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ILLUSTREE FRIBOURG

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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Dans ce numéro

Editorial page 3 de quoi je me mêle

pages 4-5

La Chaîne des Rôtisseurs page 7

Une collection originale page 9

Nouveaux drapeaux et nouveaux uniformes

pages 10-14 Fribourg hors les murs

page 15 L'élevage chevalin page 21 Le tétanos page 23 Les disparus pages 24-25 Memento des manifestations pages 26-27 Tirage:10500 exemplaires ®ranöe FRIBOURG ILLUSTREE PREMIER MENSUEL ILLUSTRÉ FRIBOURGEOIS

IVEMÏ 1961 £ 5î 0 c 30 o m K td S < c • <D CD 4 hd Oi fej F- O 0) (6 3 C 4 < 4 (I) bJ iy> 4 S» 3 Oi \ > * < ( > BLANCHE-NEIGE A FRIBOURG Mme Erika Aeby, dans le rôle de la méchante reine

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Le monde s'agite. Les événements internationaux sus¬ citent de l'inquiétude, pour ne pas dire de la peur. Les chré¬ tiens sentent le besoin de s'unir, de vivre mieux leurs croyan¬ ces pour former un rempart devant le communisme. Ins¬ tinctivement, les hommes libres, à l'heure du danger, se tournent vers Dieu et gardent l'espoir que les choses s'arran¬ geront sans qu'un nouveau conflit, dont l'issue resterait d'ail¬ leurs incertaine, éclate à la surface du globe.

A cette heure difficile, n'est-il pas anachronique de rap¬ peler des souvenirs qui illuminèrent notre enfance ? Ne semble-t-il pas enfantin de se réjouir à la pensée que se per¬ pétue, dans notre canton de Fribourg, en ville comme à la campagne, une tradition bien vivante: la St-Nicolas. Bien sûr, on pourrait interpréter, comme une concession au maté¬ rialisme, cet attachement à la manifestation populaire du 6 décembre, parce que les commerçants y trouvent leur compte. Mais ce n'est qu'un aspect de la fête. Il en existe d'autres qui, pour nous, comptent plus, nettement plus.

Tout d'abord, saint Nicolas a été promu au rang de patron du canton de Fribourg. « C'est l'hiver, tout est glacé, novem¬ bre est bientôt passé ...» ou bien encore « saint Nicolas, mon bon patron, apportez-moi quelque chose de bon ...» Ces chansonnettes que fredonnent les enfants, petits ou grands, en cette période, évoquent à elles seules le rôle que joue le saint. Evêque de Myre, en Asie Mineure, Nicolas mourut per¬ sécuté. Une pieuse légende lui attribua la résurrection de trois petits garçons, mis en pièces par un boucher. Ainsi, devint-il le patron des garçons et des jeunes gens. Dès le moyen âge, saint Nicolas passa pour celui qui apportait des cadeaux aux enfants sages. La tradition s'est perpétuée... Fribourg lui consacra sa cathédrale et, par extension, se plaça sous sa protection. Il convient de se remémorer ces

quelques faits, pour replacer l'ensemble de la fête, sous son jour ... (ou son soir) véritable.

Eh oui, il s'agit bien du soir, à l'heure ou la nuit, qui est descendue très tôt, commence à se reposer. Sant Nicolas, accompagné des anges, descend sur la terre. Suit à quelque distance le Père fouettard. Comme par enchantement, l'âne qui lui aidera à parcourir les rues et les chemins se trouve là. On lui réservera un peu d'avoine et de foin. C'est du moins ce que nous préparions dans l'après-midi du 6 décembre. Il y avait toujours quelque mystère pendant ces jours. Les parents s'étaient absentés pour apporter à saint Nicolas l'in¬ vitation de la famille. Comme nous, ils attendaient mainte¬ nant sa visite. Une clochette tintait. La crosse heurtait la porte de la maison. Craintifs d'abord, confiants par la suite, nous ouvrions des yeux émerveillés. Venait la distribution des cadeaux. Pas question d'automobiles actionnées par un vrai moteur, d'une poupée parlante ou d'un fœhn électrique pour la grande sœur. Un cheval de bois, un tablier à carreaux, une poupée en chiffons, quelques oranges... les seules de l'an¬ née, suffisaient à notre bonheur.

Ensuite, nous écoutions les conseils et recommandations, nous subissions la petite punition infligée par le Père fouet- tard. Le lendemain, avec les copains, nous procédions à l'in¬ ventaire des cadeaux. Les veinards, ils avaient reçu plus et mieux. A cet âge déjà on envie ce que possèdent les autres ! Fribourg-ville réserve un accueil grandiose à saint Nicolas. Elle lui envoie, comme messagers, les collégiens. Du haut du porche de la cathédrale, le saint bénit sa cité, puis il repart au ciel. Il espère que nous nous inspirerons de ses consignes. Mais voilà, nous autres les grands, nous croyons qu'elles ne s'adressent qu'aux enfants. Nous nous prenons au sérieux et c'est là une de nos erreurs. Nous y penserons au soir du 6 décembre. Fribourg-Illustré - Reflets fribourgeois

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par teddy aeby et jean-claude fontana

Dire que je remercie le ciel tous les matins de ce qu'il m'a fait naître Fribourgeois plutôt que guerrier Baluba, serait nettement exagéré. D'autant plus que, pour être juste, j'aurais à le remercier pour bien d'autres choses encore, et qu'après lui avoir fait beau¬ coup de compliments, j'en profiterais forcément pour formuler quelques revendications ABSOLUMENT nécessaires.

J'y passerais une bonne partie de la matinée, et n'aurais plus le temps de terminer tous mes petits dessins.

Heureusement, le Bon Dieu n'en demande pas tant; il sait que je me sens bien là où il m'a mis, même si je ne le dis pas tous les jours, et même si je ne le pense pas tous les jours.

Pour l'heure, plutôt que d'écrire (après tout ce n'est pas mon métier), je préfère- rais rouler ma capote militaire sur le carreau de la cuisine, comme le font vraisembla¬ blement en cet instant, tous les mâles du canton jugés aptes à manier la hache de guerre. En fait nous serons initiés non à la hache, mais aux mystères du nouveau fusil d'assaut. Les cérémonies dureront trois semaines pour les guerriers simples et un peu plus pour les guerriers compliqués. Durant cette période nous serons vêtus de tenues spéciales, dites de combat, qui transformeront les armaillis les plus costauds en invi¬ sibles caméléons. Quand paraîtront ces lignes, chaque soldat fribourgeois ressemblera à un plus ou moins gros tas de feuilles mortes. Avec cette différence qu'un tas de feuilles mortes ne pourra jamais étendre raides morts, d'une seule pression du doigt, une dizaine de méchants envahisseurs.

