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Sur une balance très sensible, sans couteau. Ses applications à diverses mesures électriques

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00240627

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Submitted on 1 Jan 1902

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Sur une balance très sensible, sans couteau. Ses applications à diverses mesures électriques

V. Crémieu

To cite this version:

V. Crémieu. Sur une balance très sensible, sans couteau. Ses applications à diverses mesures élec-

triques. J. Phys. Theor. Appl., 1902, 1 (1), pp.441-448. �10.1051/jphystap:019020010044100�. �jpa-

00240627�

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441

SUR UNE BALANCE TRÈS SENSIBLE, SANS COUTEAU.

SES APPLICATIONS A DIVERSES MESURES ÉLECTRIQUES;

Par M. V. CRÉMIEU.

Dans les balances à couteau, la sensibilité se trouve limitée par les conditions mécaniques bien connues. Toutefois, la théorie habi- tuelle suppose que l’oscillation du fléau se fait autour d’une ligne géométrique, à laquelle on assimile l’arête du couteau.

Cette condition n’est jamais réalisée dans la pratique. Quels que soient la dureté de la substance qui forme le couteau et les soins apportés à la tailler, il y a entre lui et sa chape une surface de con- tact et, par suite, dans les oscillations, un frottement de roulement.

Il y a donc inévitablement

un

frottement au départ qui vient dimi-

nuer la sensibilité de la balance; les plus légères poussières aug- lnentent ce frottement dans d’assez grandes proportions.

De plus, on

a

constaté que, entre deux pesées successives, la

.

surface d’oscillation du couteau ne reste jamais comparable à elle-

même. Les travaux de 31. I>oynting sur la gravitation ont nettement

mis en lumière tous les inconvénients qui peuvent résulter de ce dé- faut de constance.

En fait, avec les meilleures balances, pesant de très faibles poids,

on ne peut évaluer plus du centième de milligramme; avec les

lnétllocles optiqiies d’observation, on peut aller

un

peu plus loin,

mais c’est aux dépens de la certitude du résultat.

J’ai pensé qu’on pourrait dépasser beaucoup les sensibilités habi- tuelles en supprimant justement la cause qui les limite, c’est-à-dire le frottement du couteau sur son support.

Il suffit pour cela de supprimer le couteau lui-même et de faire supporter le fléau par un fil de très faible torsion. La force portante

des fils n1étalliques fins est très grande, et on verra facilement que, toutes choses égales d~ailleurs, la torsion d’un fil donné sera négli- geable vis-à-vis de la sensibilité de la balance que ce fil pourrait supporter.

J’ai appliqué ce principe à la construction de balances extrême- ment légères (10 à 12 grammes en tout), qui 111’011t fourni des résul- tats remarquables au point de vue de la sensibilité.

La légèreté de ces balances m’a permis d’utiliser le fil le plus

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019020010044100

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admirable que la nature nous fournisse, le fil de cocon. On sait due

ces fils, dont t un seul peut porter 7 à 8 grammes, mesurent envi-

ron /O0‘’ de millimètre de diamètre et ont un couple de torsion négligeable (1/1001 de celui d’un fil d’argent de même diamètre).

Il’s jouissent encore d’une autre propriété précieuse : ils se com- portent plutôt comme un fluide visqueux que comme un solide élas-

tique. On sait qu’une balance de torsion supportée par un fil de

cocon n’a pas de zéro défini et reste en équilibre indifférent dans un

angle assez étendue.

_

Il en résulte que les petites balances dont le fléau sera porté par

un de ces fils, mais qui oscilleront sous l’action d’autres forces que celles de sa torsion, seront amorties par cette viscosité de leur sup-

port, sans que leur sensibilité se trouve en rien diminuée.

Les organes cle la l~ccl~ry2~e.

-

La 1>alance se compose des organes snivants : sur une chape de laiton CC (fig. 1), on a fixé aux extrémi-

lés BB deux petits cylindres lisses g, g, et deux cylindres zl, v, filet(’s

à un pas très fin; ces quatre cylindres peuvent tourner à frottement doux dans la chape.

FHI. i .

Les extrémités li, li de chacun des brins de cocon rr’, rr, sont col-

lées avec un peu de cire sur les cylindres g, g ; les brins passent dans

un des filets des vis r,

r

et viennent s’attacher, en f’, f’, aux extrémités

d’une plaquette n1étallique ~~. On voit qu’en agissant sur les pièces

~. ~, on réglera la longueur des brins, et. sur les pièces r, 1, la diac - tion dus plan vertical de ces brins et, par suite, la direction de la

pièce aa.

