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Eléments pour une théorie de la densité

RAFFESTIN, Claude

Abstract

La densité est un concept essentiel mais il est indispensable de le repenser dans la perspective des modèles de répartition. C'est ce à quoi l'auteur s'attache dans cet article. Il cherche à montrer que les densités sont commandées par des médiateurs ou codes qui sont déterminés par les différentes actions entreprises par les individus, les groupes ou les sociétés dans l'espace. Il n'y a donc pas une densité mais des images de densité qui montrent que les comportements varient selon les échelles spatiales, temporelles et instrumentales. En somme, l'article pose des linéaments pour une théorie de la densité.

RAFFESTIN, Claude. Eléments pour une théorie de la densité. Médecine & Hygiène , 1980, vol. 38, no. 1399, p. 3904-3906

Available at:

http://archive-ouverte.unige.ch/unige:4318

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Eléments pour une théorie de la densité

Méd. et Hyg.

38, 3904-3906, 1980

par Cl. Raffestin (Genève)

La densité est un concept essentiel mais il est indispensable de le repenser dans la perspective des modèles de répartition. C'est ce à quoi l'auteur s'attache dans cet article. Il cherche à montrer que les densités sont commandées par des médiateurs ou codes qui sont déterminés par les différentes actions entreprises par les individus, les groupes ou les sociétés dans l'espace. Il n'y a donc pas une densité mais des images de densité qui montrent que les comportements varient selon les échelles spatiales, temporelles et instrumentales.

En somme, l'article pose des linéaments pour une théorie de la densité.

Le concept de densité est véritablement un concept trans- disciplinaire qui est l'objet de manipulations multiples de la part des sciences naturelles et des sciences de l'homme (1).

Assez vite, peut-être prématurément, il lui a été donné une formulation quantitative simple voire simpliste du type quo- tient de la population par la surface. Ce n'est pas le caractère rudimentaire du calcul qui est en cause mais l'usage ambigu qui en a été fait; usage qui a favorisé la confusion entre ins- trument de description et instrument d'explication.

L'histoire de cette confusion, si on prenait le temps de la faire, révèlerait le fétichisme de nos pratiques quantitatives qui nous conduit, souvent, à inférer du «nombre» une expli- cation qu'il ne peut pas davantage donner que la langue natu- relle à laquelle il se substitue. L'explication à partir de la densité porte généralement sur les effets possibles ; les géogra- phes en savent quelque chose, eux qui peuvent dire, écrire ou lire que telle densité est responsable du développement ou du sous-développement de telle ou telle région ! Explication com- mode, passe-partout, tolérée mais finalement intolérable dans l'exacte mesure où elle jette le discrédit sur un concept utile.

Les corrélations que l'on peut faire entre une densité, telle que nous l'avons définie, et une situation donnée à expliquer, n'expriment qu'un état d'incertitude quant aux effets possi- bles. Il en irait vraisemblablement autrement si des seuils inférieurs et supérieurs délimitaient des intervalles significatifs à l'intérieur desquels il serait possible de procéder à des opé- rations contrôlables. Pourtant tel n'est pas le cas. Ces remar- ques désabusées ne signifient pourtant nullement que la den- sité n'est pas valable. Bien au contraire, elle est d'une grande utilité mais elle nécessite d'être repensée dans une autre pers- pective. La repenser car, exemple relativement rare dans les sciences de l'homme, la quantification prématurée de la notion a bloqué son développement et par conséquent son devenir. A cet égard, si l'on avait considéré l'inverse de la densité, le problème aurait été tout autre. Pourquoi? Parce qu'au lieu de raisonner en fonction d'une distribution statique des individus d'une population N par unité d'espace L, on aurait raisonné en fonction d'une répartition dynamique d'une fraction d'espace L par unité de N. Ce n'est pas l'espace qui s'approprie la population mais bien l'inverse. Dès lors

«l'idée principale est toujours de considérer une population d'individus, répartis sur un territoire (phénomène premier proprement géographique); de l'espace n'étant retenue que la seule qualité suivante: il est occupé ou non, il y a une relation ou non avec lui» (2).

La densité classique se réfère toujours à une distribution identique que l'on peut qualifier de répartition homogène ou si l'on préfère de concentration au degré 0. Autrement dit, la densité, en tant qu'instrument de description, élimine para- doxalement par homogénéisation l'idée fondamentale de répartition. Repenser la densité signifie donc réintroduire la notion de répartition différentielle. La répartition différen- 3904

tielle débouchant sur des configurations dont la description corrélée avec d'autres éléments peut éventuellement donner naissance à une ou des explications.