D'où l'inutilité d'expliquer plus en détail les avantages du fusil d'assaut par rap¬ port à la hache.

Mais revenons à Fribourg. Ecrire, aujourd'hui, sur ce thème me paraît, bien diffi¬ cile. Ceux qui ne m'aiment pas diront que je le prouve, et que, de plus, il est bien impro¬ bable que j'aurais écrit mieux un autre jour.

Départ... arrivée... les (/estes sont les

Charles Monnard, un artiste installé à Fribourg.

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Depuis les mémorables fêles du 800e, il semble que tout a été dit,. Tout le monde

connaît son histoire par cœur, et il ne se trouve sûrement personne qui n'ait admiré tous nos trésors artistiques exhumés à cette occasion. Donc, du côté du passé, rien de neuf (!), et c'est pareil en ce qui concerne l'actualité: Pas de femme coupée en mor¬ ceaux, pas de pétrole, pas d'autoroute, et pas le plus petit scandale.

Après tout j'aime mieux ça, tant il est vrai que les peuples heureux n'ont pas d'histoire(s). Cela m'évite d'en raconter, vous épargne la peine de me lire, el j'ai encore le temps de faire briller ma gamelle.

Ce journal devant justifier son titre d'illustré, j'ai pensé que quelques images de Jean-Claude Fontana remplaceraient, avantageusement, ma prose d'amateur. Je lui ai donc demandé d'ouvrir l'œil à ma place et de nous apporter quelques photos inédiles. Pour l'instant je n'en connais qu'une, et c'est celle qui représente Charles Monnard, luthier, Planche-Supérieure 4, à Fribourg. La chose mérite d'être signalée puisque, de¬ puis la lin du 18e siècle, cette corporation n'était plus représentée à Fribourg. A l'heure

actuelle, la Suisse ne compte d'ailleurs guère plus d'une trentaine de luthiers, et on est en droit de se demander d'où viennent tous les « violons enchantés » de Ilellmul Zacha¬ rias el des autres, qui sévissent sur les ondes de tous les émetteurs radio du monde.

Monnard est diplômé de l'Kcole suisse de lutherie, à Hrienz. et il a parfait son ap¬ prentissage par de nombreux stages à l'étranger: Francfort. Mittenwald et Bruxelles. Son amour va tout particulièrement à la restauration et fabrication d'instruments an¬ ciens. tels (pie la vielle et la viole de gambe.

Si votre (ils vous pousse au suicide en faisant ses exercices, consultez Monnard; il vous conseillera utilement : réparer le violon, changer de violon ou changer d'enfanl. Fil Hasse Ville encore, [tour être précis, au bas des escaliers du Court-Chemin, le groupe « Mouvement » prépare fiévreusement son exposition d'automne. La « Galerie de la Cité », qui abritera les œuvres de jeunes artistes-peintres, sculpteurs et photo¬ graphes fribourgeois, mérite une visite.

11 est évident que, sur une cinquantaine d'œuvres qui vous seront présentées, il y en aura forcément une qui vous plaira davantage que les autres.

Ce qui ne prouvera pas du tout (pie ce soit la meilleure.

Albin Kolly, peintre, exposera avec les membres du groupe «Mouvement ».

La Galerie de la Cité, refuge modesle, mais sincère, de l'art fribourgeois.

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C'est à Genève que se tint le mois dernier, le 2e Congrès mondial

de la gastronomie. Au Grand Casino, en présence d'une foule qui ne cessa d'augmenter, on inaugura une exposition gastronomique où étaient présentées les réussites d'une centaine de chefs renommés de notre pays et de l'étranger. Parmi eux, figuraient trois ambassadeurs de la gastronomie fribourgeoise: L'Uostellerie du St-Georges (photo ci-contre), la Maison Dvna S.A. (ci-dessous) et le Buffet de la Gare, à Frihourg (en bas à droite).

Dans le cadre de ce Congrès eut lieu la cérémonie des intronisa¬ tions. Ci-dessus: Mmu Anselme Comba du Restaurant gruérien à

Bulle est solennellement reçue dans la Chaîne des Rôtisseurs, digne consécration do la répuLation gastronomique de son établissement. Ci-contre: les trois nouveaux chevaliers fribourgeois entourant Mme

Comba: de gauche à droite: MM. Pierre Robadey, Emile Panohaud et Gérard Glasson.

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Quatre cents caricatures

de Claude Vallin

ont été... oblitérées par

tous les offices postaux de notre planète

Il y a trois sortes de collectionneurs:

— Les classiques, qui vouent un soin attendrissant aux timbres-poste et aux cartes postales... quand ce n'est pas aux tableaux de maîtres. — Les excentriques, qui stockent sans but bien précis des emballages de camemberts, des bagues de cigares ou des boîtes d'allumettes... quand ce ne sont pas des roues de brouettes.

— Enfin, il y a ceux qui font preuve d'imagination, d'esprit, d'humour et de talent, en «montant » une collection originale, qui veut dire quelque chose ou qui constitue un document de notre temps.

Claude Vallin se range indiscutablement dans cette dernière catégorie. Ce jeune Bordelais de Genève est avant tout un artiste de grand talent. Peu de caricaturistes, de par le monde, possèdent son coup de crayon... et ses dispositions satiriques !

Son humour impertinent, Claude Vallin l'a exercé aux dépens d'une cen¬ taine de pays, c'est-à-dire la totalité de ceux qui composent notre planète. Ce ne fut pas une petite affaire. Il consacra quatre années à ce travail de titan, qui nécessita une abondante documentation géographique et historique.

Le procédé de Claude Vallin fut génial dans sa simplicité même, plusieurs enveloppes, contenant chacune une lettre volontairement banale, furent en¬ voyées en divers points de tous les pays. L'adresse du destinataire était natu¬ rellement fictive, purement imaginaire, afin que la missive, non distribuée, soit retournée à son expéditeur, après avoir été oblitérée au lieu de son cours séjour.

