lieu du 3 au 6 mars 2015 et aborderont un sujet qui a marqué les discussions préalables à la (re)fondation de l’association : quelle est la situation de notre discipline aujourd’hui ?

Si la question est brève, nous ne doutons pas que les réponses qu’elle implique sont nombreuses et complexes. Elles peuvent porter à la fois sur les différents positionnements de notre discipline, sur les orientations qui l’ont guidée dans les dernières années, ses alliances (de l’interdisciplinarité à la transdisciplinarité), mais aussi sur ses limitations (épistémologiques et de force de frappe) et sur les obstacles qui bloquent son développement, etc.

Pour mieux couvrir la richesse des problématiques, nous proposons trois fils conducteurs, dont chacun pourrait constituer la thématique d’un atelier ou d’une table-ronde :

1. Quelle histoire faisons-nous ?

– (Nouvelles) Méthodes : histoire comparée / micro-histoire / « le grand nombre » / transferts et circulations / triangulations / constellations.

– (Nouveaux) Champs, (nouveaux) objets : les fondamentaux (épistémologique ; géographiques…) / une dynamique historiographique ? / que renseigne le regard de l’art (surtout contemporain) sur l’architecture.

– Inter/ transdisciplinarité : histoire de l’art / histoire / géographie / sociologie / anthropologie / architecture (recherche par projet / research by design)…

2. Enseigner l’histoire de l’architecture

– Les rapports entre universités et écoles d’architecture : quelles spécificités ? quels points communs ? Tracer des passerelles.

– Une frontière entre histoire et théorie ? faut-il séparer les deux ? ou leur demander de s’appuyer l’une sur l’autre ? Et encore : tandis que dans les écoles d’architecture la théorie à sa place, dans les universités elle est peu présente – quelles conséquences ?

– Interactions recherche et prospective : histoire et projet.

– Doctorat en histoire de l’architecture/ doctorat en architecture.

3. Dialogues dans la vita activa / realpolitik de l’histoire de l’architecture – Professionnalisation des jeunes docteurs / quels débouchés ?

– Histoire de l’architecture appliquée : musées, bureaux d’études, institutions des pratiques du patrimoine (services régionaux, ACMH, ABF …), etc.

– L’Histoire de l’architecture dans la place publique : quelle interaction entre l’histoire de l’architecture et le domaine de la vie publique ? Et encore : quelle place pour le chercheur indépendant ?

– Liens avec les et le milieu de l’architecture (agences, collectifs, éditions …).

(2)

Nous invitons des propositions pour participer à ces rencontres sous deux formes distinctes :

– des interventions individuelles qui traiteraient un ou plusieurs sujets recoupant l’une des trois thématiques détaillées plus haut. Ces propositions d’intervention ne devront pas dépasser 300 mots et devront mentionner explicitement dans quelle thématique elles s’inscrivent.

– des interventions qui consisteraient à organiser une table-ronde. Ces propositions d’encadrement n’excéderont pas 500 mots et adresseront l’une des trois thématiques. Idéalement, elles indiqueront les participants potentiels à la table-ronde.

La date limite d’envoi des propositions est fixée au 15 septembre 2015

Adresses d’envoi et de correspondance : Carmen Popescu (crmv@noos.fr)/ Sibylle Le Vot (sibylle.lv@wanadoo.fr)/ Léo Noyer-Duplaix (leo.nd@me.com).

En envoyant vos propositions, veuillez indiquer la forme que prendra votre intervention (voir supra), ainsi que votre affiliation professionnelle.

Les doctorants sont fortement encouragés à y répondre ! Comité d’organisation

Antonio Brucculeri (École nationale supérieure d’architecture de Paris-Val de Seine) Stéphanie Dadour (École nationale supérieure d’architecture de Grenoble)

Amandine Diener (École nationale supérieure d’architecture de Strasbourg) Richard Klein (École nationale supérieure d’architecture de Lille)

Sibylle Le Vot (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne / Université Lumière-Lyon 2) Isabelle Loutrel (Musée d’Orsay)

Jean-Baptiste Minnaert (Université François Rabelais de Tours) Christine Mengin (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne / INHA) Léo Noyer-Duplaix (Université Paris 4-Sorbonne)

Carmen Popescu (Université Paris 4-Sorbonne) Hélène Rousteau-Chambon (Université de Nantes) Claire Vignes-Dumas (DRAC Île-de-France)

Références

Documents relatifs

• briques posées en champ horizontaux plus motifs en arêtes de poisson (opus spicatum). • Mosaïques de petits cônes de

Italie du Nord (Lombardie) prototypes: San Ambrogio (Milan, IX°-XI°) Premier art roman : style rhénan à bandes lombardes et campanile séparé. • XI°: style rhénan

3 : bon, là le piège était assez grossier : le romain est à gauche, certes les gradins sont adossés à la colline mais cela ne veut pas dire que c'est grecs : les grecs adossaient

De même, en effet, que les nations européennes se sont accordées à donner pour base à l’instruction de la jeunesse, non point l’étude de la langue moderne, au moins

Cet amateur, cher aux bibliophiles, qui réunissait l'instruction, le goût et la richesse, avait rassemblé à grands frais une collection de manuscrits curieux dont la plupart

Sur un document WORD, répondez aux questions suivantes si nécessaire en faisant des recherches

Dans une autre unité on se consacre aux enfants autistes et le service se dote d’un Centre de ressource autiste centralisant l’enseignement et la recherche consacrés à

Vûhrer nous montre, dans son Histoire de la Dette publique, que c'est sous l'administration deNecker qu'eut lieu la plus importante création de rentes viagères qui ait jamais