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REM.–L’ensembler´esolvantestouvert. ens.r´esolvant = C \{ spectre } de A = { λ ∈ C | A − λ noninjectif } spec.ponctuel = { desvaleurspropres } spectrede A = { λ ∈ C | A − λ nonbijectif } H Hilbert, A : H → H RAPPELSDEF.–

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

RAPPELS

DEF. – H Hilbert, A : H → H

spectre de A = {λ ∈ C|A λ non bijectif}

spec. ponctuel = {des valeurs propres}

de A = {λ ∈ C|A λ non injectif}

ens. r´esolvant = C \ {spectre}

REM. – L’ensemble r´esolvant est ouvert.

(2)

Op´erateurs autoadjoints compacts

DEF.

A est compact ⇔ l’image par A de la boule unit´e est relativement compacte.

TH. – A autoadjoint compact, H de dimen- sion infinie,

1. Spectre(A) = {0}S1, λ2, . . .} λj > 0.

2. Si {λj} infinie, λj −→

j→∞ 0.

3. ∀λj, dim(espace propre de λj)< +∞.

(3)

Fonctions propres du Laplacien avec con- dition de Dirichlet

Il existe :

• une base hilbertienne (Φj), j = 1, 2, . . . de L2(Ω),

• une suite (λj) de nombres r´eels t.q.

Φj ∈ C(Ω) ; Φj(x) = 0 pour x ∈ ∂Ω.

∆Φj = −λjΦj .

0 < λ1 < λ2 ≤ λ3 ≤ λ4 ≤ . . . ; λk −→

k→∞ +∞

(4)

REM. – Pour une combinaison lin´eaire,

u =

N X

1

γjΦj

• u est de classe C et est nulle sur ∂Ω.

• kuk22 = PN

1j|2

•∆u = −PN

1 λjγjΦj

• k∆uk22 = PN

1jγj|2

(5)

TH. & DEF. (op´erateur ∆dir)

u ∈ L2(Ω) appartient `a D(∆dir) (domaine de ∆dir) si les cj(u) = (Φj|u) v´erifient

Xλ2j|cj(u)|2 < ∞

dir := l’op´erateur de D(∆dir) dans L2 d´efini par

diru = −

X

1

λjcj(u)Φj (cvg. dans L2) Une fonction u ∈ C2(Ω) appartient `a D(∆dir) ssi u = 0 sur ∂Ω; on a alors ∆diru = ∆u .

(6)

Equation –´ ∆diru − λu = f ∈ L2; u ∈ D(∆dir).

1. λ n’est pas v.p. de −∆ : existence et unicit´e

u = X cj(f)

(λ − λjj

2. λ est v.p. de multiplicit´e m, c’est-`a-dire (λ = λl = · · · = λl+m−1); r´esoluble ssi f v´erifie R Φp(x)f(x)dx = 0, l ≤ p < l + m.

Alors, l’espace des solutions est de dimen- sion m :

u = X

j /∈{l,...,l+m−1}

cj(f)

λ − λjΦj + X

l≤p<l+m

CpΦp

(7)

Fonctions propres du Laplacien avec con- dition de Neumann

Il existe :

• une base hilbertienne (Ψj), j = 1,2, . . . de L2(Ω),

• une suite (µj) de nombres r´eels t.q.

Ψj ∈ C(Ω) ; ∂Ψj

∂ν (x) = 0 pour x ∈ ∂Ω.

∆Ψj = −µjΨj .

0 = µ1 < µ2 ≤ µ3 ≤ µ4 ≤ . . . ; µk −→

k→∞ +∞

(8)

Eq. de la chaleur avec condition de Dirich-´ let

∂u/∂t − ∆u = 0 (ou f(t, x)) dans Ω × [0,∞[

u(t, x) = 0 pour x ∈ ∂Ω

u(0, x) = u0(x) donn´ee dans D(∆dir)

u(t, x) = X cj(u0)e−λjtΦj(x)

u(t, ·) ∈ D(∆dir) et ∂u/∂t(t, ·) ∈ L2 pour t > 0

u(t, x) = X

cj(u0)e−λjt +

Z t

0 e−λj(t−s)hj(s)ds

Φj(x) hj(t) = (Φj|f(t,·)) =

Z

Φj(x)f(t, x)dx

(9)

Eq. des ondes avec condition de Dirichlet´

2u

∂t2 − ∆u = 0 dans Ω × [0,∞[

u(t, x) = 0 pour x ∈ ∂Ω u(0, x) = u0(x)

∂u/∂t(0, x) = u1(x)

)

donn´es dans D(∆dir)

u(t, x) = · · ·

X j

cj(u0) cos(tqλj) + cj(u1)

qλj sin(tqλj)

Φj(x)

pour t fix´e la s´erie converge en moyenne quadratique et d´efinit un ´el´ement

u(t, ·) ∈ D(∆dir).

(10)

Fonctions propres d’un Hamiltonien

HV = −∆ + V , avec V de classe C et V (x) −→

x→∞ +∞. Il existe :

• une base hilbertienne ψj de L2(R3) avec ψj ∈ C

• une suite (λj) v´erifiant : HV ψj = λjψj

min

x∈R3V (x) < λ1 < λ2 ≤ λ3 ≤ . . . −→

j→∞ +∞

DEF. (domaine de HV )

u ∈ D(HV ) ⇔ X λ2jj|2 ≤ ∞ avec γj = (ψj|u)

(11)

u ∈ D(HV ) ⇔ u ∈ L2, |ξ|2uˆ ∈ L2 et V (x)u(x) ∈ L2.

Equation de Schr¨´ odinger

( i∂u∂t = HV u dans R × R3

u(0, x) = u0(x) dans D(HV ) avec ku0kL2 = 1

u(t, x) = X

j

cj(u0)e−itλjψj(x) ; cj(u0) = (ψj|u0)

u(t, x) = X

j

e−itλjψj(x)

Z

ψj(y)u0(y)dy

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