L'exploit serait à la portée de tout le monde (et encore fallait-il y penser !) s'il s'était agi de lettres normales...

Mais avant d'être collectionneur, Claude Vallin est artiste !

Et chacune des enveloppes qu'il envoya ainsi à tous les azimuts peut être qualifiée d'œuvre d'art ...

Du folklore à la légende

Claude Vallin peut se vanter d'avoir retenu l'attention des postiers du monde entier, car il est bien certain que, nulle part, du Cambodge au Groen¬ land, en [lassant par l'Equateur et la Nouvelle Orléans, ses lettres ne passèrent inaperçues !

Pour décorer à sa verveuse manière les enveloppes destinées à cent na¬ tions, l'artiste a pris pour thème soit le folklore, soit une des légendes du pays correspondant. Souvent une pointe politique malicieuse se glissa, allusion iro¬ nique, subtile comme la touche d'un peintre de génie.

Sur le frêle rectangle de papier qu'il envoya (depuis Bordeaux) à un ima¬ ginaire correspondant londonien, Claude Vallin a dessiné un superbe pavillon britannique flottant derrière une statue. La dite statue représente un général qui. les mains placées en porte-voix, semble crier quelque chose de retentis¬ sant. Sur le socle, on peut lire une inscription discrète: Général Cambrone. La lettre est revenue de Londres sans le moindre commentaire de la part des facteurs anglais. C'est peut-être une nouvelle manifestation de l'humour et du fair-play britanniques?

L'enveloppe yougoslave a certainement provoqué bien des sourires... On peut y voir dessinée l'Ile de Hab, et la silhouette typique d'un Anglo-Saxon qui demande au Maréchal Tito:

« Et celle-là, vous l'avez en trop ?

S'il n'était pas dessinateur satirique. Claude Vallin pourrait être chanson¬ nier !

Claude Yullin explique que cette lettre a fait !e tour du monde ...

Presque toutes les lettres sont revenues

Sur les 41)0 lettres qu'il envoya (laus l'espace terrestre, plus de 400 revinrent à leur point, de départ. Beaucoup avaient été ouvertes. D'autres, pourtant expédiées dans des pays dictatoriaux, gardèrent leur secret., malgré l'invite que l'auteur y avait fait figurer:

« Pour faciliter le travail de la censure, ouvrir ici, en suivant, le pointillé ... »

Malgré les charges parfois insidieuses que cons¬ tituaient les croquis en couleurs de Claude Vallin, malgré l'irrespect, de certaines caricatures (l'hu¬ mour de l'artiste claque souvent comme un coup de fouet), la quasi totalité des missives adressées dans les pays d'au-delà le rideau de fer, y compris la Hussie et la Hongrie en pleine révolution, la Chine communiste, l'Argentine en troubles, la Corée en guerre, revinrent intactes, au domicile bor¬ delais de l'expéditeur.

Ce qui tend à démontrer que, dans tous les pays du monde, la poste est une chose infiniment sé¬ rieuse, quoi qu'en ait dit le bon Georges Courteline !

Seul le Brésil reste sans écho ...

La collection de Claude Vallin représente natu¬ rellement une valeur que l'on ne peut pas chiffrer. Elle symbolise, elle cristallise le rêve de l'ar¬ tiste, qui fit en pensée les voyages fabuleux qu'il ne put effectuer dans la réalité, puisque chaque enveloppe de retour est une page d'aventure, par¬ fois un petit roman ...

Mené Terrier Chaque enveloppe, décorée en fonction de la couleur locale du pays destinataire, est revenue, oblitérée, à l'expéditeur.

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I vin m ; vu I j ;

sous les plis de son

nouveau drapeau

Grande et belle fête que celle qui se déroula à Fribourg le dernier dimanche d'octobre. L'un des trois corps ofliciels de la ville, 1'« Union instrumentale », inaugu¬ rait un nouveau drapeau. La veille déjà, heureux prélude, un grand concert de gala réunissait un nombreux public à l'Aula de l'Université. Il fut le témoignage vivant de l'excellente entente qui règne entre les quatre musiques de la ville.

Le dimanche matin, un cortège haut en couleurs traversa solennellement les rues de Fribourg pour aboutir à la Cathédrale St-Nicolas, où le Chanoine Paul von der Weid, Rd curé de Ville, bénit l'étendard, après que M. l'abbé Ducotterd eut pro¬ noncé une prenante allocution.

Photo du haut: Fièrement, l'Union ins¬ trumentale défile dans les rues de Fribourg. Au milieu à gauche: Cachant encore ses couleurs azur, la nouvelle bannière, portée par quatre demoiselles d'honneur, fait son entrée dans la cathédrale.

Ci-dessus: Dans le cadre vénérable de la cathédrale, le chanoine Paul von der W eid bénit le nouvel emblcme, en présence du parrain et de la marraine, le Dr Max Aebi- scher, syndic de Fribourg, et Mme Paul

Mossu, épouse du directeur honoraire de la société.

Ci-contre: Le samedi soir, l'Union instru¬ mentale mettait un brillant point final au concert de gala donné par les quatre musiques de la ville en interprétant la « Marche triomphale d'Aida ».

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a Tissue ae ia ceremome reli¬ gieuse, le cortège se reforma pour traverser une nouvelle fois la ville et se rendre au Restaurant de la Grenette où se déroula l'agape offi¬ cielle toute empreinte d'amitié. M. François Briod, sous-directeur de la Brasserie Beauregard, qui avait pré¬ sidé avec « brio » le comité d'orga¬ nisation, remercia-ses nombreux col¬ laborateurs. M. Rémi Brodard, pré¬ sident des tribunaux de la Veveyse et de la Glane, qui conduit les des¬ tinées de la société, eut des paroles aimables à l'adresse de tous les invi¬ tés du jour. Plusieurs orateurs ap¬ portèrent leurs gerbes de vœux et de félicitations: MM. René Ducrv, président du Grand Conseil et pré¬ sident de La Landwehr, José Py¬ thon, porte-parole du gouverne¬ ment et de la ville, le chanoine Paul von der Weid, Rd curé de Ville, Max Aebischer, syndic et parrain du dra¬ peau, Charles Henning, de Gruyères, porte-parole de la Société cantonale des musiques et de ses quelque 3000 membres, Charles Guggenheim, in¬ terprète des sociétés de musique lo¬ cales, et Henri Favre, de Marly, in¬ terprète des sociétés amies de l'exté¬ rieur. Enfin, des bouquets furent remis aux présidents Brodard et Briod, qui, très gracieusement, les offrirent à leurs épouses (photos de gauche). Belle fête en un mot, dont tous les participants garderont le meilleur souvenir. Souhaitons à l'Union instrumentale joie et pros¬ périté dans son avenir.

