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AUTOMOBILE : Samedi 17 mars > Départ officiel de la 28e édition du Rallye Aïcha des Gazelles du Maroc

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AUTOMOBILE : Samedi 17 mars 2018 -> Départ officiel de la 28e édition du Rallye Aïcha des Gazelles du Maroc

Départ officiel de la 28e édition du Rallye Aïcha des Gazelles du Maroc -> Promenade des Anglais – Nice…

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Départ officiel de la 28e édition du Rallye Aïcha des Gazelles du Maroc;

DEMAIN -> Samedi 17 mars 2018 – à 15 heures Promenade des Anglais – Nice

Pour la 4e année consécutive, le Rallye Aïcha des Gazelles du Maroc prendra le départ, demain, samedi 17 mars 2018, depuis la Promenade des Anglais à Nice.

En présence de Christian Estrosi, Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d’Azur,

Président délégué de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur Au programme :

> A partir de 10 heures : Ouverture du village départ au public & remise des dons des gazelles à l’association Cœur de Gazelles

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> 11 heures : Départ officiel des « E-gazelles » depuis le Palais Princier de Monaco

> 13 heures 30 : Zumba géante avec la participation des gazelles

> 13 heures 45 : Photo de groupe

> 14 heures 45 : Annonce du départ au son des percussions

> 15 heures : Départ officiels des équipages vers le Maroc…

Chiffres clés 2018 :

> 330 femmes de plus de 20 ans de 16 nationalités différentes

> 6 étapes dans le désert dont 2 marathons

> Un parcours de 1.300 kilomètres pour 6 catégories de véhicules : 4×4, crossover, camion, quad, moto ou encore voiture électrique

> & plus de 250 personnes pour l’encadrement logistique, mécanique, technique et médical.

Le Rallye Aïcha des Gazelles du Maroc

Rallye Raid hors-piste 100% féminin, le rallye Aïcha des Gazelles du Maroc est unique en son genre. Pas de GPS ou de vitesse, les gazelles, âgées de 18 à 65 ans, naviguent à l’ancienne pour un retour aux sources de l’aventure. Ce rallye est également un engagement tout au long de l’année par son association caritative « Cœur de Gazelles ». Reconnue d’intérêt général depuis sa création en 2001, cette association œuvre pour des projets solidaires qui répondent aux besoins des populations locales du Maroc.

Plus d’informations : http://www.rallyeaichadesgazelles.com Restrictions de circulation :

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Afin de permettre le bon déroulé de la manifestation, les restrictions suivantes seront prises :

> Samedi 17 mars 2018 de 7 heures à 16 heures :

– Fermeture à la circulation de la Promenade des Anglais, chaussée Sud, entre le Boulevard Gambetta et l’avenue des Phocéens, ainsi que tous les axes centraux situés sur cette portion donnant accès à la chaussée sud.

– Fermeture à la circulation du Tunnel du Congrés

> Samedi 17 mars 2018 de 09 heures 30 à 16 heures :

– Fermeture à la circulation de la Promenade des Anglais, chaussée Nord, entre l’avenue des Phocéens et l’avenue de Verdun

Pour le départ fictif, les véhicules des gazelles emprunteront la chaussée Nord de la Promenade des Anglais entre l’Avenue de Verdun et le Pont Napoléon III.

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VOILE : Solo Maître CoQ 2018 – C’est parti pour la grande course !

Après deux reports successifs (la faute à la force du vent d’abord, puis à l’état de la mer ensuite), le départ de la grande course de la 15e Solo Maître CoQ…

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Après deux reports successifs (la faute à la force du vent d’abord, puis à l’état de la mer ensuite), le départ de la grande course de la 15e Solo Maître CoQ a pu être donné à l’horaire prévu, ce vendredi.