Pour poser ce problème de la répartition, nous prendrons un premier exemple, apparemment banal, que nous avons vécu en tant qu'observateur lors d'un congrès politique qui s'est tenu à Rome en 1979 au Palazzo dei Congressi de l'EUR.

A l'ouverture de ce congrès, pendant environ une heure, on peut admettre, alors que chaque participant occupait une place, que la densité classique était à peu près réalisée et avait un sens: la répartition était homogène dans la salle qui n'avait comme seule propriété que celle de support spatial. Etant réservée, bien entendu, la territorialité propre de chaque par- ticipant dont des comportements spécifiques pouvaient les inciter à occuper telle place plutôt que telle autre, mais finale- ment la salle étant pleine, on peut négliger, pour l'instant, ce facteur par ailleurs important.

Autrement dit, au début du congrès, on pouvait poser le problème de la manière suivante: «soit,..., une population d'une région comprenant N individus, représentée sur un seg- ment de longueur L; L est divisée en K segments de longueur L,,..., LK,proportionnels aux surfaces de K sous-régions com- prenant des sous-populations de Nj, .., NK individus unifor- mément répartis sur chaque segment». On a:

Cette répartition homogène correspondait à une «situation de repos» ou si l'on préfère à une «situation d'attente». Les regards, mais aussi l'attention des participants, étant dirigés vers la tribune où étaient installés la présidence, les orateurs, bref les émetteurs d'information. Après une heure d'émission d'information depuis la tribune, le modèle de répartition de la salle était complètement différent de celui observable au départ. D'abord, durant l'un des discours, un des participants s'est levé pour contester violemment l'orateur et progressive- ment un attroupement s'est constitué autour du «contesta- taire», des parties entières de la salle se sont vidées de leurs occupants qui sont venus grossir le noyau d'opposition. Une autre répartition était en train de s'esquisser. La densité classi- que était toujours la même, quantitativement pariant, mais la configuration de la distribution était complètement différente.

Alors que la concentration était égale à 0 à l'origine, elle s'était déplacée vers 1 (dire de combien est impossible car nous n'étions pas placé dans des conditions expérimentales permettant un calcul1). Au cours des deux journées qu'a duré ce congrès, nous avons pu ainsi observer de multiples modifi- cations dans la répartition des individus dans la salle; la répartition homogène, ou presque, étant réalisée à chaque réouverture de séance soit le matin et l'après-midi: c'est le retour à l'état zéro.

11 n'y a là rien que de très banal tant que nous nous en tenons à ce qu'on pourrait appeler la cinématique de la densité, soit la répartition; encore que la concentration ait varié entre 0 et 1, dans un intervalle de temps faible. Il y a donc eu une multi- tude de relations à l'espace, d'appropriations de cet espace, tout à la fois différentes et éphémères, considérées à cette échelle spatio-temporelle qu'un géographe qualifierait, fort justement, de grande. Ces répartitions successives nous pou-

1 Le calcul n'aurait eu aucune signification sinon celle de mesurer une modification sensible de la répartition, par ailleurs aisément observable.

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vons les appeler images de la densité, toutes comprises entre 0 et 1, soit de la répartition homogène à la concentration en un seul point. Mais ce qui est valable à grande échelle, l'est-il encore à moyenne et à petite échelle? Il n'y a aucune raison pour répondre négativement ou affirmativement à ce stade de l'analyse. H faut aller un peu plus loin et se poser la question du «mécanisme» qui produit les images de densité.

Dans l'exemple que nous avons choisi, le changement de la répartition dans l'espace considéré est survenu au moment où i l y a eu opposition entre le message de l'un des orateurs et l'attente de l'un des participants. Pour certains participants, sans doute, il y avait également refus de l'information émise mais qui ne s'est pas traduit par une réaction explicite. L'op- position à l'information de l'orateur de la part d'un partici- pant a constitué une rupture, en fait une crise, dans la distri- bution territoriale des individus: d'une part ceux qui étaient opposés au discours mais qui s'étaient tus se sont groupés autour du «contestataire)) et par conséquent ont abandonné leur place originelle et d'autre part ceux qui soutenaient l'ora- teur parce qu'il y avait intersection entre leur répertoire et le sien se sont dirigés vers le noyau d'opposants afin de faire cesser cette «résistance». Si on tente de formaliser cette situa- tion on découvre deux phénomènes: l'information de l'émet- teur (orateur) et l'information du récepteur (participant).