A droite:

M. Henri Favre, de Marly, le porle- oarole des nombreuses sociétés amies.

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Durant l'année qui s achève, d autres sociétés de musique ont été en fête, notamment à l'oc¬ casion d'inauguration de nouveaux uniformes. Ainsi, ce printemps, la Fanfare de Cottens, forte de 24 exécutants et dirigée précisément par un membre de l'Union Instrumentale de Fribourg, M.Marc Schraner, inaugurait ses uniformes four¬ nis par M. Henri Stolz à Fribourg.

Et cette vaillante fanfare fit une excellente im¬ pression lors de la fête régionale de Neyruz à laquelle elle participa. D'ores et déjà, elle invite ses nombreux amis à son prochain concert tra¬ ditionnel à Pâques.

La société de musique « L'Alpenrose » de Belle- garde n'a point renié son costume d'armailli. Toutefois, elle s'est donné, pour les mauvais jours, un nouvel uniforme; il s'agit en fait des anciens costumes de la fanfare de Vuadens. Le jour de l'inauguration, ces deux sociétés n'ont pas manqué de fraterniser.

La fanfare de Bellegarde dans ses nouveaux

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C'est en janvier 1957 que la fanfare de St-Martin fut créée. A la fin de la même année, elle se produisait déjà pour accueil¬ lir le nouveau chef de la paroisse, M. l'abbé Ducry. L'été dernier, elle se donnait un drapeau et, en ce dimanche 13 mai, elle inaugurait ses nouveaux uniformes. La société de Sl-Marlin dans son nouveau costume entourant, au premier plan, M. l'abbé Ducry, ainsi que le parrain et la marraine de son drapeau.

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Bien vivant

le Cercle fribourgeois de Renens et environs

Il est de tradition que le Cercle fribourgeois de Renens et en¬ virons organise chaque au¬ tomne sa soirée annuelle à l'intention de ses membres et de ses nombreux amis.

Les souhaits de bienvenue du président, XI. Paul Ge- noud, devenu pour quelques instants un vaillant ar¬ mai lli.

Ci-dessus: Pour la première /ois, les membres du Cercle se présentèrent à leur public avec le seyant costume du pays. Ci- contre: Un jeune tambour qui promet. A droite: XI. Ernest Grivel, secrétaire général de l'Association Joseph-Bovet, en conversation avec un membre fondateur, XI. Alfred Jordan, de Domdidier, depuis 50 ans en terre vaudoise. Tout à droite: XI. Emile Savoy, ins¬ trumentiste et compositeur, qui débuta à l'âge de 16 ans, dans la fanfare d'Alialens et qui, malgré ses 80 ans, demeure un fidèle membre actif de l'Har¬ monie de Renens.

La soirée fut agrémentée par des productions chorales et chorégraphiques du groupe « Xton Pays » de Fribourg, qui se produisait pour la première fois sous la baguette de son nouveau directeur, M. Paul Xiacherel, successeur de M. Gérald Xlaradan, parti pour le Katanga. De même l'Harmonie de Renens prouva les liens d'amitié qui unissent le Cercle fribourgeois aux autres sociétés locales en participant active¬ ment au déroulement de cette soirée sous la conduite de son chef, M. Jean liallissat.

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VACHERIN

Ah ! la bonne fondue fribourgeoise

Il suffit (le contempler ces visages pour qu'il soif superflu de venter les charmes d'une bonne fondue fribourgeoise. Y goû¬ ter une fois, c'est y revenir à coup sur! Mais, s'il va de soi que pour bien réussir les fondues en général, la qualité du fromage est déterminante, cela est d'autant plus vrai encore pour la fon¬ due au vacherin. Ceci dit, rappelons-en la recette :

Pour la préparation de cette fondue, pas de vin! De l'eau chaude, très peu ; une cuillerée pour 200 gr. par personne de cet excellent vacherin fribourgeois. Frottez avec une gousse d'ail l'intérieur du caquelon. Coupez en petits dés le vacherin, puis le chauffer dans le caquelon à feu très doux. La fondue fribourgeoi¬ se ne doit jamais cuire, ni monter. Ecrasez les carrelets de va¬ cherin à la fourchette et remuez jusqu'à consistance d'une crè¬ me bien lisse. Salez et poivrez à volonté.

Servez sur un réchaud à toute petite flamme, juste pour maintenir au chaud. ... Et bon appétit !

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32 poulins

37 pouliches de 3, 2 et 1 année

A la table de pointage, ces Messieurs ! De gauche à droite :

MM. Louis Repond, président du ijury cantonal: Henri Rendre, président du syndicat ■chevalin de la Sarine „■ ï'wvA Vermeille, prési¬ dent du jury fédéral: Jules M wet, surtout curieux du résultat; Julien Chêne. expert fédéral.

HOXORIUS : jeune étalon, grand espoir pour l'exposition natio¬ nale de Lausanne. Propriétaire: fiodolphe Herren, de Givisiez. Honorius a été présenté avec un loi extraordinaire de descendants: 15 poulains ont obtenu le maximum de &Q points.

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Un exemple frappanf de maladie redoutable, facilement évifable :

LE TETANOS

Madame H.... se piquait de faire du bri¬ colage et se livrait souvent à de menues be¬ sognes pour lesquelles, à vrai dire, elle n'é¬ tait pas toujours bien préparée.

Ce jour-là, munie d'un marteau, elle en¬ fonçait un clou dans le mur mais elle sur¬ estimait probablement son adresse car, à un moment donné, elle frappa avec le lourd outil son index allongé contre le mur. Sous la douleur, elle poussa un petit cri et son premier réflexe fut de plonger son doigt dans l'eau froide. Cela la soulagea quelque peu et le soir elle n'y aurait plus pensé si quelques élancements et la coloration bleue de son ongle n'avaient témoigné d'un petit épan- chement sanguin sous celui-ci.

Quoi de plus banal me direz-vous ?