En effet, à 13 heures précises, les 23 concurrents se sont élancés dans un flux de secteur sud-ouest d’une quinzaine de nœuds sur une mer cependant encore très formée. Si Pierre Rhimbault (Bretagne – CMB Espoir) a été le premier à couper la ligne, c’est Gildas Mahé (Breizh Cola) qui s’était installé aux commandes de la flotte au passage de la bouée de dégagement, entamant alors en tête la descente vers l’île de Ré, mais il y a fort à parier que différents leaders se succèdent régulièrement sur les 245 milles du parcours. Et pour cause, la météo risque de jouer les trouble-fêtes à de multiples reprises : grains mais aussi transitions et phases de molles étant au programme, notamment dans la journée de demain. Si la météo a largement perturbé le programme de cette 15e édition de la Solo Maître CoQ depuis mercredi, cette fois

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ça y est, les Figaristes sont partis à l’assaut de la grande course de l’épreuve, une boucle de 335 milles que la direction de course a, rappelons-le, finalement réduit à 245 milles en raison de la modification de l’horaire de départ initialement prévu hier à 13 heures.

» Nous avons pris une décision raisonnable car hier, les conditions de vent et de mer ne permettaient pas de lancer la course dans des conditions acceptables de sécurité.

Aujourd’hui, nous avons pu les envoyer dans des conditions maniables, malgré quelques méchants passages de grains et une houle toujours importante « , explique Denis Hugues.

Complications à venir

A 13 heures précises, les 23 solitaires en lice se sont donc élancés au large des Sables d’Olonne. Pierre Rhimbault, le skipper de Bretagne – CMB Espoir, positionné en bout de ligne, a pris le meilleur départ de la flotte. Reste qu’au passage de la bouée de dégagement, une demi-heure plus tard, Gildas Mahé (Breizh Cola) avait pris le commandement et c’est toujours lui qui menait les débats sur la route de l’île de Ré, en milieu d’après-midi. Le vainqueur de la course en 2012 jouait alors toutefois des coudes avec un autre ancien vainqueur de la Solo Maître CoQ, Anthony Marchand, décidemment très en forme cette semaine (il a terminé 3e de la petite course, mercredi, derrière Alexis Loison et Erwan Tabarly).

» Les premiers sont attendus aux abords de Ré vers 18 heures ce soir. A partir de ce moment-là, le vent devrait mollir (entre 6 et 13 nœuds) puis tourner au sud, voire au sud-est.

Les choses devraient néanmoins se corser à partir de demain, la faute à une grosse transition que les marins vont devoir gérer avec, à la clé, des vents instables autant que variables

« , ajoute le directeur de course.

Un jeu grand ouvert

De fait, de grosses incertitudes demeurent quant à l’évolution

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du système dépressionnaire qui doit traverser la zone de course, ce samedi. La preuve, pour l’heure, les fichiers divergent, Arome voyant un retour du vent par l’est, CEP l’envisageant par le sud-ouest. Seul point sur lequel ils s’accordent : l’intensité. Reste que le moins que l’on puisse dire, c’est que ce n’est pas franchement folichon, avec entre 5 et 10 nœuds annoncés, mais aussi de franches zones de pétole. » Aujourd’hui, les routages font passer les bateaux très à l’ouest, mais ça reste difficile de faire des plans sur la comète. Une chose est sûre cependant : les marins ne vont pas battre des records de vitesse sur la portion entre Ré et Belle-Ile « , souligne Denis Hugues qui estime une arrivée du côté des Birvideaux demain en fin de soirée, puis une arrivée sur la ligne d’arrivée dimanche, entre 4 heures et 10 heures.

Affaire à suivre donc.

Paroles de skippers

Gildas Mahé (Breizh Cola) : » Ce qui nous attend est complètement différent de ce qu’on aurait eu si on était parti hier. Là, on part pour une régate de petit temps foireuse plutôt que pour une régate de brise. Il va cependant y avoir du jeu. De plus, il reste un peu de mer. Je pense que ça va être compliqué parce que dans deux mètres de creux avec cinq nœuds de vent, les voiles claquent beaucoup. Il n’empêche que ça va être super intéressant stratégiquement. Je suis content parce que j’ai justement des voiles à tester dans ce type de conditions. Ça être bien de voir ce que ça donne pour la suite. L’idée, c’est de bien marcher. De faire une belle perf.

