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Entretien et exploitation de prairies. Marigny-le-Cahouet (Cote d'Or). Principales tendances de l'evolution du sol dans differentes parcelles de l'essai

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Entretien et exploitation de prairies.

Marigny-le-Cahouet (Cote d’Or). Principales tendances de l’evolution du sol dans differentes parcelles de l’essai

Gwendal Monnier

To cite this version:

Gwendal Monnier. Entretien et exploitation de prairies. Marigny-le-Cahouet (Cote d’Or). Principales tendances de l’evolution du sol dans differentes parcelles de l’essai. Reunion d’etude, Nov 1962, Dijon, France. �hal-02784094�

(2)

i dri‘i C. C 3

SERVICE AGRONOMIQUE PECHINEY - SAINT- GOBAIN

Délégation de Lyon

Réunion d'Etude sur l'intensification fourragère en vue de la production de viande

DIJON - 13 Novembre 1962

(3)

SERVICE AGRONOMIQUE PECHINEY-SAINT-GOBAIN Délégation de Lyon.

- Réunion d'Etude sur l'intensification fourragère en vue de la production de viande -

....

BILAN DE 5 ANNEES D'EXPERIMENTATION à MARIGNY-le -CAHOUET (Cote d'Or)

1 - Programme et liste des participants

11 - Exposés sur le thème Sol - Plante - Animal

111 - Discussions et Conclusions.

DIJON, 13 Novembre 1962

(4)

- 2 -

-PROGRAMME-

)H 30 : ..Salle de Conférencesde la Station d'Agronomie de DIJON.

I - Présentation de 5 années d'expérimentation à MARIGNY

- M. BESSON, Délégué Agronomique Régional PECHINEY-SAINT-GOBAIN - M. DESCHAMP, Directeur du FOYER de PROGRES AGRICOLE à

SEMUR -en- AUXOIS.

11 - Discussion sur le thème : SOL - PLANTE Avec la participation de :

- M. MONNIER (I.N.R.A.) - VERSAILLES : Observations sur la structure du sol.

- M. DELPECH (I.N.A.) EtUde de la, flore -à.MARIGNY - Mme MERIAUX (I.N.R.A.) - DIJON : Observations sur des profils

hydriques 111 •Discussion sur le thème : PLANTE - ANIMAL -

- M. BESSON, PECHINEY - SAINT-GOBAIN : Les analyses d'herbe et le croît des animaux à MARIGNY.

Peut-on aider les expérimen- tateurs ?

- Dr COLIN, Laboratoire

Service Vétérinaire - DIJON -

: Aspect sanitaire da l'inten- sification fourragère à MARIGNY.

1- H 30 : IV - Débat - A la recherche de solutions rentables pour intensifier la production de viande.

- Dirigé par Monsieur l'Ingénieur Général BARBUT.

- Introduit par Monsieur LAUNAY , Directeur du Centre de Gestion de DIJON.

(5)

- 22-

- III - •--.

" ENTRETIEN ET EXPLOITATION DE PRAIRIESI_IMARIGNY-le-CAHOUET)"

(Côte d'Or) -- PRINCIPALES TENDANCES DE L'EVOLUTION DU SOL

DANS DIFFERENTES PARCELLES DE L'ESSAI

Par M. MONNIER - Laboratoire d'Etudes des Techniques Culturales (I.N.R.A.)

PEUT-ON AMELIORER UNE PRAIRIE PERMANENTE ?

Le problème qui se posait lors de la création de cet essai était de sa - voir si la fertilisation et l'exploitation rationnelle d'une prairie per- manente étaient capables de provoquer une modification du milieu suscep- tible de permettre une intensification fourragère. Il convient tout

d'abord de rappeler quelles sont les caractéristiques générales du profil cultural sous une prairie permanente exploites de façon traditionnelle, quelles en sont les causes, et quelles sont les conséquences d'un tel état du sol sur le comportement de la prairie.