Effectivement, rien n'est plus banal. N'em¬ pêche que quatre jours après exactement, Madame H.... était morte du tétanos dans d'atroces souffrances.

Le tétanos est dû à un bacille qui fut dé¬ couvert par Nicolaïer au siècle dernier. Ce bacille sécrète une toxine qui agit sur les centres nerveux. En fait, il est très répandu dans la nature où il se conserve sous forme de spores et c'est un véritable miracle que la maladie ne soit pas plus fréquente. Elle est même relativement rare, mais moins sans doute qu'on ne le croit communément et son pronostic est des plus fâcheux puis¬ qu'elle entraîne la mort dans environ quatre cas sur dix.

Si les femmes payent un lourd tribut au tétanos, cela vient en grande partie du fait qu'elles ne sont souvent pas vaccinées ou qu'elles le sont mal. Les hommes, grâce au service militaire (on voit que celui-ci a de bons côtés) sont bien mieux protégés. Encore que la négligence fasse que peu d'adultes jugent utile de se faire pratiquer une injection de rappel bien que l'immunité décline avec le temps. Ce qui explique que, vers la soixan¬ taine, autant d'hommes que de femmes soient atteints.

La pauvre madame H.... dont nous avons fort brièvement relaté la triste histoire, devait présenter successivement les diffé¬ rents symptômes classiquement rencontrés dans le tétanos. Vous noterez la rapidité de l'évolution du mal. En fait, l'incubation du tétanos est variable suivant les cas et l'on sait que, plus les signes sont vite apparus, plus la maladie sera grave et qu'il faudra redouter un pronostic fatal. Les premiers symptômes peuvent apparaître dès la 48me

heure. Mais ils peuvent aussi ne survenir que bien plus tard, deux mois après, voire plus. Inutile de dire alors la difficulté du diagnostic, la porte d'entrée souvent bien minime étant oubliée du malade lui-même.

Le premier signe à apparaître est le trismus. Il s'agit essentiellement d'une contracture

douloureuse des muscles de la mâchoire. Au début, celle-ci est de peu d'importance et seule l'ouverture de la bouche est gênée. Puis les dents supérieures et inférieures res¬ tent littéralement soudées les unes aux autres, empêchant l'alimentation. Cette manifesta¬ tion n'est pas sans soulever des discussions lorsqu'elle se déclenche car, si l'on n'a plus en mémoire la notion d'une petite plaie, on peut penser à une infection dentaire qui peut très bien provoquer un trismus. Cette con¬ tracture s'étend ensuite aux muscles de la gorge et de la nuque tandis que l'état général s'aggrave et que la température s'allume. Un à deux jours après, les contractures sont généralisées. Elles sont douloureuses et per¬ manentes avec des accès paroxystiques. Le trismus est tel qu'il donne à la face un aspect spécial que l'on a appelé le « rire sardonique ». L'alimentation est impossible. La nuque est rejetée en arrière, muscles du tronc et du dos sont spasmés de sorte que le malade semble tendu comme un arc et, qu'à l'extrê¬ me, seuls sa nuque et ses talons touchent le plan du lit. Ce raidissement survient par spas¬ mes de quelques secondes, arrachant des cris de douleur au malheureux sujet. La tempé¬ rature peut monter très haut, surtout dans les formes graves. Parfois le spasme s'étend aux muscles respiratoires et à la glotte, pro¬ voquant la mort par asphyxie.

Mais ce qu'il y a de plus atroce, c'est que, pendant toute la durée de la maladie, la sensibilité et la conscience sont intactes et le tétanique assiste impuissant à l'évolution de son mal.

Heureusement, tous les tétanos ne se ter¬ minent pas par la mort au milieu des troubles de la respiration. Madame H... emportée en quatre jours, avait fait une forme suraiguë. Mais il existe un tétanos chronique, avec incubation plus lente d'une à quatre semaines, où les contractures s'installent progressi¬ vement, où les paroxysmes sont moins in¬ tenses. Après une alternance de crises et de rémissions, la convalescence s'établit lente¬ ment et le malade guérit, quelquefois au prix de rétractions de certains muscles ou tendons. Parfois le tétanos ne prend pas l'allure généralisée que nous lui avons décrite mais reste localisé au lieu où s'est produite l'in¬ cubation. Le plus souvent, il s'agit de la tête ou des membres. Dans le premier cas, à la suite d'une plaie de la face, d'une intervention sur les amygdales, voire d'une simple carie dentaire, les contractures se limitent aux muscles de la mâchoire ou de la gorge. Le spasme de la glotte est ici particulièrement à redouter. Dans les cas où le tétanos reste localisé aux membres, les contractures ne s'étendent pas et souvent la guérison survient. On admet que si, au 10me jour de l'évolution,

le malade vit toujours, il aura de bonnes chances de guérir.

Nous avons vu que Madame II.... a con¬ tracté la maladie à la suite d'un épancliement de sang sous l'ongle. C'est l'hématome sous- unguéal, fort répandu et trop négligé, car il détermine assez fréquemment la maladie. Toutes les plaies peuvent théoriquement l'oc¬ casionner, y compris les plaies minimes (échardes de bois, piqûres d'objets métal¬ liques). Les opérations chirurgicalles en sont aussi parfois la cause et les avortements criminels occasionnent un tétanos spécial, dit « tétanos splanchnique », toujours grave, souvent fatal. Citons aussi les ulcères vari¬ queux, porte d'entrée toute trouvée de la maladie.

Le tétanos est une affection plus répandue à la campagne qu'à la ville et les paysans sont par conséquent plus fréquement atteints. Les spores tétaniques, en effet, sont très résistantes et peuvent vivre très longtemps dans la terre où elles sont très nombreuses. Cette maladie si grave serait un effroyable fléau —- elle l'était du reste autrefois — si la vaccination ne l'avait rendue très rare. Le cas fut particulièrement net au cours de la seconde guerre mondiale où les cas de tétanos furent infimes à côté de ceux de la guerre 1914-1918. C'est aux travaux de Roux et de Ramon que nous devons le vaccin, aujourd' hui la plupart du temps associé au vaccin antidiphtérique.