Je pense que le passage de l’île de Ré va être important. Il va se passer des trucs. Sur la remontée vers Belle-Ile, il va aussi y avoir du jeu. Les routages nous font aller très à l’ouest. Pour la redescente, ça reste très incertain, notamment au niveau de l’île d’Yeu. Ça va être long mais intéressant. «

Romain Baggio (Maison Meneau – Les Marins de la Lune) : » J’aborde cette grande course assez sereinement même si, a

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priori, il va y avoir pas mal de zones de transitions assez difficiles à gérer. Ce sont ces périodes avec peu de vent qui risquent d’être le plus compliqué, entre l’île de Ré et Belle- Ile. Là, il devrait y avoir à la fois la possibilité de passer à l’extérieur et à l’intérieur, ce qui laisserait un champ d’action très large et qui ouvrirait donc le jeu en grand. Il faudra faire attention à ne pas se rater. En termes de résultat, je n’attends pas grand-chose sur cette Solo Maître CoQ. Je viens de recevoir le bateau et j’ai encore beaucoup à apprendre sur les réglages. Je vais justement pouvoir évaluer mes défauts et les points à corriger pour la suite. Je vais tout faire pour faire au mieux et j’espère ne rien casser cette fois (il avait cassé le support de l’une de ses barres de flèche, mercredi, avant le départ de la petite course, ndlr). «

Vincent Biarnès (Baie de St-Brieuc) : » Les conditions sont correctes pour partir, même s’il y a encore de gros grains qui passent de temps en temps. Ça va être une course intéressante.

Il y a une situation assez complexe, avec une dépression qui va nous passer sur le corps dans la première partie de la course. Tactiquement, on va avoir du mal à positionner exactement le centre de la dépression et il va falloir réussir à se placer correctement par rapport aux autres puis réussir à aller vite, comme toujours. Il va y avoir du jeu. Je pense que ça va être assez tordu et qu’il va y avoir plein de coups à faire. Sûrement beaucoup de manœuvres aussi parce que le vent va être très instable. Il faut s’attendre à affaler le spi, le renvoyer, remettre le génois… Ça va être dur physiquement et je pense qu’on va arriver bien fatigué dimanche. L’objectif, c’est le podium. «

Alan Roberts (Seacat Services) : « Contrairement à si on était parti hier, là, on ne va pas avoir trop de vent. Ça va être très différent, mais malgré tout très intéressant, avec une phase de transition à gérer demain soir. Ça va être intéressant aussi avec la houle. Ça ne va pas être facile de

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faire avancer le bateau et ça va pimenter le jeu. Mon premier objectif, c’est de finir la course. Le deuxième c’est d’apprendre et le troisième c’est de me jauger face à la concurrence pour voir ce que je dois encore mettre en place pour la suite de la saison. Cette grande course est par ailleurs un très bon entraînement pour la dernière étape de la Solitaire à venir, qui se terminera à St Gilles-Croix-de-Vie.

«

Joan Mulloy (Taste the Atlantic – A Seafood Journey) : » Mercredi, pour la petite course, j’étais un peu stressée parce que je n’aime pas trop les régates in-shore. Je le suis aussi aujourd’hui pour cette grande course, mais un peu moins surtout que le vent a molli un peu. Ça me rassure. Hier, j’avoue que j’aurais trouvé ça vraiment chaud de prendre le départ, surtout que j’étais un peu fatiguée après la première course. Maintenant, je suis bien prête et j’ai hâte d’être au large. Cette Solo Maître CoQ est ma première course en solitaire en Figaro. Dans ce contexte, mon objectif premier, c’est de finir la course avec le bateau en bon état. J’espère aussi réussir à rester au contact des autres bizuths et de la flotte en général. «

Benjamin Dutreux (SATECO – Team Vendée Formation) : » Ça va être hyper intéressant. C’est vrai qu’il y a pas mal d’incertitudes pour cette grande course et c’est génial, des plans comme ça, parce que ça permet de progresser énormément en météo. En ce qui me concerne, c’est justement un point sur lequel je dois avancer. Clairement, il va y avoir de quoi faire. Ça risque de mettre les nerfs à l’épreuve mais j’ai hâte de prendre ma revanche après la petite course. Je suis chaud ! «