Celle-ci porte un tube métallique très léger 0, représenté en

coupe sur la f’~r. 1 et fixé de faç on que le milieti de sa longueur

coïncide avec le plan //Y7~. Un tube OU’, vertical, supporte un lau-

(4)

443 ban de fil de platine, dont les extrémités sont attachées à celles du tube O. Ce hauban donne à l’ensemble du fléau ainsi constitué une

rigidité suffisante. De plus, en réglant sa tension avec un écrou con- venable, on peut, grâce à la flexibilité du tube 0, régler la position

des extrémités de ce tube par rapport à la ligne d’oscillation. On a ainsi le moyen de régler la sensibilité de la balance.

Enfin, le tube 00’ porte un miroir M, qui permet de suivre les dépla-

cements du fléau.

J’ai pu construire des fléaux de ce genre, dont le poids était

de 1 gramme à 1~r,5 pour des longueurs de 20 à 40 centimètres.

La meilleure longueur des brins de cocon paraît être obtenue quand leur angle est voisin de 1201. Dans cette position, ils ont

encore toute leur force portante et, d’autre part, le moment de leur

tension sur les extrémités de aa assure à la direction de cette pièce

une stabilité suffisante pour éviter les ballottements du fléau autour d’un axe vertical.

Pre¡n’ler’ nzode de pesée.

-

Pour ag ir sur

un

fléau de ce genre, on

ne pouvait songer aux moyens habituels. Le maniement des poids

ou de cavalier aurait été tro p délicat.

Mais il est facile de produire de faibles forces, réglables à distance,

avec mne grande précision. Il suffit d’utiliser les actions électro111a-

gnéliques entre

un

aimant fixé au fléau et une bobine fixe.

FIG. 2.

Supposons

un

aimant permanent tel que NS (fly. 2) fixé à une des

extrémités du fléau. Nous placerons une bobine cylindrique B, pré-

(5)

sentant une âme creuse de diamètre légèrement supérieur à celui

de l’aimant, de façon que le centre de cette bobine soit un peu au- dessous du pôle inférieur de rain1ant.

Si nous envoyons un courant dans la bobine, elle tendra à avaler

ou à chasser l’aimant suivant le sens du courant. La force électro-

magnétique sera multipliée par le pôle de l’aimant, ce qui permettra d’envoyer des courants assez faibles, d’une part ; d’autre part, d’éva- luer de plus faibles variations des valeurs de ce courant.

Au lieu de poids, on aura une boîte de résistance et une source

électrique constante, un accumulateur, par exemple.

Pour étalonner l’appareil, il suffira de placer à l’autre extrémité du

fléau un poids connu, et de chercher le courant qu’il faut envoyer dans la bobine pour équilibrer ce poids.

Pour connaître alors le poids d’un objet quelconque, on le placera

dans le plateau ; le rapport du courant nécessaire pour équilibrer ce

corps au courant étalon donnera la valeur du poids.

Il est certain qu’on ne pourrait pas employer cette méthode pour des poids considérables, ni même pour des pesées courantes. Mais

on voit de suite tous les avantages qu’on en pourra tirer pour suivre les variations de poids d’un corps déterminé.

Deuxièlne 1node de pesée.

-

S’il s’agit de forces qui tendent tou- jours à soulever l’aimant NS, le courant destiné à les compenser donnera un champ qui tendra à réaimanter Faimant mobile; si

celui-ci a déjà une bonne aimantation permanente, celle-ci variera peu pour de faibles valeurs du champ. L’appareil restera donc assez longtemps comparable à lui-même. l’ratiquement, des étalonnages

ne seront pas trop souvent nécessaires.

Mais on a f1-éqnenxment besoin de mesurer des forces renversables;

par exemple, on pourrait avoir à suivre les variations d’un corps de

poids sensiblement égal à celui de l’aimant mobile, et pouvant dimi-

nuer.

Dans ce second cas, le courant dans la bobine devrait tendre à repousser l’aimant mobile. Le champ aurait alors pour effet de

démagnétiser l’aimant. La pratique m’a montré que cette démagné-

tisation pouvait être assez rapide, au cour s d’une seule série de

mesures.

Enfin, on peut avoir à utiliser ces balances pour évaluer des forces dont la loi de variation n’est pas la même que celle qui régitle couple

de stabilité d’une balance :

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445

On sait que celui-ci est de la forme K tang «,

11 étant une constante qui dépend de chaque appareil,

a

l’angle de

déviation du fléau.

Pour de faibles angles, les forces qu’on opposera à celles qu’on

veut mesurer varieront à peu près comme l’angle de déviation.