La vaccination est d'autant plus néces¬ saire qu'il n'existe pas de traitement radical contre le tétanos. Certes les procédés de réa¬ nimations modernes permettent des guéri- sons plus fréquentes que jadis. Dès que le diagnostic est fait, il faut injecter au malade 80 à 100 000 U. de sérum auquel on associe l'anatoxithérapie. Placé dans une chambre isolée et après que la plaie d'origine ait été soigneusement nettoyée en milieu chirur¬ gical, le malade est mis aux antibiotiques et à la corticothérapie et soumis à des médi¬ cations sédatives destinées à réduire l'an¬ xiété et à diminuer l'excitabilité neuro¬ musculaire. Dans les cas graves, trachéotomie et curarisation avec respiration artificielle sont nécessaires.

Concluons : Si Madame II.... avait été vaccinée, elle en aurait été probablement quitte avec un simple hématome douloureux dont elle aurait pu apprécier les teintes changeantes. Ne faisons pas comme elle. Et surtout chez les paysans, les artisans et tous les sujets exposés par leur métier au risque tétanigène, pratiquons la vaccination antitétanique absolument inoffensive et très efficace, sans oublier les rappels périodiques qui entretiendront valablement l'immunité, en se souvenant qu'une vaccination correcte, avec rappel l'année suivante, protège pen¬ dant 15 ou 20 ans environ. Prudence est mère de sûreté !

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Myr Hubert Delatena BOTTERENS

décédé en clinique, à Berne, à l'âge de H6 ans. Né à Hotterens, il fit ses études théologiques à Home, où il fut ordonné prêtre en 1899. Il faisait partie du Conseil central de l'Oeuvre de St-Pierrc apôtre, et consacra la plus grande partie de son existence au service des Missions, en particu¬ lier à la cause du clergé indigène.

M. René de Lostalot BULLE

décédé après une brève maladie à l'âge de N4 ans. Français d'origine, il passa sa jeunesse en Gruyère puis s'établit à Lyon, en qualité d'ingé¬ nieur chimiste. L'âge venu, il se retira en Gruyère et reçut la bourgeoisie d'honneur de Huile en reconnaissance pour ses dons très généreux.

Mlle Jeanne Bouquet LA ROCHE

cette excellente personne est décédée à l'âge de 66 ans, après une existence humble et méritante, vouée au ser¬ vice de sa parenté. Très pieuse, elle était tertiaire de St-François et auxi¬ liaire de la Légion de Marie. Elle était la tante de M. Jean Brodard, huissier au Tribunal de la Gruyère.

M. Léon Menoud LA TOCR-IIK-THEME

enlevé subitement à l'affection de sa famille à l'âge de 68 ans. Journalier il travailla dans divers chantiers et entreprises. C'était un bon ouvrier. Ayant toujours le sourire, il fut, jus¬ qu'à la fin, l'époux attentif et préve¬ nant, le papa aimé de ses trois enfants.

M. Emile Rotzelter RIAZ

décédé subitement à l'âge de 78 ans. Ï1 exploitait une ferme isolée au lieu dit « En Chanipy » à la limite des com¬ munes de Vuadens et de Riaz. Par son labeur, il avait élevé une belle famille de onze enfants.

Mme Aima Overnev CE RM AT

décédée après une cruelle maladie dans sa 50e année. Epouse de M. Paul Over¬

ney, conseiller paroissial et commu¬ nal, elle était la fille de M. et Mme Vic¬ tor Andrey-Schwartz à la Valsainte, qui ont ainsi vu disparaître leurs trois enfants, deux fils ayant déjà précédé leur fille dans la tombe.

M. Jules Douyoud VUADENS

enlevé prématurément à l'affection de sa famille à l'âge de 46 ans. Avant sa maladie, il travailla soit comme ouvrier de commune, soit comme bûcheron, soit comme faneur. Se¬ condé par une épouse aimante, il éleva une belle famille de 5 enfants.

M. Léon Bussard GENÈVE

décédé subitement à l'âge de 35 ans. Fils de M. Raymond Hussard, de Pringv, il avait passé toute sa jeu¬ nesse dans ce village avant de s'éta¬ blir à Genève, où il travaillait à la Compagnie des Tramways. Dans son jeune foyer souriait un garçonnet qui faisait sa joie.

Aline Marie Jaquier IM« »MASENS

enlevée à l'affection de sa famille, dans sa 88e année. Elle était l'épouse

de M. Pierre Jaquier, agriculteur avec qui elle avait fêté l'année dernière ses 65 ans de mariage. Son fidèle compa¬ gnon devait la suivre dans la tombe deux mois et demi plus tard.

M. Pierre Jaquier PROMASENS

doyen de la commune, il est décédé dans sa 90' année. Il siéga pendant 55 ans au Conseil communal, appor¬ tant dans l'exercice de ses mandats son savoir-faire et son bon cœur. Il siégeait également au Conseil d'admi¬ nistration de la Caisse d'épargne de Promasens et au comité de la Société de laiterie.

M. Léon Genoud CHATEL-ST-DENIS

décédé dans sa 79* année. Avec M. Robert Colliard, il fut l'un des fon¬ dateurs du parti agrarien. Il siéga à deux reprises au Conseil communal. II fit partie du Groupe des armaillis de la Fête des Vignerons de 1927. Célibataire, il avait 146 neveux et petits-neveux.

M. Joseph Mayne MORLENS

décédé dans sa 75e année après une

courte maladie. C'était un paysan actif et intelligent, très attaché à sa terre et à ses traditions. Célibataire estimé, il laisse à ses neveux un bel exemple de vie chrétienne. Il était l'oncle de M. Henri Magne, syndic de Morlens.

M. Aujjuste Oausaz LUSSY

décédé après une longue et pénible maladie à l'âge de 55 ans. Très chré¬ tien, il supporta cette épreuve avec résignation. 11 était boisselier. Il siéga au Conseil communal de sa localité. Il était le Irère de M. le Doyen Paul Crausaz, Rd curé de Surpierre.

Sr Marie-lMacide Braillard ROMONT

Mme Anj|èle Berset VILLARGIROUD

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fille de M. Léon Braillard à Montet (Glâne), elle est décédée au Couvent de la Fille-Dieu à Romont à l'âge de 50 ans et dans la vingt-deuxième an¬ née de sa profession religieuse.

née Berset, elle est décédée dans su 86« année. Elle était la veuve de feu Emile Berset, ancien secrétaire com¬ munal et mère de M. Georges Berset, juge au Tribunal. Elle fut une bonne maman pour ses douze enfants, dont huit sont encore vivants.