Thomas Cardrin (Team Vendée Formation) : » Je pars à l’attaque de ma première vraie grande course en Figaro. Je suis content parce que les conditions se sont nettement améliorées par rapport à ce qu’on aurait eu si on était parti hier. Là, ça va être beaucoup plus calme, avec pas mal de

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transitions. Je dirais que c’est un scénario plus adapté à un bizuth comme moi. Je vais pouvoir mener ma barque plus facilement, me concentrer sur les réglages… Je suis assez content et excité de partir. Pour moi, une belle course, ce serait de réussir à rester dans le paquet. J’espère aussi prendre des repères et faire une liste de travail précise pour les prochains entraînements afin de progresser encore et toujours en vue de la Solitaire du Figaro cet été. «

Xavier Macaire (Groupe SNEF) : » Ce qui nous attend est assez compliqué. On n’a plus le problème du vent très fort mais on a c e l u i d e s c o n d i t i o n s a l é a t o i r e s , a v e c u n c e n t r e dépressionnaire qui se promène juste sur notre zone de course.

Il va y avoir des choix à faire, entre naviguer au large ou naviguer à la côte. Je pense qu’il bien falloir s’adapter aux conditions de vent qu’on va rencontrer et essayer d’avoir du feeling au fur et à mesure de la course. Généralement, dans ce type de scénario très ouvert, je m’en sors assez bien.

Maintenant, il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. On va voir ce que ça donne. Je vais essayer de me concentrer pour bien anticiper les choses et aussi pour avoir une bonne vitesse. «

Erwan Tabarly (Armor-Lux) : « Cette fois, on y est ! J’ai hâte de me confronter aux autres, de voir où j’en suis au niveau vitesse, avec des bords un peu variés. Au final, on va avoir du vent assez léger, avec de la mer. Comme d’habitude, on va faire avec ce qu’il y a sur l’eau et essayer de s’en sortir au mieux. Le point clé de cette manche ? Une grosse transition qu’il va falloir négocier dans de la pétole. Je pense que ce sera ce qui pourra faire le plus mal et créer beaucoup d’écarts. Le tour de Belle-Ile ne sera pas simple non plus. Il n’y aura pas beaucoup de vent. Je pense que la mer va aussi nous gêner beaucoup. Ce ne sera pas évident de faire avancer le bateau. Moi j’y vais pour remporter la manche, tout simplement. Je sais que je ne suis pas le seul à avoir cet objectif et que dans lap étole, on peut vite faire une contre-

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performance mais l’idée c’est quand même d’arriver le premier aux Sables d’Olonne, dimanche. «

Ordre de passage à la bouée de dégagement : 1.Gildas Mahé (Breizh Cola)

2. Anthony Marchand (Groupe Royer – Secours Populaire) 3. Damien Cloarec (Saferail)

4. Ronan Treussart (Les Perles de Saint-Barth) 5. Xavier Macaire (Groupe SNEF)

6. Vincent Biarnès (Baie de St Brieuc) 7. Hugh Brayshaw (Kamat)

8. Pierre Quiroga (Skipper Espoir CEM – CS) 9. Charlie Dalin (Skipper Macif 2015)

10. Pierre Rhimbault (Bretagne – CMB Espoir)

Christophe Guyony, Directeur Général de Maître CoQ :

« Maître Coq est engagé depuis de nombreuses années dans la voile car nous partageons les valeurs de ce sport : l’inventivité, l’audace, l’expertise et le travail en équipe qui permettent d’atteindre l’excellence et le plaisir.

L’accessibilité des skippers et la simplicité dont font preuve tous les membres du pôle course au large des Sables d’Olonne pour promouvoir la voile, font aussi partie de nos gènes. La Solo Maître Coq est donc pour nous l’occasion de participer à un événement sportif en y associant nos clients et nos salariés dans le but de partager ces valeurs autour d’une semaine de compétition conviviale. »

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FOOTBALL : Découvrez en vidéo le pronostic de Julien Cazarre pour Olympique de Marseille vs Olympique Lyonnais

Chaque vidéo est diffusée sur le compte Twitter @WinamaxSport et le compte Facebook Winamax Sport…

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Chaque semaine, Julien Cazarre chroniqueur sportif et humoriste, livre ses pronostics pour le match phare de Ligue 1, dans » Bet & Méchant » des web-séries hebdomadaires inédites et décalées.