Supposons que les forces à mesurer soient des attractions élec-

trostatiques. Elles sont de la forme ~~nm ~

y"

2 ~ et leur loi de variation est celle du cube des distances. Il est facile de voir que cette variation

sera bien plus rapide que celle des forces antagonistes et qu’on ne

pourra avoir, dans des limites assez grandes, que des positions d’équilibre instable.

C’est là, en particulier, un des inconvénients les plus graves des

électromètres absolus.

Or ces deux ordres d’inconvénients peuvent être évités par un arti- fice très simple.

Prenons (fig. 2) une bobine fine B’, de longueur légèrement supé-

rieure à celle de l’aimant mobile, et plaçons-la de façon que son centre coïncide avec celui de l’aimant, lorsque la balance est en sus-

pension, le fléau horizontal. Si »n envoie, alors, un courant dans la

bobine de façon que le champ de celle-ci soit de même sens que celui de l’aimant, on sait que celui-ci aura une position d’équilibre stable.

S’il tend à s’en écarter, la force qui l’y rappelle varie comme l’angle

sous lequel la face de la bobine est vue du pôle de l’aimant, c’est-à-

dire à peu près comme le cube de la distance. L’ordre de stabilité est donc le même que l’ordre d’instabilité de deux corps qui s’attirent

suivant la loi de Newton.

On voit, de plus, que, dans cette disposition, le champ de la bobine tendra toujours à réaimanter l’aimant.

Ici l’étalonnage sera un peu différent du précédent ; les forces qui agissent dans la position d’équilibre ont en effet une résultante nulle.

On opérera de la manière suivante :

Le zéro sera préalablement déterminé par la position de l’image

du miroir lorsqu’un courant quelconque envoyé dans la bobine ne

modifiera pas cette position. On mettra alors, à l’extrémité opposée

du fléau, un poids connu ; on aura une déviation et on cherchera la

valeur du courant nécessaire pour réduire cette déviation à une

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valeur donné, 10 millimètres par exemple. Les forces seront alors

mesurées par le rapport entre ce courant étalon et celui qui sera

nécessaire ponr que la déviation due aux forces inconnues se

réduise à 10 millimètres à partir du même zéro.

En pratique, il y a avantage prendre une bobine en deux parties,

dont la longueur soit réglable. On arrive ainsi plus facilement à faire coïncider la position d’équilibre naturel du fléau avec la posi-

tion d’équilibre de l’aimant pour

un

courant quelconque qui parcourt

la bobine fixe,

Application et un ~~Zzc~no~nélre, Wectrocly~za~yzon2é~~°e.

---

J’ai uti-

lisé des balances comme celles que je viens de décrire pour des

mesures électriques.

En premier lieu, on peut les monter comme galvanomètre. Il suffit

pour cela d’attacher aux extrémités du fléau deux aimants de poids égaux, suspendus par des fils métalliques fins fixés suivant leur

axe. Un petit cavalier placé sur le fléau permet d’obtenir un réglage

suffisant de l’horizontalité du fléau.

Chaque aimant se déplacera dans l’axe d’une bobine fixe.

On pourra disposer l’appareil de façon que les actions des bobines

s’ajoutent ; on pourra aussi le faire fonctionner comme différentiel en

faisant agir les bobines en sens inverse l’une de l’autre.

On voit de suite que ce galvanomètre sera parfaitement asta- tique.

Si on substitue aux aimants mobiles deux petites bobines de mêmes dimensions, on aura un électrodynamomètre.

Dans ce cas, l’arrivée du courant dans les bobines mobiles peut se

faire très simplement. On fait deux ressorts à boudin de faible diamètre

chacun avec 50 centimètres environ de fil d’argent de ~1 /~0 de milli-

mètre. On fixe une extrémité de chaque boudin dans une borne iso- lée D (fig. l ~, placée un peu en dessous des points d’attache des fils

de cocon qui supportent la balance. Les autres extrémités sont reliées

sur l’axe du fléau, aux bouts de deux brins de fil métallique à gar- niture isolante qui courent le long de ce fléau. Ces deux fils sont pris,

d’autre part, dans de petites pinces de platine, s’attache une des

extrémités des fils des bobines mobiles.

On voit alors que le courant pénétrant par un des boudins longera

le fléau, parcourra une des bobines mobiles, en sortira par le fil de

suspension, suivra le fléau pour aller parcourir la seconde bobine,

d’où il sortira par le second fil et-le second boudin.

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I.,a torsion des boudins de fil d’argent peut être rendue aussi faible

,qu’on veut; il suffit d’en prendre une longueur suffisante,.

Cet électrodynamomètre peut fonctionner aussi comme différen- tiel.