Jean-Marie Chammartin LES GLANES

enlevé, à l'âge de 16 ans, à l'affection de ses parents, après une longue ma¬ ladie courageusement supportée. Il laisse dans le cœur de ses parents et dans celui de tous ceux qui l'ont approché un souvenir lumineux, par son calme, son courage et sa sérénité.

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M. Louis Planehcrel FRIBOURG

ancien professeur à l'Ecole secon¬ daire des garçons, où il enseigna pen¬ dant 45 ans, il avait pris sa retraite il y a quatorze mois. La mort vint le surprendre à l'âge de 69 ans. C'était un excellent pédagogue. Père pré¬ voyant, il n'épargna pas ses peines pour donner à ses quatre fils une ex¬ cellente instruction.

M. Dr Max Bullet FRIBOURG

décédé à l'âge de 87 ans. Praticien très consciencieux, il exerça long¬ temps l'art dentaire à Fribourg. Ap¬ partenant à une très ancienne famille d'Estavayer-le-Lac, il exprima le désir de dormir son dernier sommeil dans la coquette cité broyarde.

M. Léon Pytlioud FRIBOURG

pieusement décédé dans sa 83e an¬

née. Il passa 49 ans au service des Entreprises électriques fribourgeoises, dont il était ancien chef d'usine.

M. Léon Roulin FRIBOURG

décédé subitement à l'âge de 66 ans. Pendant plus de quarante ans, il fut au service de la Maison Dossenbach. Pour ses patrons, il fut un collabora¬ teur dévoué et fidèle. Il était très atta¬ ché à sa chère « Mutuelle » dont il était membre vétéran.

M. Charles Eyger FRIBOURG

victime, en septembre I960, d'un acci¬ dent dont il ne devait pas se remettre, il supporta vaillamment sa pénible épreuve. Il était peintre-gypseur. Il a été enlevé subitement à l'affection des siens, à l'âge de 57 ans.

M. Charles Roth FRIBOURG

décédé subitement dans sa 60e année

alors qu'il fonctionnait comme aide- cuisinier et ordonnance d'officier dans un cantonnement à La Sarraz. Il fut chef cuisinier de 1925 à 1961 à la ca¬ serne de la Poya à Fribourg. Il laisse le souvenir d'un bon papa.

M. Max Papaux FRIBOURG

enlevé à l'affection de sa famille après une pénible maladie dans sa 53° année. Chauffeur, il travaillait dans l'Entre¬ prise Antiglio et Routes Modernes S. A. Fils et frère de chauffeurs, il avait le respect de son métier. C'était un camarade de travail apprécié de tous.

M. Marcel Eygcr LA CIIAUX-DE-FONDS

décédé tragiquement dans un acci¬ dent de voiture â l'entrée du village de Bevaix à l'âge de 34 ans seulement. Bourgeois de Fribourg, il y fit la plus grande partie de ses études, qu'il pour¬ suivit à Berne, Neuchâtel et Payerne. II s'était établi ù la Chaux-de-Fonds, il y a cinq ans.

M. Ainédée Clément CORPATAUX

M. Willy Francey GENÈVE

Mme Solange Dévaud LAUSANNE

M. Louis Ilersier VESIN

tragiquement tué dans un accident de moto près du Pont de la Neirigue, sur la route Orsonnens - Villaz-Saint- Pierre. Il était âgé de 57 ans. L'entre¬ prise Schuwey à Corpataux le consi¬ dérait comme son fidèle et dévoué employé.

décédé à Cousset, dans sa 52« année. Conducteur d'autobus à la Compagnie genevoise des tramways électriques., il jouissait de la confiance entière de ses patrons. C'était un employé sobre, ponctuel et consciencieux.

tragiquement tuée, près de Porsel, par la faute d'un chauffard, alors qu'elle venait de rendre visite à son père à Vuisternens-devant-Romont et qu'elle rentrait à son domicile dans l'auto de son mari, M. Georges Dévaud, Agée de 36 ans, elle était une tendre épouse et une maman bien chère pour ses deux enfants.

décédé subitement à l'âge de 64 ans. Fils d'agriculteurs, il s'adonna dès son jeune âge aux travaux de la terre. Il était depuis vingt ans, secrétaire com¬ munal. Membre fondateur et prési¬ dent de la société de musique, il chanta pendant 32 ans. Il était également peseur de lait depuis de très nom¬ breuses années.

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Aula de l'Université, Fribourg Samedi 9 décembre à 20 h. 30 Dimanche 10 décembre à 16 h.

La création de J. Haydn

Chœur symphonique de la Cathédrale de Saint-Nicolas Orchestre de la Suisse romande

Direction: Igor Markevitch Solistes :

Lenora Lafayette, soprano, Charles Jauquier, ténor, Werner Ernst, basse

Memento de Fribourg CONCERTS

Dimanche 3 décembre à 20 h. 30:

Aula de l'Université: Les Compagnons de la chanson.

Mardi 5 décembre à 20 h. 30:

Aula de l'Université: Concert par l'Orchestre « Eastman Philharmonia», direction: H. Hanson. Jeudi 7 décembre à 20 h. 30:

Aula de l'Université: Concert d'abonnement: Henrik Szering, violoniste.

THÉÂTRES ET BALLETS Dimanche 26 novembre:

Aula de l'Université: « Blanche-Neige» par les Ballets G. et A. Gremaud.

Mercredi 6 décembre à 20 h. 30:

Théâtre Livio: «Constance» de Sommerset Maugham (prod. G. Herbert) Abonnement. Jeudi 14 décembre à 20 h. 30:

Théâtre Livio: « Le Mariage de Monsieur Mississippi» de Fr. DUrenmatt, par la Comédie de l'Est. Abonnement.

CONFÉRENCES Mercredi 29 novembre à 20 h. 30:

Salle de cinéma de l'Université: Conférence de M. Candaux; «Voltaire et les Suisses». Jeudi 30 novembre:

Auditoire B de l'Université: « Kolping » par M. l'abbé José Plancherel.

Jeudi 7 décembre à 20 h. 15:

Auditoire B de l'Université: « Quetteler» par le Rd Père Conus.

Mardi 12 décembre à 20 h. 15:

Auditoire B de l'Université: «Freie Welt?» par le professeur Luyten.

Jeudi 14 décembre à 20 h. 15:

Auditoire B de l'Université: «Don Bosco», par M. l'abbé Barbey.