En 1, il y a disjonction qui se traduit par une opposition qui peut être implicite ou explicite; en 2 il y a intersection qui se traduit par une adhésion, partielle sinon totale. L'enjeu est alors manifestement la diffusion de l'information que les uns veulent interrompre et que les autres veulent voir se poursui- vre. Ce qui a modifié le modèle primitif de répartition des individus dans la salle c'est le refus ou l'acceptation d'une information diffusée. La position dans l'espace est alors une fonction de l'information. La rencontre, en un point, des opposants et des adhérents à une information donnée peut évidemment avoir des effets multiples dont certains marqués par la violence (les seules violences auxquelles nous avons assisté ont été verbales). Par la suite, nous avons assisté à des regroupements, en certains points de la salle, d'individus par- tageant des opinions semblables sinon identiques. Finalement à la fin du congrès les individus ne choisissaient plus tellement leur place en fonction d'une territorialité propre, comme au matin du premier jour, mais en fonction d'un groupe média- teur, plus ou moins aisé à identifier, porteur d'une informa- tion partagée par eux. Le médiateur a finalement changé en cours de route mais il y a toujours eu un médiateur.

La densité homogène originelle s'est constituée elle aussi à partir d'une information annonçant le congrès et puis il y a eu information diffusée sur les lieux du congrès qui a donné naissance à toutes sortes de modèles de répartition des partici- pants. La propriété caractéristique du médiateur étant l'infor- mation. Tout modèle de répartition ou si l'on préfère toute image de densité est sous-tendue par un médiateur informa-

tionnel. Dans l'exemple donné, ici, les médiateurs informa- tionnels étaient, somme toute, facilement repérables. Il n'en va pas de même aux échelles moyennes et petites qui ne relè- vent pas d'une observation directe mais documentaire.

C'est pourquoi il serait plus judicieux de dessiner le triangle autrement :

Qu'il s'agisse d'un modèle de répartition des activités com- merciales dans une ville, de la distribution des industries dans une région ou de la population dans un pays, le mécanisme est toujours déclenché par une information. L'information ne détermine pas l'ampleur de la densité qui n'a pas d'impor- tance en soi dans la mesure où elle est fort variable mais elle influe sur la répartition qui peut être exprimée par un indice de concentration compris entre 0 et 1.

La nature de l'information est certes à prendre en compte comme son caractère de vérité ou de fausseté. Pourtant en ce qui concerne le mécanisme lui-même cela n'a aucune impor- tance: des informations fausses pouvant déclencher de nou- velles images de densité au même titre que des informations vraies. La vérité ou la fausseté de l'information ayant surtout une importance quant à la stabilité de l'image de densité. Si l'information était toujours absolument vraie par rapport à une situation connue, on aurait des modèles de répartition déterministes. Mais comme elle est tantôt vraie, tantôt fausse ou partiellement vraie et partiellement fausse, les modèles de répartition sont probabilistes.

La stabilité des images de densité dépend tout à la fois des codes dont les individus se réclament dans leurs activités et de l'échelle considérée tant sur le plan spatial que sur le plan temporel. Le modèle de répartition d'une population à l'inté- rieur d'une ville, soit à grande échelle, varie sensiblement entre le jour et la nuit. A moyenne échelle, à l'intérieur d'une région, la variation est faible à court terme, plus forte à moyen et long terme. A petite échelle, à l'intérieur d'un pays, la variation ne peut être forte qu'à moyen ou long terme.

La stabilité dépend, à moyenne et à petite échelle surtout, de la territorialité c'est-à-dire de l'ensemble des relations qu'entretiennent les individus avec l'extériorité ou encore l'al- térité. Des variations sensibles, en courte période, du modèle de répartition peuvent révéler, toujours à moyenne et petite échelle, une territorialité dissymétrique c'est-à-dire une aug- mentation des coûts des individus par rapport à leurs gains dans leurs relations à l'extériorité (4). Ainsi par exemple, si l'on faisait l'histoire des images de densité des régions dites marginales de l'Europe, on découvrirait à travers le temps des variations sensibles dues à des migrations provoquées par des informations plus ou moins mythiques: l'Irlande et l'Italie seraient des exemples assez illustrants.

Les codes à disposition d'une population sont à considérer par rapport aux répartitions de la population. Les répartitions propres à l'agriculture, à l'industrie et aux activités commer- ciales révèlent des indices de concentration différents. L'agri- culture est en général moins concentrée que l'industrie qui, dans certains cas, l'est moins que le commerce. Il n'y a pas de

«loi» générale car cela dépend des niveaux de développement et des stades d'évolution.