Chaque vidéo est diffusée sur le compte Twitter @WinamaxSport et le compte Facebook Winamax Sport.

Le fan de foot déjanté évoque aujourd’hui l’affiche de dimanche entre l’Olympique de Marseille et l’Olympique Lyonnais. Des conseils toujours prodigués à sa manière…

Vidéo = https://www.youtube.com/watch?v=JWA4RmJb1oQ

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GOLF : Goodyear, nouveau fournisseur officiel de la Fédération française de golf

Goodyear, l’un des leaders mondiaux du pneumatique, intègre le club des partenaires de la Fédération française de golf pour les deux prochaines années…

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En 2018, Goodyear devient un véritable partenaire de jeu des golfeurs membres de la Fédération française de golf.

L’équipementier de pneumatiques premium innove en déployant avec la ffgolf, un programme d’activation original et construit sur mesure pour les golfeurs. Il récompensera tous les mois les joueurs ayant parcouru le plus grand nombre de kilomètres sur les parcours de golf que ce soit dans le cadre de compétitions ou de parties amicales enregistrées dans l’Espace licencié du site de la ffgolf. Goodyear souhaite également enrichir sa relation avec les licenciés en leur dédiant une offre préférentielle et exclusive sur l’achat de pneus. Pour accompagner ces actions, Goodyear disposera d’une importante visibilité sur les supports – notamment digitaux – de la fédération pour présenter son offre et ses produits auprès des golfeurs.

Ils ont dit

Jean Lou Charon, Président de la Fédération française de golf

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:

» Nous nous réjouissons d’accueillir Goodyear comme fournisseur officiel de la Fédération française de golf.

Goodyear récompensera les golfeurs assidus dans leur pratique.

Cette démarche originale permettra à Goodyear d’entrer dans le quotidien des golfeurs de manière astucieuse. Je m’en réjouis car ce dispositif révèle notre capacité à satisfaire les attentes de nos partenaires économiques tout autant que de récompenser les pratiques de nos licenciés. Cette approche explique l’entrée récente de nouveaux partenaires dans notre club « .

Camille Mounier, directrice du marketing de Goodyear Dunlop France, explique :

» Nous sommes particulièrement heureux de devenir partenaire de la Fédération française de golf. Goodyear, qui fête cette année ses 120 ans, est une marque pionnière. Ce nouveau partenariat reflète la volonté de continuer à conquérir de nouveaux terrains mais aussi le partage de valeurs d’excellence, de performance mais aussi de confort. Nous souhaitons accompagner les golfeurs qui parcourent de nombreux kilomètres à pied sur les greens comme en voiture et espérons qu’ils pourront apprécier leur équipement en pneumatiques Goodyear été, toutes saisons ou hiver ».

A propos de la Fédération française de golf

Fondée en 1912 sous l’appellation d’Union des golfs de France, la Fédération française de golf est une association de loi 1901 déclarée d’utilité publique le 9 avril 1975 et agréée par le Ministère des sports. Elle recense aujourd’hui plus de 410 000 licenciés. Pour mémoire, elle n’en comptabilisait que 20 000 en 1970, 38 783 en 1980, 181 147 en 1990 et 291 754 en 2000. La progression du Golf est de loin l’une des plus impressionnantes du sport français sur les 30 dernières années.

68, rue Anatole-France – 92309 Levallois-Perret cedex

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www.ffgolf.org – @ffgolf – #ffgolf À propos de Goodyear

Goodyear est l’un des principaux manufacturiers de pneumatiques au monde. La société, dont le siège mondial est à Akron, aux Etats-Unis, fabrique des pneumatiques dans plus de 48 usines réparties dans 22 pays. Présent dans presque tous les pays du monde, le groupe emploie plus de 64 000 personnes.

Ses deux centres d’innovation, à Akron (Ohio) au siège de la société et à Colmar-Berg au Luxembourg conçoivent et développent des produits et services à la pointe de l’innovation, qui sont pour la plupart devenus des standards.

Retrouvez les informations presse Goodyear, photos, vidéos sur : http://news.goodyear.eu./

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