Jeudi 21 décembre à 20 h. 15:

Auditoire B de l'Université: « Lavigerie», par le R. P. Beaud.

DIVERS] Jusqu'au 26 novembre:

Galerie de la Cité: Exposition de Jean-Bap¬ tiste Dupraz.

Samedi 2 décembre:

Foire et cortège de Saint-Nicolas. Samedi 16 décembre:

Théâtre Livio: «Tirage de la Loterie )Ro¬ mande».

SPORTS Jeudi 30 novembre à 20 h. 30:

Patinoire des Augustins: Gottéron - Berne. Coupe intercantonale LNB.

Samedi 2 décembre à 21 h.:

Salle de la Vignettaz: Championnat suisse de basketball LNA: Jonction (Genève) - Fribourg- Olympic.

Dimanche 3 décembre:

Stade St-Léonard: Fribourg-Lugano. 8, 9, 10 décembre:

Salle de la Vignettaz: Tournoi international de basketball avec les équipes suisses, françaises, italiennes, masculines et féminines.

Samedi 16 décembre à 20 h. 30:

Patinoire des Augustins: Gottéron-Lausanne, LNB.

Mercredi 27 décembre à 20 h. 30:

Patinoire des Augustins: Gottéron-Servette, LNB.

CINÉMAS

Tous les jours: Capitole— Corso —Eden — Livio — Rex — Studio.

DANCINGS Embassy — Le Lido

Tous les soirs de 21 heures à 2 heures; le same¬ di jusqu'à 3 heures.

Memento des districts CINÉMA DE ROMONT

23-26 nov. Les frères Caramazov 28-29 nov. Les bas-fonds d'Hawaï 30- 3 déc. Les canailles

5- 6 déc. Le loup solitaire 7-10 déc. L'adieu aux armes

8-10 déc. en matinée: La Belle au bois dor¬ mant

12-13 déc. Johny Guitare 14-17 déc. Résurrection

19-20 déc. Le combat mortel de Tarzan 21-23 déc. Pêchers d'Islande

25-26 déc. Le petit prof.

28- 2 janv. Babette s'en-va-t-en guerre CINÉMA DE CHATEL-ST-DENIS 25-26 nov. Les Misérables (2e partie)

2- 3 déc. L'enfer dans la ville 9-10 déc. Les grands espaces. 16-17 déc. Maigret et l'affaire 23-24 déc. Les ailes de l'espace

CINÉMA D'ATTALENS 17 déc. Leur dernière nuit (18 ans)

CINÉMA D'ESTAVAYER-LE-LAC 2- 4-déc. Les Trois Mousquetaires (16 ans) 9-11 déc. Meyerling (16 ans)

14 déc. Le voyage en ballon 16-18 déc. Les 59 marches (16 ans) 23-25 déc. Au-delà du pont (16 ans) 30-1er janv. Le clochard (16 ans)

Dancing-Gastronomie

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NOS JEUNES INSTITUTEURS

Un de nos aimables correspondants nous fait parvenir cette photo qui réunit les douze instituteurs ayant obtenu cet été leur brevet d'enseignement et qui, aujourd'hui, ont tous été nommés dans diverses localités du canton. Ce sont, de gauche à droite: MM. A. Bourdilloud, Bulle; G. Yerly, Rueyres-Treyfayes ; A. Etienne, Villariaz : P. Telley, Estavayer-le-Gibloux; N. Sallin, Treyvaux; E. Mauron, Villaraboud ; B. Perritaz, Villarlod; R. Aebischer, Ste-Croix; C. Brasey, Font; J. Répond, Grolley ; D. Gendre, Neyruz et B. Ducarroz, Montbrelloz. A tous, Fribourg-Illustré souhaite plein succès dans leur avenir, leur exprimant également sa reconnaissance pour la belle vocation qu'ils ont choisie, et qui les met au service de notre jeunesse.

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CONCERTS ET THÉÂTRE Samedi 25 novembre et 2 décembre à 20 h:

Dimanche 26 nov. et 3 déc. à 15 h.: Broc: Hôtel-de-Ville: Théâtre de la Jeunesse. Dimanche 26 novembre:

Cousset: Soirée de la Ste-Cécile. Jeudi 30 novembre:

Bulle: Ecole primaire: Salle de conférence: Conférence de Henri Guillemin, attaché culturel à l'Ambassade de France à Berne. « Victor Hugo ».

Dimanche 3, vendredi 8, dimanche 17 dé¬ cembre, après-midi et soir et samedi 16 décembre, en soirée:

Neyruz: Théâtre par la Société de Jeunesse « L'Aiglon »: Pièce théâtrale dramatique « Le Bossu ».

Vendredi 8 en matinée, samedi 9 décembre en soirée:

Bulle: Hôtel-de-Ville: Soirée de la Société fédérale de gymnastique.

Samedi 9 décembre: Vully: Bal du Ski-Club. Dimanche 10 décembre:

Ecuvillens: Théâtre de la Croisade. Dimanche 10 et 17 décembre:

Cugy: Soirées théâtrales de la Jeunesse parois¬ siale.

Dimanches 10 et 17 décembre:

Semsales: Soirées théâtrales de la Société des jeunes gens.

Samedi 16, dimanche 17 décembre: Vuadens: Soirée de la Société fédérale de gymnastique.

Dimanche 17 décembre:

Bulle: Hôtel-de-Ville: Le Mariage de Mon¬ sieur Mississippi, de Dürenmatt, par la Comé¬ die de l'Est.

Dimanche 17 décembre:

Marly: Arbre de Noël du Groupement ou¬ vrier.

Dimanche 17 décembre:

St-Martin: Loto-concert de la fanfare parois¬ siale.

Dimanche 17 décembre:

Vuisternens-devant-Romont: Loto en faveur des orgues.

Samedi 23 décembre:

Châtel-St-Denis: Arbre de Noël de la fan¬ fare.

Dimanche 24 décembre:

Attalens: Arbre de Noël de la FOBB. Lundi 25 décembre:

Semsales: Arbre de Noël de la fanfare. Dimanche 31 décembre:

Granges (Veveyse): Arbre de Noël de la So¬ ciété de chant.

Dimanche 31 décembre:

Attalens: Bal du F.-C. St-Georges. Bossonnens: Bal du F.-C. Bossonnens.

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Nos photos sont l'œuvre de MM. Fontana, Fribourg

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