LE PROFIL CULTURAL EVOLUE AVEC L'EAU, AVEC L'EXPLOITATION -

D'une manière très générale, le profil cultural sous une vieille prairie surpgturée est composé d'un horizon généralement peu épais, riche en ma- tières organiques et contenant la quasi totalité des racines actives de la partie intéressante de la flore, reposant avec ou sans l'intermédiaire d'un horizon de transition, sur une couche compacte présentant fréquem - ment des traces d'hydromorphie et qui n'est pratiquement pas exploitée si

l'on excepte certaines espèces de valeur fourragère nulle ou faible par - _ ticulièrement abondante dans c..s_prairies les plus médiocres (jonc, épi-

neux divers, etc ....).

Les causes d'une telle tendance du profil cultural peuvent 8tre ratta - chées à deux grandes séries de pheomènes. Tout d'abord, le piétinement par les animaux particulièrement au cours des périodes humides du prin - temps et de l'arrière-saison a pour conséquence l'apparition de la zone tassée sous-jacente, à une profondeur dépendant en partie de la nature du sol et de l'gge de la prairie. A celà, il faut ajouter que la suppression très fréquente des . partieS aériennes et le broutage très près du sol de l'herbe en période de surcharge en bétail ggne l'extension en profondeur du système radiculaire concourant ainsi à la localisation des racines en surface. Ensuite, une fois cette évolution amorcée, elle ne peut que s'ac- célérer elle.mgmg; en .effet, la couche compacte devient de plus :en plus impénétrable aux racines et constitue fréquemment une barrière pour l'eau d'infiltration provoquant ainsi un engorgement temporaire de certaines par- ties de la prairie, et le développement de zones asphyxiantes.

(6)

- 23 - LE SIGNAL D'ALARME - EVOLUTION DE LA FLORE -

Les conséquences d'un tel état de fait sont une dégradation floristique ou le maintien d'une flore de faible valeur fourragère et aussi un abais- sement de la réserve en eau du sol accessible aux racines et donc une très faible résistance à la sécheresse. De telles prairies ont alors le comportement bien connu des "permanentes" : une pousse au printemps très vite arrêtée dès la première apparition d'une période de sécheresse.

Tout le problème revient à savoir s'il est possible, sans intervention d'appareils de travail du sol et en particulier sans retournement et re- semis, de modifier le profil culturF2.1 en utilisant seulement des facteurs climatiques et biologiques dans des conditions rendues favorables par la fertilisation et le mode d'exploitation. Dans de nombreux cas, des ten- tatives effectuées en ce sens ont abouti soit à des échecs, c'est le cas par exemple des prairies des marais argileux de l'Ouest, soit à des amé- liorations extrêmement faibles.

IL FAUT AGIR A TEMPS -

L'intérêt de la prairie permanente de Marigny-le-Cahouet tient à ce que cette évolution du sol était ; malgré l'âge de la prairie, relativement peu marquée et semblait donc plus facile, à priori, à inverser. Nous avons

donc, au cours de deux visites en Mars 1960 et en Avril 1962, effectué des observations sous les traitements A (exploitation traditionnelle) et C

(fertilisation + rotation) et avons cherché sur les prélèvements effec- tués à déceler les indices d'une telle amélioration.

Il apparaît, que dès 1960, soit moins de trois ans après le début de l'essai, on pouvait constater des différences sensibles dans le profil cultural suivant le traitement. Dans les parcelles A, le profil classique

(vieille prairie) bien que pas très accusé, se traduisait par la présence vers 8 à 10 cm d'une couche beaucoup plus compacte faisant barrière à la pénétration de l'eau qui engorgeait les premiers cm du sol et par le fait, qui apparaît clairement dans les photographies (Avril 1962) que les raci- nes semblaient beaucoup plus localises dans les 10 à 15 cm. superficiels du sol. Parallèlement, nous avons cherché dans lus parcelles C à évaluer la profondeur d'enracinement qui, ici, dépasse fréquemment 20 à 25 am. Il devient beaucoup plus difficile de mettre en évidence l'existence d'une couche plus compacte et l'engorgement superficiel n'existe plus qu'à cer- tains emplacements (en particulier dans les parcelles 1 à 7) où est de d'ailleurs à la présence de sources ou mouillères.