Avec un fléau de ~0 centimètres de longueur, pesant 191,2 avec tous

-ses accessoires, j ai obtenu ainsi un galvanomètre sensible à 10-9 ampère et un électrodynamomètre sensible à 10-~) ampère em

courant continu .

e

Les aimants pèsent environ 3 grammes chacun. Leur moment

magnétique est voisin de 50.

,

Les bobines pèsent 2 grammes et portent ~(~0 tours de fil par unité de longueur.

Quant aux bobines fixes, il est bon d’en avoir deux ou trois paires

de résistances variables, suivant les mesures à effectuer.

~l~~plication à

un

(fleclro1Jl ètre absolu.

-

J’ai appliqué à la cons-

truction d’un électromètre absolu le double avantage de la sensibilité .de ces balances et de la seconde méthode de pesée.

Une des extrémités du fléau porte un aimant mobile au centre d’une bobine fixée de façon que son centre coïncide avec celui de

l’aimamt.

1/autre extrémité supporte, par un fil métallique fin, un petit pla-

teau circulaire d’aluminium de 2 millimètres d’épaisseur et de 3 cen-

timètres de diamètre.

L’horizontalité de ce plateau est obtenue en le suspendant à l’aide

d’une tige cylindrique fixée à son centre et avec l’axe de laquelle

coïncide le fil de suspension.

La mise au sol est obtenue à l’aide d’un petit boudin de fil d’ar-

gent fixé sur l’axe du fléau.

Le plateau mobile se déplace au centre d’un anneau de garde, et en

face d’un plateau horizontal, isolé, de hauteur réglable. Ce plateau

est monté sur un genou qui permet de le rendre parallèle à l’anneau

de garde et

au

plateau mobile.

Les poids du plateau et de l’aimant 1110bile sont sensiblement

égaux, et on achève le réglage avec un cavalier placé sur le fléau.

Cet appareil permet de mesurer 2 volts en valeur absolue.

La distance entre les deux plateaux peut varier de 0 à ~8 milli-

’mètres.

Il est bon d’avoir plusieurs séries de bobines et même deux plateaux

mobiles et deux anneaux de garde, les forces électrostatiques cleve-

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nuant trop considérables pour un plateau de 3 centimètres de diva-

mètre, quand on arrive à des voltages élevés.

En substituant à l’airriant une bobine mobile disposée comme dans l’électrodynan10n1ètre, on pourrait utiliser cet électromètre ponr dé- terminer la .valeur du rapport des unités électriques par la Inéthodo de Maxwell, mais avec des positions d’équilibre stable.

CHR. JENSEN. 2014 Kurzer Ueberblick iiber die Thatsachen und Theorien auf dem Gebiete der atmosphärischen Polarisation (Court aperçu

sur

les faits et théories relatifs à la polarisation atmosphérique). 2014 Meteorologische Zeitschrifl, dé-

cembre 1901. p. 546-558.

C:onférence faite au î3° Congrès des naturalistes et médecins alle- mandes à IIalnbourg. L’auteur y fait une revue des divers travaux, sur la polarisation atmosphérique publiés, depuis la découverte du phé-

nomène par Arago ; malheureusement, aucune référence bibliogra- phique n’a été ajoutée au texte de la conférence.

L’auteur indique (p. 5-47) qu’il a fait lui-même, depuis quelques

années un grand nombre de mesures de la polarisation de la région

zénithale du ciel. Cette polarisation était dirigée dans le plan verti-

cal du soleil, passait par un minimum un peu après midi (vers

deux heures) et par un maximum le soir (’ ) ; la différence entre le maxi-

mum et le minimum diurne de la polarisation était plus grande en

été qu’en hiver.

Signalons en particulier (p. 554) la critique des travaux de Spring d’après les travaux de Pernter. Il n’est pas possible d’expliquer,

comme Spring cherche à le faire, le bleu du ciel par une couleur propre de l’atmosphère ; les expériences de Pernter sur la polarisa-

tion de la lumière diffusée par un milieu trouble (dissolution alcoo- lique de mastic versée dans l’eau) viennent, au contraire, à l’appui de

la théorie de Tyndall et de lord Rayleigl), qui explique l’origine de la

lumière bleue du ciel par la diffusion de la lumière solaire sur des

particules invisibles au microscope.

En terminant, l’auteur recommande aux météorologistes d’examiner

le ciel au polariscope : il a très fréquemment constaté qu’une altéra-

(1) A rapprocher des résultais obtenus

au

mont Venteux par A. CHOYA (Ann. de

Chim. et cle Pfi,>/s., 6e série, t. XXI, p. 203 ; 1890).

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