Les grands changements dans les modèles de répartition de la population, dans les images de la densité, passent par des changements de codes. Par exemple, dans les Alpes, depuis le XIXe siècle, on est passé de l'agriculture et de l'élevage au

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tourisme. La révolution industrielle a été un changement de codes drastique. Il en est résulté dans les deux cas des change- ments des modèles de répartition et par conséquent de nou- velles territorialités (4).

Dans les cas que nous venons d'évoquer, on peut estimer que les modifications se sont réalisées par diffusion de certai- nes techniques, par diffusion de systèmes cohérents d'instru- ments et bien évidemment par leur adoption. Ce qui signifie qu'il y a eu de la part des individus, des communautés voire des sociétés, des calculs de type coûts-bénéfices qui ont con- duit à l'abandon d'un système technique au profit d'un autre.

On peut imaginer que le processus de spontané devienne volontaire et contrôlé.

Autrement dit, le pouvoir peut agir sur les modèles de répartition surtout lorsqu'il estime qu'une trop grande disper- sion ou une trop grande concentration est créatrice de coûts.

Les tentatives de regrouper la population de la Gaspésie au Québec ont été de type autoritaire et même si elles ont échoué, on a pu mesurer l'influence que l'Etat pouvait avoir sur les images de densité. De même les tentatives de décentra- lisation industrielle en France se sont inscrites dans une pers- pective volontariste. Il ne nous appartient pas de juger du bien-fondé de ces décisions mais disons seulement que la population gaspésienne a résisté et cela a donné naissance à ces opérations dites «dignité». C'est qu'en effet les change- ments dans la répartition déterminaient des ruptures de terri- torialités extrêmement mal vécues.

L'influence du pouvoir peut être plus insidieuse et moins aisée à empêcher. Nous songeons en particulier à ce projet de loi sur le chômage qui, en Suisse, s'appuie sur deux types de mobilité, d'une part la mobilité géographique et d'autre part la mobilité professionnelle. Qu'est-ce à dire que l'allocation de chômage s'assortit de l'obligation d'accepter ces deux mobilités. Dans l'hypothèse, ce n'est pas le cas actuellement, où le chômage augmenterait en Suisse (il est actuellement de 1/2 %), il faudrait s'attendre à des ruptures de territorialité pour la main-d'œuvre: ruptures géographiques et professionnelles.

Cela ne peut se traduire que par de nouveaux modèles de répartition tout à la fois régionaux et sectoriels. En d'autres termes, les concentrations, au sens où nous les avons définies, pourraient changer Cela revient à dire que l'on privilégiera le fonctionnement davantage que la régulation. L'idée étant, à partir d'une densité stable ou relativement stable de la main-

d'œuvre, de créer de nouveaux modèles de répartition de manière à faire face à des équilibres globaux dans le domaine économique. Toutefois ces répartitions orientées, sinon impo- sées, risquent si on les réalise de déchirer des pans entiers de la territorialité. C'est le danger des régulations essentiellement économiques. Dans ce cas le pouvoir choisit une régulation purement économique qui fait bon marché des autres régula- tions sociales et culturelles.

L'intervention dans les images de densité est finalement dangereuse car elle touche des «tissus» complexes qui sont le produit d'une histoire. En effet, on l'a vu les répartitions ne sont pas un rapport binaire entre des hommes et des lieux mais résultent de rapports ternaires dans lesquels intervien- nent des médiateurs (en fait des codes de différentes sortes).

Intervenir sur les médiateurs c'est modifier ou tenter de modifier les images de densité.

Dégager les éléments d'une théorie de la densité c'est met- tre en évidence le rôle du pouvoir, en fin de compte.

Bibliographie

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1.Tricot Ci. : « De la notion de densité et ses applications en scien- ces sociales». Thèse de doctorat, Paris 1970.

2. Raffestin Cl. et Tricot CL; «Essai d'un modèle probabiliste de distribution spatiale», dans Analyse spatio-temporelle en géographie (Groupe Dupont A.D.I.S.H. avec le concours du CNRS) 5, 177, 1980.

3. Raffestin Cl. et Tricot Cl.: «Essai d'un modèle probabiliste de distribution spatiale», dans Analyse spatio-temporelle en géographie (Groupe Dupont A.D.I.S.H. avec le concours du CNRS) 5, 182, 1980.

4. Raffestin Cl. et Tricot Cl. ; << Concentration et connexité ou pour une approche du concept de territorialité >> dans Modèles et politiques de l'espace économique, Editions universitaires, Fribourg 1, 181-195, 1979.

Adresse de l'auteur: Professeur Cl. Raffestin, Centre universi- taire d'écologie humaine et des sciences de l'environnement, Université de Genève, 1211 Genève 4.

Tiré à part N° 1945

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