L'examen au Laboratoire des échantillons prélevés dans chaque cas à trois profondeurs : O - 7,7 - 18 et 18,25 cm nous a permis de constater un certain nombre de modifications du sol concernant principalement la matière organique et la stabilité structurale. L'ensemble de ces résul -

tats sont rassemblés dans les deux tableaux ci-joints.

(7)

- 24 -

EFFETS DES ENGRAIS ASSOCIES AU CLOISONNEMENT - - Meilleure évolution de la Matière Organique.

- Meilleure aération du sol -

On constate qu'il s'est produit Corrélativement à la mise en rotation et à la fertilisation, une diminution très sensible du taux de matière organique liée à la partie minérale du sol, c'est-à-dire de la matière organique to- tale diminuée des débris végétaux non encore décomposés et des racines. Cet- te diminution, qui est en moyenne de 3,4 % par an pour la couche superfi cielle et de 2,6 à 2,8 % par an de 7 à 25 cm, est beaucoup plus Importante que nous ne nous y attendions. Elle Implique une modification complète des conditions du milieu et en particulier des conditions d'aération qui peu - vent être"rattachées aux observations sur l'évolution de la structure et le régime de l'eau. Il ne s'agit d'ailleurs pas là uniquement d'une perte d'hu- mus, mais vraisemblablement pour une bonne part, de l'évolution, accompagnée des pertes en carbone qu'elle suppose, dé produits pré-humiques dont la dé- composition est très lente dans les parcelles A en raison des conditions de milieu défavorables. Parallèlement à cette diminution du taux de carbone or- ganique, on observe dans les parcelles C (toujours comparativement à ce qui se passe en A) une certaine diminution du taux d'agrégats stables entre 0 et 18 cm. Notons toutefois que cette diminution ne présente pas, pour l'ins - tant, d'inconvénients étant donné la stabilité moyenne élevée de l'ensemble des couches du sol. D'ailleurs, au-dessous de 20 cm, on assiste au contraire à une légère augmentation de stabilité vraisemblablement de à l'arrivée à ce niveau de matières organiques très actives venant des horizons supérieurs et qui se sont formées à la faveur des nouvelles conditions créées dans le milieu.

On.pouvait s'attendre à une diminution encore plus importante du taux.de matières Organiques libres. Or, l'examen des résultats môntre qu'il n'y a

aucune modification quantitative de ces matière § organiques. Nous pensons que si le bilan général est tel, ce doit être parce que les pertes (décom- position de débris végétaux anciens) sont compensés par des gains (émission de racines nouvelles). Cette hypothèse est d'ailleurs appuyée par le fait que le rapport C/N des matières libres de la rotation est, dans deux cas sur trois, sensiblement différent du rapport C/N des matières présentes dans le sol des parcelles A. Il semble donc bien qu'il s'agisse de deux tYpes de matériaux différents : de plus, l'observation directe nous avait permis, rappelons-le, de noter la présence de racines .plus abondantes en C qu'en A au-dessous de 10 à 15 cm.

Avant de tirer quelqués conclusions de cette série d'observations et d'ana- lyses, il est nécessaire de rappeler, comme l'a fait d'ailleurs M. BESSON, que"ce dispositif avait à l'origine été mis en place dans un but unique de vulgarisation. Dans ces conditiOns il est bien évident que . ses promoteurs n'ont pas cherché à lui donner une forme pouvant permettre un contrele sta- tistique des résultats. Drautre part, étant donné qu'il n'y a eu de notre part ni observations, ni prélèvements d'échantillons du sol au départ de l'essai, notre étude de l'évolution du sol sous C n'a pu être menée que com- parativement à A. Ces circonstances font évidemment que nous ne pouvons chif-

(8)

