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Réseau d’espèces invasives : effets directs et indirects sur les espèces natives

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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HAL Id: hal-01107833

https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01107833

Submitted on 2 Jun 2020

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Réseau d’espèces invasives : effets directs et indirects sur les espèces natives

Lise Thouvenot, Jacques Haury, Gabrielle Thiébaut

To cite this version:

Lise Thouvenot, Jacques Haury, Gabrielle Thiébaut. Réseau d’espèces invasives : effets directs et

indirects sur les espèces natives. Colloque de lancement du Groupement de Recherches Invasions

Biologiques, Oct 2014, Rennes, France. 2014. �hal-01107833�

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Colloque de lancement du GdR

‘INVASIONS BIOLOGIQUES’

Sa

Rennes, 20 – 22 Octobre 2014

http://ecobio.invasionsbiologiques.fr

GdR 3647 Invasions Biologiques

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Liste des participants

88

POSTER

POSTER

Thouvenot L1, Haury J2, Thiébaut G1

1Université de Rennes 1, CNRS, UMR 6553 ECOBIO,Rennes, France

2 IINRA, Agrocampus Ouest, UMR 0985 ESE, Rennes France

POSTER 16–RESEAU D’ESPECES INVASIVES: EFFETS DIRECTS ET INDIRECTS SUR LES ESPECES NATIVES.

Le nombre d'introductions d’espèces est en constante augmentation à l’échelle mondiale. Dans les prochaines décennies, les communautés pourraient être essentiellement constituées d'espèces exotiques. Cependant, peu de travaux portent sur les conséquences fonctionnelles de ces introductions multiples d’espèces exotiques sur la composition et la structure des communautés indigènes.

L'objectif est d'étudier, en conditions contrôlées, l’effet de la prédation par l’Écrevisse de Louisiane (Procambarus clarkii) sur des communautés végétales simplifiées, constituées uniquement d’espèces exotiques (Ludwigia grandiflora / Egeria densa) ou d’une espèce exotique et d’une espèce native (L. grandiflora / Myriophyllum spicatum et d’autre part E. densa / M. spicatum).

Des mesures du nombre de feuilles prédatées et des fragments libres, ainsi que du taux de croissance et de la valeur nutritive des macrophytes ont été réalisées.

Toutes les espèces végétales ont été consommées par l’écrevisse quelle que soit l’espèce voisine. En présence d’écrevisse, la croissance de l’espèce M.spicatum est d’avantage réduite que celle des deux autres espèces exotiques. Ces résultats suggèrent une consommation plus importante de l’espèce native en dépit de sa faible valeur nutritive. Toutefois, la croissance de M. spicatum est plus élevée en présence de L. grandiflora : cette dernière aurait un effet « protecteur ». Par ailleurs, nous avons observé un nombre plus important de fragments des espèces exotiques. L’écrevisse de Louisiane, en plus de son rôle de prédation, favoriserait la propagation des espèces exotiques.

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