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Activité documentaire : « Quelles vitesses lors d’un saut de base jump ? » corrigé de la page 133 (livre de 4e)

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Academic year: 2022

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Activité documentaire : « Quelles vitesses lors d’un saut de base jump ? » corrigé de la page 133 (livre de 4e)

COMPÉTENCES

■ Émettre des hypothèse

■ Comprendre et interpréter des tableaux ou des documents graphiques

■ Produire et transformer des tableaux ou des documents graphiques CORRIGÉ

1. Il est probable que la plupart des élèves formulent l’hypothèse que c’est le parachute qui freine le base jumper. Si la réalité mérite une formulation plus fine, au moment de faire l’hypothèse le plus im- portant est que les élèves utilisent une formulation claire sur le statut de leur proposition : il s’agit d’une éventualité qui attend d’être confirmée.

2. Le saut a duré 60 secondes dont 35 secondes avant l’ouverture de la voile. La vitesse maximale at- teinte est de 200 km/h.

3. L’action de l’air ne freine que très peu le base jumper dans les premières secondes de sa chute comme le montre le document 3 (la vitesse augmente très vite durant ces premières secondes). On peut donc négliger cette action dans les premières secondes du saut.

4.

■ L’air et le base jumper interagissent par contact.

■ La Terre et le base jumper interagissent à distance.

5. L’air agit sur toute la surface du sauteur et non sur un point précis : son action est donc répartie.

6. DOI du sauteur lorsque la voile est ouverte :

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7. Avant l’ouverture de la toile, c’est l’action de l’air sur le base jumper (les frottements) qui limite la vi- tesse de sa chute. L’action n’est pas assez importante pour que la vitesse atteinte lui permette de tou- cher le sol sans danger. Après l’ouverture de la toile, c’est l’action de la voile sur le base jumper qui li- mite la vitesse de sa chute. Cette fois, l’action est assez importante pour que la vitesse lui permette d’at- terrir sans danger. Cependant, l’action de la voile sur le base jumper est rendue possible grâce à l’action de l’air sur la voile.

À cette question, chaque élève statue sur son hypothèse en fonction de ce qu’il lui manque.

8. La Lune ne possède pas d’atmosphère, il n’y a donc aucun gaz qui serait en mesure d’agir sur un base jumper afin de freiner sa chute, avant ou après l’ouverture de sa voile. La vitesse du sauteur à l’atterris- sage pourrait être très élevée si la hauteur de chute est assez importante. Ainsi, le base jump sur la Lune serait bien plus dangereux que sur la Terre.

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