— 25—

frer exactement la marge de confiance qu'il est possible d'accorder aux ré- sultats numériques que nous venons de présenter. Il n'en reste pas moins que les phénomènes observés ont une ampleur telle et sont reliés entre eux d'une façon suffisamment logique-et l'on pense particulièrement aux résultats qui sont présentés concernant l'évolution de la flore et la comparaison des pro- fils hydriques au printemps - pour que leurs tendances générales puissent être prises en considération,

CONCLUSIONS:

Nos conclusions porteront sur trois points : 1°)- On peut améliorer_11_Erairie permanente :

Dans les conditions de sol et de climat de MARIGNY-le-CAHOUET, on peut considérer qu'un traitement de type C est parvenu à modifier considéra- blement et dans un sens favorable la structure du sol et l'enracinement de la prairie. On Se trouve donc là dans un des cas où techniquement le retournement et l'installation d'une prairie temporaire ne constitue pas la seule possibilité d'intensification fourragère. Il apparaît tou- tefois indispensable de poursuivre un tel essai pendant au moins une pé- riode supplémentaire de 5 années de façon à pouvoir apprécier et juger

le nouvel état à un équilibre qui n'est probablement pas encore atteint.

De plus, il semble utile de compléter le traitement C par la mise en place de quelques fossés permettant d'éliminer les mouillères dont la présence ralentit l'amélioration dans les parcelles 1 et 7 . spécialement.

2 0 ) Il faut rechercher 'des sols du lias et non des sols battants :

En ce qui concerne 'les possibilités de généralisation et de vulgarisa- tion des résultats concernant le sol qui ont été obtenus ici, il nous semble qu'il convient d'adopter une attitude'd 1 2xtrême prudence. Nous ne sommes malheureusement pas à même pour l'instant de définir les mi- lieux dans lesquels une telle opération aura des chances suffisantes de réussite. Nous avons vu qu'il existait des cas où . le retournement est obligatoire. Il semble Tue certaines conditions portant simultanément sur le sol et le climat soient indispensables à l'amélioration d'une prairie permanente; il semble . également que le'fait qu'au dépit..

prairie présenté des caractéristiques d2 sol relativement favorable ("vieillissement" du profil peu marqué) augmehte les chances de succès d'une amélioration par fertilisation et exploitation. On peut. remarquer que de telles prairies sont particulièrement nombreuses sur les terres argileuses du lias (Auxois, Pays de Bray, etc...). Par contre, les prai- ries portées par des sols à propriétés structurales très défavorables

(argile sodique, limon blanc très battant,etc...) ne semblent pas devoir réagir bu t'out' au Mbins pas assez rapidement pour rendre possible la mise en oeuvre d'une telle technique d'amélioration. Dans de nembreux

autres' cas y il conviendrait de préciser les chances par des expérimen- tations telles Tué celle de MARIGNY-le-CAHOUET ou celle qui vient d'être

entreprise à COULANDON.

(9)

- 26 -

3 0 )- Associer les chercheurs de diverses disciplines :

Il apparaît enfin au travers de l'expérience de MARIGNY que, dans l'étude de tels problèmes, chaque discipline a besoin de pouvoir confronter ses résultats tout au long de leur interprétation aux conclusions des disci- plines voisines. En ce qui concerne le sol, il est évident que la colla- boration du chercheDravec un Spécialiste de la plante et l'Agronome char- gé de l'exploitation pour ne citer que les deux disciplines les plus di- rectement intéressées, est indispensable à une compréhension suffisante des données brutes de l'observation et des examens de laboratoire.

G. MONNIER -ANNEXES-

- Coin araison vieille raine / jeune fétuque - MARIGNY - - CAHOUET 1962

FETU QUE (D)

Profondeur Cd %°

C/N CD %° C/N Agb %

0 - 7 3,1 22,25 30,8 11,2 41,2

7 - 18 3,2 19,8 30,7 11,2 40,0

18 - 25 0,9 27 21,0 12 25,8

VIEILLE PRAIRIE à PnOXIMITE (A)

-n

Profondeur Cd %° C/N CD %° c/k .

O - 7 12,35 16,8 44,6 10,6 46,2

7 - 18 6,0 15,9 38,8 10,8 48,4

Moyenne Cd % 0 - 18 (Fétuque 30,75 (Vieille prairie 48,4 ACD% =- 27 % en 3 ans.

(10)

CD

61,9 10, 8

50,0 10,5

3573 11,1

. c/k

.9.2222,M

1.6,4 52,0 17,1 43,7 21,5 31,2

221_11::

18,1 19,2 4,3 18,0 1,4 23,0 1,5

CN 10,7 10,6

- 27- MARIGNY-le-CAHOUET 1962

FD . fraction dense '(h- o liée) Fd . fraction peu dense (n o libre)

- Séparation . ar densité - Echantil-

lons

C 0/00 61,4 48,7 39,4

61,1 57,1 42,4

63,2 44,4 24,1

eystème traditionnel (A)

C °/°°FD 56,0 45,2 31,7

56 46 35

44 40 26,8

Rotation (C)

c/u.

17,9 17,7 21,0

17,8 17,3 22,0

22 19 26 A5 0 - 7

A5 7 -18 A5 18 -25

A6 0 - 7 7 -18 - 18 -25

A7 0 - 7 - 7 -18 - 18 -25

C.N.

10,8 10,3 11,0

10,8 10,5 11,1

10,9 10,7 11,3

c 0/00

17,1 +1,5 5,4 +0,2 1,6

15,3 +3,4 8,0 +0,1 1,7

15,8 +1,4 3,7 1,2

C/N 14,8 15,3 18,9

15,3 14,9 18,5

19,2 22,0 j 27,0

C/N 10,8 10,9 10,4

1

10,5 10,2 10,0

10,7 10,6 10,5

c 0/00 16,2 +1,7 4,7 +0,1 1,3

19,E +1,8 4,4 +0,2 2,2

12,7 +2,3 3,4 0,7 MOYENNE

Système traditionnel ROTATION

Variation carbone lié en 4 ans 1/2

CD %° 0- 7 = - 15,1 % 7 - 18 = - 12,6 % 18 - 25 . - 11,7 %

'Cd % de CD

Traditionnel

Cd % faible ou nulle sauf entre 7 et 18 ou . - 25 %

Rotation

0 - 7 29,5 35

7 - 18 11,6 9,8

18 - 25 4,2 4,5

(11)

TRAITEMENT C (C

(C 6 0- 7 ( 511

(C ( 51

72,0 )

58,0 ) 66,6 69,8 )

(C 6 77,6 )

(Cçii 75,0 ) 74,9 7'- 18 (

(C" 72,0 )

(

(c6 76,4 )

18 - 25 (Cru 68,0 ) 70,8

i )

C 68,0 )

( 51 - 28-

MARIGNY-le-CAHOUET 1962

- STABILITE DES AGREGATS -

TRAITEMENT A Alcool Benzène Air

70,8 )

0 - 7 (4 - 7 75,0 ) 73,4 (A'7' 74,4 )

61,2)

61,4) 62,3 64,4)

64,4)

70,0) 67,9 69,2)

(A5 77,0 )

)

7 - 18 ( 76,4 ) 75,2

A 77,6 )

• ( 7 69,8 )

67,6) 65,0)

•) 64,1 72,0)

52,0)

72,0) 72,4)

72,2 76,0)

68,4)

(4 74 )

(A 72,6 ) 68,6

18 - 25 (A:7" - 59,2 )

59,4)

57,0) 47,9 27,2)

70,2 )

68,0 ) 62,6 49,6 )

63,8)

41,2) 54,3

)

57,8)

)

68,4)

59,6) 62,7

)

60,1)

)

63,2)

48,4) 53,2

)

48,0)

)

69;6)

56,1 62,7 62,2)

73,6)

71,2) 72,5 72,8)

74 )

64,4) 68,1 66,0)

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